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Football

Mario Gomez terrasse le Real Madrid à la 90e





L'attaquant munichois a marqué le but de la délivrance en fin de match. Le Bayern Munich s'impose 2-1 face au Real Madrid en demi-finale aller de la Ligue des Champions.

Mario Gomez a marqué le but de la victoire pour les Munichois.
Image: Keystone



Un but de Mario Gomez à la 90e minute offre le droit de rêver à toute la Bavière. Victorieux 2-1 du Real Madrid en match aller de la Ligue des Champions, le Bayern peut croire en son étoile.
Mercredi prochain dans son antre de Bernabeu, le Real devra sortir le match parfait pour retourner la situation et se qualifier pour la finale du 19 mai à... Munich. Ce but de Gomez à la conclusion d'un magnifique travail de son capitaine Lahm risque de peser très lourd dans la balance. Il procure aux Bavarois un ascendant psychologique indéniable.
Après avoir su répondre par Özil à l'ouverture du score de Ribéry, le Real est, en effet, retombé dans ses vieux travers. A lieu de continuer à jouer pour gagner enfin à Munich, les joueurs de Jose Mourinho ont privilégié le défi physique. Ils ont eu la chance de terminer la rencontre à onze, la faute de Marcelo sur Müller dans le temps additionnel aurait dû être sanctionnée d'un carton rouge.
Ribéry sonne la révolte
Après un début de match à l'avantage du Real avec notamment cette frappe de Benzema déviée par Neuer (7e), Franck Ribéry a sonné la révolte. Au quart d'heure, le Français cherchait de manière trop ostentatoire un penalty devant Sergio Ramos qui lui était logiquement refusé.
L'échauffourée qui suivit entre Ribéry et les défenseurs madrilènes réveillait non seulement le public mais aussi les Bavarois. A la 17e, Ribéry exploitait une approximation de Ramos sur un corner pour ne laisser aucune chance à Casillas.
Ce but inscrit contre le cours du jeu changeait toute la donne. Le Real éprouvait toutes les peines du monde à suivre le rythme imposé par les Bavarois. Les Allemands misaient sur la vitesse de Robben et Ribéry, lesquels étaient admirablement soutenus dans leur couloir par Lahm et Alaba.
Malgré quelques accélérations d'un Ronaldo qui fut toutefois incapable de cadrer ses frappes, le Real restait loin du compte lors de cette première période. A la frappe de Benzema dans les bras de Neuer répondait quelques secondes plus tard un tir de Gomez dévié par un Casillas à son affaire. Le réalisme, le mental et le brio étaient du côté allemand.
Benzema le passeur
On n'ignore la teneur du discours de José Mourinho à la pause. Un discours qui a dû porter. Au retour des vestiaires, les Madrilènes retrouvaient, en effet, toute leur superbe pour égaliser sur une rupture conduite par un Benzema étincelant. Le Français offrait un premier caviar pour Ronaldo qui butait sur Neuer. Mais sur le renvoi, Benzema retrouvait une seconde fois le Portugais qui, cette fois, délivrait une véritable offrande pour Özil.
Devant la maîtrise retrouvée du Real, Jupp Heynckes lançait Müller dans la bataille. La révélation de la dernière Coupe du monde relayait à l'heure de jeu un Schweinsteiger qui n'a pas encore retrouvé la plénitude de ses moyens après ses deux blessures contractées ces derniers mois.
A 1-1, le Real estimait avoir atteint son objectif. Les Madrilènes tiraient bien vite le rideau pour tenir ce résultat qui les plaçait, il est vrai, dans une position favorable. Mais face à des Bavarois qui ont terminé la rencontre en attaquant sans relâche et qui compte en la personne de Gomez un buteur hors du commun, cet attentisme leur a joué un mauvais tour.

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Le Bayern s'accroche à sa finale


