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Bedenik: «Je ne trouve pas les mots»

Football

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Le gardien de but de NE Xamax était très touché au moment de l’officialisation de la faillite de son club.
Par Mathieu Aeschmann. Mis à jour il y a 35 minutes




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• Neuchâtel Xamax
• Affaire Neuchâtel Xamax

«Je viens d’apprendre la nouvelle. C’est une histoire qui se termine, je n’ai pas les mots pour décrire la déception.»
Joint quelques minutes après l’annonce de la faillite de NE Xamax, Jeff Bedenik ne souhaitait pas encore parler de soulagement. «C’est un club qui s’éteint. Moi, je perds mon travail qui aussi ma passion. Alors bien sûr, les derniers mois furent remplis d’incertitudes. Mais je ne peux pas parler de soulagement. Car sur le terrain, entre nous, c’était bien. On prenait du plaisir et on avait des résultats alors, au fond de nous, on espérait que l’aventure continue.»

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Gnaegi: «Je suis triste et fâché»

Football

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Le conseiller d'Etat neuchâtelois Philippe Gnaegi réagit après la mise en faillite de NE Xamax.
Par Vincent Donzé. Mis à jour à 16h29 4 Commentaires




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«Je suis triste et fâché qu'en six mois, un dirigeant ait démoli un club centenaire», déclare le conseiller d'Etat neuchâtelois Philippe Gnaegi, après a mise en faillite du club prononcée à 15h10. Le patron cantonal des Sports se dit «triste pour les bénévoles, les joueurs et leur famille». Mais l'élu neuchâtelois veut penser à la reconstruction: «Plusieurs personnes sont déjà à pied d'oeuvre pour bâtir une équipe et un mouvement junior sur des bases plus saines».
Après avoir accompagné l'ancien président Gilbert Facchinetti à la manifestation qui s'est déroulée samedi dernier devant le stade de la Maladière, Philippe Gnaeggi estime qu'«il faut arrêter de brader Xamax à n'importe quel prix». Il réclame «des gens avec des valeurs». Absent du stade depuis quelques temps, le conseiller d'Etat sera un supporter de l'équipe qui évoluera en ligue inférieure: «Je retournerai aux matches», promet-il.

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La peur de Didier Cuche

Ski alpin

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Secoué «comme un prunier» sur une piste mal préparée, le vainqueur de la Streif a modérément apprécié la prise de contact sur la Kandahar de Garmisch.
Par Laurent Guyot. Mis à jour à 15h07 2 Commentaires



Image: Keystone
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Le meilleur temps d’Hannes Reichelt lors du premier test chronométré en vue de la descente de Garmisch ne restera pas dans les annales. Sur une piste «à la limite» selon les termes employés par Beat Feuz, toutes les conditions n’étaient pas remplies pour assister à un spectacle digne de ce nom. Didier Défago, lui aussi, a insisté sur le travail à effectuer pour redonner à la Kandahar un semblant de crédit.
«Le revêtement est beaucoup trop mou. Un tel entraînement ne sert pas à grand-chose en ce qui concerne les enseignements sauf peut-être pour le matériel. Sur le plan personnel, il est inutile de prendre des risques. En plus, il n’y a pas de répondant sous le pied si l’on désire donner de la vitesse en entrée de courbe.» Plus critique encore, Didier Cuche a espéré que «les organisateurs avaient tout mis en œuvre» dans la préparation du tracé. «J’ai été secoué comme un prunier et cela ne va pas s’arranger d’ici la course. Je me suis fait peur et j’ai relâché mon effort avant de m’en mettre une. L’entraînement est raté. Kitzbühel m’a paru bien loin.»

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La grogne monte parmi les descendeurs à Garmisch

Ski alpin

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Lors de la première descente d'entraînement, la fragilité du revêtement et les nombreux trous qui ont rendu la piste dangereuse ont déclenché l'ire des coureurs.
Mis à jour à 16h22

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Didier Cuche s'élance lors du premier entraînement de la descente de Garmisch.

