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[danlos]

La Corée choque encore !


Rien n’a vraiment changé en un an



vendredi 14 octobre 2011 - 07h57, par Olivier Ferret
Après la calamiteuse première édition du Grand Prix de Corée, rien n’a vraiment changé selon les équipes, les pilotes et tout le personnel de la Formule 1 sur place. Les avis sont unanimes : c’est comme si le circuit avait fermé ses portes après l’édition 2010 et les avait uniquement ré-ouvertes cette semaine !
Les équipes ont ainsi retrouvé dans leurs locaux respectifs des réfrigérateurs même pas vidés des restes de nourriture de l’an dernier. Les inscriptions des pilotes sont encore celles de l’année dernière, Nico Hulkenberg étant toujours chez Williams.
Autre exemple, dans le garage McLaren qui était utilisé par Red Bull l’an passé, les inscriptions Webber et Vettel étaient encore peintes au sol et c’est à McLaren qu’est revenue la tâche d’effacer ces inscriptions.
Côté hébergement, rien n’a vraiment changé non plus, les journalistes et membres d’équipes devant toujours dormir dans des hôtels de passes plutôt sordides. Williams a carrément décidé d’aller loger à une heure du circuit, à Gwangju.
"C’est presque amusant quand on sait tout ce qui s’est passé pour moi en un an (deux titres décrochés). Ici on dirait qu’il y a eu seulement le silence. De manière basique on peut dire qu’il ne s’est pas passé grand chose depuis qu’on est parti l’an dernier," pense Vettel.




Pas mal ces nouveaux territoires pour les courses

[Norton]

Envoyé par danlos

La Corée choque encore !


Rien n’a vraiment changé en un an



vendredi 14 octobre 2011 - 07h57, par Olivier Ferret
Après la calamiteuse première édition du Grand Prix de Corée, rien n’a vraiment changé selon les équipes, les pilotes et tout le personnel de la Formule 1 sur place. Les avis sont unanimes : c’est comme si le circuit avait fermé ses portes après l’édition 2010 et les avait uniquement ré-ouvertes cette semaine !
Les équipes ont ainsi retrouvé dans leurs locaux respectifs des réfrigérateurs même pas vidés des restes de nourriture de l’an dernier. Les inscriptions des pilotes sont encore celles de l’année dernière, Nico Hulkenberg étant toujours chez Williams.
Autre exemple, dans le garage McLaren qui était utilisé par Red Bull l’an passé, les inscriptions Webber et Vettel étaient encore peintes au sol et c’est à McLaren qu’est revenue la tâche d’effacer ces inscriptions.
Côté hébergement, rien n’a vraiment changé non plus, les journalistes et membres d’équipes devant toujours dormir dans des hôtels de passes plutôt sordides. Williams a carrément décidé d’aller loger à une heure du circuit, à Gwangju.
"C’est presque amusant quand on sait tout ce qui s’est passé pour moi en un an (deux titres décrochés). Ici on dirait qu’il y a eu seulement le silence. De manière basique on peut dire qu’il ne s’est pas passé grand chose depuis qu’on est parti l’an dernier," pense Vettel.




Pas mal ces nouveaux territoires pour les courses

Du n'importe quoi... Merci Danlos..

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Cyclisme

En quête d'un dernier bouquet

14 octobre 2011 14:34 Le temps des fleurs de la Vuelta 2010 est depuis longtemps révolu pour Nibali, le Requin de Messine. [Zipi - Keystone]

Le cyclisme italien espère sans trop y croire un réveil des siens au Tour de Lombardie, qui s'offre un nouveau parcours, samedi, de Milan à Lecco, sur la rive du lac de Côme, pour le dernier bouquet de la saison des classiques.

