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Après Varsovie, Berlin?

Justine Henin (WTA 1/N.1) s'est qualifiée mercredi sans problème pour les huitièmes de finale du tournoi de tennis de Berlin, épreuve WTA disputée sur terre battue et dotée de 989.000 euros.

Au 2e tour, Henin s'est imposée sur un double 6-1 face à l'Allemande Tatjana Malek (WTA 108), 19 ans et issue des qualifications. Finaliste malheureuse l'an dernier à Berlin, Justine Henin, rencontrera en huitièmes de finale soit la Chinoise Na Li (WTA 18/N.14) soit l'Italienne Maria Elena Camerin (WTA 75).

Résultats des matches de la troisième journée du tournoi de tennis WTA de Berlin (terre battue), disputés mercredi:

Résultats du 1er tour Simple dames:
Sybille Bammer (Aut) bat Angelika Roesch (All) 7-5, 6-1
Patty Schnyder (Sui/N.15) bat Roberta Vinci (Ita) 6-0, 7-5
Zuzana Ondraskova (Tch) bat Daniela Hantuchova (Svq/N.11) 6-1, 6-3

Résultats du 2e tour Simple dames:
Justine Henin (BEL/N.1) bat Tatjana Malek (All) 6-1, 6-1
Elena Dementieva (Rus/N.10) bat Meghann Shaughnessy (USA) 5-7, 6-3, 6-1
Nadia Petrova (Rus/N.12) bat Severine Bremond (Fra) 6-4, 6-2
Ana Ivanovic (Ser/N.12) bat Elena Likhovtseva (Rus) 6-3,6-2

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Les Kiwis écrasent BMW Oracle et terminent en tête


Les "Kiwis" d'Emirates Team New Zealand ont écrasé mercredi les Américains de BMW Oracle et terminé en tête des régates de qualifications de la Coupe Louis-Vuitton, épreuve éliminatoire de la Coupe de l'America à la voile.

Les Néo-Zelandais, qui avaient perdu contre les Américains lors du premier round robin, se sont vengés de superbe manière en dominant totalement BMW Oracle, qu'ils ont dévancé de 1 min 34 sec lors de la 11e et dernière manche du deuxième round robin.

Ils terminent en tête de cette phase qualificative de la Vuitton, devant BMW Oracle, obtenant le droit de choisir leur adversaire pour les demi-finales qui débutent lundi. Les deux autres qualifiés étaient également opposés mercredi lors de la 11e manche et les Italiens de Luna Rossa ont facilement battu (1 min 54 sec) les Espagnols du Desafio, qui s'étaient qualifiés mardi pour ces demi-finales.

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Ferguson "absolument certain" du succès de Milan


Sir Alex Ferguson, l'entraîneur de Manchester United éliminé par l'AC Milan en demi-finales de la Ligue des champions, s'est dit "absolument certain" de la victoire du club italien en finale de la compétition face à Liverpool, dans un entretien publié mardi par The Sun.

"Je parierais à coup sûr que Milan va remporter la Ligue des champions. J'en suis absolument certain", a déclaré Ferguson au tabloïd britannique. L'AC Milan et Liverpool, tombeur de Chelsea en demi-finales, s'affronteront en finale le 23 mai à Athènes. Le club lombard tentera de prendre sa revanche sur la finale de 2005, qu'il avait dominée avant de se faire remonter, puis battre par Liverpool (3-3 a.p, 3-2 t.a.b).

"J'ai dit à Carlo (Ancelotti, entraîneur de l'AC Milan) à la fin de notre demi-finale qu'il ne pouvait pas ne pas gagner la compétition. Carlo m'a donné une magnifique bouteille de vin. Mais je lui ai immédiatement dit que je ne la boirais que si je le voyais soulever la coupe", s'est amusé Ferguson.

Je le souhaite, FORZA ITALIA, mais comme le foot n'est pas une science exacte................. vivement c'ette finale...................

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Le Standard en finale de la Coupe

Jovanovic et Witsel, buteurs de la soirée.

Jovanovic, élément essentiel et buteur durant cette demi-finale.

Renard a sauvé à plusieurs reprises son équipe, au grand dam de Boussoufa.

