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J-B Grange de slalom......

Superbe victoire amplement méritée cocoricoooooooooooooooooBRAVOOOOOOOOOOO OOOOOOOOOOOOOOO

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Envoyé par Norton

J-B Grange de slalom......

Superbe victoire amplement méritée cocoricoooooooooooooooooBRAVOOOOOOOOOOO OOOOOOOOOOOOOOO

:a moureux2:

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Grange: «Je mérite cette médaille»


Image © Keystone
De retour au premier plan depuis quelques semaines après une longue absence, Jean-Baptiste Grange a assumé brillamment son statut de favori, décrochant la première médaille d’or de sa carrière.

Souvent malchanceux lors des grands événements, Jean-Baptiste Grange a finalement réussi à conjurer le sort.
Gaëlle Cajeux - le 20 février 2011, 22h53
Le Matin
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Championnats du monde
A ceux qui ne voyaient en lui qu’un bon skieur au mental chancelant sous la pression des grands événements, Jean-Baptiste Grange a prouvé hier qu’il est bien un champion. De la trempe des plus grands. Victorieux à Kitzbühel et à Schladming, le Français arrivait à Garmisch en favori. «Du coup j’étais très attendu et je devais faire mon boulot.» Il l’a réalisé avec son style, unique, tout en finesse, malgré une piste défoncée. «C’est le ski, il faut oser, il faut y aller.» Il a ainsi offert à la France son premier titre mondial depuis celui de Michel Vion en 1982.
Tout près de craquer
Dans le mur de la Gudiberg, Jean-Baptiste Grange a volé pour remporter la première manche. «Mais, dans la seconde, il y avait une tension supplémentaire et j’étais un peu moins à l’aise sur les skis.» Mais encore assez pour franchir la ligne d’arrivée, avec 43 centièmes d’avance sur le Suédois Jens Byggmark et 61 sur l’Italien Manfred Moelgg. «Ce n’était pas un slalom de Championnats du monde facile, ce n’était déjà pas le cas à Val-d’Isère en 2009. C’est vrai que ces pistes raides font partir beaucoup de monde à la faute. Alors je suis content d’avoir été fort aujourd’hui, d’avoir été la chercher, cette victoire. Ce n’était pas évident, entre les deux manches j'étais à deux doigts de craquer nerveusement. Il a fallu que je reste vraiment dans ma course et tout le temps concentré sur ce que j’avais à faire. Mais, par moments, j’étais à la limite, mes vieux démons ont failli me rattraper.»
A Garmisch, le spectre de Val-d’Isère, ces Mondiaux qui attendaient l’enfant du pays au sommet et l’ont vu sortir en slalom et en super-combiné et finir «assis dans un coin à pleurer». «Des moments pas faciles. Ça m’a suivi quand même un long moment, confie le skieur de Valloire. C’est dur, quand on reste sur des échecs plusieurs fois, de rebondir. Donc j’avais à cœur de montrer que je pouvais y arriver. Le gars qui est tout le temps deuxième, au bout d’un moment, il a envie d’être premier. Après 2009, quand on me disait tu n’es pas un grand champion, ça m’a fait mal, ça m’a fait ch… Cette fois, je n’ai vraiment plus rien à prouver du tout.»
Par tous les états d’âme
Hier, quand la médaille d’or est enfin venue se pendre à son coup, Jean-Baptiste Grange n’a pas retenu ses larmes. «Ça m’a fait du bien. C’était tellement d’émotions. Je les ai savourées, parce que ce sont beaucoup d’efforts pour des instants qui sont courts.» L’effort, notamment, du retour après la blessure. Le ligament croisé du genou l’hiver dernier – blessure qui l’a privé de Jeux olympiques – et puis l’épaule fin décembre 2010. «Début janvier, il y a eu une semaine très dure. Les grosses échéances arrivaient, et moi je n’étais pas là. J’avais l’épaule en vrac. Mais, petit à petit, j’ai vu que ça irait mieux. J’ai passé par une phase de reconstruction jusqu’à Wengen. Là, je me suis vraiment fait violence pour aller chercher le podium. Et, derrière, il y a eu Kitzbühel et Schladming, les deux plus grosses courses. C’était exceptionnel.»
Dans les épreuves, Jean-Baptiste Grange a puisé une force nouvelle. «J’ai compris qu’il fallait que je me fasse confiance. Maintenant j’attends beaucoup moins du regard des gens, de ce qu’ils pensent et je le fais beaucoup plus pour moi.» Sa médaille d’or, le Français ne la doit qu’à lui-même. «Je la mérite. Elle me donne sérénité et confiance pour la suite de ma carrière.»

