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Deux Suédois remportent l'Xtreme de Verbier

Ski freeride

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L'Xtreme de Verbier a deux champions suédois. Christine Hargin et Reine Barkered ont remporté la grande finale de la saison de ski extrême.
Mis à jour le 24.03.2012

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Image: AFP





Deux jours avant la compétition



Xtreme 2011



Infobox

Classement général ski messieurs

1. Reine Berkered (SWE)
2. Drew Tabke (USA)
3. Aurélien Ducroz (FRA)

Classement général ski dames

1. Christine Hargin (SWE)
2. Eva Walkner (AUT)
3. Angel Collinson (USA)

Classement général snowboard messieurs

1. Jonathan Charlet (FRA)
2. Ralph Backstrom (USA)
3. Flo Orley (AUT)

Classement général snowboard dames
1. Maria Debari (USA)
2. Margot Rozies (FRA)
3. Shannan Yates (USA)

Les Suédois Christine Hargin et Reine Barkered ont été sacrés champions du monde de ski freeride, en remportant l'"Xtreme" de Verbier samedi, la grande finale de cette saison de ski extrême sur une face truffée de barres rocheuses et à la déclivité de 40 à 60 degrés.
Après cinq étapes sur des pentes raides du Canada à la Norvège, seuls les meilleurs skieurs et snowboardeurs au classement du "Freeride World Tour" ont le droit de concourir pour l'ultime défi dans la station suisse.
Sur le peu invitant "Bec des Rosses", rendez-vous culte des freeriders depuis 1996, ils sont jugés en fonction de la créativité et la maîtrise dont ils font preuve dans leur trajectoire.
Chutes sans gravité
Le Suédois Reine Barkered, chez les messieurs, a séduit les juges avec son enchaînement de deux sauts sur des rochers, battant le Français Aurélien Ducroz, deux fois champion du monde de freeride en ski 2009 et 2011 et l'un des rares à maîtriser le saut au-dessus de la plus grosse barre rocheuse. Sa compatriote, Christine Hargin, chez les dames, a également fait coup double en ski, avec le titre en bonus de la victoire.
Comme les deux Suédois en ski, le Français Jonathan Charlet et l'Américaine Maria Debari ont fait coup double, empochant le titre mondial en snowboard en bonus de leur victoire.
La compétition a été marquée par plusieurs chutes, certaines impressionnantes mais sans gravité.

http://www.youtube.com/watch?v=H_Ffe...layer_embedded

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Les clubs romands doivent-ils fusionner pour survivre?

Football

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Le président du LS milite pour un regroupement avec Xamax et Servette. Une bonne idée?
Par Bertrand Monnard. Mis à jour le 24.03.2012 19 Commentaires