Le meilleur temps du premier entraînement chronométré de la descente messieurs de Garmisch a été signé par l'Autrichien Hannes Reichelt. Les chronos ne furent que secondaires, la grogne règnant parmi les coureurs.
La plupart d'entre eux ne s'intéressaient guère à leur performance chronométrique. La fragilité du revêtement et les nombreux trous qui rendaient la piste dangereuse étaient au centre des débats. Les nombreuses chutes de neige qui s'étaient produites mardi avaient rendu difficile le travail des préparateurs. Le revêtement était encore beaucoup trop mou quand les coureurs se sont élancés.
Patrick Küng, qui avait fêté son premier podium à Garmisch voilà deux ans, s'est montré le Suisse le plus rapide avec son 10e temps. Mais lui aussi ne s'est pas senti à son aise sur la piste du Kandahar. Beat Feuz et Didier Cuche ont, quant à eux, manqué une porte. «Je n'ai pris aucun plaisir», lâchait le leader du classement de la discipline. «Je n'ai pas pu suivre la ligne que j'avais choisie», pestait quant à lui le Neuchâtelois.
Hannes Reichelt lui-même n'a pas passé toutes les portes de manière réglementaire, ce qui enlève plus de valeur encore à cet essai chronométrique. La confiance doit cependant être de mise chez l'Autrichien, qui s'était déjà montré le plus rapide à l'entraînement à Beaver Creek et Wengen, où il avait ensuite terminé sur le podium en course.

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Le fondateur des prothèses PIP interpellé en France


Jean-Claude Mas. © afp
7S7 mise à jour Le fondateur de la société de prothèses mammaires PIP, Jean-Claude Mas, visés par deux procédures judiciaires, a été interpellé jeudi matin dans le Var (sud de la France) et placé en garde à vue, a indiqué à l'AFP une source policière. "Jean-Claude Mas a été interpellé au domicile de sa compagne à Six-Fours et placé en garde à vue", a indiqué cette source.

Le président-fondateur du groupe Poly Implant Prothèse (PIP), à l'origine des prothèses mammaires présumées défectueuses, avait reconnu en octobre dernier la "tromperie" devant les enquêteurs.
Entendu par les gendarmes de la Section de recherches de Marseille,

Jean-Claude Mas avait reconnu les faits en ces termes: "Oui, je reconnais les infractions car j'étais au courant". "Je reconnais que PIP a volontairement dissimulé, bien que je ne sois plus le dirigeant, mais depuis 1993, à PIP on faisait comme ça...", avait déclaré Jean-Claude Mas.

Plusieurs médecins ont observé des déchirements dès 2008 sur des prothèses PIP, évaluant la durée de vie de ces implants "entre six mois et deux ans au lieu de 10 à 15 ans".

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Un supporter poignardé pendant Standard-Mons


© photo news
7S7 mise à jour Une personne a reçu des coups de couteau, jeudi soir, à la suite d'une bagarre entre supporters, dans un café proche du stade de Sclessin.
A la mi-temps du match Standard-Mons (2-1), une bagarre a éclaté jeudi soir entre supporters dans un café proche du stade de Sclessin, dans l'agglomération liégeoise.

Un des antagonistes, Stéphane B., 30 ans, de Grâce-Hollogne, a porté des coups de couteau à un autre supporter qui a dû être hospitalisé.

Stéphane B. a été appréhendé mais il nie toujours les faits. Pourtant, certains témoins sont formels et disent l'avoir vu jeter son couteau dans un avaloir. Stéphane B. a été mis vendredi à la disposition du parquet de Liège. (belga/chds)

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Le Maroc d'Eric Gerets battu et éliminé de la CAN


© ap
Le Maroc, entraînée par Eric Gerets, a été battu 3 buts à 2 par le Gabon, pays co-organisateur, lors de la 2e journée du groupe C à la Coupe d'Afrique des Nations, vendredi à Libreville. Déjà battus par la Tunisie (2-1) lors de la première journée, les Marocains sont éliminés.

© ap


Le Maroc avait ouvert la marque assez tôt dans la partie par Kharja à la 24e minute. Les hommes d'Eric Gerets ont tenté de tenir le choc mais ont fini par plier sous la pression en encaissant deux buts coup sur coup -par Aubameyang (77e) et Cousin (79e) qui ruinaient tous leurs espoirs. A la 90e minute, le Maroc égalisait pourtant sur penalty, encore par Kharja, mais un coup franc de Mbananguayu dans les arrêts de jeu scellaient le sort des Marocains (3-2).

La Tunisie - victorieuse plus tôt dans la soirée du Niger 2-1 - et le Gabon sont qualifiés pour les quarts de finale. (belga/7sur7)

Gabon - Maroc: 3-2 (mi-temps: 0-1)
Buts:
Gabon: Aubameyang (77), Cousin (79), Mbanangoye (90+8)
Maroc: Kharja (24, 90+1 pen)

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Hoefkens quittera Bruges en fin de saison


© photo news
Le capitaine du FC Bruges, Carl Hoefkens, ne prolongera pas son contrat qui se termine en été 2012. Le club lui avait proposé une prolongation de deux saisons avec une clause de performance lors de la deuxième saison, mais Hoefkens a décidé de ne pas y répondre favorablement. C'est ce qu'a annoncé le FC Bruges, vendredi.

