Toutes New sportives autres que la moto - Page 886

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 26/02/2011, 18h02

Le corps d'un ancien champion cycliste va être exhumé

© photo news

Le corps de l'ancien coureur cycliste italien Franco Ballerini, double vainqueur de Paris-Roubaix en 1995 et 1998, décédé à 45 ans le 7 février 2010 à Casalguidi, près de chez lui en Toscane, au volant d'une Renault New Clio Sport R3 lors du rallye de Larciano, va être exhumé dans le cadre d'un conflit entre assureurs.

Le substitut du procureur de Pistoia Francesco Boccia, a en effet ordonné une autopsie du corps de Ballerini, sélectionneur de l'équipe nationale italienne lors de son accident. Le but est de déterminer si le soutien au niveau de la nuque que portait Ballerini a correctement fonctionné.

Selon La Gazzetta dello Sport, c'est la première fois que ce type de soutien était utilisé en rallye en Italie. Son copilote Alessandro Ciardi, grièvement blessé, avait finalement survécu. Le résultat de cette autopsie pourrait avoir de lourdes conséquences pour l'organisateur de la course.

La veuve de Ballerini Sabrina a été tenue informée de l'exhumation du corps de son mari. "Dès que j'ai entendu ça, j'ai pensé 'Pauvre Franco'", déclare-t-elle dans La Gazzetta dello Sport. "Les enfants étaient à la maison quand la police est arrivée. Je leur ai dit qu'il s'agissait d'un procès pour excès de vitesse."

Sabrina Ballerini a l'intention de déserter son village le jour de l'exhumation. "L'école de mes enfants se situe juste en face du cimetière", explique-t-elle. "On y déjeune chaque jour après avoir rendu visite à Franco. Mais ce ne sera pas le cas mercredi prochain..."

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 26/02/2011, 18h03

Le Pays de Galles s'impose en Italie

© reuters

Le Pays de Galles a remporté son deuxième match du Tournoi des six nations en s'imposant contre l'Italie à Rome 24 à 16 (mi-temps: 21-11), exploitant les fautes d'une Nazionale bien plus fringante que lors de sa raclée en Angleterre, et qui a dominé, en vain, toute la seconde période.

Comme prévu, la vitesse des Gallois a gêné les Italiens, qui ont concédé deux essais marqués par Morgan Stoddart (9) et Sam Warburton (13). De nombreuses fautes ou des ballons mal négociés ont aussi permis aux Gallois de marquer sur pénalité ou de ramener aisément le jeu dans le camp adverse.

Plus efficaces, les Gallois ont exploité leurs occasions et on fait preuve de métier en fin de partie, pour prendre un drop par James Hook (73) qui remettait les Italiens à 8 points.

Point positif, l'équipe de Nick Mallett s'est montré joueuse et a mieux fait circuler le ballon que contre l'Irlande, où elle s'était inclinée dans les dernières minutes (13-11). Elle a brièvement mené au score, 5-3 de la 4e à la 9e minute, grâce à une interception sur une passe ratée du 2e ligne Bradley Davies, exploitée par Gonzalo Canale (4).

Elle a surtout dominé toute la seconde période, mais n'a marqué qu'un essai, par Sergio Parisse (51) et a concédé un drop (73) sur une des rares incursions des Rouges après la mi-temps.

Mirco Bergamasco a commis un en-avant, alors qu'il était lancé à pleine vitesse, à dix mètres de la ligne galloise, sur une action qui aurait pu ramener l'Italie à un point.

La Nazionale, parfois fébrile quand elle avait la balle, a commis de petites erreurs, comme cette chandelle trop longue du demi de mêlée Fabio Semenzato (par ailleurs fort inspiré pour sa seconde sélection) qui entraînait le deuxième essai du XV au Poireau.

Il lui manque aussi un buteur: elle n'a passé qu'un seul de ses six coups de pieds (4/5 pour Mirco Bergamasco et 0/1 pour Luciano Orquera).(

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 26/02/2011, 18h04

Victoire de Peter Sagan à la 4e étape du tour de Sardaigne

© afp

Le Slovaque Peter Sagan (Liquigas), leader du classement général, a signé son 3e succès sur la 29e édition du Tour de Sardaigne (2.1), en s'adjugeant la 4e étape, courue vendredi sur 174,2 km entre Lanusei et Oristano. Il s'est imposé devant les Italiens Manuel Belletti et Roberto Ferrari.

