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05/11/2011, 20h49
Sixième finale de rang à Bâle pour Roger Federer
Si - 05. novembre 2011, 19h03
Stanislas Wawrinka n'y arrive toujours pas ! Pour la dixième fois déjà, la quatrième cette année, le Vaudois a subi la loi de Roger Federer.
Le Bâlois s'est imposé 7-6 (7/5) 6-2 en 1h28' dans ce derby suisse en demi-finale des Swiss Indoors. Dimanche pour sa sixième finale de rang à Bâle, il tentera de cueillir un cinquième titre à la Halle St-Jacques. Il abordera la finale contre le Japonais Kei Nishikori, qu'il n'a encore jamais rencontré, dans la peau du grandissime favori.
Contrairement à leurs trois dernières rencontres à Melbourne, à Indian Wells et à Roland-Garros, Stanislas Wawrinka a eu sa chance à Bâle. Mené 5-2, Stan pouvait recoller au score et emmener son adversaire au jeu décisif du premier set. Un jeu qu'il perdait en commettant quatre fautes directes de suite alors qu'il était depuis une dizaine de minutes le joueur le plus tranchant sur le court. Le score est passé de 1/1 à 5/1 pour Federer. Ces quatre erreurs, deux en coups droits et deux en revers, lui ont coûté le match.
Après avoir perdu les deux premiers jeux du second set, Stan laissait éclater sa frustration en fracassant sa raquette. Ce geste que l'on peut comprendre ne lui permettait toutefois pas de revenir dans un match que Roger Federer contrôlait à la perfection.
"Rien ne fut facile dans ce match, expliquait Roger Federer. Stan est revenu de manière admirable au score au premier set. Heureusement pour moi, j'ai senti qu'il était un peu tendu au tie-break. Après, il était crucial d'enfoncer le clou au début de la seconde manche. Malgré cette défaite, je crois que Stan peut être très content de son parcours dans ce tournoi".
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06/11/2011, 07h41
SOLVABILITÉ
Bulat Chagaev s’enfonce
05. novembre 2011, 22h57
Dominique Botti et Tom Granay | Le Matin Dimanche
Le nouveau propriétaire de Xamax prétend vouloir mettre 35 millions de francs à la disposition de son club. Problème: l’attestation censée prouver l’existence de cette fortune a tout l’air d’un faux. Et c’est ce document qui a été envoyé à la justice pour éviter la faillite.
Bulat Chagaev s’est exprimé plusieurs fois devant la presse (comme ici en octobre dernier) pour prouver sa bonne foi. © Michel Perret
Incroyable, mais vrai. Bulat Chagaev, le propriétaire tchétchène du Neuchâtel Xamax qui se dit milliardaire, a produit une attestation bancaire qui a tout l’air truquée. Pire, ce document des plus louches est la pièce n. 13 d’un dossier que le Xamax SA a envoyé, le 1er novembre, au juge Bastien Sandoz pour éviter la mise en faillite du club.
Après avoir lu cette prétendue preuve produite en justice, des spécialistes sourient: «Ce document n’a aucune valeur», indiquent même plusieurs sources. Des agents d’affaires qui travaillent avec les Etats-Unis sont choqués par la forme de ce document. «C’est une honte à la profession, explique un agent d’affaire genevois. J’ai de nombreuses années d’expérience. Je peux vous assurer qu’il est impossible que cette attestation soit issue d’une banque américaine. Je n’aimerais pas être à la place de l’avocat qui a produit ce document».
L’avocat en question, qui a toujours défendu avec ardeur le Neuchâtel Xamax et son propriétaire Bulat Chagaev, n’est autre que François Canonica, vice-bâtonnier et membre du conseil de l’ordre genevois. Interrogé sur l’authenticité de ce document, il refuse encore de trancher: «Si cette attestation est vraie, le problème est réglé, maintient-t-il. En revanche, si c’est un faux, ma bonne foi aura été abusée et je devrai résilier mon mandat.»
Des locaux vides
Les anomalies sont criantes sur cette attestation soi-disant émise par la Bank of America à New York. Premier problème, et non des moindres, l’adresse de l’agence est fausse. «Le Matin Dimanche» a retrouvé sur place, à la 100 West 33rd St, des locaux vides. Il ne reste qu’un panneau à l’entrée du bâtiment qui indique «Bank of America Merrill Lynch 3rd floor». Le portier de l’immeuble témoigne: «Ils ont déménagé depuis des mois.» Des propos confirmés officiellement par le porte-parole de la banque, William Halldin, qui refuse d’en dire davantage. L’agence de la Bank Amercia a remis les clés en juin dernier, soit bien avant la date indiquée sur cette attestation. De plus, cette agence ne faisait alors que du back-office et n’avait pas de contact avec la clientèle.