L'idée du président du LS fait débat.
Image: Keystone

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OUI



Jean-François Collet, président du LS
Jean-François Collet, vous soutenez que la création d’un club unique est la seule solution pour que la Suisse romande soit toujours représentée en Super League. Vous y croyez vraiment?
Dans le football romand, nous avons tendance à attendre les catastrophes pour réagir. Parfois, c’est trop tard, comme nous l’avons vu avec Xamax. Sans un gros mécène, aucun club romand n’est capable de bien figurer au plus haut niveau. A Lausanne, en mobilisant l’économie de toute une région, nous avons fait passer notre budget de deux à sept millions en quatre ans mais en Super League, comme nous le voyons, ça ne suffit pas. La Suisse romande est si petite que forcément, nous nous piquons des sponsors, du public. Ne vaudrait-il pas mieux se mettre ensemble? D’où mon idée de revoir le système, de créer quelque chose de nouveau.
Déjà lancée il y a quelques années, l’idée avait soulevé un tollé chez les supporters, profondément attachés à leurs couleurs.
Idem aujourd’hui. Depuis mes déclarations, les fans du LS sont très en colère contre moi. Mais nous avons tout de même le droit de nous poser des questions. Dans la vie, l’histoire reste mais le futur change. A Bremblens, où j’habite, la fermeture du bureau de poste il y a sept ans avait été vécue comme la fin du monde. Aujourd’hui, plus personne n’y pense. Croyez-vous que dans cinquante ans, il y aura encore deux gouvernements distincts entre Genève et Lausanne? Juste en face de nous, Thonon, Gaillard et Evian ont fusionné leurs clubs de foot et aujourd’hui, Evian joue en première division, qui plus est à Annecy. Pourquoi cela ne serait-il pas possible chez nous? Dépassons l’esprit de clocher. Concrètement, comment imaginez-vous l’organisation de ce club unique?
Lausanne, Servette et Xamax pourraient regrouper leurs forces et former, au plus haut niveau, une seule équipe vraiment compétitive, capable de rivaliser avec Bâle. Elle jouerait alternativement dans les trois stades.
C’est dire que le nouveau stade lausannois, prévu en 2020, serait sous-occupé.
Aujourd’hui, et les chiffres le prouvent, un stade de foot n’est rentable que si on y organise d’autres événements, extra-sportifs notamment. C’est ce que permettrait l’alternance.
Vous avez oublié Sion dans vos projets d’unique club romand. Est-ce volontaire?
Oui. Car, outre la passion du foot qui existe dans ce canton, Sion est à l’abri des soucis grâce à l’apport de Constantin. Depuis que Christian a repris la présidence, et il l’a dit lui-même, il a mis 24 millions de sa poche. Mais qu’adviendra-t-il quand il ne sera plus là?
Le LS, jusque-là, a raté son retour en Super League. Cette idée de fusion n’est-elle pas aussi motivée par la déception?
Je l’avoue, l’apprentissage est très douloureux. La roue a mal tourné dès le début, les joueurs ont perdu confiance. Le saut est tel entre les deux ligues. Mais nous continuons de croire au maintien.

NON


Christian Constantin, président du FC Sion
Croyez-vous à la création d’un club unique entre Lausanne, Servette et Xamax pour assurer un deuxième siège romand en Super League?
En théorie, c’est très bien. En pratique, ça ne vaut rien. L’idée de créer une seule équipe romande, je l’avais déjà eue il y a quinze ans. Avec Sion, on venait de réaliser le doublé coupe-championnat. A deux reprises, face à Porto et Galatasaray, on avait échoué aux portes de la Ligue des champions. Je voulais créer l’Olympique des Alpes, à l’image de l’Olympique lyonnais et de l’Olympique de Marseille, avec un nouveau stade basé à Collombey, tout en bas du Valais, qui aurait permis à tous les Romands d’y venir facilement. L’impossibilité de réaliser ce projet, je l’avais comprise en parlant à un vieux sage qu’était le président d’Anderlecht. Quand je lui ai demandé pourquoi les nombreuses équipes de Bruxelles ne s’étaient jamais regroupées en une seule entité, il m’a ri au nez. Fusionner, c’est trahir les supporters qui, depuis l’enfance, ont un club dans leur cœur. Voyez les discussions de ces derniers jours dans le hockey valaisan entre Martigny et Sierre, incapables de trouver un terrain d’entente. Et puis, contrairement à ce que croit Collet, ce n’est pas avec trois pauvres que tu feras un riche. Tu oublies.
Jean-François Collet prétend que le FC Sion, lui aussi, s’effondrera, quand vous ne serez plus là.
C’est mal me connaître. Je ne laisserai jamais un Boeing tomber en pleine altitude, ce n’est pas mon genre. Si un jour, je pars, je remettrai au préalable le club en deuxième division. Avec un budget de quatre millions, mon successeur pourra faire son apprentissage, repartir sur des bases saines. Mais nous n’en sommes pas là: Berlusconi, à 76 ans, est toujours président de l’AC Milan.
Contrairement à M. Collet, pensez-vous que les clubs romands de Super League peuvent continuer à vivre de manière indépendante?
La richesse d’un club, c’est la force de ses dirigeants et rien d’autre. Je l’ai toujours dit. Quand on dirige un club, il faut connaître son sujet, y consacrer du temps et être capable aussi d’y mettre soi-même de l’argent. Comment voulez-vous taper chez les autres si vous n’y allez pas de votre poche? Avoir un seul mécène est peut-être dangereux, mais n’en avoir aucun est encore plus dangereux. A Sion, avec des petits ruisseaux, nous avons fait un fleuve. Nous allons draguer de nouveaux supporters partout. De 700 au départ, il y a quelques années, le nombre de participants à notre repas de soutien a récemment frôlé les 5000. Quand j’apprends que Servette, pour trouver de l’argent, écrit à la Fédération des entreprises romandes, je dis que c’est peine perdue. Aujourd’hui, un budget de 20 à 25 millions est nécessaire pour viser l’Europe, attirer de bons joueurs, échapper aux chiffres rouges en Super League.
Avec ses 7 millions, LS, votre adversaire du jour, en est loin.
Je reconnais que la gestion du club est raisonnable. Ce qui me gêne, c’est le comportement tordu du président. Quand Blick a demandé aux patrons des clubs de Super League s’il fallait exclure le FC Sion, huit ont répondu non et un seul oui, de manière anonyme. C’était Collet. Si c’est la seule manière qu’il a trouvée pour sauver la peau de son club, ce n’est pas glorieux.

