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Coupe d'Europe de rugby: les ambitions des clubs français


AFP - 07. novembre 2011, 19h02


Du statut de quasi favori du Stade toulousain à celui de Petit Poucet de Montpellier, les six clubs français abordent tous avec envie et humilité la 17e édition de la Coupe d'Europe de rugby, qui débute vendredi.
Les capitaines des clubs de rugby français engagés en Coupe d'Europe posent avec le trophée, le 7 novembre 2011 à paris. © AFP

Poule 1
. Castres Olympique (9e participation, demi-finaliste en 2002)
Voilà 10 ans que le club n'a pas atteint les quarts de finale. Sur ses 4 dernières participations, il n'a jamais terminé dans les 2 premiers de sa poule. Cette saison sera-t-elle la bonne ?
Cris Masoe (3e ligne): "C'est un grand challenge pour nous avec notamment une rencontre face au finaliste de l'an dernier, Northampton".
Poule 2
. Racing Métro (2e participation, 3e de poule en 2011)
Le club francilien, qui avait nourri des espoirs d'accéder aux quarts de finale l'an dernier avant de déchanter face à Saracens, sait désormais à quoi s'attendre et compte bien réussir son entrée.
Lionel Nallet (2e ligne): "Un faux pas à la maison contre Cardiff nous pénaliserait énormément pour la suite. Tout compte dans cette compétition. Là-dessus, on est prévenu."
Poule 3
. Montpellier (1re participation)
C'est tout nouveau pour les Héraultais, qui auront l'honneur de défier les champions en titre, Leinster, pour leur premier match. Montpellier cherche un second souffle alors que s'enchaînent les défaites en Top 14.
Fulgence Ouedraogo (3e ligne): "Pour une première participation, on n'est pas déçu ! C'est une poule très relevée. On apparaît comme le Petit Poucet. On n'a pas envie de galvauder cette compétition".
Poule 4
. ASM Clermont Auvergne (9e participation, quart de finaliste en 2000, 2001, 2010)
Depuis sa première participation en 1999, le club auvergnat n'a jamais connu les joies du dernier carré qu'il compte bien atteindre cette année.
Aurélien Rougerie (centre): "L'histoire entre nous et la Coupe d'Europe, c'est toujours des poules assez compliquées. On en a l'habitude. On a appris des autres années et j'espère que les leçons vont nous servir pour la suite".
Poule 5
. Biarritz Olympique (12e participation, finaliste en 2006, 2010)
La consécration continentale a échappé par deux fois aux Biarrots, sept fois quart-de-finalistes. La Coupe d'Europe est aussi un moyen de les remettre en selle alors qu'ils s'enfoncent en Championnat.
Patrice Lagisquet (directeur sportif): "On espère que ça va nous permettre de sortir de ces difficultés qui commencent à peser. Biarritz connaît des débuts de saison difficiles en Championnat. Souvent, la Coupe d'Europe nous a permis de redresser la situation et de retrouver des ambitions".
Poule 6
. Stade Toulousain (17e participation en autant d'éditions, champion en 1996, 2003, 2005, 2010)
Dernier club français à avoir soulevé la Coupe, Toulouse aura à coeur de glaner un 5e titre et se place en favori. Les demi-finalistes 2011 ont les moyens de rêver à un doublé Championnat/Coupe d'Europe, comme en 1996.
"Yannick Nyanga (3e ligne): "Ce statut de favori n'est vrai que pour les observateurs. On n'est jamais favori de rien du tout. On aborde cette compétition avec énormément d'envie et d'humilité mais on est encore loin de la finale."