Deuxième bizarrerie: Alex Sanders, signataire de l’attestation, ne figure pas parmi les empoyés de la banque à New York. L’enquête du «Matin Dimanche» a retrouvé une employée homonyme. Mais dans une succursale de la Bank of America en Caroline du nord. Contactée, elle n’a pas souhaité répondre à nos questions. Impossible donc de savoir pourquoi son nom figure à côté de cette signature. Et juste au-dessus de la fonction de «Bank manager». Un terme qui n’existe pas à la Bank of America. «Tout simplement parce qu’il ne correspond à rien», poursuit une source.
L’analyse révèle bien d’autres anomalies (voir infographie). Gallicisme, tampon de la banque qui indique une fausse adresse, erreurs orthographiques et grammaticales dans le texte, l’absence de mention du pays dans l’adresse du destinataire, Bulat
Chagaev. Pour la première fois, c’est une sérieuse épine dans le pied de Bulat Chagaev. Ce document louche remet en question les déclarations de Chagaev sur sa capacité d’investir 35 millions de francs dans le club. Elle interroge aussi sa solvabilité et les pratiques de cet homme d’affaires russe qui affirme travailler en Suisse depuis 20?ans, sans y avoir toutefois de lieu de résidence.
D’autres acteurs en Suisse pourraient être embarrassés. Il y a d’abord la Swiss Football League, qui a confirmé avoir reçu ce document. Curieusement, les instances dirigeantes du football suisse ne s’en seraient pas contentées. Elles avaient en effet exigé plus de garanties financières. La directrice générale de Xamax, Barbara Perriard, avait assuré devant un tribunal que Chagaev détenait bel et bien 35 millions de francs à disposition du club, se basant sur cette attestation.
Le vice-bâtonnier François Canonica, a eu lui aussi entre les mains ce document, qu’il a inséré dans l’épais dossier remis à la cour civile neuchâteloise qui s’est penché cette semaine sur l’éventuelle faillite du club.
Le juge Bastien Sandoz a donc reçu cette pièce n. 13 avant de prendre sa décision de ne pas liquider le club. Sur quoi s’est-il basé pour se déterminer? A-t-il eu des doutes sur les preuves fournies par Xamax SA? «Je ne peux rien dire», répond le magistrat qui n’a pas encore fait connaître les motivations de son jugement aux parties. Il précise seulement qu’une enquête pénale se doit d’être ouverte d’office si le Tribunal doute de l’authenticité d’un document qui lui est remis. Par ailleurs, selon un expert de ce type de procédures, «si le magistrat s’est basé, même en partie, sur un faux document pour rendre une décision, cette dernière devient caduque».
1,3 million de francs versé
Ce document soulève surtout la question de la provenance réelle des fonds de Bulat Chagaev. Si ses liens avec Bank of America semblent plus que douteux, l’homme d’affaires a fait la preuve qu’il disposait tout de même de fonds suffisants. C’est un dernier versement de 1,3 million de francs, exécuté le 27 octobre, qui semble avoir vraiment rassuré la justice. Ce virement provient non pas des Etats-Unis, mais d’une banque moscovite: l’International Financial Bank. Cet établissement appartient, depuis 2008, au milliardaire Mikhail Prokhorov, troisième fortune de Russie selon Forbes. Parmi les actionnaires de la banque figure d’ailleurs un autre oligarque, bien connu en Suisse celui-là: Victor Vekselberg, patron du groupe Renova et actionnaire d’OC Oerlikon. Un détail: l’ordre de virement, dont «Le Matin Dimanche» a obtenu copie, précise de manière laconique: «selon accord de crédit». Quel accord? Quel crédit? Seul Bulat Chagaev a la réponse.
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06/11/2011, 07h49
Tennis
Wawrinka aux Swiss Indoors: «Il ne m’a pas manqué grand-chose»
05. novembre 2011, 23h05
LeMatin.ch & les agences
«Il ne m’a pas manqué grand-chose», a lâché Stanislas Wawrinka après sa défaite face à Roger Federer en demi-finale des Swiss Indoors de Bâle. Et effectivement, il aurait eu la possibilité de se qualifier pour la finale.
Stanislas Wawrinka © KEYSTONE
Cette dixième défaite contre Roger Federer, Stanislas Wawrinka risque de la garder en travers de la gorge pendant quelques jours. Il y avait la place pour passer en demi-finale des Swiss Indoors.