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«Il faudra se rappeler pourquoi on en est arrivés là»

Hockey sur glace (LNA)

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Le capitaine de GE Servette, Goran Bezina, est soulagé. Il tire le bilan d’une saison compliquée, après le sauvetage de son équipe hier à Ambri.
Par Christian Maillard, à Ambri. Mis à jour il y a 12 minutes




Goran Bezina, voilà GE Servette sauvé, mais que ce fut long et laborieux: on vous sent, vous le capitaine, malgré tout, soulagé. On se trompe?
J’avais déjà vécu des play-out, des saisons de m... comme celle-ci, à Fribourg ou aux États-Uni. C’est un soulagement, bien sûr.
Avez-vous douté, surtout après la série contre Rapperswil; où vous étiez tous, vous le premier, sur les rotules, sans venin?
Ce fut finalement une bonne chose de perdre la série 4 à 1 et non 4-3. Nous avons pu nous reposer. Les têtes étaient basses dans le vestiaire. Il était primordial de couper, à ce moment là, avec le hockey; de partir quelques jours à Chamonix. Nous avions déjà fait la même chose lorsque nous étions menés 3 à 1 dans notre série de play-off il y a deux ans contre Fribourg. Avant de nous qualifier. Cela nous a fait du bien de nous ressourcer. Contre Rapperswil, tout le monde l’avait vu: nous étions vraiment très fatigués.
Vous avez payé un lourd tribut aux nombreuses blessures, mais est-ce la seule raison de votre échec?
Ce n’est pas l’unique raison de notre échec mais... la principale. Notre premier et deuxième bloc étaient décimés. Avec ces joueurs en plus, cela aurait tout changé. Mais il nous a manqué aussi cette rage, ce caractère qui nous identifiait jusqu’à présent. Cette saison, on s’est écarté de ça.
Ne pensez-vous pas, Goran, qu’il y a eu cette année une erreur de casting, que votre équipe a surtout manqué de profondeur?
Avec autant de blessés, je le répète, notre contingent n’était pas assez étoffé. C’est évident. Et puis, nous avions aussi l’équipe la plus jeune équipe de la ligue. Quand tu changes autant de joueurs, il faut les encadrer. Et cette année, avec autant de patients à l’infirmerie, on n’a pas pu le faire comme espéré. Avec autant de modification en début de saison, soit cela marchait tout de suite ou... c’était une année de transition. Ce fut une année de transition.
Ce passage au purgatoire va-t-il vous servir pour l’an prochain?
Ah oui et il faudra se rappeler pourquoi on en est arrivés là. Se souvenir comment on s’en est sorti contre Ambri. Parce qu’on a vu la différence de caractère et d’envie. On a fini nos checks et on allait sur le but. C’est ce qui nous a manqué cette année. Mettons ces derniers matches, quelque part dans notre esprit, pour l’an prochain. Lorsque nous perdrons deux matches de suite, on saura se réveiller plus rapidement.
GE Servette ne doit-il pas changer son système de jeu qui n’est plus une surprise pour vos adversaires?
Mais on l’a changé contre Ambri! On va toutefois devoir l’adapter. Maintenant, il y a 20 ans que Davos adopte aussi le même système, comme beaucoup d’équipes d’ailleurs. Si on vous enlève deux blocs, il y a moins d’esquives, on joue moins avec le puck, ce n’est pas plus compliqué que ça.
Il ne vous aura manqué qu’un tout petit point pour que vous vous retrouviez du bon côté de la barre...
Il n’a manqué en effet qu’un point. Nous n’étions, tout simplement, pas à notre place. GE Servette doit figurer au milieu de classement. Or, je me répète, avec les blessures, si nous avions mieux réussi à intégrer les nouveaux et que nous avions appliqué d’entrée cette agressivité, nous aurions atteint notre but. Je rappelle toutefois qu’on a réussi un superbe deuxième tour. Nous avons opéré notre belle remontée au classement avec... le même système. Cela s’est vraiment joué à peu de chose.
Qu’avez-vous envie de dire à vos fans qui vous ont suivi très nombreux jusqu’au bout?
Qu’on les remercie du fond du coeur.
Et vous voilà en vacances...
Mais pas longtemps, car après je vais rejoindre l’équipe de Suisse pour les Mondiaux.

