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HOCKEY SUR GLACE

La Suisse qualifiée pour le tour intermédiaire


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La Suisse de Seger a battu la Biélorussie 4-1.

L'équipe nationale n'a pas douté face à la Bielorussie. Elle s'impose 4-1 et a déjà assuré sa participation au tour qualificatif de ces championnats du monde 2011.
le 01 May 2011, 23h56
Le Matin


Dans le sillage des attaquants du CP Berne, la Suisse a été diablement efficace pour son deuxième match du Championnat du monde. Les hommes de Sean Simpson ont tranquillement dominé la Biélorussie (4-1).
Le réveil de la première triplette offensive 100 % bernoise était attendu après une prestation décevante face à la France (1-0 ap), force est de constater qu’elle a eu lieu. Et plutôt trois fois qu’une. Ryan Gardner y est allé de son doublé personnel, tandis qu’Ivo Rüthemann a tué définitivement tout suspense en marquant le 4-1 en infériorité numérique.
«L’équipe et moi n’étions pas contents après notre première rencontre et nous nous devions de réagir», a indiqué le coach de l’équipe de Suisse après la rencontre. «Je suis content de cette victoire, mais j’ai toujours beaucoup de respect pour la Biélorussie», a ajouté celui qui a passé deux Mondiaux en tant qu’entraîneur assistant de la formation de l’ex-URSS.
Gardner opportuniste
Il n’a fallu que huit minutes aux Helvètes pour prendre les devants dans la partie. Alors qu’ils évoluaient avec un homme de plus sur la glace, les Suisses ont inscrit le 1-0 sur une habile déviation de Gardner à la suite d’un tir de la ligne bleue de Rafael Diaz.
L’égalisation de Dmitri Korobov à la 22e n’a pas entamé la tranquillité de la troupe de Sean Simpson. A peine trois minutes plus tard, Goran Bezina a imité son compère Julien Vauclair - auteur du but décisif en prolongation face aux Français - et a inscrit le «game winning goal» après s’être promené dans le défense adverse.
La machine bernoise avait encore des buts en réserve. Gardner a complété son doublé en opportuniste à la 28e. En embuscade au deuxième poteau, le géant canado-suisse a ajusté Andreï Mezin délaissé par ses défenseurs. Dans la foulée (31e), Ivo Rüthemann a converti en but une magnifique ouverture d’Andres Ambühl, alors que les joueurs à croix blanche évoluaient en box-play.
Stephan intraitable
Intéressants par séquences pour leur entrée en lice contre le Canada (1-4), les Biélorusses n’ont quasiment pas eu voix au chapitre. La première ligne si talentueuse formée d’Andreï Kostitsyn, de Mikhail Grabovski et d’Alexeï Ugarov a été parfaitement muselée et n’a jamais trouvé le fond des filets de Tobias Stephan (23 arrêts, 98,4 % depuis le début du tournoi).
«La différence entre les deux équipes n’était pas grande, mais ils ont tout fait un peu mieux que nous», a analysé Eduard Zankovets, l’entraîneur biélorusse. «Ils ont été très bons défensivement et ont profité des situations spéciales pour passer l’épaule.
La porte des quarts de finale s’est donc largement entrouverte pour la Suisse. Un succès lors du tour intermédiaire contre une équipe du calibre de la Norvège ou de l’Autriche et l’objectif sera atteint. Mais avant ce tour intermédiaire, les Suisses pourront livrer un duel de prestige mardi contre le Canada avec l’esprit libre.
Le dernier match du premier tour face aux Canadiens se fera sans Yannick Weber. Le défenseur bernois, qui devrait débarquer mardi en provenance de Montréal, sera inscrit pour la seconde phase de la compétition. Beat Gerber a quant à lui été couché sur la feuille de match par Sean Simpson et a pris place dans la quatrième paire défensive helvétique aux côtés de Félicien Du Bois.

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FOOTBALL

Championnat d'Italie: l'AC Milan n'est plus qu'à un point du titre


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Après leur victoire contre Bologne, les joueurs de l'AC Milan n'ont plus qu'un point à faire lors des trois derniers matches.