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L1: Lyon atteint la cote d'alerte


AFP - 07. novembre 2011, 19h32


Quatre défaites consécutives à l'extérieur en Ligue 1 dont il est désormais 4e, sur le fil du rasoir en Ligue des champions, toujours privé de ses joueurs majeurs, et incomplet cette saison: Lyon tire la sonnette d'alarme s'il veut tenir ses objectifs.
Le Lyonnais Jimmy Briand devancé par le Sochalien Yassin Mikari, le 6 novembre 2011 au stade Bonal. © AFP

La défaite concédée dimanche à Sochaux (2-1) a de nouveau confirmé les craintes sur l'état de santé sportif du club lyonnais.
"Lyon n'est pas sur le podium. Ce n'est pas anecdotique et nous ne sommes pas là où nous voudrions nous trouver. Nous avons quelques explications et c'est à nous de faire tous les constats qu'il faut pour repartir plus fort sur la prochaine série de matches", reconnaît l'entraîneur Rémi Garde.
Quatrième du classement à sept longueurs du leader, Paris Saint-Germain, l'OL n'a pas à l'heure actuelle les moyens de briguer le titre ni d'envisager un long parcours en C1, épreuve dans laquelle il jouera d'ailleurs son avenir le 22 novembre avec un match capital contre l'Ajax Amsterdam. L'enjeu en sera une 9e qualification consécutive pour les 8es de finale ou bien un repêchage en Europa League que Lyon n'a plus disputée depuis la saison 2002-2003.
Cette année-là, le club du président Aulas avait terminé 3e de son groupe, et avait été éliminé d'ailleurs par l'Ajax, 2e.
A plus longue échéance, c'est le podium et une nouvelle qualification en Ligue des champions en fin de saison qui pourraient aussi être remis en question.
"Le fait de ne pas avoir de solutions très différentes d'un match sur l'autre est délicat. On voit qu'il est compliqué de lancer des jeunes en trop grand nombre dans des périodes à pression au cours desquelles nous avons besoin de points alors que nous avons aussi de l'ambition. Les blessés, c'est un problème", admet Rémi Garde qui n'a jamais eu son groupe au complet depuis le début de cette saison.
Le poids de l'absence de Lisandro Lopez, indisponible depuis deux mois et demi, qui s'ajoute à la blessure de Michel Bastos, l'un des hommes en forme de l'équipe sur les trois premiers mois de la saison, sont des handicaps très lourds alors que l'effectif est dans un continuel va-et-vient entre les joueurs rétablis (Cris, Gourcuff, Ederson) et ceux touchés à leur tour (Bastos, Grenier, Lovren). Mouhamadou Dabo est, quant à lui, suspendu en championnat pour encore deux journées après avoir été exclu contre Saint-Etienne.
"Nous avons hâte de revoir tout le monde disponible dans l'effectif", souligne aussi le milieu Kim Källström.
Car en attendant, si le début de saison a été plutôt enthousiasmant, Lyon le doit à la même base de joueurs qui, après avoir accumulé les matches sur trois mois de compétition, montrent des signes de fatigue à l'image de Bafétimbi Gomis qui n'a plus marqué depuis le 15 octobre.
"Malgré les bonnes intentions, nous n'avons pas pu et je pense que nous étions un peu à bout de souffle", a d'ailleurs estimé Garde après la défaite à Sochaux où l'OL restait depuis le 31 août 2002 sur une série de huit victoires de suite.
Mais de leur côté, les joueurs revenus de blessures de longue durée, comme Yoann Gourcuff, ne sont logiquement pas encore à leur meilleur niveau, tout comme ceux qui reviendront prochainement, tel Lisandro. Et l'ensemble va ainsi souffrir d'un manque d'homogénéité au plan physique.
L'OL devra donc trouver la bonne alchimie pour déjà bien terminer l'année.

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Transat Jacques Vabre: deux abandons en Imoca, Dick/Beyou en tête


AFP - 07. novembre 2011, 19h57


Les navigateurs Bernard Stamm et Jean-François Cuzon, engagés dans la Transat Jacques Vabre avec leur bateau Cheminées Poujoulat, ont été hélitreuillés sans problème lundi en début d'après-midi et font route vers les Açores, a annoncé leur équipe technique.
Le bateau Cheminées Poujoulat du tandem Stamm-Cuzon, le 2 novembre 2011 lors du départ de la Transat Jacques Vabre au Havre. © AFP/Archives

