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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
08/02/2011, 23h15
Citation:
Envoyé par danlos
La gazzetta a fait une reconstruction en image de synthèse de l'accident de Kubica, c'est impressionnant de voir comme le rail explose, c'est censé sauver des vies, pas tuer les gens car là le Bob peut s'estimer heureux
http://video.gazzetta.it/formula-1-i...7-50d5df2bfa64
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Le copilote a aussi eu une chance incroyable, il a à peine été touché
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Premiere chute
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
08/02/2011, 23h33
Citation:
Envoyé par danlos
La gazzetta a fait une reconstruction en image de synthèse de l'accident de Kubica, c'est impressionnant de voir comme le rail explose, c'est censé sauver des vies, pas tuer les gens car là le Bob peut s'estimer heureux
http://video.gazzetta.it/formula-1-i...7-50d5df2bfa64
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rail simple!!!un double rail(motard)aurait-il fait mieux?
en tout cas,ils ont eu de la chance,malgré tout!!!!
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
09/02/2011, 05h46
football
Messi contre Ronaldo: duel au firmament
Image © Keystone
Messi et Ronaldo
La planète football fixera ce soir (21 h) le Stade de Genève pour admirer Messi et Ronaldo. Deux artistes sous la loupe.
Mathieu Aeschmannn - le 08 février 2011, 22h41
Le Matin
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Match amical
Genève
Rarement match de football n’aura pareillement été réduit à l’expression de deux solistes, aussi géniaux soient-ils. Cristiano Ronaldo et Lionel Messi ont pris rendez-vous ce soir sur la pelouse du Stade de la Praille. Et l’aura qui accompagne les deux derniers Ballons d’or enveloppe d’un voile d’anonymat les autres acteurs de cette rencontre de gala.
«Leo et Cristiano sont deux joueurs d’exception, mais nous préparons un Portugal - Argentine, rappelle Javier Pastore dans un sourire. Regardez la composition des équipes. La qualité des effectifs promet un spectacle de haut vol.» Encore épargné par les dérives de la starification, le génial milieu de terrain de Palerme a hier longuement et calmement rappelé le caractère collectif de ce rendez-vous amical. Le Portugal et l’Argentine présentent en effet deux formations équilibrées qui ont su se reconstruire intelligemment sur les ruines d’un Mondial au goût d’inachevé.
Vainqueurs de l’Espagne
Preuve de ce renouveau incarné par les sélectionneurs Paulo Bento et Sergio Batista, chacune des deux nations s’est relevée en passant la bagatelle de quatre buts aux champions du monde espagnols. Si vous ajoutez des individualités de la trempe de Nani, Meireles, Di Maria ou Pastore, les raisons sont multiples de saliver à l’approche de cette rencontre.
Et pourtant, rien y fait. Du haut de leur piédestal, Cristiano Ronaldo et Lionel Messi concentrent toutes les spéculations, récoltent la moindre louange. Une avalanche de superlatifs qui invite forcément à la comparaison. En commun, le lutin de Barcelone et l’éphèbe du Real Madrid possèdent cette inestimable faculté de débloquer un match et d’enivrer les foules. Un constat unanime qui ne doit pour autant pas masquer leurs différences.
Dribble petits espaces ou coup de reins
Dans un football moderne aux confins de la maturité tactique, la capacité à éliminer l’adversaire direct devient capitale. Du coup, les deux meilleurs joueurs du monde sont forcément deux dribbleurs hors pair. «Messi est un dribbleur à l’ancienne qui aime les petits espaces et les fausses pistes. Il est le football de rue, admire João Alves. Ronaldo élimine davantage dans la profondeur grâce à sa puissance et sa vitesse.» Une opposition confirmée par Oscar Acosta, sélectionné albiceleste lors de la Copa America 87. «Ronaldo utilise surtout sa vitesse alors que Messi possède ce mélange incroyable de technique et d’explosivité.»