«J’avais deux objectifs en entrant sur le court: jouer de manière très agressive et relancer le plus souvent en lift, explique le Vaudois. C’est dommage, il ne m’a pas manqué grand chose aujourd’hui. Peut-être un manque d’efficacité sur mon revers». Il revient, bien sûr, sur l’issue déterminante du tie-break du premier set. «J’aurais pu mener 3/0. Roger mène 5/1, je reviens à 5/4. Je tente alors un service-volée mais il me surprend en retour...»
Stanislas Wawrinka, qui voyait Roger Federer gagner la finale en deux sets, disputera la semaine prochaine son dernier tournoi de l’année à l’occasion du Masters 1000 de Paris-Bercy. Il entrera en lice mardi contre le géant américain John Isner. «On connaît Isner. Cela sera du 50-50», lâche-t-il en espérant que la réussite qui l’a un peu boudé contre Federer soit cette fois de son côté.
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06/11/2011, 07h51
Abandonné aux ambitions du père, Marcos Baghdatis retrouve enfin le sourire de sa mère
05. novembre 2011, 22h37
Gaëlle Cajeux | Le Matin Bleu
L’empreinte rougeoyante laissée par la poche de glace sur son genou gauche attire le regard. «Ça? Non, non, ce n’est rien de spécial.» Marcos Baghdatis touche le banc sur lequel il se déchausse en salle de massage. «Tout va bien actuellement.»
© Keystone
Le corps du Chypriote est mû par un «souffle nouveau» venu du travail de fond effectué depuis août avec le coach Miles MacLagan. Son esprit apaisé, renforcé par un équilibre vital finalement trouvé. A 26 ans.
Juste avant, le garçon de Limassol a mis genoux à terre pour embrasser le «Greenset» – désormais bleu – du Parc Saint-Jacques de Bâle, où vivent les Swiss Indoors. Célébration surprenante pour une victoire au premier tour. Réaction viscérale pour cet être bouillonnant d’émotions.
Gloire et déboire
«Pour me remettre dedans, j’ai besoin de ces rencontres difficiles, de ces matches où je dois me battre.» Marcos Baghdatis, matricule 59 à l’ATP, tombera finalement en demi-finales sous les balles de Novak Djokovic, numéro un mondial. En lui prenant un set. Son objectif, dit-il, est de jouer au tennis encore sept ou huit ans. Tout en haut. «Même si ce sport est devenu très, très dur, que les dix meilleurs mondiaux sont grands – il n’y en a qu’un en dessous de 1,85 m – et que, pour un «petit» comme moi, il faut aller au combat tous les jours. Je sais qu’à un moment ça va payer. Retourner dans les dix.»
Paupières baissées. Flash-back en l’an 2006, où sa tignasse folle, ses maillots fluo et son immense sourire ont éclaboussé le circuit lors d’une finale mythique contre Roger Federer à l’Open d’Australie. La révélation de tout juste 20 ans atteint ensuite les demi-finales à Wimbledon, avant de jouer, perclus de crampes, un quatre mains épique avec Andre Agassi à l’US Open. Cinq sets, dernière victoire de la légende américaine. Confirmation du talent chypriote, classé ATP 8. Mais le revers de cette éclosion précoce est brutal. De contre-performances en blessures, Marcos Baghdatis réintègre la classe moyenne. Son nom resurgit parfois à la faveur de matches mémorablement accrochés, de victoires de prestiges sur les numéos un de 2010, Federer et Nadal.
Le projet d’un père
Ces souvenirs de «beaux moments» nourrissent aujourd’hui sa motivation de come-back. «Il y a ça, mais, honnêtement, surtout ma famille, mes copains qui me poussent. C’est très important. Je n’ai jamais eu une vie très stable, voilà mon problème. Je suis parti de chez moi très tôt.» Poussé hors du nid à 14 ans par un père qui se rêvait footballeur, qui plaçait sur les frêles épaules d’un fils toutes les ambitions familiales. Envoyé en France, où il intègre l’Académie Mouratoglou. «J’avais repéré chez lui de grosses, grosses qualités. Il avait un bon niveau général, possédait quelques coups excellents, mais au-delà de ça il était différent, se souvient Patrick Mouratoglou. Il ne se comportait pas comme les autres. Il y avait en lui quelque chose de mieux… une forme de culot dans sa manière de jouer. Il y mettait beaucoup d’émotions. Il ne cherchait pas à les transmettre aux autres, mais elles passaient naturellement. Il dégageait quelque chose de fort, de puissant.»
