Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

ceci dit la Suisse à un bon panier

les matches doivent se faire et surtout ne pas prendre l'adversaire pour un con................Ni croire que nous sommes le nombril du monde..
Tu lis ben voilà suis objectif le sport n'à pas de frontières....

Bonne nuit Jaya

[Jaya]

Envoyé par danlos

Pas de coupe du monde pour nos petits bleus...
Mais je ne comprends pas comment peuvent être désigné les têtes de série avec le classement FIFA. Comment est-ce possible qu'un pays comme la Norvège qui ne fait pas de compèt internationale depuis 13 ans est devant la France qui est première de son groupe qualif de l'euro et qui a fait la Coupe du Monde l'an passé

De toute façon un petit barrage ne fait pas de mal, contre l'Irlande en 2009, tout le monde s'en rappelle.

Idem pour la Grèce, on aurait du faire un troc, la place de tête de série contre un sac de riz

[Norton]

Envoyé par Jaya

Idem pour la Grèce, on aurait du faire un troc, la place de tête de série contre un sac de riz

Là Monsieur Jaya tu mélanges les torchons avec les serviettes, ici c'est SPORT OK?

pour les problèmes de monnaie unique tu t'adresses au Français qui à lancer la MERDE.
fini ici c'est sports...
Maintenant si vous voulez..... libre à vous d'ouvrir un poste politico (voir raciste)
pour ma part je ne répondrai jamais sur un poste ainsi, Suis Suisse mais pas un trou du cul...

Une grosse pensée pour l'afrique qui crève la dalle

[Norton]

AUTOMOBILISME
Et revoilà Sebastian Vettel


30. juillet 2011, 22h23
Luc Domenjoz | Le Matin Dimanche


Lors des deux derniers Grands Prix, en Angleterre et en Allemagne, il s’avouait incapable de suivre le rythme des Ferrari et des McLaren.A Budapest, Sebastian Vettel retrouve la pole position.
Pour la huitième fois de la saison, l’Allemand s’élance aujourd’hui en pole position. © Keystone

Il l’avoue enfin: à Silverstone et au Nürburgring, les deux Grands Prix qui viennent de lui échapper, Sebastian Vettel n’était pas du tout à l’aise avec la tenue de route de sa Red Bull RB7. «En fait, je ne sais pas très bien ce qui s’est passé sur ces deux courses, analyse le champion du monde. Les conditions météo que nous avons eues là-bas étaient très différentes de tout ce que nous avions connu cette saison. A Silverstone et au Nürburgring, il faisait très frais. Et pour être franc, même ici, à Budapest, la température est d’au moins dix degrés inférieure à ce que nous avons d’habitude de connaître. Il est difficile d’en comprendre les raisons exactes, mais ce qui est sûr, c’est qu’avec ces météos fraîches, je devais lutter avec la voiture. Je n’arrivais pas à suivre le rythme des autres. Et quand vous perdez confiance, vous ne pouvez plus tirer le maximum de vous-même…»

Difficultés oubliées
Ici, ses difficultés semblent bel et bien oubliées. L’Allemand a signé hier le meilleur chrono des qualifications, tout à la fin de la séance. Avec un peu plus d’un dixième d’avance sur Lewis Hamilton, Sebastian Vettel retrouve donc la pole position pour la première fois depuis le Grand Prix d’Europe – qui avait aussi constitué sa dernière victoire. «Vendredi, je n’étais toujours pas satisfait de la voiture, explique le champion du monde. Mais nos gars ont énormément travaillé la nuit dernière. Nous n’avions pas de nouvelles pièces ici, mais ils ont changé le moteur et la boîte de vitesses, ainsi que plusieurs réglages. C’était un gros travail, ils sont rentrés à leur hôtel à 5 heures du matin, je crois. Mais ça en valait la peine: ce matin, quand j’ai pris la piste pour les essais libres, j’ai tout de suite senti que c’était nettement mieux. Dans ces cas-là, vous reprenez confiance dans la voiture et vous allez plus vite tout naturellement. Vous poussez la voiture plus loin à chaque virage… comment aurais-je pu les remercier pour leur travail mieux qu’en signant la pole?»

Une confiance retrouvée qui propulse l’Allemand en pole position pour la huitième fois de la saison. Cet après-midi, il essaiera de confirmer par sa première victoire depuis Valence. A moins que les deux pilotes McLaren, juste derrière lui, ne l’en empêchent. «Je suis content d’être en première ligne, commente Lewis Hamilton. Nous savions que notre voiture devait assez bien fonctionner ici, mais il semble que les Red Bull ont bien progressé depuis hier. Partir de la première ligne reste tout de même très positif.»

