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Clijsters face à Li Na, une finale entre guerrières


Li Na, première chinoise a atteindre une finale d'un tournoi du Grand Chelem, reste sur une victoire sur Clijsters. L'ombre de la Chine grandit sur le tennis féminin. © afp
Les deux joueuses s'affronteront samedi à 09h30, heure belge.

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La Belge Kim Clijsters, N.3 mondiale, titrée trois fois en Grand Chelem, part logiquement favorite de la finale de l'Open d'Australie face à la Chinoise Li Na, mais elle devra se méfier samedi d'une adversaire en grande forme et qui, comme elle, ne renonce jamais.
Plus solide au service
"Ca va être intéressant", prédit Clijsters, qui vient chercher son premier titre à Melbourne après un échec en finale en 2004. "Je pense que nous avons beaucoup de choses en commun sur le court, poursuit la Belge. Elle joue avec beaucoup de confiance en elle, moi aussi." En effet, Clijsters trouvera du répondant sur le court, où Li pratique un jeu similaire au sien: des frappes lourdes et puissantes, la volonté de prendre en main l'échange et d'imposer le rythme, quitte à commettre quelques fautes.

"Peut-être est-elle un peu plus solide que moi au service", notait Clijsters à la veille de son match. Pourtant, sur le papier, la 11e mondiale ne fait pas le poids. Li Na, 28 ans, n'a que quatre titres en simple à opposer aux 40 de Clijsters, et surtout, elle vit sa première expérience à ce stade de la compétition en Grand Chelem.

Plus une ado
Cependant, si l'habitude de ces moments joue en faveur de la Belge, Li Na "n'est plus une adolescente, à se laisser dépasser par la situation", souligne Clijsters. En effet, la Chinoise n'a, comme la Belge, pas suivi une trajectoire rectiligne pour parvenir à ce niveau, et ce parcours parfois chaotique lui a donné de la maturité. Clijsters s'est arrêtée deux ans, entre 2007 et 2009, le temps de donner naissance à une petite fille, avant de revenir aussi forte et d'ajouter notamment deux US Open à son palmarès.

Etudes
Li Na, elle, interrompu sa carrière entre 2002 et 2004 pour reprendre ses études, puis a connu à son retour sur le circuit le début de son ascension jusqu'au Top 10 mondial. Les deux font preuve d'un goût certain pour le combat et d'un mental apparemment à toute épreuve. L'année dernière, Clijsters l'a montré en remportant les tournois de Cincinnati et Brisbane après avoir sauvé des balles de match. De même, la Belge a disputé sept finales depuis qu'elle a repris sa raquette et n'a perdu qu'une seule fois contre...Li Na, à Sydney il y a deux semaines. La Chinoise l'avait emporté 7-6 (7/3), 6-3, après avoir remonté un handicap de 5-0 au premier set !

Jeudi, Li a encore fait preuve de détermination face à la N.1 mondiale Caroline Wozniacki, en écartant une balle de match puis en renversant une situation bien compromise pour s'imposer 3-6, 7-5, 6-3. La Chinoise a en plus l'occasion samedi d'écrire à la fois son histoire personnelle, mais celle de son pays et de son continent, en devenant la première Asiatique à s'imposer dans un tournoi du Grand Chelem. "Je suis toujours forte dans ma tête, soulignait-elle vendredi. On dit en Chine que vous avez un moment difficile et que vous le surmontez, cela vous porte chance. J'espère qu'elle s'invitera aussi en finale." (afp)

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Les bains de glace de Kim Clijsters


Kim Clijsters a révélé qu'elle prenait des bains de glace pour améliorer sa circulation du sang et donc sa récupération. Elle a même rajouté une photo sur Twitter.




"C'est froid . Je suis quelqu'un qui aime aller au sauna. À la maison, je ne mets pas de glace. J'alterne eau chaude et eau froide. C'est bon pour le corps. Une minute dans l'eau glacée et une minute en dessous d'une douche bien chaude. Je fais ça 5 ou 6 fois. Quand je me mets dans l'eau froide, c'est jusqu'en dessous de ma poitrine", a-t-elle expliqué. (mb)




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SKI ALPIN

Après Kitzbühel, le Neuchâtelois a survolé la descente de Chamonix


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Didier Cuche a réalisé une descente parfaite, reléguant son poursuivant le plus proche à plus d’une demi-seconde. Le Neuchâtelois endosse plus que jamais l’habit de favori au globe de la descente.