MBokani a redonné l'espoir à son équipe mais pas pour longtemps.

Zitka accroche Sa Pinto: penalty. (Image: Sporza).

Boussoufa et ses co-équipiers disent au revoir à la coupe.

La joie du camp liégeois.

Le Standard s'est qualifié ce mercredi soir pour la finale de la Coupe de Belgique au détriment d'Anderlecht. Victorieux 2-1 lors de ce match retour à domicile (0-1 à l'aller), le Standard retrouvera le Club de Bruges en finale, sept ans après avoir échoué à la dernière étape. Un choc entre deux équipes qui pouvaient prétendre au titre et qui aujourd'hui misent tout sur cette Coupe, pour concrétiser une belle saison à Liège ou pour sauver une année difficile à Bruges.

Jovanovic
Dès le début du match, Jovanovic était bien décidé à continuer dans l’élan de la demi-finale aller. Buteur à Anderlecht, il réussissait finalement à faire se répéter l’histoire à la 75e minute, sur un penalty. Beaucoup plus tôt, il tentait déjà sa chance avec une frappe à la limite du rectangle après 10 minutes de jeu. Cinq minutes plus tôt, il avait démontré sa force technique en mystifiant la défense anderlechtoise pour servir Conceiçao, qui ratait lui aussi le cadre. Le capitaine du Standard lui rendait la pareille à la 20e minute sur une contre-attaque très rapide mais le ballon n’atteignait pas davantage les filets adverses.

Pression du Standard
Toute la première heure de jeu est d‘ailleurs à mettre à l’actif du Standard. Les Rouches géraient bien leur avance tout en se montrant offensifs et comptaient davantage d’occasions, comme Defour qui faisait trembler Sclessin peu avant la 2e mi-temps avec un tir de loin qui frôlait le cadre. De l’autre côté, Renard devait peu sortir de son but, outre deux occasions plus dangereuses. C’est finalement le jeune Witsel qui donnait une avance plus confortable au Standard à la 47e minute, avec une frappe hors de portée de Zitka qui faisait exploser de joie le stade de Sclessin.

Anderlecht revient
L'heure de jeu sonnait le retour d'Anderlecht, qui ambitionnait encore le doublé championnat - coupe, et une courte période de flottement du Standard. Renard sauvait ainsi son équipe à la 63e minute en stoppant un tir à bout portant d'un Boussoufa esseulé. Court sursis puisque MBokani, déjà triple buteur dimanche face à Beveren, profitait d'une défense liégeoise maladroite quelques secondes plus tard pour égaliser. 1-1, le Standard est encore en finale mais Anderlecht prend quelque peu l'ascendant.

Penalty
Alors que Mbokani manquait de peu le doublé, sur un centre de Hassan, dix minutes plus tard, la défense bruxelloise offrait un penalty à un Standard qui n'en demandait pas tant. Zitka accrochait en effet Sa Pinto, après avoir mal géré une passe en retrait de Juhasz. Jovanovic le transformait et plaçait le Standard sur orbite, Anderlecht ne se montrant pas capable de remonter ensuite son retard.

Finale
Même si cette gaffe de Zitka facilitait le travail des Rouches, ceux-ci ont largement justifié leur place en finale, dominant un adversaire de taille et présent au rendez-vous malgré plusieurs joueurs absents. Des Anderlechtois qui doivent à présent revoir leurs ambitions à la baisse et s'assurer au moins de terminer en tête du championnat. En cas de victoire finale, le Standard s'assurerait une place européenne. Une place qui aurait été assurée pour Bruges en cas de victoire d'Anderlecht mais pour laquelle les Blauw en Zwart devront désormais se battre. Ce sera donc face aux Liégeois du Standard, le 29 mai à Bruxelles, qui peuvent rêver à un trophée qui leur échappe depuis 1993.

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Cristiano Ronaldo reçoit les excuses de Mourinho et de Ball





Le manager de Chelsea Jose Mourinho et le défenseur de Manchester City Michael Ball se sont excusés auprès de l'attaquant de Manchester United Cristiano Ronaldo.

