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Athlé - Nimègue

Le quadruplé de ''Gebre''


Haile Gebreselassie s'impose à nouveau à Nimègue. (L'Equipe)



Au départ pour la cinquième fois de la course des ''Sept collines'', à Nimègue, Haile Gebreselassie a levé les bras pour la quatrième fois dimanche. Double champion olympique du 10.000 m, l'Ethiopien rêvait de réaliser la meilleure performance mondiale de l'année sur 15 km (41'13 de Patrick Komon). Vainqueur du Kenyan Vincent Kipruto, ''Gebre'' a coupé la ligne en 42'42''. «L'objectif était de descendre sous les 42 minutes mais les cinq premiers kilomètres ont été trop lents», a-t-il regretté. Sur le podium, il retrouve sa compatriote Waganesh Mekasha, vainqueur de la course femmes en 48'32''. (Avec AFP)

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Football
David Beckham est enfin champion avec les Los Angeles Galaxy
21. novembre 2011, 07h13
LeMatin.ch & les agences


Quatre ans après son arrivée, David Beckham a enfin remporté le titre de champion de la Ligue nord-américaine de football (MLS). Les Los Angeles Galaxy ont battu en finale dimanche le Houston Dynamo 1-0.
A 36 ans, il s’agissait peut-être de son dernier match en MLS car l’Anglais sera en fin de contrat le 31 décembre. © KEYSTONE

David Beckham a concrétisé dimanche l’objectif qu’il s’était fixé en arrivant à Los Angeles en 2007: remporter le titre de champion de la Ligue nord-américaine de football (MLS), qu’il pourrait bientôt quitter pour revenir jouer en Europe.
L’Anglais, blessé à la cuisse droite, a eu un apport modeste dans la victoire (1-0) en finale des Galaxy sur Houston mais cela a suffi pour qu’il s’adjuge un titre dans le troisième Championnat de sa carrière, après l’Angleterre avec Manchester United (6) et l’Espagne avec le Real Madrid (1).
A 36 ans, il s’agissait peut-être de son dernier match en MLS car l’Anglais sera en fin de contrat le 31 décembre. En France, le Paris-SG serait sur les rangs pour l’accueillir à partir de janvier et ce trophée lui fera peut-être quitter la Californie le coeur plus léger.
Mais s’il s’agissait bien du dernier match de Beckham, il ne restera pas dans les annales tant le Britannique a été discret, laissant la vedette aux vrais animateurs offensifs des Galaxy: Landon Donovan et Robbie Keane, même si +Becks+ a été impliqué sur l’action du seul but de la rencontre (72e).
Ce but est arrivé sur une passe inspirée de l’Irlandais Keane, après une déviation de la tête de Beckham, pour l’Américain Donovan, qui a concrétisé la domination quasi-totale des Galaxy.
Donovan a rendu hommage à Beckham pour avoir joué "sur une jambe" après s’être étiré un muscle derrière la cuisse dans la semaine.
Beckham inexistant en première mi-temps
Devant 30'281 spectateurs, record du stade, le "Spice boy" a démarré le match très bas, loin derrière les quatre joueurs offensifs de Los Angeles.
Positionné dans l’axe, Beckham n’a pesé d’aucun poids offensif en première période.
Il a arpenté le terrain en marchant, incapable d’accélérer et de s’impliquer dans la construction. Ses longs coups de patte du droit ont quand même souvent trouvé preneur mais son jeu court a été un peu juste.
Keane a lui été dans tous les bons coups des Galaxy. Malheureusement pour Los Angeles, les occasions les plus sérieuses en première période sont arrivées deux fois sur la tête et une fois sur le pied droit du pataud Adam Cristman (12, 27, 28), mal à l’aise sur une pelouse abîmée par de fortes pluies.
Le terrain ressemblait à un champ de mines au bout de 20 minutes, ce qui n’a pas aidé les acteurs à présenter un spectacle propre.
Plus actif en début de deuxième période, Beckham a parfaitement servi Keane pour le mettre en position de marquer mais le but a été annulé pour un hors-jeu (57). Les Galaxy, installés dans leur domination depuis près d’une heure, ont enfin concrétisé sur la percée de Keane, rapide et puissant, qui a trouvé Donovan, l’Américain marquant d’un ballon piqué de l’extérieur du droit.
Houston a alors dû sortir de sa coquille pour égaliser mais la défense de Los Angeles a parfaitement tenu le choc. Même Beckham y a mis du sien, recevant un carton jaune (82e) pour une charge par derrière sur un contre-attaquant adverse avant de pouvoir lever les bras et savourer un des rares moments de ciel bleu dans ses quatre ans passés sous les couleurs des Galaxy.

