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[Norton]

Rafael Nadal remporte le tournoi d'Indian Wells

Rafael Nadal, aux anges.

Novak Djokovic, déçu.

Nadal remporte le 18e tournoi de sa carrière.

L'Espagnol Rafael Nadal, tête de série numéro 2, a remporté ce dimanche le tournoi ATP d'Indian Wells, comptant pour les Masters Series, en battant en finale le Serbe Novak Djokovic, en deux sets, 6-2, 7-5.

Nadal, 20 ans, a remporté le 18e tournoi de sa carrière au terme d'une partie inégale d'un peu plus d'1h30, au cours de laquelle Djokovic avait hypothéqué ses chances en ratant totalement son entame de match, n'inscrivant que 2 des 18 premiers points.

"Au premier set, il m'a bien aidé en faisant beaucoup de fautes. Au deuxième set, il a mieux joué et cela a été plus difficile. Je suis heureux de cette victoire. J'ai le sentiment que c'est une de mes plus belles victoires même si c'est mon septième titre du Masters Series", s'est félicité Nadal après la balle de match. "En arrivant ici, je ne m'imagineais pas gagner. Et c'est un drôle de sentiment de remporter cette finale sans perdre son service", a ajouté l'Espagnol.

Son dernier succès remontait à sa victoire à Roland-Garros l'an passé et sa dernière finale était à Wimbledon un mois plus tard, où il avait été battu par le Suisse Roger Federer. Le Majorquin succède au numéro 1 mondial Roger Federer, vainqueur des trois dernières éditions du tournoi d'Indian Wells, et battu dès son entrée en lice cette année par l'Argentin Guillermo Canas.

Djokovic, 19 ans, était en quête du 4e titre de sa carrière et du deuxième cette année après son succès à Adelaïde. En accédant à sa première finale d'un Masters Series, le Serbe est assuré d'entrer dans le Top 10 au classement mondial de lundi. Il est le premier joueur de moins de 20 ans à réussir cette performance depuis... Nadal en 2005.

Indian Wells est le premier tournoi Masters Series de la saison. Le deuxième débutera mercredi à Miami.

[Norton]

Kimi Räikkönen remporte le premier GP de la saison

Alonso (à gauche), champion du monde en titre, termine à la 2e place.

Spectaculaire collision entre David Coulthard et Alexander Wurz.

Le Finlandais Kimi Räikkönen (Ferrari) a remporté le Grand Prix d'Australie, première des 17 épreuves du Championnat du monde 2007 de Formule 1, dimanche sur le circuit de l'Albert Park à Melbourne.

Ferrari
Pour sa première victoire au volant d'une Ferrari, la 10e de sa carrière, Räikkönen a devancé les deux McLaren-Mercedes du double champion du monde espagnol Fernando Alonso et de son jeune coéquipier britannique Lewis Hamilton, auteur d'une très belle course pour son tout premier Grand Prix. Räikkönen est ainsi devenu le premier pilote depuis le Britannique Nigel Mansell au Brésil en 1989, à remporter une course pour la Scuderia dès son premier Grand Prix sous les couleurs de l'équipe italienne.

Bons débuts pour Hamilton
Pour son premier départ de F1, Hamilton, 22 ans, s'est montré brillant: tassé sur la droite par la BMW Sauber de Robert Kubica, il l'a contourné par l'arrière pour se retrouver à l'extérieur du premier virage, repasser le Polonais ainsi que son propre coéquipier, le double champion du monde Fernando Alonso! Au bout du compte, le Britannique est le premier pilote à terminer son tout premier Grand Prix sur le podium depuis le Canadien Jacques Villeneuve, 2e sur ce même circuit de l'Albert Park en 1996.

En tête
L'Allemand Nick Heidfeld (BMW Sauber), qui avait également réussi un très bon départ et pris le meilleur sur Alonso pour se retrouver dans le sillage de Räikkönen, parti de la pole, a tenu sa place jusqu'à ce qu'il ravitaille au 14e tour. Hamilton s'est alors retrouvé deuxième, puis en tête de son tout premier GP lorsque Räikkönen a ravitaillé au 18e tour.

