Toutes New sportives autres que la moto

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"Le Standard a perdu le titre à cause de Pierre François"


"Quand un joueur était blessé, la personne qui était la première au courant était Pierre François. Vous trouvez ça normal?", s'interroge Sergio Conceiçao. © photo news
Affaire Sergio Conceiçao vs Pierre François, suite et pas encore fin. L'ancien adjoint de Dominique D'Onofrio au Standard est venu spécialement du Portugal pour donner sa version sa "vérité" dans Studio 1. "Pierre François ne connaît rien au football", a été un des tacles adressés par l'ancien international portugais à l'actuel directeur technique de Sclessin.

Sergio Conceiçao: "Tout le monde sait très bien que Pierre Francois a tout fait pour mettre Lucien D'Onofrio dehors sur le plan administratif." © belga

Dans le dos de son patron qui avait demandé de rester tranquille (Lucien D'Onofrio), Pierre François parle à un journaliste et appelle Mehdi Carcela pour lui demander de faire un long article dans Foot Magazine. Ce n'est pas normal.

Sergio Conceiçao, au sujet de la naturalisation de Mehdi Carcela


La "vérité" de Sergio Conceiçao risque de faire couler beaucoup d'encre à Sclessin. © belga


Petite piqûre de rappel. La semaine dernière, le nom de Sergio Conceiçao est revenu dans la presse belge. Il aurait servi d'intermédiaire pour recaser Kanu (défenseur du Standard) au Sporting Portugal. L'ancien joueur de la Lazio, de l'Inter et du FC Porto pointe du doigt Pierre François, le directeur technique du Standard.

L'ancien "chouchou" de Sclessin avait promis des étincelles pour son retour en Belgique. Il a tenu sa promesse dans "Studio 1" malgré le refus de Pierre François, (il avait accepté dans un premier temps l'invitation de Michel Lecomte), de participer au débat en direct.

"C'est facile de dire que ce sont les journalistes... Mais qui leur a parlé de moi ? C'est Pierre François. J'étais tranquille au Portugal. Pendant trois ans, j'ai donné mon cœur en travaillant pour le Standard, auquel je pense avoir apporté quelque chose. Cette fois-ci, étant obligé de me défendre, j'ai appelé des journalistes mais personne n'était chaud pour publier ma version. Pourquoi ? Peur de Pierre François ? Peur du Standard ? Je ne sais pas. En tout cas, je suis venu ici pour dire ma vérité. Pierre François a des qualités d'avocat mais il ne connaît rien au foot. Il utilise les journalistes pour son bien personnel", avance d'entrée Sergio Conceiçao.

"Pierre François est au courant de tout en premier"
"Pierre Francois a fait en sorte que le pouvoir des D'Onofrio soit moins important. Comme coach, j'ai senti ça. Pas comme joueur. J'ai connu des grosses difficultés. Quand un joueur était blessé, la personne qui était la première au courant était Pierre François. Vous trouvez ça normal? Je ne dis pas qu'il ne doit pas être au courant dans sa fonction de directeur technique. Mais ce n'est pas lui qui doit être le premier au courant. Le Standard a perdu le titre la saison passée à cause de Pierre François. Il a donné des informations précieuses, sur la tactique ou le choix des joueurs comme ce fut le cas lors de notre déplacement à Anderlecht (le fameux Standard "B")."

Pour Sergio Conceiçao, Pierre François dirige tout au Standard. Il en apporte une preuve.

"Il veut peut-être devenir le patron du Standard"
"Prenons Mehdi Carcela et sa naturalisation. Lucien D'Onofrio avait dit de ne rien à la presse et de laisser Mehdi tranquille au Maroc. Et dans le dos de son patron, Pierre François parle à un journaliste et appelle Mehdi Carcela pour lui demander de faire un long article dans Foot Magazine. Ce n'est pas normal. Tout le monde sait très bien que Pierre François a tout fait pour mettre Lucien D'Onofrio dehors sur le plan administratif. Il est peut-être quelqu'un d'ambitieux Il veut peut-être devenir le patron du Standard. On a les preuves, les personnes de ce que j'avance. C'est ma vérité", conclut le Lusitanien, qui avoue avoir eu des difficultés pour se faire entendre dans les médias belges.

