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Philippe Le Jeune reçoit le Trophée National du Mérite Sportif


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Le jury du Trophée National du Mérite Sportif, réuni ce jeudi à l'Hôtel de Ville de Bruxelles, a attribué le Trophée 2010 au cavalier Philippe Le Jeune. Le Bruxellois, 50 ans, a été sacré champion du monde de saut d'obstacles avec son cheval Vigo d'Arsouilles, début octobre lors des Jeux équestres mondiaux, à Lexington aux Etats-Unis.

Le Jeune a réussi à s'imposer dans le 'Final Four' de cette compétition, alignant les parcours sans pénalités jusqu'en finale, où il a aussi monté les trois autres chevaux de ses adversaires. Il a également fait partie du quatuor qui permit à la Belgique de remporter la médaille de bronze par équipes nationales, lors de ce même championnat.

Au palmarès du Trophée, Le Jeune succède au coureur cycliste Philippe Gilbert récompensé pour sa belle saison sportive en 2009.

Décerné depuis 1928, le Trophée National du Mérite Sportif, une des plus hautes et prestigieuses distinctions sportives en Belgique, ne peut être obtenu qu'une seule fois dans une carrière par un sportif ou une sportive.

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ski alpin

Fracture du tibia-péroné pour Nadia Styger


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La Schwytzoise Nadia Styger s'est sérieusement blessée à l'entraînement au Canada et sera out pour la saison.
le 19 novembre 2010, 22h50
LeMatin.ch & les agences
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La saison 2010/2011 se déroulera sans Nadia Styger. La Schwytzoise a été victime d’une double fracture tibia-péroné à la jambe gauche lors d’un camp d’entraînement à Nakiska (Can). L’accident s’est produit lors d’une manche de géant. Styger a été déséquilibrée après avoir accroché une porte avec le bras. Victime d’une fracture ouverte, la malheureuse a été transportée à l’hôpital de Calgary pour y être opérée. «Avec une fracture ouverte, le risque d’infection est très important. C’est pourquoi nous ne pouvons pas attendre que Nadia soit en Suisse pour procéder à l’opération», a expliqué Walter Frey, le médecin de l’équipe de Suisse dames. Ce coup dur pourrait être synonyme de fin de carrière pour la Schwytzoise, elle qui fêtera ses 32 ans le 11 décembre.
Après Didier Défago (touché au genou), c’est la deuxième grosse perte de l’hiver pour l’équipe de Suisse. Quatre fois victorieuses dans sa carrière en Coupe du monde (3 super-G, 1 descente), la skieuse de Sattel représente depuis plusieurs hivers un des plus fiables atouts helvétiques. Elle avait bouclé l’exercice 2009/2010 en tant que No 3 mondiale en super-G et No 11 en descente.

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FORMULE 1

Felipe Massa déjà à l'aise avec les gommes tendres de Pirelli


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Felipe Massa, pilote Ferrari

Le pilote Ferrari a conclu la première journée destinée aux essais des pneumatiques Pirelli en tête de la feuille des temps à Abu Dhabi. Le Brésilien a confié s'être senti très vite à l'aise avec les nouveaux pneus qui équiperont les F1 la saison prochaine.
le 19 novembre 2010, 18h44
LeMatin.ch & les agences
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Le Brésilien Felipe Massa (Ferrari) a réalisé le meilleur temps à l’occasion du premier jour d’essais des pneus Pirelli, qui équiperont la Formule 1 en 2011. Ces tests ont lieu sur le circuit Yas Marina d’Abu Dhabi, où s’est clos dimanche le dernier Championnat du monde.
«Je me suis senti à l’aise dès le début. Il n’y a pas eu de surprise désagréable», a commenté Massa, qui a qualifié ce premier jour de test de «début positif pour commencer à comprendre» ces pneus. «Nous avons essayé deux types de gommes et avons acquis beaucoup de données: il y a eu quelques difficultés lorsque nous avons réalisé un long relais avec les durs, alors que les tendres ont bien fonctionné, tant dans les tout premiers tours qu’après avoir beaucoup roulé avec», a poursuivi le Brésilien.
«Les gommes se sont bien comportées, mieux que nous le pensions vu le peu de temps qu’a eu Pirelli. Ils sont évidemment au milieu de leur développement.
Nous ne courrons pas avec les pneus que nous avons utilisés vendredi. Mais c’est un bon départ», a remarqué le champion 2010 Sebastian Vettel (Red Bull). «Nous rassemblons beaucoup d’informations utiles et de bonnes suggestions, en plus de commentaires encourageants. Pour l’instant, tout se passe comme prévu», a observé Paul Hembery, directeur du service compétition du fabricant italien.
Pirelli a été choisi par la Fédération internationale (FIA) fin juin comme fournisseur unique de pneus de la F1 pour 2011, 2012 et 2013, en remplacement du Japonais Bridgestone, qui a quitté la compétition en fin de saison. L’Allemand Nick Heifeld, avant son départ chez Sauber pour remplacer l’Espagnol Pedro de la Rosa, le Français Romain Grosjean puis l’Espagnol Pedro de la Rosa, une fois licencié de l’écurie suisse, ont participé au développement des gommes italiennes.
Les écuries auront encore la journée de samedi pour se familiariser avec ces nouveaux pneus.