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Tennis
Malade, Nadal s'en sort de justesse contre Mardy Fish au Masters
21. novembre 2011, 06h48
LeMatin.ch & les agences


Rafael Nadal a souffert de l’estomac lors de sa victoire sur l’Américain Mardy Fish en trois sets 6-2 3-6 7-6 (7/3) dimanche au Masters à Londres.
Victorieux 6-2 3-6 7-6 (7/3) après 2h56 de match, Rafael Nadal n’a rassuré personne. © KEYSTONE

"J’ai eu mal au ventre au début du troisième set. J’ai eu de la chance de m’en sortir avec la victoire", a dit l’Espagnol, qui a dû quitter le court pour aller aux toilettes.
"Maintenant, j’ai besoin de me reposer car j’ai joué pendant une heure en souffrant. Mentalement, j’ai été présent, c’est ce qui m’a donné la victoire", a-t-il ajouté.
De retour aux affaires après un break de 38 jours, Rafael Nadal n’a pas été à la fête. Le no 2 mondial a dû déjà puiser dans ses réserves pour battre Mardy Fish au Masters de Londres.
Victorieux 6-2 3-6 7-6 (7/3) après 2h56 de match, Rafael Nadal n’a rassuré personne. Au bord du malaise au début du troisième set, le joueur de Manacor n’a dû qu’à la mansuétude de son adversaire de quitter le court en vainqueur.
Un duel Federer-Nadal mardi
L’Américain a, en effet, mené 3-2 service à suivre dans la dernière manche. Mais il n’a pas su porter l’estocade face à un Nadal dont la longueur de balle était beaucoup trop courte.
Cette victoire acquise dans la douleur fait de Rafael Nadal le prochain adversaire de Roger Federer dans le face-à-face des deux vainqueurs de ce dimanche. Les deux hommes s’affronteront mardi pour leur quatrième duel de l’année.
En 2011, Nadal a battu Federer à Miami, à Madrid et à Roland-Garros. Le vainqueur de mardi aura pratiquement les deux pieds en demi-finale. Face à Mardy Fish diminué par les séquelles d’une blessure à la cuisse - il avait abandonné à Bâle et à Bercy -, Rafael Nadal a survolé la première manche avant de, comme Federer face à Tsonga quelques heures plus tôt, concéder très tôt un break au deuxième set.
Rafa est entré alors dans un drôle de match dont il se demandera encore longtemps comment il a pu le gagner.

[Norton]

FOOTBALL
Torres: l’ombre de lui-même
20. novembre 2011, 23h18
Émilie Muhmenthaler | Le Matin


Autrefois considéré comme l’un des meilleurs attaquants de la planète, Fernando Torres est en plein doute.
Torres est entré en fin de rencontre lors de la défaite 2-1 de Chelsea à domicile face à Liverpool © Keystone