INTERVIEW
Silvan Zurbriggen, éliminé en 1re manche hier:
«J’ai raté mes Mondiaux. Je suis hors de forme»
Silvan Zurbriggen, comment expliquez-vous cette nouvelle élimination?
Il n’y a pas grand-chose à dire. Je n’ai pas bien skié, c’est tout. Je suis même parvenu à enfourcher sur le même côté que dans le slalom du super-combiné. J’ai raté mes Mondiaux. Je suis hors de forme.
La piste avec cette neige particulière vous a-t-elle handicapé?
Je ne vais pas chercher d’excuses de ce côté-là. Ce serait trop facile. Je ne suis plus à l’aise partout. Il suffit de voir mes résultats à l’occasion de ces Championnats du monde. Que ce soit en super-G et aussi en descente pour s’en rendre compte.
Comment allez-vous rebondir?
Je vais mettre tout de suite ces Championnats du monde dans une boîte fermée aux oubliettes. Ensuite, je dois accepter ce couac et déjà penser à la saison suivante voire à Schladming 2013. Pour cela, je ne dois pas oublier que j’ai réussi une superbe saison avec un mois de décembre fantastique. C’est ce que je veux retenir pour le futur.
Aujourd’hui, est-il encore possible de s’aligner dans les cinq disciplines du calendrier de la Coupe du monde et d’y jouer un rôle?
Non, c’est juste devenu impossible et j’en suis la meilleure preuve. J’ai voulu tenter le coup. Cela s’est bien passé l’espace d’un mois. Mais je n’ai que sept jours d’entraînement en slalom. Face aux purs spécialistes, comment voulez-vous être compétitif?
L. G.


Steve Locher aux côtés de Justin Murisier
Entraîneur, ami et confident de Justin Murisier, Steve Locher s’était promis de venir le voir skier à Garmisch. De l’accompagner sur ses premiers Championnats du monde. «Je n’ai déjà pas pu aller aux Mondiaux juniors à Montana, les médecins m’ont dit que s’il m’arrivait quelque chose, c’était trop risqué.» Victime d’un grave accident de la route en Suède avant Noël, touché aux vertèbres cervicales et au bassin, l’ancien skieur valaisan était depuis le début de l’année en rééducation à la Clinique de la SUVA à Sion. «J’ai pu sortir mercredi. Justin savait que je pourrais sûrement venir pour le slalom, mais ça a été la surprise que je sois déjà là pour le géant.» Steve Locher a donc savouré «en live» la formidable performance du jeune Bagnard, 13e de cette épreuve. «Connaissant l’artiste, tu sais qu’il peut aller vite dans toutes les disciplines. S’il le pouvait, il ferait tout. On doit un peu le freiner.»
«Je savais que Steve allait mieux. Mais c’est sûr que je suis supercontent qu’il soit là», glisse Justin Murisier au terme du slalom qu’il a bouclé en meilleur Suisse au 25e rang. «Dans la première manche, ça allait vraiment tout droit et je pense que soit je faisais trop de chemin, soit j’étais tellement expulsé dans tous les sens que je n’arrivais pas à rester sur le ski. Mais dans la deuxième, ça tournait plus, c’est comme j’aime et c’est pour ça que j’ai réussi à avoir un bon timing. J’ai fait une grosse faute, mais sinon je pense que c’était une bonne manche.»
Steve Locher. «Bien sûr que je suis fier de Justin et heureux pour lui. A 19 ans, il a déjà l’expérience des Mondiaux, c’est un sacré plus sur les skieurs de son âge.» Le skieur de Prarreyer pourra l’utiliser ce week-end, lors de l’étape de Coupe du monde de Bansko, en Bulgarie. «Je vais faire le super-combiné et le slalom à Bansko», se réjouit-il.
G. C.

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FOOTBALL

Le championnat de France relancé


Image © Keystone
Jeunechamp et Montpellier ont pris le meilleur sur Sow et Lille (1-0). Le championnat de France est du coup totalement relancé.