Par:Julien Collignon
17/04/12 - 22h38© ap.
vidéoLe Bayern peut se mettre à rêver. Les Bavarois sont parvenus à l'emporter sur le fil face au Real Madrid (2-1). C'est Ribery qui a ouvert le score, en fusillant Casillas sur un ballon qui traînait dans le rectangle (1-0, 17e). Dominé, le Real Madrid est toutefois parvenu à égaliser contre le cours du jeu par Mesut Özil (1-1, 54e). Mais c'était sans compter sur le jusqu'au-boutisme des Allemands. L'inévitable Mario Gomez a offert la victoire en fin de match après un bel effort de Lahm (2-1, 89e). Le Bayern est récompensé pour son très bon match alors que le Real a été globalement décevant. Le retour s'annonce indécis!
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1. Ribery et Gomez décisifs
Comme souvent, le collectif du Bayern Munich a été la principale arme sur laquelle l'équipe s'est reposée. Kroos, Schweinsteiger, Boateng et même Robben et Ribery ont abattu un travail colossal pour gêner les transmissions madrilènes, ce qu'ils ont surtout bien fait durant les quarante-cinq premières minutes. La mécanique était moins bien huilée ensuite mais la victoire ne se discute pas. On soulignera la prestation de Franck Ribéry, qui a été le meilleur homme sur la pelouse en étant percutant comme il sait le faire, malgré une seconde période de moins bonne facture. Commis à sa charge, Alvaro Arbeloa n'a pas vraiment passé une bonne soirée. Pour couronner le tout, "Kaiser Franck" a aussi marqué son petit but. Enfin, Mario Gomez n'a pas fait un super match mais il a fait ce qu'on attendait de lui: marquer.

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2. L'attaque madrilène discrète mais réaliste
En Liga, le Real explose toutes les statistiques puisque le leader du championnat espagnol a déjà marqué 107 buts, record égalé et bientôt battu. A l'Allianz Arena, le quatuor formé par Özil, Di Maria, Cristiano Ronaldo et Benzema a plutôt été discret, se créant très peu de possibilités. Sur l'ensemble des nonante minutes, on a noté un tir de Benzema en début de match bien détourné par Neuer. Et c'est tout! Par contre, sur l'occasion suivante, le Real Madrid a été sans pitié puisqu'il a trouvé la faille par l'intermédiaire d'Özil, après un premier raté de Ronaldo (décevant ce soir). A défaut de briller, la ligne offensive madrilène s'est montrée très efficace. Au décompte final, ce but inscrit à l'extérieur pourrait peser très lourd.

3. Le Bayern veut "sa" finale
Le Bayern savait que s'il voulait mettre toutes les chances de son côté, il devait l'emporter chez lui, en attendant le match retour à Santiago Bernabeu mercredi prochain. Après l'égalisation, on a longtemps cru que les Munichois ne reviendraient plus. Légèrement émoussés, ils avaient pris un petit coup sur la tête car jusque-là, leur match avait été parfait. La mentalité des hommes de Jupp Heynckes a fini par payer et plus que jamais, ils peuvent espérer atteindre "leur" finale, l'apothéose de la compétition se jouant à Munich. La Maison Blanche devra quant à elle élever son niveau de jeu lors du retour car elle n'est pas à l'abri d'une surprise. En attendant, il y aura un Clasico à disputer au Camp Nou samedi soir où là aussi, il faudra assurer ses arrières. Attention à ne pas tout perdre...

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Kim Clijsters renonce à Roland Garros


Par: rédaction
17/04/12 - 18h32© ap.
La blessure à la hanche de Kim Clijsters guérit plus lentement que prévu. L'ancienne numéro 1 mondiale ne pourra pas reprendre l'entraînement avant trois semaines. Elle a donc décidé de faire l'impasse sur la saison de terre battue et donc sur Roland Garros, a annoncé mardi la championne dans un communiqué diffusé par son bureau de management Golazo.
© belga.© belga.© belga.
Kim Clijsters va désormais se consacrer entièrement sur la saison sur gazon avec à son programme les tournois de Rosmalen (à partir du 17 juin), Wimbledon (à partir du 25 juin) et les Jeux Olympiques (à partir du 28 juillet).

Wimbledon et les Jeux
"C'est vraiment très regrettable de ne pas pouvoir évoluer une dernière fois sur terre battue", a déploré Kim. "Mais ma condition physique actuelle ne m'autorise pas à me présenter en forme optimale en vue de Roland Garros. Je suis impatiente en revanche d'entamer une longue période de préparation pour la saison sur herbe avec comme principaux objectifs Wimbledon et les Jeux Olympiques."

Clijsters souffre d'une petite déchirure musculaire à la hanche droite depuis le tournoi de Miami où elle avait été sortie le 25 mars en seizièmes de finale par Yanina Wickmayer 6-4, 7-6 (7/5).