Depuis son arrivée à Chelsea il y a dix mois, l’Espagnol n’est plus que l’ombre de lui-même. Surnommé El Niño («Le gamin» en espagnol) en raison de sa précocité et de sa bouille juvénile, l’attaquant de 27 ans est arrivé à Londres en janvier dernier en provenance de Liverpool, pour la somme record de 58,5 millions d’euros, faisant de lui le joueur espagnol le plus cher de l’histoire. Les attentes des dirigeants et des supporters des Blues n’en sont donc que plus grandes. Le bilan de fin de saison sera consternant: un seul petit but inscrit !Hier, face au club qui a fait sa renommée, il entre en jeu à la 84e minute en remplacement de Drogba. Le mythique kop d’Anfield, qui avait brûlé son maillot à l’annonce de son transfert, le chambre: «Es-tu heureux sur le banc ?». Jadis adulé avec 81 buts en 142 matches avec les Reds, il marche aujourd’hui seul et c’est sans doute avec un pincement au cœur qu’il a salué, vaincu, ses anciens coéquipiers. En effet, à l’image de Chelsea, son début de saison, n’est pas celui escompté. Avec seulement deux réussites en Premier League, que le cinquième marqueur de son équipe. La concurrence est rude. Du positif se laisse toutefois entrevoir après un doublé en Ligue des Champions face à Genk (5-0), fruit de sa meilleure prestation avec les Blues. Les cieux londoniens seraient-ils finalement disposés à s’éclaircir pour laisser Fernando Torres retourner à la lumière ? Champion d’Europe et du monde avec la «Roja», il réagit comme tel à la situation : «J’ai une dette envers les fans de Chelsea. Je peux promettre que je n’abandonnerai pas. Je ne l’ai jamais fait de ma vie».

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TENNIS
Success story sans fin

• 20. novembre 2011, 23h15

Christian Despont | Le Matin

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Aimé des foules, choyé des sponsors, Roger Federer reste une figure culte. Il a reçu deux nouvelles distinctions au Masters.
Plus le temps passe et plus Roger Federer est apprécié par le public et les autres joueurs. © AFP / Léon Neal

D’ordinaire, le trophée du fair-play est remis à des incapables méritants, mais définitifs. C’est une appréciation noble d’un point de vue moral, mais dégradante d’un point de vue sportif. Aussi Roger Federer aurait-il pu s’offenser que, en marge du Masters, la confrérie lui remette le trophée du fair-play, un prix de bonté et de courtoisie, au terme d’une année où, précisément, il n’a rien gagné en Grand Chelem.

Sept trophées du fair-play

Toute la différence est que Federer, quand il écrasait la concurrence, était déjà considéré comme un gentil, à tout le moins un être magnanime (sept trophées du fair-play en huit ans)… Au gré d’un monologue quasi-monocorde, pour ne pas dire monotone, les foules l’ont même désigné à huit reprises comme leur «joueur préféré», vote reconduit ce samedi, au Masters, pour la neuvième année consécutive.

Dominateur ou dominé, Roger Federer est invariablement perçu, équitablement aimé. Perçu comme un idéal, comme une rareté, dans toute sa dimension messianique. Aimé comme le roi des types et de tous les tennismen. «Je ne saurais décrire l’importance qu’a pour moi le trophée de joueur préféré du public»,remercie-t-il poliment.

Si ses collègues pouvaient voter, ils l’éliraient aussi. «Roger est peut-être le seul d’entre nous qui, paradoxalement, aux vestiaires, n’oublie jamais de saluer personne. Sa popularité y est aussi grande que dans la rue», rapporte Mardy Fish.

Roger Federer n’est jamais paru aussi vénérable qu’en cet an de disgrâce 2011 – les vues de l’esprit rendent les cœurs aveugles. Personne ne l’a jamais autant considéré dans son infinie rareté que depuis ces mois où, peu à peu, le processus irréversible du vieillissement le rappelle à sa basse condition humaine. La ferveur grandit autour du génie en péril et, avec elle, une certaine proximité avec le champion, que la fragilité rend d’autant plus noble. Roger Federer était maître. Le voilà seigneur.

55 millions de dollars par an

«Aujourd’hui, tout le public était derrière lui», regrette Jo-Wilfried Tsonga, battu 6-2 2-6 6-4 sous une ovation constante. Au cours d’une table ronde, vendredi, le Français allait encore plus loin: «Sur la base de son palmarès, mais pas seulement, Djokovic n’a pas encore l’aura de Federer et Nadal. Il joue pour lui, pour une revanche, ce que je peux comprendre car il est un enfant de la guerre. A l’inverse, Roger et Rafa jouent pour le sport, pour les symboles qu’il véhicule. Je trouve que leurs valeurs du sport ont un impact, un rayonnement. Je les préfère à celles de Novak. Mais c’est peut-être parce que je viens d’un pays riche.»

