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Le Brésil est seul candidat pour le Mondial de 2014


Le Brésil est le seul pays candidat à l'organisation du Mondial-2014 de football, a annoncé vendredi la Fédération internationale de football (FIFA) après que la Colombie a retiré sa candidature.

La FIFA a précisé qu'une délégation de la fédération brésilienne (CBF) a officiellement pris possession des documents requis auprès du président de la FIFA Joseph Blatter, vendredi, trois jours avant la date limite fixée au 16 avril. La Colombie a retiré sa candidature mercredi afin d'apporter son soutien à la candidature du Brésil, a encore annoncé la FIFA. Le Brésil doit compléter son offre de candidature pour fin juillet 2007 et apporter notamment la caution financière du gouvernement brésilien.

La visite d'inspection du Brésil sera effectué en septembre et le comité exécutif de la FIFA attribuera en novembre l'organisation du Mondial-2014. Selon la règle de la rotation des continents pour l'organisation de la Coupe du monde, instaurée en 2003, le Mondial-2014 est attribué à un pays d'Amérique du Sud. La Confédération sud-américaine s'était mise d'accord pour la candidature du Brésil jusqu'à ce que la Colombie décide timidement de tenter sa chance. Toujours selon cette règle, l'Afrique organisera l'édition 2010. Elle a été attribuée à l'Afrique du Sud de préférence au Maroc.

Vais prendre un billet..................

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Début de Tyson à Bollywood


L'ancien champion du monde des poids lourds, Mike Tyson, qui risque la prison aux Etats-Unis pour possession de drogue, va jouer dans un film promotionnel d'un long-métrage du cinéma indien de Bollywood, a annoncé vendredi son réalisateur.

Le producteur Firoz Nadiadwala est en passe de boucler un accord avec M. Tyson pour qu'il apparaisse dans une vidéo publicitaire de son prochain film "Fool-n-Final", réalisé par Ahmed Khan. "Nous sommes en discussions avec M. Tyson.

L'accord est quasiment finalisé", a dit M. Khan, espérant que l'ancien boxeur commencera à tourner le 20 avril dans ce clip promotionnel de sa comédie musicale.

L'ancien champion de boxe, 40 ans, inculpé en janvier pour possession de cocaïne, sera jugé en août aux Etats-Unis. Il encourt jusqu'à sept ans et demi de prison.

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Räikkönen le plus rapide lors des essais libres

Le Finlandais Kimi Räikkönen (Ferrari) a été le plus rapide de la première séance d'essais libres du Grand Prix de Bahreïn de Formule 1, troisième des 17 épreuves de la saison, vendredi sur le circuit de Sakhir près de Manama. Räikkönen a bouclé le plus rapide de ses 21 tours en 1 min 33 162/1000, devançant de 517/1000 de seconde son coéquipier brésilien Felipe Massa (17 tours).

Des essais privés hivernaux s'étaient déroulés sur le tracé de Sakhir, au cours desquels Massa avait démontré le potentiel des F2007 en décrochant le record de la piste en 1 min 29 sec 989/1000. Vendredi matin, les deux McLaren-Mercedes de Lewis Hamilton (17 tours) et Fernando Alonso (15 tours) ont signé les 3e et 4e chronos mais à près d'une seconde du vainqueur du GP d'Australie: Hamilton à 948/1000 de seconde et le double champion du monde à 999/1000 de seconde.

La première séance d'essais libres s'est déroulée par un chaud soleil (32°C, 46°C sur la piste), mais sur un circuit balayé par le vent. La piste serpentant au milieu du désert étant glissante en raison de dépôts de sable, plusieurs pilotes ont perdu, mais sans dommage, le contrôle de leur monoplace, y compris Alonso, surpris deux fois en deux tours. Les BMW Sauber de Nick Heidfeld (30 tours) et Robert Kubica (24 tours) ont signé les 6e et 7e temps, derrière la Toyota de Jarno Trulli (26 tours). Ce dernier a échoué à 1 sec 734/1000 de Räikkönen, Heidfeld à 1 sec 914/1000 et Kubica à 2 sec 086/1000.

