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Mirka est-elle enceinte?

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29. novembre 2011, 16h34
LeMatin.ch

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La rumeur circule dans le clan de Roger Federer.
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http://www.lematin.ch/files/imagecache/600x440/stories/127733625.JPG Mirka Vavrinec Federer © Keystone




Mirka Vavrinec Federer serait-elle de nouveau enceinte? C’est l’hebdomadaire alémanique Sonntag qui se pose la question, évoquant une rumeur qui circule dans le clan de Roger Federer. Des proches du Bâlois se demandent pour quelle raison le ventre de Mirka Federer a grossi depuis les Swiss Indoors de Bâle.

Ce que m'en tape...

[Norton]

HOCKEY SUR GLACE
CP Berne: Marco Bührer victime d'une rupture de la rate

• 29. novembre 2011, 14h54

O. H. | LeMatin.ch


Le gardien des Ours a été hospitalisé suite à de fortes douleurs abdominales ressenties samedi lors du match contre Rapperswil.
Marco Bührer © Keystone

Marco Bührer (33 ans) est sorti samedi à la 36e minute, suite à de fortes douleurs abdominales ressenties au cours du match qui a vu Berne s'imposer à Rapperswil (3-5). Les examens ont finalement révélé une rupture de la rate. Mais, selon le club, le gardien ne devrait pas être opéré. Il a été autorisé à quitter l'hôpital. Il devrait être absent plusieurs semaines.

[Norton]

FOOTBALL
Hitzfeld au bord du burn-out en 2004
29. novembre 2011, 14h02
LeMatin.ch

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L’entraîneur actuel de l’équipe a vécu comme un soulagement son éviction du Bayern Munich.
Ottmar Hitzfeld aurait pu contracter un burn-out en 2004. © Keystone

Ottmar Hitzfeld pense qu’il aurait pu contracter un burn-out en été 2004. Le fait que son contrat n’a pas été renouvelé au Bayern Munich a été vécu comme une délivrance. «Cela a été un soulagement pour moi lorsque le Bayern a dit que nous mettions un terme à notre relation d’emploi. Je n’ai jamais eu la force de partir de moi-même» explique Ottmar Hitzfeld dans «Audi Star Talk» de Sport1.
Il revient également sur la pression qu’un entraîneur peut avoir lorsqu’il tient les rênes du Bayern Munich. «Ces six années en Bavière ont été comme si j’avais entraîné pendant 20 ans une autre équipe de Bundesliga».
Ottmar Hitzfeld avait aussi renoncé à la tête de l’équipe nationale d’Allemagne en été 2004 dans le but de préparer la Coupe du Monde. «Si on n’a pas la force, on ne peut pas avoir le succès. Et si on a tout de même le succès, on peut se ruiner la santé».
Finalement, il signera quatre années plus tard avec l’équipe de Suisse.

[Norton]

Volvo Ocean Race: Groupama 4 (Cammas) à 198,4 milles du Cap à 04h00 GMT


AFP - 29. novembre 2011, 12h48


Groupama 4, le voilier français engagé dans la Volvo Ocean Race, progressait par vent faible lundi soir à l'approche de l'Afrique du sud et était attendu au Cap, terme de la première étape, mardi vers 10h00 (09h00 GMT)
Le bateau Groupama 4, skippé par Franck Cammas, le 5 novembre 2011 au large d'Alicante (Espagne) © AFP/Archives

Groupama 4, le voilier français skippé par Franck Cammas, se trouvait mardi matin à un peu moins de 200 milles du Cap (Afrique du Sud), où il était attendu dans la journée pour prendre une 3e place dans la première manche de la Volvo Ocean Race.
A 04h00 GMT mardi (05h00 française), le monocoque VO70 (21,50 m de long) orange et vert était pointé à 198,4 milles au sud-ouest du Cap et progressait lentement (6,2 noeuds), poussé par des brises anémiques de secteur sud. Dans ces conditions, il était difficile de prévoir une heure d'arrivée précise du voilier français dans le grand port sud-africain.
Groupama 4 a été précédé au Cap samedi par les Espagnols de Telefonica (Iker Martinez/1er) et dimanche par les Néo-Zélandais de Camper (Chris Nicholson/2e).
Trois des six bateaux ayant pris le départ de la course le 5 novembre à Alicante (Espagne) ont abandonné suite à des avaries.
La Volvo Ocean Race, course autour du monde en équipage par étapes (9) est une course aux points. En prenant la 3e place de cette première manche Alicante-Le Cap, Groupama 4 est assuré de récolter 20 points.