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Servette prend une claque à Bâle

Football

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Très mauvaise journée pour le FC Servette: à Bâle, les «grenat» ont été giflés 5-0.
Mis à jour le 24.03.2012 19 Commentaires

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Les joueurs bâlois ont pu exprimer leur joie à cinq reprises.
Image: Keystone
Super League

27. Journée

31.03.Grasshoppers - Sion- : -31.03.FC Thoune - FC Bâle- : -01.04.Lausanne - Servette- : -01.04.Neuchâtel Xamax - FC Lucerne- : -01.04.FC Zurich - Young Boys- : -Malheureusement pour lui, Servette est tombé sur un Alexander Frei des grands jours lors de la 26e journée d'Axpo Super League. Auteur d'un triplé portant son total à 17 buts cette saison, le no 13 du FC Bâle a été le principal artisan du large succès 5-0 contre des Genevois dépassés. Les Rhénans ont 14 points d'avance sur Lucerne malgré une rencontre de moins.
Servette n'a pas pesé lourd au Parc St-Jacques. Pourtant, les Genevois avaient réalisé une très bonne entame de match, se procurant plusieurs occasions dont, notamment, une tête de Routis sur la transversale à la 6e.
Mais, peu à peu, le FCB a réussi à écarter les lignes grenat, créant de plus en plus d'espaces. Or, contre Bâle et Shaqiri, qui dit espaces dit aussi danger. L'ailier a ainsi pu délivrer un centre parfait pour Abraham qui, du chef et seul dans la surface, a facilement trompé Gonzalez pour le 1-0 (45e).
La suite s'est résumée à un nouveau «Alex Show». L'artificier en chef du double champion de Suisse en titre a inscrit le 2-0 sur penalty (53e), le 4-0 sur coup franc direct (87e) et le 5-0 sur un reprise (92e). Le 3-0 a été l'oeuvre de Marco Streller (59e), lequel a pris seul la deuxième place du classement des buteurs derrière Frei avec 9 unités. Victoire, aux allures d'humiliation, logique et sans appel.
Pas de parade face à l'ogre bâlois
Servette n'arrive décidément pas à trouver la parade face à l'ogre bâlois, contre qui il s'est incliné trois fois cette saison pour un bilan de 0 à... 12. Pire encore, il s'agit tout simplement du 17e revers de suite en championnat pour le SFC face au FCB !
Une chose est sûre: à ce rythme, Bâle sera sacré champion pour la 15e de son histoire extrêmement tôt dans la saison. Et le club rhénan de se rapprocher pas à pas de Servette au panthéon du football suisse. Les Genevois, deuxièmes de ce classement derrière Grasshopper et ses 27 titres, n'ont bientôt plus que deux trophées d'avance sur leurs adversaires du jour.