Jeu de tête cet ennemi apprivoisé
Comme tous les esthètes du ballon, Cristiano Ronaldo et Lionel Messi ont dû apprendre à aimer le jeu de tête. «Dans ce domaine, les prédispositions physiques sont trop importantes, rappelle Oscar Acosta. Ronaldo est plus grand, donc plus fort. Mais attention, Messi a marqué en finale de Ligue de champions dans la lucarne et les yeux ouverts. Ce n’est pas rien.» Une exécution magistrale qui ne suffit pas à enlever le leadership du Portugais dans ce domaine. «Cristiano marque beaucoup de la tête, souligne Alves. C’est un garçon qui aime travailler et, à Manchester, il a logiquement énormément progressé dans ce secteur.»
Rigueur défensive un sacrifice obligé
La vérité tombe sous le sens, mais elle fait plaisir à entendre. «Avec deux joueurs de cette qualité offensive, le replacement devient secondaire, admet João Alves. Et pourtant Cristiano Ronaldo peut se targuer d’être un bon premier défenseur. Le mérite en revient à ses entraîneurs qui ont su lui inculquer cette valeur.» Un souci du premier filtrage que Lionel Messi partage par à-coups, comme ce week-end en championnat. «Il marque trois buts puis revient prendre le ballon dans les pieds d’Agüero à la 85e minute, s’enflamme un Oscar Acosta admiratif. Mais je reconnais que Ronaldo travaille plus défensivement.»
Frappe précision contre fulgurance
«Cristiano Ronaldo possède une frappe clairement plus puissante que Messi, souligne l’entraîneur portugais du Servette. Il a développé un style qui optimise la légèreté des ballons actuels et rend leurs trajectoires illisibles. Rien à voir avec Messi dont le shoot est plus raffiné.» Souvent plus près du but adverse, l’Argentin enroule volontiers ses ballons quand le Portugais frappe plus loin et du coup de pied, selon la «technique de la cuillère». «Du coup Ronaldo arrose parfois le public, observe Acosta, ce qui n’arrive pratiquement jamais à Messi. C'est simple, Leo est si précis qu’il cadre pratiquement tout le temps.»
Le souci du collectif partager son génie
Adulés pour leurs particularismes, les génies peuvent s’attirer les foudres s’ils sacrifient le collectif au profit de leurs caprices. «Ronaldo présente des tendances à l’individualisme, détaille Oscar Acosta. Messi cherche d’abord un coéquipier puis décide de partir seul s’il ne l’a pas trouvé. Alors que le Portugais peut s’empaler dans une défense et oublier ses camarades». Un jugement que ne partage pas João Alves. «Les deux joueurs ont su mettre leur talent au service du groupe. Cristiano a énormément progressé dernièrement sur cet aspect du jeu. Grâce notamment à Mourinho et à Bento pour qui il est devenu un véritable leader en sélection.»
L’instinct pour le plaisir du jeu
«Cristiano Ronaldo est l’expression moderne du talent, résume João Alves. Mais même si je suis Portugais, Messi représente un football qui m’est cher: intelligent, inspiré, presque à l’ancienne. Leo incarne le contraire du professionnel fabriqué. Il me fait penser à Maradona, à Zico ou à Cruyff.»
Un concert de louanges forcément repris par Oscar Acosta. «Ronaldo est un athlète plus complet. Mais Messi est un diable du football. Il réalise des choses dont on rêve tous. Pour moi, il vole un ciel au-dessus de Ronaldo.»
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
09/02/2011, 05h48
SKI ALPIN
Cuche et Janka peuvent le faire
Image © Yvain Genevay
Carlo Janka et Didier Cuche abordent la compétition avec des atouts différents, mais qui peuvent les amener l’un et l’autre sur le podium.
Le Neuchâtelois et le Grison disposent de tous les atouts dans leur jeu pour s’offrir, aujourd’hui, le titre du super-G.