Buemi éliminé en Q1
Pour Sébastien Buemi, le week-end hongrois s’est compliqué dimanche dernier déjà, lorsque les commissaires de course du Grand Prix d’Allemagne ont décidé de lui infliger une pénalité pour son accrochage avec Nick Heidfeld – l’envol de la Lotus Renault de l’Allemand fut spectaculaire, mais le Suisse en a été tenu responsable de manière totalement injuste. «La télémétrie de ma voiture montre que ce tour-là, j’ai suivi exactement la même trajectoire qu’au tour précédent, explique le Vaudois. On ne peut donc pas prétendre que j’ai poussé Nick Heidfeld dans l’herbe!»

Condamné à se voir reculé de cinq places sur la grille de départ, Sébastien Buemi a adapté en conséquence sa stratégie de qualification: «Nous savions que nous ne pourrions guère faire mieux que 17e ou 18e, poursuit-il. Fichu pour fichu, nous avons préféré économiser les pneus «super-tendres» que Pirelli a amenés ici, ne pas rouler avec eux et les garder pour la course. Ils sont presque une seconde plus rapide que les autres pneus, et il m’en reste donc trois trains neufs. Ça peut me permettre d’adopter une stratégie décalée pour essayer de remonter les places.»

A Valence, au Grand Prix d’Europe, c’est exactement ce qu’a fait son coéquipier, Jaime Alguersuari. Parti 18e, l’Espagnol avait réussi à marquer les quatre points de la huitième place sans jamais doubler personne, en appliquant une stratégie différente de ses adversaires.

Cet après-midi, Sébastien Buemi prendra le départ de la 23e et avant-dernière place. Sur un circuit où les dépassements sont aussi difficiles que sur le tourniquet de Budapest, il va toutefois falloir une tactique de génie pour permettre au Vaudois de marquer des points.

Rien de plus le championnat est plié dès le départ

[Norton]

FOOTBALL
La sélection helvétique connaît son itinéraire jusqu’au Brésil




30. juillet 2011, 23h20
Julien Caloz


Les hommes d’Ottmar Hitzfeld affronteront la Norvège, la Slovénie, l’Albanie, Chypre et l’Islande dans le groupe E des qualifications à la Coupe du monde 2014 au Brésil. La course au Mondial se déroulera du 7 septembre 2012 au 15 octobre 2013.
Ronaldo est devenu le douzième homme de l’équipe de Suisse lors du tirage au sort, hier à Rio de Janeiro. © Keystone

A la grande loterie du football mondial (203 sélections, 31 qualifiées), l’équipe de Suisse a touché le jackpot. Les prévisions les plus pessimistes lui promettaient l’Espagne et la France dans un groupe inabordable; la voici face à des sélections largement à sa portée, voire plus si affinités. La Coupe du monde au Brésil (du 12 juin au 13 juillet 2014) est subitement devenue un rêve accessible.

«On ne peut pas se plaindre du tirage au sort, a immédiatement réagi le sélectionneur adjoint Michel Pont, invité sur le plateau de la TSR. La tête de série du groupe (ndlr: la Norvège) est abordable, malgré notre défaite 1-0 face aux Scandinaves en novembre 2009 à Genève. C’est un tirage relativement clément. On va avoir l’ambition de jouer la première place.» «Il s’agit d’un groupe ouvert et jouable, a abondé Ottmar Hitzfeld. Je suis content d’avoir évité les favoris que sont l’Espagne, les Pays-Bas et l’Allemagne. On peut aussi être satisfaits de ne pas avoir tiré la France ou la Russie parmi les pays du deuxième chapeau. En résumé, je peux dire qu’il s’agit d’un très bon tirage.»

Il faudra faire le jeu
Le discours engagé révèle la première des certitudes: au terme de la cérémonie d’hier soir, la sélection helvétique est subitement débarrassée du complexe d’infériorité qui l’a longtemps accompagnée jusque dans la surface de réparation adverse. «On espère que la nouvelle génération conserve son enthousiasme et ses capacités. Cela nous sera utile, a poursuivi Michel Pont, joint par téléphone entre deux sollicitations médiatiques. Les jeunes ne devront surtout pas tomber dans l’excès de confiance. Nous devrons respecter ces équipes et faire preuve de modestie.»