Mourinho avait accusé la star portugaise d'être "mal éduquée, direspectueuse et immature" en réponse à une déclaration de Ronaldo qui affirmait que Mourinho était incapable de reconnaître une erreur. "Mourinho s'est excusé auprès de moi et je n'ai plus aucun problème avec lui", a déclaré Cristiano Ronaldo au Daily Mirror, mercredi.

Chelsea et Manchester United se rencontrent pour le prestige mercredi soir en championnat, les Mancuniens étant déjà assurés du titre depuis dimanche. Michael Ball s'est lui excusé pour son agression physique sur Ronaldo à la première minute du derby. "Je regrette ce que j'ai fait et j'accepte la sanction de FA", qui devrait intervenir jeudi. "Mon action ne devrait pas être vue sur un terrain de football et je sais que nous avons la responsabilité dans la Premier League de montrer le bon exemple à l'ensemble de la communauté du football."

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Rome étrille l'Inter 6 à 2 en finale aller de la Coupe

Panucci a inscrit les deux derniers buts pour Rome.

De Rossi jubile après son but.

L'AS Rome a pris une très large option sur la Coupe d'Italie et fait honneur à sa réputation d'équipe offensive aux dépens de l'Inter Milan, manifestement démobilisé et balayé 6 à 2, mercredi au stade Olympique en finale aller. Avant le match retour, le 17 mai à Milan, la Roma a régalé son public et confirmé qu'elle était la bête noire des Nerazzurri cette saison: elle est la seule formation italienne à avoir battu l'Inter cette saison, qui plus est à deux reprises, en coupe et en championnat.

Assurés du titre de champion d'Italie depuis deux semaines, les Milanais avaient sans doute la tête ailleurs, peu concernés par une épreuve dont ils ont certes remporté les deux dernières éditions (à chaque fois en battant en finale... la Roma), mais qui ne possède assurément pas le prestige de ses homologues anglaise ou française.

Face à l'enthousiasme des Romains, qui étaient en outre décidés à offrir une "revanche" à leur tifosi après leur revers historique en Ligue des Champions contre Manchester United (défaite 7-1), la démobilisation s'est payée cher d'entrée. Après un peu plus d'un quart d'heure de jeu, la Roma menait ainsi 3 à 0 grâce à Totti (1), De Rossi (5) et Perrotta (16). Une gifle que les Milanais atténuaient quelque peu en marquant grâce à Crespo (20, 3-1) qui profitait d'une passe en retrait au gardien pas suffisamment appuyée.

Mais cette réduction du score n'empêchait nullement les Romains d'enfoncer le clou à la demi-heure de jeu grâce au Brésilien Mancini (30, 4-1) puis, après la pause, par l'intermédiaire du défenseur Panucci de la tête (54, 5-1). Une nouvelle fois, l'Inter réduisait le score quelques minutes après grâce à Crespo (56, 5-2) mais il était naturellement trop tard, d'autant qu'en toute fin de match, Panucci, encore lui, profitait d'un ballon relâché par le gardien Toldo suite à un coup franc de Totti pour inscrire un 6e but (6-2, 89) qui mettait définitivement le club romain en ballottage plus que favorable avant la finale retour.

Buts:
AS Rome: Totti (1), De Rossi (5), Perrotta (16), Mancini (30), Panucci (54, 89)
Inter: Crespo (20, 56)
Viva Roma...................

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La 90e édition du Giro s'annonce difficile et ouverte

Le grand favori, le jeune prodige italien Damiano Cunego.

Danilo Di Luca, vainqueur de Liège-Bastogne-Liège, désire plus que jamais remporter ce 90e Giro.

Placé au Tour de Romandie, le double vainqueur du Giro Paolo Savoldelli veut la passe de trois.

A l'image de Savoldelli, Simoni sera là pour essayer de gagner un troisième Tour d'Italie.

Toujours placé, l'ukrainien Yaroslav Popovych doit confirmer son statut de leader du Team Discovery sur ce Giro.

Le Giro entame samedi sa 90e édition par un hommage à Garibaldi en partant de l'île de Caprera où repose le grand patriote italien et prévoit quatre jours d'un concentré de grande montagne à moins d'une semaine de son terme, le 3 juin à Milan.