Le dernier succès italien dans une grande course d'un jour date désormais de trois ans, quand Damiano Cunego avait gagné la "course des feuilles mortes". Depuis, ses compatriotes courent après la victoire et, fait notable, la "Lombardie", l'un des cinq "monuments" (les grandes classiques) de l'année, est revenue en 2009 et 2010 à Philippe Gilbert. Dominateur au long de la saison, le Belge part une nouvelle fois favori en conclusion d'une incroyable série entamée dès le mois de mars en Italie (Strade Bianche). Même si ses deux dernières sorties, à Paris-Tours et au Tour du Piémont, ont été moins convaincantes.
Le no1 mondial, Philippe Gilbert, vise une sixième classique pour conclure une année 2011 de tous les superlatifs. [Keystone] Sous un soleil d'automne

Le nouveau tracé, fidèle à la tradition, dissuade les routiers-sprinters. "C'est plus difficile", estime même l'Italien Vincenzo Nibali, qui affiche ses ambitions au terme d'une saison 2011 vierge de victoire. Un vrai col, le Valcava (11,7 km à 8%), emprunté à la fin des années 1980, doit être escaladé dans la première moitié du parcours. Plusieurs montées viennent dans les 100 derniers kilomètres, entre autres l'emblématique Ghisallo, où les cloches de la chapelle dédiée au cyclisme tintent toujours au passage de la course. Pour Gilbert, Nibali et leurs adversaires, le sommet de la dernière difficulté (Villa Vergano, 3,2 km à 7,4%) est à seulement 9 kilomètres de l'arrivée. La descente est prolongée par 2800 mètres de plat pour rejoindre la ligne, sur le Lungolario Isonzo, en bord de lac, à l'issue des 241 kilomètres.
A l'inverse de l'an dernier, quand Gilbert avait rallié Côme en solitaire après un grand numéro en descente sur une route hyper-glissante, la météo prévoit cette fois un soleil d'automne. Mais le Wallon est homme à s'acclimater à toutes les conditions de course pour se rapprocher de Fausto Coppi. Depuis l'époque du "campionissimo", qui détient le record de cinq victoires (entre 1946 et 1954), nul n'a gagné trois fois de suite en Lombardie.
Finir en beauté

Damiano Cunego, qui s'est imposé par trois fois (2004, 2007 et 2008), prend le départ avec des espoirs raisonnés. "Le parcours, éprouvant, ne laisse pas de temps mort. Il exige une condition optimale", relève l'Italien, rentré en début de semaine du Tour de Pékin. De sa récupération du décalage horaire, tout comme pour l'Espagnol Samuel Sanchez ou encore l'Irlandais Nicolas Roche, dépendent ses chances d'un beau résultat dans une course qui, l'année prochaine, sera avancée en calendrier. Elle aura lieu le samedi suivant le championnat du monde.
Le Tour du Piémont, jeudi, a souligné en tous les cas l'efficacité actuelle de l'équipe Katusha. A côté du lauréat, l'Espagnol Daniel Moreno, la formation russe aligne samedi deux pointes redoutables, l'Espagnol Joaquin Rodriguez et l'Italien Luca Paolini. Tous ceux qui veulent conclure la saison en beauté, notamment l'espoir français Thibaut Pinot, doivent en tenir compte.
agences/lper

[Norton]

Ski



14 octobre 2011 22:05

La malchance poursuit Célina Hangl (22 ans), qui s'est déchiré les ligaments croisés du genou droit lors de sélections internes à Saas-Fee. La slalomeuse grisonne, membre du cadre B de Swiss Ski, avait déjà été longuement absente après une fracture du tibia en 2008. Sa saison est donc d'ores et déjà terminée

[Norton]

Baske: Parker décisif pour l'Asvel face au Paris-Levallois

- Publié le 14/10/2011 à 21:44



Dans un final à suspense, et alors que Villeurbanne menait 75 à 73 avec quelques secondes à jouer, Parker parvenait à intercepter la dernière possession parisienne en se jetant sur le ballon, scellant ainsi la victoire des siens.