L’aura de Federer suit la même courbe, stable voire croissante, que sa prospérité. Selon Forbes, les gains annuels devraient encore atteindre 55 millions de dollars. «Mais je perds environ 30% avec les effets de change», chipote le Bâlois. Aucun projet de retraite n’est évoqué, même dans les arcanes: la majorité des contrats publicitaire échoit en 2016. Subsiste l’espoir que la suprême élégance, dans le tennis, soit un modèle indémodable. L’impression fallacieuse, peut-être, que le génie est éternel?

Au final, tandis que le sport business fonde son modèle économique sur l’extravagance et la férocité, Roger Federer s’offre l’excentricité suprême, le snobisme absolu, d’être fair-play.

[Norton]

Dopage: Rafael Nadal juge les propos de Yannick Noah stupides et enfantins


AFP - 21. novembre 2011, 07h59


Rafael Nadal a jugé stupides et enfantins les propos de Yannick Noah sur le dopage et le sport espagnol, dimanche après sa victoire sur l'Américain Mardy Fish au Masters de Londres.
L'Espagnol Rafael Nadal, lors du match contre Mardy Fish, le 20 novembre 2011 à Londres © AFP

"Ce qu'il a dit est complètement stupide. C'est stupide car on sait le nombre de contrôles antidopage que nous subissons dans le sport aujourd'hui. Selon moi, ce sont des propos dignes d'un petit enfant. Cela ne me fait donc pas mal", a dit le N.2 mondial du tennis.
"L'Espagne est au sommet du sport parce qu'elle a une génération fantastique. Ce qui compte c'est l'effort, le travail et l'envie de progresser. Nous ne bénificions pas des mêmes installations que la France et pourtant depuis vingt ans nous sommes meilleurs qu'eux", a-t-il ajouté.
Nadal a expliqué que Jo-Wilfried Tsonga et Michael Llodra, les deux joueurs français qui disputent le Masters, le premier en simple et l'autre en double, s'étaient excusés auprès de lui pour les propos de Noah.
"J'apprécie leur geste, mais ils n'avaient pas à s'excuser car ce n'est pas leur faute. C'est la faute de cette personne (Yannick Noah) qui n'est peut-être pas suffisamment informée. Mais dans ce cas-là il ne faut pas écrire un article dans un journal", a-t-il dit.
Dans une chronique dans le Monde samedi, Yannick Noah avait lié les exploits sportifs espagnols à une "potion magique" digne d'Astérix et Obélix et appelé à autoriser le dopage dans le sport.

[Norton]

Tennis à Londres: Federer et Nadal souffrent d'entrée face à Tsonga et Fish


AFP - 21. novembre 2011, 08h04


Roger Federer a battu Jo-Wilfried Tsonga en trois sets 6-2, 2-6, 6-4, en ouverture du Masters dimanche à Londres.
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Roger Federer pendant le match d'ouverture du Masters remporté contre Jo-Wielfried Tsonga, le 20 novembre 2011 à Londres AFP

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1321832325344-1-0.jpg Rafael Nadal pendant son match victorieux contre Mardy Fish au Masters, le 20 novembre 2011 à Londres AFP

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1321814123402-1-0_0.jpg Le Français Jo-Wilfried Tsonga pendant son match contre le Suisse Roger Federer en ouverture du Masters le 20 novembre 2011 à Londres AFP

http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/depeches/photo_1321832434312-1-0.jpg Mardy Fish contre Rafael Nadal au Masters, le 20 novembre 2011 à Londres AFP