Les négociations traînaient depuis quelques temps. Finalement, les deux parties n'ont pas accordé leurs violons. "Initialement, le FC Bruges avait proposé une prolongation d'un an à Hoefkens. À la demande du joueur, il a reçu une offre pour deux saisons avec clause de performance lors de la deuxième année. Jeudi, Hoefkens nous a fait savoir qu'il n'acceptait pas celle-ci mais s'est engagé à terminer, de manière positive et avec succès, l'actuelle saison avec le FC Bruges," indique le communiqué.

"Jours sombres"
Carl Hoefkens lui a répondu, vendredi, qu'il était déçu de ces récents développements. "Les jours les plus sombres de ma carrière," a-t-il ainsi écrit sur twitter. Hoefkens était sous contrat au Stade Jan Breydel depuis 2009 et faisait office d'incontournable dans la défense alignée par Adrie Koster et, ensuite, par Christophe Daum. Bruges a, en revanche, obtenu un accord de principe tant avec Thomas Meunier qu'avec l'espoir Jimmy De Jonghe en vue d'une prolongation. Meunier signera prochainement jusqu'en 2016 alors que De Jonghe obtient une prolongation jusqu'en 2015 avec une option pour la saison suivante. Une prolongation de contrat de deux ans est également prête pour l'attaquant nigérian Joseph Akpala.

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Alex au PSG, c'est officiel


Le Paris SG a officialisé l'arrivée du défenseur brésilien de 29 ans Alex, qui quitte donc Chelsea, où il était arrivé en 2007, pour parapher un contrat de deux ans et demi, a confirmé vendredi le directeur sportif du PSG Leonardo aux côtés du joueur en conférence de presse.

"Je connaissais l'immense grandeur du PSG et cela m'a donné envie de venir, a déclaré Alex lors de sa présentation. En plus, j'ai passé deux ans avec Carlo Ancelotti à Chelsea. Ces deux derniers mois, je voulais partir de Chelsea et finalement on a entamé des conversation avec le PSG. Tout s'est très bien passé."

Une Copa America en 2007
Formé à Santos, le défenseur a quitté le Brésil en 2004 pour disputer, et remporter, pendant trois saisons le championnat des Pays-Bas au PSV Eindhoven.

A Chelsea ensuite, avec lequel il a été champion d'Angleterre (2010), l'international auriverde (18 sélections) a notamment évolué sous les ordres de Carlo Ancelotti, qu'il retrouve donc à Paris. Avec le Brésil, il a également remporté la Copa America en 2007.

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"Le boxeur De La Hoya m'a maltraitée pendant une orgie"


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Oscar De La Hoya, dix fois champion du monde de boxe, est accusé de maltraitance envers Angelica Maria Cecora, une escort girl de 25 ans. Angelica affirme que "The Golden Boy" l'a maltraitée pendant une orgie avec une de ses collègues dans une chambre d'hôtel à New York.



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La femme demande 5 millions de dollars, soit 3,8 millions d'euros de dommages et intérêts et des excuses de l'homme qui a remporté l'or olympique et gagné plus d'argent que n'importe quel autre boxeur.

Pas de troisième fois
L'escort girl, qui travaillait comme mannequin auparavant, prétend que De La Hoya (39 ans) l'a intimidée en mars de l'année dernière quand elle a refusé d'avoir une troisième relation sexuelle avec lui après une orgie avec une autre femme à l'Hôtel Ritz Carlton près de Central Park.

Abusée
Elle le poursuit en justice pour agression, coups et blessures, détention illégale et le fait de lui avoir infligé intentionnellement une détresse émotionnelle. Le boxeur nie toutes les accusations.

"Il devrait s'excuser. Il fait semblant d'être un homme gentil, mais ce n'est pas vrai. Il m'a abusé de toutes les manières imaginables, explique Cecora qui a dit qu'au début, leur relation sexuelle était consentie.

Blessures émotionnelles
Elle se dit atteinte de blessures émotionnelles et a été incapable de travailler pendant un certain temps. Le boxeur l'avait empêchée de quitter la chambre d'hôtel où ils se trouvaient. Il lui avait retiré ses vêtements tout en se droguant.

De La Hoya a gagné dix titres mondiaux dans six catégories de poids avant de quitter la boxe en 2009. Il a gagné 700 millions de dollars, soit 533 millions d'euros. (7sur7)


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