[Norton]

Rugby: Biarritz-Bayonne, un 100e derby de tous les dangers pour le BO


AFP - 29. novembre 2011, 13h15


Biarritz, englué depuis des semaines en fond de Top 14, n'a pas d'autre choix que de vaincre son ennemi intime Bayonne, mardi (20h45) à l'occasion d'un 100e derby basque de tous les dangers pour lui, décalé en raison d'une épidémie d'oreillons.
Imanol Harinordoquy (g), capitaine de Biarritz, contre Saracens en Coupe d'Europe le 19 novembre 2011 au stade Aguilera © AFP/Archives

Lanterne rouge avec une seule victoire en dix journées, décroché à sept points du 12e, Bordeaux-Bègles, le BO va mal. Et le vit mal. A tel point que son seul salut pour ne pas compromettre définitivement ses chances de rester dans l'élite passe par un parcours de grosse écurie d'ici la mi-mai: empocher 9 à 10 victoires minimum lors des 16 derniers matches et glaner le maximum de bonus.
Les hommes du directeur du rugby Patrice Lagisquet en ont les capacités. Ils l'ont prouvé en Coupe d'Europe avec le retour de leurs internationaux, en disposant des Saracens, champions d'Angleterre en titre (15-10).
Face à l'Aviron, ils disposeront pour la première fois de la saison en Top 14 de presque tous leurs cadres, excepté Yachvili, blessé. La plupart (Harinordouy, Traille, Thion, August) ont été laissés au repos vendredi lors de la défaite au Racing (28-9) pour espérer enfin s'imposer à Aguiléra.
"Marre de baisser la tête"
"Quoiqu?il arrive, un derby n?est pas fait pour être perdu", estime le deuxième ligne Jérôme Thion. "Et puis on a laissé des points en route qui vont nous manquer jusqu?à la fin de saison donc, obligatoirement, et en plus à domicile, c?est un match à absolument gagner."
Pour Bayonne, un peu mieux loti au classement (9e) mais pas franchement flamboyant cette saison (seulement 6 essais inscrits), ce derby s'apparente aussi à un tournant.
"Qui a le plus à perdre mardi soir?", s'interroge l'entraîneur Thomas Lièvremont. "Difficile à dire. Le BO a besoin de gagner, nous devons prendre des points. Un derby, c?est toujours un match particulier, qu?il vaut mieux gagner. Physiquement ou psychologiquement, on y laisse toujours des plumes."
Avec toutes ses forces vives présentes (Heymans, Phillips, Tialata, Rokocoko) et le retour de suspension d'Huget, Bayonne possède les arguments pour enfoncer un peu plus son voisin.
"Il y en a marre de baisser la tête contre le BO", prévient l'ailier Yoann Huget. "L?an passé, on a perdu deux fois contre eux, donc là, dans le contexte d?un match de bas de tableau à enjeux, ça s?annonce chaud!"
10e journée - Matches en retard:
Mardi:
(20h45) Biarritz - Bayonne
Mercredi:
(20h00) Lyon - Montpellier

[Norton]

Formule 1 - Ecclestone: "Bientôt, l'Europe n'aura plus que cinq Grands Prix"


AFP - 29. novembre 2011, 13h34


L'actuel patron de la Formule 1 Bernie Ecclestone a estimé que "l'Europe n'avait plus d'avenir en F1" et que le Vieux Continent n'accueillerait dans un futur proche "plus que cinq Grands Prix", dans une interview publiée mardi dans le quotidien espagnol "Marca".
Bernie Ecclestone, le grand argentier de la Formule 1, le 10 novembre 2011 à Munich © AFP/Archives