Laurent Guyot - le 08 février 2011, 21h38
Le Matin
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A gauche, au bas de la petite bosse menant aux cabines de la Kreuzeck, Didier Cuche, un ski dans la main, pédale dans le gros sel. Au terme des 45 minutes autorisées pour jauger la Kandahar, le Neuchâtelois rejoint les techniciens de Head pour évoquer les derniers réglages. A droite, sur le parvis menant à l’installation, Carlo Janka, sourire aux lèvres, prend la pose aux côtés de supporters tout heureux de l’aubaine. Sous un soleil resplendissant, le décor est planté. Le champion du monde de super-G et le vainqueur du classement général de la Coupe du monde préparent à leur manière leur premier rendez-vous. Sans oublier qu’ils possèdent, tous les deux, au minimum trois cartes majeures dans leurs mains. Des atouts qui peuvent, doivent même, les amener sur ce podium convoité autant par Aksel Lund Svindal, le champion olympique de la spécialité à Whistler Mountain, que Bode Miller, Benjamin Raich et Ivica Kostelic.
Didier Cuche
L’expérience: «Je ne vais rien changer à la préparation. Il n’y a aucune raison. Ce qui a bien marché jusqu’ici doit continuer à bien fonctionner. Après, c’est aussi pour beaucoup une question de réussite le jour J.»
La confiance: «Ça aide quand même d’avoir gagné deux courses cette saison. Qui plus est Kitzbühel et Chamonix d’une manière qui a, apparemment, marqué pas mal de monde.»
La détermination: «La différence entre faire juste et partir à la faute est minime. Je me dois de m’approcher au plus près de la limite sans basculer du mauvais côté. Comme il n’y a pas de points de Coupe du monde en jeu, il faudra se lâcher complètement et emmener du bon ski du haut en bas de la piste.»
Carlo Janka
La décontraction: «Les championnats du monde, c’est quelque chose de spécial, bien sûr. Cela ne veut pas dire qu’il y a un secret pour bien s’y préparer. De nature, je suis quelqu’un de calme. Je pense pouvoir garder mon sang-froid même dans ce contexte.»
La fraîcheur: «Les breaks effectués à Bormio (descente) et Chamonix (descente et super-combiné) m’ont fait le plus grand bien. Compte tenu de mon mauvais début de saison, c’était la meilleure décision. Les résultats d’Hinterstoder (4e en super-G, 3e en géant) le prouvent.»
Le talent: «Je n’ai pas perdu mon ski depuis la saison dernière. Le nouveau matériel est désormais au point. Le temps joue en ma faveur. Je me sens capable de jouer la gagne ici. Mais je ne peux quand même pas vous dire si je vais monter sur le podium en super-G, en descente ou en géant.»
Paroles d’experts
Je vois Bode Miller gros comme une maison. Il est en forme. Sur une telle piste, il faudra de l’expérience, du courage et de la vitesse. Bien sûr je n’oublie pas non plus Cuche et Janka.
Piero Gros
Champion olympique de slalom en 1976, consultant pour la TSI
Je ne suis pas sorcier sans quoi je mettrais un Autrichien devant. La liste des favoris est longue avec Svindal, Cuche, Janka, Reichelt et Raich. Si je dois garder un nom, je vote Didier Cuche.
Peter Schröcksnadel
Président de la Fédération autrichienne de ski
Vous allez croire que c’est parce que vous me posez la question. Mais je vois bien Didier Cuche. Vu l’état de la piste, je vois un guerrier doublé d’expérience et de courage.
Antoine Dénériaz
Champion olympique de descente 2006, consultant pour France Télévisions
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
09/02/2011, 19h31
Voile
Coupe de l'América: les frères Peyron lancent un deuxième défi français
Image © KEYSTONE
Loïck Peyron
Un deuxième défi français pour la Coupe de l’America "Energy Team" a été lancé par les frères Bruno et Loïck Peyron avec le soutien du Yacht Club de France (YCF).
le 09 février 2011, 16h17
LeMatin.ch & les agences
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Les frères Peyron lancent un deuxième défi français avec le soutien Yacht Club France (YCF). Mais aucun détail n’a été fourni sur son financement. Une autre équipe française, ALEPH, avait annoncé en décembre dernier être enregistrée comme challenger officiel. ALEPH est soutenue par la Fédération française de voile (FFV) et a obtenu le statut officiel d’"Equipe de France pour la 34e America’s Cup".