Sagan avait déjà remporté les 1e et 2e étapes. Au classement général, il devance de 14 secondes l'Italien Damiano Cunego. Ben Hermans est 5e à 32 secondes

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 26/02/2011, 18h06

Mondiaux-2011 - Saut messieurs/Petit tremplin: Thomas Morgenstern sacré

OSLO, 26 fév 2011 | L'Autrichien Thomas Morgenstern a remporté le concours individuel de saut sur petit tremplin des championnats du monde de ski nordique devant son compatriote Andreas Kofler et le Polonais Adam Malysz, samedi à Oslo, le Suisse Simon Ammann prenant la 4e place.

AFP | 26.02.2011 | 16:55

L'Autrichien Thomas Morgenstern a remporté le concours individuel de saut sur petit tremplin des championnats du monde de ski nordique devant son compatriote Andreas Kofler et le Polonais Adam Malysz, samedi à Oslo, le Suisse Simon Ammann prenant la 4e place.
Le Français Emmanuel Chedal est 28e.
Le succès de Morgenstern est conforme à la logique. L'Autrichien, qui vient de remporter la Coupe du monde pour la deuxième fois, a aussi dominé cette saison la prestigieuse Tournée des Quatre tremplins.
Morgenstern, 24 ans, champion olympique au grand tremplin à Turin en 2006, décroche à Oslo son premier titre mondial individuel alors qu'il avait déjà décroché l'or à quatre reprises dans les concours par équipes.

danlos · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 26/02/2011, 18h07

Citation:

Envoyé par Norton

Le corps d'un ancien champion cycliste va être exhumé

C'est assez horrible de voir ça, le gars est mort, qu'on le laisse en paix. De toute façon même si le système n'a pas marché, ça ne changera rien. Ca a déjà sauver des centaines de vies ces 10 dernières années en compèt' automobiles...

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 26/02/2011, 18h07

Ski

L'Américaine Lindsey Vonn a remporté la descente d'Are/SWE. Nadja Kamer a fait une grosse chute

26 février 2011 12:08

Lindsey Vonn a remporté la descente d'Are/SWE. Le 21e succès de l'Américaine dans la discipline a été toutefois terni par la chute de Nadja Kamer. Dossard no16, la Schwytzoise de 24 ans a été déportée à la sortie d'une courbe. Elle n'est pas parvenue à redresser sa trajectoire et ses skis se sont accrochés dans les filets de sécurité. Avec la vitesse, la malheureuse a été catapultée plusieurs mètres plus loin. Selon les premières informations des entraîneurs de Swiss-Ski, Kamer, emmenée à l'hôpital, n'aurait rien de grave. Meilleure Suissesse, Dominique Gisin a fini au pied du podium (4e).