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Federer se qualifie pour les 16es de finale à Miami

Masters 1000

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Roger Federer a remporté un 16e match d'affilée sur l'ATP Tour samedi à Miami.
Mis à jour le 24.03.2012 4 Commentaires



Roger Federer.
Image: AFP
Exempté de 1er tour dans le Masters 1000 floridien, le Bâlois a dominé l'invité américain Ryan Harrison (ATP 73) 6-2 7-6 (7/3) en 84' pour son entrée en lice. Il retrouvera une vieille connaissance en 16e de finale, Andy Roddick (no 31).
Titré dimanche dernier à Indian Wells, Roger Federer en est désormais à 34 victoires de rang dans des rencontres jouées au meilleur des trois sets. Il reste par ailleurs sur 77 succès consécutifs face à des joueurs classés au-delà du 20e rang mondial.
Statistiques très favorables
Le 78e devrait tomber dès le 3e tour à Miami, où Roger Federer a déjà triomphé à deux reprises (2005 et 2006). Retombé à la 34e place mondiale, Andy Roddick (29 ans) affiche un bilan très largement défavorable face au Bâlois, qu'il n'a dominé qu'à deux reprises en vingt-trois face-à-face officiels.
«A-Rod» reste certes sur un succès face à Roger Federer au début du mois, mais celui-ci avait été acquis dans le cadre d'une exhibition (7-5 7-6 au Madison Square Garden). L'Américain n'a plus battu l'homme aux 16 trophées du Grand Chelem en compétition depuis le mois de mars 2008, à... Miami. Leurs deux plus récents affrontements avaient nettement tourné en faveur de Roger Federer, lors des deux dernières éditions des Swiss Indoors de Bâle (6-3 6-2 l'an passé et 6-2 6-4 en 2010).
Un bémol
Roger Federer a rendu une copie quasi parfaite samedi sur le court central de Miami, ne perdant que 11 points sur son service et signant le break à trois reprises. Seul bémol, il a quelque peu tremblé au moment de conclure face à Ryan Harrison: mené 6-2 5-3 après 55', le «teenager» américain s'offrait un sursis inespéré.
Roger Federer concédait ainsi son unique break de l'après-midi alors qu'il servait pour le gain du match dans le neuvième jeu de la deuxième manche. Le Bâlois de 30 ans, qui n'avait auparavant perdu que 6 points sur son service, se reprenait cependant parfaitement dans un jeu décisif qu'il dominait nettement.

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Tom Boonen s'offre Gand-Wevelgem

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MISE À JOUR Tom Boonen (Omega Pharma-Quick Step) s'est offert dimanche la victoire dans la 74e édition de Gand-Wevelgem, la 2e épreuve cycliste belge inscrite au calendrier du WorldTour. Au terme des 235,4 km et des 11 monts qui constituaient autant de difficultés, il s'est facilement imposé dans un sprint d'une trentaine de coureurs. Le Slovaque Peter Sagan (Liquigas) a pris la 2e place et le Danois Matti Breschel (Rabobank) la 3e, l'Espagnol Oscar Freire (Katusha) la 4e et le Norvégien Edvald Boasson Hagen (Sky) la 5e.
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Tom Boonen décroche son 3e succès dans cette course, le 2e consécutif. Sa première victoire remontait à 2004.