La Coupe de l’America, c’est l’une des plus anciennes compétitions sportives au monde (née en 1851), le Graal de tous les marins. Depuis février 2010 et un duel aussi bref qu’historique contre le défi suisse Alinghi à Valence (Esp), elle est la propriété du milliardaire américain Larry Ellison, cofondateur de la firme Oracle, spécialisée en système de gestion de base de données.
Après avoir -à deux exceptions près- toujours été courue en monocoques, la "Cup" va désormais se disputer avec des catamarans de 72 pieds (environ 22 m) à aile (voile) rigide, les AC72.
La prochaine édition aura lieu du 7 au 22 septembre 2013 à San Francisco (Californie, Etats-Unis). Le détenteur du prestigieux trophée, Oracle, sera opposé au vainqueur de la Coupe Louis Vuitton, une série de régates destinées à sélectionner le meilleur prétendant. Mercredi, Bruno Peyron a présenté Energy Team, un défi "porté" par le Yacht Club de France et dont le but est de "fédérer le savoir-faire français, avec lucidité et sans arrogance". Il n’a pas fourni d’indication sur le budget dont il comptait disposer, ajoutant toutefois qu’il fallait "entre 60 et 75 millions d’euros (80 à 110 millions de francs) sur trois ans" pour avoir une chance d’emporter la très convoitée aiguière d’argent.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
09/02/2011, 19h33
Ski alpin
Cuche rate le podium, l'Italien Innerhofer remporte le super-G
Image © Keystone
L'Italien Christof Innerhofer a remporté le super-G.
A Garmisch, Christof Innerhofer (Ita) a remporté mercredi le super-G, Hannes Reichelt (Aut) est 2e, Ivica Kostelic 3e. Dider Cuche échoue au pied du podium, Carlo Janka est 7e.
le 09 février 2011, 12h27
LeMatin.ch & les agences
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La réussite continue de fuir les Suisses aux Mondiaux de Garmisch (All). Après Lara Gut mardi, c’est Didier Cuche qui a échoué à la quatrième place du super-G, remporté Christof Innerhofer.
Seul l’Italien, facile vainqueur avec six dixièmes d’avance, est parvenu à dompter l’exigeant tracé du Kandahar. Les autres s’y sont cassé les dents. Cuche le reconnaît lui-même: "Aujourd’hui, on s’est tous sentis faibles", a-t-il confié. "La piste est très dure, bosselée et le 95% se passe dans l’ombre. Cela secoue beaucoup et il est difficile de tenir les trajectoires. Je n’étais pas loin de subir la piste", a continué celui qui était tenant du titre.
A 31 centièmes de la médaille de bronze, Cuche ne s’est pas formalisé. "En 15 ans, j’ai pris l’habitude de prendre des 4es ou 5es places", a lâché le Neuchâtelois, déjà en "chocolat" lors des joutes à Are (Su) en 2007 (super-G) et à St-Moritz en 2003 (descente). "On joue, puis on gagne ou on perd. Et aujourd’hui, je fais partie des perdants", a-t-il philosophé.
A l’instar de Cuche, Carlo Janka (7e) a reconnu ses limites sur la Kandahar. "Cela a été un combat pour ne pas chuter. Dès la mi-course, j’ai manqué de force", a raconté le Grison, qui a même laissé entendre qu’il pourrait zapper descente et super-combiné si les conditions restaient les mêmes. Les trois autres Suisses, Silvan Zurbriggen (13e), Sandro Viletta et Tobias Grünenfelder (tous deux éliminés), n’ont pas non plus trouvé la clef.
Innerhofer s’inspire de Miller
Sur cette piste très accidentée, il n’est pas si étonnant de retrouver Innerhofer au premier rang. L’Italien de 24 ans s’est fait une spécialité de briller lors des courses qui relèvent presque du rodéo, comme à Bormio en descente par exemple (1er en 2008, 3e en 2010).