L’entraîneur de l’AC Milan, Massimiliano Allegri, espère marquer "le plus tôt possible" le point qui manque à son équipe pour être championne d’Italie, a-t-il dit dimanche après la victoire contre Bologne (1-0) lors de la 35e journée.
le 01 mai 2011, 23h02
LeMatin.ch & les agences


"Il nous manque un point, il reste trois matches jusqu’à la fin du championnat, nous le prendrons. Espérons le faire le plus tôt possible, mais nous sommes plutôt bien placé", a dit Allegri.
Si le Milan ne perd pas chez l’AS Rome samedi, il remportera son 18e "Scudetto". Contre Bologne, "la victoire a été difficile, a estimé Allegri, mais je crois qu’elle est méritée. Il y a eu beaucoup de dépense d’énergie, parce que nous étions conscients qu’avec une victoire, nous tuions le championnat".
Pour la première fois, des chants pro-Allegri ont résonné dans San Siro, où une banderole rendait hommage à sa personnalité réservée: "Sans trop de mots: merci mister Allegri".
"Je dois remercier les tifosi pour ce qu’ils ont fait aujourd’hui, a dit le technicien, très probablement champion dès sa première année au Milan, mais surtout pour ce qu’ils ont fait pour l’équipe, ils nous ont soutenus dès le début, quand les choses n’allaient pas très bien. Si ce scudetto arrive, et espérons vraiment que nous arriverons à prendre un point en trois matches, ce sera le scudetto de tous".

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FOOTBALL

Avec 205 buts en Serie A du Calcio, Totti égale le record de Baggio


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Francesco Totti, héros romain avec son légendaire numéro 10.

L’attaquant et capitaine de l’AS Rome, Francesco Totti, a marqué son 205e but en championnat d’Italie, et égalé le total de Roberto Baggio, en marquant contre Bari, dimanche pour la 35e journée.
le 01 mai 2011, 22h49
LeMatin.ch & les agences


Totti, 34 ans, rejoint le "Divin caudino" au cinquième rang des meilleurs buteurs de l’histoire de la Serie A, mais lui les a marqués "tous sous le même maillot", celui des "giallorossi", répète-t-il souvent.
Emblème de la Roma, où il joue depuis 18 années et avec qui il a décroché le titre de champion d’Italie en 2001, Totti a égalisé à 1-1 à la 30e minute, sur un coup franc direct.
"Même à 20 ans, je ne me sentais pas aussi bien. C’est la réaction aux critiques qui m’ont fait mal, sincèrement", avait dit le champion du monde 2006 après ses deux buts contre l’Udinese (2-1), lors de la 32e journée, décisifs dans la course à la Ligue des champions dans laquelle est lancée la Roma. Il avait marqué le but vainqueur à la dernière seconde. "C’est comme ça que réagissent les champions!", avait martelé Totti.
Il Capitano a marqué 13 buts cette saison en Serie A (dont 7 penalties), et signé trois doublés en moins d’un mois: contre la Lazio (2-0 le 13 mars) dans le derby, contre la Fiorentina (2-2 le 20 mars), et contre l’Udinese le 9 avril.

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hippisme

Christian Ahlmann comblé et réhabilité


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En gagnant la Coupe du monde de saut, l’Allemand Christian Ahlmann a confirmé son grand retour. Il l’avait déjà amorcé en automne dernier.

L’Allemand gagne la Coupe du monde de saut et… une réhabilitation. Pius Schwizer aurait pu finir deuxième, comme à Genève, mais une barre a dit non: sixième et déçu, le Suisse.
Alban Poudret - le 01 mai 2011, 20h56
Le Matin



