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Kittel remporte le sprint à la Vuelta, Chavanel reste en tête


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L'Allemand Marcel Kittel (Skil) a remporté vendredi au sprint la 7e étape de la Vuelta, entre Almaden et Talavera de la Reina (182,9 km), le Français Sylvain Chavanel conservant son maillot rouge de leader.

Ce sprint massif - le premier véritable depuis le début de cette Vuelta - a été marqué par une chute qui a impliqué un certain nombre de favoris de ce Tour d'Espagne: Vincenzo Nibali (Liquigas), Joaquim Rodriguez (Katusha) et Michele Scarponi (Lampre) figuraient parmi les hommes à terre en même temps que d'autres coureurs comme Tyler Farrar (Garmin).

Ces coureurs ont toutefois tous passé la ligne et n'ont pas perdu pas de temps, la chute étant survenue dans le dernier kilomètre. Marcel Kittel (Skil) a lui échappé aux embûches et s'est imposé au sprint devant le Slovaque Peter Sagan (Liquigas), le vainqueur de jeudi. Oscar Freire (Rabobank) a lui terminé à la 3e place.

Cette étape aura longtemps été animée par quatre coureurs - les Français Steve Houanard (AG2R) et Julien Fouchard (Cofidis), accompagnés des Espagnols Antonio Cabello (Andalucia) et Luis Angel Mate (Cofidis). Echappés dès le début de l'étape, ils ont été repris à seulement 13 kilomètres du but, Julien Fouchard ayant ensuite résisté en solitaire au retour du peloton, mais en vain.

Samedi, les choses sérieuses commencent avec une étape très vallonnée entre Talavera de la Reina et San Lorenzo de El Escorial (177,3 km), prélude à la grosse étape de montagne de dimanche. (afp)

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GP de Belgique: Webber le plus rapide, D'Ambrosio 21e


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7S7 mise à jour L'Australien Mark Webber (Red Bull-Renault) a signé vendredi après-midi le meilleur temps de la 2e séance d'essais libres du le Grand Prix de Belgique de Formule 1, 12e manche du championnat du monde qui aura lieu dimanche sur le circuit de Spa-Francorchamps.

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Avec un chrono de 1 min 50 sec 321/1000, Webber, qui a bouclé 22 tours chronométrés lors d'une séance interrompue par la pluie, comme le matin, a devancé d'un dixième de seconde l'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari), auteur d'un chrono de 1 min 50 sec 461.

Jérôme d'Ambrosio (Virgin-Cosworth) a signé le 21e temps en 1:56.816 à 6.495 secondes de Webber. Il a bouclé 21 tours et concédé 1.322 seconde à son équipier l'Alleamnd Timo Glock.

Comme lors de la séance du matin, la pluie a mouillé la piste et interrompu les débats, incitant la plupart des pilotes à rester sagement dans leur stand. Les prévisions météo sont plus optimistes pour samedi et dimanche, mais dans les Ardennes il ne faut jurer de rien.

Webber, qui a été l'un des plus assidus en piste (22 tours effectués), a fait un peu mieux qu'Alonso (18 tours), qui comme lui n'a jamais gagné à Spa. Les deux McLaren-Mercedes de Jenson Button et Lewis Hamilton ont beaucoup moins roulé (9 tours chacun), mais cela a suffi pour qu'ils signent les 3e et 4e chrono d'une séance sans grand intérêt.

Côté allemand, Sebastian Vettel (Red Bull-Renault), le champion du monde en titre et leader du classement 2011, s'est contenté du 10e chrono (1:51.790), en bouclant 13 tours, juste devant son aîné Michael Schumacher (Mercedes), auteur d'un 1:51.922 dans l'un de ses 23 tours.

Une 3e et dernière séance d'essais libres est prévue samedi matin avant les qualifications qui débuteront à 14h00.

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Djokovic se moque de Sharapova (vidéo)


Novak Djokovic est connu pour ses talents sportifs mais aussi pour ses talents d'imitateurs. Le numéro 1 mondial l'a encore prouvé en se payant la poire de Maria Sharapova, dans la bonne humeur encore une fois, enfilant même une perruque blonde du plus bel effet. Il s'agit d'un spot publicitaire tourné pour la marque de raquette des deux sportifs.