Yas Marina (Abou Dhabi). Essais de pneus. Les temps: 1. Massa (Bré/Ferrari) 1’40’’170. 2. Vettel (All/Red Bull) 1’40’’500. 3. Paffett (GB/McLaren) 1’40’’874. 4. Kobayashi (Jap/Sauber) 1’40’’950. 5. Kubica (Pol/Renault) 1’41’’032. 6. Barrichello (Bré/Williams) 1’41’’425. 7. Di Resta (GB/Force India) 1’41’’615. 8. Rosberg (All/Mercedes) 1’41’’778. 9. Alguersuari (Esp/Toro Rosso) 1’42’’019. 10. Sutil (All/Force India) 1’42’’859. 11. Glock (All/ Virgin) 1’44’’124. 12. Kovalainen (Fin/Lotus) 1’44’’686. 13. Maldonado (Vén/Hispania) 1’45’’728.

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Football

Platini suggère de changer le mode d'attribution de la Coupe du monde


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Le président de l'Union européenne de football (UEFA), Michel Platini, a suggéré samedi de changer le mode d'attribution de l'organisation de la Coupe du monde de football à la suite des soupçons de corruption pour l'attribution des Mondiaux 2018 et 2022.
AFP - le 20 novembre 2010, 13h09
Le Matin
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Platini propose, dans une interview au "Tages Anzeiger", que le choix ne soit plus effectué seulement par la comité exécutif de la Fifa, qui compte 24 membres -dont il fait partie-, mais par un vote de l'ensemble des 208 fédérations membres de l'instance internationale.
"Il faudrait peut-être que ce soit l'ensemble du congrès qui décide. De cette façon, le poids pesant sur un individu ne serait plus le même qu'aujourd'hui", a-t-il expliqué.
"Mais c'est très compliqué", a-t-il poursuivi. "La Fifa compte 208 membres, l'Europe a 53 votes, l'Afrique en a 53, l'Amérique du Sud, en revanche, n'en a que 10, ils n'auraient jamais une Coupe du monde".
Michel Platini a souligné les enjeux économiques de plus en plus importants de la Coupe du monde. "Vous pouvez imaginez quelle sorte de pression un candidat à l'organisation peut exercer sur une personne qui dispose d'un vote. Une Coupe du monde peut rapporter de 7,4 à 15 milliards d'euros à un pays", a-t-il estimé.
La commission d'éthique de la Fifa a suspendu jeudi deux membres du comité exécutif, jugeant qu'ils avaient contrevenu au code d'éthique de l'organisation, après des soupçons de corruption dans l'attribution des Mondiaux 2018 et 2022 révélés par la presse. Le Nigérian Amos Adamu, suspendu trois ans, et le Tahitien Reynald Temarii, un an, vont faire appel.
La Fifa désignera le 2 décembre les pays organisateurs de Mondiaux 2018 et 2022.
L'Angleterre, la Russie, l'Espagne associée au Portugal et les Pays-Bas avec la Belgique sont candidats pour 2018. Le Qatar, l'Australie, les Etats-Unis, le Japon et la Corée du Sud le sont pour 2022.

et si lui et Blatter sont mouillés......