À 15 kilomètres de l'arrivée à Wevelgem, l'Espagnol Gorka Izagirre (Euskaltel-Euskadi) et le Danois Anders Lund (Saxo Bank), derniers rescapés d'une longue échappée, ont été repris par le peloton. Peu avant le regroupement, le champion du monde Mark Cavendish (Sky) avait été décroché perdant ainsi ses chances de victoire. Un groupe d'une trentaine de coureurs s'est ainsi disputé la victoire. Le train de l'équipe Omega Pharma-Quick Step a contrôlé la course et préparé le sprint que Boonen a facilement dominé.

'Tornado Tom' réalise la passe de deux après sa victoire vendredi du Grand Prix de l'E3. Il a porté à sept le nombre de ses succès en 2012. Il s'agit aussi du 21e succès d'un coureur de l'équipe Omega Pharma-Quick Step.
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Alonso sort vainqueur du Grand Prix de Malaisie

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Fernando Alonso (Ferrari) a remporté le Grand Prix de Malaisie, 2e épreuve du championnat du monde de Formule 1, dimanche à Sepang, lors d'un rendez-vous perturbé par un gros orage et la pluie.
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L'Espagnol s'est imposé devant l'étonnant mexicain Sergio Perez (Sauber) - qui signe son tout premier podium pour sa 2e saison en F1 - et le Britannique Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes). L'Australien Mark Webber (Red Bull) a pris la 4e place. Le Finlandais Kimi Raikkonen (Lotus) complète le top 5. Jenson Button, vainqueur la semaine dernière du premier GP de la saison à Melbourne en Australie, n'est que 14e après une touchette au 16e tour.

Un jeune surprenant
Parti de la 8e place sur la grille de départ, Alonso a parfaitement géré la reprise de la course, après une neutralisation d'une heure à la suite d'un gros orage, pour prendre la tête lors d'une série de passage aux stands pour changer de pneus.

Il a ensuite résisté parfaitement à la pression du jeune Pérez, 22 ans, auteur d'une course quasi-parfaite jusqu'au moment où, revenu à une demi-seconde du double champion du monde espagnol, une petite faute de pilotage a mis fin à ses espoirs d'une première victoire en Grand Prix.
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Il s'agit du 3e succès en Malaisie et de la 28e victoire de la carrière de Fernando Alonso, mais il n'avait plus connu ce bonheur depuis juillet dernier à Silverstone pour le GP de Grande-Bretagne le seul qu'il aura remporté la saison dernière.

Le double champion du monde en titre, l'Allemand Sebastien Vettel (Red Bull) a été victime d'une crevaison au 48e des 56 tours au programme et termine 11e.

Météo capricieuse
La course avait été arrêtée à la fin du 8e tour, par un drapeau rouge agité par les commissaires de piste, en raison d'un gros orage rendant les conditions de course dangereuses.

Au classement du championnat du monde des pilotes, Fernando Alonso (35 pts) en profite pour prendre la tête devant Lewis Hamilton (30 pts) et Jenson Button (25pts).

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Woods remporte son 1er tournoi officiel depuis fin 2009

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L'Américain Tiger Woods a remporté dimanche son premier succès officiel depuis fin 2009 à l'Arnold Palmer Invitational, tournoi du circuit américain PGA.
Woods, déjà vainqueur de 14 tournois majeurs à 36 ans, avait gagné son dernier tournoi officiel le 15 novembre 2009. Il s'agissait du Masters d'Australie, épreuve du circuit européen de golf.


Moins de deux semaines plus tard, l'ancien numéro un mondial avait été victime d'un accident de la route qui avait été le point de départ du scandale de ses infidélités conjugales ayant abouti à son divorce.
Durant deux ans, il avait aussi accumulé de nombreuses blessures, ce qui avait contribué à le faire tomber au-delà de la 50e place au classement mondial.