La belle russe était d'ailleurs présente à ses côtés lorsque le Serbe s'est lancé dans ses frasques. Eclat de rires garanti. "Nole" est bien l'un des gars les plus sympas du circuit... (JC)

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Lille-OM, l'affiche en Ligue 1


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Le choc entre le champion Lille et son dauphin Marseille dimanche domine la 4e journée de Ligue 1, mais auparavant, il y aura eu plusieurs rencontres intéressantes comme Toulouse-Paris SG ou un match de haut de tableau entre Lyon et le leader Montpellier.

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Lyon (5) - Montpellier (1)
Le public de Gerland va assister à un vrai choc de haut de tableau. Montpellier a fait le plein avec trois victoires en trois matches et a impressionné la semaine dernière en corrigeant Rennes (4-0). Mais Lyon s'est rassuré en décrochant mercredi son billet pour les poules de la Ligue des champions grâce à un nul à Kazan (1-1). Toujours invaincus en championnat, les joueurs de Rémi Garde veulent faire mieux que leurs nuls contre Ajaccio et Rennes et accélérer la cadence avant les rendez-vous de l'automne contre le Real Madrid, l'Ajax Amsterdam et le Dynamo Zagreb.

Rennes (7) - Caen (4)
Difficile de savoir exactement où en est Rennes entre sa défaite 4-0 contre Montpellier et sa victoire... 4-0 contre l'Etoile Rouge de Belgrade. Le potentiel des Bretons est bien réel mais avec déjà six buts encaissés en trois matches, la défense doit faire mieux. En face, Caen a subi la semaine dernière le réveil du champion lillois (2-1) mais reste dans le peloton de tête à la faveur de ses deux succès initiaux.

Sochaux (8) - Saint-Etienne (3)
Les Sochaliens vont-ils se remettre de la débâcle de jeudi contre Kharkov (défaite 4-0 à Bonal) ? Saint-Etienne n'est en tout cas pas l'adversaire idéal pour rebondir. Les Verts ont montré à Marseille qu'ils étaient solides (0-0) et ils veulent rester dans le peloton de tête.

Toulouse (2) - Paris SG (9)
Le Paris SG progresse, mais lentement. En battant les Luxembourgeois de Differdange jeudi, les joueurs d'Antoine Kombouaré ont au moins enchaîné un deuxième succès consécutif, ce qui ne peut être que positif en terme de confiance. Pastore et Ménez montent en puissance, Gameiro est déjà en forme: il est peut-être temps de frapper un grand coup, face à des Toulousains qui réussissent un excellent début de saison (2e avec 7 points) et n'ont encaissé qu'un seul but.

Lille (9) - Marseille (12)
C'est le premier très grand rendez-vous de la saison, l'affrontement entre le champion et son dauphin. Peut-on imaginer le même scénario que lors de l'incroyable Trophée des champions en juillet (victoire 5-4 de l'OM) ? Sans doute pas, les Marseillais étant revenus à la rigueur défensive face à Saint-Etienne (0-0) après deux matches nuls 2-2 pour commencer la saison. Mais l'OM n'a toujours pas gagné et n'avance pas, alors que Lille a lancé sa saison en battant Caen la semaine dernière. Pour les deux équipes, ce match aura en tous cas un avant-goût de Ligue des champions, qu'elles débuteront mi-septembre. (afp/chds)



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FORMULE 1
Michael Schumacher, 20 ans déjà


26. août 2011, 23h52
Luc Domenjoz | Le Matin


Ce week-end, l’Allemand, septuple champion du monde, fête les 20 ans de son premier Grand Prix, sur ce même circuit de Spa-Francorchamps. Un record de plus à l’actif de son incroyable carrière.
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Jeudi 11 mars 2010 Après s’être retiré de la compétition pendant trois ans, le volant le démange, et Michael Schumacher signe pour trois saisons avec la toute nouvelle écurie Mercedes (ex-Brawn). Mais la F1 a changé depuis 2006, et l’Allemand a du mal à s’adapter à sa nouvelle monture. Depuis ce retour, il n’a pas encore réussi à monter sur le podium. Michael Schumacher espère le retour du succès pour 2012. © Keystone

