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Football - Serie A

24/12/2010 - 14:31 - Mis à jour le 24/12/2010 - 15:15 Leonardo à l'Inter, c'est chaud




Reuters

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Selon la Gazzetta Dello Sport, Leonardo pourrait être intronisé entraîneur de l'Inter Milan lundi ou mardi pour deux ans. Le Brésilien est en tout cas le choix n°1 du président Moratti qui a annoncé ce midi qu'il se passerait quelque chose "après Noël" et que "tout recommencerait le 29".

Sous leur sapin, les supporters de l'Inter Milan devraient trouver un cadeau supplémentaire, aux alentours du 27, 28 décembre. Ce cadeau, c'est le Brésilien Leonardo, choix n°1 de Massimo Moratti pour prendre la succession de l'Espagnol Rafa Benitez, dont le club s'est séparé il y a deux jours au prix d'une indemnité faramineuse de trois millions (60 000 euros par jour environ !). Le président de l'Inter Milan n'a en effet pas caché à la sortie d'une réunion ce vendredi midi que "quelque chose se passerait le 26 et que le 29, "tout recommencerait".
Ce fameux "quelque chose" selon la Gazzetta dello Sport, c'est une rencontre entre Moratti et Leonardo au lendemain de Noël. Le Brésilien est d'ailleurs déjà en Lombardie car Moratti souhaiterait le voir en tête à tête avant d'officialiser son intronisation et ce, même si sa décision semble déjà prise, selon le quotidien italien. Leonardo devrait s'engager pour deux ans soit jusqu'en juin 2012, plus une troisième année en option. La Gazetta Dello Sport évoque un salaire annuel de 2,5 millions pour l'ancien coach de l'AC Milan. Sa présentation officielle pourrait avoir lieu le 27 ou le 28 décembre avant de diriger son premier entraînement dès le 29 décembre.
Le temps presse car le champion d'Italie sera sur le pont dès le 6 janvier pour la réception de Naples et qu'il sera privé de Samuel Eto'o et Wesley Sneijder. Leonardo devra donc s'activer pour combler le retard accumulé en championnat (13 points avec deux matchs en retard) et préparer la montée en puissance vers le 8e de finale de Ligue des champions face au Bayern Munich, remake de la dernière finale. Pour renforcer le champion d'Europe, les rumeurs font déjà état d'une arrivée, et non des moindres: celle de Kakà, ancien Rossoneri en pleine sortie d'infirmerie au Real Madrid. Les noms du défenseur central italien du Genoa Andrea Ranocchia et du milieu de la Fiorentina Ricardo Montolivo (pour juin) circulent également.

[Norton]

FOOTBALL

Beckham n'ira pas à Manchester


Image © Keystone
David Beckham ne retournera pas aux sources de sa formidable carrière.

Sir Alex Ferguson l'a déclaré à Skysports.com, il ne compte pas enrôler David Beckham durant la deuxième partie de saison.
le 24 décembre 2010, 14h33
LeMatin.ch
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David Beckham en rêvait, Sir Alex n'exaucera pas son souhait. "Je n'ai encore jamais engagé un joueur de son âge (Beckham a 35 ans), et il ne sera pas le premier", a déclaré le manager de Manchester United.
Le championnat américain étant terminé, Beckham souhaite trouver un club qui veuille de lui en Europe afin de se maintenir en forme. Les dernières saisons, Beckham avait trouvé en l'AC Milan une terre d'asil. Mais l'Anglais ne souhaite pas renouveler l'expérience italienne.
Formé à Manchester, David Beckham rêvait de retourner dans le club qui l'a révélé, histoire de boucler la boucle.