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GP du Bahreïn
Hamilton, un podium pour l'histoire




Son premier podium, en Australie...
Lewis Hamilton pourrait passer dans l'histoire de la F1 à Sakhir en devenant le premier pilote à entamer sa carrière avec trois podiums de suite. Ni Michael Schumacher ni Ayrton Senna n'ont réussi pareil exploit.
« Quiconque serait surpris d'être dans ma position, a-t-il admis humblement lors d'une rencontre de presse, jeudi. Je me sens privilégié. J'avais déjà un grand respect pour mes adversaires, mais depuis que nous nous battons en piste, mon respect a grandi. On travaille fort, mais j'ai eu de la chance, car je suis au bon endroit au bon moment. »
Des propos qui rappellent les débuts de Jacques Villeneuve avec Williams en 1996. Le pilote canadien avait commencé sa carrière avec deux podiums (2 fois 2e) à ses trois premières courses, mais avait abandonné lors de la deuxième épreuve, au Brésil.
Avant Hamilton, le dernier pilote à avoir obtenu deux podiums lors de ses deux premières courses était son compatriote Peter Arundell en 1964. Il avait toutefois terminé 9e place à son troisième Grand Prix, en Belgique.
Quant à Michael Schumacher, il a entamé sa carrière avec un problème d'embrayage lors de sa première course pour Jordan, au Grand Prix de Belgique, en 1991.
Un excellent début de saison
À 22 ans, Hamilton a déjà surpris avec sa troisième place en Australie, puis sa deuxième place en Malaisie au volant de sa McLaren-Mercedes. Seuls son coéquipier Fernando Alonso et Kimi Raikkonen (Ferrari) ont été plus rapides.
Au troisième rang du classement des pilotes (14 points), Hamilton part même avec une longueur d'avance au Bahreïn: il connaît bien le tracé pour y avoir roulé en F3 en 2004 et lors d'essais privés à bord de la MP4-22, en février dernier. Les Ferrari avaient cependant été plus rapides.
Le pilote britannique reste modeste face à ses succès. « Je suis toujours un débutant, j'ai encore énormément à apprendre, a-t-il dit. J'attaquerai autant que je pourrai, mais cette première victoire, elle peut arriver ce week-end comme le dernier week-end du Championnat ou plus tard. »
Puisqu'il a utilisé le même moteur lors des deux premiers Grands Prix, Hamilton pourra compter sur un bloc tout neuf au Bahreïn, tout comme Raikkonen et Alonso. Celui-ci, vainqueur l'an dernier, a bien l'intention de rééditer l'exploit cette année.
Les essais libres se tiendront vendredi et samedi matin au Bahreïn, avant les qualifications samedi après-midi.

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Sous les pavés, la magie !

Par ERIC DELTOUR

De Sports.fr Une semaine après le "Ronde", où les Flandriens ont accepté à contrecoeur l'entrée dans leur cercle très fermé de l'Italien Alessandro Ballan, la magie des pavés se prolongera ce dimanche à l'occasion de Paris-Roubaix. La "reine des classiques" ne manquera une fois encore pas de prétendants entre le tenant, Fabian Cancellara, sans doute le plus fort dans les monts flandriens, une meute belge revancharde, à commencer par un Tom Boonen toutefois sans certitudes. A moins que Ballan lui-même ne s'offre un exceptionnel doublé.

Cancellara, ici avec O'Grady dans Arenberg, favori à sa propre succession.
"Dimanche prochain, j'aurai la pancarte." Alessandro Ballan n'ignorait déjà rien dimanche dernier, quelques minutes après avoir réglé Leif Hoste au sprint pour signer à 28 ans sur le Tour des Flandres la plus grande victoire de sa carrière, les conséquences de ce sacre sur le « Ronde » en vue des prochaines échéances. Une semaine plus tard et l'Italien sera désigné dimanche, à l'occasion de la « Reine des Classiques », comme l'homme à battre, au même titre qu'une meute de prétendants tous plus assoiffés de reconnaissance les uns que les autres dans ce sommet de la saison. Car sous les pavés de l'Enfer du Nord, la magie opère toujours...