La boucle de 3.486 kilomètres commence en Sardaigne, dans l'archipel de la Maddalena où est enterré Garibaldi (né voici 200 ans), à proximité de la vacancière et luxueuse Costa Smeralda. La course rose, qui débute par un acrobatique contre-la-montre par équipes de 25,6 kilomètres, revient ainsi dans l'île, seize ans après un premier départ donné à Olbia.

La montagne dès la première semaine
De retour sur le continent après trois journées sardes, le Giro entame sans attendre à partir de Salerne sa remontée vers le nord. La montagne, à dose intéressante, est présente durant la première semaine. Mais l'arrivée au-dessus d'Avellino (4e étape) et l'ascension du Terminillo (6e étape) comptent peu par rapport au menu qui attend les coureurs dans les Alpes.

Après une autre arrivée pentue sur les hauteurs de Gênes (10e étape) au bout d'une longue randonnée de 250 kilomètres, la course franchit la frontière française pour rejoindre Briançon par les cols d'Agnel (le "toit" de l'épreuve à 2744 m) et d'Izoard.

L' étape la plus difficile d'un grand tour
Le lendemain, c'est un contre-la-montre en... côte, au-dessus de Biella, avant de s'attarder dans l'arrière-pays montagneux de Bergame et de disputer une étape massacrante (San Pellegrino, Giau, Tre Croci, Tre Cime di Lavaredo), "la plus difficile dans l'absolu" de l'avis de l'ancien champion Francesco Moser. A une semaine de la conclusion, il reste encore deux grands rendez-vous programmés. Pour rejoindre le Monte Zoncolan (17e étape), il faut en passer par dix kilomètres d'enfer avec des passages à 22 pour cent. Enfin, le contre-la-montre - le seul qui concerne vraiment les rouleurs - se dispute sur 43 kilomètres entre Bardolino et Vérone, à la veille de l'arrivée au coeur de Milan.

Au bilan, cinq arrivées au sommet (contre quatre l'année passée), même si le dénivelé total est en baisse (20.000 m contre 22.500 en 2006), et une part réduite aux spécialistes du contre-la-montre donnent la part belle aux grimpeurs. Mais les hommes de la plaine qui peuvent être concernés par neuf étapes ont aussi l'espace pour s'exprimer dans ce Giro résolument placé sous le signe de Garibaldi, l'unificateur de l'Italie moderne. (belga)

Les principales difficultés du 90e Tour d'Italie cycliste (12 mai au 3 juin):
16 mai (4e étape, arrivée à Montevergine di Mercogliano):
16 mai (4e étape, arrivée à Montevergine di Mercogliano):
montée finale vers Montevergine di Mercogliano (1260 m d'altitude):17,1 km à 5 %
18 mai (6e étape, Spolète): Terminillo (1894 m): 21 km à 6,6 %
22 mai (10e étape, Santuario Nostra Signora della Guardia):
montée finale vers le Sanctuaire Notre Dame de la Garde (760m):8,8 km à 8 %
24 mai (12e étape, Briançon):Col d'Agnel (2744 m): 21,3 km à 6,8 %
Col d'Izoard (2360 m): 14,2 km à 7,1 %
25 mai (13e étape contre-la-montre, Oropa):
montée vers Santuario di Oropa (1142 m): 12,6 km à 5,8 %
26 mai (14e étape, Bergame):Passo San Marco (1985 m): 26,2 km à 6,6 %
27 mai (15e étape, Tre Cime di Lavaredo):Passo San Pellegrino (1918 m): 11,8 km à 6,4 %
Passo Giau (2236 m): 9,8 km à 9,4 %; montée finale vers Tre Cime di Lavaredo (2320 m): 7,2 km à 7,6 %
30 mai (17e étape, Monte Zoncolan):montée finale vers Monte Zoncolan (1730 m): 10,1 km à 11,9 %
1er juin (19e étape, Terme di Comano): Pian delle Fugazze (1162 m): 11,4 km à 7,2 %.

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Nouvelle interruption à Berlin, à cause de la pluie


La quatrième journée du tournoi WTA de tennis de Berlin est de nouveau perturbée jeudi en fin d'après-midi par la pluie, alors que seuls trois des huit matches au programme ont pu être menés à terme. Justine Henin attend toujours son tour. La quatrième journée avait débuté avec une heure de retard: après une heure de jeu, elle a été interrompue pendant trois heures, avant de reprendre et d'être à nouveau suspendue vers 17h30.