Tony Parker s'est déjà montré décisif avec Villeurbanne, inscrivant 21 points et distribuant 6 passes pour son premier match, remporté 75-73 face au Paris-Levallois à l'arraché et grâce à une ultime interception du meneur, vendredi lors de la 2e journée de ProA.
Pour son grand retour en France, le joueur de San Antonio (NBA), également vice-président de l'Asvel, a disputé 28 minutes, apposant son empreinte sur une partie très inégale côté rhodanien.
Les Villeurbannais prenaient, en effet, un départ tonitruant, menant 29-14 à la fin du premier quart-temps conclu sur un dunk rageur de Bangaly Fofana. Mais, victimes d'une nette baisse d'efficacité au tir, ils laissaient le Paris-Levallois revenir dans la partie à la pause (42-33).
Excellent lors des 10 premières minutes, Parker s'effaçait peu à peu, et son équipe, au diapason, subissait un gros trou d'air. Ainsi, le meneur voyait deux passes d'affilée échouer dans le public, une troisième interceptée par David Noel qui finissait en dunk pour recoller (44-43, 24e).
Les Parisiens, bien plus compacts en défense, prenaient l'avantage à l'abord du dernier quart-temps (55-51). Parker accélérait alors, enfilant 10 points en cinq minutes, pour remettre l'Asvel devant (64-60, 33e).
Dans un final à suspense, et alors que Villeurbanne menait 75 à 73 avec quelques secondes à jouer, Parker parvenait à intercepter la dernière possession parisienne en se jetant sur le ballon, scellant ainsi la victoire des siens.
Les Villeurbannais effacent ainsi leur défaite initiale, de peu à Roanne (79-76) la semaine dernière.
Le Mans s'est pour sa part imposé à Pau (83-73), avec une jolie prestation de Charles Lombahe-Kahudi (18 pts, 6 rb), médaillé d'argent avec les Bleus lors du dernier Euro. Côté béarnais, Teddy Gipson a survolé la partie (24 pts, 6 rb, 3 passes), en vain.

[Norton]

Quand Sébastien Buemi rivalise avec Michael Schumacher

Formule 1 | En Grand Prix, le départ reste une phase cruciale de la course. Et dans ce domaine, le Suisse pointe en tête

Mario Luini | 14.10.2011 | 17:30

Même si les dépassements sont plus faciles cette année, principalement grâce aux deux nouveautés que sont l’aileron arrière mobile (DRS) et les pneus à dégradation rapide, il n’en reste pas moins que le départ demeure une phase cruciale de chaque Grand Prix. Une mauvaise mise en action compromet toute la stratégie de course préétablie, alors que des places gagnées immédiatement peuvent permettre aux équipes de modifier leurs plans et viser un classement supérieur à la valeur de la voiture.