Et on peut bien annoncer un soleil aussi généreux qu'il avait pu l'être sur le Tour des Flandres dimanche sur les 28 secteurs pavés, soit 52,7 km d'enfer, que comptera le parcours pour l'occasion, l'absence de pluie n'est pas un gage de course tranquille sur pareille épreuve. Bien au contraire, et un Erik Zabel, envoyé au tapis sur le sec dimanche dernier dans les monts flandriens, peut en témoigner, lui qui a été contraint de renoncer à s'aligner dimanche. Dans la poussière et sous la chaleur printanière, les forçats de la route seront gâtés, c'est une certitude, une garantie sur Paris-Roubaix où la souffrance doit être une seconde nature si l'on veut exister. Et puis, même sans la mare, le pavé de la mythique tranchée d'Arenberg sera à la hauteur de sa réputation puisqu'on y interdira même aux coureurs, tentés de l'emprunter, l'étroit sentier sur la gauche de la trouée, détérioré par le passage des chevaux cet hiver. Les pavés, rien que les pavés: il n'y aura pas d'échappatoire dimanche et le célèbre adage qui veut que jamais le vainqueur de la course n'en sorte au-delà de la dixième place se vérifiera sans doute une fois encore...

Cancellara à 50 à l'heure dans Arenberg!

Après 159 bornes d'efforts, les gros bras devront être alors au rendez-vous et le plus dur sera à venir avec l'explication finale à cent kilomètres de l'arrivée... Celle qu'espère bien déclencher le tenant du titre, Fabian Cancellara, comme il a été capable de le faire le week-end dernier sur les Flandres. Dimanche dernier, le Suisse était sans doute le plus costaud mais a pêché en s'exposant de manière excessive. Peu importe, il n'a cessé de le claironner depuis le début de la saison, son objectif tient deux mots: Paris-Roubaix! Une forme que le champion du monde du contre-la-montre, protégé de Bjarne Riis à la CSC, aurait encore exposé jeudi lors des reconnaissances en survolant comme un avion à cinquante à l'heure!

Pas sûr que Tom Boonen, deuxième l'an passé et chef de file d'une colonie belge plus revancharde que jamais, a les moyens de rivaliser avec pareille oiseau. Si sa chute dès le matin sur le "Ronde" n'a pas eu de conséquences fâcheuses sur son intégrité physique, elle a suffi à enrayer la belle mécanique du champion du monde 2005 et à mettre au jour les limites de la stratégie de la Quick-Step. Et si Boonen pourra compter dimanche sur une équipe renforcée (rentrées du Néerlandais Steven De Jongh et du Belge Sébastian Rosseler), la prestation de Boonen sur Gand-Wevelgem n'est pas de nature à rassurer. On peut en dire autant de l'ensemble du peloton d'outre-quiévrain, humilié sur l'épreuve du milieu de semaine, où pas un représentant n'a pu se glisser parmi les vingt premiers! Un fiasco auquel échappe Leif Hoste, l'éternel dauphin des Flandres (2004, 2006 et 2007), encore dominé par Ballan, mais qui lui avait fait l'impasse sur la semi-classique et entend bien vaincre le signe indien qui s'acharne contre lui également sur les pavés du Nord, d'un drapeau qui se prend dans ses rayons en 2004 à son déclassement l'an passé pour avoir avec ses deux compagnons de poursuite derrière le futur vainqueur, Cancellara, brûler un passage à niveau devant un train de marchandises. Une mésaventure qui n'est d'ailleurs pas exclure cette année encore (*)...