Didier Cuche incarne la perfection de la ligne et la précellence Le skieur des Bugnenets a réussi la course parfaite sur la Verte des Houches. Le globe de cristal de la descente semble lui être dévolu.
Gaëlle Cajeux - le 29 janvier 2011, 22h58
Le Matin Dimanche
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Les 0,67’’ explosent en vert sur le tableau d’affichage. Le public hurle. Déclencheur de cette frénésie, Didier Cuche, appuyé sur ses bâtons, reprend son souffle. Et hoche la tête. Comme éberlué par sa propre performance. «C’est un peu ça… On dit souvent que lorsque quelqu’un va vite, il ne faut pas qu’il cherche à savoir pourquoi. Sinon quand il trouve, ça le crispe. Mais aujourd’hui, j’ai senti sur ce tracé que j’avais une décontraction et un toucher de neige précis, doux, engagé, mais sans en rajouter trop», confie le Neuchâtelois. Il poursuit. «Je savais en m’élançant que Dominique Paris était toujours devant, et je me suis dit: bon on va essayer de s’en rapprocher le plus possible, mais je ne pensais pas pouvoir aller le chercher. Alors lui passer devant de presque sept dixièmes… C’est pour ça que j’ai secoué la tête.»
Après son triomphe à Kitzbühel, le week-end d’avant, Didier Cuche a glissé comme on vole sur la Verte des Houches. Une descente comme une caresse. «Je pense avoir réussi une manche parfaite, sans quitter d’un mètre la ligne que j’ai reconnue le matin», se réjouit le désormais premier Suisse vainqueur à Chamonix. «Wengen lui a fait du bien. Tout le monde l’attendait, lui-même attendait sans doute beaucoup, et il a montré qu’il était là, qu’il était capable d’encaisser le choc. Depuis il skie libéré, remarque Didier Défago, présent dans l’aire d’arrivée. Et dans le passage où il fallait être là, sur la grosse courbe du Rocher blanc, il a fait la différence. C’est là où il gagne la course. Il est vraiment en grande confiance.»
Réponse du skieur des Bugnenets. «C’est sûr que la confiance emmagasinée après une victoire comme cette année à Kitzbühel apporte beaucoup. Mais là je suis en train de me bouger à la limite. Il ne faut pas que j’exagère non plus. Je pense que si vous parlez à Kostelic (Ivica, leader du classement général de la Coupe du monde, ndlr) il vous dira la même chose que moi. On se sent toujours plus fort, plus sûr de soi. On gamberge moins, on réfléchit moins aux trajectoires et quand on y va, ce n’est pas avec le dos de la cuillère. Quand ça passe, ça va très vite. Donc maintenant, à moi de ne pas outrepasser mes propres limites.»
Surprenant leader jusqu’au passage du Neuchâtelois, le jeune Italien Dominik Paris (22 ans) ne cache pas son admiration. «Didier est le No 1. C’est un beau skieur, magnifique à voir sur les skis. Il fait tout parfaitement. Ses lignes sont justes et il parvient toujours à conserver une énorme vitesse.» Pour Beat Feuz, «Didier est le boss». «A Kitzbühel, il a fait une démonstration, c’était exceptionnel. Aujourd’hui je ne l’ai pas vu skier, mais il gagne avec 67 centièmes d’avance. La classe. C’est une chance de l’avoir pour exemple», souligne l’Emmentalois, beau 7e hier – il remplit ainsi les critères de qualifications pour les Mondiaux.*
Celui que l’on appelle désormais «Le patron» – (il rit) «Merci pour le compliment, ça fait toujours plaisir» – avoue avoir analysé les entraînements de Kroell, Walchhofer et Bertrand pour en tirer le meilleur et réaliser ensuite son chef-d’œuvre. Il explique également sa précellence par «un ski qui allait monstre vite». Et salue Chris Krause, son serviceman. «Il a été malade toute la semaine, il est resté chaque matin au lit sauf aujourd’hui (hier), donc je suis vraiment content pour lui aussi. Bosser jusqu’au milieu de la nuit en ayant 39 °C de fièvre et réussir à faire des skis comme ça, c’est juste fantastique! Merci.»
Du leader du classement de la Coupe du monde de descente, l’Autrichien Klaus Kroell, troisième à Chamonix, dit: «Didier était imbattable. Je visais à la limite la deuxième place, mais c’était impossible d’être devant lui. S’il continue à ce rythme, ce sera difficile d’aller le chercher. Mais on ne lui fera pas de cadeau.»
Didier Cuche rétorque qu’il entend bien conserver son dossard rouge. «Je vais continuer de lutter. Maintenant, la prochaine descente sera celle des Championnats du monde. Et avant, il reste encore un super-G et un géant à Hinterstoder, plus le super-G des Mondiaux. Finalement tout va s’enchaîner très vite. Ensuite, il restera les dernières courses de Coupe du monde pour défendre ce maillot rouge jusqu’au bout.»
DEUX NOUVELLES CHUTES
ÉVACUATIONS
Après les crashs de l’Autrichien Mario Scheiber, victime de fractures de la clavicule droite, du nez et d’une pommette, et du Canadian Ryan Semple lors des entraînements, de nouveaux accidents ont marqué la descente de Chamonix. L’épreuve a ainsi été interrompue à deux reprises – la seconde interruption ayant duré quelque 25 minutes – suite aux lourdes chutes de Georg Streitberger, puis de Manuel Osborne-Paradis.
Le premier a pu rentrer avec ses coéquipiers en Autriche après la course et devait passer une IRM dans la soirée. Evacué par hélicoptère, le Canadien souffre quant à lui d’une fracture du péroné gauche et a été transféré à l’Hôpital cantonal de Genève où il doit y subir des examens plus approfondis. La saison est donc terminée pour le skieur de Colombie-Britannique.