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Boussoufa is back à Anderlecht


© belga
Mbark Boussoufa est de retour à Anderlecht. Ce n'est pas une blague. C'est juste que le meneur de jeu de l'Anzhi veut garder la forme à quelques semaines de la CAN.
Qualifié pour la CAN avec le Maroc, Mbark Boussoufa ne veut pas louper la compétition. Et comme c'est la trêve dans le championnat russe, le double Soulier d'Or a décidé de peaufiner sa condition physique avec Anderlecht. Il restera quelques jours dans la capitale, selon le site du RSCA.

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Van Rysselberghe candidat au poste de meilleur gardien de la planète


La gardien de l'équipe de Belgique de hockey sur gazon et du Beerschot David van Rysselberghe figure parmi les cinq candidats retenus par la Fédération internationale de hockey (FIH) afin de d'être élu par les internautes gardien de l'équipe All-Star 2011.

Les cinq autres joueurs susceptibles d'être élus meilleur gardien de l'année 2011 son le Pakistanais Salman Akbar, l'Espagnol Quico Cortes, le Néo-Zélandais Kyle Pontifex et l'Allemand Max Weinhold. Les internautes peuvent voter entre le 12 et le 14 décembre sur le site de la FIH (www.fih.ch).

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15.000€ d'amende au Celtic pour des chants interdits


© reuters
Le Celtic Glasgow a été condamné à une amende de 15.000 euros par l'UEFA après que ses supporters ont entonné des chants interdits par l'instance européenne lors d'un match d'Europa League contre Rennes, a annoncé lundi le club écossais.
"Nous avons été avertis de cette amende cet après-midi sans plus de détail. Le club est en train de réfléchir à l'attitude à adopter", a expliqué un porte-parole du Celtic. L'instance dirigeante du football européen avait ouvert une enquête à la suite de chants à la gloire de l'Armée républicaine irlandaise (IRA) lors de la victoire contre le club français (3-1).

Le règlement de l'UEFA interdit "l'usage de geste, mots, objets ou de tout autre moyen permettant de transmettre un message inapproprié lors d'un événement sportif, en particulier s'il est de nature politique, offensante ou provocante".

Récemment, le Celtic Glasgow avait échappé à une sanction de la Ligue écossais de football, qui lui reprochait des faits de même nature lors d'un match de championnat contre Hibernian le 29 octobre.

La Ligue avait estimé que le club avait pris toutes les mesures nécessaires pour empêcher "une conduite aussi inacceptable" de ses supporteurs et avait donc choisi de ne pas le sanctionner. L'UEFA a déjà sanctionné par le passé le grand rival du Celtic, les Glasgow Rangers, à trois reprises, avec notamment une interdiction de déplacement pour ses supporteurs.

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"Je n'ai pas eu de relation homosexuelle avec Hulk Hogan"



Hulk Hogan a décidé de déposer plainte contre son ancienne femme, Linda.


Hulk Hogan aurait-il eu une aventure homosexuelle avec un ancien adversaire de ring? C'est ce que prétend son ex-épouse, Linda Hogan.

Selon ses déclarations, le multiple champion du monde de catch aurait entretenu une relation homosexuelle avec Brutus "The Barber" Beefcake. Les connaisseurs se souviennent de ce lutteur qui, à l'époque de la WWF, avait l'habitude de débarquer sur le ring avec un sécateur. Brutus Beefcake s'est montré catégorique. Il n'a jamais eu de relation homosexuelle avec l'ancienne gloire du catch, rapporte le site TMZ.

Hulk Hogan a de son côté déposé plainte pour diffamation contre son ancienne épouse qui prétend également qu'elle a été abusée physiquement par le catcheur. De son côté, Beefcake a déclaré qu'il pourrait emprunter cette même voie. "Je connais Linda depuis 40 ans. Mais cette attitude de tenter de briser votre carrière est abjecte. Hulk
est une personne formidable, quelqu'un qui mérite d'être heureux". (LS)

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Poker
Danger au vestiaire

• 13. décembre 2011, 22h31

Frédéric Lovis | Le Matin


Idéal pour tuer le temps lors de longs déplacements en équipe, le Texas hold’em et ses dérivés peuvent aussi se muer en poison malsain pour le groupe.
© Keystone

Une partie de poker qui tourne mal, un hockeyeur professionnel dépouillé de 2000 francs peinant à masquer sa frustration et sa colère, puis une prestation sportive indigne de son statut et de celui trimbalé par son organisation dans les patinoires de Suisse: c’est arrivé il y a deux ou trois saisons à un club tessinois rompu aux interminables voyages aux quatre coins du pays. Le contentieux entre les protagonistes de l’affaire s’était réglé aux poings quelques jours plus tard. A l’entraînement. Pour plomber durablement une ambiance de groupe, rien de tel…

Quand la pratique du poker au sein d’une équipe professionnelle est évoquée, Randoald Dessarzin use de cette formule. «C’est comme le vin pour un sportif d’élite, image l’entraîneur du club de basket luganais. En boire ne nuit pas le moins du monde. Mais il faut y goûter en connaisseur et se fixer des limites.» Tout est toujours question de mesure.