Guesdon, dernier vainqueur français de l'Enfer du Nord en 1997.
Outre Ballan, troisième l'an passé, les Italiens, qui ne se sont plus imposés sur le Vélodrome de Roubaix depuis 1999 et la victoire d'Andrea Tafi, pourront compter sur Filippo Pozzato quand l'Espagne, après avoir espéré voir Oscar Freire réaliser l'exploit sur le "Ronde", a de bonnes raisons de se reporter ses ambitions sur un Juan Antonio Flecha qui, après ses places d'honneur (3e en 2005 et 4e l'an dernier), a la carrure pour devenir le premier Espagnol à s'imposer. On citera également, mais à un degré moindre, l'Allemand Marcus Burghardt, libéré après sa première victoire à Wevelgem, mais aussi les relais de l'absent, George Hincapie à l'US Postal, le Russe Vladimir Gusev et le Lituanien Tomas Vaitkus. A moins... A moins qu'un Français, dix ans après le sacre surprise de Frédéric Guesdon, encore présent cette année mais dont la flamme à 35 ans semble vaciller: "Cette année, je suis tombé dans Milan-San Remo et j'ai l'impression de le payer encore. A Gand-Wevelgem, je me sentais bien mais j'ai crevé au pire moment. Je n'ai pas eu de résultats, je suis un peu dans le doute." Alors la nouvelle génération tentera l'impossible et les Mengin et autres Brard se mettront minables. Parce que, comme chaque année, la magie opère toujours...

(*) Une fois encore, au cas où la course croiserait un train, ce dernier aurait la priorité sur les neuf passages situés sur la parcours. Un tel incident serait considéré comme un incident de course. Le risque existe. Ainsi, par exemple, un passage se situe à l'entrée de la tranchée d'Arenberg et il se trouve qu'un train est justement programmé huit minutes avant le passage de la course sur le meilleur horaire (14h54).

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Photo AFP

Paris-Roubaix: le mythe des pavés
Jean Montois
Agence France-Presse
Paris
Le peloton s'attaque au mythe des pavés dimanche dans Paris-Roubaix, la «reine des classiques» de 259 kilomètres qui compte maints prétendants derrière son vainqueur sortant, le Suisse Fabian Cancellara.
Redoutée par beaucoup, la course française exerce un pouvoir d'attraction incomparable tant auprès du public que des coureurs. Ils sont nombreux à rêver de soulever sur le vélodrome nordiste le pavé de près de 12 kilos qui récompense le lauréat après plus de six heures et demie d'efforts.

Le Suisse Fabian Cancellara a connu cet honneur l'année passée. Champion du monde du contre-la-montre, il a de nouveau fait de Roubaix l'un de ses objectifs majeurs de la saison. «Je sais que je serai prêt», a-t-il annoncé, dimanche soir, après le Tour des Flandres qu'il a marqué, en vain, de sa force.

Trop belle cette course, à ne pas manquer.............

Irrésistible sur les pavés flamands, où sa puissance a fait merveille, Cancellara s'est désigné à ses adversaires comme le favori numéro un. Peu lui importe, le Bernois, qui dispose d'un entourage solide (O'Grady, Michaelsen), sait que l'offensive est le plus souvent payante au fur et à mesure que la répétition des secteurs pavés -au nombre de 28- broie les énergies les plus vigoureuses.

L'honneur des Belges


Son prédécesseur au palmarès, le Belge Tom Boonen, connaît toutes les données de la course. Lui aussi a eu très tôt le coup de foudre pour Paris-Roubaix, sa dureté, son âpreté même par temps sec, comme le prévoit la météo de dimanche.

Deuxième l'année passée après la mise hors course des trois coureurs arrivant après Cancellara (dans l'ordre Hoste, Van Petegem, Gusev) pour avoir franchi un passage à niveau fermé, Boonen a joué de malchance dans les Flandres. Sa chute, sans réelle gravité, a contrarié sa progression et Gand-Wevelgem a laissé planer mercredi une zone d'ombre sur son niveau actuel.




Mais le champion du monde 2005, dont l'entourage a été affaibli par les blessures, évolue dans une équipe qui excelle dans Paris-Roubaix et compte même un ancien vainqueur (Van Petegem) dans ses rangs.

La Belgique, battue dimanche aux Flandres et humiliée à Wevelgem -pas un représentant dans les 20 premiers !- attend aussi Leif Hoste, accablé jusqu'à présent dans la classique française.