Top forttttttttttttttttttttttt

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SKI ALPIN

Dominique Gisin est fin prête pour les championnats du monde


Image © Keystone
Dominique Gisin a dû prendre son mal en patience. La descente de Sestrières a été repoussée à aujourd’hui midi.

Aussi souriante que décidée, la skieuse d’Engelberg (25 ans) rêve d’être sacrée reine des épreuves de vitesse des Mondiaux de Garmisch.
Laurent Guyot - le 29 janvier 2011, 22h54
Le Matin Dimanche
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Le brouillard a opposé son veto. Les filles se sont retrouvées pour une seconde journée consécutive au chômage technique. Pas question de les envoyer sur la Banchetta, cette piste exigeante, difficile et rapide réservée aux garçons lors des Jeux 2006 de Turin, lorsque toutes les conditions de sécurité ne sont pas remplies. Le directeur des courses féminines de la Coupe du monde pour la FIS, Atle Skaardal a attendu le dernier moment pour annuler cette 6e descente de la saison. C’est que les prévisions météorologiques de ces prochains jours sur Sestrières sont peu encourageantes avec des chutes de neige annoncées pour se substituer à la brume. Et que le nouveau programme avec la descente fixée à ce matin à la place du super-combiné (super-G - slalom) est loin d’être garanti. Stefan Abplanalp, l’entraîneur des spécialistes de la vitesse à Swiss-Ski, n’a pas caché son soulagement. «La journée s’est éternisée. Mais il n’y avait rien à faire si ce n’est patienter au restaurant. Pour les filles, c’est difficile de rester de la sorte, de se dire que cela va partir. Mais le brouillard s’est accroché même si nous avons cru au miracle l’espace de quelques minutes.»