Sentiment d’abandon
Arrivé dans la banlieue parisienne sans le moindre mot de français dans ses bagages, Marcos Baghdatis subit un traumatisme. «Un choc climatique, culturel, à tous les niveaux. Et surtout un choc qu’il n’avait pas choisi», rappelle l’entraîneur. «Je ne le faisais pas vraiment pour moi, confirme aujourd’hui le joueur. Mon père m’a beaucoup poussé. Attention, j’adore le tennis, mais le tennis m’a imposé une vie que je n’aimais pas. Etre loin de mes parents, de tout le monde, de mes copains, ce n’était pas facile. Je n’avais que 14 ans… Et puis je viens de Chypre, un tout petit pays, et mes parents n’ont jamais su comment gérer la carrière d’un champion. Je n’ai pas eu cette chance-là. Tous les jours que j’ai vécus, c’était en me battant, en trouvant les solutions tout seul. Et c’était difficile.»
L’enfant vit le paroxysme du sentiment d’abandon et n’a d’autres armes que les larmes. «Au début, il a souffert et pleurait beaucoup. J’ai appelé son père pour lui expliquer la situation. Il m’a répondu: «Marcos pleure beaucoup, je sais, mais ça lui passera», raconte Patrick Mouratoglou. Dit ainsi, c’est très violent, mais il pensait que son fils allait s’habituer car c’était son destin de devenir joueur professionnel et que l’Académie était le seul moyen. Il n’a pas eu tort, car, passé le sentiment d’abandon, qui est certes toujours présent, la vie est devenue complètement différente. Il s’est reconstruit, a retrouvé des amis, une famille d’accueil qui a pris la place que ses parents ne remplissaient plus. Ça lui a permis de réussir dans le tennis.»
Ce «mec bien», cet être bourré de qualités humaines – «mais, s’il ne faut en citer qu’une, c’est la générosité», dit Mouratoglou – a rapidement conquis les cœurs. «Marcos aime profondément les gens. Ce sourire qu’il avait en 2006, c’était de l’émotion à l’état pur qu’il envoyait au public. Tout ce qu’il vit, il le vit plus fort que la majorité des gens.» Extrême dans ses joies et d’une extrême mélancolie. «Ce sont deux aspects fondamentaux de sa personnalité, il passe souvent de l’un à l’autre.» De l’euphorie de sa saison bénie, au tourment de l’après exploit. Et son sourire qui s’éteint lentement. «A un moment, je n’étais pas bien dans ma vie. Je n’avais pas la vie que je souhaitais, je veux dire en dehors du tennis, confie Marcos Baghdatis. Et lorsque tu penses à autre chose que le tennis, ce n’est pas possible.»
Retour au calme
Patrick Mouratoglou assume une part de responsabilité. «J’aurais dû mieux gérer la situation (après 2006). Marcos a fait des choix que je n’ai pas pensés justes, il ne s’est pas senti soutenu. Ça l’a touché sur le plan personnel alors que pour moi c’était professionnel. Un mélange des genres dont je n’ai pas eu conscience sur le moment. Alors j’ai des regrets.»
Marcos Baghdatis les partage peut-être. Mais désormais, le crâne tondu, il se réjouit de pouvoir affirmer: «Grâce à toute cette expérience, je me suis construit une vie très stable, à Chypre. Petit à petit, je suis plus heureux. Je prends du plaisir à travailler, à aller sur le terrain. Maintenant, je suis content de jouer au tennis, de voyager tout le temps en sachant que je peux rentrer chez moi régulièrement, au calme.»
Le sourire retrouvé. «C’est celui de ma mère. Je souris par respect des gens et du don que j’ai reçu. C’est un cadeau. Je sais que beaucoup de gens aimeraient avoir ma vie. Voilà pourquoi je me bats tous les jours.» Parce que c’est, enfin, son choix.
EN DATES
1985
Naissance
Le 17 juin à Limassol (Chypre), fils d’Andoula (d’origine grecque) et Christos (Libanais). Petit frère de Marinos et Petros.
1999
Académie
Repéré en janvier lors du tournoi des Petits As à Tarbes, intègre l’Académie Mouratoglou en fin d’année.
2003
Confiance
Champion du monde junior. «Ce titre m’a rassuré; en me consacrant au tennis, j’avais finalement fait le bon choix.» Passe professionnel.
2005
Première
Atteint sa première finale sur le circuit ATP à Bâle et termine la saison au 56e rang mondial. Premier Chypriote à entrer dans le top 100.