«C’est rageant, «Carlina» a si bien sauté! Mais la seule barre qu’elle a touchée de la journée est tombée. C’est comme ça, je n’ai pas eu de chance sur ce coup-là», a bien résumé Pius Schwizer au sortir d’une longue finale à rebondissements, hier à Leipzig. Une faute jeudi, une autre vendredi et une troisième dimanche. Mais sur deux tours – une sacrée paire de manches –, il eût fallu que Pius Schwizer en évite au moins une, hier surtout, pour retrouver le podium sur lequel il avait bondi de joie l’an passé à Genève.
A quoi ça tient? Souvent à une barre qui veut bien rester en place ou non, sur un total de plus de septante sauts depuis jeudi. Mais ce fut aussi le cas pour la merveilleuse petite Néo-Zélandaise Katie McVean (24 ans), si fine, pour Gerco Schroeder et pour le No 1 mondial, Kevin Staut, tous 6es ex aequo avec le Suisse. Ou pour l’Américain McLain Ward, 10e et qui aurait aussi été 2e s’il n’avait pas effleuré l’ultime obstacle. Sans parler de Kutscher, coleader, qui s’est effondré hier.
Deux chocs à digérer
Des frustrés, il y en avait forcément beaucoup, mais, à la remise des prix, le trio de tête faisait plaisir à voir. Depuis qu’il y a un podium à la finale de la Coupe du monde, depuis Genève 2010, il n’y a plus qu’un seul vainqueur, mais bel et bien trois et c’était frappant hier: comblés Jeroen Dubbeldam, troisième grâce à sa belle remontée, et Eric Lamaze, décidément de tous les podiums depuis son titre olympique (Jeux mondiaux, top 10) avec son phénoménal «Hickstead».
Quant à Christian Ahlmann (36 ans), décidément très grand à cheval et sur un podium (surtout à côté de Lamaze, le lutin), il peut savourer son grand retour, amorcé l’automne passé. Suspendu après l’affaire de la capsaicine aux Jeux olympiques 2010 et écarté de l’équipe allemande pour deux ans, conspué par la presse de boulevard, il est revenu patiemment. «Je n’avais plus le goût à rien, mais c’est revenu.»
L’autre choc, ce fut la mort de «Calvados Z», son plus sûr espoir, foudroyé à Oslo, en octobre dernier, ce qui l’avait encouragé à miser sur «Taloubet Z». Et il avait alors gagné deux GP Coupe du monde coup sur coup. Voici dix jours encore, il triomphait au Grand Palais avec ce puissant étalon de 11 ans, fils de «Galoubet A» et débuté par sa compagne belge, Judy Ann Melchior, du Haras de Zangersheide. Ici, leur suprématie sautait aux yeux.



En attelage, Exell porte bien son nom
A Leipzig, la Suisse avait aussi un candidat au podium tout à fait sérieux dans la finale d’attelage à 4 chevaux, et Werner Ulrich n’est pas passé loin du bonheur non plus. Il lui a toutefois manqué dix bonnes secondes – les pénalités reçues pour ses deux fautes sur le second obstacle dit de marathon – pour pouvoir prétendre à la seconde manche, réservée aux trois meilleurs.
«J’avais un nouveau cheval, «Rocco», un lipizzan de 8 ans, et, en un mois, tous les automatismes ne sont pas là, mais ça donne de la vitesse et j’ai pris des risques… Ça n’a pas payé», résumait le Bernois, 5e. Pour la victoire, un fabuleux duel a opposé l’Australien Boyd Exell, qui s’offre sa 3e Coupe du monde d’affilée, au Hongrois Dobrovitz, qui ne voit que d’un œil, mais loin. Moins de suspense en dressage, où Adelinde Cornelissen et «Parzival» ont triomphé comme prévu. Jolie demi-surprise que la 2e place de la Danoise Nathalie zu Sayn-Wittgenstein, nièce de la reine. Les Allemandes ont déçu et Isabell Werth, 5e, a encore été trahie par «Satchmo» (deux défenses) et par sa juge allemande, qui la voyait 11e: un mauvais gag.

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CYCLISME

Cadel Evans remporte le Tour de Romandie

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L’Australien a remporté le deuxième Tour de Romandie de sa carrière, après celui de 2006. La dernière étape entre Champagne et Genève, remportée par le Britannique Ben Swift, n’a apporté aucun changement au classement général
Bernard Morel - le 01 mai 2011, 15h56
LeMatin.ch