[Norton]

L'actualité sportive
© Keystone

COUPE SPENGLER DAVOS

GE Servette aussi magique que la Spengler

Il n’a manqué que la réussite aux Genevois pour battre le CSKA Saint-Pétersbourg d’Alexei Yashin. Métamorphosés, les Aigles s’attaqueront aujourd’hui à Sparta Prague pour une place en demi-finale Suite
2 commentaires
Le Matin, le 26 décembre 2010, 23h03

[Norton]

hockey sur glace

L’équipe de Suisse assure

La Suisse remporte son premier match, contre l’Allemagne.
le 26 décembre 2010, 22h55
Le Matin
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Mondiaux M20
Etats-Unis
Allemagne - Suisse
3-4(0-4 1-0 2-0)
L’équipe de Suisse M20 a réussi sa première sortie dans le cadre des championnats du monde, aux Etats-Unis. A Buffalo, les joueurs de Richard Jost se sont débarrassés de l’Allemagne sur le score de 4-3. Après un départ canon lors du premier tiers, tout semblait indiquer que les coéquipiers d’Inti Pestoni, auteur de l’ouverture du score (5e), allaient passer une soirée confortable. D’autant plus que Niederreiter (deux buts en 27’’) et Camperchioli aggravaient le score et assommaient des Allemands incrédules. Après 13’25’’ l’équipe de Suisse avait 4 buts d’avance!
Surprenant revirement
Mais, comme l’avait prédit Jost la veille, le match fut en définitive très serré. Car, malgré un début de match parfait, la Suisse a finalement tremblé jusque dans les dernières secondes de la rencontre, sous les audacieux assauts allemands. De manière un peu incompréhensible, la Suisse conquérante, spectaculaire et organisée des vingt premières minutes a accepté la domination allemande.
Après avoir changé de gardien (18e), au fil des minutes, l’Allemagne retrouvait des couleurs et tentait un retour désespéré grâce aux réussites de Noebels (25e), Plachta (51e) et Mapes (56e). Mais Niederreiter et ses coéquipiers ont su tenir bon jusqu’à la sirène finale. Pour obtenir son billet pour les quarts de finale, l’équipe de Suisse doit figurer au minimum à la 3e place de son groupe composé de l’Allemagne, de la Slovaquie, de la Finlande et des Etats-Unis. Les joueurs de Jost affronteront la Finlande demain (18 h 30) avant de se mesurer aux Slovaques jeudi (21 h). La partie contre les Etats-Unis est agendée à samedi (2 h).

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CHAMPIONNAT DU MONDE IBC Berne

Yves Studer décroche un bout du monde


Image © Keystone
La performance d’Yves Studer (à dr.) a ébloui le public présent. A commencer par son manager, Daniel Hartmann. «Yves a boxé non seulement avec ses poings mais aussi avec sa tête. Il s’est montré d’une intelligence rare», souligne-t-il.

Le Fribourgeois Yves Studer, excellent du début à la fin, s’est emparé de la ceinture mondiale des poids moyens version IBC en battant aux points le Brésilien Barbosa
Jacques Wullschleger - le 26 décembre 2010, 22h50
Le Matin
1 commentaire