Stratégie
Après la première salve de ravitaillements, c'est Heidfeld qui a fait la mauvaise opération, passé de la 2e à la 5e place. Devant, Räikkönen mène la course facilement, suivi de Hamilton, Alonso et Kubica. Parti de la dernière position sur la grille au volant de la seconde Ferrari, Felipe Massa et sa stratégie décalée à un seul ravitaillement, repasse au garage au 29e tour, à la mi-course, alors qu'il occupe la 7e place. Le Brésilien finira finalement 6e, échouant sur le fil à passer la Renault de l'Italien Giancarlo Fisichella, 5e. A l'occasion des seconds ravitaillements, Räikkönen conserve sa première place, mais Alonso qui a, cette fois, laissé Hamilton ravitailler le premier, lui ravit la deuxième place.

Accident
En fin de course, un accident spectaculaire s'est produit entre la Red Bull-Renault du Britannique David Coulthard et la Williams-Toyota d'Alexander Wurz. Le premier voulant faire l'intérieur au second manque son freinage et escalade la Williams. L'Autrichien voit alors la Red Bull lui passer au ras de la visière...

[bluesyman]

Le PSG est 2° au classement de la ligue 1 !!!!




oups, j'avais mis mon journal a l'envers...

rennes 1 - 0 PSG

[nofoot]

MDR

[Norton]

Lourds-légers WBA-WBC: Mormeck récupère ses deux titres

LEVALLOIS-PERRET (AFP)

Le boxeur Français Jean-Marc Mormeck à Levallois-Perret le 17 mars 2007© AFP Medhi Fedouach Le Français Jean-Marc Mormeck a réussi son pari et pris sa revanche sur le Jamaïquain O'Neil Bell, récupérant aux points les deux ceintures WBA et WBC des lourds-légers, samedi à Levallois-Perret, un peu plus d'un an après sa cuisante défaite face au même adversaire.
Le boxeur tricolore le savait, il jouait très gros, un nouveau revers après celui concédé en janvier 2006 au Madison Square Garden de New York sonnant sans doute le glas d'une carrière professionnelle débutée en 1995.
Mais pour son retour en France, cinq ans après son exil aux Etats-Unis, Mormeck a offert au public de Levallois un combat d'une rare intensité et a été fidèle au rendez-vous, remportant sa 33e victoire et donnant ainsi une nouvelle vigueur à son avenir pugilistique. Le sulfureux Don King, promoteur heureux du Français, peut se frotter les mains.
Face à un adversaire roublard et facétieux, Mormeck n'est jamais tombé dans le piège, gérant intelligemment les douze rounds. Moins mobile que Bell, il s'est rué à l'attaque dès la première reprise, usant paradoxalement d'une tactique qui lui avait été fatale l'année dernière à New York.
Mais ce choix, sans doute opéré en accord avec son expérimenté entraîneur Ritchie Giachetti, l'ex-coach de deux monstres sacrés des lourds Larry Holmes et Mike Tyson, a failli fonctionner à plein dès l'entame du combat.
Le Jamaïcain a été ainsi à deux doigts de vaciller dès la 3e reprise après une avalanche de coups du Français, sans doute piqué au vif par un coup au bas ventre de Bell.
Mais signe que cette revanche entre les deux hommes ne voulait pas choisir aussi rapidement son vainqueur, c'est le tenant du titre qui se rebellait et n'était pas loin de mettre son challengeur K.O dans le 6e round.
Outre la puissance de ses coups, le +showman+ Bell a également usé d'une autre arme en sa possession, la provocation. Lui qui a dû payer une caution pour quitter le territoire américain, accusé par son sparring-partner de l'avoir attaqué à coups de hache, a essayé par tous les moyens de déstabiliser Mormeck par ses mimiques, ou en tentant de lui faire la bise en plein combat.
Mais ce sont surtout ses qualités de puncheur et sa capacité à encaisser les coups qui ont retardé l'échéance et rendu l'issue indécise jusqu'au bout, comme dans cette 6e reprise, où Mormeck était sauvé in extremis de la débâcle par le gong.
Le tournant du combat s'est sans doute situé à cet instant, puisque Mormeck, sans doute mis en confiance par les pointages des juges, étrangement annoncés par le speaker tout au long du combat, décidait de changer de tactique et de jouer l'attentisme.
La fatigue faisait aussi son apparition chez le Français alors que Bell, bien que n'étant pas monté sur un ring depuis sa victoire contre Mormeck, restait toujours vaillant.
Mais au final, les juges décidaient de récompenser la prise de risques de Mormeck, lui offrant à l'unamité le droit de reprendre ses biens, abandonnés à contrecoeur l'année dernière.