Un sport de plein air
Les sept Suissesses engagées dans cette course ont donc pris leur mal en patience. Sitôt l’annulation prononcée, les skieuses se sont contentées de retourner à leur hôtel contrairement à la veille. Avec pour programme un peu de condition physique de façon à ce que leurs muscles répondent présents lors des prochaines courses. Dominique Gisin n’avait pas perdu sa traditionnelle bonne humeur avant de passer à table. «C’est la loi de notre sport et il faut composer avec. Nous ne sommes pas dans une salle. Alors je préfère un renvoi que devoir m’élancer sans rien voir. Du côté des blessures, j’ai déjà donné, merci!» (rires) A 25 ans (elle est née le 25 juin 1985), la skieuse d’Engelberg sait de quoi elle parle. A 20 ans, elle était déjà passée 6 fois sur la table d’opération pour réparer son genou droit (ligaments, ménisques, etc.) Et l’an dernier, une mauvaise chute dans la descente de Haus in Ennstal l’avait empêchée d’arriver aux JO de Vancouver en possession de tous ses moyens. Arrivée directement de Cortina, lundi après-midi, en compagnie de Fränzi Aufdenblatten, la protégée de Stefan Abplanalp ne s’est pas reposée pour autant avant de découvrir, jeudi, le tracé de la descente. «J’ai profité de m’entraîner en slalom. Mardi nous nous sommes retrouvées avec les Américaines. Mais j’ai vraiment connu un grand moment mercredi lors de manches effectuées en la seule compagnie de Lindsey Vonn. Je ne me suis pas mal défendue en regardant la vidéo. Mais nous n’avons pas pris les temps. Je ne suis donc pas en mesure de vous dire combien de secondes j’ai perdu (rires). Mais j’ai retenu la leçon. Même si nous ne nous sommes pas beaucoup parlés. Au boulot, Lindsey demeure peu loquace. Ce qui ne m’a pas dérangée. Je me suis aussi concentré sur ma technique. Cela va peut-être me servir dans le cadre du super-combiné.» Si le slalom ne sera jamais sa tasse de thé, Dominique Gisin revendique son statut de descendeuse émérite. «Je vais à Garmisch avec l’objectif de monter sur le podium. Je me sens de mieux en mieux. Même si j’aurais bien aimé disposer d’une course de plus dans les jambes. Après ma 3e place dans le super-G de Zauchensee, nous nous sommes entraînées deux jours sur la piste des Mondiaux. J’ai pris mes marques. Maintenant, je sais que je dois jouer avec mes skis. Le podium sera à ce prix.»

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FORMULE 1

OFFICIEL Grosjean de retour en F1


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Romain Grosjean
Le pilote suisse qui court avec une licence française revient en formule 1 en tant que troisième pilote chez Lotus Renault.
le 30 janvier 2011, 16h40
LeMatin.ch & les agences
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Romain Grosjean, qui a roulé en F1 pour Renault en 2009, a annoncé son retour dans la discipline en 2011 dans l’écurie Lotus Renault. Le Franco-Genevois officiera comme troisième pilote.
"2011 sera l’année du retour avec un poste de troisième pilote Lotus Renault et une saison complète en GP2 et GP2 Asie avec l’écurie Dams", a expliqué Grosjean sur TF1, qui voit dans cette expérience une passerelle à court terme vers une place de titulaire.
"C’est une marche en avant. Il en reste une, qui n’est pas des moindres, mais j’ai vraiment envie de tout faire pour y arriver et avoir une vraie chance en F1", a poursuivi Grosjean, dont l’expérience pour Renault en 2009, au volant d’une voiture sous-performante, s’était avérée très décevante.
Il n’avait marqué aucun point lors des sept Grands Prix qu’il avait disputés, s’accidentant parfois, quand dans le même temps son prestigieux coéquipier d’alors, le double champion du monde espagnol Fernando Alonso, n’en avait inscrit que 13.

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ski

Coupe du monde de saut: nouveau podium d’Ammann


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Simon Ammann fait preuve d’une régularité réjouissante à l’approche des Mondiaux d’Oslo. Il a pris la 3e place de l’épreuve au grand tremplin de Coupe du monde à Willingen, remportée devant son public par l’Allemand Severin Freund.
le 30 janvier 2011, 17h32
LeMatin.ch & les agences
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Déjà victorieux à Sapporo il y a quinze jours, Freund, 22 ans, a ajouté un deuxième succès à son palmarès en conservant une mince avance de 2,2 points sur l’Autrichien Martin Koch (2e), après avoir dominé la 1re manche avec 143,5 m.
Ammann, avec des sauts de 143 et 140,5 m, finit à 4,6 points. Le Saint-Gallois a la satisfaction de devancer l’Autrichien Thomas Morgenstern, 4e, qui compte toutefois encore environ 400 points d’avance sur lui au général de la Coupe du monde.

