Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Tennis



12 septembre 2011 22:41

Serena Williams a été condamnée à 2000 dollars d'amende pour ses propos déplacés envers l'arbitre en finale de l'US Open, mais ne sera pas suspendue pour l'édition 2012 du tournoi new-yorkais. L'Américaine (29 ans) était en fin de période probatoire de 2 ans en Grand Chelem pour des faits similaires en 09, en 1/2 de l'US Open face à Clijsters. Pénalisée d'un point synonyme de break pour un "come on" dans l'échange, Serena s'est notamment exclamée:"Si je vous vois dans le couloir, passez votre chemin... Un avertissement pour exprimer mon opinion? Nous sommes en Amérique... Vous êtes laide à l'intérieur...".

La pauvre, comment va-elle faire pour payer une somme pareille?

[Stoner27]

Envoyé par Norton

Tennis



12 septembre 2011 22:41

Serena Williams a été condamnée à 2000 dollars d'amende pour ses propos déplacés envers l'arbitre en finale de l'US Open, mais ne sera pas suspendue pour l'édition 2012 du tournoi new-yorkais. L'Américaine (29 ans) était en fin de période probatoire de 2 ans en Grand Chelem pour des faits similaires en 09, en 1/2 de l'US Open face à Clijsters. Pénalisée d'un point synonyme de break pour un "come on" dans l'échange, Serena s'est notamment exclamée:"Si je vous vois dans le couloir, passez votre chemin... Un avertissement pour exprimer mon opinion? Nous sommes en Amérique... Vous êtes laide à l'intérieur...".

La pauvre, comment va-elle faire pour payer une somme pareille?

j'ai toujours trouvé ça ridicule les amendes pour les sportifs de haut niveau. Ou bien il faudrait que l'amende soit en rapport avec leur salaire pour que cela leur fasse mal au portefeuille. Mais bon les sanctions sportives sont plus efficaces!

[Norton]

Envoyé par Stoner27

j'ai toujours trouvé ça ridicule les amendes pour les sportifs de haut niveau. Ou bien il faudrait que l'amende soit en rapport avec leur salaire pour que cela leur fasse mal au portefeuille. Mais bon les sanctions sportives sont plus efficaces!

elle s'en prend passé 500 000 pour sa qualif en finale, cherchez l'erreur....:lang ueŽ:

[Norton]

Ligue des champions

Le Barça gardera-t-il sa couronne?

12.09.2011 19:22 - mise à jour: 23:49 Qui parviendra à aller enlever la Ligue des champions des mains de Messi et du Barça? [Manu Fernandez - Keystone]

La Ligue des champions 2011/12, ça commence mardi avec le choc Barça-Milan AC. Les "Blaugrana", qui remportent tout sur leur passage, rêve d'un doublé, comme le Milan AC en 1989/90. Mais gare aux Real Madrid, Manchester et Milan.

La Ligue des champions 2011/2012 s'ouvre mardi avec le tenant du titre, le FC Barcelone, en grand candidat au maintien de son hégémonie, qu'essaieront de troubler au premier chef le Real Madrid et Manchester United.
Le Barça version "Pep Team", depuis que Guardiola en a repris les rênes en 2008, écrase tout sur son passage. Il a déjà récolté 12 trophées. Son âge d'or connaîtra-t-il un nouveau millésime? Il a d'ores et déjà envoyé un signe en s'emparant des deux Supercoupes 2011, celle d'Espagne face au Real Madrid, celle d'Europe contre Porto.
Messi fonce vers un troisième Ballon d'Or d'affilée, le Chilien Sanchez, avant sa blessure pour deux mois dimanche, et le Catalan Fabregas se sont bien intégrés, et Thiago Alcantara est prêt à éclore au haut niveau. Les enjeux pour le Barça? Remporter une 5e C1 et ainsi rejoindre Liverpool sur le podium du nombre de titres derrière le Real Madrid (9) et l'AC Milan (7), et devenir la première équipe à réussir le doublé depuis l'AC Milan d'Arrigo Sacchi (1989-1990).
Guardiola, qui ne compte pas s'éterniser en Catalogne, peut aussi égaler le record du mythique entraîneur des "Reds" Bob Paisley en remportant sa troisième coupe aux grandes oreilles.
Depuis 2006, le Barça n'a été éliminé que par des clubs anglais (Liverpool en 8es en 2007, Manchester United en demi-finales en 2008) et par un club entraîné par Jose Mourinho, l'Inter Milan en 2010 (en demi-finales).
Une "Decima" pour le Real Madrid?