"Je pense que dans les années qui viennent, l'Europe n'accueillera plus que cinq Grands Prix" (contre huit actuellement), a affirmé le patron de la F1.
Ecclestone n'a pas précisé quelles courses il souhaitait conserver en Europe, mais a en revanche confirmé sa volonté de garder un nombre total de 20 Grands Prix, en se tournant pour cela notamment vers la Russie ou de nouveaux pays comme "l'Afrique du Sud ou le Mexique".
"La Russie à coup sûr, nous avons un contrat là-bas" (pour un Grand Prix à Sotchi), a indiqué Ecclestone.
Interrogé sur de possibles regrets à l'idée de délaisser peu à peu l'Europe, berceau de la Formule 1, le grand argentier de la F1 a estimé que l'Europe "avait été" ce berceau, mais ne l'est plus.
Il s'est également déclaré "très heureux" du succès rencontré par les nouveaux Grands Prix comme celui en Corée du Sud, lancé en 2010.
"Jamais nous n'aurions pensé que nous aurions un jour la Corée du Sud sur notre calendrier", s'est félicité Ecclestone.

[Norton]

Formule 1: le retour de Räikkönen, un gros coup de Lotus Renault


AFP - 29. novembre 2011, 13h35


Le Finlandais Kimi Räikkönen, champion du monde de Formule 1 en 2007 chez Ferrari, a signé un contrat de deux ans avec Lotus Renault où il signera son retour dans une monoplace, trois ans après avoir quitté la F1 pour le rallye, a annoncé mardi l'écurie britannique.
Le pilote finlandais Kimmi Raïkonnen dans les stands pendant des essais en NASCAR, le 20 mai 2011 à Charlotte en Caroline du Nord © Getty Images/AFP/Archives

L'écurie Lotus Renault, orpheline du Polonais Robert Kubica, a frappé un grand coup sur le marché des transferts en faisant signer au Finlandais Kimi Räikkönen, champion du monde de Formule 1 en 2007 chez Ferrari, un contrat de deux ans, après deux ans d'absence.
Comme souvent avec Räikkönen, il ne fallait pas croire les rumeurs récentes qui l'annonçaient chez Williams, dans le baquet de Rubens Barrichello, grâce à un mystérieux sponsor du Qatar qui aurait payé son salaire. L'annonce devait être faite à Abu Dhabi, on l'attend encore.
"La F1, je sais comment ça marche, donc je suis sûr que je vais me faire plaisir. Si je n'en étais pas sûr, je n'aurais pas signé ce contrat", explique "Iceman", 32 ans, en blouson Lotus et bonnet noir, dans une vidéo diffusée mardi matin par l'écurie britannique.
Räikkönen avait quitté la F1 fin 2009, après neuf saisons de F1 (2001-2009), dont les trois dernières chez Ferrari entamées en beauté par un titre de champion du monde 2007 et conclues par une 6e place au championnat 2009, assortie d'une victoire au Grand Prix de Belgique, à Spa.
"La principale différence avec 2009, ce sera sûrement les pneus (ndlr: depuis, Pirelli a remplacé Bridgestone). Et il faudra que je réhabitue mon cou", ajoute Räikkönen, toujours très économe de ses mots, dans ce clip de moins de deux minutes, le temps d'un tour de piste en F1.
Le retour en F1 de Räikkönen, dont le palmarès fait état de 18 victoires, 62 podiums et 16 pole positions, aura aussi pour conséquence que six champions du monde de F1, un record, seront au départ de la saison 2012: deux Allemands, Michael Schumacher et Sebastian Vettel, deux Anglais, Lewis Hamilton et Jenson Button, un Espagnol, Fernando Alonso, et donc Räikkönen.
"Envie de F1"
Le Finlandais va faire son retour en F1 après deux saisons incomplètes en WRC (20 rallyes sur 26) qui ne laisseront pas un souvenir impérissable. Son meilleur résultat restera une 5e place en Turquie (2010), alors qu'il disposait de la meilleure voiture du plateau, la C4 du Citroën Junior Team en 2010, avec l'aide de Red Bull, puis une DS3 au sein de sa propre équipe (Ice1 Racing), en 2011.
"Ma période en WRC a été une étape utile dans ma carrière de pilote, mais je dois reconnaître que mon envie de F1 était redevenue récemment plus forte que tout. Le choix a été facile car j'ai été impressionné par l'envergure des ambitions de cette équipe", explique aussi Räikkönen dans un communiqué de l'écurie d'Enstone.
En plus du WRC, Räikkönen a aussi fait cette année une brève incursion en NASCAR Trucks, outre-Atlantique, dans un pick-up surpuissant, puis a essayé en août une Peugeot 908 d'endurance, un proto fermé équipé d'un moteur V8 diesel. Il a été très rapide mais n'a pas retrouvé les sensations inimitables d'une F1.
En faisant son grand retour en F1, chez Lotus qu'il avait contacté l'an dernier, en vain, Räikkönen va prendre la place laissée vacante par un autre amateur de rallye, Kubica, grièvement blessé dans un petit rallye italien. Lotus-Renault a longtemps espéré son retour en 2012 et le recrutement du Finlandais n'est pas un bon signe pour les fans du Polonais.
Pour la place de deuxième pilote Lotus début 2012, trois candidats restent lice, sauf énorme surprise: le Russe Vitaly Petrov, titulaire en 2010 et 2011, le Brésilien Bruno Senna, qui a fini la saison 2011 à la place de l'Allemand Nick Heidfeld, et le Français Romain Grosjean, champion de la série GP2.