Les Français Jean-Pierre Dick/Jérémie Beyou (Virbac-Paprec 3) étaient en tête lundi soir de la flotte des grands (18,28 m) monocoques Imoca engagés dans la Transat Jacques Vabre, après le passage d'un violent coup de vent qui a mis KO deux de leurs concurrents.
Le tandem helvéto-français Bernard Stamm/Jean-François Cuzon est arrivé dans l'après-midi sur l'île de Terceira, aux Açores, après avoir été hélitreuillé par un hélicoptère portugais. Leur Imoca, Cheminées Poujoulat, a été abandonné en mer mais l'équipage va tenter de le retrouver dans les jours qui viennent pour le remorquer jusqu'aux Açores.
Autre abandon, celui des Français Vincent Riou/Hugues Destremau, en raison d'une cloison fissurée sur leur Imoca PRB. Pas de voie d?eau à bord mais, par précaution, le duo a décidé de faire route sur Horta, le port principal de l'île voisine de Faial.
Pour les Imoca, le plus dur devrait être maintenant derrière eux. Les monocoques filaient lundi soir à bonne allure cap au sud-ouest. Il restait encore un front à passer dans la nuit de lundi à mardi mais les conditions devraient ensuite s?améliorer.
En Class40, monocoques de 12,18 mètres, Yannick Bestaven/Eric Drouglazet (Aquarelle.com) ont pris goût à leur place de leaders mais les Britanniques Ned Collier Wakefield/Sam Goodchild (Concise 2) ne lâchent rien. Ils trouvent même le temps de faire preuve d'un humour très... britannique lorsqu'ils qualifient d'"intéressantes" les conditions météo subies dans la nuit de dimanche à lundi, avec des vents de plus de 60 noeuds (110 km/heure)!
Dans la flotte des Multi50 décimée, les deux trimarans survivants se tiennent à quelques milles de distance et devraient se livrer une belle bagarre jusqu?à la première marque antillaise de Saint-Barth. Lundi soir, Yves Le Blevec/Samuel Manuard (FRA/Actual) devançaient toujours Loïc Fequet/Loïc Escoffier (FRA/Maitre Jacques) d'un peu plus de 13 milles.
Les positions des concurrents lundi à 17H00 heure française:
Imoca
1. Jean-Pierre Dick/Jérémie Beyou (FRA/Virbac Paprec 3) à 3217,8 milles de l'arrivée
2. Alex Thomson/Guillermo Altadill (GBR-ESP/Hugo Boss) à 17 milles des premiers
3. Armel Le CLéac'h/Christopher Pratt (FRA/Banque Populaire) à 18
Multi50
1. Yves Le Blevec/Samuel Manuard (FRA/Actual) à 3865,2 milles de l'arrivée
2. Loïc Fequet/Loïc Escoffier (FRA/Maitre Jacques) à 13,1 milles des premiers
Class40
1. Yannick Bestaven/Eric Drouglazet (FRA/Aquarelle.com) à 3599,9 milles de l'arrivée
2. Ned Collier/Sam Goodchild (GBR/Concise 2) à 3,3 milles des premiers
3. Damien Seguin/Yoann Richomme (FRA/ERDF-Des Pieds et des Mains) à 79,7

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Volvo Ocean Race: Camper en tête, Telefonica et Groupama juste derrière


AFP - 07. novembre 2011, 21h21


Le voilier néo-zélandais Camper était toujours en tête lundi soir des quatre bateaux encore en course dans la Volvo Ocean Race, devant les Espagnols de Telefonica, les Français de Groupama 4 et les Américains de Puma.
Le voilier néo-zélandais Camper lors du départ de la Volvo Ocean Race, le 5 novembre 2011 à Alicante. © AFP