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 26/02/2011, 18h09

Super-combiné de Bansko: 1er podium pour Mermillod-Blondin
(AFP) – Il y a 4 heures
BANSKO — Blessé à une main fin novembre, privé des Mondiaux de ski alpin en février, Thomas Mermillod-Blondin a vu la roue de la fortune finalement tourner en sa faveur samedi à Bansko, où le Haut-Savoyard a pris la 3e place du super-combiné, son premier podium en Coupe du monde.
L'Italien Christof Innerhofer, star des Mondiaux, a poursuivi son festival dès la reprise de la Coupe du monde, en Bulgarie.
D'un centième, il a empoché sa deuxième victoire sur le circuit, devant l'Allemand Felix Neureuther, heureux de sortir du gouffre après être passé à côté des Championnats du monde sur les pistes de son enfance.
"Ce n'est que ma deuxième victoire en Coupe du monde, mais après tout ce qui est arrivé lors des vingt derniers jours, j'ai l'impression que c'est la 20e !", a déclaré "Winnerhofer", dont le seul coup d'éclat auparavant remontait à la fin décembre 2008, dans la descente de Bormio.
"Finalement, c'est une victoire un peu chanceuse avec un centième d'avance. Cette saison, j'avais terminé deux fois quatrième, d'un rien. La roue tourne", a estimé le skieur du Haut-Adige, fier de confirmer son rang de vice-champion du monde du super-combiné.
Jean-Baptiste Grange entrevoyait lui aussi de belles choses samedi, six jours après son sacre mondial en slalom. Le Savoyard avait signé le meilleur temps de la manche de slalom, qui précédait la manche de vitesse pour cause de météo.
Mais faute d'entraînement en vitesse cette saison, le skieur de Valloire est tombé dans le super-G en après-midi. "Forcément, il y a un peu de déception quand tu peux jouer un podium ou la victoire", a souligné Grange, avant de donner rendez-vous à dimanche, pour le slalom, une discipline dans laquelle il reste sur trois victoires d'affilée.
"C'est énorme, ce podium tombe vraiment au meilleur des moments", s'est réjoui pour sa part Thomas Mermillod-Blondin, qui était attendu sur l'avant-scène depuis un petit moment.
Le Haut-Savoyard s'était blessé à la main droite dans une course continentale à Aspen le 29 novembre, ce qui a fortement perturbé sa saison. Puis il a dû lutter pour revenir, sans réussir à faire sa place dans l'équipe de France pour les Mondiaux.
"J'ai gagné une course FIS (second niveau) à Courchevel la semaine passée. C'est drôle, mais j'ai pensé que c'était un déclic", a raconté le skieur.
Le Croate Ivica Kostelic, qui était déjà assuré de remporter le petit globe de cristal de super-combiné cette saison, a pris la cinquième place, ce qui lui permet de voler tranquillement vers le grand globe, puisque ses trois poursuivants au classement général, les Suisses Didier Cuche et Silvan Zurbriggen et le Norvégien Aksel Lund Svindal, avaient renoncé au voyage en Bulgarie.

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 26/02/2011, 19h29

L’INTERVIEW

Laurent Roussey: «Si tout avait été parfait, je ne serais pas là»

Image © Laurent Crottet
Roussey s’est vu confier idéalement un double objectif: décrocher l’Europe et ramener la Coupe en Valais. Voilà pour la théorie.

Nouvel entraîneur du FC Sion, Laurent Roussey explique en quoi il n’est plus le même. Dix ans après un premier passage en Valais, il détaille la force du mental.
Nicolas Jacquier - le 25 février 2011, 20h51
Le Matin
6 commentaires