[Norton]

Amélie Mauresmo, opérée de l'appendicite, absente six semaines

PARIS (AFP)

La Française Amélie Mauremos, le 23 février 2007 lors du tournoi de Dubaï© AFP Rabih Moghrabi La Française Amélie Mauresmo sera absente des courts pendant environ 6 semaines, après avoir été opérée de l'appendicite à Paris dimanche, a-t-on appris auprès de son attachée de presse, Alexia Dechaume-Balleret.
L'ancienne N.1 mondiale ne se "sentait pas bien" depuis vendredi et dimanche matin "elle a été opérée", a expliqué Dechaume-Balleret, interrogée par l'AFP.
Vendredi, Mauresmo avait été nommée chevalier de la Légion d'honneur par le chef de l'Etat.
"Déjà, elle ne se sentait pas bien. Elle avait des crampes d'estomac. Samedi, elle devait prendre l'avion pour Miami, mais le docteur Gilles Daubinet lui a conseillé d'attendre dimanche et de revenir le voir. Dimanche, cela n'allait pas mieux, elle a passé une échographie et l'hôpital l'a gardée pour l'opérer", a-t-elle affirmé.
"L'opération s'est bien passée mais selon les premières estimations des médecins, elle pourra reprendre une raquette dans 2 semaines et demie et la compétition dans environ 1 mois et demi", a ajouté l'ancienne joueuse, devenue attachée de presse de la N.1 française.
Mauresmo, qui devait participer au tournoi de Miami, qui débute mercredi, doit donc renoncer à sa tournée américaine, au cours de laquelle elle devait participer à Charleston et Amelia Island.
L'an passé à Miami, Mauresmo avait atteint les demi-finales, battue par la future gagnante la Russe Svetlana Kuznetsova.
Cette année, Mauresmo, qui passera de la 3e à la 4e place du classement mondial de lundi, avait prévu d'enchaîner, après Miami, les deux tournois américains qui se jouent sur terre battue, pour préparer Roland-Garros.
Sa participation à la Fed Cup, contre le Japon à Limoges (21-22 avril) est également remise en cause.
La période d'absence de la Française pourrait donc être de près de deux mois, puisqu'elle n'a pas joué depuis sa finale perdue à Dubaï, le 24 février, où elle avait été battue par la Belge Justine Henin.
Cette année, elle compte un titre (Anvers)

[Norton]

Saut à skis: Simon Ammann fête son deuxième succès de la saison

OSLO (ATS)
Simon Amman a fêté son deuxième succès en Coupe du monde cette saison en s'imposant dimanche à Hollmenkollen près d'Oslo. Le Saint-Gallois a devancé Martin Koch (Aut) et Matti Hautamäki (Fin). Le concours s'est disputé sur une seule manche en raison d'un vent trop violent.
Ammann a disposé de conditions de vol optimales pour se poser à 118,5 m et s'imposer avec une grande avance. Le Suisse s'était déjà imposé sur le tremplin norvégien en 2002, fêtant sa première victoire en Coupe du monde après son fantastique doublé de Salt Lake City. Cette saison, Ammann s'était imposé voilà trois mois à Lillehammer (No).
Adam Malysz, vainqueur la veille, a d'ailleurs failli tomber et a pu se redresser miraculeusement pour éviter la chute. Le Polonais n'a atterri qu'à 89 m. Il s'est classé au 54e rang.
De son côté, Andreas Küttel, deuxième samedi, a également manqué son concours avec un 47e rang.
Classement final après une manche: 1. Ammann 121,8 (118,5 m). 2. Koch (Aut) 113,9 (115,5). 3. Hautamäki (Fin) 110,4 (113). Puis: 7. Anders Jacobsen (No) 101,7 (109). 47. Küttel 67,4 (93). 54. Malysz 54,7 (89).

[Norton]

"Maradona est mort!"

Samedi, tôt dans la matinée, une nouvelle a ébranlé, tel un big bang, les ondes radiophoniques argentines. Une dépêche annonçait la mort de Diego Armando Maradona dans un accident de la route. Face à un début d’hystérie générale, le “Pibe De Oro” a dû intervenir en personne sur Radio del Plata pour rassurer des millions de concitoyens: "C'est moi ! Les morts, sauf exception, ne parlent pas. Je suis donc plus vivant que jamais."

Si l’ironie habita l’une des premières réactions du champion, elle ne dura qu’un temps, laissant vite place à la colère: "Ce matin, je me suis levé plus vivant que jamais quand j'ai entendu moi-même l'info. Je suis très énervé, on ne peut pas donner une nouvelle comme ça. Ma mère a 80 ans et elle aurait pu mourir d'un infarctus en écoutant une chose de ce genre."

