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Le PSG frappe fort: Javier Pastore signe pour 43 millions


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Le transfert du milieu international argentin Javier Pastore (Palerme) au Paris SG a été finalisé pour 43 millions d'euros, a indiqué samedi l'agence italienne ANSA.

ANSA évoque un "paiement triennal" et assure que ce transfert, finalisé dans la nuit de vendredi à samedi, a été confirmé par le président de Palerme Maurizio Zamparini.

Avec déjà près de 40 millions d'euros dépensés cet été pour sept joueurs (Douchez, Gameiro, Bisevac, Matuidi, Menez, Sissoko, Sirigu), le PSG en dépenserait plus de 80 millions au total pour 8 joueurs avec Pastore. Le PSG serait alors assuré de reprendre deux "records" hexagonaux: celui du mercato le plus pharaonique, et celui du joueur le plus coûteux de la L1.

Alors qu'il était annoncé dans les plus grands club d'Europe, il signe au PSG

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Philippe Gilbert remporte la Clasica San Sebastian


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Philippe Gilbert (Omega-Pharma Lotto) s'est imposé samedi dans la 31e édition de la Clasica San Sebastian, la classique cycliste disputée au Pays Basque d'une distance de 234 km autour de la ville de Saint-Sébastien. Il a devancé dans cette 18e des 27 épreuves du World Tour l'Espagnol Carlos Barredo (Rabobank), lauréat de la course en 2009, qui a pris la 2e place à 12 secondes. Greg Van Avermaet (BMC), le vainqueur du récent Tour de Wallonie, s'est classé 3e à 14 secondes. Dries Devenyns (Quick Step), 5e à 14 secondes, et Jelle Vanendert, 10e à 50 secondes, permettent à la Belgique de compter quatre représentants dans le Top 10.

Le champion de Belgique a placé un démarrage irrésistible à 3,7 km de l'arrivée. Ce 19e succès de la saison (critériums compris) lui permet de succéder au palmarès à l'Espagnol Luis Leon Sanchez.

Il devient aussi le premier Belge à s'imposer sur le difficile parcours basque depuis 28 ans et Claudy Criquielion, vainqueur en 1983.

Il s'agit de la 4e victoire de Gilbert dans une classique du World Tour cette saison après ses succès dans l'Amstel Gold Race, la Flèche Wallonne et Liège-Bastogne-Liège. (belga)


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Quelle saison pour lui

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Quelle saison pour lui

Pour moi c'est un grand parmis les grands

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Tennis
Granollers, la surprise de Gstaad


31. juillet 2011, 23h33
Gaëlle Cajeux | Le Matin


Tombeur de Wawrinka et de Youzhny, Marcel Granollers (25 ans) s'est offert une troisième tête de série dans l'Oberland bernois, Fernando Verdasco, pour décrocher le deuxième titre de sa carrière.
Bain de mousse de champagne pour Marcel Granollers (à g.) et c'est Fernando Verdasco qui fait le shampoing. Car les deux finalistes espagnols sont amis hors des courts. © Keystone

Dans les tribunes, Marc Lopez, son ami et futur partenaire de double à Kitzbühel - les deux hommes ont fait le déplacement en Autriche hier dans la soirée -, n'est plus seul à encourager Marcel Granollers (ATP 45), qui évolue sans coach depuis avril dernier. Javier et Montse sont venus étoffer le clan de leur fils, invité surprise de cette finale de l'Open de Gstaad. «Mes parents ne peuvent pas souvent venir me voir car ils travaillent ( lui est directeur commercial et elle enseignante ). Là, ça jouait parce que c'était un dimanche. Ils ont trouvé un billet d'avion à la dernière minute samedi et sont arrivés vers 1 heure du matin à Gstaad», explique Marcel Granollers, le regard écarquillé de l'enfant émotionné.

Encouragé par «les personnes qui comptent le plus dans ma vie», le Barcelonais de 25 ans s'est offert dans l'Oberland bernois le deuxième titre de sa carrière - après Houston en 2008 - en dominant son compatriote Fernando Verdasco (ATP 20), 6-4 3-6 6-3.

Quelle fut la clé dans ce qui fut leur première confrontation? «J'ai très bien servi, j'étais très solide sur ma ligne de fond et je pense avoir été particulièrement agressif dans le premier set. Ensuite, j'ai su garder mon calme.» «Je suis tellement heureux pour lui, c'est un battant, il court sur toutes les balles, remarque Marc Lopez. Il vient de réaliser une semaine incroyable en battant trois têtes de série, Wawrinka, Youzhny et maintenant Verdasco!»