Franchement, à considérer la politique de l’emploi de son président, ne faut-il pas être un peu fou ou maso pour accepter d’entraîner le FC Sion?
Ni l’un ni l’autre! Je préfère me battre pour l’Europe avec Sion que contre la relégation dans un autre club. Je peux comprendre la politique de Constantin, qui est l’unique bailleur de fonds du club. Contrairement aux grandes écuries européennes, il ne peut pas se permettre d’avoir des chiffres rouges. Or l’absence de dettes passe par des résultats. Mon rôle est de les obtenir, avec une envie d’amener quelque chose sur le plan offensif, sans dire que l’on va y arriver.
Croyez-vous aux vertus du fameux choc psychologique?
Dans le cas présent, ce n’est pas vraiment ce qui était recherché. Le club n’était pas à la dérive sportivement. Il fallait juste apporter un déclic, d’autres réglages peut-être, un œil neuf. Si choc il doit y avoir, c’est au niveau des ambitions.
Vous n’avez pas honte de venir piquer la place d’un collègue?
Je ne vais pas commencer à vous dire qu’il existe une énorme solidarité, ce serait faux cul de ma part. Si je suis ici, c’est parce que je n’avais pas de club. Par contre, je peux ressentir l’amertume que mon prédécesseur doit ruminer et me mettre à sa place. Bernard était manifestement aimé. Mais, si les gars qui l’appréciaient avaient fait les points qu’il fallait, si tout avait été parfait, je ne serais pas là aujourd’hui. C’est la preuve que tout ce qu’il fallait réaliser n’a pas été correctement fait. Les progrès que l’on doit faire passent par une prise de conscience. Quand on met le doigt sur ce qui cloche, qu’on montre aux joueurs leurs erreurs, on ne peut pas toujours se défiler.
Dix ans après votre premier passage en Valais, qui de Sion ou de son nouvel entraîneur a le plus changé?
Tout a changé, de part et d’autre. J’ai mûri, grandi et évolué, tandis que le club s’est développé en se structurant de manière plus professionnelle… Je suis riche des expériences que j’ai pu vivre, notamment lors de mes cinq ans passés avec Claude Puel à Lille. Il n’y a que Tourbillon qui n’a pas changé! (Rires.)
Quels souvenirs conservez-vous de vos débuts sous l’ère Kadji?
Je n’oublierai jamais mon premier match, puisque Sion, que tout le monde condamnait déjà, l’avait emporté 8-1 contre Bâle, le champion sortant. Un tel score pour une première, ça marque forcément les esprits. Je ne serai pas aussi gourmand tout à l’heure contre GC.
Justement, ces fameux buts que Sion peine tant à inscrire, qui va les marquer? Quand même pas vous?
C’est vrai que c’est notre problème, je l’ai senti dès le premier entraînement. On doit en finir avec cette non-responsabilité de vouloir marquer des buts. Chacun doit s’investir plus, être plus tueur dans la surface. Cela suppose une cohérence dans ce que l’on tente. Regardez Mrdja… Il ne peut pas être international serbe et traité de moins que rien quand il enfile le maillot du FC Sion. Il faut réunir beaucoup de paramètres pour être efficace. Je peux avoir un rôle à jouer. Ce que je sais déjà, c’est que la solution ne pourra être que collective. Ce n’est pas une somme d’individualités qui va nous permettre de devenir meilleurs collectivement. Le but, c’est que chacun trouve à s’exprimer dans le collectif.
Pourquoi est-ce si difficile de marquer des buts?
Parce que c’est plus facile de défendre une cage de 7,32 m et que les équipes ont fait des progrès tactiques dès lors qu’il s’agit de ne pas attaquer! Sans doute les joueurs, sortant du même moule, sont-ils aussi tous formatés. Tous appartiennent au même cadre. Il en découle des lacunes, surtout techniques.
L’ancien Petit Prince que vous êtes réussirait-il à s’exprimer dans le football moderne?
Oh, à Barcelone et à Arsenal, très certainement.
Et à Sion?
Dans quelques matches peut-être! Vous savez, même si mes ennuis de santé m’ont obligé d’arrêter, je suis resté joueur dans l’âme. Je dis d’ailleurs souvent à mes joueurs: «Je suis la tête, vous êtes mes jambes.»
Après votre mise à pied de Saint-Etienne, vous étiez devenu consultant de Canal+ avant d’être interdit d’antenne. Que s’est-il passé pour que l’on vous coupe le micro?
On m’a reproché d’avoir donné une interview à L’Equipe TV, alors que les gens de Canal voulaient conserver l’exclusivité. Apparemment, cela a mal passé. On a coutume de dire que les choses sont compliquées. Là, elles étaient très simples.
Cette semaine, vous êtes doublement gagnant. Non seulement vous avez retrouvé un banc mais la Cour d’appel de Lyon vient de vous octroyer 1,65 million d’euros d’indemnités (environ 2,1 millions de francs) dans le litige vous opposant aux dirigeants des Verts suite à votre limogeage…
La somme peut paraître importante certes, mais je ne fais que récupérer ce que le club me devait. Ça ne fait que réparer une injustice. A Saint-Etienne, j’entraînais avec un salaire d’adjoint, j’étais le plus petit salaire des coaches de L1. Je travaillais aux primes.
Vous avez déclaré un jour que vous n’aviez aucun ami dans ce milieu. Est-ce vraiment le cas?
Non, puisque j’en ai quelques-uns, comme Lucien Favre par exemple. Ça fait plus de 25 ans que l’on s’appelle, que l’on s’apprécie, que l’on se voit. Cela date de Toulouse. Il était 10, j’étais 9. Notre amitié ne se limite pas aux dimensions d’un rectangle vert.
Quel est l’impact du mental dans la sublimation de ce qu’un sportif peut donner?
C’est un aspect capital, d’autant plus quand tout le monde se ressemble et s’annule. Le mental, c’est mon dada. C’est un supplément d’âme qui permet de grandir. Installés dans une zone de confort, les joueurs doivent prendre conscience de la chance qu’ils ont. Ce sont des privilégiés, mais tous ne s’en rendent pas assez compte. Ce que l’on a ne doit jamais être considéré comme acquis. C’est souvent quand on ne l’a plus, quand la carrière s’arrête qu’on sait ce qui nous manque. Cela dit, même si ses membres affichent un mental d’acier, une équipe ne va pas devenir bonne et se métamorphoser si elle aligne onze bourrins. Il faut un minimum de créativité.
A quoi penserez-vous sur le coup de 17 h 45, en allant prendre place sur le banc du FC Sion?
Le match, c’est une réponse. J’espère que l’on aura trouvé la meilleure solution à nos problèmes. Il n’y a que dans la victoire que l’on peut construire.