Au feu vert, les premiers tours de roue dépendent avant tout du réglage et de la fiabilité du système installé dans la voiture, qui contrôle la puissance en fonction de l’adhérence des pneus sur la piste. Le pilote n’est ici qu’un presse-bouton. En revanche, l’homme reprend totalement la main dans la phase suivante, lorsqu’il s’agit d’exploiter au mieux la mise en vitesse de sa machine. Vista, intuition, contrôle, dosage du risque, le pilote donne ici toute sa mesure lorsqu’il s’agit de se faufiler habilement dans un peloton où chacun essaie d’en faire autant.
Bon pour Buemi
Et à ce petit jeu, une statistique comparant les places sur la grille de départ et le classement à la fin du premier tour de course réserve quelques belles surprises. Ainsi, le roi des premiers tours en 2011 n’est autre que Michael Schumacher. Le septuple champion du monde démontre ainsi que, du haut de ses 42 ans, il n’a rien perdu de son enthousiasme, même si les résultats ne sont pas à la hauteur.
Mais tout Schumi qu’il est, il dépend aussi de la compétitivité de sa Mercedes W02, qui n’est certes pas la meilleure du lot. Il n’en a pas moins récupéré la bagatelle de 40 places dans les 15 Grand Prix disputés cette saison, laissant par exemple loin derrière lui son (brillant) équipier Nico Rosberg, avec 17 place gagnées.
Et le 2e pilote de cette hiérarchie se trouve au volant d’une monoplace encore moins compétitive: avec 31 places gagnées sur sa modeste Toro Rosso, Sébastien Buemi démontre une facette révélatrice de son talent, qui va plus loin que la simple lecture des résultats.
Mieux même: si Schumacher a bien grappillé 40 positions, il en a aussi perdu 15 en d’autres premiers tours moins favorables. Et là, Buemi a fait mieux, n’en ayant concédé que six. Résultat: sur la moyenne de l’année, le Vaudois fait carrément jeu égal avec son prestigieux adversaire, les deux hommes dominant la liste avec un solde positif de 25 places gagnées.
Le jeune Vaudois distance ainsi nettement tout un peloton de pilotes plus aguerris, mieux armés ou jouissant d’un palmarès supérieur, et c’est évidemment très bon pour lui. Vingt-cinq places gagnées, c’est deux à trois fois mieux que ses adversaires directs de la seconde moitié du peloton. Toujours réaliste, «Seb» ne se monte pas la tête pour autant: «Réussir un bon départ, ça ne dépend pas que de soi, ça dépend aussi de celui des autres, tempère-t-il. Et il faut aussi un peu de chance quand on décide, en une fraction de seconde, où on va mettre ses roues…».
Le cas Webber
Par comparaison, les grands noms de la saison affichent des scores plus modestes. Par exemple, il faut descendre au 9e rang de cette hiérarchie pour trouver Fernando Alonso (Ferrari), avec un solde positif de huit places (15 gagnées et 7 perdues). Et les autres? Ils sont tous en négatif, ayant perdu davantage de places qu’ils n’en ont gagnées. On trouve ainsi le tout frais double champion du monde Sebastian Vettel et son dauphin actuel, Jenson Button, ex aequo en 17e position, avec un passif de 4 places. Logique: il est évident que plus un pilote part en avant sur la grille, moins il aura de rivaux à dépasser.
Parti en pole position dans 12 courses sur 15 , Vettel n’a ainsi gagné qu’une seule place, alors qu’il en a perdu cinq. La comparaison est ici particulièrement cruelle pour son équipier Mark Webber. Au volant de l’autre Red Bull-Renault, le coriace Australien a certes aussi gagné une place, mais il en a surtout perdu… 33! Seul Jaime Alguersuari (le coéquipier de Buemi chez Toro Rosso) a fait pire, avec 39 places perdues (mais 18 d’un coup lorsqu’il a été accroché par Senna au premier virage du GP de Belgique).
Malgré ce record négatif, Mark Webber reste en position de battre Button, Alonso et Hamilton pour la 2e marche finale du championnat. Mais avec des premiers tours «façon Buemi», l’Australien n’aurait-il pas déjà réglé le cas? La question mérite d’être posée.

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XV de France

• Directs 365

COUPE DU MONDE / GALLES - FRANCE :

Publié le : 14/10/2011 à 20h00 - Mis à jour le : 14/10/2011 à 21h18
Ne pas faire les beaux




Après sa victoire contre l'Angleterre en quarts, le XV de France devra se mettre la même pression contre les Gallois. Pour gagner et disputer leur troisième finale de Coupe du monde, les Bleus devront avant tout rester humbles.

Pays de Galles

Le groupe
Warren Gatland a misé sur la continuité. Le sélectionneur gallois a reconduit la même équipe que contre l’Irlande en quarts de finale. Seul changement à noter : Rhys Priestland, l’ouvreur aux soins depuis le début de la semaine, est forfait. Il est remplacé par James Hook. Le futur Perpignanais voit enfin le bout du tunnel avec cette première titularisation à l’ouverture. Devant, la troisième ligne est reconduite. Une des meilleures de la compétition, elle sera emmenée par Sam Warburton. A 23 ans, il est le plus jeune capitaine de l’histoire de la Coupe du monde. Auteur d’un essai contre les Irlandais, Shane Williams sera de la partie. Le joueur devra être surveillé sur son aile. Du haut de ses 34 ans, il jouera peut-être son dernier match sous le maillot gallois.

