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Na Li qualifiée pour le Masters d'Istanbul


© getty
Na Li est devenue la 5-ème joueuse à assurer sa place au Masters, du 25 au 30 octobre à Istanbul, en Turquie, a annoncé la WTA mercredi. La Chinoise profite des revers de l'Australienne Samantha Stosur et de la Russe Vera Zvonareva à Pékin où Na Li avait chuté d'entrée, devant son public.

Na Li, 6e mondiale, rejoint ainsi la Danoise Caroline Wozniacki, la Russe Maria Sharapova, la Tchèque Petra Kvitova et la Bélarusse Victoria Azarenka. Il reste donc trois places à prendre.

En double, Katarina Srebotnik et Kveta Peschke, ainsi que Liezel Huber et Lisa Raymond, ont déjà décroché leur billet pour le rendez-vous stambouliote en attendant les deux autres paires qualifiées.

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BASKETBALL
Tony Parker: «Mes proches savent la vérité»


05. octobre 2011, 22h24
Dayer Thomas | Le Matin


Tony Parker a reçu «Le Matin ». Il évoque Sefolosha, a Suisse et l’amour.
© Thierry Mamberti

Un hôtel proche de la sensuelle place Vendôme. A quelques heures du gala de sa fondation, Par Cœur, durant lequel il a déridé ses hôtes au côté d’Omar et Fred, le joueur étoile français s’est confié sans tabou au «Matin».

Avec la notoriété et la fortune qui sont les vôtres, vous reste-t-il des rêves, quelque chose à accomplir?
Mon rêve en ce moment, ce sont les Jeux olympiques. Avec l’équipe de France, je veux décrocher une médaille à Londres l’an prochain. On reste sur une belle médaille d’argent au championnat d’Europe et on espère bien que ce n’est qu’un début.

Il y a quelques années, vous aviez aussi sorti un album. Où en est cette carrière musicale?
Elle est en stand-by et je ne cherche même pas d’inspiration pour la relancer en ce moment. C’est dur de mener deux carrières de front. J’ai décidé de me concentrer sur ma carrière de sportif.

On évoquait le terme de «rêve». Votre souper de gala annuel a pour but de lever des fonds en faveur de diverses associations. Comment cette idée a-t-elle germé?
C’était il y a six ans. J’avais rencontré un petit jeune aux Etats-Unis, à San Antonio. Il était très, très malade. Son rêve était de me rencontrer. Ça m’avait beaucoup touché et de là est née l’envie de mettre sur pied un gala pour aider la fondation Make a Wish dont je suis devenu l’ambassadeur en France. Cette année, nous donnons aussi un coup de pouce à d’autres associations. En fait, il me tient simplement à cœur d’aider tous les jeunes qui n’ont pas eu la même chance que moi.

N’est-ce pas aussi une manière de vous dédouaner de votre quotidien, du poids de la célébrité et de la fortune?
Je ne pense pas à ce que cette démarche peut m’apporter à moi. Je veux utiliser ma notoriété pour aider des associations, pas l’inverse. Le but est de récolter les fonds nécessaires pour changer la vie de certains jeunes, leur donner de l’espoir, de l’énergie pour se battre contre leur maladie.

Avez-vous des proches qui ont été malades?
Non, par chance non.

Entretenez-vous toujours des liens avec la Suisse?
Bien sûr, j’ai des amis en Suisse. Et ma banque. (Rires.) Et j’ai aussi un appartement près de Montreux.

Ah, l’avez-vous encore?
Oui. Enfin, il est en construction. Il sera terminé fin 2012.

Mais c’est avec Eva Longoria dont vous vous êtes séparé que vous l’aviez acheté. C’est donc vous qui l’avez conservé, et non elle?
C’est moi qui l’ai conservé.

Ce qui signifie que vous tenez à la région, non?
Bien sûr, aussi parce que c’est près de Lyon. J’ai investi dans le club de basket de Villeurbanne. Je sais que j’y passerai du temps. Et puis ça me permettra d’aller faire du ski.

A propos de Suisse, vous êtes aussi l’ambassadeur d’une marque de montres de notre pays. Mais êtes-vous vraiment un passionné d’horlogerie?
Oui, j’adore les montres. Mais ma motivation à travailler avec Tissot est notre entente sur des valeurs essentielles. Pour moi, il était important que notre partenariat ne se résume pas à une façade, mais qu’il se concrétise par des actions. On fait plein de choses ensemble: ils étaient à mes côtés pour mon camp au mois de juillet, ils sont là pour mon souper de gala. Tout ça prouve des liens forts. Plus personnellement, j’aime bien m’habiller, sans être un spécialiste de mode. Porter de belles montres fait aussi partie de l’élégance d’un habillement.