Au Real Madrid, on rêve d'une 10e Ligue des champions. [Keystone] Cette fois, le duel à distance Real-Barça, après la séquence houleuse des quatre "clasicos" printaniers, pourrait revenir sur la scène européenne. Car Mourinho l'a dit: chacune de ses équipes tourne à plein régime à partir de la deuxième année. On y est. Et le Real semble mieux armé cette saison, avec un Benzema en net progrès pour épauler Cristiano Ronaldo, et un recrutement peu clinquant mais malin (Coentrao, Hamit Altintop, Sahin, Callejon).
La saison dernière, en atteignant le dernier carré, le "Special One" est parvenu à briser la malédiction des 8es de finale, sur lesquels le Real avait buté pendant six ans. Après avoir eu la tête du directeur sportif Jorge Valdano, il a désormais les coudées franches. Et une pression démentielle: celle de ramener à Madrid la "Decima", la 10e C1. Sous peine d'impatienter son président Florentino Perez.
United ou le grand rival City?

Avec Wayne Rooney, Manchester United peut viser une nouvelle finale. [Keystone] Les clubs anglais postulent comme d'habitude aux places d'honneur: sept représentants de la Premier League présents lors des sept dernières finales. Manchester United en premier lieu: l'équipe d'Alex Ferguson, restée stable, était au rendez-vous à trois des quatre dernières finales.
A Chelsea, la génération Drogba-Lampard a-t-elle dit son dernier mot? Les "Blues" semblent sur le déclin, vieillissants. Mais le nouvel entraîneur, le Portugais Andre Villas-Boas, se rêve en "Special Two" sur les traces de Mourinho. Arsenal a perdu ses leaders techniques Fabregas et Nasri, remplacés par Arteta et Benayoun, et a déjà raté son début de saison, marqué par la fessée à domicile administrée par ManU (8-2). De quoi retirer toute pression aux "Gunners" et les relancer?
Et c'est l'ambitieux Manchester City, pour sa deuxième participation à la C1 (après 1968/69), qui pourrait briguer le dernier carré. Les "Citizens" de Roberto Mancini se sont renforcés avec Agüero et Nasri, complétant un impressionnant secteur offensif: Tevez, Dzeko, Balotelli, Silva, Santa Cruz! Attention cependant à son groupe relevé (Bayern, Villarreal et Naples).
Attention aux outsiders

L'AC Milan a une revanche à prendre, lui qui n'a pas franchi les 8es de finale depuis trois ans. Il a perdu Pirlo, parti à la Juventus, mais présente toujours une belle attaque: Ibrahimovic (touché aux adducteurs, et absent lors du 1er match, à Barcelone, son ancien club), Pato, Robinho, Cassano.
Chez les outsiders, il faudra surveiller l'Inter Milan, où Forlan a remplacé Eto'o, Dortmund et la jeune génération Götze, le Bayern - qui aura droit à la finale 2012 dans son jardin - et son trio Robben (blessé également pour le 1er match face à Villarreal)-Gomez-Ribéry, voire le Shakhtar Donetsk à l'accent brésilien, quart de finaliste surprise la saison dernière.
Un petit club surprise en 8es? Six semblent promis à jouer les victimes expiatoires: Bâle, Galati (ROM), Dinamo Zagreb (CRO), Genk (BEL), Apoël Nicosie (CHY) et Viktoria Plzen (CZE). Voire Trabzonspor (TUR) et BATE Borisov (BLR).
Ce soir barca ac milan


Va tabasser Forza Italia:cont ent:

[Norton]

FOOTBALL
Ligue des champions: l'AC Milan tient Barcelone en échec au Camp Nou


14. septembre 2011, 07h18
LeMatin.ch & les agences


Barcelone, tenant du titre, a dû concéder le match nul (2-2) sur son terrain. Borussia Dortmund partage également l'enjeu avec Arsenal, tandis que Marseille s'impose à Athènes.
Le Barcelonais Cesc Fabregas à la lutte avec le Milanais Antonio Nocerino. © KEYSTONE

Barcelone et l’AC Milan ont fait match nul 2-2 au Camp Nou lors du choc du groupe H de la Ligue des champions. Ce score de parité ne reflète pas la physionomie d’une partie largement dominée par les Catalans.

Le match a débuté par un coup de théâtre. L’AC Milan a en effet inscrit le premier but de la soirée après... 24 secondes de jeu seulement, grâce à un rush de Pato. Le jeune Brésilien laissait sur place la charnière centrale de fortune (Busquets - Mascherano, deux milieux de terrain) alignée par Guardiola en l’absence de la paire Puyol-Piqué.