2006
Lumière
Bat trois joueurs du top 10 pour atteindre la finale de l’Open d’Australie. Match légendaire, remporté par Federer. Demi-finaliste à Wimbledon.
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06/11/2011, 07h55
voile
Florence Arthaud: «J’ai vraiment cru que c’était fini. Le diable n’a pas voulu de moi»
05. novembre 2011, 21h45
Bertrand Monnard | Le Matin Dimanche
Tombée de son bateau, la «fiancée de l’Atlantique» a dû attendre trois heures dans l’eau avant l’arrivée des secours. Elle raconte au «Matin Dimanche».
Florence Arthaud, lors de son retour à Marseille, avec son chat «Bilka», qu’elle est allée récupérer sur son bateau. © AFP/Gérard Julien
Où êtes-vous, Florence Arthaud?
Chez mes parents, à Paris. J’avais trop envie de les prendre dans mes bras, de les embrasser, après ce que j’ai vécu.
Vous êtes restée trois heures au large de la Corse, sans gilet de sauvetage, dans une eau à 19 degrés, en attendant les secours. Etes-vous remise physiquement, psychologiquement?
J’ai eu peur, je suis encore un peu sous le choc. J’ai mis du temps à me réchauffer, je reviens de loin. Mais je suis en vie, c’est le principal.
Si, par malchance, nous n’aviez pas eu votre portable sur vous, vous ne seriez sans doute plus de ce monde?
Oui, si je suis encore là, c’est grâce à une suite de petits miracles, normalement je ne devrais plus être là. Mon portable était protégé par un petit sac en plastique. Il était 23 h 20 quand, à peine tombée à l’eau, et alors que mon bateau s’éloignait, j’ai réussi à appeler ma mère. Heureusement, elle ne dormait pas encore et elle a décroché. Totalement effrayée, elle a joint mon petit frère, qui a alerté les secours et m’a rappelée aussitôt. Ma mère, ensuite, a passé les trois pires heures de sa vie. Autre chance, j’avais ma lampe frontale sur moi, ce qui a permis aux hélicos de me localiser. Ce n’était pas mon heure, le diable ne voulait pas de moi, voilà.
Comment avez-vous tenu, à quoi avez-vous pensé pendant ces trois heures seule dans l’eau et dans l’obscurité?
J’ai enlevé mon ciré, mes bottes, et j’ai nagé sur le dos, en regardant les étoiles. Je ne savais pas si j’allais tenir. Au bout d’un moment, j’ai vraiment cru que c’était fini. J’ai surtout pensé à Marie, ma fille de 18 ans, en me répétant: «La pauvre, perdre sa maman si jeune, quelle tristesse!» J’ai aussi pensé à tous mes amis marins disparus en mer, à Tabarly notamment.
L’arrivée des hélicos a dû être une incroyable délivrance?
Oui, surtout que je commençais à être à bout de souffle.
Vous avez commis une erreur?
Oui, tout est de ma faute. Je suis, comme d’habitude, allée pisser depuis le balcon arrière du bateau, ce qu’on ne doit jamais faire. Luc
Poupon, avec qui j’ai souvent navigué, m’avait déjà engueulée plusieurs fois. «Flo, faire pipi depuis le balcon, c’est la meilleure façon de tomber à l’eau.» Une vague, cette fois, a heurté le bateau au mauvais moment et a donné raison à mon ex-coéquipier.
Est-ce qu’on apprécie la vie différemment après ça?
Dans mon cas, pas vraiment, car la mort, je l’ai déjà côtoyée de près. A 17 ans, j’ai déjà failli y rester après un très grave accident de la route. J’étais restée plusieurs mois à l’hôpital. Et puis j’ai perdu tant d’amis en mer. Quand on est marin, on est, peut-être plus que d’autres, conscient de la précarité de la vie. La vie est quelque chose de très fragile, dont il faut profiter tous les jours.
A la sortie de l’hôpital de Bastia, vous avez retrouvé votre bateau et aussi «Bilka», votre chaton resté seul à bord. Comment était-il?
Totalement effrayé. Il est tout nouveau dans ma vie. Je l’ai trouvé et adopté le 20 septembre dernier, lors d’un voyage en Kabylie, d’où son nom. «Bilka», Kabylie en verlan. Il est aujourd’hui mon compagnon de navigation, je l’emmène partout. C’est un aventurier.
Vous aimez toujours autant la mer?
Plus que jamais. La mer est quelque chose de vital pour moi. Je ne pourrais jamais m’en passer. Je fais des régates, des croisières.