Un drapeau (flamand) qui se prend dans ses roues en 2004, une mise hors course l'année passée, l'ont privé des honneurs que lui a confisqués dimanche dernier l'Italien Alessandro Ballan, autre candidat à la victoire.

La fierté du Nord

Avec l'élégant Filippo Pozzato, Ballan porte d'ailleurs l'essentiel des espoirs italiens dans une course qui échappe à ses compatriotes depuis 1999. «Ce sont les autres qui ont la pression», affirme le Vénétien (3e l'année passée), qui a choisi de se ressourcer dans son pays avant de venir au départ à Compiègne.

Les autres? Ce sont les favoris en échec dans les Flandres. Mais aussi des coureurs en mesure de créer une demi-surprise sur l'anneau roubaisien. Juan Antonio Flecha, qui a tout pour devenir un jour ou l'autre le premier Espagnol vainqueur, l'Allemand Marcus Burghardt, euphorique après son premier succès à Wevelgem, son coéquipier britannique Roger Hammond (3e en 2004), ou encore le Russe Vladimir Gusev et le Lituanien Tomas Vaitkus, promus leaders de leur équipe en l'absence de l'Américain George Hincapie.

Les Français, souvent placés à Roubaix, ont l'avantage d'une motivation extrême (Guesdon, Mengin, Brard, Labbe) pour franchir les 52,7 kilomètres de l'Enfer. Les pavés, symboles parfaits d'une région de nouveau fière de son patrimoine qui recrée un nouveau secteur (avant Orchies) et multiplie les initiatives, avec 113 Géants du Nord prévus sur le parcours. Car, Paris-Roubaix, c'est aussi la fête!

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Felipe Massa obtient la pole position

Le Brésilien Felipe Massa (Ferrari) occupera dimanche la pole position du Grand Prix de Bahreïn de Formule 1, troisième des 17 épreuves de la saison, après avoir réussi le meilleur temps des qualifications samedi sur le circuit de Sakhir près de Manama.

Massa, qui a signé sa cinquième pole et la deuxième consécutive, aura à ses côtés au départ le jeune Britannique Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) qui s'élancera pour la première fois depuis la première ligne. La deuxième ligne de la grille sera occupée par les deuxièmes Ferrari et McLaren-Mercedes, Kimi Räikkönen ayant signé le troisième meilleurs temps devant le double champion du monde Fernando Alonso. Les BMW Sauber de Nick Heidfeld et Robert Kubica s'élanceront de la troisième ligne.

Tandis que Giancarlo Fisichella est parvenu à hisser sa Renault en 4e ligne, son coéquipier Heikki Kovalainen n'est pas parvenu à passer en troisième phase de ces qualifications et partira depuis la 12e position.

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Marathon de Paris: 35.000 concurrents contre le tenant du titre l'Ethiopien Melese


35.000 concurrents, s'élanceront par une matinée annoncée ensoleillée dimanche dès 08h15 de la place Charles de Gaulle pour descendre les Champs Elysées, départ de la 31e édition du marathon de Paris. L'Ethiopien Gashaw Melese, vainqueur des 42,195 kms en 2006, le Français Driss El Himer, meilleur temps du plateau, avec un 02 h 06 min et 48 sec sur son CV, l'Espagnol Julio Rey, auteur d'un 02 h 06 min 52 sec lors de sa victoire à Hambourg en 2006, le jeune Kényan de 27 ans Barus Benson, 2e à Milan en 2006, et le Qatari Shami Mubarak, premier à Venise en 2005, figurent parmi les favoris.

Le record à battre à Paris date de 2003, lorsque le Kényan Mike Rotich, en 02 h 06 min et 33 sec, l'avait emporté de trois secondes sur le Français Benoît "Z" Zwierschiewski. Du côté des femmes, 16,4% des inscrits cette année, la favorite, l'Ethiopienne Asha Gigi, 2e à Paris en 2004, aura comme principales concurrentes l'Espagnole Maria Abel, vainqueur à Francfort en 2002, ou un autre Ethiopienne, Tafa Magarsa, vainqueur à Dubaï cette année. Après les 36.680 inscrits de 2006, pour la 30e édition, les organisateurs ont arrêté les dossards au numéro 35.000 cette année, et les Français sont largement en tête parmi les 87 pays participants, avec 72% des inscrits.