En perdant à Montpellier, Lille redonne espoir à ses adversaires. En France, la lutte pour le titre s’annonce plus passionnante que jamais.
Claude-Alain Zufferey - le 20 février 2011, 23h17
Le Matin
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Montpellier - Lille
1-0 (0-0)
La rencontre entre Montpellier et Lille n’a jamais atteint des sommets techniques. Le score de 1-0 reflète exactement ce qui s’est passé sur la pelouse de la Mosson. Les Nordistes n’ont absolument pas tenu leur rang de favoris en restant muets, ce qui ne leur était plus arrivé depuis 20 matches. Rudi Garcia avait pourtant mis tous les atouts de son côté en sacrifiant la partie de Ligue Europa de jeudi face à Eindhoven (2-2 en alignant huit remplaçants). Cette défaite du LOSC, la première en championnat depuis le 24 octobre face à Marseille, relance complètement la Ligue 1. Rennes revient à deux points de la tête, l’OM à trois longueurs, Lyon et le PSG à seulement quatre points. «Il fallait que l’on perde un jour, cela n’est pas le souci, explique le coach Rudi Garcia. Mais au moins que l’on tombe avec nos armes à la main. Nous avons le devoir de rebondir dimanche en recevant Lyon.»
Nicollin allume la mèche
Avant cette rencontre, le truculent président de Montpellier, Louis Nicollin, avait mis une nouvelle fois de l’huile sur le feu. L’objet de ses critiques: le jeu et l’avenir des Lillois. «Je préfère Lyon, ou même le PSG. Lille, ça ne me fait pas b… Ce n’est pas une équipe qui me fait rêver. Vos Lillois qui jouent si bien, ils n’ont battu Arles-Avignon qu’à la dernière minute. Il ne faut pas l’oublier. Ils ont eu un bol pas possible. Je ne les vois pas champions de France. Vous avez vu le match de jeudi face au PSV? Ils se sont pris pour des cadors. Ils étaient suffisants, les mecs sur la pelouse. C’était l’équipe B d’accord, mais on verra l’équipe A dimanche. Je peux vous dire que je préfère jouer Lille que Marseille.» Loulou Nicollin ne s’est pas fait des amis dans le nord de la France, mais, sur ce coup-là, il a eu du nez. Son Montpellier a pris la mesure du leader du championnat. «Quel régal! J’ai triplé la prime ce soir, et c’est plus que mérité. L’année prochaine, c’est la Ligue des champions. Maintenant, je pars heureux en cure d’amaigrissement. Je vais être affûté, vous allez voir», conclut le président, visiblement aussi content de lui que de ses joueurs.

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Messi sauve le Barça


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7S7 mise à jour Le FC Barcelone, bousculé à domicile par Bilbao, s'est finalement imposé dimanche (2-1) grâce à l'inévitable Messi et conserve cinq points d'avance en tête de la Liga sur le Real Madrid, également vainqueur la veille à Santiago-Bernabeu de Levante (2-0).

Le Barça de Josep Guardiola, qui restait sur deux faux pas, avec un nul (1-1) chez le Sporting Gijon en championnat le week-end dernier et un revers contre Arsenal (2-1) en Ligue des champions mercredi, a dû attendre la 78e minute pour assurer sa victoire. Messi, qui disputait son 250e match officiel sous le maillot blaugrana, a repris victorieusement un centre de Daniel Alves venu de la droite, pour donner la victoire aux siens (2-1, 78e), son 25e but en Liga, un de plus que Cristiano Ronaldo.

Samedi, le Real Madrid avait fait le métier en dominant sans trembler Levante. Les Merengue s'étaient mis à l'abri dès la 6e minute, l'Argentin Angel di Maria passant en revue trois défenseurs adverses et servant le Français Karim Benzema qui n'avait plus qu'à conclure (1-0) pour marquer son 3e but de la saison en Liga. Sans Mesut Özil, Xabi Alonso et Emmanuel Adebayor, ménagés en vue du 8e de finale aller de Ligue des champions contre Lyon mardi, ni Casillas, suspendu, le Real a creusé l'écart avant la mi-temps grâce à Ricardo Carvalho, à la réception d'un centre de Cristiano Ronaldo (2-0, 41e).

Avec ce succès, Jose Mourinho a porté à neuf ans sa période d'invincibilité en championnat à domicile, sa dernière défaite remontant au 23 février 2002 avec Porto contre Beira Mar (3-2). Depuis, le technicien portugais est passé par les bancs de Chelsea et de l'Inter Milan avant de rejoindre Madrid l'été dernier. Madrid reste solide dauphin, à cinq points du Barça certes, mais avec 12 points d'avance sur le troisième, Valence.

Valence a perdu deux points à domicile en concédant le nul (0-0) contre Gijon. Mais Villarreal, qui menace Valence pour une place en Ligue des champions, n'a pas su profiter de l'opportunité, puisque les Jaunes ont également partagé les points chez eux, contre le dernier du classement Malaga (1-1). Les Valenciens, qui avaient déjà fait match nul à domicile mardi contre les Allemands de Schalke 04 (1-1) en Ligue des champions, ont en outre perdu sur blessure leur attaquant Aritz Aduriz..

