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Bulat Chagaev réclame 500 000 francs à «L’Express», «L’Impartial» et «Arcinfo.ch»

Football
Visiblement, Bulat Chagaev a les titres de la Société neuchâteloise de presse dans le nez.
© Keystone - Dominic Favre


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Après «L’Illustré» (Ringier) et «Le Matin» (Edipresse), Bulat Chagaev s’attaque maintenant à «L’Express», à «L’Impartial» et à «Arcinfo.ch»...
La direction de la «Société neuchâteloise de presse», éditrice de ces titres et de ce site internet, a reçu aujourd'hui une convocation au Tribunal de Boudry pour une séance de conciliation suite à une demande de dommages et intérêts du président de Xamax.
S’il avait demandé 1 million de francs aux deux titres lausannois, Bulat Chagaev se contente de 500 000 francs pour la presse neuchâteloise...
Une demande qui selon Daniel Brodt, l’avocat neuchâtelois du président xamaxien, fait suite à l’atteinte à l’honneur subie par son client dans «un nombre invraisemblable d’articles» qui ont été publiés depuis la reprise du club par Bulat Chagaev en mai 2011.
Plus d’infos dans nos éditions de demain et sur «Arcinfo.ch»
Par NWI

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Foot : Congédié, le capitaine de Neuchâtel se confie

Pour avoir osé réclamer le paiement des salaires des joueurs de Neuchâtel, leur capitaine, le Français Stéphane Besle, a été mis à la porte de l'équipe suisse à l'initiative du président du club, le trouble Bulat Chagaev. Entretien.

Après avoir joué près de 200 matches avec Neuchâtel Xamax, Stéphane Besle, le capitaine français du club, a été renvoyé à la demande de son président, Bulat Chagaev. MaxPPP/JOHN MIDDLEBROOK/LANDOV

Pas facile d'être joueur du Neuchâtel Xamax ! Le club suisse, racheté l'année dernière par le Russe d'origine Tchétchène Bulat Chagaev, navigue depuis en eaux troubles; certains témoignages font état de menaces de mort sur les joueurs et d'une tentative d'agression physique sur un entraîneur, notamment.
Personnage interlope, Chagaev a été inculpé pour faux en novembre, a déjà valu un retrait de huit points à son club pour manquements administratifs et n'a pas payé les salaires de ses joueurs sur les deux derniers mois; plus grave, une journaliste enquêtant sur ses activités en Tchétchénie aurait été assassinée en 1996, selon le quotidien suisse Le Matin.

Mercredi, Chagaev a une nouvelle fois frappé fort : ne supportant pas que certains de ses joueurs daignent lui demander le paiement des salaires des deux dernières mois, il a purement et simplement... congédié quatre d'entre eux, dont le capitaine, le Français Stéphane Besle, que francesoir.fr a joint ce jeudi. L'Alsacien, au club depuis 2005 après être notamment passé par Lens, se confie avec retenue, n'oubliant pas qu'il reste un salarié du club en attendant son licenciement.

FRANCE-SOIR.fr Comment s'est passé l'entretien au cours duquel vos dirigeants vous ont annoncé que vous quittiez l'équipe?

STÉPHANE BESLE. Je suis allé les voir hier (mercredi, ndlr) pour leur demander des explications concernant le non-paiement des salaires. Le vice-président m'a alors dit que j'étais renvoyé, que je ne partirais même pas en stage avec mes coéquipiers et que cette éviction était uniquement fondée sur des critères sportifs.

F-S.fr Vous étiez pourtant le capitaine de Neuchâtel depuis cet été !

S.B Oui, c'est pour le moins surprenant. J'étais effectivement capitaine, j'ai joué presque tous les matches comme titulaire et tout le monde, staff, joueurs et supporteurs, était content de mon travail. C'est incompréhensible. Mais j'accepte cette décision, c'est Chagaev le patron et on est habitués à sa personnalité.

F-S.fr Confirmez-vous qu'il a menacé ses joueurs de mort ?

S.B (Gêné)... Ecoutez, je suis encore salarié du club. Je ne veux plus de problème, je veux juste pouvoir partir. Mais certaines choses ont été exagérées; il ne nous a pas menacés de mort. Il a certes failli y avoir une altercation physique avec l'ancien entraîneur, mais les gardes du corps de Chagaev ont retenu leur patron. Maintenant, c'est vrai qu'en tant que capitaine, j'ai tout de même eu à faire face à des situations disons... particulières. Ces derniers mois, je ne dormais plus. Depuis que je sais que je vais partir, je suis soulagé. Je dors bien.

F-S.fr Les instances suisses semblent tout faire pour qu'il parte de Neuchâtel. Pensez-vous qu'il acceptera de s'effacer ?