Cinquième, le jeune Autrichien Gregor Schlierenzauer, blessé avant la Tournée des Quatre-Tremplins, amorce un retour intéressant qui le replace parmi les prétendants aux deux titres mondiaux individuels décernés à Oslo dans un mois. D’une manière générale, la situation s’annonce assez ouverte, aucun sauteur ne dominant vraiment comme en début de saison.

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Coupe du monde de ski

Victoire et petit globe pour Kostelic à Chamonix


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Le Croate Ivica Kostelic a remporté dimanche le super-combiné de Chamonix, sa 18e victoire en Coupe du monde de ski alpin et surtout la 7e en janvier qui lui permet de remporter la Coupe de la discipline et de conforter sa 1re place au général.
le 30 janvier 2011, 15h56
LeMatin.ch & les agences
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En 2 min 57 sec 12/100, Kostelic a devancé son compatriote Natko Zrncic-Dim et le Norvégien Aksel Lund Svindal, à 51 et 53/100e.
Au bout d'un formidable mois, Kostelic compte désormais 475 points d'avance au classement général sur le Suisse Silvan Zurbriggen, cinquième à 1 sec 51.
Seulement 24e à l'issue de la descente matinale, Kostelic, 31 ans, a bénéficié d'une piste propre pour affirmer nettement sa suprématie entre les piquets serrés.
Zrncic-Dim, l'autre Croate, s'est rappelé au bon souvenir de ses adversaires à une semaine du début des Mondiaux à Garmisch-Partenkirchen (Allemagne). En 2009, il avait conquis la médaille de bronze dans l'épreuve combinée à Val d'Isère.
Premier Français, Thomas Mermillod-Blondin s'est classé 17e à 2 sec 99.
Troisième temps de la descente, Johan Clarey a été éliminé en slalom après un bonne entame.

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open d'australie

Djokovic: "Je vis le rêve de tout joueur de tennis"


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Le Serbe Novak Djokovic, N.3 mondial, a assuré vivre "le rêve de tout joueur de tennis", après avoir remporté successivement la Coupe Davis en décembre, puis l’Open d’Australie dimanche en battant en finale le Britannique Andy Murray.
le 30 janvier 2011, 15h17
LeMatin.ch & les agences
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Q: Quelle note donnez-vous à votre match?
R: "C’était un grand match. Du début jusqu’à la fin, j’ai fait ce que je voulais faire tactiquement. Physiquement je me sentais très bien. J’ai eu deux jours entre ma demi-finale et la finale, ce qui était très important à ce stade de la compétition. Car je savais qu’il y aurait de longs échanges et qu’en face j’affronterai un joueur qui ne rate pas grand chose, un joueur très talentueux, l’un des meilleurs retourneurs du monde. Donc il fallait que je rentre dans le court, c’était la clé. Quand j’ai eu cette occasion, je l’ai saisie, pour le faire bouger sur le court. Le tournant du match a probablement été dans le dernier jeu du premier set, quand nous avons eu ces échanges incroyables de la ligne de fond de court. Quand on a un set d’avance, tout devient différent."
Q: Avez-vous senti que rien ne pouvait vous arriver ce soir?
R: "D’une certaine manière j’ai ressenti que je pouvais sauver toutes les balles et passer rapidement d’un jeu défensif à un jeu offensif. J’ai bien su utiliser mon service dans les moments cruciaux pour m’ouvrir le court. J’ai été patient quand il l’a fallu. J’ai essayé de changer de rythme car je sais qu’il aime être celui qui contrôle le match. Et je ne voulais pas le lui permettre."
Q: Le fait d’être ami avec Murray vous a-t-il incité à la réserve quand vous avez gagné?
R: "Ce n’était pas facile, bien sûr. Je comprends ce qu’il ressent. C’est la troisième finale qu’il dispute sans gagner le titre. C’est dur. Mais j’ai vraiment beaucoup de respect pour lui et son jeu et je pense qu’il a tout ce qu’il faut pour remporter un tournoi du Grand Chelem. A mon avis, très bientôt."
Q: Quelle est la différence entre le Djokovic vainqueur en 2008 et celui de 2011?
R: "Je me sens plus expérimenté. Je suis aussi meilleur car plus fort physiquement, plus rapide et encore plus motivé sur le court. Je sais comment réagir à certaines situations et comment jouer aux stades les plus hauts de la compétition."
Q: Vous avez eu un début de saison 2010 difficile et puis à partir de l’US Open, tout à changé. Comment l’expliquez-vous?
R: "J’ai eu un déclic dans ma tête. Je suis quelqu’un d’assez émotif en dehors et sur le court, je montre mes émotions, je suis comme ça. Ca ne marchait pas en dehors du court pour moi et cela se ressentait sur mon jeu, sur ma carrière professionnelle. J’ai réussi à résoudre ce problème extra sportif. J’ai mis au clair certaines choses dans ma tête. J’ai essayé de trouver la meilleure solution pour me mettre sur la bonne voie. Surmonter cette crise, faire face et me consacrer au sport a été un grand succès pour moi."
Q: Est-ce la meilleure période de votre vie?
R: "Sur le court, oui. Un titre de Coupe Davis, puis un autre titre en Grand Chelem. Je vis le rêve de tout joueur de tennis. C’est le meilleur début de saison possible, même si je n’ai pas eu beaucoup de temps de repos."