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Football

Raymond Domenech "se reconstruit" en entraînant des moins de 11 ans


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Raymond Domenech, nouvel entraîneur de l'équipe de football es moins de 11 ans, le 20 novembre 2010 à Suresnes, près de Boulogne-Billancourt

Raymond Domenech "se reconstruit" en endossant le nouveau rôle de coach de l'équipe des moins de 11 ans de l'Athletic club de Boulogne-Billancourt (ACBB), a-t-il dit à la presse samedi matin au stade Maurice-Hubert de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine).
AFP - le 20 novembre 2010, 16h13
Le Matin
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L'ex-sélectionneur de l'équipe de France, licencié par la Fédération française de football pour faute grave en septembre, est apparu détendu et souriant devant la presse avant le match qui opposait les moins de 11 ans de l'ACBB aux joueurs de Suresnes.
"J'ai besoin de souffler, de me reconstruire. J'ai vécu six ans à un poste difficile", a expliqué Raymond Domenech, foulard beige au cou, jean et baskets, pour justifier sa nouvelle occupation.
"Une page a été tournée. j'ai envie de me faire plaisir", a-t-il ajouté. Raymond Domenech a commencé à entraîner les jeunes joueurs mercredi et s'est engagé jusqu'"à la fin de l'année", a-t-il dit à la presse.
"Ca fait longtemps que je n'ai pas pris autant de plaisir", a-t-il commenté, expliquant qu'à la différence des adultes, avec les enfants, "il n'y a pas cette exigence de résultats".
Le visage sérieux et l'air concentré, les jeunes joueurs se sont montrés plutôt discrets sur leur nouveau coach, refusant de répondre aux questions.
"Je pense qu'aujourd'hui, ils ont un peu la pression, avec les caméras..." commente Amel Temmouri, 32 ans, dont le fils Amine fait partie de l'équipe de Boulogne-Billancourt.
Appareil photo dans la poche, Mehdi Goucem a pris une demi-journée de congé pour accompagner son fils Yanis, 10 ans. "Il est très excité", confie-t-il. "Pour la première fois, il s'est couché à 20h30 hier soir. Pour lui, c'est très sérieux, il veut se donner à fond".
Pour les parents des joueurs, les polémiques sur le parcours des Bleus en Coupe du monde semblent bien loin: "je crois que chacun a besoin d'une seconde chance" estime, philosophe, Mme Temmouri.

Bravo si c'est sincère......

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VOILE

Route du Rhum: Bernard Stamm termine dans les dix premiers


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Le marin de Saint-Prex a franchi la ligne d’arrivée ce samedi matin.
Thomas Dayer - le 20 novembre 2010, 13h04
LeMatin.ch
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Malgré une avarie de barre qui l’a forçé à une réparation aux Açores, Bernard Stamm a atteint son objectif, intégrer le top ten. Il a franchi la ligne d’arrivée à Pointe-à-Pitre ce samedi matin à 9h53 (heure de Paris). Il était 4h53 en Guadeloupe.
Il était reparti des Açores à la 31e place de sa catégorie des Class 40. Il termine neuvième. Une belle remontée pour celui qui avait connu un excellent départ, avant d’être contraint de se dérouter.
«Il faut être dessus tout le temps, lâchait-il à l’arrivée. C’était une transat compliquée, sans alizés, mais très intéressante, même si mon objectif, au départ de Saint-Malo, c’était la victoire.»

Mieux que dernier......

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Les Masters, la dernière frontière de Rafael Nadal



© reuters

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Rafael Nadal s'attaque à partir de dimanche à Londres au seul grand titre qui manque à son palmarès, le Masters, sorte de dernière frontière pour un champion dont la carrière a atteint son apogée cette saison avec trois victoires en Grand Chelem et la place de N.1 mondial.

Si le défi est si redoutable pour l'Espagnol, c'est que le grand rendez-vous de clôture du circuit, qui rassemble les huit premiers au classement ATP, tous présents cette année, est disputé dans les conditions les moins favorables à son style de jeu, en salle et sur une surface synthétique rapide.