S.B Non, il ne lâchera jamais. Il est téméraire, et partir, selon lui, serait reconnaître qu'il a eu tort. Il ne partira pas.

F-S.fr Dès que votre contrat sera résilié, vous serez donc un joueur libre. Savez-vous déjà où vous jouerez ?

S.B Non, mais je suis ouvert à toutes les propositions. J'avoue que je serais assez tenté par un retour à Lens, un club extraordinaire au cœur d'une région magnifique. J'y ai vécu de très beaux moments.

Propos recueillis par Jean Berthelot de La Glétais

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les cyclistes francais derangerait t'il

• • Offredo risque gros

AFP

• Infos liées :
• Baugé suspendu et déchu

Quelques heures après la suspension de Grégory Baugé, Yoann Offredo, l'un des espoirs de la FDJ, se voit reprocher trois manquements aux obligations de localisation antidopage et encourt une éventuelle suspension de deux ans.

Après Grégory Baugé, Yoann Offredo. Quelques heures seulement après la suspension et le retrait de deux titres mondiaux du pistard français, Yoann Offredo, l'un des plus grands espoirs français notamment sur les courses d'un jour, pourrait bien à son tour être inquiété. Comme Baugé, le coureur de la FDJ se voit reprocher trois manquements aux obligations de localisation antidopage. Comme Baugé, il encourt une suspension.
Pour Offredo, 7e du dernier Milan-Sanremo, l'UCI a précisé avoir transmis une demande d'ouverture de procédure disciplinaire à la Fédération française, dont la commission compétente doit rendre son verdict. "Il a été négligent et mérite de se faire tirer les oreilles", a déclaré à l'AFP Marc Madiot, manageur de l'équipe française, qui a affirmé "ne pas nourrir de doutes sur la probité" de son coureur. Selon le règlement international, trois problèmes sur une période de dix-huit mois liés à la localisation, soit absence à un contrôle soit localisation imprécise, équivalent à un contrôle positif et sont susceptibles pour le sportif concerné d'une sanction pouvant aller jusqu'à deux ans de suspension.
Madiot: "Il n'y a pas de triche"
"Sur les trois manquements, il y en a dont nous sommes en partie responsables. Pendant le Tour de France 2011, nous l'avons convoqué pour une kermesse en Belgique et sa localisation n'a pas été rectifiée", a ajouté Marc Madiot. Le responsable de l'équipe française a souligné attendre la décision de l'instance disciplinaire française avant d'envisager précisément l'avenir: "Il aura forcément un blâme en interne. Ce que je trouve dommageable, c'est qu'il est jeté en pâture avant même de comparaître devant la commission." "Il n'y a pas de triche", a insisté Marc Madiot avant d'évoquer les contraintes du règlement lié à la localisation: "C'est un bazar et on a vite fait de se retrouver dans la m... ! Ca arrive plus vite qu'on ne croit."
Eurosport - M.M. (avec AFP)

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Cavendish avoue avoir manqué un contrôle antidopage


© ap
Le cycliste britannique Mark Cavendish a avoué vendredi avoir manqué un contrôle antidopage hors compétition en avril 2011, rapporte le site spécialisé Cyclingnews.com vendredi.
La Gazzetta Dello Sport avait annoncé dans son édition de vendredi que Cavendish avait manqué au moins un contrôle en 2011. Le champion du monde en titre a admis avoir manqué un contrôle en avril 2011 dans le cadre du système des whereabouts de localisation des sportifs.

"J'ai manqué un contrôle hors compétition en avril dernier. C'était une erreur de ma part. J'étais en tournage sur l'Etna avec une équipe de la BBC et du Giro. C'est une simple erreur administrative. Je comprends évidemment l'importance des contrôles en sport. J'ai été testé par l'UCI quelques semaines plus tôt et deux fois dans la quinzaine suivante. L'année dernière, j'ai subi au total environ 60 contrôles antidopage. Cela fait partie de mon métier, et c'est mon job de m'assurer de ne pas manquer un autre contrôle", a réagi Cavendish.

Le sprinter britannique, qui bénéficie du soutien de son équipe Sky, ne risque une suspension qu'après trois contrôles manqués.

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Finale 100% française à Doha


Rafael Nadal est tombé sur un os en la personne de Gaël Monfils qui réitère son exploit de 2009. © reuters
Le Français Gaël Monfils s'est qualifié vendredi pour la finale du tournoi ATP de Doha en battant l'Espagnol Rafael Nadal 6-3, 6-4, et affrontera samedi son compatriote Jo-Wilfried Tsonga, qui a bénéficié du forfait du Suisse Roger Federer, blessé.