Mais qu’est-ce qui vous fascine le plus, l’esthétique ou la technologie?
(Il réfléchit.) C’est vrai, la montre que la marque m’a dédiée est truffée d’options. Mais moi, je suis très simple. Ça va vous faire rire, mais moi, une montre, tant qu’elle me donne l’heure, ça me va. Je ne suis pas trop un fada de technologie. Après, je dois bien reconnaître que ma montre est un gadget: tu peux faire tant de choses, c’est incroyable, je ne le savais même pas. A chaque fois que je rencontre des personnalités qui travaillent pour la marque, je prends des cours.

Puisqu’on parle de gadgets, combien de téléphones portables avez-vous?
J’ai deux Blackberry. Un pour les Etats-Unis et un pour la France. J’ai aussi un iPad et un iPod. L’iPod, je l’utilise surtout pour écouter de la musique et l’iPad pour aller sur Internet et pour tous les jeux vidéo, comme «Angry Birds». Mais je n’utilise pas toutes les options, ça j’en suis sûr.

Si on revenait à la Suisse pour vous demander quels sont vos liens avec Thabo Sefolosha?
(Sourire.) Je le connais très bien, c’est même un bon ami. A chaque fois qu’on joue l’un contre l’autre, on va manger ensemble. Il vient à la maison, je vais manger chez lui. Il représente le basket suisse, c’est l’un des joueurs montants de la NBA. Jusqu’à présent, il a connu une jolie carrière pour devenir l’un des meilleurs défenseurs de notre championnat dans une équipe qui s’est révélée. Il devient meilleur d’année en année et il continuera à évoluer car sa marge de progression reste énorme.

Depuis votre divorce d’avec Eva Longoria, avez-vous l’impression d’avoir été délaissé par les pages people pour revenir davantage aux rubriques sportives?
(Rires.) Je ne m’en préoccupe pas, je laisse ça à mon manager. De mon côté, j’essaie de ne pas changer au quotidien, d’être performant sur les terrains de basket et de passer du temps en privé avec ma famille et mes amis. Je donne du temps à mes opérations, à mes œuvres caricatives, et je tente de vivre le plus normalement possible. La presse, c’est quelque chose d’incontrôlable. Mes proches, ma famille et mes amis savent la vérité. A mes yeux, c’est l’essentiel. Je suis très lié à eux et il m’est important de les sentir près de moi. D’ailleurs, ma famille m’a accompagné pendant trois semaines en Lituanie au championnat d’Europe. Il faut profiter de passer du temps ensemble, on ne vit qu’une fois. Et il ne faut pas se faire du mauvais sang avec ce qu’on ne peut pas contrôler.

Combien de fois vous a-t-on demandé si vous aviez de nouveau une femme dans votre vie?
On me le demande tout le temps. (Sourire.) Pour l’instant, je prends mon temps. Je suis tout seul, je vais étape par étape. Je ne me prends pas la tête avec ça. L’amour est quelque chose qui arrive naturellement, pas sur commande.


Super ce GRAND joueur

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AUTOMOBILISME
Button resigne chez McLaren, Red Bull veut un long bail avec Vettel


05. octobre 2011, 20h34
LeMatin.ch & les agences


Jenson Button, dont le contrat avec McLaren expirait à la fin de la saison, a resigné pour «plusieurs années» avec l’écurie de Woking. L’écurie autrichienne Red Bull veut garder sous contrat jusqu’en 2016 son pilote allemand Sebastian Vettel.
Red Bull verrait bien Sebastian Vettel (à g.) chez eux jusqu'à 2016. La durée du contrat de Jenson Button (à dr.) chez McLaren n'a pas été précisée. © Keystone

