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BOXE
Mohammed Ali était présent aux funérailles de Joe Frazier



15. novembre 2011, 11h54
LeMatin.ch & les agences

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Décédé d’un cancer du foie, Joe Frazier a été enterré lundi à Philadelphie (Pennsylvanie) en présence de grands noms de la boxe dont Mohammed Ali.
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© Keystone

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http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/127007895_0.JPGMohammed Ali, qui souffre de la maladie de Parkinson depuis 1984, a dû être soutenu pour monter et descendre les marches de l’église. © KEYSTONE


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L’ancien champion du monde de boxe des lourds, l’Américain Joe Frazier, 67 ans, décédé d’un cancer du foie, a été enterré lundi à Philadelphie (Pennsylvanie) en présence de grands noms de la boxe et notamment de Mohammed Ali.
Outre Ali, le grand rival de Frazier, l’ex champion du monde des lourds Larry Holmes et le célèbre promoteur Don King ont également assisté à la cérémonie privée.
Le révérend Jesse Jackson a fait l’éloge funèbre de Frazier demandant aux personnes de se lever et de "montrer leur amour" pour l’homme connu dans le monde de la boxe sur le nom de "Smokin Joe".
Vêtu d’un costume sombre et de lunettes, Mohammed Ali qui souffre de la maladie de Parkinson depuis 1984, a dû être soutenu pour monter et descendre les marches de l’église.
Des milliers de personnes avaient rendu un dernier hommage vendredi à Philadelphie à l’ex champion du monde, décédé le 7 novembre.
Joe Frazier avait état le premier homme à vaincre le légendaire Mohammed Ali, mais aussi le premier boxeur à l’avoir envoyé au tapis, en 1971, au Madison Square Garden de New York, lors de ce qui est considéré comme le "combat du siècle".

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FOOTBALL
La Juve réclame 500 millions de francs à la Fédération italienne
15. novembre 2011, 11h34
LeMatin.ch & les agences

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La Juventus Turin a présenté un recours devant le Tribunal administratif régional du Latium (Tar) contre la Fédération italienne (FIGC) dans le cadre du scandale du Calciopoli.
Des joueurs de la Juve: Alessandro Matri, au centre, Andrea Pirlo, à g., et Marcelo Estigarribia. © Keystone

La Juve reproche son inaction à la Fédération italienne de football (FIGC) dans le procès sportif du scandale d’influence des arbitres en 2006, revu en 2011, et porte plainte auprès du Tribunal administratif régional du Latium (Tar) pour «manque d’égalité dans le traitement».
Selon La Gazzetta dello Sport, la Juve réclame 444 millions d’euros (près de 500 millions de francs), sensiblement la même estimation que l’ensemble de la presse italienne.
Le communiqué de la Juve, lundi, évoquait «une estimation prudente de plusieurs centaines de millions d’euros pour la baisse des droits télés (la Juve avait été rétrogradée en 2e division), la dévaluation de la marque», les pertes sur le marché des transferts, etc.
Le club turinois, dépossédé de ses titres 2005 et 2006 lors du procès sportif du Calciopoli, essaie depuis de les récupérer, et veut d’abord faire annuler l’attribution du titre 2006 à son grand rival, l’Inter Milan (celui de 2005 est resté non attribué).
Le président de l’Inter, Massimo Moratti, a jugé la demande de dommages et intérêts de la Juve «ridicule».

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Amical France-Belgique: finir l'année sur une bonne note pour les Bleus


AFP - 15. novembre 2011, 06h43


L'équipe de France va tenter de boucler l'année sur une note positive face à la Belgique en amical, mardi au Stade de France, histoire de faire le plein de confiance avant de basculer dans le vif du sujet en 2012 avec l'Euro comme échéance ultime.
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Le sélectionneur de l'équipe de France Laurent Blanc s'adresse à ses joueurs, lors d'un entraînement, le 14 novembre 2011 au Stade de France. AFP

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1321294956296-1-0.jpg Le sélectionneur de l'équipe de France Laurent Blanc salue l'attaquant belge Eden Hazard, le 14 novembre 2011 au Stade de France. AFP