Monfils a enregistré sa deuxième victoire face à Nadal après celle de 2009, déjà à Doha, en quarts de finale. L'Espagnol, N.2 mondial derrière le Serbe Novak Djokovic, a eu un sursaut d'orgueil au début du second set mais n'a jamais paru capable d'élever suffisamment son niveau pour renverser la tendance face au Français. Mercredi, il avait pourtant fait illusion en quarts face au Russe Mikhail Youzhny (6-4, 6-4) après un début de tournoi laborieux.

Au contraire, Gaël Monfils a rapidement pris le match en main, s'emparant de la mise en jeu du Majorquin pour se détacher à 4-2 dans la première manche avant de conclure sur un ace. Au début de l'acte suivant, Nadal prenait l'ascendant et menait 3-0 puis 4-1, avant de s'effrondrer et de concéder cinq jeux d'affilée. Grâce à cette victoire de prestige, le Parisien retrouve Tsonga pour une finale 100% française à Doha, avec l'objectif de succéder au palmarès à Federer, forfait vendredi contre le Français en raison d'une blessure au dos et dans l'incapacité de défendre son titre glané en 2011.

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Kim Clijsters n'a voulu prendre aucun risque


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Kim Clijsters n'a manifestement voulu prendre aucun risque pour pouvoir défendre son titre à l'Open d'Australie, qui débute le 16 janvier, et reste optimiste pour le premier rendezv-vous du Grand Chelem de l'année, à Melbourne.

"Ce n'était que des crampes"
Vendredi en effet, la numéro 2 belge, 13e au classement WTA, avait préféré abandonner en demi-finales du tournoi de Brisbane, Australie, face à la Slovaque Daniela Hantuchova. Après avoir remporté le premier set dans la douleur, 7 points à 4 dans le jeu décisif, Kim Clijsters avait fait appel au kiné à 1-2 dans le second se plaignant de la hanche ou du haut de la cuisse. "Ce n'était que des crampes", a affirmé la Limbourgeoise à Sporza. Elle avait abandonné un jeu plus tard laissant la place en finale à Hantuchova qui y rencontrera l'Estonienne Kaia Kanepi.

"Je voulais éviter à tout prix une déchirure"
"Je me sentais crispée au niveau de la hanche et je n'ai voulu prendre aucun risque", a-t-elle confirmé en conférence d'après-match. "Je voulais à tout prix éviter une déchirure ou quelque chose comme ça. Mon expérience m'aide beaucoup et je pense pouvoir être en ordre pour Melbourne. Pour en être tout à fait sûre, j'irai passer un scan samedi". (belga/mb)


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Dolly Menga a fait un malaise vagal


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La panique s'est emparée des joueurs et du staff du Standard hier en fin d'entraînement. Après avoir reçu un ballon dans le visage, le jeune Dolly Menga s'est subitement effondré. Le médecin du club, le Docteur Diverse, s'est précipité au secours du joueur, qui a perdu brièvement conscience. En fait, il s'agissait d'un malaise vagal. L'attaquant belge d'origine congolaise a directement été reconduit à sa chambre.

"On a eu un petit stress. Il a fait un malaise vagal. Il respirait difficilement et a eu une courte perte de connaissance. Mais là il va très bien. On restera cependant attentif à l'évolution", a rassuré le Docteur Diverse dans La Dernière Heure/Les Sports. (mb)



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Le Dakar bloqué par des chutes de neige


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Pour la première fois de son histoire, le rallye-raid Dakar a été bloqué vendredi de façon imprévisible par de fortes chutes de neige sur la Cordillère des Andes au col San Francisco (4.748 m), et a dû annuler la 6e étape de sa 33e édition entre Fiambala en Argentine et Copiapo au Chili.

Les organisateurs, pris au dépourvu et qui n'avaient en rien imaginé une telle occurrence pendant l'été austral en Amérique Latine, sont cependant parvenus en quelques heures jeudi soir, à mettre en place un gigantesque plan d'urgence baptisé "Opération Guillaumet", pour faire passer coûte que coûte l'immense caravane du Dakar (concurrents, assistances, logistique) sur la façade Pacifique de la Cordillère.

"Après la canicule en Argentine où le thermomètre est resté bloqué pendant 5 jours autour de 42°C, nous ne nous attendions pas à ce que la Cordillère nous refuse le passage à cause d'abondantes chutes de neige", déclare le directeur de course, David Castera. "Nous avions deux options", ajoute-t-il. Maintenir l'étape et tenter de passer tout de même par une déviation en aval du col San Francisco, mais en prenant des risques d'accidents sur la route patinoire, de pannes mécaniques bloquant la route des concurrents et même de malaises de pilotes immobilisés à cette très haute altitude, ou annuler l'étape et partir en convoi vendredi matin".