Trois joueuses ont pu se qualifier pour les quarts de finale: la Serbe Ana Ivanovic (vainqueur de l'Ukrainienne 6-3, 5-0 abandon), les Russes Svetlana Kuznetsova (au détriment de l'Allemande Martina Müller 6-3, 6-2) et Nadia Petrova (devant sa compatriote Elena Dementieva 6-3, 6-3).

Au programme des 8e de finale, figure le deuxième match de la Française Amélie Mauresmo, qui fait son retour après deux mois d'inactivité. L'ancienne N.1 mondiale affronte l'Ukrainienne Julia Vakulenko, 53e joueuse mondiale.

Cette rencontre devait avoir lieu sur le court central, après le match interrompu opposant la Suissesse Patty Schnyder à sa compatriote Martina Hingis (3-3 dans la première manche). A la suite de la rencontre de Mauresmo, Justine Henin est programmée en principe face à l'Italienne Maria Elena Camerin, 75e joueuse mondiale.

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Federer et Roddick éliminés, Nadal rassuré

Roger Federer éliminé.

Andy Roddick éliminé.

L'Américain Andy Roddick, tête de série N.3, a été battu par l'Argentin Juan Ignacio Chela (6-0, 6-4), jeudi en 8e de finale du Master Serie sur terre battue de Rome (Italie).Le Suisse Roger Federer, N.1 mondial, a été éliminé jeudi par l'Italien Filippo Volandri, vainqueur 6-2, 6-4, en 8e de finale du Master Serie sur terre battue de Rome (Italie).

En quarts de finale, Chela affrontera le vainqueur du match entre les Chiliens Fernando Gonzalez, tête de série N.6, et Nicolas Massu.

Résultats 8-ème de finale Simple messieurs :
Juan Igancio Chela (Arg) bat Andy Roddick (USA/N.3) 6-0, 6-4
Filippo Volandri (Ita) bat Roger Federer (Sui/N.1) 6-2, 6-4


Des examens de contrôle rassurants
L'Espagnol Rafael Nadal, N.2 mondial, a passé des examens de contrôle rassurants jeudi matin en compagnie du médecin du Master Serie sur terre battue de Rome, tournoi dont il est le double tenant du titre. "Ce (jeudi) matin), il a effectué des examens de contrôles avec le médecin du tournoi. Mais tout va bien et il a l'intention de jouer", a déclaré le porte-parole du joueur, Benito Barbadillo Perez.

Mercredi, lors de son entrée en lice, Nadal avait battu l'Italien Daniele Bracciali (6-4, 6-2) et ainsi remporté son 73e match consécutif sur terre battue. A l'issue du match, Nadal avait cependant expliqué qu'il ne s'était "pas senti très bien". L'Espagnol doit affronter le Russe Mikhail Youzhny (tombeur d'Olivier Rochus au tour précédent) en 8e de finale en soirée jeudi.

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Malisse renonce à Roland-Garros

X-man s'est blessé lors du tournoi de Memphis, en février dernier.

Xavier Malisse a décidé de ne pas participer à Roland-Garros en raison d’un poignet douloureux. C’est ce qu’a déclaré Olivier, son frère.

"Xavier a recommencé l’entraînement, mais dès qu’il frappe un revers, la douleur au poignet réapparait", a-t-il déclaré. "Il ne pourra dès lors pas se présenter à la Porte d’Auteuil."

Le joueur belge, vainqueur cette saison des tournois de Chennai (où il avait battu Nadal) et Delray Beach, traîne cette blessure depuis le tournoi de Memphis, en février dernier. Il avait dû faire l’impasse sur la tournée américaine et n’a pas participé au début de la saison sur terre battue.

Malisse est le premier belge à l’ATP, il est classé 32e mondial. Son meilleur résultat à Paris reste un 8e de finale (en 2001 et 2004). Il avait été éliminé au 1er tour l’an dernier, battu 9-7 au 5e set par Nicolas Massu. Le Belge reste sur neuf victoires et trois défaites cette saison. (LS)