Les absents
Blessés : Priestland
Suspendu : Aucun

Enjeux et forme du moment
Comme la France, le pays de Galles sort d’une grosse performance. L’équipe de Warren Gatland est venue à bout de l’Irlande, favorite du quart de finale samedi dernier (22-10). Elle l’a emportée en toute logique au terme d’un match débridé. Les Gallois n’étaient pas arrivés en demi-finales de Coupe du monde depuis la première édition en 1987. Face à la France, une des clés du match sera la capacité des Diables rouges à enchaîner les performances. Tout comme leurs adversaires, ils devront respecter leurs vis-à-vis. Concernant le jeu, la machine galloise est fluide et rigoureuse. Warburton et ses coéquipiers récitent et savent jouer simple. Un état d’esprit qu’ils devront s’efforcer d’avoir contre les Français. Avant cette demi-finale, l’état major de la sélection rouge a joué finement. Si Warren Gatland a annoncé qu’une qualification pour la finale serait du bonus, son groupe ne reste pas moins un sérieux outsider.

La phrase de...Warren Gatland
« Ça a été un immense honneur d'être aux commandes de l'équipe du pays de Galles et d'avoir eu l'occasion de venir en Nouvelle-Zélande. Arriver en finale serait un sacré bonus pour nous. » (Rugby365)



FRANCE

Le groupe
Marc Lièvremont a refait le coup. Le sélectionneur français alignera le même XV de départ que contre l’Angleterre. L’incertitude trônera malgré tout autour de Dimitri Yachvili, gêné par une contusion à la cuisse gauche durant toute la semaine. Ce sera donc Morgan Parra qui butera. Sur le banc, le staff des Bleus a pris des précautions. Jean-Marc Doussain intègre le groupe. Sa première sélection est à prévoir. Le Toulousain remplacera David Marty.Toujours du côté des remplaçants, Fulgence Ouedraogo a été préféré à Louis Picamoles. Un œil attentif sera posé sur la prestation de la troisième ligne avec Julien Bonnaire, Thierry Dusautoir et Imanol Harinordoquy. Reste à savoir si les trois compères vont réitérer la belle partition offerte contre les Anglais.

Les absents
Blessés : Aucun
Suspendu : Estebanez

Enjeux et forme du moment
L’histoire les a prévenus. Après une grosse performance, les Français ont souvent vécu une désillusion ensuite. En 1999 et 2007, c’était après des exploits face aux All Blacks. Avant d’aborder cette demie contre les Gallois, la France sort d’un (petit) exploit contre le XV de la Rose. Toute la semaine, Marc Lièvremont a martelé ce mal français. Avant tout chose, le XV de France devra se mettre la même pression que contre l’Angleterre. Sans pour autant s’inhiber par l’évènement, les Bleus devront prendre au sérieux leurs adversaires. Dans le même temps, certains observateurs leurs confèrent un statut de favori. Les joueurs de Lièvremont sont d’ailleurs rentrés dans ce jeu des petites phrases d’avant match. Thierry Dusautoir, le capitaine a déjà positionné le pays de Galles comme étant « au-dessus ». Si Imanol Harinorquy se méfie également de ses adversaires, le Biarrot est motivé. Comme pour le reste du groupe, aucune appréhension excessive en tête, un seul objectif : la finale.

La phrase de... Thierry Dusautoir
« Sur ce que l’on a pu voir du pays de Galles pendant la Coupe du Monde, il joue un rugby magnifique. Les deux équipes que je trouvais les plus impressionnantes étaient l’Afrique du Sud et le pays de Galles donc je pense que c’est tout à fait normal de les trouver en demi-finales. » (Rugby365)

Samedi 15 octobre 2011 à 10h00

Coupe du monde / Demi-finale
PAYS DE GALLES - FRANCE

[Norton]

Le missile et l'exclusion de Perisic (vidéo)


© reuters
Après un début de championnat difficile, Dortmund (champion en titre) retrouve tout doucement son rythme de croisière de l'année dernière. En match d'ouverture de la 9e journée de Bundesliga, les hommes de Jurgen Klopp se sont imposés 0-2 sur le terrain du Werder Brême.

