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Rome peut rêver des demi-finales

Le mur défensif mancunien a empêché l'AS Rome de s'approcher du but de Van der Sar durant la première demi-heure.

Paul Scholes, tel un écolier, vient de comprendre sa bêtise. Expulsion logique, mais évitable.

Le Brésilien Taddei ne savait plus où donner de la tête après son but.

Christian Wilhelmsson, l'ex-anderlechtois, a joué une partie raisonnable. Sans plus.

Wayne Rooney a inscrit un but précieux en vue du match retour.

Le but du joker Vucinic vient récompenser une domination romaine indiscutable. Sera-ce suffisant?

Cristiano Ronaldo n'a pas trouvé la solution pour permettre à Manchester de recoller au score.

S'ils veulent se qualifier pour les demi-finales, les Anglais devront se porter à l'assaut de la défense de fer italienne.

L’As Rome a mis fin au brevet d’invincibilité de Manchester United en Ligue des Champions. En battant deux buts à un l’équipe mancunienne, les Romains ont pris une petite option sur une qualification en demi-finale, même si le retour à Old Trafford, mardi prochain, s’annonce ardu. Bien organisée, la Roma a empêché son adversaire, pourtant revenu à égalité alors qu’il évoluait à dix, de pratiquer son football habituel. Manchester a inscrit un but précieux en déplacement, mais Rome, meilleure défense du tournoi, pourrait jouer un mauvais tour aux hommes d’Alex Fergusson.

Déforcées
Rome a vaincu, mais aurait dû enterrer Manchester, anormalement à l’agonie, alors qu’il était invaincu depuis le début de l’année dans cette Ligue des Champions. Arrivés tout deux en quarts après avoir éliminés une équipe française (Lille pour Manchester, Lyon pour Rome), les deux équipes étaient toutes deux déforcées. Côté italien, Palletti devait se passer de Tonetto, mais surtout de Pizzaro, tandis que Fergusson devait composer avec les forfaits de Silvestre, Vidic, Neville. Saha, le meilleur buteur anglais dans cette compétition, commençait sur le banc.

Orage romain
D’entrée, la Roma enflammait le stade Olympique qui n’avait plus connu de quart de final de C1 depuis 1984. Techniques et vifs, les seconds du championnat d’Italie empêchaient les Red Devils de sortir. Le 4-5-1 aligné par Luciano Spalletti, le coach romain, obligeait les Anglais, débordés par les montées incessantes des ailiers, à casser le jeu, ce qui faillit se retourner contre eux suite à un coup-franc de Chivu (4e). Manchester laissait passer l’orage en faisant circuler la balle dans sa constellation, sans pour autant trouver la faille dans un bloc défensif romain.

Scholes, un junior
L’arrière-garde mancunienne n’avait rien à jalouser à son homologue, obligeant celui-ci à se montrer dangereux uniquement sur phase arrêtée (Totti, 13e). Le capitaine de la Roma était d’ailleurs à la base de toute les actions de son équipe. Dominés, imprécis, les Mancuniens abusaient des fautes dites "nécessaires" pour casser le rythme adverse. Au point que Scholes se laissait piéger par Totti qui, intelligemment, l’obligeait à commettre une faute sanctionnée d’un deuxième carton jaune synonyme d’exclusion (33e). Paul Scholes, recordman du nombre de buts en une saison européenne (15 buts en 2001) et capitalisant plus de 500 matchs sous le maillot mancunien, venait de se faire avoir comme un junior.

Seize mètres accueillants
L’infériorité numérique anglaise allait immédiatement être sanctionnée en fin de première mi-temps lorsque, sur un corner joué rapidement, Mancini pénétrait dans la surface de réparation et centrait, à ras du sol, pour le médian brésilien Taddei (1-0, 44e). La première intrusion romaine dans les seize mètres était concluante, alors que jusque-là, les hommes de Palletti avaient été repoussés par la défense adverses.