Les quatre monocoques VO70 de 21,50 mètres, partis samedi d'Alicante (Espagne) pour Le Cap (Afrique du Sud), première des 9 étapes de cette régate planétaire de 39.000 milles, faisaient route au sud/sud-ouest dans l'Atlantique.
A 20h00 heure française, ils se trouvaient environ à la latitude de Rabat.
Camper, skippé par l'Australien Chris Nicholson, était talonné par Telefonica (Iker Martinez) et Groupama 4 (Franck Cammas), plus proche de la côte marocaine. Puma (Ken Read) était un peu décroché.
Le voilier chinois Sanya, victime d'une grave avarie de coque dimanche, a pour sa part annoncé officiellement lundi son abandon dans cette étape Alicante-Le Cap.
Les réparations du bateau vont prendre du temps, a expliqué son skipper néo-zélandais Mike Sanderson, et l'équipe espère les terminer à temps pour que Sanya rejoigne Le Cap sur un cargo pour prendre le départ de la 2e étape Le Cap-Abu Dhabi.
Classement lundi à 20h00 heure française:
1. Camper (NZL/Chris Nicholson) à 6037,1 milles du Cap (Afrique du Sud)
2. Telefonica (ESP/Iker Martinez) à 0,5 mille du premier
3. Groupama 4 (FRA/Franck Cammas) à 0,8
4. Puma (USA/Ken Read) à 5,3
5. Abu Dhabi (UAE/Ian Walker) démâté
6. Sanya (CHN/Mike Sanderson) abandon dans la 1ère étape

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Lock-out en NBA: 76% des Américains ne ressentent pas un manque


AFP - 07. novembre 2011, 23h08


Avec la NBA absente du fait du lock-out, conflit de plus en plus acrimonieux entre les propriétaires et les joueurs, un sondage publié lundi indique que 76% des Américains ne ressentent pas de manque en l'absence de matches de la Ligue.
Derek Fisher, le président du syndicat des joueurs (NBAPA) lors d'une conférence de presse le 20 octobre 2011 à New York. © AFP/Getty Images/Archives

Le sondage a été réalisé auprès d'un échantillon représentatif de 1.179 électeurs inscrits dans le pays, sept jours après le début de la saison prévue le 1er novembre.
Ils devaient répondre à la question "avec une semaine sans basket NBA, est-ce que les matches vous manquent ?".
Globalement, 76% n'éprouve pas de manque alors que 12% pensent le contraire et que 12% n'ont pas d'opinion.
Le conflit, vieux de plusieurs mois, a déjà conduit à l'annulation de tous les matches prévus en novembre.
Pour sortir du lock-out, le patron de la NBA David Stern a émis une nouvelle offre samedi, que le syndicat des joueurs a jusqu'à mercredi pour accepter. Mais qu'il semble d'ores et déjà rejeter, laissant planer la menace d'une annulation pure et simple de la saison.
Stern a expliqué que les propriétaires avaient accepté cinq des six propositions du médiateur fédéral George Cohen, dont un partage des revenus flexibles pouvant monter jusqu'à 51% pour les joueurs.
Les deux parties s'opposent principalement sur deux points: les modalités de plafonnement de la masse salariale des clubs (salary cap) et le partage des quelque quatre milliards de dollars de revenus annuels de la NBA.

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Un jeune du PSV âgé de 15 ans à Manchester United selon les médias néerlandais


AFP - 07. novembre 2011, 23h33


Le jeune Belge d'origine brésilienne Andreas Hoelgebaum Pereira, 15 ans, quittera son club actuel, le PSV Eindhoven, pour signer son premier contrat professionnel avec Manchester United en janvier prochain, rapportent plusieurs médias néerlandais.
Emblême de Manchester United sur un maillot. © AFP/Archives

Fils d'un ancien joueur brésilien Marcos Pereira (qui a évolué en Belgique à Malines, Saint-Trond et Anvers), le jeune meneur de jeu rejoindra le 1er janvier, date de ses 16 ans, l'équipe des U19 chez les Mancuniens.
Pereira bénéficie d'un transfert libre: Manchester United ne devra payer que les indemnités de formation au PSV qui avait acquis le joueur à Lommel en Belgique il y a quelques années.
Considéré comme l'un des plus grands talents de sa génération, il était suivi par Arsenal, Chelsea, l'AC Milan, Newcastle, Liverpool, Tottenham, Villarreal et Anderlecht, selon le site de la télévision belge RTBF.
"Je sais que le PSV m'a donné ma chance mais Manchester United est un grand club", a expliqué Pereira.
"D'autres clubs britanniques s'intéressaient à moi mais Manchester est le club qui m'a toujours fait rêver. Je suis allé plusieurs fois là-bas pour visiter les installations et parler à Sir Alex Ferguson. C'est grandiose d'avoir 15 ans et de pouvoir parler avec lui", a-t-il encore confié.