L'équipe de France va tenter de boucler l'année sur une note positive face à la Belgique en amical, mardi au Stade de France, histoire de faire le plein de confiance avant de basculer dans le vif du sujet en 2012 avec l'Euro comme échéance ultime.
Plus qu'un simple succès, c'est d'une prestation aboutie que les Bleus ont grand besoin pour chasser les doutes et aborder dans les meilleures conditions les obstacles de taille au programme des prochains mois.
Avec 16 matches d'affilée sans défaite et une qualification pour le Championnat d'Europe décrochée sans passer par la case barrages, Laurent Blanc a redressé la barre après le traumatisme de Knysna et voit la cohérence de ses choix récompensée.
Mais au-delà du strict point de vue comptable, la qualité de jeu laisse encore largement à désirer, une désagréable impression que le succès étriqué acquis contre les Etats-Unis (1-0), vendredi, n'a pas fait disparaître. Bien au contraire, les Français donnent le sentiment de stagner et de faire du sur-place depuis septembre.
Hormis la victoire contre les modestes Albanais au Stade de France (3-0, le 7 octobre), difficile de trouver la trace d'une sortie consistante de l'équipe de France, incapable de dominer la Roumanie (0-0) ou la Bosnie (1-1) et loin d'être souveraine face aux Américains.
Plutôt inquiétant avant un test grandeur nature en Allemagne, le 29 février à Brême, et surtout un Euro que les Bleus, sans doute reversés dans le 4e chapeau et sous la menace d'un tirage au sort meurtrier (le 2 décembre à Kiev), vont aborder sans vraiment bomber le torse.
Si contre les USA l'excuse du turn-over pouvait être retenue, elle ne pourra plus servir face aux Belges d'Eden Hazard, Blanc ayant bien l'intention d'aligner un semblant d'équipe-type, délestée de Nasri (blessure au tendon rotulien), Mexès (blessure à la main), Evra (deuil familial) et Sagna (fracture du péroné).
Un faux pas ne ferait ainsi qu'ajouter aux interrogations et entretiendrait un climat de défiance autour du potentiel de cette sélection. Cet amical est donc à prendre au sérieux, d'autant que, pour certains Bleus, l'enjeu ne sera pas anodin.
Entre les joueurs en quête d'une place dans les 23 (Giroud, Debuchy, Mathieu, Gonalons) et ceux qui aspirent à une ouverture dans le 11 (Rémy, Martin), les raisons de se motiver pour ce dernier rendez-vous international de l'année seront nombreuses.
Après Laurent Koscielny vendredi, c'est Mamadou Sakho (4 sélections) qui aura une nouvelle occasion de se montrer en défense centrale. Même si sa présence à l'Euro, avec celle du Gunner, ne fait guère de doute sauf pépin physique, le Parisien, qui avait totalement manqué ses premières titularisations en juin, doit démontrer qu'il incarne bel et bien, à 21 ans, l'avenir à ce poste.
Dans un schéma en 4-2-3-1 ou 4-3-3, qui succédera au piètre 4-4-2 de vendredi, c'est Marvin Martin qui aura les clés du jeu au milieu, en l'absence de Nasri.
Le Sochalien, docteur ès-passes, a encore offert sur un plateau un but à Loïc Rémy et essaiera de prouver qu'il est autre chose qu'un joker de luxe. Lui aussi est assuré de son voyage en Pologne et en Ukraine, mais sera-t-il capable de forcer la porte de l'équipe de départ?
S'il arrive à fluidifier le jeu poussif des Bleus et à entretenir une relation technique avec le trio offensif Rémy-Benzema-Ribéry, il aura déjà effectué une bonne partie du chemin, et la France pourra se pencher sur son agenda 2012 chargé avec plus d'espoirs et de certitudes.
Composition probable des équipes pour France - Belgique, match amical de football disputé mardi au Stade de France (coup d'envoi 21h00):
France:
Lloris (cap.) - Réveillère, Rami, Sakho, Abidal - Mvila (ou A. Diarra), Cabaye, Martin - Rémy, Benzema, Ribéry
Sélectionneur: Laurent Blanc
Belgique:
Courtois - Alderweireld, Kompany (cap.), Van Buyten, Vermaelen - Simons - Fellaini, Witsel - Dembele, Vossen, Hazard
Sélectionneur: Georges Leekens
Arbitre: Cesar Muniz Fernandez (ESP)

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Nouvelle-Zélande: nouvelles accusations contre Guildford, l'ailier des All Blacks