Le tenant du titre n’était pourtant pas perturbé par cette entame surprenante. Les Catalans mettaient rapidement leur jeu en place, avec une possession de balle frôlant les 80%! Cette domination écrasante était mal récompensée, Messi trouvant deux fois le poteau. Mais le Ballon d’Or, sur un exploit individuel, offrait l’égalisation plus que méritée à Pedro (36e).

Le Barça prenait ensuite l’avantage sur un somptueux coup franc de Villa (50e). Les Milanais, copieusement dominés, n’ont rien montré d’autre que leur discipline défensive et un réalisme à toute épreuve, illustré par une égalisation venue de nulle part de Thiago Silva (92e) de la tête sur un corner. Milan a vraiment été bien payé...

Arsenal rejoint sur le fil

Sans Johan Djourou, relégué sur le banc, Arsenal est revenu de Dortmund (groupe F) avec un point. Le Borussia a bénéficié de plusieurs occasions en début de match, mais ce sont les Gunners qui ont frappé par Van Persie, qui profitait d’une grossière erreur de Kehl à la relance peu avant le repos. L’assaut final du Borussia semblait longtemps improductif avant que Perisic, d’une volée fantastique, n’arrache un nul mérité (88e).

Dans le même groupe, bonne affaire pour Marseille qui est allé l’emporter 1-0 au Pirée contre Olympiakos. Lucho Gonzalez (51e) a signé le but d’une victoire méritée pour l’OM, qui a dominé un adversaire à court de compétition. Ce résultat soulage aussi Didier Deschamps, dont l’équipe n’a pas encore gagné en cinq matches de Ligue 1.

La double confrontation anglo-allemande a tourné en faveur des Britanniques. A Londres (groupe E), Chelsea s’est imposé 2-0 face au Bayer Leverkusen. où Eren Derdiyok est entré à la 73e. Les Londoniens, qui avaient laissé plusieurs cadres trentenaires (Terry, Lampard, Anelka) au repos, ont peiné avant de passer l’épaule grâce au défenseur David Luiz, bien servi par un Torres qui ne trouve toujours pas le chemin du but. Mata a doublé la mise dans les arrêts de jeu, encore sur assist de Torres.


Surprise à Chypre

La grosse surprise de la soirée vient de Chypre, où l’Apoel Nicosie a entamé sa campagne par un succès 2-1 contre le Zenit St-Pétersbourg. Les Russes avaient ouvert la marque, mais les Chypriotes ont renversé la vapeur grâce à deux buts en trois minutes. Dans ce groupe G, Porto a battu Shakhtar Donetsk 2-1 malgré un penalty raté par Hulk. Celui-ci se rachetait en égalisant sur un coup franc d’une puissance incroyable.

[Norton]

Genk aura résisté face aux "Ché"


Avec ce partage du RC Genk contre Valence, le football belge retrouve des couleurs en Ligue des Champions. © reuters
Il y a des matches nuls qui ont la saveur de victoires. C'est ce que doit se dire le RC Genk qui, malgré son infériorité technique et physique dans tous les secteurs du jeu, a fait preuve de beaucoup de courage et d'abnégation pour arracher un point (0-0) contre le FC Valence (en tête de la Liga avec un 6 sur 6). Les "Ché" (surnom donné au FC Valence) ont peut-être trop sous-estimé le champion en titre. Découvrez tous les résultats de la soirée dans notre tableau ci-dessous.

A deux reprises, Simaeys est même passé à côté du 1-0! © ap

Mario Been (ici avec Pudil) a fait les bons choix. © ap

Rami a failli marquer le plus beau but de sa carrière. © photo news

Très appliqué et concentré, Köteles aura livré une bonne prestation. © belga


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Genk n'a pas assez osé
Pour sa seconde campagne de l'histoire en Ligue des Champions (ils avaient terminé avec un 4 sur 18 en 2002-2003), le RC Genk aura débuté sa compétition avec le frein à main. Trop de respect pour l'adversaire? Possible. La peur de perdre? Certainement. Fortement décriée en championnat, la défense limbourgeoise, acculée tout au long de la première période, ne craquait cependant pas malgré les tentatives de Rami (2e), Soldado (9e et 29e), Piatti (20e et 36e). Ce n'est pas une surprise si la possession de balle fut Ché (64% après 35 minutes). "Genk doit oser, oser et oser", s'époumonait Stéphane Pauwels au micro de Club RTL à la pause. Pas forcément faux...