Un seul titre en indoor pour "Rafa"
Ainsi, sur 43 titres, Nadal n'en a remporté qu'un seul en indoor, un environnement qui favorise plutôt les gros serveurs. C'était à Madrid en 2006. En trois participations au Masters, il n'a jamais dépassé les demi-finales et sa dernière expérience, l'an passé, s'était soldée par un fiasco: trois matches, trois défaites et pas un seul set gagné.

S'il s'imposait, le Majorquin terminerait triomphalement une saison exceptionnelle, durant laquelle il a récupéré ses titres à Roland-Garros et à Wimbledon, ainsi que la première place à l'ATP, mais surtout bouclé son "Grand Chelem en carrière" en gagnant pour la première fois l'US Open en septembre.

Tendinite au bras gauche
L'une des clés de cette réussite est sa gestion plus rationnelle de ses efforts, illustrée ces dernières semaines par l'impasse faite sur le tournoi de Paris-Bercy, pour soigner un début de tendinite au bras gauche.

Alors que Djokovic pensera surtout à la finale de la Coupe Davis, qu'il doit disputer dans la foulée contre la France, les principaux rivaux de Nadal pourraient se trouver dans l'autre poule, à commencer par Roger Federer.

Roger en forme
Le Suisse finit fort, avec deux victoires récentes à Stockholm et à Bâle, une saison bien remplie mais décevante selon ses standards. Pour la huitième année d'affilée, il a inscrit son nom au palmarès d'un tournoi du Grand Chelem, en Australie, mais pour la première fois depuis 2003, ce fut sa seule finale majeure de l'année.

En remportant un cinquième Masters, trois ans après son dernier succès à Shanghai, Federer, 29 ans, repousserait une fois de plus le spectre du déclin. Il égalerait aussi le record de titres de Pete Sampras

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FOOTBALL

Le Stade Brestois est l’équipe surprise de la Ligue 1


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Oscar Ewolo et ses coéquipiers brestois réussissent une belle saison, même si, hier soir, ils ont connu la défaite à Rennes

Hier soir, les joueurs bretons ont perdu la première place du classement de Ligue 1 en s’inclinant à Rennes sur le score de 2-1
Jérôme Beuchat - le 20 novembre 2010, 23h20
Le Matin Dimanche
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S’il est une équipe qui représente la grande curiosité du championnat de France, qui est en train de réaliser une saison époustouflante, c’est bien le Stade Brestois. Et cela, malgré la défaite d’hier soir à Rennes, qui lui a fait perdre la tête du championnat. Toujours invaincue à domicile après six rencontres, elle avait pris le commandement du championnat lors de la 11e journée. Petit tour d’horizon de cette formation qui a accédé cette saison à l’élite du football français.
Un petit budget
Le Stade Brestois compte le deuxième plus petit budget du championnat avec 24 millions d’euros de budget. «Le budget moyen d’un club de Super League est de 18 millions. Sans Bâle et Young Boys, c’est 12 millions», selon Edmond Isoz, directeur de la Swiss Football league. Voilà pour la comparaison avec notre pays. Avec ce petit budget, le club aurait besoin de joueurs formés au club. Mais un petit problème se pose, l’actuel centre d’entraînement n’a qu’un seul terrain qui est, de plus, dans un piteux état et aucun projet d’un nouveau stade n’est en cours.
Des supporters bruyants
Malgré ce déficit, le club de Brest peut être fier d’avoir un public de vrais supporters. Remplissant le stade Francis-Le Blé qui peut contenir 16 000 personnes, les spectateurs, surtout ceux de la tribune latérale, savent toujours mettre une grande ambiance pour encourager leur formation favorite. «Rien qu’à les entendre hurler, ça me donne envie de marquer», explique Nolan Roux, meilleur buteur de son équipe avec quatre réussites. Pour preuve, la formation entraînée par Alex Dupont n’a pas encore concédé la moindre défaite à domicile cette saison, comptabilisant deux victoires, contre Valenciennes et Saint-Etienne, et quatre résultats nuls face à Auxerre, Lorient, Arles-Avignon et Sochaux.
Mais le club breton est également connu par, ou à cause, de son président Michel Guyot. Né à Brest, il est à l’opposé des présidents qui dirigent les clubs de Ligue 1. Lui, sa réussite, il l’a acquise dans la récupération de déchets. C’est à l’opposé d’autres présidents comme celui de Rennes qui est l’ex-PDG de TF1, de Lyon (Jean-Michel Aulas, fondateur et PDG de CEGID), ou encore celui du Paris SG (Robin Leproux, ancien PDG de nombreux médias français). Mais Michel Guyot est surtout connu pour avoir interdit les écouteurs aux joueurs de son équipe suite à la Coupe du monde désastreuse de l’équipe de France en Afrique du Sud ou encore d’avoir proposé un contrat à vie (!) à Alex Dupont suite à l’accession à la première place du championnat de Ligue 1.
A noter encore que ce n’était pas la première fois que le Stade Brestois atteignait la plus haute marche du podium. Lors de la saison 1986-1987, l’équipe avait touché le sommet après la troisième journée et avait finalement terminé au huitième rang, son meilleur résultat jusqu’à aujourd’hui. Seront-ils mieux classés le 29 mai 2011, date de la dernière ronde du championnat? Pour des dirigeants et des joueurs qui ont comme seul et unique objectif le maintien, on ne peut que le leur souhaiter.