[Norton]

Trophée Jules-Verne: Banque Populaire V (Peyron) affole les compteurs


AFP - 29. novembre 2011, 14h38


Le maxi trimaran Banque Populaire V, lancé à la poursuite du Trophée Jules-Verne (tour du monde en équipage sans escale), dévalait mardi l'Atlantique sud à grande vitesse au large du Brésil et possédait 185 milles d'avance sur le temps de référence.
Loick Peyron devant son maxi-trimaran Banque Populaire avant le départ dfu Trophée Jules-Verne le 21 novembre 2011 à Brest © AFP/Archives

"Ces engins sont complètement dingues, complètement fous", s'est exclamé le skipper du plus grand (40 m) multicoque de course au monde, Loïck Peyron, lors de la vacation radio de la mi-journée.
Slalomant entre les grains, Banque Populaire V marchait à plus de 35 noeuds, atteignant même brièvement 41 noeuds (74 km/heure) dans une survente. "Dès que les compteurs s'affolent, il est très facile de s'envoler sur un flotteur si le barreur n'est pas vigilant", a confié Peyron.
Banque Populaire V va contourner par l'ouest l'anticyclone de Sainte-Hélène et plongera ensuite dans le sud. "Ca va très vite. D'ici deux jours, on sera dans du grand frais, a noté le skipper du trimaran géant, mais il y a de bonnes conditions météo dans le sud. Ce sera violent, brutal, comme toujours, mais il ne devrait pas y avoir trop de mer".
Mercredi, a ajouté Peyron, l'équipage -14 hommes avec le skipper- de Banque Populaire V procèdera à un check-up complet du gréement. L'un des équipiers, Florent Chastel, montera deux fois en tête de mât (haut de 47 mètres), une fois par l'intérieur et une autre fois par l'extérieur.
Le temps à battre autour du monde est de 48 jours 7 heures et 44 minutes, établi le 20 mars 2010 par Franck Cammas sur Groupama 3 lors de sa troisième tentative.
Banque Populaire V a passé la ligne de départ entre Ouessant et le cap Lizard (sud-ouest de l'Angleterre) mardi à 09h31 heure française et devra être de retour avant le 9 janvier 2012 à 17h15 pour améliorer ce record.