On ne vous a pourtant plus vue dans une grande course depuis la Transat Jacques-Vabre en 2007. L’an dernier, alors que vous espériez refaire la Route du Rhum, vous n’avez trouvé aucun sponsor. Déçue?
Ecœurée même. Mais c’est la vie, tout passe, tout lasse. La compétition, aujourd’hui, j’y ai renoncé. Mais j’en garde des souvenirs extraordinaires. J’ai eu la chance de vivre l’âge d’or de la voile et des courses en haute mer, où les plus beaux, les grands monocoques, les multicoques, les trimarans ont été découverts. On n’avait pas de sous, on n’avait rien, mais on naviguait sur les plus beaux bateaux du monde. Il y avait des figures comme Tabarly qui manquent aujourd’hui. En voile, et c’est la spécificité de ce sport, même si on ne gagne pas, on vit, à chaque course, une aventure extraordinaire. Pour moi, chaque minute vécue en mer est un moment unique.
La gloire ne vous manque-t-elle pas?
Non. Vous savez, comme marin, on passe les trois quarts de notre vie loin des êtres humains, loin de tout, dans un autre monde. Alors la gloire, on la relativise sans doute plus que d’autres sportifs.
Surnommée la «fiancée de l’Atlantique», vous êtes une des femmes qui a «révolutionné le sport», comme l’a écrit un jour un magazine. La voile, à votre avis, s’est-elle suffisamment féminisée depuis que vous avez ouvert une brèche en devenant, en 1990, la première femme à remporter une course en haute mer, la Route du Rhum?
Il y a eu de grandes navigatrices après moi, comme Isabelle Autissier ou Ellen MacArthur, mais la voile reste un sport trop masculin à mes yeux.
Votre fille n’a pas pris votre sillage?
Non, elle est aussi passionnée, mais de chevaux, de concours hippiques. Elle monte tous les jours. Elle veut en faire son métier.
En 2005, vous aviez été la marraine du «Morges», un nouveau bateau de la CGN. Avez-vous déjà navigué sur le Léman?
Jamais. Mais je rêve de faire une fois le Bol d’Or. Entouré de montagnes, le plan d’eau est magnifique. Selon des amis, la course est très belle mais pas facile.
Vous avez toujours eu la réputation d’être une fêtarde. Vous l’êtes toujours aujourd’hui?
J’ai 54 ans, j’ai vieilli, et je me suis un peu assagie. Comme marin, après avoir vécu des mois en mer, sans dormir ou presque, en mangeant trois fois rien, on a tendance, une fois revenu sur terre, à se lâcher, on est tellement content de revoir les gens.
Que faites-vous aujourd’hui?
Je navigue et je viens de créer une fondation dont l’objectif est de «donner accès à l’eau», dans tous les sens du terme. Avec l’aide de mécènes, je veux contribuer à construire des puits dans les pays pauvres. En France, où un enfant sur trois ne part jamais en vacances, je veux aussi emmener des gosses défavorisés en croisière. Mon rêve, aujourd’hui, est de partager tout ce que la mer m’a donné, d’en faire profiter les autres.
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06/11/2011, 07h59
Maladie
Boxe: l'ex-légende Joe Frazier gravement atteint par le cancer
05. novembre 2011, 21h35
LeMatin.ch & les agences
Joe Frazier, ancienne légende de la boxe connu pour avoir battu Mohamed Ali, est gravement malade. Il souffre d'un cancer du foie.
Mohamed Ali et Joe Frazier © KEYSTONE
Joe Frazier (67 ans) est gravement touché par un cancer du foie, diagnostiqué il y a un mois. Hospitalisée à Philadelphie, l’ancienne légende de la boxe se trouve dans «une situation sérieuse», selon son manager.
Ancien champion du monde des lourds et médaillé d’or aux JO 1964, Frazier est notamment célèbre pour avoir battu Mohamed Ali en 1971 à New York, à l’issue de ce qui est considéré comme «le combat du siècle».
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06/11/2011, 08h02
L1: Lille évite la tasse contre Evian mais se contente du nul
AFP - 05. novembre 2011, 23h35
Trois jours après sa défaite sur la pelouse de l'Inter Milan (2-1) en Ligue des champions, Lille, longtemps mené, n'a pas réussi à se relancer samedi à domicile face à Evian-Thonon Gaillard (1-1), lors du match avancé de la 13e journée de L1, et rate l'occasion de se rapprocher du leader parisien.