La cellule de crise du Dakar a tranché et le souci de sécurité - priorité des priorités des organisateurs - a prévalu. Mais l'"opération Guillaumet" ne fut pas chose facile à mettre en place. Il fallut d'abord refaire un road-book de parcours bis de liaison, pour les concurrents, en aval du col enneigé. Puis ce fut la constitution du convoi proprement dit. "Nous avons fait partir dès l'aube un camion 6X6 de l'organisation accompagné de médecins avec oxygène qui a ouvert la route", raconte David Castera.

Puis vinrent les motos et quads et ensuite les autos et camions, suivis des camions des écuries, des assistances et ceux de la logistique. Chaque groupe était précédé d'un véhicule de l'organisation avec des médecins. C'est au total une chenille mécanique de quelque 750 véhicules, s'étirant sur 300 km, qui a franchi toute la journée de vendredi, la haute frontière enneigée entre l'Argentine et le Chili, parmi les plus hauts volcans du monde, culminant à plus de 6.000 m d'altitude.

Et deux avions ont tourné toute la journée au-dessus de la Cordillère, pour assurer le relais des liaisons radio avec les organisateurs.
Les premiers migrants sont partis à 6H00 et les derniers étaient attendus vers minuit à Copiapo où le bivouac a été installé dans un paysage lunaire de hautes dunes truffées de mines de fer, de cuivre, d'or et d'argent. Le lieu est connu du monde entier depuis 2010, quand 33 mineurs restèrent prisonniers au fond de la mine pendant 69 jours, avant d'en être extraits vivants.

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Le tour du monde en 45 jours de Loïck Peyron


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Le Français Loïck Peyron et ses 13 équipiers du maxi trimaran Banque Populaire V se sont emparés vendredi soir du Trophée Jules-Verne, le record du tour du monde à la voile, en équipage et sans escale.

Le grand (40 m) multicoque, parti d'Ouessant (au large de Brest) le 22 novembre dernier, a franchi la ligne d'arrivée virtuelle entre l'île bretonne et les Cornouailles anglaises à 23h14 (heure française), bouclant sa circumnavigation express en 45 jours 13 heures et 42 minutes (temps officieux), battant largement le précédent record établi le 20 mars 2010 par Franck Cammas et l'équipage du trimaran Groupama 3 (48 jours 07 heures et 44 minutes).




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06/01/12 23h43

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Coosemans n'a toujours pas digéré l'arrivée de Jorgacevic


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A l'aube de sa carrière, Colin Coosemans traverse une période très délicate. Titulaire incontournable sous l'ère Adrie Koster, le jeune gardien du Club de Bruges a été rétrogradé numéro 3. Pour la première fois depuis la déroute contre Genk (4-5) qui lui a coûté sa place, il rompt le silence et ne mâche pas ses mots.

"Après avoir pris connaissance de l'intérêt pour Jorgacevic par la presse, Vincent Mannaert m'a appelé. Il m'a dit que je recevrai encore ma chance, mais je sais comment ça fonctionne. Jorgacevic a coûté cher (Ndlr. 700.000 euros) et je savais qu'il allait avoir la préférence. Jusqu'à présent, il n'a pas démérité. En revanche, je suis surpris d'être rétrogradé subitement troisième gardien. Sincèrement, je ne m'attendais pas du tout à cela. J'ai tout perdu. En fait, Kujovic et moi aurions très bien pu terminer la saison", explique-t-il dans Het Laatste Nieuws.

Coosemans: "J'ai pensé à un prêt"
Malgré quelques approximations, Coosemans a toujours eu le soutien d'Adrie Koster, ce qu'il ne manque pas de souligner. "C'est vrai que j'ai commis quelques erreurs, je le reconnais. Mais je n'ai pas eu de chance non plus. Notre défense était décimée. A Gand, nous avons joué avec De Jonghe, Vansteenkiste, Donk et Van Acker", ajoute-t-il. "J'ai pensé à un prêt, mais c'est un choix difficile. Je n'aime pas m'enfuir. Je vais travailler dur et puis on verra", conclut-il.

Entre l'éviction de Coosemans et le psychodrame autour de Stijnen, force est d'admettre que le poste de gardien au Club de Bruges a suscité de nombreux tourments. Mais une question reste sur les lèvres: était-il vraiment judicieux, pour une formation dont l'objectif est le titre, de débuter la saison avec un jeune portier inexpérimenté de 19 ans entre les perches, même s'il avait laissé entrevoir de belles choses? C'était un pari plus qu'osé. Les évènements ont donné tort au Club.

M.B.



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