Vucinic, joker de luxe
La deuxième mi-temps débutait sur un tempo identique à la première. Cristiano Ronaldo se ménageait enfin deux possibilités, pendant que la Roma s’octroyait trois occasions dangereuses, notamment sur une tête de Perrotta (49e). Contre toute attente, Manchester allait revenir dans le match, lorsque Solskjaer, intelligemment repositionné sur l’aile droite, effectuait un centre banane. Rooney, d’un contrôle orienté, effaçait son opposant direct et plantait son premier but en Ligue des Champions depuis septembre…2004 (1-1, 63e). Rome réagissait grâce à Vucinic, monté à la place de Wilhelmsson plus courageux que réellement efficace ce mercredi soir. D’ailleurs, l’avant monténégrin, auteur d’un seul but en championnat, se montrait opportuniste sur sa deuxième occasion en reprenant de volée un ballon mal dégagé par Van der Sar (2-1, 69e). Ce but coupait l'allant anglais, et les actions locales se mutlipliaient, mais tant Perrotta (80e) que Totti (83e) échouaient.

Suspense intact
Si Rome a été dominateur, il n’a pas été suffisamment efficace. Les Italiens sont allés chercher avec courage un résultat positif, mais leur enthousiasme a fait oublié une indispensable efficacité. Or, il ne suffira que d’un but à Manchester pour se qualifier pour les demi-finales. Ce sera sans Scholes (et Perrotta côté romain), mais ce sera devant le public d’Old Trafford qui poussera ses couleurs, sans doute vexées par cette première défaite de la saison en Ligue des Champions. Mais attention, Rome présente la meilleure défense du tournoi (seulement cinq buts encaissés en neuf matchs) et on sait les Italiens très forts lorsqu’il s’agit de préserver un résultat. Dès lors, le suspense demeure intact pour le retour, mardi prochain. (LS)
La Roma........................

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Valence obtient le nul à Chelsea

Didier Drogba a inscrit son sixième but de la compétition.

David Villa a marqué les esprits par sa technique et son sens du but.

Valence doit à une erreur défensive de repartir de Stamford Bridge avec seulement un nul (1-1), dans un quart de finale aller de Ligue des Champions maîtrisé, qui jette un doute sur le statut de favori d'une équipe de Chelsea puissante mais sans idées.

Triomphalisme offensif
Depuis plusieurs semaines, Chelsea rappelle à longueur d'interviews qu'elle vise un quadruplé historique (championnat, coupes nationales, Ligue des Champions), tandis que l'Angleterre, forte de son autoproclamé "meilleur championnat du monde", prépare la demi-finale Chelsea-Liverpool dont le vainqueur affrontera, promis juré, Manchester United à Athènes. Jose Mourinho s'est-il laissé bercer par le triomphalisme ambiant? S'est-il dit que la puissance des siens allait broyer une opposition diminuée par les absences et 4e d'un "championnat mineur"? Toujours est-il qu'il avait aligné une équipe inhabituellement offensive avec trois attaquants de métier, Salomon Kalou, Andreï Shevchenko et Didier Drogba.

But de l'année
Cela semblait d'abord fonctionner. Drogba était juste court sur un centre d'Ashley Cole (3) et Kalou, servi par Andreï Shevchenko, voyait sa frappe en pivot renvoyée par la barre (10). Mais le choix de Mourinho s'avérait rapidement relever de l'arrogance. Valence, qui n'avait pas à rougir de la comparaison avec l'organisation londonienne, se montrait supérieur techniquement, et, avec calme, pointait le bout du nez. David Silva accélérait, servait David Villa à gauche et maugréait à bon droit quand son partenaire l'oubliait pour frapper à côté (11). Encore seul, il se retrouvait à deux doigts de détourner une frappe non cadrée de Joaquin (21). Petr Cech s'échauffait sur un tir d'Asier Del Horno (22) mais Silva le refroidissait avec un des buts de l'année. Il récupérait le ballon au milieu, s'avançait sur l'aile gauche, et de 25 m, décochait une frappe du gauche magnifique dans le haut du petit filet opposé de Cech (30).

Sixième but pour Drogba
Le refus d'abdiquer est la marque de fabrique de Chelsea, déjà rentrée menée aux vestiaires par Porto avant de renverser la vapeur (2-1). Les Blues semblaient répéter cette résurrection quand ils profitaient d'un mauvais dégagement de Santiago Canizares et de la seule erreur valenciane. Ashley Cole balançait un long ballon sur lequel Roberto Ayala, peu attentif, laissait Drogba devancer Canizares de la tête pour son sixième but de la compétition (53, 1-1). Chelsea asseyait sa domination mais abusait de longs ballons et de centres, pratiquant un jeu sans imagination, qui peut suffire à déstabiliser Sheffield ou Watford le week-end, mais pas Valence le mercredi.