Une bonne organisation limbourgeoise
En seconde période, le schéma tactique dessiné par Mario Been aura permis au RC Genk de moins souffrir face aux offensives espagnoles. A vrai dire, Köteles, hormis deux essais de Parejo, n'aura pas dû sortir le grand jeu pour préserver ses filets inviolés. Le portier limbourgeois, héros de la qualification pour la Ligue des Champions après une séance de penalties mémorable contre le Maccabi Tel-Aviv, aura juste été sauvé par sa barre lors d'une reprise acrobatique de toute beauté signée Rami (73e).

A deux doigts de l'exploit
Comme l'appétit vient en mangeant, le RC Genk gagnait en confiance au fil des minutes. Et les Limbourgeois passaient même à côté de la montre en or. Sur un coup franc tiré par Pudil, Simaeys, à la retourne, voyait sa frappe détournée en corner in extremis par Diego Alves (85e). Certains auraient crié au hold-up, d'autres à l'exploit si le ballon avait franchi la ligne de but.

Chelsea déjà en tête
Comme on pouvait s'y attendre, Chelsea a pris la mesure du Bayern Leverkusen dans l'autre rencontre du groupe E. Les Blues ont fait la différence via David Luiz et Mata (2-0). Ils sont, par conséquent, déjà en tête du groupe.

Christophe Da Silva

La Ligue des Champions (groupe E à H)ChelseaBayer Leverkusen2-0Racing GenkValence0-0Borussia DortmundArsenal1-1OlympiacosMarseille0-1APOEL NicosieZénit St Pétersbourg2-1FC PortoShakhtar Donetsk2-1FC BarceloneAC Milan2-2Viktoria PlzenBATE Borisov1-1

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Kim Clijsters, sportive préférée des Belges


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Kim Clijsters est le "Sportif préféré des Belges", selon les résultats d'un sondage "Les Sports-DH-Dedicated Research" publié mercredi.
La joueuse de tennis limbourgeoise arrive en tête de ce sondage avec un total de 64,30 %. Elle devance le cycliste Philippe Gilbert, 2e avec 38,50 %, et l'athlète Tia Hellebaut, qui prépare actuellement son retour à la compétition, 3e avec 30,90 %.

Le sondage, dont la marge d'erreur est d'environ 3%, a été effectué du 27 au 29 août auprès de 1007 personnes. Il a été demandé à chacune des personnes sondées de choisir ses cinq sportifs préférés parmi une liste de cinquante sportifs belges.

La joueuse de tennis Yanina Wickmayer, 4e, et le pongiste Jean-Michel Saive complètent le top 5. Romelu Lukaku (football) arrive en 6e position, devant Sven Nys (cyclo-cross), Olivier Rochus (tennis), Vincent Kompany (Football) et Tom Boonen (cyclisme).

Toutes catégories
Kim Clijsters a en outre récolté la majorité des suffrages dans toutes les sous-catégories (hommes, femmes, Flamands, Bruxellois, Wallons, par tranche d'âge, sportifs et non-sportifs).

"Je me sens très flattée", a réagi Kim Clijsters. "Je trouve très difficile de comparer des sportifs et des athlètes entre eux, car nous avons tous nos qualités et nos défauts. J'ai déjà remarqué qu'il y avait énormément de profils différents parmi mes fans: des plus âgés, des plus jeunes, des femmes, des hommes, des Belges ou des étrangers. Mais j'avoue que figurer en tête de ce classement, même en Wallonie, me rend fière. Cela me fait énormément plaisir aussi d'être si populaire dans le Sud du pays. Je dois avouer que je ne m'exprime pas souvent en français, mais c'est surtout pour ne pas dire de bêtises! Heureusement, les gens ne trouvent apparemment pas cela trop grave".

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Record de gains en une saison pour Djokovic


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Le N.1 mondial de tennis Novak Djokovic, vainqueur lundi de l'US Open, son troisième Grand Chelem de la saison après l'Open d'Australie et Wimbledon, a établi un nouveau record de gains en une saison sur le circuit ATP.

Le Serbe de 24 ans, qui a remporté lundi sa 64e victoire en 66 matches en 2011, a déjà engrangé 10,6 millions de dollars (environ 7,75 millions d'euros) de gains cette saison. Le précédent record, qui était de 10,2 millions de dollars (environ 7,45 millions d'euros), était détenu conjointement par l'Espagnol Rafael Nadal (2010) et le Suisse Roger Federer (2007).

En battant Nadal lundi en finale, Djokovic a engrangé 2,3 millions de dollars (env. 1,68 millions d'euros): 1,8 M USD pour sa victoire à l'US Open (1,32 M EUR), et 500.000 dollars supplémentaires (365.000 euros) pour sa deuxième place aux "US Open Series" (ensemble des tournois de la tournée estivale américaine), derrière l'Américain Mardy Fish, vainqueur à Atlanta et finaliste à Los Angeles et Montréal.