Le vaincu rappelle: «Voilà quinze jours, on était à Austin pour la Coupe Davis, nous avons disputé le double ensemble. Nous avons une super-relation.» Le gaucher madrilène s'est donc fait un plaisir d'arroser son «bourreau» au champagne. Granollers a savouré, l'a félicité. «Bravo à toi Fernando, j'espère que tu retrouveras le classement que tu mérites, dans le top 10.» Lui-même assure ne pas se fixer d'objectif chiffré. «Je me concentre jour après jour. Je m'entraîne dur et je pense que mon ranking évoluera naturellement.»

Abandon à Hambourg
Pour l'heure, il se dit heureux de «pouvoir partager ce moment avec mes parents, car ils connaissent les difficultés, savent tout le travail qu'il y a derrière cette victoire». Avant elle, le droitier affichait un palmarès 2011 bien maigre, deux quarts de finale et une kyrielle d'éliminations prématurées, ne dépassant pas le 2e tour lors de 15 de ses 18 derniers tournois.

Et une semaine avant l'Open de Gstaad, Marcel Granollers avait dû se retirer du tournoi de Hambourg en raison de «violentes douleurs dans le bras droit», qu'il ressent depuis Wimbledon. «Je suis rentré chez moi, je n'ai rien fait, je me suis juste reposé, puis j'ai décidé de venir à Gstaad. Et j'ai commencé à jouer de mieux en mieux. Maintenant je suis là, vainqueur du tournoi. C'est incroyable!» lance celui qui, au début de la finale, avait choisi de retourner plutôt que de servir. «Ce n'était pas une tactique, juste un feeling que j'ai eu.»
Interview
Fernando Verdasco - Finaliste à Gstaad

Fernando Verdasco, cette finale fut très serrée, elle aurait aussi pu basculer dans votre camp. Qu'est-ce qui a fait la différence?

Je ne sais pas vraiment. Un, deux points ont décidé du match et Marcel a mieux joué ces points importants que moi. Il a aussi très bien servi, c'était vraiment dur, même pas de le breaker, mais juste de retourner son service. Et puis il défendait très bien quand j'attaquais et étais agressif au filet. La semaine dernière, il était blessé au bras, il a dû se retirer du tournoi de Hambourg et jusqu'au dernier moment il ne savait pas s'il allait venir à Gstaad. Et finalement il a très bien joué toute la semaine, battant plusieurs bons joueurs et aujourd'hui il mérite vraiment cette victoire.

Sur quel sentiment quittez-vous Gstaad?

Quand vous disputez une finale, vous voulez toujours gagner. Mais bien sûr je préfère perdre en finale que plus tôt dans le tournoi. Je pense avoir bien joué toute la semaine, si l'on prend en compte la difficulté que représente le fait d'évoluer en altitude. Ce n'est simple pour personne. Mais j'ai atteint la finale, disputé un match serré. Donc je dois juste essayer de ne pas laisser la partie négative de la défaite me miner le moral, mais prendre ce qu'il y a de positif, me relever, conserver la confiance et la motivation de ces deux semaines dernières ( ndlr: avant Gstaad, il a atteint la demi-finale à Hambourg ) pour la tournée américaine.

Membre du top 10 l'an dernier, vous avez connu une année 2011 en dents de scie et dites livrer «une bataille pour la confiance».

En tennis, la confiance est quelque chose de très relatif. Tu gagnes quelques matches, ta confiance augmente, puis tu en perds et elle s'en va. Actuellement, je suis en confiance et je vais essayer de l'emmener avec moi aux Etats-Unis. Et de la renforcer pour retrouver le top 10 en fin d'année.

là...c'est grave, jamais entendu parler de ce Monsieur

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automobilisme
Jenson Button, le calme dans la tempête


31. juillet 2011, 23h30
Luc Domenjoz | Le Matin


Le Britannique a su gérer les difficultés d'un Grand Prix marqué par deux averses pour s'imposer devant Sebastian Vettel. Le plus fort se nommait pourtant Lewis Hamilton
Le Britannique s’est imposé en Hongrie sur le même circuit où il avait remporté son premier GP en 2006. © Keystone

Six passages par les stands! A Budapest, la course de Lewis Hamilton a été l'une des plus folles de la carrière du Britannique, qui n'a cessé de doubler et redoubler des adversaires, avant de partir en tête-à-queue, d'être pénalisé pour être reparti sans prendre garde aux autres, et de se tromper de choix de pneus - chaussant des pneus pluie alors que l'averse s'arrêtait.