«Si un joueur perd une somme d’argent importante avant un match, la performance qui suit peut clairement s’en ressentir», considère Jean-Jacques Aeschlimann, directeur sportif d’Ambri-Piotta. «Nous avons opté pour une interdiction totale des jeux de cartes lors des déplacements à l’aller. Au retour, par contre, tout le monde fait ce qui lui chante.»

Sommes raisonnables
A FR Gottéron, les hockeyeurs sont libres de faire comme bon leur semble. «Nous sommes quelques-uns à nous passionner pour le poker. Sitôt que nous nous retrouvons dans un bus, même si c’est pour nous rendre à Berne, nous investissons la table du car», confie Michael Ngoy. Le défenseur fribourgeois insiste sur le côté récréatif de l’occasion, même furtive, qui se présente. «Cela reste un moment ludique. Il permet de nous libérer l’esprit, de nous amuser. Bon, si vraiment tout tourne mal lors des plus longs voyages effectués à l’autre bout de la Suisse, il arrive qu’un de nous puisse perdre 300 francs. Mais il faut quasi faire exprès.»

Son entraîneur, Hans Kossmann, n’y voit aucun inconvénient. «Les joueurs font ce qu’ils veulent pendant un voyage en car. Pour moi, c’est du domaine privé, ça ne m’intéresse pas.» Il corrige un tantinet quand la possibilité de miser d’importantes sommes est abordée. «Jouer au poker doit rester un moment convivial. Les sommes engagées sur la table ne doivent évidemment pas être mirobolantes. Je sais qu’entre mes joueurs, ce n’est pas le cas. Alors…» Alors, pourquoi pas si les bornes ne sont pas dépassées. «Les résultats récoltés cette saison prouvent que cela ne nuit en rien à nos performances sur la glace, au contraire», a beau jeu de souligner Michael Ngoy.

Activité commune
Gilbert Gress abonde dans ce sens. «Tant que le joueur ne mise pas la prime du match qu’il n’a pas encore disputé, je dis clairement oui», s’enthousiasme l’Alsacien. «Je trouve même plutôt bien de se passer le temps de cette manière. Ça rassemble les joueurs, ça les soude autour d’une activité commune se déroulant hors du terrain. La tendance actuelle est plutôt au casque audio vissé sur les oreilles, au visionnage de DVD. Je trouve ça si triste par rapport à une partie de cartes.»

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Le président de GC part en guerre

• 13. décembre 2011, 21h41

Renaud Tschoumy | Le Matin


Roland Leutwiler boucle le secteur de ses fans par mesure de représailles. En Suisse romande, les réactions sont contrastées.
© Keystone

Ses appels réitérés via les haut-parleurs de la Pontaise n’ont pas suffi: dimanche, le président de Grasshopper, Roland Leutwiler, n’a pas été écouté par les supporters de GC, qui ont enflammé la Pontaise, au propre comme au figuré.

Sa réaction a été immédiate: «Comme cela, ça ne va pas. Avec tout ce qui s’est passé ces dernières semaines (ndlr: allusion aux événements du derby zurichois le 2 octobre dernier), les fans doivent comprendre qu’un tel comportement est inacceptable.» Dans la foulée, Leutwiler a agi, et plutôt fort: le virage des supporters de GC sera complètement fermé lors du prochain match de GC à domicile, au printemps prochain!

«Que des familles doivent quitter le stade en paniquant ou que l’avenir de certains jeunes soit compromis par une grave blessure, tout cela ne peut pas appartenir à la culture d’un fan», ajoute Leutwiler avec fermeté.

Senior Manager de la Swiss Football League, Edmond Isoz évoque «un problème de société qui ne concerne pas que la Suisse». Peut-être. Reste qu’au total les clubs reversent 10 millions de francs pour la sécurité, et que cette dernière n’est toujours pas assurée.

Jusqu’à 1000 degrés Celsius
Les engins pyrotechniques utilisés par les «supporters» – les guillemets sont de rigueur – sont de véritables bombes. «Il faut que les supporters se rendent compte du danger, martèle le président lausannois, Jean-François Collet. Une veste peut prendre feu en une fraction de seconde avec ce genre de fumigènes.» Dont la température peut atteindre… 1000 degrés Celsius!