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8.000 supporters aux adieux de Morosini

édité par:Christophe Da Silva Costa
17/04/12 - 17h24 Source: belga.be© epa.
vidéoQuelque 8000 supporters ainsi que l'ensemble des joueurs du club de football de Livourne ont participé mardi à une émouvante cérémonie d'adieux en souvenir du joueur Piermario Morosini décédé en match à Pescara, samedi dernier. Ils étaient réunis au stade "Armando Picchi" de Livourne où le cercueil du défunt avait été déposé. D'anciens équipiers de clubs et membres des équipes nationales italiennes des jeunes, avec qui il avait joué, avaient tenus aussi à être présents.
© epa.© afp.© afp.
Alors que l'évêque de Livourne Mgr Simone Giusti bénissait le cercueil, on pouvait lire une banderole déployée par les supporters: "Ciao Moro - Tu t'es battu pour nous".

Le maire de Livourne Alessandro Cosimi a annoncé qu'un secteur du stade portera désormais le nom de Morosini. Le joueur devrait être enterré jeudi à Bergame sa ville natale.

Enquête ouverte
La cause du décès n'ayant pu être déterminée par l'autopsie effectuée lundi, plusieurs causes potentielles demeurent: infarctus, anévrisme artériel, ou anomale génétique. Une enquête a été ouverte par le procureur.

Elle cherchera aussi à déterminer si le stationnement gênant d'une voiture de police qui a retardé l'arrivée sur la pelouse de l'ambulance a eu un effet quelconque sur le décès du joueur de 25 ans.

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Ronaldo, Benzema et Özil se font voler leurs chaussures


Par: rédaction
17/04/12 - 21h19 Source: belga.be© getty.
Le Real Madrid a déploré le vol de trois maillots et de six paires de chaussures dans son vestiaire avant la demi-finale aller de la Ligue des champions qui devait l'opposer mardi soir à Munich au Bayern, rapporte le Süddeutschen Zeitung.

Le vol s'est produit peu après l'arrivée des Madrilènes à l'Allianz Arena.
Selon diverses sources, trois paires de chaussures de Cristiano Ronaldo ont été volées mais aussi des paires appartenant à Mesut Özil et à Karim Benzema.Jouer pieds nus les gars

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Le nouveau look de Sharapova


Par:Christophe Da Silva Costa
17/04/12 - 15h14(source: Twitter)
Est-ce un tournant dans la vie de Maria Sharapova? Toujours est-il que la joueuse de tennis russe a décidé de changer de look.

sondage

Aimez-vous le nouveau look de Maria Sharapova?

• Oui. Ce look lui va comme un gant. Elle paraît plus mature et plus élégante qu'avant.
• Non. Maria Sharapova était bien plus belle avant.

Les queues de cheval et la longue chevelure dans le dos, c'est terminé! Maria Sharapova a décidé de changer de look, sans apporter de motivations quant à ce choix radical.

Via sa page officielle Facebook, la poupée russe a dévoilé sa nouvelle coupe de cheveux. L'ancienne numéro 1 de tennis a posté deux photos, l'une de profil et l'une de face.

Visiblement, Maria Sharapova a l'air contente du résultat. Plus frais et plus mature, force est de constater que ce nouveau look lui va plutôt bien.

Vraiment mignonne....

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Hockey sur glace

Les Lions remportent le titre au bout du suspense

Mis à jour le 17.04.2012

• 
  
  Les Zurichois se sont imposés dans les dernières secondes sur la glace des Bernois, 2-1 score final. C'est le septième titre de champion de LNA pour les Lions de Zurich.

Image: Keystone
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• Berne triomphe grâce à sa première ligne

LNA

50. Journée

25.02.CP Berne - Ambri-Piotta1 : 425.02.Bienne - Davos1 : 425.02.Kloten Flyers - Fribourg-Gottéron3 : 225.02.SCL Tigers - Rapperswil-Jona Lakers1 : 325.02.ZSC Lions - Genève-Servette3 : 025.02.Zoug - Lugano0 : 1État: 25.02.2012 22:19
Classement

NomJVN+N-DButsP1.Zoug50248108173:131982.Davos50277313155:11 7983.Fribourg-Gottéron50266414156:120944.Kloten Flyers50272615158:117915.CP Berne50236615153:130876.Lugano50215618152:150797.Z SC Lions50198419136:129778.Bienne50194324114:128689.G enève-Servette50165920117:1266710.SCL Tigers50135329124:1665211.Ambri-Piotta50106727102:1534912.Rapperswil-Jona Lakers5012123599:17240État: 25.02.2012 22:20
Mots-clés