Pour s’offrir la médaille d’or, le coureur de Brunico s’est inspiré de Bode Miller, miraculeusement classé à la 12e place après avoir perdu un bâton, multiplié les acrobaties et terminé son pensum debout. "Avant de partir, j’ai regardé le passage de Miller. Il a tout risqué et j’ai pensé qu’il fallait l’imiter", a-t-il relevé. "C’était mon jour et c’était ma course", a-t-il ajouté.
Le deuxième Italien à être sacré en super-G (après Patrick Staudacher en 2007) a aussi pris une revanche sur le sort. "L’or me réjouit d’autant plus que j’ai souvent frôlé les médailles, aux Mondiaux de Val d’Isère (4e) ou aux JO de Vancouver (6e)", a-t-il rappelé.
Des vacances en bronze
Dauphin de Innerhofer, Hannes Reichelt a également décroché sa première médaille. Mais non sans souffrance. "La course était très longue et j’ai été terriblement secoué. Après dix fautes, j’ai arrêté de les compter", a relevé l’Autrichien.
Le bronze est revenu à Ivica Kostelic. En arrivant à Garmisch, le Croate avait affirmé qu’il considérait ces Mondiaux comme des vacances, la Coupe du monde restant son objectif no 1 de la saison. Pas question toutefois de s’élancer en touriste sur la Kandahar. "Cela a été la course la plus difficile de ma carrière. J’y suis allé avec tout mon coeur. En revanche, mon dos et mes genoux vont sûrement en pâtir", a estimé le vétéran de 31 ans.
Tous ces coureurs devront à nouveau en découdre jeudi avec la Kandahar pour le premier entraînement de la descente. Malgré son manque de réussite en super-G, Cuche reste le grand favori pour l’épreuve reine de samedi. "En super-G, je connais une saison en dents de scie. En revanche, je me sens tellement bien en descente que je pense que cela va faire la différence", a-t-il promis.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
09/02/2011, 19h34
Cyclisme
Cancellara sur le dopage de Ricco: «Qu'on l'envoie sur la lune!»
Image © KEYSTONE
Fabian Cancellara
De nombreux coureurs présents sur le Tour du Qatar ont condamné fermement mercredi l'attitude de l'Italien Riccardo Ricco, hospitalisé dimanche pour un malaise dû à une autotransfusion. Ils souhaitent ne plus le revoir en compétition.
le 09 février 2011, 13h13
LeMatin.ch & les agences
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"Il y a des limites à tout. Riccardo les a largement dépassées", a expliqué le champion d'Italie Giovanni Visconti "pas très étonné" par ce qui arrive.
Ricco, déjà suspendu 20 mois pour dopage en 2008, a spectaculairement replongé en admettant s'être transfusé son propre sang qu'il gardait dans son frigo depuis 25 jours, ce qui l'a conduit à l'hôpital.
"Dommages énormes"
"Au revoir Riccardo, tu ne nous manqueras pas", a ironisé son compatriote Manuel Quinziato (BMC), à propos de la radiation à vie qui menace Ricco.
Le coureur risque de trois mois à trois ans de prison civilement, et sportivement la radiation pour récidive.
"Les dommages que Ricco causent au cyclisme sont énormes", s'est plaint un autre Italien, Filippo Pozzato (Katusha). "Riccardo va de nouveau faire du cyclisme un synonyme de dopage. C'est terrible pour notre sport. Qu'on le remette sur pied puis qu'on l'envoie sur la lune", a proposé le Bernois Fabian Cancellara.
L'ancien grand champion Eddy Merckx a réagi à l'affaire Ricco par un long silence puis un long soupir très parlants. Le Belge Leif Hoste "pas surpris par Ricco", espère que "le public fera une différence entre ce cas exceptionnel et la majorité des coureurs qui font leur métier loyalement."
Pour le directeur sportif d'HTC-Highroad, l'Italien Valerio Piva, Ricco est "malade" et "ne mérite plus de deuxième chance."