Lionel Messi, auteur du but de la victoire du FC Barcelone 2-1 devant l'Athletic Bilbao dimanche lors de la 24e journée du Championnat d'Espagne de football, a pris, avec 25 buts, seul la tête du classement des buteurs avec une unité de plus que Cristinao Ronaldo (Real).

Classement des buteurs:
25 buts: Messi (FC Barcelone)
24 buts: Cristiano Ronaldo (Real Madrid)
16 buts: Villa (FC Barcelone)
13 buts: Llorente (Athletic Bilbao)
12 buts: Pedro (FC Barcelone), Rossi (Villarreal)
10 buts: Nilmar (Villarreal), Trezeguet (Hercules)
9 buts: Aritz Aduriz (Valence CF), Caicedo (Levante), Luis Fabiano (FC Séville)
8 buts: Agüero (Atletico Madrid), Diego Castro (Sporting Gijon), Kanouté (FC Séville), Negredo (FC Séville), Rondón (Malaga)
7 buts: Forlan (Atletico Madrid), Higuain (Real Madrid), Iniesta (FC Barcelone), Nelson Valdez (Hercules), Osvaldo (Espanyol Barcelone), Ulloa (Almeria).


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Le GP de Bahreïn pourrait être repoussé


Le patron de la Formule 1 Bernie Ecclestone a affirmé dimanche que le Grand Prix de Bahreïn pourrait être couru à une date ultérieure si les manifestations antigouvernementales dans ce pays devaient contraindre les organisateurs à la repousser.

Interrogé dans une émission sportive de la BBC, Ecclestone a indiqué que la décision de courir ou non ce Grand Prix, qui doit ouvrir la saison 2011, serait prise "probablement mardi". "Je n'ai pas parlé au prince héritier, cheikh Salman Ben Hamad Al-Khalifa, ce matin (dimanche), aussi je ne sais pas ce qui se passe là-bas. Mais si quelqu'un peut dénouer la situation, c'est lui", a ajouté le patron de la F1;
"Il décidera si nous serons en sécurité là-bas ou non", a-t-il dit.

"Attendons mardi pour savoir si le Grand Prix va avoir lieu avant de décider quoi faire. Peut-être nous pourrions repousser Bahreïn ou le courir plus tard dans l'année".

Bernie Ecclestone a exclu que le GP d'ouverture puisse se dérouler dans un autre pays le 13 mars, expliquant que les délais étaient trop courts pour qu'un autre organisateur puisse s'insérer dans le calendrier.

Les courses de la série GP2 qui devaient se dérouler la semaine dernière sur le circuit de Sakhir à Bahreïn, ont été annulées en raison des protestations antigouvernementales.

La répression des manifestations a fait six morts et des dizaines de blessés ce petit royaume du Golfe à majorité chiite et gouverné par une dynastie sunnite. Le prince héritier a proposé dimanche d'ouvrir le dialogue avec l'opposition.

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Soderling s'adjuge le tournoi de Marseille


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Le Suédois Robin Soderling, tête de série N.1 et N.4 mondial, a remporté dimanche le tournoi ATP de Marseille en battant 6-7 (10/8), 6-3, 6-3 le Croate Marin Cilic, 28e mondial, décrochant ainsi son troisième titre en 2011 après ceux de Brisbane et Rotterdam. Comme en demi-finale, le jeune Croate de 22 ans avait pourtant fait une entrée en fanfare en breakant, dès le premier jeu, son adversaire.

Face à lui, Soderling, en phase de réglage, avait du mal à trouver sa longueur de balle, mais parvenait à refaire son retard à 4-3, bénéficiant d'une double-faute et de trois fautes directes du Croate. Tout était donc à refaire. Multipliant les aces, les deux joueurs tinrent leur engagement et se départagèrent dans un jeu décisif sous haute tension qui tourna à l'avantage de Cilic (10/8), plus tranchant à l'échange.

Dans le deuxième set, Soderling parvint à élever son niveau de jeu avec notamment des passings meurtriers, s'emparant à deux reprises du service de Cilic et décrochant le deuxième set 6-3. Dans l'ultime manche, les deux joueurs restèrent au coude à coude les cinq premiers jeux avant un gros passage à vide du Croate, qui concéda son service blanc avant d'être mené 5-2 et de s'incliner 6-3, laissant s'envoler son rêve d'un sixième titre. Soderling, qui a remporté à 26 ans le neuvième titre de sa carrière, détient pour l'heure en 2011 le record de matches gagnés avec 17 victoires contre une seule défaite. (belga/mb)


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Lille chute, les poursuivants se précipitent


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Cela se resserre en tête du Championnat de France: Lille a chuté à Montpellier (1-0) et son avance a fondu en raison des victoires de ses quatre poursuivants immédiats, comme Rennes revenu à deux points dimanche, le PSG qui s'est relancé à Nice (3-0), et plus tôt Marseille et Lyon.