• LNA (hockey)

Lors de la 7e manche de la finale, les Zurichois ont décroché le titre à 2'' du terme du match grâce à un but du défenseur canadien Steve McCarthy, marqué au terme d'une indescriptible mêlée. Les Lions se sont imposés 2-1 et remportent la finale 4 victoires à 3.
Alors que le match s'acheminait vers la prolongation, un incroyable coup du sort se produisait. Une mêlée de joueurs s'amoncelait devant les buts de Bührer, le palet semblait avoir disparu mais alors qu'il ressortait, McCarthy tentait sa chance et transperçait tout le magma humain pour atterrir au fond de la cage. Il restait exactement 2''50 à jouer et c'était la stupeur à la PosteFinance Arena.
Les Bernois pouvaient bien être abattus. Ils ont clairement dominé cette finale mais ils se sont montrés incapables de marquer plus d'un but à la défense zurichoise. Ils ont ainsi vécu une terrible désillusion puisque ils menaient 3 à 1 au terme de la quatrième partie de la finale. Pour Zurich, c'est l'apothéose après avoir déjà réussi à renverser un score de 1-3 lors de la finale de 2001 contre Lugano.
Deux buts bizarres
La guerre d'intox s'est poursuivie jusqu'au coup d'envoi de cette septième manche. Le Canadien Blaine Down, touché lors du match de samedi, a laissé finalement sa place à Juraj Kolnik, complètement «transparent». Le Slovaque à court de compétition n'a pas pu peser physiquement aux côtés d'Ambühl et Bärtschi. Il fut d'ailleurs remplacé par Schommer au troisième tiers-temps. Ce fut sans doute une sage décision puisque cette ligne se montra beaucoup plus tranchantes dans les 20 dernières minutes.
Si les hommes de Bob Hartley, en continuelles vociférations contre le quatuor arbitral, ont ouvert la marque, ils le doivent en premier lieu à une relance ratée d'Andreas Hänni. Le défenseur bernois servait idéalement Thibaut Monnet, qui pouvait prolonger sur Mark Bastl complètement seul devant le but ouvert. Un jeu d'enfant pour le Villardou quand il s'est agi de pousser le palet au fond de la cage (20e). Ce but, tombé à 42'' de la première sirène était bien flatteur pour des Zurichois bien timides jusque-là.
Placés dans une situation difficile, les Bernois ont réagi dès les premières secondes de la deuxième période. Là aussi, il fallut un coup du sort pour trouver le chemin des filets. Le défenseur canadien Travis Roche ajustait la bande derrière la cage de Flüeler. Le rebond était dévié par Martin Plüss qui offrait ainsi à Ivo Rüthemann le palet de l'égalisation (22e) pour son troisième but dans cette finale.
Ce septième acte fut loin de connaître l'intensité du match de samedi. Les équipes se montrèrent bien plus prudentes et disciplinées. Au cours de la finale sans doute la plus fair-play de l'histoire des play-off de LNA, certains ont déçu. Roche et Dumont, réintroduits par l'entraîneur Törmänen, n'ont rien apporté de plus que Vigier ou Kwiakowki. Ritchie n'est jamais monté dans les tours dans cette finale. Côté zurichois, l'abnégation de la ligne Bastl - Pittis - Monnet a conduit les Lions au titre.
Berne - Zurich Lions 1-2 (0-1 1-0 0-1)
PostFinance Arena. 17'131 spectateurs (guichets fermés). Arbitres: Kurmann/Massy, Arm/Küng. Buts: 20e (19'18'') Bastl (Monnet, Ambühl) 0-1. 22e Rüthemann (Plüss, Roche) 1-1. 60e (59'57'') McCarthy (Tambellini, Ambühl) 1-2.
Pénalités: aucune contre Berne; 2 x 2' contre Zurich Lions.
Berne: Bührer; Kinrade, Furrer; Jobin, Hänni; Roche, Gerber; Berger, Ritchie, Dumont; Neuenschwander, Plüss, Rüthemann; Déruns, Gardner, Vermin; Scherwey, Froidevaux, Reichert.
Zurich Lions: Flüeler; Blindenbacher, Geering; McCarthy, Seger; Stoffel, Schnyder; Bastl, Pittis, Monnet; Kenins, Cunti, Tambellini; Bärtschi, Ambühl, Kolnik; Baltisberger, Schäppi, Bühler; Schommer.
Notes: Berne sans Kwiatkowski, Vigier, Brunner et Meier (surnuméraires) ni Morant (supendu). Zurich Lions sans Down et Camperchioli (blessés) ni Ziegler et Murphy (surnuméraires). (si/Newsnet)