Lewis Hamilton termine finalement son rodéo en quatrième place, alors que la course était remportée par son coéquipier Jenson Button. «Je suis content que nous ayons quatre semaines de vacances, plaisantait le vainqueur. Parce que je vais tellement faire la fête ce soir que j'aurai besoin d'un bon mois pour m'en remettre!»

En 2006, Jenson Button avait déjà remporté son premier Grand Prix ici, dans des conditions pratiquement similaires. «Oui, j'aime bien ce genre de course, ne me demandez pas pourquoi! J'ai pris garde à épargner mes pneus au début et, à la fin du premier relais, j'ai pensé que j'étais en mesure de gagner, parce que je voyais bien que les pneus de Lewis étaient dégradés. Mais c'était une course difficile, ça glissait partout. C'était très ardu de maintenir la voiture sur la piste, on ne pouvait même pas penser à doubler. Mais, quand Lewis s'est arrêté pour chausser des pneus pluie, en fin de course, il a commis une erreur. A mon avis, il ne pleuvait pas assez pour que ce soit justifié, et j'ai demandé à rester en pneus secs. C'était le bon choix...»

Tandis que Jenson Button s'auto-congratulait, Sebastian Vettel, deuxième, regrettait de n'avoir pas fait mieux. «Aujourd'hui, je ne suis vraiment pas très satisfait, commentait le champion du monde. Mon but, c'est de remporter les courses, pas de terminer deuxième. Bien sûr, beaucoup de mes adversaires au championnat ont terminé derrière, c'est positif. Mais j'aurais préféré gagner. Si l'on regarde toutes les fautes commises par les autres, une victoire était à ma portée.»

Bonne opération de Vettel
Au championnat, l'Allemand réalise pourtant la bonne opération de la journée. Avec les 18 points de sa deuxième place, il compte désormais 85 points d'avance sur son coéquipier Mark Webber, lui-même devançant de trois points Lewis Hamilton.

Alors que huit Grands Prix restent à disputer cette saison, Sebastian Vettel peut donc aborder les quatre semaines de vacances de la F1 avec sérénité. Sauf improbable bouleversement, il est bien en route pour décrocher son deuxième titre mondial consécutif.

[Norton]

football
Bastos assomme Porto


31. juillet 2011, 23h25
Johan Tachet | Le Matin


A une semaine de la reprise du championnat de France, l'Olympique Lyonnais a difficilement dominé une vaillante formation lusitanienne, hier soir à Genève.
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Le FC Porto accueillait l'Olympique Lyonnais, tant l'affluence du Stade de Genève était acquise à la cause du récent vainqueur de l'Europa League. En effet, c'est toute la communauté lusitanienne de Suisse romande fan des «Dragons» qui avait fait le déplacement du bout du lac pour encourager ses protégés. Durant toute la rencontre les chants ont résonné à la gloire des Moutinho, Kleber ou autres Souza. Le public portugais se délectant notamment de l'aisance technique de Ruben et d'Hulk. Ces deux derniers ont totalement survolé la rencontre de leur génie footballistique en créant le danger dans la défense lyonnaise.

Le FC Porto aura fait honneur à son statut de détenteur d'une coupe européenne en acculant dans son camp durant toute la rencontre une équipe de Lyon qui paraissait bien limitée. Vitesse, puissance, technique et jouerie pouvaient résumer l'hégémonie du champion du Portugal sur son adversaire. Lyon remporte certes la rencontre mais l'équipe a été dominée durant tout le match.

Une répétition générale inquiétante pour les «Gones» à une semaine de la reprise de leur championnat. Lyon remporte difficilement la première de ses cinq parties de préparation. Sans aucune nouvelle recrue, la prochaine quête de titre s'annonce difficile pour l'Olympique Lyonnais. De son côté le FC Porto peut sans aucun doute poursuivre sereinement sa préparation. Avant de lancer sa conquête d'une 26e consécration nationale et de jouer les trouble fêtes sur la scène européenne, Porto devra quand même s'atteler à gommer les errances défensives rencontrées hier soir qui lui auront coûté deux buts.