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Nikolay Davydenko, première victime de marque


© epa
Le Russe Nikolay Davydenko, sorti au 1er tour lundi par l'Italien Andreas Seppi 7-6 (7/2), 7-5, est la première victime de marque du Masters 1000 de Paris-Bercy, un tournoi qu'il avait remporté en 2006.

© epa


Cette défaite prématurée est une déception pour le Russe, descendu au 36e rang mondial, qui semblait en léger regain de forme en cette fin d'année, après une saison bien décevante, qu'il achève avec un seul titre, acquis à Munich en avril sur terre battue.

Andreas Seppi, 46e joueur mondial, issu des qualifications, rencontrera au prochain tour l'Espagnol Nicolas Almagro, tête de série N.9. Le match du jour opposait Marin Cilic (N.18 mondial) et Fernando Verdasco (N.23), deux joueurs non têtes de série mais qui en ont le potentiel et le palmarès.

C'est l'Espagnol, vainqueur 3-6, 6-2, 6-3, qui a finalement le mieux tiré son épingle du jeu, après avoir pourtant laissé échapper le premier set sur deux doubles fautes, contre un Cilic encore une fois dans un mauvais jour. Verdasco affrontera mardi au 2e tour le Tchèque Tomas Berdych, tête de série N.5, ancien vainqueur du tournoi (2005).

Un autre joueur du Top 30 est tombé: le jeune Canadien Milos Raonic, 20 ans et 30e mondial, a été battu 6-7 (7/5), 7-6 (7/5), 6-4 par le Français Julien Benneteau, qui avait bénéficié d'une invitation.
Benneteau, 54e joueur mondial, rencontrera au prochain tour, mardi Andy Roddick, tête de série N.13 du tournoi. L'Américain l'avait battu en septembre au 3e tour de l'US Open.

La journée n'a pas réservé de véritable autre surprise, si ce n'est la défaite sévère 6-4, 6-2 du Russe Mikhail Youzhny contre sa bête noire, l'Allemand Philipp Kohlschreiber, qui l'a battu désormais sept fois en huit occasions.

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Et les nominés pour le Sportif et la Sportive de l'année sont...


Qui succédera à Kim Clijsters et Philippe Gilbert? © photo news
Les nominés pour le référendum du Sportif/Sportive de l'année sont connus. L'Association professionnelle belge des journalistes sportifs (SPORTSPRESS.BE), qui organise l'événement, a communiqué lundi la liste des 30 sportifs et des 15 sportives belges retenus.

Le nom des vainqueurs, élus par les journalistes sportifs, sera dévoilé lors du Gala du Sport, qui se déroulera le dimanche 18 décembre dans les studios d'Alfacam à Lint, en province d'Anvers.

Lors de cette cérémonie, retransmise en direct par la VRT, on connaîtra aussi le nom de l'Espoir de l'année, de l'Equipe de l'année, et, pour la première fois, du Coach de l'année, qui sera élu parmi cinq candidats.

Compte tenu du choix très large des performaces en Espoirs, le nombre de candidats a été porté exceptionnellement de 10 à 15.

Liste des nominés:

SPORTIF DE L'ANNEE 2011 (30 candidats)

Niels Albert (cyclo-cross)
Tom Boonen (cyclisme)
Jonathan Borlée (athlétisme)
Kevin Borlée (athlétisme)
Nicolas Colsaerts (golf)
Adrien Deghelt (athlétisme)
Frank Depestele (volley-ball)
Clément Desalle (motocross)
Philippe Gilbert (cyclisme)
Eden Hazard (football)
Vincent Kompany (football)
Dries Mertens (football)
Alex Miskirtchian (boxe)
Roel Moors (basket)
Thierry Neuville (rallye)
Nick Nuyens (cyclisme)
Sven Nys (cyclo-cross)
Brian Ryckeman (natation)
Seppe Smits (snowboard)
Christophe Soumillon (hippisme)
Bart Swings (patinage sur route et patinage sur glace)
Hans Van Alphen (athlétisme)
Greg Van Avermaet (cyclisme)
Jelle Vanendert (cyclisme)
Marino Vanhoenacker (triathlon)
Frederik Van Lierde (triathlon)
Joerie Vansteelant (duathlon)
Johan Vansummeren (cyclisme)
Jan Vertonghen (football)
Axel Witsel (football)