Les formidables perspectives offertes par Ronaldo, dont la main fut aussi heureuse pour l’équipe de Suisse que celle de Diego Maradona pour l’Argentine en 1986, donnent également de nouvelles responsabilités aux hommes d’Ottmar Hitzfeld. Ils avaient appris à faire déjouer les grandes nations (Espagne, Angleterre, etc.); ils devront désormais créer le jeu en s’inspirant de leur sortie audacieuse à Wembley, le 4 juin dernier (2-2). «Les trois derniers matches de qualifications à l’Euro 2012 serviront de baromètre, explique le sélectionneur adjoint. On verra alors comment la nouvelle génération se comporte lors de rencontres couperets face à des adversaires qui sont à notre portée. Nous devrons maîtriser autant le jeu que nos nerfs.»

L’Espagne face à la France
Dans le groupe I, les champions du monde espagnols devront se mesurer à la France. Le plus mauvais deuxième des neuf groupes étant automatiquement éliminé, l’un des deux pays a donc de grandes chances de se retrouver éjecté dès la phase préliminaire. La Roja et les Bleus se sont déjà affrontés à 30 reprises et lors des quatre dernières confrontations, les joueurs de Del Bosque l’ont emporté à trois reprises contre un succès pour les Bleus, celui qui avait éliminé les coéquipiers de Casillas en 8e de finale du Mondial 2006 (3-1). Pour les trois autres nations du groupe I, le Biélorussie, la Géorgie et la Finlande, l’espoir de passer l’obstacle est plus que mince.

Les autres têtes de série placées dans le premier chapeau ont été préservées par la main clémente de Ronaldo. Finalistes malheureux en 2010, les Pays-Bas devront surtout se méfier de la Turquie et de la Roumanie dans le groupe D. L’Allemagne, 3e en Afrique du Sud, aura pour sa part dans le viseur la Suède et l’Eire dans le groupe C, ainsi que son voisin autrichien.

Toutes ces équipes, dans le cas où elles seraient qualifiées, ne sont cependant pas encore certaines de disputer le Mondial sur le sol brésilien. Les infrastructures ont pris un retard inquiétant. Neuf stades sur douze sont dans le viseur des dirigeants de la FIFA.

Début mai, le magazine national Veja titrait d’ailleurs: «Le Brésil sera prêt en… 2038!»

[Norton]

Tennis: Marion Bartoli en finale du tournoi WTA de Stanford sans jouer


AFP - 30. juillet 2011, 23h08


La Française Marion Bartoli va arriver avec toutes ses forces en finale du tournoi WTA de Stanford après le forfait de son adversaire en demi-finale, la Slovaque Dominika Cibulkova, souffrant aux muscles abdominaux, samedi.
Marion Bartoli le 27 juillet 2011 à Standford, lors de son match contre la canadienne Rebecca Marino © AFP/Getty Images

Bartoli, qui n'avait disputé que sept jeux en quart de finale face à la Japonaise Ayumi Morita, contrainte à l'abandon à cause d'une blessure à la cheville droite après avoir perdu le premier set 6-1, n'a même pas eu besoin de jouer samedi.
Demi-finaliste à Roland-Garros et quart de finaliste à Wimbledon, Bartoli, 26 ans, tentera de remporter de son deuxième titre de l'année après son succès sur le gazon d'Eastbourne et le septième de sa carrière.
Pour sa quatrième finale en 2011 et sa troisième à Stanford (défaite en 2008 et victoire en 2009), Marion Bartoli aura pour adversaire soit l'Américaine Serena Williams, tombeuse de la Russe Maria Sharapova, finaliste à Wimbledon, 6-1, 6-3 vendredi en quart, soit l'Allemande Sabine Lisicki.
Lisicki, 21 ans, a atteint les demi-finales du dernier Wimbledon après avoir battu...Bartoli en quart de finale

[Norton]

Mondial-2014: France avec Espagne, Belarus, Géorgie et Finlande


AFP - 30. juillet 2011, 22h34


La France est tombée samedi dans un groupe comprenant l'équipe que tout le monde voulait éviter, l'Espagne, championne du monde et d'Europe en titre, dans un groupe I à cinq équipes avec Belarus, Géorgie et Finlande pour les qualifications du Mondial-2014.
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Le président de la FIFA Joseph Blatter prononce un discours lors du tirage au sort des qualifications de la zone Europe, le 30 juillet 2011 à Rio de Janeiro AFP