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/sch3.jpg Samedi 29 août 2004 Après une saison brillante qui le voit remporter douze courses sur quatorze, Michael Schumacher remporte son septième – et dernier – titre mondial sur ce même circuit de Spa-Francorchamps. Deux ans plus tard, après deux défaites contre la Renault de Fernando Alonso, l’Allemand prend sa retraite sportive à la tête d’un nombre impressionnant de records, dont 91 victoires et 68 pole positions. © Keystone

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/sch2.jpg Dimanche 11 juillet 1999 Après avoir échoué de justesse face à Jacques Villeneuve en 1997 et face à Mika Häkkinen en 1998, Michael Schumacher est bien parti pour s’imposer au championnat 1999 et remporter son premier titre sur Ferrari. A Silverstone, il connaît pourtant le plus sérieux accident de sa carrière. Victime d’une double fracture de la jambe droite, il reste éloigné des circuits jusqu’à la mi-octobre, et Mika Häkkinen en profite pour signer son deuxième titre. © Keystone

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/sch5.jpg Samedi 30 juillet 2011 Michael Schumacher aux prises avec la W02 sur le circuit de Budapest, son dernier Grand Prix à ce jour. Cette saison, le septuple champion rivalise avec son coéquipier Nico Rosberg, mais sa monoplace ne lui permet pas encore de viser les victoires ou le titre. En dépit de ces difficultés, l’Allemand n’a jamais perdu son moral ni sa motivation. © Keystone

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/Sc1.jpg Dimanche 13 novemre 1994 Michael Schumacher remporte son premier titre mondial sur Benetton. Après la disparition d’Ayrton Senna, le 1er mai de cette année-là, l’Allemand a facilement dominé le championnat. Suite à de nombreuses polémiques, il doit pourtant attendre la toute dernière épreuve pour s’imposer, après un accrochage avec son rival, Damon Hill, ancien coéquipier d’Ayrton Senna chez Williams. © Keystone




GP de Belgique

On ne présente plus Michael Schumacher, le pilote de tous les records avec ses sept titres mondiaux. Ce week-end, en Belgique, l’Allemand célèbre le vingtième anniversaire de son premier Grand Prix, du jamais vu en F1.

«Je me souviens très bien de ce Grand Prix de Belgique 1991, évoque-t-il aujourd’hui. Sur le moment, j’étais très humble. J’allais affronter des pilotes comme Senna, Prost et Mansell, les héros de ma jeunesse, et je me disais que je ne serais sûrement pas à la hauteur… mais en fait, ça s’est très bien passé. Je regrette presque d’avoir abandonné après 500 mètres, ce jour-là, parce que j’étais 1 seconde au tour plus rapide que mon coéquipier, et il a failli terminer deuxième. Vous imaginez ce que j’aurais pu faire!»

Après ses deux premiers titres mondiaux avec Benetton, Michael Schumacher part chez Ferrari en 1996, une écurie où tout est à reconstruire. Avec Ross Brawn, le directeur technique, et Jean Todt, le patron, Michael Schumacher permet à la Scuderia de remporter cinq titres successifs, de 2000 à 2004.

L’Allemand a remporté son septième et dernier titre ici même, à Spa-Francorchamps, il y a sept ans déjà. Il a ensuite interrompu sa carrière, fin 2006, avant de la reprendre au début de la saison dernière chez Mercedes, la marque qui lui a mis le pied à l’étrier.

Un nouveau titre l’an prochain (la troisième et dernière année de son contrat Mercedes) bouclerait ainsi la carrière de ce phénomène, l’un des meilleurs pilotes de tous les temps. «Il me semble que tout commence à se mettre en place pour notre écurie, poursuit-il. Je suis certain que je vais atteindre mon but en 2012, remporter un huitième titre de champion du monde. Cela a pris un peu plus de temps que prévu. C’est la vie…»

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Grand Prix de Belgique: Sebastian Vettel en pole


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L'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull) partira dimanche en pole position du Grand Prix de Belgique de Formule 1, 12e manche de la saison 2011, après avoir réussi le meilleur temps des qualifications, samedi après-midi sur le circuit de Spa-Francorchamps.