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 27/02/2011, 03h12

Langeveld surprend Fletcha, Gilbert et Boonen piégés

© photo news
7S7 mise à jour Le Néerlandais Sebastian Langeveld a remporté la 66e édition du Circuit Het Nieuwsblad samedi ouvrant la saison cycliste belge. Le coureur de Rabobank a devancé de toute justesse, dans un sprint à deux et d'un boyau, le vainqueur de l'an dernier, l'Espagnol Juan Antonio Flecha (Team Sky), à l'issue des 204,4 km du parcours disputé sous une pluie battante.

© belga

Les deux hommes avaient pris la poudre d'escampette à une quinzaine de kilomètres de l'arrivée à Gand. Flecha contre-attaquant derrière Langeveld. L'Espagnol a bien tenté de prendre le large pour s'imposer en solitaire, mais le Néerlandais, 26 ans, ne s'est pas laissé décrocher pour l'emporter au sprint.

Derrière, une minute plus tard, l'Australien Mathew Hayman a pris la 3e place devant le Français Yoann Offredo, 4e et l'Italien Luca Paolini. Le premier belge, Jurgen Roelandts, a pris la 9e place.

La dernière victoire belge remonte donc toujours à 2008 avec le deuxième succès de Philippe Gilbert.

"Je suis parti tôt, très tôt", racontait Langeveld sur la ligne d'arrivée. "Quand j'ai entendu que Flecha était à une trentaine de secondes, j'ai roulé à 90%. Je savais que cela se finirait par un duel en homme contre homme. Je suis content de ma finale."

Dimanche, la majorité des coureurs se retrouveront pour la traditionnelle course de "consolation" à Kuurne-Bruxelles-Kuurne. (belga/chds)

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 27/02/2011, 03h14

Le Barça ne tremble pas à Majorque

© reuters

Le FC Barcelone s'est imposé avec autorité à Majorque samedi (3-0) lors de la 25e journée du Championnat d'Espagne, malgré l'absence de quatre joueurs majeurs dans l'effectif catalan.

Le Barça, qui se déplaçait aux Baléares sans quatre titulaires habituels (les blessés Puyol, Valdés et Xavi et le suspendu Alves) a pris une belle revanche sur une équipe qui avait pris un point au Camp Nou (1-1) lors de la phase aller.

L'équipe de Josep Guardiola, avec Iniesta capitaine, s'est une nouvelle fois appuyée sur l'effrayante efficacité de son trident offensif: Messi, Villa et Pedro.

Messi a d'abord ouvert la marque d'une tête lobée (38). Villa, sans doute parti en position de hors-jeu, a ensuite doublé la mise (57). Et Pedro, d'une frappe puissante (66), a scellé la 22e victoire du leader du championnat.

Messi, Pedro et Villa ont inscrit 56 des 76 buts du Barça en Liga.
Ce résultat obligeait le Real Madrid, de nouveau à huit points du leader, à battre le Deportivo à La Corogne en soirée (22h00) pour ne pas se laisser distancer.(belga/chds)