La durée du contrat de Jenson Button, champion du monde 2009, n’a pas été précisée. Le Britannique, actuellement 2e du classement des pilotes derrière l’intouchable Sebastian Vettel, était l’un des hommes-clés du marché. Des rumeurs le voyaient notamment prendre le baquet du Brésilien Felipe Massa chez Ferrari.
De son côté, l’écurie autrichienne Red Bull veut garder sous contrat jusqu’en 2016 son pilote allemand Vettel, champion du monde sortant et à un point d’un second titre. C’est ce qu’a indiqué le directeur sportif de Red Bull, l’Autrichien Helmut Marko, dans une interview à Sport Bild.
Le contrat de Sebastian Vettel court jusqu’en 2014 et le jeune Allemand, âgé de 23 ans et plus jeune champion du monde de l’histoire de la F1, dispose d’une clause lui permettant de le rompre à tout moment si Red Bull n’est pas en mesure de mettre à sa disposition un bolide compétitif.
Red Bull tire ainsi les conséquences du changement du règlement qui interviendra en 2014 avec des bolides équipés d’un moteur V6 de 1,6 litre de cylindrée, plus économe en carburant, alors qu’à l’origine il avait été décidé que les voitures de Formule 1 seraient munies d’un moteur à quatre cylindres à partir de 2013. C’est aussi pour cette raison que le 9 septembre Red Bull avait prolongé de cinq ans, jusqu’en 2016, son contrat avec Renault, qui lui fournit les moteurs.

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Mondial de rugby: l'Anglais Wilkinson à l'ouverture face à la France


AFP - 06. octobre 2011, 08h38


Jonny Wilkinson a été titularisé jeudi à l'ouverture du XV d'Angleterre pour affronter la France en quarts de finale du Mondial samedi à Auckland (20h30 locales, 09h30 françaises), et aura à ses côtés Toby Flood, ouvreur de formation, au poste de premier centre.
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Jonny Wilkinson lors d'un match opposant l'Angleterre à l'Ecosse à Auckland le 1er octobre 2011 AFP/Archives

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1317882701539-1-0.jpg Jonny Wilkinson pendant le match Angleterre Ecosse à Auckland le 1er octobre 2011 AFP/Archives




L'entraîneur Martin Johnson a opéré quatre changements par rapport à l'équipe qui avait débuté contre l'Ecosse avec les titularisations de Flood à la place de Mike Tindall, du deuxième ligne Tom Palmer à la place de Courtney Lawes, le retour de Nick Easter en N.8 à la place de James Haskell et de Mark Cueto à l'aile qui remplace Delon Armitage, suspendu.
"Mike Tindall a été blessé la semaine dernière (contre l'Ecosse), il ne s'est pas trop entraîné cette semaine. Il aurait peut-être pu jouer samedi mais on n'était pas sûr qu'il serait prêt (...) Cette blessure et les bonnes performances de Toby" ont fait pencher la balance en faveur de ce dernier, a indiqué Johnson, réfutant l'idée d'un "pari" risqué.
"On a fait des choix selon le jeu que l'on veut pratiquer. Ce sont des choix difficiles de laisser Mike, ou James (Haskell) qui n'est pas placé sur le banc en raison de ses performances", a-t-il ajouté.
"Il faudra mettre du rythme au match, ce qu'on n'a pas sur faire face à l'Ecosse", a-t-il précisé.
L'association de Wilkinson (32 ans, 90 sélections) et Flood (26 ans, 45 sél.), ouvreur de formation, s'apparente à la stratégie adoptée en phase finale de l'édition 2007 où Mike Catt avait débuté les quarts, demies et finale au poste de premier centre en appui de Jonny Wilkinson très sollicité durant les poules.
Les Anglais avaient atteint la finale après avoir notamment dominé les Français en demi-finales (14-9).
Lors du titre mondial de 2003, ils avaient également battu les Français en demi-finales (24-7) avec l'option Wilkinson-Catt.
L'association Wilkinson-Flood est régulièrement utilisée en cours de match, depuis le début du Mondial-2011, lors d'entrée en jeu de ce dernier.
Leur dernière titularisation dans cette configuration remonte au 6 février 2010 face au pays de Galles dans le Tournoi des six nations (30-17). Ils avaient également disputé presque tout le Tournoi-2008 dans ce schéma (exception faite du dernier match en Italie), dont la cinglante défaite 34-10 infligée au XV de France à Twickenham.
Par ailleurs, l'entraîneur Martin Johnson a composé un banc des remplaçants musclé, avec cinq avants, dont le vétéran deuxième ligne Simon Shaw (38 ans), et deux joueurs des lignes arrières.
L'équipe d'Angleterre face au XV de France
Foden - Ashton, Ma. Tuilagi, Flood, Cueto - (o) Wilkinson, (m) Youngs - Moody (Cap.), Easter, Croft - Palmer, Deacon - Cole, Thompson, Stevens
Remplaçants: Hartley, Corbisiero, Lawes, Shaw, Haskell, Wigglesworth, Banahan