vlà, vous avez assé de lecture pour ce soir

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"Le Real est au-dessus du Barça pour l'instant"


© photo news

© afp


Avec six longueurs de retard sur son ancestral rival du Real Madrid, le Barça voit petit à petit le titre s'éloigner, même si le championnat est encore très long. Le Clasico du samedi 10 décembre (22h) s'annonce d'ores et déjà crucial pour les hommes de Pep Guardiola, qui ne pourront se permettre la défaite. Selon l'entraîneur espagnol, "il faudra que l'équipe hausse son niveau de jeu si elle veut être championne".

"Je trouve qu'on joue bien, mais apparemment cela ne suffit pas. Le Real Madrid est au-dessus de nous en ce moment, ce qui se traduit au classement. A l'extérieur surtout (ndlr. 9 sur 18), il faudra faire mieux. Pourtant, nous nous créons toujours plus d'occasions que l'adversaire. Le problème ne se situe pas là", ajoute-t-il.

Ce soir, le Barça recevra le Rayo Vallecano en match avancée de la 17e journée de championnat, prévue à la mi-décembre, lorsque les Catalans disputeront le Mondial des clubs au Japon. Ce sera l'occasion de se racheter après la défaite concédée à Getafe. (mb)



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Tchité Diable Rouge, c'est encore possible


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Mémé Tchité était invité sur le plateau de La Tribune ce lundi soir. L'attaquant du Standard, accompagné de son conseiller Alfred Raoul, est revenu sur ses problèmes de naturalisation sportive. Un nouveau document, récupéré par ce dernier, pourrait toutefois permettre de relancer le dossier... et de voir Tchité porter le maillot des Diables Rouges.

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L'affaire est compliquée, c'est le moins qu'on puisse écrire. Après avoir utilisé de nombreux moyens pour permettre à Tchité de jouer pour l'équipe nationale belge, une nouvelle tentative va être examinée par l'Union Belge.

Code de Nationalité
Alfred Raoul, conseiller de Mémé Tchité, a expliqué qu'il était en possession du Code de Nationalité du Burundi, qui explique clairement les conditions pour être de nationalité burundaise. "Quand Mémé a joué ce match avec le Burundi, il disposait de faux papiers. Nous avons en notre possession le Code de Nationalité burundais, qui prouve que Mémé n'a jamais été Burundais. Ce code est très clair: il stipule que personne ne peut devenir Burundais si aucun des deux parents ne l'est. Que demander de plus?"

Si Tchité n'a jamais pu être burundais, il n'a donc jamais pu jouer pour le Burundi. L'équation est simple.

"Un document très intéressant"
Steven Martens (CEO de l'Union Belge), également présent sur le plateau, a pris connaissance de l'existence de ce document en même temps que les téléspectateurs. "Un tel document est effectivement très intéressant. Jusqu'ici, nous ignorions ce point. Notre service juridique va donc se pencher sur ces nouveaux éléments avant de rouvrir le dossier. Il est également important de comprendre que la fédération doit faire preuve de précautions dans ce dossier. Nous ne pouvons pas nous permettre d'appeler et de faire jouer un garçon qui n'est pas qualifié. Tout doit se faire dans les règles."

"Aller jusqu'au bout"
Tchité et Raoul ne vont rien lâcher et iront jusqu'au bout de leur démarche. "Dire que l'Union belge n'a pas soutenu Meme dans cette histoire, c'est faux. Dire qu'elle a tout fait est faux aussi... Je plaide pour une impulsion offensive auprès de la FIFA. Nous disposons avec le code de la nationalité burundaise d'une preuve irréfutable."

Le joueur, lui, a profité de l'occasion pour rappeler à tout le monde que jouer pour la Belgique est surtout une question de coeur. "Jouer pour les Diables Rouges c'est un rêve. Je vais aller jusqu'au bout pour y arriver. Je n'ai jamais vu un joueur qui s'est autant battu pour obtenir une nationalité." (JC)






29/11/11 08h35