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
09/02/2011, 21h45
Citation:
Envoyé par Norton
football
Messi contre Ronaldo: duel au firmament
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On ne joue plus à 11 contre 11 au foot ?
"Même si cela ne se passe pas ici. Cela ne veut pas dire que cela ne se passe pas. "
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
10/02/2011, 06h12
sKI aLPIN
Le combat perdu de Didier Cuche
Image © Keystone
Didier Cuche a dû se battre contre une piste extrêmement glacée et bosselée pour terminer à une seconde pleine du vainqueur. Pour autant, le Neuchâtelois n’est pas abattu. Il sait qu’il peut renverser la vapeur lors de la descente.
Champion du monde de super-G à Val-d’Isère en 2009, le Neuchâtelois goûte au chocolat faute d’avoir dompté les difficultés du tracé.
Laurent Guyot - le 09 février 2011, 20h53
Le Matin
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Championnats du monde
Son hochement de tête suffit à comprendre son scepticisme. Il est 11 h 40 au pied de la Kandahar et Didier Cuche prend acte de sa défaite. Christof Innerhofer pointe une bonne seconde devant lui. Récent vainqueur surprise à Hinterstoder, Hannes Reichelt le devance de 4 dixièmes. Ce qui ne l’empêche pas d’enflammer le public avec le traditionnel double salto de son ski droit. Le dossard No 18 sait déjà que son podium tient à un fil. Parti juste derrière lui, Ivica Kostelic ne lui laisse même pas le temps de croire à un accessit. Comme la veille pour Lara Gut, le chocolat est servi chaud sur un plateau sous l’éclatant soleil bavarois.
Pas le bon timing
Rechangé et remis de son effort, le skieur des Bugnenets s’approche des journalistes et lance à la cantonade un «essayé, pas pu!» sonore. De son combat livré à une piste bosselée et glacée à souhait, Didier Cuche en parle avec sa lucidité coutumière. «Avec un jour blanc et des bosses à la pelle, il est ardu de tenir des trajectoires et de produire des appuis précis et efficaces. Je n’ai jamais trouvé le bon timing. D’ailleurs, il s’en est fallu de peu que je me retrouve par terre juste après le départ. La carre extérieure a croché. Tout est donc parti à rebours. Et à la 4e porte, j’ai déjà pris bien large. Ce manque de vitesse dans la partie du haut est venu me coûter une médaille. Pour conserver mon titre, il aurait fallu produire un tout autre ski et accélérer dans les courbes. Ce n’est pas dans mes habitudes, mais je n’étais pas loin de subir la piste.»
Une confiance intacte
Quatrième d’une course spectaculaire à souhait, le Neuchâtelois refuse de jouer au Calimero de service. «En quinze ans de carrière, j’ai déjà pris l’habitude d’aligner quelques 4e et 5e places. A mes yeux, cela ne change rien. Je ne suis pas plus déçu que ça. J’ai joué et j’ai perdu. Mais sur la liste du jour il y a beaucoup de perdants. Je suis en bonne compagnie. Ce qui ne m’empêche pas de regarder devant moi.» De penser à une descente prévue, en principe, samedi, où le maître de Kitzbühel et de Chamonix peut espérer garder la main. «Il me faudra être bien engagé lors du premier test chronométré. Avec la pluie et le chaud annoncés vendredi ou samedi, il s’agira de prendre tout de suite ses marques. Je ne me fais pas de souci pour tout autant. Depuis le début de la saison, je me suis senti si bien sur les skis de descente que cela va faire la différence. Et c’est sûr que cette confiance me rendra service lors de la course.»