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Euro-2012: Cissé n'est pas venu en "dépannage"


AFP - 05. octobre 2011, 22h36


De retour en équipe de France après plus d'un an d'absence, Djibril Cissé ne compte pas faire juste du "dépannage" contre l'Albanie et la Bosnie mais souhaite rattraper le temps perdu en bleu en ouvrant à 30 ans une nouvelle page de sa carrière internationale.
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Djibril Cissé lors de la conférence de presse le 5 octobre 2011 à Clairefontaine. AFP

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1317826244966-1-0.jpg Djibril Cissé lors de la conférence de presse le 5 octobre 2011 à Clairefontaine AFP




C'est la mine réjouie que l'attaquant de la Lazio Rome a retrouvé Clairefontaine, ravi de renouer le fil d'une histoire d'amour souvent contrariée avec les Bleus.
Depuis ses débuts en équipe de France en 2002, rien n'a été simple pour "Djib" (absence de la phase finale de l'Euro-2004 sur suspension, du Mondial-2006 après une fracture du tibia en match de préparation et de l'Euro-2008 au profit de Bafétimbi Gomis). D'où cette image de survivant que renvoie l'ancien Auxerrois (40 sélections, 9 buts).
Au moment où la sélection de Laurent Blanc joue sa survie dans les qualifications du Championnat d'Europe et que la tension risque de paralyser une partie des jeunes joueurs, Cissé a ainsi affiché mercredi l'assurance de celui qui revient de loin.
"Je l'ai toujours dit, j'y ai toujours cru, a-t-il expliqué. L'équipe de France, je m'y suis attaché dès le début et c'est dur de ne pas en faire partie. Le fait de revenir, ça me fait du bien. C'est une fête d'être appelé. J'ai eu plus de bas que de hauts mais je reste toujours attaché à l'équipe de France."
Son dernier souvenir en bleu, le fiasco de Knysna, était pourtant de nature à le dégoûter à jamais. Mais Cissé ne "voulait pas finir comme ça". Ce qui ne l'a pas empêché de douter au départ de la réalité de sa convocation, hâtée par les forfaits de Karim Benzema (pour les deux matches) et de Kevin Gameiro (contre l'Albanie).
"J'étais en train de faire un câlin à mon fils et j'ai reçu un appel. Je me suis dit d'abord +c'est quoi cette putain de blague+", a-t-il expliqué.
Mais très vite l'instinct du guerrier a repris le dessus chez Cissé, qui se refuse à faire du "dépannage" en bleu.
"Le sélectionneur pense que je peux aider l'équipe et amener quelque chose mais si je dois prendre la place, je la prendrai. Je suis venu là pour montrer que je pouvais aider, je suis un compétiteur. Ce n'est pas dans mon tempérament de baisser les bras et de lâcher. Quand j'ai envie de quelque chose, je donne tout", a-t-il expliqué.
C'est d'ailleurs ce désir d'équipe de France qui l'a poussé à quitter le Panathinaïkos Athènes (après deux titres de meilleur buteur) pour la "visibilité" de la Serie A italienne.
"Le championnat grec n'est pas le plus difficile mais les buts ne rentrent pas tout seuls. Après quand il y a des joueurs qui jouent dans de grands clubs espagnols, anglais, français, c'est dur de rivaliser. Mais j'ai été patient et j'ai travaillé sans rien dire", a-t-il affirmé.
La sélection de Gomis et son absence initiale de la liste divulguée jeudi ne l'ont même pas contrarié.
"C'est normal et logique. Comment voulez-vous ne pas appeler Bafé avec ce qu'il fait en ce moment ? Après il faut prendre son mal en patience et se dire que j'aurai mon tour en marquant des buts", a-t-il admis.
Et des buts, Cissé en a toujours inscrit même en Italie où il en est à quatre réalisations en 8 rencontres officielles. Aujourd'hui, il fait figure d'ancien chez les 23 Bleus encore disponibles (3e joueur le plus capé derrière Malouda et Abidal), une sensation étrange pour lui.
"Il y a beaucoup de nouvelles têtes pour moi. On parlait avec Samir (Nasri, ndlr) de Mvila. En 2002, il avait 12 ans. Ca fait bizarre", a-t-il relevé.
Mais s'il y a une constante, c'est son goût immodéré pour la mode et les tenues extravagantes, qui ont provoqué les moqueries du sélectionneur. "Il m'a chambré sur mon pantalon". Du Cissé pur jus.