Woods avait amorcé son retour en décembre dernier avec sa victoire en individuel au Chevron World Challenge sur le parcours californien de Thousand Oaks, mais ce tournoi ne fait partie d'aucun circuit professionnel majeur et ne comptait que 18 joueurs.


Dimanche, Woods a remporté son 72e succès sur circuit PGA en réussissant un score total de 275 (13 sous le par), soit cinq coups de moins que son dauphin Graeme McDowell, dix jours seulement après avoir abandonné à l'Open de Doral en raison douleur au tendon d'Achille gauche.


L'Arnold Palmer Invitational est son tournoi de préparation habituel au Masters d'Augusta, première levée du Grand Chelem de l'année.

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Un motard décède lors d'un entraînement à Mettet


Un motard s'est tué, dimanche vers 13h00, lors d'une journée de roulage au circuit de Mettet, dans la province de Namur. Juste après le départ de la course, le motard est sorti de la route, selon les pompiers de Florennes.
"Il a perdu le contrôle de sa moto, a foncé dans un tas de terre et a été éjecté du véhicule", a rapporté le lieutenant des pompiers Bertrand. La moto est retombée sur le conducteur.

Le motard est décédé sur le coup.

Les pompiers de Florennes ont tenté de le réanimer en vain pendant plus d'une heure.

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Les Belgian Panthers iront aux JO


L'équipe nationale belge de hockey féminin s'est qualifiée pour les Jeux Olympiques de Londres après avoir battu l'Irlande 4-1 en finale du tournoi pré-olympique de Kontich, dimanche dans les installations du Beerschot. Une première dans l'histoire du sport belge, qui n'avait encore jamais délégué un collectif féminin au plus grand rendez-vous sportif mondial. Elle rejoint de surcroît son homologue masculine, les Red Lions, détentrice du fameux sésame olympique depuis sa 4e place au dernier Euro de Mönchengladbach, en août 2011.
Malgré un début de match timide, les Belgian Panthers, classées au 16e rang de la FIH mais qui intègrent à présent virtuellement le top 12 mondial, ont fait preuve d'efficacité maximale durent six minutes en première période leur permettant d'atteindre le repos avec un avantage confortable de trois buts d'avance. Sofie Gierts prenait à son compte ces trois première réalisations. Elle débloquait d'abord la situation d'un tir tendu (13e), puis transformait dans le plafond du but un penalty stroke accordé suite à une faute volontaire sur Jill Boon (17e), avant de conclure une phase astucieuse sur le 2e pc belge (19e).

Les Irlandaises revenaient plus volontaires après la pause mais n'ont jamais réussi à inverser la tendance. Même si elles réussissaient à réduire la marque sur leur 7e pc (O'Flynn/56e), Erica Doppey donnait la réplique dans la minute suivante pour sceller le score (57e) devant un public de plus de 3.500 supporters entièrement à la cause des Panthers.

Dans ce tournoi attribuant le 11e des douze tickets qualificatifs pour les Jeux de Londres, les protégées de Pascal Kina ont réalisé un véritable sans faute, inscrivant 26 buts pour deux seulement encaissés. Victorieuses successivement de la Russie (4-0), du Mexique (12-0), de l'Espagne (1-0) et de la France (4-0), nos compatriotes, déjà assurées de leur place en finale, avaient partagé 1-1 avec l'Irlande dans leur dernier match de groupe, vendredi.

Il reste un tournoi qualificatif à jouer, du 25 avril au 5 mai Kakamigahara au Japon, où le Japon (N.9), l'Azerbaïdjan (N.15), le Chili (N.17), le Bélarus (N.22), l'Autriche (N.29) et la Malaisie (N.23) tenteront de décrocher le dernier sésame.