[Norton]

Formule 1
GP de Hongrie: victoire de Button, Buemi est 8e


31. juillet 2011, 16h04
LeMatin.ch & les agences

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Le Britannique Jenson Button a remporté dimanche le Grand Prix de F1 de Hongrie disputé sur le circuit du Hungaroring (4,4km). Au volant de sa McLaren, il a devancé l'Allemand Sebastian Vettel. Sébastien Buemi est 8e.
Le Britannique Jenson Button (McLaren). © Keystone

Le Britannique Jenson Button (McLaren) a remporté le Grand Prix de Hongrie de Formule 1, onzième épreuve de la saison, devant l’Allemand Sebastian Vettel (Red Bull) et l’Espagnol Fernando Alonso (Ferrari), dimanche sur le circuit du Hungaroring, près de Budapest.
Button, pour son 200e GP, s’est offert le plus beau des cadeaux, lui qui n’avait demandé qu’"un gâteau" à son écurie. Grâce à cette deuxième victoire de la saison, après trois courses très malchanceuses (trois incidents mécaniques, deux abandons) il recolle au groupe des prétendants - distancés - au titre.
Vettel, 2e alors qu’il était 4e aux deux tiers de la course, avec Hamilton et Alonso devant lui, peut soupirer d’aise. Au lieu de perdre du terrain sur ses plus dangereux adversaires, il consolide son avance au Championnat, qu’il mène désormais avec 85 longueurs d’avance sur son coéquipier, l’Australien Mark Webber, 5e.
Alonso, 3e, limite les dégâts, à bord d’une Ferrari n’ayant jamais vraiment été dans le rythme. D’autant que la Scuderia, dans des conditions météorologiques changeantes, avec quelques gouttes de pluie mouillant la piste durant les vingt derniers tours, s’est trompé de stratégie.
Le grand homme de la course, Lewis Hamilton (McLaren), termine 4e. Le Britannique, 2e sur la grille, a commencé par pousser à la faute Vettel, parti de la pole position, au terme de cinq tours d’attaque ininterrompue.
Il a ensuite creusé son écart, devant Button, qui s’était également défait du champion en titre. Mais un tête-à-queue à la 48e boucle, assorti d’une pénalité et d’un mauvais choix de pneumatiques de McLaren, l’a fait passer de la 1ère à la 6e place. Il a malgré tout repassé Massa (6e) et Webber, pour finir au pied du podium.
Le Britannique Paul di Resta (Force India) a terminé 7e, devant le Suisse Sébastien Buemi (Toro Rosso), auteur d’une superbe course, qu’il avait débutée de la 23e place sur la grille. L’Allemand Nico Rosberg (Mercedes) finit 9e, tandis que l’Espagnol Jaime Alguersuari, sur l’autre Toro Rosso, prend le point de la 10e place.

[Norton]

Record du monde pour le Chinois Yang au 1500 m nage libre


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Le Chinois Sun Yang est devenu champion du monde du 1500 m nage libre en battant le record du monde en 14 minutes 34 secondes 14/100es en finale des Mondiaux-2011 de natation, dimanche à Shanghai.

Sun a battu le record de l'Australien Grant Hackett (14:34.56), le plus vieux de la natation mondiale, qui avait été établi le 29 juillet 2001 lors des Mondiaux de Fukuoka au Japon.

Il a devancé le Canadien Ryan Cochrane, 2e en 14:44.46, et le Hongrois Kis Gergo, 3e en 14:45.66.

[Norton]

Xavier Malisse remporte le double messieurs à Los Angeles


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Xavier Malisse a remporté le double messieurs du tournoi de tennis de Los Angeles, épreuve ATP sur surface dure dotée de 619.500 dollars, dimanche en Californie.

Le numéro 1 belge et son partenaire bahaméen Mark Knowles, têtes de série N.3, se sont imposés 7-6 (7/3), 7-6 (12/10) en finale face au duo formé par l'Indien Somdev Devvarman et le Philippin Treat Conrad Heuy. La rencontre a duré 1 heure et 56 minutes.

C'est le sixième titre ATP en double pour le Courtraisien de 31 ans, le second cette année après celui conquis à Indian Wells avec l'Ukrainien Alexandr Dolgopolov. Xavier Malisse avait notamment remporté le double messieurs de Roland Garros en 2004 aux côtés d'Olivier Rochus

[Norton]

Serena Williams renoue avec la victoire à Stanford


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L'Américaine Serena Williams, retombée au 169e rang du classement mondial, a remporté le tournoi WTA sur surface dure de Stanford (721.000 dollas) en battant la Française Marion Bartoli, 9e mondial et 3e tête de série 7-5, 6-1, dimanche en finale, pour renouer avec le succès qui la fuyait depuis son sacre à Wimbledon en 2010.

Serena Williams, blessée aux pieds en marchant sur du verre cassé dans un restaurant en Allemagne juste après son triomphe sur le gazon londonien, avait ensuite été gravement malade et n'avait repris la compétition que juste avant l'édition 2011 de Wimbledon, où Bartoli l'avait éliminée en 8e de finale.

Serena Williams a gagné en Californie le 38e tournoi de sa carrière.