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Le Britannique Mo Farah désigné athlète européen de l'année


AFP - 05. octobre 2011, 22h32


Le Britannique Mo Farah, champion du monde du 5000 m en août, a été désigné athlète européen de l'année, a annoncé la Fédération européenne d'athlétisme mercredi.
Le Britannique Mohammed Farah devient champion du monde du 5000 m à Daegu en Corée du Sud, le 4 septembre 2011 © AFP/Archives

L'athlète de 28 ans, originaire de Somalie, également médaillé d'argent sur 10.000 m aux Mondiaux de Daegu (Corée du Sud) cet été, a devancé lors de ce vote le sprinteur français Christophe Lemaître, médaillé de bronze sur 200 m, distingué l'an dernier.
Chez les dames, c'est la Russe Mariya Savinova, championne du monde du 800 m cet été, qui a été désignée athlète européenne de l'année.
Farah, aussi champion d'Europe du 5000m et du 10.000m, et Savinova recevront leur prix lors d'une cérémonie en Espagne, le 15 octobre.

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Bonne entrée en matière de Nadal à Tokyo


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Rafael Nadal a parfaitement entamé sa tournée asiatique en disposant du prometteur Canadien Milos Raonic en deux manches (7-5 6-3) au tournoi de Tokyo. "Rafa" a été intransigeant au service, ne concédant que 11 points sur sa mise en jeu tout au long du match (33 points gagnés sur 43 en première balle, 12 points sur 13 remportés en deuxième balle). Un break par set a suffi à l'Espagnol pour obtenir son ticket pour les quarts de finale.

Après avoir quelques difficultés à retourner le service de son adversaire en début de match, le "taureau de Manacor" a fini par émerger en fin de premier set, avant de contrôler le match au deuxième set. "Au début ce n'était pas marrant, je ne touchais pas la balle. Sérieusement, sur ses deux premiers jeux de service, je n'ai pas fait un point. Mais d'un autre côté, affronter un joueur comme lui, m'a permis de me tester mentalement. Il fallait que je sois très concentré sur mon engagement, et très appliqué en retour, pour saisir la moindre occasion. D'autre part, je n'ai pas concédé la moindre balle de break. C'est aussi un aspect très positif", a -t-il réagi.

En quarts de finale, Nadal croisera le fer avec Santiago Giraldo (ATP 53), vainqueur de Tursunov. (mb)



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M'énerve l'Espagnol, non je marre..

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Les Mauves vont jouer avec des chaussures intelligentes


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D'ici un mois, à la mi-novembre, les joueurs d'Anderlecht vont être équipés de chaussures révolutionnaires: les Adidas Adizero f50. Ce modèle est celui porté par Lionel Messi, seul joueur au monde qui les possède actuellement.

En quoi ce système est-il révolutionnaire? Parce qu'une petite puce est intégrée à la chaussure. Elle est capable de mesurer directement le nombre de kilomètres parcourus, la vitesse moyenne, la vitesse maximale, le nombre de sprints, ... Une fois les chaussures rangées, il suffit de connecter la puce à un système informatique qui retranscrit toutes les données sur un écran, graphique à l'appui.

Mesurés partout et tout le temps
S'il existe déjà un système informatique qui permet de réaliser ces calculs, il n'est d'application que lors des matches. Ici, même aux entraînements, les gestes des joueurs d'Ariël Jacobs seront mesurés. De plus, la précision des données accroît encore les possibilités.

Cette saison, les Anderlechtois ont d'ailleurs déjà fait parler d'eux avec leurs chaussures aux multiples coloris. Désormais, ils devraient donc tous porter les mêmes souliers. A une exception près: la couleur. Pour l'instant, il n'existe que deux versions de la chaussure, en jaune et... mauve. (JC)

comme si c'est la godasse qui marque le but

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Vettel à un point de son deuxième titre mondial


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Sebastian Vettel (Red Bull), après une saison de domination totale, se présente au Grand Prix du Japon de Formule 1 dimanche à Suzuka avec un objectif fort simple à atteindre : marquer un petit point au classement, pour être sacré champion du monde.

La tâche a tout de la promenade de santé pour l'Allemand, dont le parcours cette année -11 pole positions et 9 victoires en 14 courses- rappelle les folles années Michael Schumacher, quand le "Kaiser" de la F1 gagnait sans partager.