S’il est établi que les fumigènes ont été introduits et allumés par des supporters de Grasshopper dimanche – donc que le club zurichois sera fortement amendé –, le boss lausannois s’attend à des répercussions. «On aura certainement une amende, confirme Jeff Collet. Mais lorsque j’assiste à ce genre de choses, les bras m’en tombent. On paie plus de 30 000 francs par match pour la sécurité, et malgré tout, ces gens arrivent à entrer leurs torches. Je ne dis pas cela contre celles et ceux qui pratiquent les fouilles: ces personnes font leur maximum.» Ce qui ne suffit visiblement pas.

Deux menaces à Tourbillon
Alors que le président Collet remercie ses «gentils fans» qui ne lui ont coûté qu’une seule amende – «Une personne isolée qui a allumé un fumigène à Neuchâtel et qui a depuis été interdite de stade» –, il devra plus que probablement passer à la caisse à cause des supporters de GC. «Et je ne vous parle pas de la facture de réfection de la piste d’athlétisme!»

Jeff Collet n’aura donc probablement jamais à interdire ses propres supporters de la Pontaise. A Sion, par contre, cela avait failli être le cas. En 2007, d’abord, après que Pascal Zuberbühler (alors à NE Xamax) avait reçu une grosse clé d’hôtel en fer (!). Et un an plus tard, c’est l’arbitre autrichien Stefan Messner qui avait reçu un briquet en pleine poitrine.

«Je me souviens que Christian Constantin avait menacé de fermer la tribune nord du kop, se rappelle le directeur général, Domenicangelo Massimo, en charge des questions de sécurité. Cela ne s’était finalement pas fait, parce que, dans le premier cas, l’analyse des images nous a permis de trouver le coupable, et dans le deuxième, l’auteur du geste s’est dénoncé de lui-même.»

Mais le président de GC, lui, a agi. «Honnêtement, je crois que l’amélioration des choses passe par la communication, poursuit Massimo. Avant d’interdire, il faut à tout prix essayer de faire passer un message.»

Et si les supporters étaient interdits de voyages et d’entrées dans les autres stades que celui de leur club? Massimo à ce sujet: «Cette décision doit venir des politiques. Nous, les clubs, ne sommes pas là pour ne pas vendre de billets aux fans adverses.»

Reste que si tel avait été le cas, le président de Grasshopper n’aurait pas eu à partir en guerre.

[Norton]

SKI ALPIN
Janka en a plein le dos

• 13. décembre 2011, 21h35

Le Matin


Privé de podiums depuis le début de la saison en raison de douleurs récurrentes, le Grison compte sur les épreuves de vitesse pour ressusciter.
© Matthew Stockman/AP

La bonne tablette de chocolat au lait dégusté à Sölden à la mi-octobre est oubliée depuis longtemps. Quatrième sur le glacier de Rettenbach en dépit de douleurs dorsales, Carlo Janka (25 ans) avait exprimé toute sa satisfaction. «Je dois être sincère, je n’étais pas en mesure de gagner face aux Ligety, Pinturault et Schörghofer. Mais j’ai gagné des points en vue de la suite de la saison. Je ne me suis plus entraîné à fond ces derniers jours à cause de mon dos. J’ai pris des médicaments afin de me soulager. Maintenant, je dispose de quelques jours pour me soigner. Avec des séances de physiothérapie, il n’y paraîtra plus rien au Canada.»

Le mal était le plus fort
Du rêve à la réalité, il y a une marge que le skieur d’Obersaxen n’a pas réussi à franchir ces dernières semaines. Le mal s’est montré le plus fort malgré tous les efforts consentis. «Je me suis reposé. J’ai multiplié les séances de soins et diminué les charges de travail. Mais les douleurs sont restées et je n’ai pas skié sur ma valeur. Je me suis posé des questions quant à la suite à donner à ma saison. Je n’ai pas travaillé dur cet été pour viser des 14e, 20e ou encore 51e places. Je suis un compétiteur et j’ai pris l’habitude de me battre pour la victoire ou au moins le podium. Je viens d’ailleurs à Val Gardena pour ça.»

Le visage fermé mais déterminé comme jamais, Iceman est prêt pour les épreuves de vitesse de cette fin de semaine. «Jeudi, dès mon retour de la tournée nord-américaine, j’ai rendu visite à un ostéopathe. J’avale encore des médicaments et subirai probablement des injections car je ne suis pas totalement débarrassé de ces douleurs. En descente et en super-G, les contraintes sont moindres qu’en géant.»