Le Belge de Lille Eden Hazard encerclé par les défenseurs d'Evian/Thonon, le 5 novembre 2011 à Villeneuve-d'Ascq. © AFP
Troisièmes avec 24 points, à cinq longueurs du Paris SG qui se déplace dimanche à Bordeaux, les Lillois sont sous la menace de Lyon, de Toulouse et de Rennes et risquent de perdre leur place sur le podium. Evian/Thonon est 12e avec 13 points.
Au Stadium Lille Métropole, les Savoyards ont joué un sale tour aux champions de France, passablement émoussés physiquement après une série de sept matches en vingt-et-un-jours. L'entraîneur du Losc Rudi Garcia s'était d'ailleurs plaint auprès de la Ligue de football professionnel au sujet de la réception d'Evian/Thonon samedi et non dimanche.
Sans Balmont, à la fois blessé et suspendu, ni Basa, touché à une clavicule, Garcia a choisi de reléguer Rozehnal, dont les prestations laissaient à désirer depuis quelques rencontres, sur le banc et d'associer Béria à Chedjou dans l'axe.
Comme à Milan, il a aussi opté pour une attaque à quatre, avec Hazard, Cole, Payet et Sow. Mais cela n'a pas suffi à déstabiliser une équipe savoyarde qui a rapidement ouvert le score.
Lancé en profondeur par Sorlin, Khlifa prenait Béria de vitesse et, en dévissant totalement sa reprise, il parvenait tout de même à battre Landreau (1-0, 4e).
Si l'arbitre n'avait pas refusé le but de Cole pour un hors-jeu inexistant (13), le match aurait sans doute pris une autre tournure.
Mais, pour Lille, tout semblait compliqué: Sow (20) puis Payet, d'un joli coup franc direct à l'entrée de la surface (26), ne parvenaient pas à égaliser. Au retour des vestiaires, Bonnart réclamait un penalty pour une faute de Dja Djédjé (52), mais l'arbitre ne bronchait pas.
C'est alors que Pedretti, entré en jeu avec De Melo (59), prenait les affaires en main: son coup franc des 35 mètres, bien travaillé, terminait directement sa course dans les filets de Laquait, sans être touché par personne (1-1, 62e).
Lille s'en remettait alors à De Melo pour essayer d'arracher la victoire mais les tentatives du Brésilien restaient vaines (77, 80). Tout comme celle de Cole de la tête (88). A la fin du temps réglementaire, Sorlin était tout près de tromper son gardien mais Evian n'entendait pas lâcher son point comme ça.
Et Lille a donc terminé sa semaine comme il l'avait commencée: sur une déception. Mais le LOSC se consolera désormais avec quinze jours de repos en raison de la trêve internationale.
Résultats de la 13e journée de la Ligue 1 de football:
samedi
Lille - Evian/Thonon 1 - 1
dimanche
(17h00) Sochaux - Lyon
Caen - Dijon
Nancy - Brest
Rennes - Valenciennes
Auxerre - Toulouse
Marseille - Nice
Saint-Etienne - Montpellier
Lorient - Ajaccio
(21h00) Bordeaux - Paris SG
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
06/11/2011, 08h04
Volvo Ocean Race: démâtage d'Abu Dhabi, l'équipage sain et sauf
AFP - 05. novembre 2011, 23h30
Le voilier émirati Abu Dhabi, engagé dans la Volvo Ocean Race, a démâté samedi soir à une trentaine de milles au sud de Carthagène (Espagne) mais l'équipage est sain et sauf, a annoncé le navigateur Jules Salter dans une liaison avec la direction de la course.
Le voilier émirati Abu Dhabi, lors du départ de la Volvo Ocean Race, le 5 novembre 2011 à Alicante. © AFP
"Il n'y a pas de panique à bord et nous prévoyons de rentrer au moteur pendant la nuit avant d'effectuer des réparations", a déclaré Salter à la direction de cette course autour du monde en équipage avec escales, partie quelques heures plus tôt d'Alicante (Espagne).
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
06/11/2011, 08h05
Basket: embouteillage en tête en attendant le choc Parker-Batum
AFP - 05. novembre 2011, 22h52
Quatre équipes -Chalon, Paris, Le Mans et Gravelines- occupent provisoirement la tête de la ProA de basket-ball dans l'attente du choc au sommet de la 5e journée entre l'Asvel de Tony Parker et le Nancy de Nicolas Batum, deux stars de la NBA, dimanche, à l'Astroballe.