Roger Federer et Rafael Nadal ont souffert pour gagner tous les deux en trois sets leur premier match au Masters, dimanche à Londres, respectivement face à Jo-Wilfried Tsonga et Mardy Fish.
L'Espagnol, qui n'avait plus joué depuis un mois, s'est imposé au tie-break de la dernière manche 6-2, 3-6, 7-6 (7/3), après 2h 53 min d'une lutte acharnée.
Profitant de la nervosité de son adversaire, qui dispute son premier tournoi des maîtres à 29 ans, il a emporté rapidement la première manche. Mais dès que l'Américain a retrouvé son calme, il a posé d'énormes problèmes au N.2 mondial en tenant parfaitement à l'échange du fond du court et en prenant souvent victorieusement le filet.
La lutte a été incertaine dans le troisième set, où les deux hommes ont fait chacun deux fois le break et où Nadal a manqué deux balles de match à 5-4 sur le service de son adversaire. L'Américain n'a cédé qu'au tie-break, sur une volée haute de revers dans le filet.
Le Majorquin, finaliste sortant à Londres, n'avait plus joué depuis le 13 octobre et sa défaite face à l'Allemand Florian Mayer en huitièmes de finale du tournoi de Shanghai.
Il avait fait l'impasse sur Paris-Bercy pour garder des forces dans l'optique d'une fin de saison chargée qu'il doit terminer par la finale de la Coupe Davis contre l'Argentine à Séville.
Une victoire dans son premier match était cruciale pour le N.2 mondial en vue de la qualification pour les demi-finales, car Fish est en principe le joueur le moins coté du groupe B, où figurent aussi Roger Federer et Jo-Wilfried Tsonga.
Fish, qui atteint son meilleur niveau à l'approche de la trentaine, avait déjà inquiété Nadal en quart de finale de Wimbledon en quatre sets serrés en juillet puis l'avait battu, pour la première fois de sa carrière, cet été à Cincinnati sur dur.
En début d'après-midi, Federer a confirmé sa supériorité sur Tsonga en l'emportant en trois sets 6-2, 2-6, 6-4, une semaine après sa victoire en finale du tournoi de Paris-Bercy.
Le Suisse, en quête d'un sixième titre au Masters, a profité de la torpeur du Français en début de rencontre pour empocher la première manche sans faire trop d'efforts. Mais il a ensuite dû repousser une belle réaction du N.6 mondial, qui s'est mis à frapper de plus en plus fort au service et en coup droit.
"Quand il a pris les devants au deuxième set, il a commencé à taper de façon plus relâchée et il est devenu plus dangereux. J'ai essayé de garder mon calme et d'attendre ma chance. Ca s'est finalement passé comme je l'espérais", a commenté Federer, vainqueur pour la troisième fois d'affilée du Français, et pour la cinquième fois en sept matches cette saison.
Les deux hommes ont fait jeu égal jusqu'à la fin du match, mais Tsonga a tout gâché en jouant un très mauvais jeu de service, le dos au mur, à 5-4 dans le troisième set.
Soulagé, Federer a reconnu avoir eu "quelques flashes" du match d'anthologie livré par les deux hommes en juillet en quart de finale de Wimbledon, où Tsonga avait emporté l'une des plus belles victoires de sa carrière en remontant de deux sets à zéro sur le Central.
"Il a été pratiquement +inretournable+ pendant un set et demi. Mais il m'avait fait la même chose pendant quatre sets et demi à Wimbledon. Ce n'était pas une première", a commenté le quintuple vainqueur du Masters, qui reste sur onze matches gagnés d'affilée après ses titres aux tournois de Bâle et de Bercy.

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NHL: Anaheim subit la loi de Detroit