Et moi j'ai gagné 220 balles en pariws contre mes copains à deux secondes des prolongations Vais faire le tour des rades pour encaisser la somme, je prend des risques......Merci Zurich

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Chelsea, la vraie bête noire du Barça


édité par:Christophe Da Silva Costa
18/04/12 - 22h37 Source: éditeurDrogba a fait la différence sur le seul tir cadré de Chelsea en première période (45+1).© ap.
Chelsea a réalisé un petit exploit contre le FC Barcelone. Insolents d'efficacité, les "Blues" ont fait la différence par Didier Drogba (1-0, mi-temps: 1-0). Quant aux Catalans, ils se sont constamment cassés les dents sur la défense londonienne et sur un Petr Cech en état de grâce. Chelsea, c'est aussi la vraie bête noire de l'équipe catalane. Le Barça n'a plus gagné contre les pensionnaires de Stamford Bridge depuis six matches consécutifs sur la scène européenne (et seulement deux succès en sept ans). Quasiment une éternité. Ce n'est plus un hasard...
A lui seul, Fabregas (ici en duel avec Ramires) a loupé trois belles occasions (18e, 27e et 43e) lors des 45 premières minutes.© getty.Busquets et Raul Meireles dans l'un des nombreux duels dans l'entrejeu entre les Londoniens et les Catalans.© epa.Di Matteo, en grande discussion avec Guardiola, est l'homme de la situation à Chelsea.© epa.Cech, l'homme du match pour les "Blues".© reuters.Messi a sonné la charge à plusieurs reprises. En vain...© epa.
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1 Drogba, "what else?"
La dernière fois, il avait quitté le FC Barcelone blessé au plus profond de sa chair à cause d'un énorme sentiment d'injustice. Dans un état second après les décisions suspectes de M. Ovrebo en 2009, son désormais célèbre "Fucking Disgrace" avait d'ailleurs fait le tour du monde. Ce soir, Didier Drogba a tenu à faire la paix avec son âme. Maltraité tout au long de la rencontre où il s'est plus souvent retrouvé au tapis que face au but défendu par Valdes, l'attaquant ivoirien de Chelsea aura joué avec un coeur gros comme ça. L'ancien attaquant de l'OM incarne aussi le symbole de cette génération de "vieux briscards" (Lampard, Terry, Cech...) désireuse de réaliser un coup sur la scène européenne.

2 La fin d'un cycle au Barça?
Avec le FC Barcelone, tout rafler sur son passage est presque devenu une banalité. Cette habitude, elle a été prise un soir de mai 2009 justement à Stamford Bridge. Car c'est bien là où tout a commencé pour Pep Guardiola et ses élèves. A dix secondes près, sans la prouesse d'Andres Iniesta, les choses n'auraient peut-être pas été identiques. Depuis lors, le club "culé" s'est abonné aux titres nationaux et internationaux (3 Ligas, 2 Ligues des Champions, 2 coupes du Monde des Clubs, 2 Supercoupes d'Europe et 1 Coupe du Roi) et à la surenchère des superlatifs qui accompagne ce palmarès époustouflant. Cette saison, l'heure de la passation de pouvoir a peut-être sonné au Camp Nou. Tant en Liga qu'en Ligue des Champions, le collectif catalan semble moins huilé et moins insolent de facilité qu'à l'habitude. Malgré tout, le rêve de réaliser un nouveau triplé est toujours d'actualité au Barça.

3 La méthode Di Matteo
En recrutant Roberto Di Matteo, un homme de la maison, Chelsea a visé juste. Novice en la matière, les méthodes du coach italien sont pourtant simples mais diaboliquement efficaces: de la joie, de la passion, un jeu direct et une autogestion de ses stars. Car, pour lui, les égos du vestiaire londonien n'ont aucune importance. Il fallait un homme neuf pour recréer une dynamique au sein de l'équipe de Chelsea et les résultats donnent raison à Roberto Di Matteo à qui, pour rappel, Scolari avait prédit "un enfer". Presque largués dans la course à la Ligue des Champions en Premier League, les "Blues" ont choisi la "C1" et la FA Cup pour se refaire une santé et se réconcilier, par la même occasion, avec leur public. Pour le moment, c'est plutôt réussi.