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1312057884453-1-0.jpg Tirage au sort des qualifications de la zone Europe, le 30 juillet 2011 à Rio de Janeiro AFP




L'équipe de France, placée dans le chapeau 2 de la zone Europe et non tête de série au tirage au sort, pouvait craindre le pire et le pire est arrivé: seul le premier des neuf groupes est qualifié directement et les 8 meilleurs deuxièmes doivent passer par des barrages.
"C'est un groupe extrêmement difficile, a commenté le président de la FFF, Noël Le Graët, au micro d'Eurosport. Mais on a le temps de progresser, on peut trouver des motifs de satisfaction. Il faut absolument finir premiers. On doit se rapprocher de cette équipe d'Espagne et être très compétitifs. Il reste un an et demi pour se préparer."
Les qualifications se joueront du 7 septembre 2012 au 15 octobre 2013.
Il faudra avoir les reins solides face à l'Espagne des Xavi et Iniesta, champions du monde et d'Europe en titre. Le souvenir de la défaite cuisante subie en mars 2010 en amical face à la "Roja" au Stade de France (2-0) est encore bien vivace et avait montré l'écart abyssal existant désormais entre les deux pays.
Et il n'est pas sûr que la donne soit totalement modifiée d'ici septembre 2012, date du début de la phase qualificative.
La formule de qualification de la zone Europe est désormais redoutable: les premiers de chacun des neuf groupes (huit groupes de six équipes et un groupe de cinq équipes, celui de la France) se qualifient pour la Coupe du monde, les huit meilleurs deuxièmes de ces groupes accèderont aux barrages.
Autant dire que les Bleus n'auront pas le droit à l'erreur pour sortir indemnes de leur poule, la chance -par la main de Ronaldo qui a effectué le tirage samedi à Rio- ne leur ayant pas souri du tout au tirage.
Le changement des critères pour la désignation des neuf têtes de série européennes, désormais établies en fonction du classement Fifa, annonçait de mauvais jours pour les Bleus, qui ont perdu leur statut de grande puissance continentale depuis le fiasco de la Coupe du monde 2010.
Un premier couperet était donc tombé mercredi dernier, jour de l'établissement des têtes de série par la Fifa, et sonnait comme une évidence: seulement 15e nation mondiale, et surtout 10e en Europe, la France s'exposait à un grand danger sur la route du Mondial au Brésil. C'est fait avec le numéro un mondial et européen sur son chemin.
Dans les autres zone du monde, l'Afrique se frotte déjà les mains et salive avec le choc de la Côte d'Ivoire de Drogba face au Maroc dans le groupe C. L'Algérie devra surveiller le Mali dans le groupe H.
En Asie, ce ne sera pas simple pour le Japon qui rencontrera la Corée du Nord (dans un groupe C qui compte aussi l'Ouzbékistan et la Syrie).

[Norton]

Championnats de France: dans l'ombre de Lemaitre et sous le signe du vent


AFP - 30. juillet 2011, 21h05


Seul le vent trop favorable a empêché Christophe Lemaitre d'inscrire à son palmarès le record de France du 200 m (20.08) en finale des Championnats de France, samedi à Albi, après avoir battu, la veille, sa marque nationale du 100 m (9.92), qu'il ne cesse de rafraîchir.
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Christophe Lemaitre est entouré de photographes, le 30 juillet 2011 à Albi, après avoir remporté le 200 m en 20 sec 08 AFP

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1312052536339-1-0.jpg Myriam Soumaré franchit la ligne d'arrivée du 200 m, le 30 juillet 2011 à Albi AFP