Cadel Evans (34 ans) a remporté le deuxième Tour de Romandie de sa carrière. L’Australien avait endossé le maillot jaune samedi après le contre-la-montre du Signal-de-Bougy. Tout indiquait qu’il allait parvenir à le garder au cours de la dernière étape entre Champagne et Genève, malgré les passages des cols du Mollendruz et du Marchairuz. Bien entouré par ses coéquipiers de l’équipe BMC, Evans n’a pas eu trop de problème pour contrôler la situation. A 2km de l’arrivée, Alexandre Vinokourov a bien tenté de sortir du peloton pour tenter de grapiller quelques précieuses secondes, mais les coureurs BMC et l’ensemble du peloton ont prestement réagi.
Cette victoire de Cadel Evans n’est pas vraiment une surprise dans la mesure où il faisait partie des grands favoris de la course. Tout au plus pouvait-on s’interroger sur le niveau de sa condition car il effectuait sa rentrée sur les routes romandes après un mois sans course. Il s’était blessé à un genou à l’entraînement et avait été contraint d’interrompre sa préparation et de renoncer aux classiques ardennaises. Mais il a rapidement rassuré ses coéquipiers et les observateurs. Chaque jour, il a montré qu’il était en bonne forme et il l’a confirmé dans le contre-la-montre en étant supérieur à ses adversaires directs du classement général.
Cette dernière étape a enfin souri aux sprinters. Il y a eu plusieurs attaques, mais le peloton, emmené par l’équipe BMC, relayée par la suite par les équipes des sprinters, a condamné l’échappée à l’entrée de Genève. Dans le sprint, on attendait Oscar Freire, mais c’est le jeune Britannique Ben Swift (23 ans) qui s’est imposé devant le jet d’eau.

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Football

Ligue des champions: l’UEFA rejette les plaintes croisées du Barça et du Real


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La plainte du Barça contre les commentaires d’après-match de l’entraîneur madrilène José Mourinho (photo) est rejetée car l’UEFA.

L’instance disciplinaire de l’UEFA a rejeté lundi les plaintes croisées de Barcelone et du Real Madrid après leur demi-finale aller houleuse mercredi dernier.
AFP/SI - le 02 mai 2011, 16h34
LeMatin.ch & les agences


Lundi, l’instance disciplinaire de l’UEFA a rejeté les plaintes croisées de Barcelone et du Real Madrid après leur demi-finale aller houleuse (victoire barcelonaise 2-0) mercredi dernier. La plainte du Barça contre les commentaires d’après-match de l’entraîneur madrilène José Mourinho est rejetée car l’UEFA s’en était elle-même saisie auparavant et son cas sera examiné ce vendredi.
Le Real avait déposé plainte contre l’exclusion de son joueur Pepe et contre le comportement des joueurs du Barça. L’instance disciplinaire de l’UEFA a considéré qu’il n’y avait pas de stratégie établie des joueurs du Barça de provoquer. Dans le cas de Pepe, le carton rouge est maintenu. Il est donc bien suspendu pour la demi-finale retour mardi au Camp Nou.
Match de suspension
Pour son exclusion en cours de match, José Mourinho a écopé automatiquement d’un match de suspension pour la demi-finale retour à Barcelone mardi. Cette suspension l’interdit de zone technique (vestiaires, couloirs, banc de touche) dès son arrivée au stade. Elle le prive en théorie de tout contact avec ses joueurs pendant le match.
Mercredi dernier, «Mou», sur un ton pourtant mesuré, avait tenu des propos explosifs en conférence de presse après le match, devant une assistance ahurie et à côté d’un porte-parole du Real qui ne savait pas où se mettre. Un bombardement en règle: «Pourquoi il arrive toujours la même chose à chaque demi-finale (de Ligue des champions, avec les équipes qu’il entraîne, ndlr) ? Nous sommes en train de parler d’une équipe fantastique (le Barça). Je ne sais pas si c’est pour l’Unicef (le sponsor maillot du Barça), je ne sais pas si c’est le pouvoir de M. Villar (président de la Fédération espagnole de football) à l’UEFA. Je ne comprends pas».

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Vonn et Riesch, les deux amies du ski alpin, ne se parlent plus


Lindsey Vonn. © reuters

Maria Riesch s'est mariée le 16 avril dernier. © ap


La grande amitié entre l'Américaine Lindsey Vonn et l'Allemande Maria Riesch semble bien avoir fondu au terme de la Coupe du monde de ski alpin 2011, la première racontant dans une discussion sur Facebook postée samedi qu'elles ne se parlaient plus depuis le début mars.

Dans un long message, la triple lauréate de la Coupe du monde 2008, 2009 et 2010, donne sa version de l'hiver, où elle s'est fait souffler le grand globe de cristal pour trois points par Maria Riesch et s'est "sentie comme si une partie de la presse allemande (lui) avait déclaré la guerre cette année".