Chef des médecins en charge des athlètes masculins de Swiss-Ski, Hans Spring ne plaide pas pour le moment en vue d’un repos total compte tenu du diagnostic. Pas plus que l’entraîneur des techniciens Sepp Brunner qui réserve sa décision. «Nous ferons le point après le géant d’Alta Badia. Et si besoin est, Carlo ne fera pas le déplacement à Bormio pour la descente.»

Carlo Janka compte beaucoup sur son retour sur la neige européenne pour déterminer les causes de ce mal sournois. «Nous cherchons toujours. La faute pourrait venir de mes chaussures. Celles utilisées depuis le début de la saison ne sont pas les mêmes que celles chaussées lors de nos entraînements d’été en Amérique du Sud. Or les premières douleurs sont apparues juste avant le rendez-vous de Sölden.»

Une théorie que le chef alpin masculin de Swiss-Ski, Ösi Inglin, refuse de cautionner. «Je n’y crois pas. On peut toujours trouver quelque chose quand on cherche, mais là c’est quand même pousser un peu loin. Je penche plus pour tout ce qui concerne les efforts nécessités afin de négocier les virages et courbes à haute vitesse. Si Carlo n’est pas au top en ce moment, c’est parce qu’il n’a pas pu s’entraîner correctement depuis la mi-septembre et l’apparition de ses douleurs. Des maux qui sont venus l’empêcher de parfaire la mise au point de son matériel (skis, chaussures, fixations) condition sine qua non pour rivaliser avec les meilleurs quand on sait à quel rythme les évolutions sont proposées aux skieurs.»

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FOOTBALL
Europa League: dernière sortie pour Zurich

• 13. décembre 2011, 17h04

LeMatin.ch & les agences

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Le FC Zurich achève mercredi soir son pensum en Europa League. Déjà éliminé de la course aux 16es de finale, le FCZ reçoit les Roumains de Vaslui à 19h au Letzigrund.
Urs Fischer © Keystone


Pour la troupe de l’entraîneur Urs Fischer, il s’agira de terminer sur une bonne note. Dans leur groupe D, les Zurichois n’ont pas encore goûté à la victoire en cinq rencontres. Seuls deux matches nuls (2-2 à Vaslui et 1-1 face à la Lazio de Rome) agrémentent vaguement leur bilan.
Pour ne rien arranger, le FCZ a vu son image ternie lors de son déplacement à Rome, où ses supporters avaient semé le trouble. «Beaucoup de choses sont allées de travers jusqu’ici. Pour cet ultime match, une seule chose compte: terminer l’année sur un résultat positif», a relevé le manager du club Fredy Bickel.
Vaslui ne se déplace pourtant pas au Letzigrund pour faire des cadeaux. Contrairement aux Zurichois, les Roumains sont bien placés pour accéder aux 16es de finale. Avec le même nombre de points mais une meilleure différence de buts, ils devancent pour l’instant la Lazio, qui reçoit à la même heure le Sporting du Portugal, déjà assuré de finir en tête du groupe.
Le PSG menacé
Outre la Lazio, le Paris Saint-Germain est le deuxième grand club en danger. En encaissant un deuxième but il y a deux semaines à Salzbourg (défaite 2-0), le PSG a perdu l’avantage sur les Autrichiens dans les confrontations directes. Dans leur groupe F, les Parisiens n’ont donc plus leur destin en mains avant de retrouver l’Athletic Bilbao mercredi au Parc des Princes
Les Basques, qualifiés eux aussi et assurés de la première place du groupe, viennent avec une équipe bis, et le PSG, relancé par deux succès consécutifs en championnat, peut néanmoins espérer l’emporter. Mais cela sera peut-être insuffisant: si Salzbourg s’impose de son côté à Bratislava, ce sont les Autrichiens qui joueront les 16es de finale.

[Norton]

FOOTBALL
FC Sion: une décision du TAS avant le 23 décembre

• 13. décembre 2011, 15h37

LeMatin.ch

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Sur son site internet, le Tribunal arbitral du sport annonce avoir clôturé l’instruction.
Le TAS à Lausanne © Keystone

Le Tribunal arbitral du sport a clôturé la procédure d'instruction dans l'affaire UEFA contre l'Olympique des Alpes SA. La Formation arbitrale, composée des arbitres (juges) Me Patrick Lafranchi, Me Jean Gay et Me Hans Nater rendra sa décision d'ici au 23 décembre 2011.