AFP - 15. novembre 2011, 10h13


L'ailier des All Blacks Zac Guildford, qui avait agressé, nu et ivre, deux personnes jeudi dans un bar des îles Cook, a été accusé mardi par une tri-athlète local de harcèlement et de lui avoir tenu des propos obscènes.
L'ailier des All Blacks Zac Guildford (à gauche) avec le Canadien Nanyak Dala le 2 octobre 2011 à Wellington. © AFP/Archives

"Son comportement était totalement inapproprié au point que je me suis sentie en danger", a déclaré Kelly Pick, une tri-athlète des îles Cook qui s'entraînait jeudi sur une route de l'île de Rarotonga.
"Il était manifestement complètement ivre, conduisait très dangereusement un scooter de location et fonçait comme un idiot", a expliqué la sportive dans une lettre publiée mardi dans le quotidien local The Cook Islands News.
"Je suis rentrée de ma course totalement secouée et en colère à l'idée que certains pensent avoir le droit de harceler et regarder d'un air lubrique une autre personne", a-t-elle ajouté.
Kelly Pick a précisé à Radio New Zealand qu'elle avait déposé plainte le jour même auprès de la police.
Dimanche, la presse néo-zélandaise, citant des témoins, avait raconté que le joueur de 22 ans, présent dans les îles Cook pour le mariage d'un ami, était entré jeudi dans un bar, nu et arborant une plaie au front due à un accident de moto plus tôt dans la journée. Visiblement ivre, selon les patrons du bar, il aurait ensuite frappé un homme qui lui proposait de l'aide puis un autre derrière la tête.
Zac Guildford a présenté ses excuses lundi pour sa conduite, se disant "très embarassé" et déterminé "à se reprendre".
Guildford avait avoué durant le dernier Mondial de rugby avoir des problèmes d'alcool et avait été publiquement réprimandé pour des excès lors du Tri-Nations par l'encadrement des All Blacks.
Il n'a disputé qu'un seul match du Mondial, contre le Canada, où il a inscrit quatre essais.

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FOOTBALL
Sylvio Bernasconi: «Je n’ai pas raté ma sortie»
15. novembre 2011, 23h30
Mathieu Aeschmann | Le Matin


Sylvio Bernasconi s’est enfin exprimé hier au micro de la TSR. L’ancien président de NE Xamax balaie les attaques dont il fait l’objet et entrouvre la porte d’un dialogue avec Bulat Chagaev.
Sylvio Bernasconi n’exclut pas un retour...mais en tant que sponsor seulement. © TSR

Tout le monde avait parlé sauf lui. Muré depuis le printemps dans un silence orgueilleux et spéculateur, Sylvio Bernasconi a finalement cédé devant les doutes du microcosme et les murmures de tout un canton. «Je n’ai pas à me racheter une conscience. Tout ce que j’ai fait, c’est bien. Je n’ai rien à me reprocher.» Portés par une voix calme et un débit réfléchi, les arguments se succèdent comme autant de vérités absolues. «J’ai fait tout au plus près de ma conscience. Je n’ai volé personne. J’ai sauvé le club et puis voilà: j’attendais plutôt des remerciements, mais je constate que… malheureusement non.» Derrière l’ancien homme fort de la Maladière brille un des casques «collector» de Didier Cuche. A croire que la science des reconquêtes se cache dans le détail.

Accusations infondées

Durant les dix minutes de cet entretien du grand retour, Sylvio Bernasconi ne dira au final pas grand-chose. Son bilan? «En 2005, Michel Favre et moi-même avons repris le club en ajournement de faillite. On n’aurait jamais voulu le remettre dans une même situation. (…) Sur les six ans, nous présentons cinq années bénéficiaires avec, à chaque fois, une licence obtenue sans condition. Quant à l’exercice 2010-2011, nous avons certainement fait notre meilleure année ce qui nous a permis de laisser le club avec du bénéfice.» Comment expliquer dès lors les accusations de Bulat Chagaev qui prétend avoir découvert des «casseroles» à hauteur de plusieurs millions? «Monsieur Chagaev a tort. Ses accusations sont infondées! Maintenant, mes avocats sont prêts à discuter avec ceux de M. Chagaev pour voir si nous avons commis une erreur. Si tel est le cas, c’est avec plaisir que l’on honorera cette dette.» Devant un tel plaidoyer pour la transparence, notre consœur de la TSR Raphaèle Tschoumy joue alors la carte de l’éthique. «N’est-ce pas irresponsable lorsqu’on remet Xamax de ne pas aller voir plus loin qui est Bulat Chagaev?» «Comme à Neuchâtel personne ne voulait faire le président, j’ai trouvé M. Chagaev qui m’avait donné confiance. Aujourd’hui, j’ai toujours confiance en lui et j’espère que ça va fonctionner.»