Le pilote Red Bull aurait déjà pu remporter son deuxième titre d'affilée lors du dernier Grand Prix, à Singapour, dont il était sorti victorieux. Il devait pour cela compter 125 points d'avance au classement sur son dauphin au terme de la course.

Mais la deuxième place de Jenson Button (McLaren) dans la cité-Etat avait permis au Britannique de rester à... 124 longueurs du leader. Une victoire valant 25 unités - et 5 succès 125 - L'Allemand doit donc prendre 1 seul point dans les cinq courses restantes pour accéder à son graal.

A l'inverse, Button doit gagner tous les GP et compter sur cinq scores nuls de Vettel pour le lui subtiliser.

Autre intérêt de la course, la lutte pour la 2e place du classement. Button, mais également l'Australien Mark Webber (Red Bull, pour l'instant 3e), l'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari, 4e) et le Britannique Lewis Hamilton (McLaren, 5e) ne lâcheront rien.

Tout comme le Japonais Kamui Kobayashi (Sauber), qui, à un moindre niveau, a promis de se dépasser devant son public, sept mois après le tsunami et l'accident nucléaire ayant frappé le Japon.

Pour moi il y a longtemps que c'est fait..

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Euro-2012: le Portugal à une marche d'une "finale" face au Danemark
De Thomas CABRAL (AFP) – il y a 1 heure
LISBONNE — Le Portugal de Cristiano Ronaldo doit enchaîner une cinquième victoire d'affilée vendredi face à l'Islande si il veut pouvoir briguer au Danemark la première place de son groupe de qualification à l'Euro-2012 et, ainsi, faire oublier un début de campagne compromettant.
Si les Portugais restent sur leur lancée lors de la réception de l'Islande à Porto, ils se déplaceront mardi à Copenhague avec un avantage non négligeable : un nul suffirait alors à valider leur qualification directe.
Pour l'instant, tout reste ouvert dans ce groupe H où le Portugal occupe la tête du classement avec le Danemark et la Norvège, avec toutefois une meilleure différence de buts. Par ailleurs, les Norvégiens comptent un match de plus et les Danois se sont inclinés au Portugal (3-1) il y a un an.
La conquête des trois points vendredi est donc cruciale pour les ambitions d'un pays qui a dû passer par les barrages pour arracher son billet pour le Mondial-2010. La mission semble à sa portée, mais le Portugal revient de loin.
Après une défaite en Norvège et un nul à domicile face à Chypre, l'arrivée de l'entraîneur Paulo Bento en septembre 2010 et le retour du capitaine Cristiano Ronaldo ont permis à la "selecçao" de se relancer, avec un sans faute lors des quatre dernières sorties.Mais, dans le camp portugais, joueurs et encadrement refusent d'aborder cette "finale" face au Danemark avant de conclure avec succès l'"opération Islande".
"Obligé de gagner"
"Nous nous sommes préparés toute la semaine pour affronter l'Islande, nous ne pensons pas au match suivant", a affirmé jeudi Paulo Bento, soulignant qu'il s'agit d'une rencontre que son équipe est "obligée de gagner".
"Nous avons deux matches décisifs et il est extrêmement important de gagner le premier", avait dit la veille le milieu Joao Moutinho.
Malgré leur victoire facile à Reykjavik l'an dernier (3-1), les Portugais se montrent très prudents car ils devront conclure leur campagne de qualification sans plusieurs de leur cadres, notamment en défense, où Bento devra aligner le quatuor le moins expérimenté depuis qu'il est en poste.
Après le départ de Ricardo Carvalho, qui a claqué la porte de la Selecçao en se disant "blessé dans sa dignité", le Portugal a perdu Pepe et Fabio Coentrao, blessés alors qu'ils étaient en service au Real Madrid.
En attaque, l'avant-centre Hugo Almeida et l'ailier Danny seront également absents, tandis que Cristiano Ronaldo a dû être ménagé à l'entraînement jusqu'à mardi en raison d'une douleur à la hanche.
Avec deux buts et une passe décisive, l'attaquant vedette du Real Madrid avait été le principal artisan du carton signé à Chypre (4-0) le mois dernier et il est donné certain vendredi.
"La Selecçao devra être à son plus haut niveau pour obtenir la qualification directe", estimait cette semaine le directeur du très populaire quotidien sportif A Bola.
Pour Vitor Serpa, "le nombre d'absences suffit à provoquer une légitime inquiétude chez une équipe qui ne dispose pas d'un banc des remplaçants fourni".