C'est la 9e fois cette saison que Vettel, champion du monde en titre, signe la pole position, en 1 min 48 sec 298/1000. Il a amélioré d'une demi-seconde, dans son dernier tour lancé, le temps réalisé quelques secondes plus tôt par le Britannique Lewis Hamilton (McLaren), en 1 min 48 sec 730/1000.

"C'était une séance difficile, avec des conditions très délicates en Q1 et Q2, il fallait juste passer à travers. Puis, la piste a séché et je savais que ça allait se jouer dans le dernier tour. Lewis était juste devant moi, et je l'ai vu bloquer les roues dans la dernière portion", a raconté Vettel.

Comme en Hongrie fin juillet, avant la trêve estivale de la F1, Vettel partagera la première ligne avec Hamilton, qui a bien cru pouvoir arriver à ses fins, dans les dernières secondes de la Q3. Sauf que Vettel a passé la ligne juste après lui, en passant lui aussi sous la barre des 1 min 49 sec au tour, sur une piste enfin sèche.

Ces qualifications avaient commencé par un coup de théâtre, quand Michael Schumacher (Mercedes) était parti à la faute, sur une piste détrempée, entre la courbe des Combes et l'épingle de Bruxelles, à l'autre bout du circuit, détruisant l'arrière de sa Mercedes contre le rail dès son 1er tour de piste dans la Q1.

Puis, une sortie de piste d'Adrian Sutil (Force India), en Q2, a obligé la direction de course à sortir le drapeau rouge et interrompre pendant quelques minutes cette 2e partie de séance largement dominée par les Red Bull et les McLaren, les Ferrari restant très en retrait.

Le coéquipier et compatriote d'Hamilton, Jenson Button, vainqueur en Hongrie mais éliminé en Q2, est le grand perdant de ces qualifications. Il partira de la 7e ligne sur la grille de départ.

Jérôme d'Ambrosio, tout comme l'Italien Vitantonio Liuzzi (HRT) et l'Australien David Ricciardo, ne rentraient pas dans les 107% lors de ces qualifications, ont été repêché par les commissaires et participera à la course dimanche, au même titre que Michael Schumacher

si il fini le championnat est plié....

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Francorchamps: Jean-Marie Happart se justifie


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Jean-Marie Happart, le président de l'Intercommunale immobilière de Spa-Francorchamps (ISF) accusé dans la presse d'avoir dépensé plus que prévu pour des travaux sur le circuit automobile, a justifié samedi ces travaux et assuré de leur régularité.

Ces travaux ont été faits "en vue de sécuriser le virage de Bruxelles", a expliqué Jean-Marie Happart au micro de la RTBF. Il évoque d'ailleurs l'accident sans gravité du pilote allemand Michaël Schumacher ce samedi à cet endroit du circuit pour justifier l'intérêt des travaux.

Quant au prix (un demi-million d'euros là où 200.000 euros avaient été budgétisés, selon La Libre Belgique), "la somme n'a rien à voir", affirme M. Happart. Ces travaux ont été demandés, il y a eu un cahier des charges et un appel d'offres public, a-t-il assuré

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A l'US Open, joueurs et organisateurs se préparent pour Irène


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L'ouragan Irène, qui commençait à remonter le long de la côte Est des Etats-Unis après avoir touché samedi matin les côtes de Caroline du Nord, ne devait pas bouleverser la tenue de l'US Open de tennis, dernier tournoi du Grand Chelem de l'année, qui doit débuter lundi à New York.

Les organisateurs prévoyaient de fermer le site du tournoi, dans le quartier du Queen's, dès samedi en milieu d'après-midi et toute la journée de dimanche, quand Irène doit frapper la ville, mais ils ont assuré qu'ils "anticipaient une réouverture (du site) lundi".