Certes, Canizares se trouait sur un corner, et Luis Miguel détournait du bout du pied un ciseau retourné de Shevchenko (84). Mais une défaite espagnole aurait été injuste. Pour Chelsea, la perspective d'une nouvelle désillusion dans une Ligue des Champions qui est leur principal objectif, est loin d'être à exclure.

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Quarts inédits dont un succulent Séville-Tottenham

Tottenham compte entre autres sur Robbie Keane pour faire le show.

Miroslav Klose marquera-t-il à nouveau?

L'alléchant FC Séville-Tottenham, entre le tenant du titre et le club le plus titré du lot, domine le plateau des quarts de finale aller de la Coupe de l'UEFA, opposant jeudi des clubs qui ne se sont encore jamais rencontrés à la table européenne.

A chaque rencontre, un contraste de saveurs: la rugueuse équipe d'Osasuna, pour la première fois à ce niveau, contre le délicieux cocktail anciens/nouveaux du Bayer Leverkusen; la rigueur insufflée par Louis van Gaal à l'AZ Alkmaar contre le football savoureux du Werder Brême; et le petit club de Barcelone (l'Espanyol) contre le grand de Lisbonne (Benfica).

Magnifique parcours
A 102 ans, le FC Séville vit sa plus belle saison depuis longtemps. Il joue le titre en Liga, et reste en course pour la passe de deux en C3, exploit seulement réalisé par des clubs espagnols (FC Barcelone, 1958 et 60 - le tournoi durait deux ans-, Valence, 1962 et 63, et le Real Madrid 1985 et 86).

Tottenham, encore contraint cette saison de renoncer assez tôt à ses ambitions en Premier League, a reporté son appétit sur cette C3 qu'il a déjà remportée deux fois, en 1972 et 1984 (aux tirs au but contre Anderlecht). Ce Séville-Tottenham, joué en plein Jeudi Saint, sacré en Andalousie, est aussi pimenté par la présence de quelques merveilleux techniciens comme Kanouté, Daniel Alves (Séville), Berbatov, un ancien de... Leverkusen, ou Robbie Keane (Tottenham).

Suspense
Brême a lui perdu la fluidité et l'efficacité de son jeu, qui lui avaient permis de dominer la Bundesliga avant d'en céder le commandement à Schalke 04 après trois défaites de rang. Mais le Werder s'est depuis ressaisi, même si son buteur Miroslav Klose n'a plus marqué depuis janvier, soit 695 minutes. Gare toutefois à Alkmaar, le club qui monte aux Pays-Bas, s'immiscant dans le triptyque PSV-Ajax-Feyenoord sous la conduite de van Gaal.

L'AZ est en outre un petit spécialiste de l'épreuve, demi-finaliste en 2005 et finaliste en 1981, et invaincu à domicile dans son histoire en coupes d'Europe, soit 29 matches. Le bizuth navarrais Osasuna ne part pas favori contre le Bayer et ses cadres en pleine forme, Barbarez et Schneider. Mais Pampelune retrouve Soldado et Milosevic à la pointe de l'attaque, et son entraîneur José Angel Ziganda promet d'être "un rival très dur à affronter".

Enfin "Benfica est favori en raison de son histoire, de son équipe et parce qu'ils ont l'avantage de jouer chez eux", selon le milieu de l'Espanyol Ivan De la Pena. Mais les Catalans rêvent toujours de retrouver la finale de la C3, comme en 1988, où ils avaient perdu contre Leverkusen aux tirs au but.

Le programme
(19h00) Leverkusen (All) - Osasuna (Esp)
(20h45) AZ Alkmaar (P-B) - Werder Brême (All)
FC Séville (Esp) - Tottenham (Ang)
Espanyol Barcelone (Esp) - Benfica (Por)
Matches retour le jeudi 12 avril.