Sitôt la première note de l’hymne national, il a pris un bout du drapeau suisse et l’a plaqué sur son cœur. Yves Studer est un bon citoyen et un boxeur de qualité. Douze rounds plus tard, le Fribourgeois était champion du monde version IBC; dans la hiérarchie, la cinquième de la planète, après la WBA, la WBC, la WBO et l’IBF. Elle ouvre des portes et des perspectives, en direction des sommets.
Tout au long du combat, Yves Studer s’est méfié de son adversaire, auteur de 24 succès, dont 17 par k.-o. De son crochet gauche qui fait mal. Le Brésilien a une frappe lourde mais pas toujours précise, ses bras sont vifs, mais la vitesse n’est pas à la hauteur. Barbosa encaisse bien les coups. Quand un lui fait mal, un rictus anime son visage et il appelle des deux gants l’adversaire à venir à lui. «Il voulait que je lui rentre dedans. Il m’a dit des choses, mais je n’ai rien compris. Je n’ai pas voulu jouer son jeu», raconta le Fribourgeois, vainqueur qui s’entraîne à Berne, aux Boxing Kings.
Victoire à l’unanimité
Tout au long du combat, Yves Studer a fait preuve d’une maîtrise remarquable et remarquée par le clan d’en face. Il a varié les coups, son crochet droit a fait souvent mouche, a marché sur son adversaire, a accepté le combat rapproché aussi, accompagné de quelques uppercuts bien appuyés. La précision, la technique et la variété ont fait mal, très mal au Brésilien, qui n’a jamais pu imposer sa boxe. Studer: «Je ne peux pas vous dire si le combat de ce soir est le meilleur de ma carrière. Je ne l’ai pas vu, car j’étais dedans (il rit). Je me réjouis de le voir à la vidéo.» La ceinture déployée dans ses mains, le Fribourgeois pose pour les nombreux photographes, pour le public aussi, qui lui a fait une standing ovation du tonnerre.
Au 2e round, Barbosa tomba au sol, victime d’un crochet droit terrible de Studer. Le Brésilien perdit de très nombreux rounds, assura une ou deux séries qui laissèrent de marbre le Fribourgeois, regard bleu lucide et concentré comme jamais du début à la fin. «J’ai été solide. A la première reprise, il m’a touché. Je ne pensais pas qu’il taperait aussi fort. J’ai monté ma garde. Je me suis bien protégé. Je crois avoir très bien maîtrisé la situation. Je voulais cette ceinture. J’aurais voulu gagner avant la limite, mais mon adversaire, très fort, en a décidé autrement.» Les trois juges, dont deux Suisses, ont été unanimes: 117-111, 116-111 et 115-112.
Affronter les meilleurs
Et maintenant? «Nous voulons boxer toujours contre les meilleurs. Peut-être que le prochain adversaire sera l’Anglais Macklin. Il est champion d’Europe.» Paroles de Daniel Hartmann, manager du Fribourgeois, ébloui par la performance de son boxeur. «Yves a boxé non seulement avec ses poings mais aussi avec sa tête. Il s’est montré d’une intelligence rare.» Pour battre Barbosa, c’est ce qu’il fallait être: intelligent.

[Norton]

COUPE SPENGLER

Au Team Canada, ils sont tous sous le charme de Mark Messi

Véritable star du tournoi davosien, l’ex-coéquipier de Wayne Gretzky à Edmonton est respecté par tous ses joueurs. Deux d’entre-eux témoignent.
Christian Maillard - le 26 décembre 2010, 22h27
LeMatin.ch
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Portier remplaçant à Oklahoma (AHL) derrière le Suisse Martin Gerber, le Québécois Jeff Deslauriers, sera, cette semaine, dans la cage du Team Canada. A Davos, le Québécois n’a pas seulement découvert notre pays. Comme tous ses camarades, il est tombé sous le charme de Mark Messier, de cette légende vivante du hockey. Témoignage. «C’est quelqu’un qui est respecté partout, de par ce qu’il a fait. C’est un honneur de jouer pour lui. C’est un personnage attachant, au style particulier, qui a un langage hockey. C’est un homme de très bien structuré, qui connaît bien son game. C’est une belle opportunité pour tout le monde de partager son expérience. D’être coaché par un personnage comme lui, qui a remporté six fois la Coupe Stanley, c’est vraiment quelque chose de très spécial.» Si le gardien collait, quand il était gosse, des photos de Martin Brodeur et de Dominik Hasek - qu’il a d’ailleurs rencontré samedi après-midi à Davos - dans sa chambre, Jeff Deslauriers apprécie cet ancien attaquant, même si avec ses 694 buts, il n’a jamais été tendre avec les portiers.
Même son cloche pour Pascal Pelletier, l’attaquant des Langnau Tigers, lui aussi très impressionné. «C’est vraiment un honneur de faire partie de cette équipe du Team Canada et de jouer pour lui. Quand il parle, il a de la prestance. Et je peux vous assurer que lorsqu’il entre dans une chambre, il dégage une puissance difficile à décrire. A vrai dire, le fait d’être là, devant nous, tout le monde l’écoute.» Pour le camarade de «Benji» Conz, l’ex-coéquipier de Wayne Gretzky «est en train de construire une équipe, de mettre une tactique au point pour être tous sur la même longueur d’onde. Avec tous les championnats qu’il a remportés, il sait comment s’y prendre pour élaborer une équipe gagnante sur la glace. Il essaie déjà de connaître tous les joueurs pour qu’on aille tous dans le même sens.» Et d’avouer que le maillot à la fleur de lys donne des ailes.
Dans l’équipe du Team Canada, ils ont tous le même langage. Ils veulent tous gagner pour lui, offrir à cet homme d’exception une Coupe Spengler, lui qui a soulevé six fois la Stanley!