SPORTIVE DE L'ANNEE 2011 (15)
Freya Aelbrecht (volley-ball)
Kim Clijsters (tennis)
Julie Croket (gymnastique artistique)
Tine Deckers (triathlon)
Anke De Mondt (basket)
Ilse Heylen (judo)
Catherine Jacques (jiu-jitsu)
Wendy Jans (snooker)
Fanny Lecluyse (natation)
Elodie Ouedraogo (athlétisme)
Delfine Persoon (boxe)
Evi Van Acker (voile)
Charline Van Snick (judo)
Ann Wauters (basket-ball)
Yanina Wickmayer (tennis)

ESPOIR DE L'ANNEE 2011 (15)
Jean-Pierre Bauwens (boxe)
Jasper De Buyst (cyclisme sur piste)
Martijn Degreve (cyclisme sur route)
Moreno De Pauw (cyclisme sur piste)
Jessica Druyts (cyclisme sur route et sur piste)
Emma Meersseman (basket)
An-Sophie Mestach (tennis)
Nicola Philippaerts (équitation)
Hermien Peters (kayak)
Amélie Rosseneu (judo)
Jens Schuermans (mountain bike)
Thomas Van der Plaetsen (athlétisme)
Stef Vanhaeren (athlétisme)
Gijs Van Hoecke (cyclisme sur piste et sur route)
Margaux Vanmol (golf)

EQUIPE DE L'ANNEE 2011 (10)
Athlétisme 4 x 400 m
Basket - équipe nationale jeunes filles -18
Basket - Spirou Charleroi
Cyclisme (piste): Kenny De Ketele et Iljo Keisse
Equitation (équipe nationale)
Hockey (Red Lions)
Kayak (Olivier Cauwenbergh et Laurens Pannecoucke)
Korfball (équipe nationale)
Tennis de table (Yannick Vostes et Benjamin Rogiers)
Volley-ball (Noliko Maaseik)

COACH DE L'ANNEE 2011 (5)
Jacques Borlée (athlétisme)
Giovanni Bozzi (basket)
Eddy Casteels (basket)
John Lelangue (cyclisme)
Frankie Vercauteren (football).

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Abbas Bayat: "80 % des entraîneurs sont des incapables"


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Abbas Bayat a encore fait parler de lui samedi soir au micro de la RTBF en affirmant que Charleroi n'avait pas besoin d'un nouveau coach car la plupart d'entre eux sont des incapables. "Je pense que 80 % des entraîneurs aujourd'hui ne sont pas capables de bien gérer et bien entraîner une équipe. Les joueurs, maintenant devenus entraîneurs, ne sont pas bien éduqués. Charleroi n'a pas besoin d'un coach pour l'instant. Cela coûte trop cher et les résultats sont bons pour le moment."

Une politique douteuse mais cela dit actuellement payante, Charleroi ayant battu Lommel ce week-end (1-0). (Ch.D.)



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Un club mexicain met tous ses joueurs sur la liste des transferts

La direction du club mexicain America, ulcérée de voir son équipe écartée des play-offs du championnat d'ouverture (apertura), a décidé dimanche soir de placer tous les joueurs sur la liste des transferts.

"L'équipe n'a pas répondu à notre attente. Elle n'a pas atteint les objectifs fixés", a-t-elle expliqué dans un communiqué. "Nous présentons nos excuses aux fans, et prendrons toutes les mesures pour que pareille déconvenue ne se produise plus à l'avenir".

Le CF América, dont l'équipe est en majorité composée d'internationaux, n'a gagné que trois matches sur dix-dept et termine avant-dernier de la Primera Division. Club de Futbol América, pensionnaire du prestigieux Estadio Azteca, est un des trois "grands" du football mexicain avec Cruz Azul et CF Pachuca, le plus riche et le plus titré de la Confédération CONCACAF avec 8 titres internationaux. Il attend toutefois un 11e sacre dans le championnat professionnel depuis 2005.