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Avis de casses sur Valence. Alinghi sort vainqueur d’une folle journée

VOILE | 00h32 Sale temps pour les challengers, hier à Valence. Le bateau suisse remporte les deux régates en flotte. Nombreux incidents, démâtage (+39) et tangon brisé (BMW-Oracle).
AP | LE VAINQUEUR Manœuvre d’affalage de spinnaker sur le Class America d’Alinghi SUI91. L’équipage a joué un rôle déterminant dans les deux victoires du Defender, hier.

PIERRE NUSSLÉ / VALENCE | 05 Avril 2007 | 00h32


Dans une régate en flotte, douze bateaux partent en même temps sur la ligne et, à la fin, c’est toujours Alinghi qui gagne! Comme la grande «Mannschaft» de football de Beckenbauer… Hier, le Defender a encore fait la démonstration de sa force de frappe en remportant les deux régates dans des conditions difficiles.
C’était un jour humide, glacial et pluvieux, comme le plan d’eau de Valence sait parfois les produire au début du printemps. Une mer agitée, des coups de vents irréguliers à donner des accès de migraine aux équipes météo. «Naviguer aujourd’hui était plus proche de ce que nous avions connu en 2003 pendant la Coupe à Auckland. Avec des changements de direction du vent fréquents. Tous les bateaux ont eu de la peine à tenir leur position» lance Brad Butterworth. Avant d’ajouter: «Le bon travail de toute l’équipe a sauvé notre journée. Je peux dire que les gars ont été déterminants dans ces deux victoires.»
Une option radicale
Dans la première manche d’hier de ce LV Act 13, Alinghi a laissé sur place tous ses adversaires dès le départ en prenant une option radicale sur la droite du plan d’eau.
«Le SUI91 a confirmé ce que nous savions déjà. C’est un bateau rapide. Encore faut-il ne pas commettre des erreurs qui se paient cash», souligne Juan Villa, navigateur de la cellule arrière d’Alinghi. «Le Class America a d’abord été dessiné et pensé pour le match-race. Il ne s’adapte pas forcément à toutes les situations d’une course en flotte. Surtout lorsque les écarts sont faibles ou qu’une arrivée se joue dans un mouchoir de poche comme ce fut le cas lors de la deuxième course».
Les challengers trinquent
Des équipes ont mieux tiré leur épingle du jeu que d’autres. Team New Zealand termine deux fois devant BMW-Oracle, nettement en retrait hier (4e et 6e) en regard des ambitions affichées.
«Bad day at the office», mauvaise journée au bureau. C’est ainsi que les navigateurs américains appellent par dérision ces jours où tout ce qui peut arriver de pire au cours d’une régate ne manque pas de survenir. BMW-Oracle aurait pourtant tort de se plaindre. Hormis une fin de course complètement déjantée où le bateau américain lâcha prise après avoir brisé son tangon (tige en carbone qui maintient le spinnaker sur le côté du voilier), le défi du Golden Gate Yacht-club a limité la casse.
Beaucoup d’autres ne peuvent pas en dire autant. +39 Challenge (voir ci-contre), Team Germany, Shosholoza ont fait les frais d’une journée renversante. Qui pourrait connaître un prolongement aujourd’hui. La météo annonce en effet 15 nœuds de vent de nord-ouest, et un sérieux coup de frais sur Valence. Ça promet!
«Un désastre pour +39»

«C’est un désastre pour notre équipe! Un peu comme si le ciel s’écroulait sur nos têtes.» Iain Percy, le barreur de +39 Challenge, a le visage marqué par une terrible journée. Confronté à d’énormes difficultés budgétaires, le plus petit des défis italiens a encore perdu un mât neuf lors d’un choc avec le bateau allemand, peu avant le passage de la bouée au vent lors de la première régate.

On l'aura cette coupe.......................................