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Le meneur de jeu de l'Asvel, Tony Parker, face à Gravelines, le 21 octobre 2011 à l'Astroballe à Villeurbanne. AFP
http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1320529501420-1-0.jpg Nicolas Batum avec Nancy lors du Match des champions face à Chalon-sur-Saône, le 2 octobre 2011 à Nancy. AFP
Si Paris-Levallois a souffert pour venir à bout d'Hyères-Toulon (93-90) vendredi en dépit de trois joueurs à plus de 20 points (Chatfield 29, Williams 28, Hamilton 22), Chalon-sur-Saône n'a laissé de l'espoir à Strasbourg que l'espace du 3e quart-temps, où les deux équipes ont terminé à égalité (16-16). Il est vrai que les locaux menaient déjà largement à la pause (44-29) et se sont même permis de terminer sans forcer (20-24) pour l'emporter de 10 points (80-70).
Gravelines n'a pas fait non plus de détail à Poitiers, battu 72 à 59, grâce notamment à Albicy, meilleur marqueur de la rencontre avec 25 points.
Le Mans a pu compter sur l'adresse de son trio de choc Sommerville-Rochestie-Batista, auteur de près de 3/4 de ses points, pour venir à bout d'une équipe de Dijon accrocheuse (68-65). Les Manceaux ont même un peu tremblé sur la fin de match, terminé tambour battant par les visiteurs (22-15 au 4e quart-temps).
Avec 9 points, ce quatuor ne compte qu'une unité de plus que le Nancy de Nicolas Batum, très attendu à l'Astroballe par Tony Parker et une formation de l'Asvel, seulement 12e avec 6 points, désireuse de recoller au plus vite au peloton de tête pour faire honneur à son président et actionnaire principal.
En bas du classement, Pau-Orthez n'arrive décidément pas à décoller. Toujours à la recherche de son premier succès à domicile, les Palois se sont lourdement inclinés devant leur public face à Cholet (100-89) et restent donc scotchés à la 13e place, en compagnie de Dijon et du Havre, battu à Roanne 86-74, à seulement une longueur de la dernière place occupée par Hyères-Toulon.
Résultats de la 5e journée du Championnat de France ProA de basket-ball:
Vendredi
Pau-Orthez - Cholet 89 - 100
Le Mans - Dijon 68 - 65
Paris-Levallois - Hyères-Toulon 93 - 90
Samedi
Chalon-sur-Saône - Strasbourg 80 - 70
Poitiers - Gravelines 59 - 72
Roanne - Le Havre 86 - 74
Nanterre - Orléans 77 - 75
Dimanche
(17h15) Villeurbanne - Nancy
NDLR: Les 8 premiers qualifiés pour les quarts de finale.
En fin de saison, les équipes à égalité sont départagées aux confrontations entre elles.
Hyères-Toulon risque un retrait de trois points pour avoir présenté des comptes définitifs sur la saison 2010/11 inférieurs à la réalité. La LNB a sanctionné le club qui peut encore faire appel. Le retrait des points se fera à l?issue de la procédure.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
06/11/2011, 08h07
Genk partage, Mons battu au Beerschot
© photo news
© belga
© photo news
Genk et Courtrai ont partagé 2-2 samedi lors de la 13e journée du championnat de football. Genk avait pourtant ouvert le score en début de deuxième mi-temps par Vossen. Nfor (56e) et Oussalah (66e) ont renversé la situation pour Courtrai, avant l'égalisation de Limbombe (88e). Courtrai, 21 points, occupe la 5e place du classement. Genk suit avec 20.
Mons a réalisé une mauvaise affaire en s'inclinant 2-0 au Germinal Beerschot. Nyoni (21e) et Losada sur coup-franc (71e) ont signé la victoire des Anversois. Juste avant le deuxième but du Beerschot, Mons avait été réduit à 10 suite à l'exclusion directe de Lepicier pour une faute sur Sidibe. Mons reste 8e avec 17 points.
Le match le plus spectaculaire de la soirée a eu lieu à Westerlo, où Lokeren s'est imposé 2-4. Westerlo, 7 points, se fait rejoindre par Saint-Trond, auteur d'un nul blanc à Zulte Waregem, à la dernière place du classement.
Un doublé de Claasen (17e et 30e) et un but de Grncarov (52e) ont permis au Lierse de battre OH Louvain 3-1. Ogbu a sauvé l'honneur pour Louvain à la 54e minute. Le Lierse, 12 points, se donne de l'air au classement.
Le classement est toujours dominé par Anderlecht, avec 29 points, devant La Gantoise, 26. Les Bruxellois rendront visite au Cercle Bruges, 3e avec 23 points, dimanche à 18h. Le Standard (19 points) accueillera le FC Bruges (4e, 22 points) en clôture de cette 13e journée. (belga)
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