[Norton]

SAUT À SKIS

Derrière Simon Ammann, c'est le désert


Image © Keystone
A Einsiedeln, au centre d'entraînement, les jeunes talents sont rares à suivre la voie de Simon Ammann.

En Suisse, l'assise populaire et médiatique repose sur un seul homme. Les résultats exceptionnels du champion olympique n'ont pas créé une véritable émulation et la relève fait défaut.
Bernard Morel - le 25 décembre 2010, 23h18
Le Matin Dimanche
3 commentaires

Dans trois jours commence à Oberstdorf la compétition majeure du saut à skis - hors JO et Mondiaux -, la Tournée des Quatre tremplins. Avec, pour le public suisse, l'espoir de voir Simon Ammann atteindre le dernier grand objectif de sa carrière, et ramener le premier trophée en 58 ans.
Cet exploit serait d'autant plus retentissant qu'il serait le dernier, ou l'un des derniers, d'un sauteur suisse avant longtemps. Depuis 2002 et ses deux premiers titres olympiques à Salt Lake City, Simon Ammann - et Andreas Küttel dans son sillage - a redonné une belle place au saut à skis dans la hiérarchie des sports. Mais la dégringolade risque d'être très brutale lorsque le Saint-Gallois, à la fin de cette saison ou plus vraisemblablement en 2014, décidera de mettre un terme à sa carrière. Car derrière lui, c'est le désert. Et ce sentiment est encore accentué par les déboires actuels d'Andreas Küttel. Mercredi à Oberstdorf, Simon Ammann sera le seul Suisse à monter sur le tremplin.
200 licenciés
Avec lui, il y a un certain paradoxe, sans qu'il en soit le moins du monde responsable. Il est l'un des sportifs les plus titrés et les plus charismatiques du pays, pourtant, ses formidables résultats n'ont pas suscité l'engouement et l'émulation qu'on aurait pu imaginer. En près d'une décennie de «Simimania», le nombre des sauteurs licenciés en Suisse ne dépasse pas 200. En août dernier à Einsiedeln, il n'y avait que 14 participants au championnat suisse des moins de 16 ans.
A qui la faute? A question simple, réponse compliquée. «Ce qui est sûr, c'est que Simon Ammann et Andreas Küttel jouent parfaitement leur rôle de locomotives et de conseillers auprès des jeunes, relève Berni Schödler, chef du saut à skis suisse. Ils les encadrent, leur donnent des pistes, leur ouvrent le chemin. Les jeunes doivent comprendre que c'est à eux de faire l'effort, de s'entraîner en conséquence. Durant l'automne, Pascal Grigoli a semblé prendre le bon chemin. Il a progressé. Mais il y a encore du travail, beaucoup de travail.»
Entraîneur de Ammann et de Küttel jusqu'en 2007, revenu cette année à Swiss-ski après trois années passées en Russie, Berni Schödler a pu mesurer toute l'étendue du problème en devenant chef de la discipline.
«La situation actuelle n'est pas seulement due au manque d'engagement des jeunes, estime-t-il. Le mal est plus profond et tient à l'absence de structures, d'équipements sportifs, à la raréfaction aussi des gens bénévoles qui encadrent les jeunes sauteurs. Des Henri-Louis Pesenti - ancien responsable du saut de Ski romand, a formé des générations de sauteurs, dont Sylvain Freiholz - on n'en trouve pour ainsi dire plus.»