En effet, Maradona a l’intention de faire payer les annonceurs du scoop: "Je parlerai avec le Président en personne, et le ministre de l'Intérieur m'a appelé pour comprendre l'évènement. J'ai en outre déja parlé avec mes avocats, et cette histoire ne peut pas s'arrêter ici. On ne peut pas diffuser la nouvelle affirmant que Maradona serait mort dans un accident... C'est fou. Je ne sais pas si quelqu'un me veut mort, mais je veux signifer clairement à tout le monde que je suis plus vivant que jamais."

[Norton]

Paris SG: neuf matches pour sauver le club
La détresse du Portugais du PSG Pauleta après un but raté, le 15 mars 2007 à Lisbonne
© AFP Nicolas AsfouriPARIS (AFP) - Le Paris SG, 19e de Ligue 1 à deux points du premier non relégable, Troyes, dispose de neuf matches pour tenter de s'extraire de la zone rouge et sauver le club d'une descente en L2 qui serait catastrophique.
Le calendrier s'avère à double tranchant: le PSG doit affronter des adversaires du haut de tableau (Lens et Bordeaux à l'extérieur, Lyon au Parc) mais aussi des concurrents directs dans l'optique du maintien: Nantes (qui aura disputé une demi-finale de Coupe de France à Marseille trois jours avant d'aller à Paris), Nice et Troyes.
Si le PSG s'est grillé un joker en perdant à Sedan (2-0), il peut aussi considérer que les résultats du week-end dernier réduisent la portée de sa défaite à Rennes, aucune équipe luttant pour le maintien ne l'ayant emporté. "Tout le monde peut descendre, a ainsi noté Sammy Traoré après le match en Bretagne. Heureusement que tout le monde a perdu derrière, sans quoi on serait bien décroché."
Calendrier de fin de saison du PSG:
30e journée, 1er avril: Lens - Paris SG
31e journée, 7 avril: Paris SG - Le Mans
32e journée, 14 avril: Bordeaux - Paris SG
33e journée, 21 avril: Paris SG - Nantes
34e journée, 28 avril: Toulouse - Paris SG
35e journée, 5 mai: Paris SG - Lyon
36e journée, 9 mai: Nice - Paris SG
37e journée, 19 mai: Paris SG - Troyes
38e journée, 26 mai: Lorient - Paris SG

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Mondiaux de natation: la Russie remporte un 2e titre en natation synchronisée

MELBOURNE (AFP)

La Russe Natalia Ischenko lors du solo technique le 19 mars 2007© AFP Antony Dickson La Russe Natalia Ischenko a remporté le solo technique et offert à son pays sa deuxième médaille d'or des Championnats du monde 2007 de natation synchronisée, lundi à Melbourne.
Derrière Ischenko (99,000 points), l'Espagnole Gemma Mengual Civil, (98,000) a terminé à la deuxième place. La "princesse de Barcelone", son surnom, a devancé la Japonaise Saho Harada (96,833) dans cette épreuve rajoutée pour la première fois au programme de la synchronisée.
La finale n'a pas apporté de grands bouleversements par rapport aux qualifications. L'Américaine Christina Jones, la Canadienne Marie Boudron-Gagnon, l'Italienne Beatrice Adelizzi et la Chinoise Wenyan Sun, qui a montré une progression, sont restées à distance du podium.
Sacrée dimanche dans le combiné libre, la Russie s'est également mise sur le chemin de la victoire pour le ballet technique par équipes, également une nouvelle épreuve. En dépit de quelques erreurs, les coéquipières d'Ischenko ont surclassé les Japonaises, les Espagnoles, Américaines ou Chinoises.
Comme il fallait un peu s'y attendre, la Russie, avec ses naïades quasiment pro, domine outrageusement la discipline. Et finalement la seule à pouvoir empêcher une hégémonie totale des Russes est Virginie Dedieu favorite jeudi pour le titre du solo libre.
Côté français, l'objectif a été quasi atteint. Apolline Dreyfuss a pris la onzième place (88,834) avec une prestation sur le thème de la séduction. "Elle est jeune et elle apprend. Elle manque encore d'expérience sur certaines figures", a constaté son entraîneur Julie Fabre.
Quant à l'équipe, elle a commis beaucoup de fautes de synchronisation et la qualification en finale a été une bonne nouvelle. Pour Dedieu, c'est une question de temps, un jour "ce groupe sera fort". "Il faut juste lui donner les moyens financiers et en structures", estime la nageuse.