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Alinghi s’installe en tête du classement
VOILE. Après sa relative contre-performance de la veille (4e), Alinghi a parfaitement réagi à Valence en remportant coup sur coup deux régates de l’acte XIII de la Coupe de l’America. Cela a permis au défi suisse, tenant du trophée, de prendre la tête du classement général de cet acte. Avec leur nouveau SUI-91, engagé pour la première fois en compétition, Ed Baird et ses hommes ont donc passé une bonne journée au large de Valence, signant un convaincant doublé. Mais ils ont bénéficié d’un peu de chance lors de la deuxième course du jour, quand le vent s’est soudainement écroulé, faussant complètement la fin de la régate.
Sous la pluie, deux bateaux ont abandonné: les Italiens de +39 Challenge ont démâté et les Allemands de United Internet ont eu des problèmes avec leur bôme (élément arrière relié au mât). Deux autres Class America ont eu des problèmes: BMW Oracle (7 e )a cassé son tangon (élément avant relié au mât) et Team Shosholoza (10 e ) a déchiré son génois (grande voile d’avant) ● si


Sur le Défi suisse, Ed Baird et ses hommes ont remporté les deux courses d’hier. AFP

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Rallye: Michelin débouté en première instance
mer. avr. 4, 2007






PARIS (Reuters) - Michelin, qui avait assigné la Fédération internationale de l'automobile (FIA) en justice pour tenter d'obtenir l'invalidation du choix de Pirelli comme fournisseur unique du championnat du monde des rallyes pour trois ans à partir de 2008, a été débouté mercredi par le tribunal de grande instance de Paris.
Le manufacturier français a signalé dans un communiqué son intention de faire appel.
La FIA a désigné en février Pirelli comme seul fournisseur de pneumatiques du championnat du monde des rallyes pour 2008, 2009 et 2010.
Toutes les écuries officielles du championnat 2007 sont équipées par BFGoodrich, qui appartient à Michelin.

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Nelson Philippe chez Toro Rosso ?
mercredi 4 avril 2007, par Fabien Lefèvre

Une rumeur persistante annonce un français de plus en F1. Malheureusement, ce ne sera pas pour un poste de titulaire mais comme pilote d’essais... Ce qui n’est pas si mal pour le jeune Nelson Philippe !


Il serait le troisième pilote de l’équipe Scuderia Toro Rosso qui n’en a toujours pas... La boisson autrichienne aime les pilotes français, elle a entre autre enrolé les espoirs Jean-Karl Vernay et Tom Dillmann dans sa filière de jeunes pilotes. Le premier a été vu en A1GP récemment, et le second fera ses débuts en F3 EuroSeries cette année. Mais, il y a aussi Sébastien Bourdais qui avait réalisé des essais lors de l’intersaison et qui c’était montré très compétitif aux côtés des deux pilotes titulaires de l’équipe (Vitantonio Liuzzi et Scott Speed). Il devrait logiquement refaire des essais avec l’écurie italienne au mois de juillet à Spa-Francorchamps.






Quant à Nelson Philippe, ce jeune français de 20 ans a débuté en Champ Car l’année dernière, il a d’ailleurs finit à la quatrième place du classement final. Il a ainsi été sacré meilleur rookie en décrochant une victoire sur le circuit de Surfers Paradise. Il est devenu grâce à ses bons résultats, le plus jeune vainqueur de la série. Pourquoi, il ne reste pas en Champ Car ? Tout simplement car son équipe a changé de propriétaire. En effet, CTE-HVM Racing a été rachetée par Paul Stoddart, elle est devenue Minardi Team USA. Nelson Philippe n’a pas réussi à trouver l’argent nécessaire pour conserver sa place dans la nouvelle écurie. Ce qui est dommage puisque cela prouve que l’argent prime sur les résultats...

Bon suffit pour le moment les amis, au boulot maintenant...........................

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Incidents Roma-Manchester: l'UEFA ouvre une enquête

L'Union européenne de football (UEFA) a ouvert une enquête après les incidents qui ont émaillé le match AS Rome-Manchester United (2-1), en quart de finale de la Ligue des champions mercredi soir à Rome, a déclaré jeudi un porte-parole de l'organisation. La décision de mener ou pas une procédure disciplinaire sera prise après Pâques, a indiqué le porte-parole de l'UEFA dont le siège est à Nyon.

"Une enquête est ouverte. Nous attendons les rapports de nos représentants officiels pour voir si nous ouvrons une procédure disciplinaire", a-t-il dit. Des supporters italiens et anglais se sont battus à l'extérieur du stade et plus tard, pendant le match, la police italienne a chargé dans une tribune réservée aux Anglais où des troubles se produisaient après le premier but de la Roma. Le porte-parole a indiqué qu'il n'était pas encore établi quels motifs pourraient être retenus pour une procédure disciplinaire.