Pauvreté des infrastructures
Ce qui frappe, c'est de voir la pauvreté des infrastructures. En Suisse, le saut se limite à deux endroits: Engelberg, où ont lieu les concours d'hiver de Coupe du monde et de Coupe continentale, et Einsiedeln, où se déroule le Grand Prix d'été et où se situe le centre d'entraînement des sauteurs suisses.
«Au cours de ces vingt dernières années, nous avons perdu en Romandie tous les lieux où se disputaient des concours, constate Sylvain Freiholz. Au Brassus, Vaulion, Sainte-Croix et au Locle, les tremplins ont été démolis ou ne répondent plus aux normes. Côté bernois, à Gstaad et Kandersteg, où certes il y a un nouveau projet, ils ont disparu. De même qu'à Saint-Moritz, à l'autre bout de la Suisse. A la vallée de Joux, nous avons deux petits tremplins d'initiation. C'est bien, mais insuffisant. Nous aurions besoin d'installations intermédiaires, de 70 m, pour aller plus loin dans la format

[Norton]

COUPE DU MONDE

La Française Tessa Worley gagne son 3e slalom géant d'affilée


Image © KEYSTONE
A 21 ans seulement, Tessa Worley compte dorénavant cinq victoires à son palmarès.

Plus rien ni personne n’arrête Tessa Worley. Du haut de son 1m57, la "puce" du Grand Bornand a remporté le géant de Semmering (Aut), glanant sa troisième victoire de suite dans la discipline après ses succès à Aspen et St-Moritz.
le 28 décembre 2010, 15h09
LeMatin.ch & les agences
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Victorieuse à chaque fois pour un centième dans le Colorado et les Grisons, la Française n’a pas, cette fois-ci, fait dans le détail en Basse-Autriche. Déjà en tête après la première manche, elle a encore creusé des écarts face à ses deux dauphines allemandes Maria Riesch (à 0’’62) et Kathrin Hölzl (à 0’’78).
A 21 ans seulement, Tessa Worley compte dorénavant cinq victoires à son palmarès. La skieuse d’origine australienne (par son père) est aussi bien partie pour remporter le globe du géant. Après quatre des huit courses au programme, elle compte 97 points d’avance sur Viktoria Rebensburg (9e à Semmering).
Maria Riesch a doublement perdu lors de ce géant. Avant le festival Tessa Worley en seconde manche, l’Allemande pensait bien tenir sa première victoire en géant et ainsi rejoindre le cercle fermé des skieuses à s’être imposées dans toutes les disciplines (Anja Pärson, Janica Kostelic, Petra Kronberger, Pernilla Wiberg). Maria Riesch se consolera en reprenant la tête du classement général de la Coupe du monde à l’Américaine Lindsey Vonn, 7e à Semmering.
En l’absence de Lara Gut (suspendue par Swiss-Ski), Fabienne Suter est la seule Suissesse à avoir pu titiller les reines du géant. La Schwyzoise a pris la 10e place à 1’’85 de Worley. Depuis le cinquième rang de cette même Suter à Are (Su) en mars 2009, aucune géantiste helvétique n’avait plus intégré le top 10 en Coupe du monde.
Outre un classement encourageant, Fabienne Suter a fait preuve de davantage d’agressivité en piste. De quoi ravir ses entraîneurs, eux qui n’en finissaient plus de regretter le manque de culot de la talentueuse skieuse de Sattel.
Les trois autres jeunes Suissesses engagées, Kathrin Fuhrer, Denise Feierabend et Esther Good, ont toutes échoué dès la manche matinale.
La station de Semmering accueillera encore un slalom nocturne mercredi. La première manche sera lancée à 15h, la seconde à 18h.