Deuxième place
L'homme du match ne fut autre que l'ancien Brugeois Ivan Perisic. Après avoir ouvert la marque en fin de première mi-temps d'un missile du pied gauche, le Croate s'est fait exclure dès la reprise (vidéo) (deux jaunes). En infériorité numérique depuis la 48e, le Borussia s'est mis à l'abri à vingt minutes de la fin grâce à un but d'Owomoyela. Cette victoire permet à Dortmund de recoller à la deuxième place du classement. (mb)

http://www.youtube.com/watch?feature...&v=VUS2rlhybus

[Norton]

Philippe Gilbert rêve aussi du Tour de Lombardie


© photo news

© photo news


Dominateur tout au long de la saison, Philippe Gilbert partira favori du Tour de Lombardie, la dernière classique de la saison, qui reliera Milan à Lecco, sur les rives du lac de Côme, samedi. Vainqueur en 2009 et 2010, le champion de Belgique peut, en cas de nouvelle victoire, rejoindre Alfredo Binda, qui s'était adjugé la "course des feuilles mortes" trois ans de suite de 1925 à 1927, et marcher sur les traces de Fausto Coppi, qui détient le record de cinq victoires (entre 1946 et 1954), dont quatre d'affilée (1946-1949).

Le nouveau tracé, fidèle à la tradition, dissuade les routiers-sprinteurs. Un vrai col, le Valcava (11,7 km à 8%), emprunté à la fin des années 1980, doit être escaladé dans la première moitié du parcours. Plusieurs montées viennent dans les 100 derniers kilomètres, entre autres l'emblématique Ghisallo, où les cloches de la chapelle dédiée au cyclisme tintent toujours au passage de la course.

Attention à Cunego
Le sommet de la dernière difficulté (Villa Vergano, 3,2 km à 7,4%) est à seulement 9 kilomètres de l'arrivée. La descente est prolongée par 2800 mètres de plat pour rejoindre la ligne, sur le Lungolario Isonzo, en bord de lac, à l'issue des 241 kilomètres.

Les autres favoris sont les Italiens Damiano Cunego, dernier vainqueur italien de l'épreuve, qu'il a remportée trois fois (2004, 2007 et 2008), Luca Paolini et Vincenzo Nibali, les Espagnols Samuel Sanchez, Joaquin Rodriguez et Daniel Moreno, vainqueur du Tour du Piémont jeudi.

[Norton]

Beckham au PSG, c'est quasiment fait


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Décidément, le PSG frappe fort depuis quelques mois. Après avoir notamment recruté Javier Pastore pour 42 millions, le club français va faire signer David Beckham. Pour Le Parisien, cela ne fait plus l'ombre d'un doute. Le footballeur le plus populaire au monde n'a plus qu'à parapher son contrat avec le club, qu'il devrait rejoindre à partir de janvier.

"Quasiment tout est ficelé : contrat, rémunération, droits d'image et marketing. La négociation arrive à son terme", écrit le quotidien français.

Pas avant fin janvier
Tant David que Victoria semblent emballés à l'idée de rejoindre la capitale française. D'autant que les nouveaux propriétaires qataris lui ont promis un joli chèque en cas de signature. Il faudra cependant se montrer un peu patient avant de voir le joueur de 36 ans au Parc des Princes. Vu que la saison en Major League Soccer arrive à son terme au mois de novembre, le médian des L.A. Galaxy en profitera pour prendre quelques jours de vacances en décembre.

L'ancien numéro 7 de Manchester United arriverait à Paris en janvier, pour entamer la préparation et le stage hivernal avec le groupe. Si tout va bien, Gameiro, Menez, Pastore et les autres joueront avec le "Spice Boy" fin janvier. (JC)