"J'ai arrêté de parler à Maria après la première manche du slalom de Spindler. Elle avait donné une série d'interviews négatives à mon sujet, et elle a continué à parler négativement de moi dans la presse depuis. J'ai été très blessée par ses gestes, et honnêtement, je ne sais pas bien où en est notre amitié à ce point-ci", raconte la championne olympique de descente.

Pas les bienvenus
Selon elle, c'est "cette hostilité croissante du camp Riesch" à son encontre, qui l'a poussée à ne pas se rendre au mariage de Maria le 16 avril, et non le fait que sa rivale ait réussi à la cantonner au rôle de dauphine cette saison. "La vérité est que mon mari et moi, nous ne nous sentions pas les bienvenus", écrit Lindsey Vonn.

Les deux jeunes femmes de 26 ans se connaissent depuis l'adolescence et ont pris l'habitude de passer Noël ensemble dans la maison des Riesch à Garmisch-Partenkirchen. Mais alors que Vonn avait dominé les trois précédentes saisons, leurs accolades se sont crispées depuis les Championnats du monde en février dans la station bavaroise, suivis par la rude bataille finale que les deux skieuses se sont livrées en Coupe du monde.

"Même si Maria et moi avons cessé de nous parler depuis Splinder, j'ai toujours un énorme un respect pour elle en tant qu'athlète et je l'ai félicitée en personne pendant que je l'embrassais sur le podium des Finales à Lenzerheide", souligne la star du ski alpin féminin. (afp)

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Un champion d'UFC perd 11 kg en un jour


Georges Saint-Pierre avec 77 kg.
Georges Saint-Pierre est un champion d'UFC (Ultimate Fighting). Il a surtout la capacité de perdre plus de 10 kg (11 pour être plus précis) en une seule journée pour la pesée. Explications.




Régime et sauna
Plusieurs fois champion dans la catégorie "Welterweight", la réputation de Georges Saint-Pierre n'est plus à faire. A 30 ans, le Canadien est un incontournable dans ce sport de combat mélangeant différents arts martiaux, comme le rappelle Zigonet. S'il pèse habituellement 88 kg, il est beaucoup trop lourd pour concourir dans la catégorie "Welterweight" (entre 70 et 77 kg). Du coup, il suit un régime drastique "à base de protéines et de légumes." La seconde étape, bien plus importante, est le sauna. Pendant plusieurs heures, il perd beaucoup d'eau jusqu'à arriver à un poids de 77 kg.

"Il retrouve facilement ses 88 kilos"
"Après avoir atteint le poids de 77 kilos à la pesée, il boit de l'hydrate de carbone, et mange et boit normalement pour se réhydrater. C'est comme ça qu'il retrouve le poids de 88 kilos lors du combat", ajoute son entraîneur Firas Zahabi.

Risques de santé
C'est une technique courante dans les sports où le poids est mesuré avant la compétition, comme c'est le cas en boxe et lors des courses hippiques. Si ce n'est pas de la tricherie, les risques pour la santé des athlètes sont énormes. (chds)

Pas trop normal non?

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bug

Les zones des gardiens mal dimensionnées


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C’est le portier français qui s’est le premier rendu compte de l’erreur. Après six matches disputés sur des glaces non conformes aux lois de l’IIHF!
Le Français Fabrice Lhenry a alerté les organisateurs, qui ont redessiné les périmètres.
T. D. - le 02 mai 2011, 23h31
Le Matin