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Super-combiné: Beat Feuz devant après la descente


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Le jeune Suisse Beat Feuz, déjà 7e la veille de la descente, a réalisé dimanche le meilleur chrono de la descente du super-combiné de Chamonix, comptant pour la Coupe du monde de ski alpin.
le 30 janvier 2011, 13h40
LeMatin.ch & les agences
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En 1 min 59 sec 97/100e, Feuz, bientôt 24 ans, a devancé le Norvégien Aksel Lund Svindal, de 8/100e, et le Français Johan Clarey, de 42/100e.
Large leader de la Coupe du monde générale, le Croate Ivica Kostelic a perdu 2 sec 50/100e.
Cette saison, l’épreuve de vitesse du super-combiné se déroule sur toute la longueur de la piste.
Dans l’optique de la manche du slalom, dont le départ est prévu à 14h00 locales (13h00 GMT), Svindal est idéalement placé pour l’emporter. Kostelic, de loin le meilleur entre les piquets serrés en l’absence du Français Jean-Baptiste Grange, reste néanmoins en course pour le podium.
Le skieur de Zagreb a dominé le super-combiné de Wengen (Suisse), le 14 janvier, et le combiné classique de Kitzbühel (Autriche) dimanche dernier.
Vainqueur de la descente samedi, le Suisse Didier Cuche ne participe pas au super-combiné.

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Et de 2 pour Novak Djokovic!


Le Serbe Novak Djokovic a remporté l'Open d'Australie de tennis en battant en finale le Britannique Andy Murray dimanche à Melbourne.

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Djokovic, 3e joueur du monde, décroche son deuxième succès en Australie, et c'est aussi sa 2e victoire dans un tournoi du Grand Chelem.

Novak Djokovic a dominé de bout en bout Andy Murray, 5e mondial, qu'il a battu en trois sets 6-4, 6-2, 6-3 en 2 heures 39 minutes de jeu seulement. Il n'aura perdu qu'un seul set en 7 rencontres à Melbourne. Le Serbe, 23 ans, avait remporté l'Open d'Australie en 2008.

Andy Murray manque sa troisième tentative de devenir le premier britannique depuis Fred Perry en ... 1936 à l'US Open à décroché un titre du Grand Chelem. L'Ecossais avait été battu en finale de l'US Open en 2008 et en finale, déjà, à Melbourne en 2010, par le Suisse Roger Federer. (belga)



Joli coup Nole......