Le traditionnel "media day", la journée d'interviews des joueurs et des joueuses, a été écourtée samedi.

La journée de charité en faveur des enfants (Arthur Ashe Kids Day), qui anime normalement le samedi précédant le tournoi, a été annulée et le tournoi de qualifications a pu se conclure vendredi au lieu de samedi. Certaines structures du site ont été sécurisées.

Pendant que des centaines de milliers de New Yorkais évacuaient certaines parties basses de la ville, en zones inondables, les joueurs se préparaient à l'arrivée d'Irène, un ouragan de catégorie 1 sur une échelle qui en compte 5.

Irène doit longer la côte Est samedi et dimanche vers Washington, New York et Boston, une des régions les plus peuplées au monde avec 65 millions d'habitants, et pourrait s'accompagner de vagues de 3 à 4 mètres de haut.

Le nord-est des Etats-Unis échappe habituellement à ces dépressions. Gloria, en 1985, est le dernier ouragan à avoir touché New York.

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Hovelijnck rejoint Landbouwkrediet


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Kurt Hovelijnck, 30 ans, a signé un contrat pour une saison avec Landbouwkrediet Cyling Team, a annoncé l'équipe cycliste vendredi.
Hovelijnck roulait pour Donckers Koffie - Jelly Belly. Il a débuté sa carrière professionnelle en 2005 chez Chocolat Jacques.

Son passage en 2009 chez Quick.Step ne lui a pas porté chance puisqu'il se relevait d'une lourde chute avec une fracture du crâne. Hovelijnck est resté quelques semaines dans le coma. Il avait repris ensuite sa place dans le peloton pour émigrer début 2011 chez Donckers Koffie - Jelly Belly.

Kurt Hovelijnck avait pris la 8e place du championnat de Belgique à Hooglede-Gits, remporté par Philippe Gilbert

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Cyclisme
Tour d'Espagne: L'Espagnol Joaquin Rodriguez fait coup double


27. août 2011, 19h19
LeMatin.ch & les agences


L'Espagnol Joaquin Rodriguez a fait coup double à la Vuelta, le Tour cycliste d'Espagne: il a remporté la 8e étape et endosse également le maillot de leader.
Joaquin Rodriguez. © Keystone

Joaquin Rodriguez (Katusha) a remporté la 8e étape du Tour d’Espagne, entre Talavera de la Reina et San Lorenzo de El Escorial (177,3 km). L’Espagnol, auteur d’un démarrage incisif dans l’ascension finale, a du même coup pris le maillot rouge de leader du général au Français Chavanel (Quick Step).

Rodriguez s’est imposé en costaud, s’extrayant du peloton dans le redoutable mur final de San Lorenzo de El Escorial, s’offrant ainsi sa deuxième victoire sur la Vuelta 2011 après l’avoir déjà emporté à Valdepenas de Jaen mercredi. L’Espagnol, qui endosse en plus le maillot rouge de leader pris à un Sylvain Chavanel en difficulté, a devancé l’Italien Michele Scarponi (Lampre) et le Néerlandais Bauke Mollema (Rabobank).

Au classement général, le grimpeur de Katusha devance désormais son coéquipier Daniel Moreno de 32 secondes et le Danois Jakob Fulgsang (Leopard) de 34 secondes. Chavanel aura de son côté rendu les armes dans la dernière montée, pointant désormais à une minute de Rodriguez.

Cette étape, très vallonnée, aura connu un final mouvementé. A dix kilomètres de la ligne d’arrivée, le groupe de trois hommes - l’Italien Matteo Montaguti, l’Allemand Heinrich Haussler et l’Espagnol Adrian Palomares - qui avait été en tête une bonne partie de la journée a été rejoint par le peloton. Après cette jonction plusieurs contres ont fusé mais n'ont rien donné. Malheureusement pour les Suisses Mathias Frank et Martin Kohler, qui ont tenté leur chance.

Demain, une étape encore plus exigeante attend les coureurs entre Villacastin et Sierra de Bejar, avec notamment une arrivée en altitude à La Covatilla, un col de première catégorie qui pourrait creuser les écarts entre les favoris de la Vuelta.