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football

A la loterie des tirs au but, la boule est tombée côté bâlois


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Le portier bâlois, Yann Sommer, arrête le tir au but de Nater et envoie le FCB en quarts

Les «grenat» ont fait mieux que se défendre face aux ogres rhénans. Le gardien bâlois, Yann Sommer, a fait la différence en détournant le dernier penalty des Genevois
Renaud Tschoumy - le 20 novembre 2010, 23h11
Le Matin Dimanche
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Il devait être écrit que la chance sourirait au grand. Que la boule, forcément, tomberait du côté bâlois. Hier au Stade de Genève, le FCB ne méritait pas forcément de gagner. Mais il s’en est reparti un billet de quart en poche, péniblement acquis aux tirs au but.
Une fois de plus, Thorsten Fink a joué au poker en laissant (notamment) Frei et Huggel sur le banc. Mais, à la différence du match d’Yverdon, il a failli y laisser toutes ses plumes. Car les Servettiens ont réussi à élever leur niveau de jeu pour dialoguer d’égal à égal et, même, prendre le match à leur compte. Cueillis à froid sur un penalty généreusement accordé par Massimo Busacca, ils ont égalisé sur un penalty tout aussi sympathique. Egalité parfaite jusque dans les largesses arbitrales, donc.
L’occasion de De Azevedo
Mais ensuite, ce sont les Servettiens qui ont cherché à désarçonner les Bâlois. Ceux-ci ont assez rapidement montré que des prolongations ne les dérangeaient pas. Almerares a certes visé la latte, mais cette action était par trop épisodique pour résumer ce que fut le match dès le moment où De Azevedo a égalisé.
Le même De Azevedo a d’ailleurs bien failli être le match-winner pour Servette: à la 110e, il a fallu que Yann Sommer se détende pour dévier en corner son coup franc travaillé de vingt-cinq mètres. Et, à la toute dernière seconde des prolongations, il s’est présenté seul face au gardien M21, qui a réussi à éviter le pire à ses couleurs. «Ça peut arriver, lâchait le joueur servettien. J’ai dû faire un choix en une seconde, j’ai fait le mauvais. Mais le gardien a vraiment bien fermé son angle.» Il a surtout réagi très vite dès le moment où le Brésilien a fait son crochet pour l’éliminer.
Les penalties? A l’instinct!
A l’entame de la séance de tirs au but, Sommer était donc chaud, comme on dit. Il allait le prouver sur le dernier penalty servettien, puisqu’il est parti du bon côté et qu’il a réussi à stopper le tir de Nater. «J’ai été décisif, mais tu ne sais jamais comment une telle loterie va se dérouler», expliquait le héros du jour.
Son entraîneur, le Jurassien Romain Crevoisier, ajoutait qu’il n’avait pas donné de consignes particulières à son poulain: «Les penalties, ça se joue à l’instinct. Je lui ai simplement rappelé de partir sur le côté, et non en avant. Après, c’était à lui de choisir.» Ce qu’il a fait, et plutôt bien.
L’entraîneur servettien João Alves pouvait en avoir gros sur le cœur, après le match. «Le foot, c’est comme ça, dira-t-il. La saison passée, on a parfois eu un peu de chance pour gagner certains de nos matches. Là, elle nous a fait défaut. Mais je suis très fier de mon équipe. Vraiment. Que ce soit défensivement ou offensivement, elle a joué comme elle le devait.»
Elle a fait mieux encore, puisqu’elle a réussi à parfois dominer le FCB. «Qu’on ait réussi à prendre le match à notre compte face à la meilleure équipe du pays, cela montre à quel point mon équipe a su se montrer à la hauteur, poursuivait le technicien portugais. Il ne faut pas oublier que Bâle peut encore se qualifier en Ligue des champions. C’est vraiment un bon exemple pour mes joueurs.»
Mais ce match demeurera malgré tout comme un mauvais souvenir dans leur esprit.