Privé d'apothéose, le triple champion d'Europe l'a pris avec philosophie. "Je l'avais (le record) dans les jambes, mais il y a des facteurs comme la météo qu'on ne peut pas contrôler. Le plus important c'est d'avoir le titre. J'ai passé trois jours super dans ce stade", a-t-il expliqué.
Pour un souffle au-delà de la limite admise (+2,3 m/s contre +2 m/s), le plus ancien record de l'athlétisme tricolore, les 20 sec 16 de Gilles Quénéhervé, vieux de presque 24 ans, résiste donc encore.
Lemaitre, 21 ans, l'avait égalé il y a un an, en finale des +France+ 2010 à Valence.
Sous le sceau du Savoyard qui, foulée après foulée, se rapproche des tout meilleurs mondiaux, le cru 2011 n'a pas été fameux, la faute, selon le DTN Ghani Yalouz, au vent et aux trop nombreuses absences. Des défections pour blessures (Teddy Tamgho, Ladji Doucouré, Leslie Djhone) mais aussi pour mauvaise conduite. Mehdi Baala et Mahiedine Mekhissi ont ainsi été privés de compétitions pour s'être battus sur la piste de Monaco la semaine dernière.
Dans l'optique des Mondiaux de Daegu (27 août - 4 septembre), le directeur technique national tablait sur une cinquantaine de sélectionnés. Seuls deux minima (Véronique Mang et Myriam Soumaré sur 100 m) se sont ajoutés au +panier+ à Albi. Le comité de sélection, qui se réunit ce dimanche, va devoir repêcher donc, en pensant aussi aux Jeux de Londres.
Le relais 4X400 m dames, qui ne vaut pas une finale mondiale, pourrait néanmoins être du groupe en Extrême-Orient pour y chercher sa qualification olympique.
"Mon objectif majeur est d'emmener des athlètes qui ont l'envie de la gagne", a souligné M. Yalouz, citant en exemple le perchiste Renaud Lavillenie.
Mais, justement, le champion continental en plein air et en salle est déjà assuré du voyage en Corée du Sud. Le plus haut au monde cette saison (5,90 m), Lavillenie a néanmoins subi au Stadium trois échecs à sa mesure d'entrée à 5,73 m. Pour le plus grand bonheur du local Romain Mesnil, qui s'est imposé avec cette barre franchie au 3e essai.
"J'ai tenté des choses et ça n'est pas passé. Ce n'est pas une question de hauteur. Le vent a été un peu irrégulier, ce qui a joué sur des erreurs de marques. A ce niveau-là, ça se paie cash. Il n'y a pas d'inquiétude à avoir, les Championnats du monde c'est dans un mois. Mon objectif, c'est une médaille", a expliqué le Clermontois.
Autre athlète déjà en règle, Dimitri Bascou a survolé le 110 m haies en 13 sec 26, sans l'aiguillon de Doucouré et surtout de Garfield Darien mais survolté par un vent délirant (4,1 m/s).
Le 3000 m steeple était l'épreuve la plus relevé en terme de quotas. En incluant le vice-champion olympique Mekhissi, dont la présence à Daegu dépend de la décision de la commission de discipline, ils sont cinq à avoir réalisé le chrono requis.
Derrière Bouabdellah Tahri, facile vainqueur, Vincent Zouaoui-Dandrieux a assuré sa place. Nourredine Gezzar, troisième à Albi, est en réserve au cas où Mekhissi serait lourdement sanctionné jeudi prochain à Paris

[Norton]

Rallye de Finlande: Sébastien Loeb s'impose pour la deuxième fois


AFP - 30. juillet 2011, 18h57


Le Français Sébastien Loeb (Citroën DS3) a remporté samedi à Jyvaskyla le rallye de Finlande, 8e manche du Championnat du monde (WRC), devant le Finlandais Jari-Matti Latvala (Ford Fiesta RS) et son coéquipier et compatriote Sébastien Ogier.
Le pilote français Sébastien Loeb sur sa Citroën DS3, le 30 juillet 2011 à Jyvaskyla lors du rallye de Finlande © AFP

Loeb, déjà vainqueur ici en 2008, obtient la 66e victoire de sa carrière en WRC et conforte sa place à la tête du classement mondial après huit épreuves sur treize prévues au calendrier.

[Norton]

Philippe Gilbert remporte la Clasica San Sebastian


Si - 30. juillet 2011, 18h03


Philippe Gilbert (Omega Pharma-Lotto) est irrésistible dans les courses d'un jour cette année. Le champion de Belgique a remporté en solitaire la Clasica San Sebastian.
Gilbert a placé un démarrage irrésistible à 4 km de l'arrivée dans la ville basque. Le groupe des favoris n'a pas été en mesure de réagir. Philippe Gilbert a franchi la ligne avec 12'' d'avance sur Carlos Barredo (Esp), Greg Van Avermaet (Be) et une petite dizaine d'autres coureurs, dont Frank Schleck (Lux) et Samuel Sanchez (Esp).
Le Belge a contré sans problème les tentatives d'attaque de Sanchez dans le col du Jaizkibel, principale difficulté du parcours long de 234 km. Gilbert a notamment déjà gagné cette année l'Amstel Gold Race, la Flèche wallonne et Liège-Bastogne-Liège. Il avait aussi remporté la 1re étape du Tour de France, ce qui lui avait permis d'endosser le maillot jaune.