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© ap.© ap.© reuters.© afp.© ap.

Super MERCI Chelsae 120 balles de gagner en paris

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Rodriguez devance Albasini et Gilbert à la Flèche Wallonne

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édité par:Christophe Da Silva Costa
18/04/12 - 16h39 Source: belga.be© belga.
MISE À JOURL'Espagnol Joaquim Rodriguez a remporté la 76e édition de la Flèche Wallonne (World Tour) au sommet du Mur de Huy à l'issue des 194 kilomètres au départ de Charleroi.
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Le Catalan, deuxième les deux années précédentes à Huy, a enlevé à l'âge de 32 ans sa première classique.

Rodriguez, un poids léger de 55 kilos surnommé "Purito", a démarré sur les pentes du mur de Huy sans qu'aucun de ses rivaux puisse le suivre.

Pour la deuxième place, 4 secondes plus tard, Albasini a devancé Gilbert, le lauréat de l'année passée, devant son ancien équipier Jelle Vanendert. Jurgen Van den Broeck, 10e, a complété la présence belge dans le top 10.

Dans cette course traversée par des averses, le Néerlandais Dirk Bellemakers et le Français Anthony Roux ont conduit une longue échappée, lancée après la première heure de course. Le duo a compté jusqu'à 7 min 10 sec d'avance et a poursuivi l'aventure jusqu'à 16 kilomètres de l'arrivée.

Dans le final, le Canadien Ryder Hesjedal et le Norvégien Lars-Petter Nordhaug sont partis à l'attaque, dans l'avant-dernière côte (Villers-le-Bouillet), à moins de 10 kilomètres de l'arrivée. Mais la poursuite menée par les équipes Lotto et Katusha a condamné les deux coureurs qui ont été rejoints dans le dernier kilomètre.

Le Luxembourgeois Andy Schleck, qui a été distancé dans le final, s'est montré avant la dernière boucle de 31 kilomètres. Le vainqueur du Tour de France 2010 est parti en contre-attaque, sans parvenir toutefois à s'assurer un avantage supérieur à une vingtaine de secondes.

"C'est ma victoire la plus désirée, pour moi c'est le plus beau jour, a déclaré Rodriguez. Je suis un amoureux des classiques, j'ai eu tellement de bonnes places, mais j'attendais encore d'en gagner une."

Champion d'Espagne 2007, le Catalan est monté à plusieurs reprises sur le podium des Ardennaises, tant dans l'Amstel Gold Race (2e en 2011) que dans Liège-Bastogne-Liège (2e en 2009) ou la Flèche Wallonne.

Rodriguez est le troisième coureur espagnol à inscrire son nom au palmarès de la "Flèche", après Igor Astarloa (2003) et Alejandro Valverde (2006). .

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Bergame rend un émouvant hommage à Morosini

Football

—
Bergame, sa ville natale, a rendu jeudi un vibrant hommage au footballeur Piermario Morosini, mort pendant un match à 25 ans samedi dernier: près de 5000 personnes s’étaient rassemblées devant l’église où se déroulaient ses obsèques.
Mis à jour le 19.04.2012

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Morosini meurt sur le terrain
La mort du joueur de Livourne Piermario Morosini d'une crise cardiaque sur la pelouse










Un écran géant a été dressé devant l’église pour permettre à tous ceux qui n’avaient pas pu entrer de suivre le service religieux.
Le prêtre, Don Luciano Manenti, a évoqué les parents de Morosini, disparus quand il était jeune, et son grand frère handicapé, qui s’était suicidé.
Des supporteurs d’Atalanta Bergame ont déployé le drapeau du club sur les marches de l’église et crié le nom de Morosini lors de l’arrivée des bus transportant les joueurs de l’Atalanta et de l’Udinese. Morosini avait été prêté par Udinese à Livourne, en 2e division italienne.
Le sélectionneur italien Cesare Prandelli, son vis-à-vis des moins de 21 ans, Ciro Ferrara, Roberto Donadoni, entraîneur de Parme, et le président de la Fédération italienne de football Giancarlo Abete figuraient parmi les personnalités dans l’église. Mardi, des milliers de supporteurs avait accueilli au stade de Livourne, sur la côte toscane, la dépouille du footballeur, transportée ensuite à sa ville natale de Bergame.
Piermario Morosini est mort d’un arrêt cardiaque survenu lors d’un match à Pescara samedi, après s’être effondré à la 31e minute.