Le Losc, déjà cueilli à froid par l'égalisation éclair du PSV Eindhoven en C3 jeudi (2-2), a encaissé un but de Belhanda à la 83e minute. Troisième défaite de la saison pour Lille, et fin de série de vingt matches consécutifs lors desquels ils ont toujours marqué au moins un but.

Rennes en a profité pour revenir à deux points avec une troisième victoire d'affilée (la première à l'extérieur depuis fin septembre), sur un penalty de Montaño en fin de partie à Toulouse (2-1). La malédiction des gardiens a encore frappé côté Téfécé, qui a perdu Blondel sur blessure, après déjà Pelé et Valverde cette saison.

Le PSG, qui n'avait pris qu'un point en deux matches, s'est spectaculairement relancé, grâce à des buts de Giuly de la tête, de Hoarau (son 7e) et Armand, avec Nene à chaque fois à la manoeuvre. Et le PSG se poste à un point du podium.

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automobile

Formule 1: le Grand Prix de Bahreïn annulé


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Aucune date n’a été précisé pour un éventuel report.

Suite aux troubles qui secouent le pays, le royaume de Bahreïn a renoncé à maintenir le Grand Prix de Sahkir qui devait ouvrir la saison de Formule 1 le 13 mars prochain.
AFP - le 21 février 2011, 17h33
LeMatin.ch & les agences
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Le royaume de Bahreïn a renoncé à organiser le 13 mars le Grand Prix de Sahkir, qui ouvre la saison de Formule 1, en raison des troubles dans le pays, selon un communiqué officiel publié ce lundi.
"En ce moment, l’attention entière de la nation est portée sur la mise en place d’un nouveau dialogue national", indique le communiqué, ajoutant qu’il était "important pour le pays de se concentrer sur les questions d’intérêt national et de laisser l’accueil du Grande Prix de Bahreïn à une date ultérieure".
Aucune date n’a été précisé pour un éventuel report.

Peuvent oublier...........

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football

Les dessous de la retraite de Ronaldo


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Ronaldo était obligé de porter des couches quand il était joueur.

L'ancien sélectionneur brésilien Vanderlei Luxemburgo a décidé de rendre hommage à sa manière à la légende Ronaldo, en révélant qu'il avait porter des couches pendant la Copa America 1999.
J. S. / Rédaction online - le 21 février 2011, 16h55
LeMatin.ch
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Décidémment, c'est à croire que les footballeurs brésiliens sont nés pour défrayer la chronique.
Si l'attirance du magicien qu'est Ronaldinho pour les boites de nuit n'est plus un secret de polichinelle pour quiconque, Ronaldo a lui, souvent fait délier les langues concernant ses kilos superflus. Un sujet tabou lors de son passage en Europe ou l'on ne sut jamais vraiment le poids de forme exact du buteur brésilien.
En hommage à la star retraitée des terrains depuis lundi dernier, l'ancien entraîneur du Brésil et du Real Madrid, Vanderlei Luxemburgo, a tenu à crever l'abcès une bonne fois pour toute et de quelle manière !
En effet, Luxemburgo a révélé que Ronaldo avait été contraint de porter des couches pendant la Copa America 99 afin d'éviter le moindre incident... intestinal dû à ses soucis de sur-poids.
"Ronaldo était déjà en surcharge pondérale et nous avons étudié tous les moyens possible pour lui faire perdre quelques kilos. Le docteur de l'équipe lui avait donné un médicament, du Xenical, qui était efficace mais qui avait aussi pour effet d'accélérer le transit intestinal. Alors, pour éviter tout 'incident', le joueur était obligé de porter des couches, ce dont il avait honte", a t-il raconté à As.
Très classe Luxemburgo. On imagine aisément la mine déconfite d'Il Fenomeno lorsqu'il a pris connaissance des révélations de son ancien entraîneur. Décidémment, Ronaldo, qui a choisi pour sa reconversion de créer une agence en conseils et en gestion des affaires à Sao Paulo, est poursuivi par ses vieux démons même à la suite de sa retraite sportive. Allez, prions maintenant pour qu'on ne lui propose pas une pub assis sur du coton...

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