Un riche industriel s'adresse à un ami ministre (les riches industriels ont tous au moins un ami ministre)
En ces termes:
- Mon fils me désespère. Il n'a pas terminé ses études, ne cherche même pas de travail, passe tout son temps à boire et à rigoler avec ses copains. Ne pourrais-tu pas lui trouver un petit boulot dans ton ministère ?
- Aucun problème, répond le ministre. Je le nommerai adjoint de mon chef de cabinet, avec un traitement de 2.900 euros par mois.
- Non, non. Ce n'est pas cela que je veux. Il faut qu'il comprenne qu'il faut travailler dans la vie et lui inculquer la valeur de l'argent.
- Ah ? Bon. Je le ferai fonctionnaire en chef, à 2.500 euros par mois.
- Non, c'est encore trop. Il doit se rendre compte qu'il faut mériter son salaire.
- Euh... Chef de service alors ? 1.900 euros par mois ?
- Toujours trop. Ce qu'il lui faudrait, c'est une place de petit fonctionnaire, tout en bas de la hiérarchie.
- Alors là hélas, je ne peux rien faire pour toi, répond l'ami ministre.
- Mais pourquoi pas ? - Pour ce genre de poste, il faut réussir un concours et avoir un diplôme.
Pierre : Dis moi, si je couche avec ta femme, on est amis?
Paul : Non!
Pierre : On est copains?
Paul : Non!
Pierre : On est ennemis?
Paul : Non!
Pierre : On est quoi alors?
Paul : On est "quitte"!
- Est-ce que tu m'aimes par amour ou par intérêt ?
- Ça doit être par amour parce que ça fait longtemps que tu ne m'intéresses plus
> A l'école, la maîtresse demande aux élèves de raconter un évènement inhabituel qui leur est arrivé récemment.
> Plus tard elle demande à quelques élèves de lire leur texte.
> Arthur se lève et commence:
> "La semaine dernière, papa est tombé dans le puits au fond du jardin. "
> "Doux Jésus, s'exclame le maîtresse, il va bien au moins ? "
> "Je suppose répond Arthur. Il a arrêté d'appeler à l'aide hier. "
Un manchot cul-de-jatte frappe à la porte d'un bordel.
La personne qui vient lui ouvrir lui demande: -"Qu'est-ce que tu viens faire dans un bordel toi qui n'a ni jambes, ni bras!"
L'autre répond: "Avec quoi crois-tu que j'ai frappé!"