Des conditions rocambolesques et précipitées du rachat ou encore du «parc de joueurs» dont Bulat Chagaev se sent spolié, il ne sera jamais question. Tout juste Sylvio Bernasconi finira par concéder que «ses actions» ont coûté 1,2 million à l’homme d’affaires tchétchène. Une somme qui, selon nos informations, fut négociée en euros et incluait environ 204 000 titres (à 4 fr.) ainsi que l’ensemble des droits économiques sur les joueurs (Omar Ismaeel excepté). Restait encore la question qui fâche. Celle des emplettes printanières de Sylvio Bernasconi auprès des petits actionnaires pour atteindre cette fameuse barrière des 51% d’actions qui laisse aujourd’hui les coudées franches à Bulat Chagaev. Pour l’ancien président, cette «tournée des popotes» trouve son origine dans les exigences du «sponsor principal du projet Knoepfel». «Mais au final, cette solution n’était pas si mauvaise car Bulat Chagaev voulait investir 30 millions par année. Et quand vous investissez autant, vous voulez être le patron, vous voulez commander le club. Ce que je comprends parfaitement.»

Volontiers indulgent avec son successeur, Sylvio Bernasconi cède finalement qu’il pourrait même envisager un engagement sur le plan du sponsoring. «Si M. Chagaev venait à mettre de l’eau dans son vin, ou dans sa vodka, et acceptait de rencontrer les anciens grands sponsors du club, on pourrait tous ensemble essayer de chercher une solution.» Ne dit-on pas du dialogue qu’il conditionne l’espoir?

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FOOTBALL
Euro 2012: le Portugal sera de la partie
16. novembre 2011, 04h17
LeMatin.ch & les agences


Le spectaculaire succès 6-2 contre la Bosnie à Lisbonne en barrage retour a offert aux Portugais leur billet pour la phase finale en Pologne et Ukraine l'été prochain.
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Le 0-0 qui avait sanctionné le match aller laissait quelques espoirs aux Bosniens. Mais ces derniers ont vite dû déchanter. Etouffés d'entrée par le pressing des Portugais, ils ont rapidement capitulé. Un typique coup franc de Ronaldo dès la 7e mettait le feu au stade. Et quand Nani, d'une frappe somptueuse, doublait la mise à la 24e, les carottes semblaient déjà cuites. Encore que...
A l'approche du repos, la Bosnie sortait enfin la tête de l'eau. Dzeko, signalé hors-jeu, trouvait le poteau (33e). Puis, Rui Patricio devait s'employer sur un essai de Misimovic (39e). Peu après, l'arbitre dictait un penalty pour une faute de main de Coentrao: Misimovic transformait et relançait son équipe (41e).
Les Portugais ne doutaient pourtant pas longtemps: à la 53e, Moutinho mettait Ronaldo sur orbite pour le 3-1 au terme d'un contre fulgurant. Dans la foulée, Senad Lulic (ex-YB) récoltait un second avertissement qui rendait la tâche de ses coéquipiers, réduits à dix, encore plus compliquée. Cela ne les empêchait pas de reprendre une fois encore brièvement espoir grâce à un but de raccroc de Spahic (65e), en position suspecte.
Mais les hommes de Paolo Bento ne laissaient pas leurs rivaux y croire: ils inscrivaient ensuite trois buts en une dizaine de minutes par Postiga (72e/82e) et Veloso (80e) pour, au final, une victoire très convaincante.

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Un match nul... sur toute la ligne


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7S7 mise à jour La Belgique a tenu en échec la France au Stade de France (0-0). Dans une rencontre très fermée, émaillée de beaucoup de duels et globalement très décevante, les hommes de Leekens ont livré une prestation solidaire, mais n'auront pas montré grand-chose sur le plan offensif. Mirallas a hérité de la plus belle occasion en fin de match. Dans les rangs tricolores, seuls Ribéry et Benzema ont tiré leur épingle du jeu.

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L'équipe nationale belge de football a partagé l'enjeu 0-0 mardi soir en match amical face à la France, au Stade de France à Paris.