Question popularité, Didier Cuche n’a aucun adversaire
Ovationné à son arrivée au bas de la Kandahar, encerclé par une foule avide de photos et d’autographes lorsqu’il tente de quitter les lieux, Didier Cuche a eu les honneurs du vainqueur malgré sa médaille en chocolat. Car à Garmisch comme ailleurs – Kitzbühel, Chamonix, Wengen –, le Neuchâtelois déchaîne les passions. Plus qu’aucun autre skieur. «Chaque fois, c’est fou», confie son frère Alain, présent hier dans les tribunes avec son épouse et ses parents. «Nous venons d’une région qui n’a pas forcément cette culture du ski, comme ils l’ont dans l’Oberland ou aux Grisons. Et voir qu’en venant de là, Didier arrive à être pareillement populaire, c’est juste incroyable.» Alain Cuche (aux côtés de son épouse, Sandra) voit arriver des dizaines de demandes d’autographes chaque jour. De Suisse – «Enormément de la Suisse alémanique, où l’humour de Didier est particulièrement apprécié.» – et, de plus en plus, de l’étranger. Comment explique-t-il la popularité de son frère? «Son histoire avec Kitzbühel fait sans doute beaucoup. Mais outre ses résultats, le côté humain joue aussi. C’est un guerrier sur la piste, mais il est aussi très émotif, empathique. Je pense aussi que les gens l’aiment parce que dans l’aire d’arrivée il vit les choses. Il partage et joue avec le public.»
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
10/02/2011, 06h14
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Innerhofer gagne son pari
Image © Keystone
«Comme en football, l’attaque c’est la meilleure défense», constate l’Italien.
En s’élançant avec de nouvelles chaussures testées lors du ski libre, l’Italien de 26 ans a fait le bon choix vers le titre du super-G.
Laurent Guyot - le 09 février 2011, 22h41
Le Matin
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Championnats du monde
Plié en deux, Christof Innerhofer récupère sans entendre l’ovation de la foule. Tente d’oublier la douleur et ses cuisses qui brûlent. Le temps de relever la tête et de voir son nom en tête du classement, le citoyen de Brunico prend conscience de sa performance. De la possibilité avec son No 15 d’être l’homme du jour malgré l’arrivée du top 7 de la liste mondiale du super-G. La suite lui donnera raison.
Même s’il souffrira encore plus que sur la piste en suivant sur le grand écran les vaines tentatives des Janka, Cuche, Kostelic et Svindal. Chocolat (4e) pour 5 centièmes à Val-d’Isère lors des championnats du monde 2009, le Sud-Tyrolien, jamais vainqueur d’un super-G de Coupe du monde, a pris une belle revanche grâce à une manche quasi parfaite.
Une motivation permanente
Trois heures plus tard et après quelques coupes de Prosecco dégustées avec son fan-club, Christof Innerhofer parle de son parcours, de cette réputation de champion du monde des descentes d’entraînement lui collant à la peau. «Cette fois, je suis un vrai champion du monde. Pourtant, je dois bien le reconnaître. Je n’ai pas pensé au titre avant de m’élancer. Bien sûr on part toujours avec la volonté de donner le meilleur de soi-même. Mais pour monter sur la plus haute marche du podium, il faut que tous les ingrédients soient réunis en même temps.» Tous ces détails qui comptent et qui vont changer la vie d’un homme heureux d’avoir réalisé son rêve d’enfant.
«Dès la première poussée, je me suis senti à l’aise sur cette piste. En dépit des difficultés proposées, de l’ombre, de ce revêtement bosselé, glacé, j’ai réussi à rester décontracté. Je me suis motivé en me parlant dans chaque passage-clé. Et j’ai réussi à accélérer dans chaque courbe et à garder la vitesse. Comme en football, l’attaque, c’est la meilleure défense.»
Le coup de poker
Un style offensif pour lequel le Transalpin s’est décidé la veille déjà lors du ski libre. «A Kitzbühel et à Hinterstoder, j’avais passé à côté de mes courses. Je me suis mis à chercher de tous les côtés afin de trouver une solution. Mardi, lors des manches de ski libre sur la piste, j’ai testé de nouvelles chaussures. Je me suis tout de suite senti bien mieux. Alors j’ai décidé de les utiliser aujourd’hui ( ndlr: hier). Ce coup de poker, je ne suis pas près de le regretter.»
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