Le contingent étranger sera mené par quelque 3.000 Britanniques et un peu plus de 1.000 Italiens, la surprise venant de la présence de 459 Brésiliens. Paris détient le record du monde du nombre de concurrents sous les 3 heures, avec 1.692 arrivées sous cette barrière en 2006, soit un résultat d'ensemble très supérieur à celui de l'épreuve reine de la spécialité, le marathon de New York, où à peine 500 concurrents ont terminé en moins de 180 minutes l'an passé, souligne l'organisateur de l'épreuve parisienne, Joël Lainé. Le parcours, entièrement tracé sur la rive droite de la Seine, passe par la rue de Rivoli, la Bastille, le bois de Vincennes, les quais rive droite, l'hippodrome d'Auteuil avant de remonter sur l'Arc de Triomphe par l'avenue Foch. Les organisateurs ont prévu de distribuer par moins de 17 tonnes de bananes, autant d'oranges, 2 tonnes de fruits secs, 6 T de pommes et 436.800 bouteilles d'eau.

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Jankovic bat Venus Williams et va en finale


La Serbe Jelena Jankovic, 9e joueuse mondiale et tête de série N.2, s'est qualifiée pour la finale du tournoi de tennis de Charleston (Caroline du Sud), épreuve sur terre battue de la WTA dotée de 1,34 million de dollars, en battant l'Américaine Venus Williams (WTA 29) 3-6, 6-3, 7-6 (7/5), samedi, en demi-finale.

Dimanche en finale, Jankovic affrontera la gagnante de l'autre demi-finale entre les Russes Dinara Safina (WTA 12/N.4) et Vera Zvonareva (WTA 20).

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La montée en puissance d'Hamilton

Le jeune pilote britannique Lewis Hamilton.

Le Britannique Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) a réussi le meilleur temps de la troisième et dernière séance d'essais libres du Grand Prix de Bahreïn de Formule 1, troisième des 17 épreuves de la saison, samedi sur le circuit de Sakhir près de Manama.

Hamilton a bouclé le plus rapide de ses 12 tours en 1 min 32 sec 543/1000, devançant de 006/1000 de seconde le Finlandais Kimi Räikkönen (Ferrari) qui a bouclé 16 tours sous un soleil voilé par une épaisse couche de nuages et par une chaleur moins intense qu'à l'habitude (30°C, 39°C sur la piste) dans le désert bahreïni.

Les BMW Sauber se sont mises en évidence avec les 3ème et 4ème temps de Nick Heidfeld (15 tours) et Robert Kubica (15 tours) à respectivement 109/1000 et 212/1000 de seconde de Hamilton.

Le coéquipier du jeune Britannique, Fernando Alonso (11 tours), a signé le 7ème chrono à 692/1000 d'Hamilton, juste derrière la seconde Ferrari pilotée par Felipe Massa (12 tours), à 407/1000 du temps de référence.

Le Britannique Anthony Davidson (20 tours) a intercalé sa Super Aguri-Honda entre Kubica et Massa en signant un tour à 357/1000 de seconde de la meilleure McLaren-Mercedes.

Pour cette ultime séance d'essais libres avant les qualifications dont le début est programmé à 13h00, les pilotes ont bien moins tourné que lors des deux premières séances la veille, mais ils ont roulé nettement plus vite puisque la meilleure performance de vendredi, signée par Räikkönen, était de 1 min 33 sec 162/1000.

Ce chrono correspondrait au 9ème temps de samedi, entre Mark Webber (Red Bull-Renault) et Giancarlo Fisichella (Renault), respectivement à 856/1000 et 1 sec 059/1000 de Hamilton.

Va vraiment falloir compter sur lui...............................