La Belgique a été quelque peu dominée en première période mais c'est elle qui héritait de la plus belle occasion de ces 45 premières minutes de jeu. Sur un coup-franc de Hazard, Van Buyten plongeait au premier poteau pour placer une tête de très peu à côté (17e). Côté
français, Ribéry par deux fois (28e et 33e) obligeait Courtois à se détendre, sans grand danger cependant.

A la reprise, Gonalons et Cabaye décrochaient deux frappes très puissantes, à côté de la cage de Courtois (48e et 58e). La Belgique répondait à l'heure de jeu: un ballon subtilement sauté de Hazard arrivait à Witsel, qui déviait vers Fellaini dont la frappe finissait dans le filet latéral. Une tête décroisée de Benzema passait encore à côté (71e), mais c'est la Belgique et Kevin Mirallas, monté au jeu après 70 minutes de jeu et très remuant, qui héritaient de la plus belle occasion du match.

Sur une longue rentrée, le ballon était dévié au second poteau vers l'attaquant de l'Olympiacos qui tirait à deux reprises à bout portant sur le gardien français Lloris, infranchissable. La rencontre s'emballait enfin et la Belgique faisait le forcing pendant quelques minutes, sans parvenir à concrétiser. Une percée en toute fin de match d'Eden Hazard ne profitait à personne, si ce n'est Abidal qui remettait à son gardien. 0-0 score final. (belga/mb)



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"Roger Lukaku va rembourser les loyers impayés"


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"Roger Lukaku est revenu d'un voyage au Congo. Il va maintenant régler le problème des loyers du logement social à Bornem qu'il n'a pas payés." C'est l'avocat du papa de Romelu qui l'a précisé dans Het Gazet van Antwerpen.

Selon Mark Schuurmans, l'avocat de la famille, ce n'est qu'une question d'heures avant que l'affaire ne soit définitivement clôturée. "Il s'agit d'un demi-mois de loyer à payer", précise-t-il. "Roger ne doit payer qu'une petite centaine d'euros, une somme dérisoire. Le payement a pris du retard parce qu'il est souvent parti à l'étranger pour ses affaires. Il est revenu dimanche et maintenant, tout va très vite être réglé."

La famille en droit
La famille Lukaku loue depuis une dizaine d'années un logement social à Bornem, dans la région anversoise. D'après les voisins, cela faisait pourtant un petit temps qu'ils n'y habitaient plus. Ils vivent actuellement dans une maison à Wemmel, achetée 500.000 euros par Romelu. Si la maison est au nom de Roger, le contrat de location du logement à Bornem prend automatiquement fin. Mais si Romelu est le propriétaire de l'habitation, comme c'est le cas, la famille peut continuer à louer à Bornem.

"Pour être autorisé à louer un logement social, les revenus d'une famille ne peuvent dépasser 26.850 euros par an", explique Geerts Inslegers, de l'Union flamande des locataires ("Vlaamse huurdersbond"). "Le prix des loyers est variable. L'argent mis sur des comptes d'épargne et l'immobilier ne comptent pas. La famille était donc parfaitement en droit." (JC)

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Stéphane Pauwels n'est pas tendre avec les Diables

"Dembele a joué comme une tapette contre la Roumanie"




Stéphane Pauwels (ici avec Marc Wilmots) a sévèrement taclé les Diables. © photo news
Décidément, le match amical entre la France et la Belgique délie les langues. Après le tacle de Laurent Blanc sur les Diables, c'est Stéphane Pauwels qui en remet une couche. Ses cibles? Georges Leekens, Toby Alderweireld, Moussa Dembele et Timmy Simons. "C'est bon, on va ramasser", prévoit Stéphane Pauwels.

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Ce n'est pas un scoop: Stéphane Pauwels est franc. A l'heure de parler des Diables sur RMC dans "L'Afterfoot", l'ancien trublion de Studio 1 n'a pas mâché ses mots.

"Simons, il a 53 ans"
Timmy Simons sera aligné comme médian défensif ce soir contre la France. "Simons, oh putain... Il a 53 ans. La vitesse, l'exécution, la jeunesse... On joue pour préparer l'avenir. Et il (Leekens) nous met Timmy Simons. Il a deux de tension."

"Leekens, il me gonfle"
Dembele fera partie du trio offfensif (avec Hazard et Vossen) pour défier les Bleus. "Je l'aime bien, c'est un copain. Mais il me gonfle avec la sélection. Dembele a joué comme une tapette contre la Roumanie."