Dix-huit supporters ont été blessés lors de ces échauffourées. Le plus sérieusement touché est un Anglais qui aurait été poignardé au niveau du cou. Les dix-sept autres personnes ne seraient en revanche que légèrement blessées. Michel Platini, président de l'UEFA, a annoncé dès sa récente élection que sa politique serait celle de la "tolérance zéro" pour lutter contre la violence dans le football.

Navrant.........pour quelques semeurs de merde......................

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Alessandro Ballan remporte les Trois Jours de La Panne

Alessandro Ballan.

Le coureur italien Alessandro Ballan, de l'équipe Lampre, a remporté ce jeudi les Trois Jours de La Panne (2.HC). Il s'est imposé au classement final à l'issue du contre-la-montre individuel de 11 kilomètres disputé entre La Panne et Coxyde et remporté par notre compatriote Stijn Devolder (Discovery Channel), devant le Britannique David Millar, 2e à 8 secondes, et le Russe Vladimir Gusev, 3e à 10 secondes.

Ce matin, Gert Steegmans (Quick step) avait remporté au sprint le premier secteur de 119 kilomètres en ligne autour de La Panne. Ballan, qui est le 4e Italien lauréat de l'épreuve, s'impose au classement final avec 6 secondes d'avance sur le Néerlandais Joost Posthuma (Rabobank) et 11 secondes sur Bert Roesems (Predictor-Lotto).

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Coupe Louis-Vuitton: Alinghi remporte les 2e et 3e régates de l'acte 13

SPORT.

Le deuxième jour du 13e acte préliminaire de la Coupe Louis-Vuitton, largement profitable au défi suisse Alinghi, vainqueur des deux régates mercredi, a été marqué par de fortes averses, un vent instable et des avaries en cascade à Valence.
Le défi suisse Alinghi lors de la 3e régate de du 13e acte préliminaire de la Coupe Louis-Vuitton le 4 avril 2007
VALENCE (AFP) | 05 Avril 2007 |


Avec un vent plus fort que mardi et sous la pluie, Alinghi, tenant de la Coupe de l'America, a définitivement montré à tout le monde qu'il n'était pas là pour simplement observer ses challengeurs.Le bateau SUI 91, condamné à être remplacé par le tout nouveau SUI 100, s'est imposé tranquillement lors de la 2e régate de l'acte 13, devant le Desafio Espanol et Emirates Team New Zealand. BMW Oracle, vainqueur de la 1re régate mardi, avait volé le départ et, malgré un bon retour, n'a pu accrocher que la 4e place.
La 3e régate de l'acte 13, la seconde du jour, a offert son lot de surprises. Le Desafio Espanol, 2e en début d'après-midi, a d'abord volé le départ et s'est retrouvé dans l'obligation de faire demi-retour pour repartir.
Puis une collision entre le bateau du défi italien +39 Challenge et celui du défi allemand United Internet a condamné les deux équipages à abandonner. Le mât flambant neuf de +39 Challenge s'est cassé et la bôme de United Internet Team Germany a été endommagée.
Le jury devait examiner mercredi soir deux réclamations: l'une de +39 à l'encontre de Team Germany et l'autre des Allemands contre Areva Challenge.
En fin de régate, le vent s'est complètement effondré, bouleversant radicalement les positions. Alinghi, qui était aux avants-postes, a toutefois réussi à repartir pour s'imposer.
Le vent tournant a surtout profité au Desafio Espanol, tout heureux de terminer 3e, derrière les Italiens de Luna Rossa.
BMW Oracle, en tête avant le retournement de situation, a cassé son tangon et a terminé 7e.
Team Shosholoza, sensation de la première journée avec une 2e place derrière BMW Oracle, a terminé dernier après avoir déchiré son génois (grande voile d'avant).
L'équipage français d'Areva Challenge, 10e de la 2e régate après avoir volé le départ, a subi de plein fouet le changement de vent.
"En fin de course, le vent est tombé d'un seul coup", a expliqué Thierry Peponnet, tacticien sur FRA 93. "Et on a du mal à gérer ces phases de transition assez violentes".
Classement général de l'acte 13 (après 3 régates sur 7):