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Bolt gagne en 9.85


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Trois jours avant de disputer le Memorial Van Damme, le Jamaïquain Usain Bolt a remporté mardi le 100 m du meeting de Zagreb, comptant pour le Challenge mondial IAAF, en réalisant son meilleur chrono de la saison en 9.85 (vent: + 0,1 m/s).

Bolt est resté sept centièmes au-dessus de la meilleure prestation de l'année signée par son compatriote Asafa Powell (9.78), mais le double champion du monde de Daegu (200m et 4x100m) améliore néanmoins son ancienne meilleur marque de la saison sur la ligne droite: 9.88, le 22 juillet à Monaco.

Le sprinter de Saint Kitts&Nevis Kim Collins a pris la deuxième place en 10.01, Richard Thompson de Trinidad et Tobago la troisième en 10.03.

Le champion olympique et recordman du monde sur 100 m (9.58) voudra prendre sa revanche vendredi au Van Damme, après avoir été disqualifié pour faux départ en finale des Mondiaux de Daegu.

Les organisateurs du meeting bruxellois, dernière manche de la Diamond Legaue, ont mis sur pied un 100 m spécialement à sa demande et espèrent l'y voir "claquer" une nouvelle performance mondiale.

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Marseille se soigne à l'Olympiakos


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En pleine crise de résultats en championnat, Marseille a nettement redressé la barre mardi lors de la 1re journée de la Ligue des champions grâce à sa victoire méritée sur la pelouse de l'Olympiakos (0-1), une formation bien moins fringante que ses bouillants supporteurs.

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Après deux défaites de rang en championnat qui l'ont plongé dans le doute, Marseille, qui avait débuté ses deux dernières saisons par une défaite, a pris cette fois l'épreuve par le bon bout, signant son premier succès de 2011-2012 (excepté le Trophée des champions).

De quoi, peut-être, aborder avec une certaine sérénité le déplacement à Lyon dimanche... "Le haut niveau, c'est aussi savoir évacuer la déception", avait indiqué avant la rencontre le coach marseillais Didier Deschamps. Marseille l'a fait mardi avec la manière.

Et surtout le sérieux défensif qui lui a tellement fait défaut depuis le début de saison, à l'image de cette intervention tranchante de Nkoulou sur Djebbour en fin de 2e période. Marseille devrait néanmoins se garder de croire trop vite à sa rémission sur la foi de ce seul match.

Le champion grec n'est pas en effet étalon suffisant à ce stade. Sans match officiel au compteur depuis la fin du printemps, puisque ses deux premiers adversaires du championnat ont finalement été rétrogradés en 4e division sur fond de paris truqués, l'équipe composé de nombreux anciens pensionnaires de Ligue 1 (Jean II Makoun, Mirallas, Modesto, Abdoun...) a clairement affiché ses limites dans le jeu, rendant bon nombre de ballons à son adversaire du soir.

La faute, en partie sans doute, à un manque de rythme qu'elle retrouva pourtant en fin de partie pour faire passer un quart d'heure étouffant à son hôte. Marseille n'a cure évidemment de ces soucis domestiques.

A défaut d'affronter un adversaire au mieux de sa forme, le champion de France 2009-2010 a d'abord su gérer l'incroyable pression générée par des fans survoltés, sevrés eux aussi de matches et parfois "border line", en témoigne les banderoles insultantes à l'encontre du club français déployées avant la rencontre. Prête à exploser à tout moment, la cocotte-minute du stade Karaiskakis n'a pas effrayé la troupe de Deschamps.

Avec un onze totalement inédit (Traoré titularisé pour la première fois de la saison, en latéral gauche, tandis que le défenseur attitré Morel, passait milieu gauche en l'absence d'André Ayew), l'OM en mode 4-2-3-1 a globalement maîtrisé son sujet.

A l'exception de quelques numéros de Mirallas en début de matches, bien dompté par Mandanda, et d'une reprise trop enlevé de Djebbour à l'entame du dernier quart d'heure, la défense n'a guère tremblé.

Sous l'impulsion d'un grand Cheyrou, Marseille s'est créé les occasions les plus franches, notamment par Diawara (de la tête dès la 1re minute) et Rémy, dont la frappe trouvait le poteau de Costanzo (37).

Pas très inspiré jusqu'alors, Lucho, au rendement incertain ces derniers temps, inscrivait le but de la gagne, la jouant fine à bout portant sur un débordement intelligemment mené de Morel (0-1, 50). C'était la sortie d'un "tunnel sombre", dixit Deschamps, que l'OM traversait depuis trop longtemps...