"Alderweireld catastrophique"
Le poste de back droit est l'une des places à prendre chez les Diables. Après Anthony Vanden Borre, Georges Leekens refait confiance à Toby Alderweireld ce soir. "Il va nous refoutre Alderweireld. Il est catastrophique à tous les matches. Vanden Borre? Pas mal contre la Roumanie mais il n'a pas la lumière à tous les étages."

"Leekens endort tout le monde"
Vient alors le tour de Georges Leekens. "C'est un vieil entraîneur qui endort tout le monde. Un vieux briscard. On n'a personne d'autre actuellement que lui. Aucun étranger ne veut prendre notre équipe nationale. Il faut Gerets ou Preud'homme", conclut Stéphane Pauwels.

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La Croatie, la Tchéquie et l'Eire qualifiés pour l'Euro


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7S7 mise à jour La Croatie et la République tchèque se sont qualifiées pour l'Euro 2012 en éliminant respectivement la Turquie et le Monténégro, à l'issue des barrages retour mardi. La Croatie a fait match nul à Zagreb contre la Turquie (0-0; victoire croate 3-0 à l'aller) tandis que la République tchèque a gagné contre le cours du jeu 1 à 0 à Podgorica (victoire tchèque 2-0 à l'aller).

Avant les barrages, les équipes déjà qualifiées pour l'Euro (8 juin-1er juillet) étaient l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie, les Pays-Bas, l'Angleterre, la Grèce, la Russie, le Danemark, la Suède, la France, ainsi que l'Ukraine et la Pologne, pays co-organisateurs. Avec cette qualification, les Croates effacent le très mauvais souvenir de leur élimination face à la Turquie en quarts de finale de l'Euro 2008.

"Nous avons attendu, nous avons rêvé pendant trois ans pour prendre notre revanche", avait déclaré le sélectionneur de l'équipe au damier Slaven Bilic dès le tirage au sort des barrages. Cette longue attente a pris fin mardi soir pour les Croates, avec une belle récompense à la clé, devant leur bouillant public à Zagreb. Quasiment jeté au rebut par la presse en Croatie pour ne pas s'être qualifié directement à l'Euro 2012, Bilic a aussi pris une belle revanche personnelle et prolonge ainsi de la plus belle manière son aventure sous le maillot à damier.

Les Turcs, eux, ne se faisaient plus aucune illusion, le quotidien Sabah au pays titrait même dès samedi dernier: "Adieu l'Europe". Cette élimination pourrait être suivie des adieux de Guus Hiddink, le sélectionneur néerlandais de la Turquie, sans doute sur le banc de l'équipe nationale pour la dernière fois mardi soir. "Nous sommes finis et Hiddink l'est aussi", avait annoncé dès samedi le journal turc Milliyet.

Dans l'autre barrage, la République Tchèque partait favorite face au Monténégro, la plus jeune nation européenne de football (2007). Mais Petr Chech et ses camarades n'ont pas dominé outrageusement leur adversaire et ont du souci à se faire pour l'Euro. Le tirage au sort de la phase finale de l'Euro 2012 aura lieu le 2 décembre à Kiev en Ukraine. Pour ce tirage, les 16 équipes qualifiées seront réparties dans quatre pots, avec quatre têtes de série, déjà connues: l'Ukraine et la Pologne en tant qu'organisateurs, l'Espagne et les Pays-Bas.

L'Eire a fini le travail à Dublin avec un nul 1 à 1 contre l'Estonie (victoire irlandaise 4-0 à l'aller). En 2009, les barrages du Mondial-2010 avaient été fatals à l'Eire, éliminée par la France avec le fameux épisode de la main de Thierry Henry lors du match retour au Stade de France. C'est oublié. Robbie Keane et les siens verront donc l'Ukraine et la Pologne cet été. Les Irlandais n'ont plus participé à un grand tournoi depuis 2002 et le Mondial au Japon et en Corée du Sud.

L'Euro 2012 se déroulera entre le 8 juin, match d'ouverture à Varsovie en Pologne et le 1er juillet, avec une finale à Kiev en Ukraine. Ce tournoi européen sera le dernier du genre à 16 équipes avant un passage à 24 équipes nationales pour l'Euro 2016 qui aura lieu en France. (afp/mb)



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