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Manchester réussit là où Arsenal a échoué


Tottenham a joué un mauvais tour à Arsenal. Les Gunners manquent l'occasion de rejoindre Chelsea en tête du classement. © ap
Arsenal, impérial en première période devant Tottenham son voisin honni, a sombré après la pause pour s'incliner (3-2) à l'Emirates Stadium samedi en ouverture de la 14e journée de Premier League et raté l'occasion de prendre la tête du classement. Manchester United lui a saisi l'aubaine, puisqu'en s'imposant face à Wigan, les Red Devils reviennent à égalité de points avec Chelsea, battu à Birgmingham, en tête de la Premier League.

Apres dix-sept années de disette, les supporters de Tottenham ont longtemps pensé devoir encore attendre pour voir leur équipe gagner un match à Arsenal. Depuis 1993, ils en avaient été incapables et samedi, en première période, ils en semblaient encore loin du compte. C'est la 3e défaite déjà à domicile cette saison pour Arsenal, qui n'a pris que 12 points sur 21 à l'Emirates. Mais surtout, cet incroyable scénario pourrait des répercussions bien plus graves sur le mental et la forme des Gunners sur le long terme.

Côté belge, Wolverhampton a, de nouveau, perdu 2-1 lors de son déplacement à Blackpool, une autre équipe promue, pour le compte de la 14e journée de Premier League. Jelle Van Damme n'était, cette fois-ci, même pas repris dans les 19 joueurs du côté des Wolves qui, suite à ce revers, restent derniers avec 9 points.

Dimanche
(14h30) Blackburn - Aston Villa
(17h00) Fulham - Manchester City

Lundi
(21h00) Sunderland - Everton

Classement: Pts J G N P bp bc dif

1. Chelsea 28 14 9 1 4 28 9 19
2. Manchester United 28 14 7 7 0 28 15 13
3. Arsenal 26 14 8 2 4 28 15 13
4. Bolton 22 14 5 7 2 26 20 6
5. Manchester City 22 13 6 4 3 15 10 5
6. Tottenham 22 14 6 4 4 21 19 2
7. Sunderland 19 13 4 7 2 15 13 2
8. Stoke City 19 14 6 1 7 18 18 0
9. Newcastle 18 14 5 3 6 22 21 1
10. Blackpool 18 14 5 3 6 21 27 -6
11. Aston Villa 17 13 4 5 4 15 18 -3
12. Birmingham 16 14 3 7 4 15 17 -2
13. Liverpool 16 13 4 4 5 13 17 -4
14. West Bromwich 16 14 4 4 6 16 25 -9
15. Everton 15 13 3 6 4 14 13 1
16. Blackburn 15 13 4 3 6 15 18 -3
17. Fulham 14 13 2 8 3 13 13 0
18. Wigan 14 14 3 5 6 10 23 -13
19. Wolverhampton 9 14 2 3 9 14 25 -11
20. West Ham 9 13 1 6 6 11 22 -11 .