Si - 21. novembre 2011, 09h29


Anaheim ne trouve plus la recette du succès en NHL.
Les Ducks ont été battus à dix reprises dans leurs onze derniers matches. Dernière défaite en date, celle subie dimanche soir face à Detroit (2-4).
Auteur de 26 parades sur les 29 tirs cadrés par les Red Wings, Jonas Hiller n'a pas à rougir de sa performance. Le portier appenzellois de la franchise californienne n'a cependant pas pu empêcher la franchise californienne de se retrouver menée 0-3 à la 28e minute. Son vis-à-vis Jimmy Howard s'est, qui plus est, montré plus performant en stoppant 94,1 % des tirs adverses (32/34).
Les Ducks, qui ont évolué avec Luca Sbisa en défense (temps de jeu 18'31'', bilan neutre), revenaient certes à 2-3 avant la fin du deuxième tiers grâce à des réussites de leurs attaquants finlandais Saku Koivu und Teemu Selänne. Ils allaient cependant en rester là. Brad Stuart scellait le score dans une cage désertée par Jonas Hiller à 48'' du terme de la rencontre, alors que Detroit évoluait à 4 contre 6.
Anaheim n'a gagné que six de ses vingt premiers matches de la saison. Avec 16 points, les Californiens pointaient dimanche soir à l'avant-dernier rang de la Conférence ouest, à six longueurs du 8e St. Louis. Minnesota occupait la tête de cette Conférence, alors que Philadelphie menait le bal à l'Est. Montréal (Yannick Weber et Rafael Diaz) était 11e à l'Est, dont la dernière place était occupée par les New York Islanders (Mark Streit, Nino Niederreiter).
Les résultats: Anaheim Ducks - Detroit Red Wings 2-4. Carolina Hurricanes - Toronto Maple Leafs 3-2. Colorado Avalanche - San Jose Sharks 1-4. Vancouver Canucks - Ottawa Senators 2-1 ap.

[Norton]

FOOTBALL
L’arbitre qui a tenté de se suicider de nouveau hospitalisé

• 21. novembre 2011, 17h15

LeMatin.ch & les agences


L’arbitre qui a tenté de se donner la mort samedi a été réadmis lundi à l’hôpital après être rentré chez lui.
M. Rafati a tenté de mettre fin à ses jours samedi alors qu'il devait arbitrer Cologne-Mayence. © AFP

Babak Rafati 41 ans, d’origine iranienne, avait quitté l’hôpital où il était soigné, avait indiqué lundi la direction de l’établissement. Il a lui-même demandé à être de nouveau hospitalisé. Cela lui semblait "nécessaire en raison de son état", a indiqué la DFB.
Rafati s’était coupé les veines dans la baignoire de sa chambre d’hôtel à Cologne (ouest). L’arbitre avait tenté de mettre fin à ses jours pour des "raisons personnelles" selon une source policière citée par l’édition en ligne du Kölnische Rundschau.
D’après cette source qui s’appuie sur un mot laissé par Rafati, le geste de l’arbitre n’avait rien à voir "avec la pression dans le football".
Directeur d’une agence bancaire à Hanovre (nord), Rafati a participé à 84 rencontres de Bundesliga. Arbitre international depuis 2008, il avait toutefois appris en septembre 2011 que la Fédération avait décidé de ne plus le désigner pour des rencontres internationales.
Critiqué par certains joueurs, il était souvent présenté comme le plus mauvais arbitre de Bundesliga par le magazine spécialisé Kicker.
La police de Cologne a annoncé qu’elle était sur le point de classer l’enquête sur les circonstances de cette tentative de suicide.
Rafati devait arbitrer samedi le match Cologne-Mayence, comptant pour la 13e journée de championnat. La rencontre a été reportée.

[Norton]

Le milieu de terrain du Barça, touché à la cuisse gauche, sera absent du déplacement au Milan AC, mercredi en Ligue des Champions.
Iniesta ne sera pas de la partie face à l'AC Milan. © AFP

Selon le site internet du club, le numéro 8 azulgrana n’a pas été retenu par précaution pour le match de Ligue des Champions de mercredi en raison d’un coup reçu à la cuisse gauche", indique le club.
« Le milieu de terrain se joint ainsi à la liste des forfaits de Dani Alves, suspendu, Adriano et Afellay, blessés », poursuit le communiqué.
Le Barça, en tête de la poule H avec 10 points et qui a déjà validé son billet pour les huitièmes de finale de la C1, peut s’assurer la première place définitive du groupe s’il gagne mercredi en terre italienne.
A l’aller, les deux équipes avaient match nul au Camp Nou (2-2).