Championnats du monde Kosice (SLQ)
La scène est cocasse: tandis que seuls quelques soiffards rient encore à tout rompre dans une Steel Arena vidée de son public, tard dimanche soir, les maîtres de glace commencent à effacer les zones des gardiens (le périmètre bleu devant chaque cage) telles qu’elles avaient été dessinées. Pour savoir quelle mouche les a piqués, il faut attendre le fin mot de l’histoire, soufflé hier matin: ces zones avaient été mal dessinées!
«C’est exact, j’ai eu vent de cette histoire, admet le président de la Fédération internationale de hockey sur glace, René Fasel. L’erreur a été corrigée dans la nuit de dimanche à lundi.» Soit après six matches disputés sur des glaces non conformes aux lois de l’IIHF. C’est le gardien français Fabrice Lhenry qui a remarqué le bug, à l’entraînement, puis en match dimanche. La différence portait sur une quinzaine de centimètres. L’erreur est plus qu’anecdotique: pour un portier qui se repérerait partiellement en fonction de sa zone, un tel décalage peut être fatal. «C’est le cas de Fabrice, apparemment, qui se demandait pourquoi tant de pucks lui passaient si facilement du côté de la mitaine, souffle un membre de l’entourage de l’équipe de France. En fait, le but n’était pas centré dans la zone, ce qui l’a perturbé.»
Pas une excuse
Evidemment, les Tricolores ne cherchent pas là une excuse à leur rouste contre le Canada (9-1). La bourde, curieuse dans l’organisation d’une compétition telle que des Championnats du monde, fait plutôt sourire René Fasel. «On sait que les gardiens aiment trouver des excuses, lance le Fribourgeois. Mais, du coup, on n’aura pas d’autre choix que de procéder à des mesures systématiques à l’avenir.»

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AUTOMOBILISME

Simona De Silvestro: quel week-end!


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La Vaudoise se souviendra longtemps de sa fin de semaine brésilienne. La course s’est jouée en deux jours et s’est terminée sur un exploit de la Romande.
Jean-Claude Schertenleib - le 02 mai 2011, 22h09
Le Matin


Indycar São Paulo (Bré)
Dans les rues de São Paulo, 2e édition. Il y a douze mois, Simona De Silvestro y découvrait sa nouvelle catégorie, le sommet du sport automobile aux Etats-Unis: l’Indycar et son épreuve mythique, les 500 Miles d’Indianapolis. Dans des conditions d’adhérence difficiles, elle s’était même retrouvé quelques tours en tête, bluffant tous les observateurs.
Le même décor, le même ciel mais en pire, fin avril 2011. Vendredi, lors de la première séance d’essais libres, sa voiture connaît un problème mécanique dès le premier tour, la matinée est perdue. L’après-midi, la Vaudoise signe le deuxième chrono absolu: entre les murs où défilent une fois l’an les écoles de samba, elle se régale.
Premier virage
Qualifiée avec le douzième chrono, elle se sent prête dimanche matin. Ce d’autant plus qu’elle signe le quatrième temps du warm-up d’avant-course. Le départ, sous une pluie de plus en plus violente, est donné derrière la voiture de sécurité; lorsque celle-ci s’écarte et que le peloton arrive dans la première chicane, le jeu de massacre commence: la star brésilienne Helio Castroneves n’évite pas le mur, De Silvestro s’arrête à quelques centimètres, lorsque sa Dallara, soudainement, s’envole dans l’air mouillé: Danica Patrick, qui vient d’être touchée par un autre concurrent, s’est enfilée sous la monoplace de sa collègue de course: «Ma voiture n’avait que peu de dégâts, elle était juste dans une position inconfortable. J’ai demandé aux commissaires si je pouvais rester dans mon cockpit, pour repartir au plus vite, ils ont estimé que ce serait trop dangereux.»
Dix minutes plus tard, en plusieurs endroits du circuit, de nouveaux accidents surviennent, obligeant la direction de course à présenter le drapeau rouge. On s’affaire dans les garages, on tente par tous les moyens de nettoyer et de sécher la piste. Tard dans la soirée, tout le monde se donne finalement rendez-vous à lundi matin.
Impressionnante
La course ayant été arrêtée après 10 tours la veille, Simona De Silvestro est parmi les concurrents qui n’en ont couvert qu’un seul. Vingt-deuxième sur la grille à 9 tours du leader, elle sait qu’elle n’a rien à espérer en termes de résultat. En revanche, elle va se faire remarquer: sous la pluie revenue, la Vaudoise va tout simplement signer le meilleur chrono de la course et récupérer sur tout le peloton l’un de ses tours de retard de la veille. Pour une vingtième place finale: «Bien sûr qu’il y a de la déception, mais la voiture fonctionnait si bien aujourd’hui qu’il faut positiver.» La pilote, elle aussi, a très bien fonctionné ce lundi sous la pluie.

http://www.youtube.com/watch?feature...&v=59x-FM17pLc