Toutes New sportives autres que la moto

[Belledenuit]

N'OUBLIEZ PAS NON PLUS LE PREMIER TOUR DES ELECTIONS
Pas besoin d'attendre ce soir les grandes chaînes télévisées pour faire leur show, on aura les résultats sur le Net bien avant

[Norton]

CC: «Tiens Serey, prends mes gants en souvenir»

Football

—
Serey Die ne roulera pas dans le bolide de Christian Constantin. Le joueur du FC Sion a perdu le pari qui l’opposait à son patron.Il lui en coûtera 6000?francs pour un repas d’équipe.
Par Nicolas Jacquier. Mis à jour le 19.04.2012 52 Commentaires

• Imprimer

1/18Yvain Genevay





Vidéo




http://www.lematin.ch/sports/footbal...story/31938285




Banale blague de potaches au départ, l’amical défi entre Christian Constantin, président du FC Sion reconverti en gardien du club valaisan le temps d’une matinée, et Geoffroy Serey Die, habituel exécuteur des hautes œuvres de Tourbillon, s’est transformée hier en événement médiatique, suivi par des dizaines d’objectifs et près d’une centaine de spectateurs.


Le défi remonte à la spectaculaire frappe victorieuse que Serey Die avait réussie contre Zurich, le 7 avril dernier. Objet du pari pour le No 26: marquer au moins 14 buts sur 20 tentatives effectuées de 18?m, seul face au but défendu par son patron. En cas de victoire, l’Ivoirien aurait pu conduire la Ferrari présidentielle (le modèle FF, 660?ch sous le capot, 335?km/h au compteur et 315?000 francs à l’achat) durant un week-end. Kilométrage illimité, mais pas vitesse… «Je lui aurais mis un moniteur d’auto-école (ndlr: Romain Bourgeois, avec lequel Constantin participera à la prochaine Patrouille des Glaciers) comme copilote! J’avais trop peur pour ma voiture», confiera plus tard le propriétaire du bolide, après un ultime plongeon. En cas de défaite, Serey Die s’engageait à inviter toute l’équipe et le staff technique, président compris, dans un restaurant coté 16?points minimum au GaultMillau.
Avant de se «transférer» devant les filets, CC avait pris soin la veille de s’astreindre à un entraînement sous l’experte direction de Pascolo, responsable des gardiens valaisans. Il devait en ressortir rassuré mais avec un doigt retourné, peut-être même fracturé.
Les gants de Vanins
Hier, à Martigny, il était 11?h?10 lorsque l’ancien portier de Xamax, de Lugano et de Fully, équipé par Vanins (qui lui a donné ses gants), devait faire une entrée en scène remarquée. Ayant l’avantage d’évoluer sur ses terres, à la Porte d’Octodure, Constantin allait d’abord se livrer à un échauffement consciencieux, sous le regard amusé de son adversaire. «Il a peur, je te jure, commente Serey Die. Je vais le tuer, il va finir au fond des buts. En plus, il a pris son avocat (rires).»
De part et d’autre, parce qu’il en est encore temps, on en profite pour se chambrer avant de se mettre à palabrer sur le choix de la marque de ballon retenue pour le pari. «Si on prend ceux-là, je dépose protêt», avertit d’entrée Geoffroy. Autre sujet de dispute, la mesure de la distance réglementaire, calculée à la fin par Dingsdag et son patron au moyen d’un topomètre. «Tu triches, Serey, remets le ballon en arrière!» hurle CC depuis sa cage.
Prêts? Prêts! Alors que la foule des curieux a grossi, Serey Die s’élance pour son premier essai… Pourtant placée, sa frappe est détournée par la main ferme de son président, qui a plongé à bon escient. A 55?ans, Constantin va pouvoir démontrer qu’il a conservé ses réflexes, s’interposant plusieurs fois en se détendant du bon côté. Dans l’assistance, plusieurs joueurs, qui ont terminé l’entraînement, donnent de la voix, alors que l’autre partie du groupe poursuit son boulot. A la mi-temps du pari, survenue sur le score de 7 buts marqués sur 10 essais, le prétendant à la Ferrari respecte encore son tableau de marche; mais ça va se gâter. Deux échecs plus tard, Serey Die voit le bolide démarrer sans lui. «J’en arrête encore un, et c’est fini pour toi, mon gars. Tu vois qui est le plus fort…»
Le restaurant a été choisi
Tandis que le président l’allume, Serey Die enrage. Sa dix-huitième tentative est stoppée par le nouveau gardien de Tourbillon. Le pari n’ira pas plus loin. Les deux hommes se tombent dans les bras, embrassade, rigolade. «Tu peux réserver pour le samedi où l’on aurait dû jouer contre Xamax.» Serey Die, lui, semble avoir déjà trouvé le restaurant où emmener ses potes. «OK, je vous invite tous, mais on va à Abidjan!» Le 12 mai, Sion ira moins loin et fera escale gastronomique à Vétroz, à l’enseigne de la Botza (16/20), chez Damien Germanier, promu cuisinier de l’année.
Hilare, CC fait ses comptes au moment de retirer ses gants. «Pour 40?personnes, c’est un truc à 6000?francs. Ça fait cher le pari. Tiens Serey, je te donne mes gants en souvenir!»
Dimanche, pour la venue du FC Bâle, Constantin a déjà promis de céder sa place à Vanins. Et Serey Die de trouver l’ouverture des 18?m. Qui parie quoi?

Super le pari et l'ambiance................ä prendre comme exemple........

[Norton]

La leçon du FC Bâle à Tourbillon

Football

—
Les Bâlois se sont imposés 3-0 à Sion lors de la 30e journée d’Axpo Super League. Une victoire qui aurait dû, dans un championnat dépourvu d’affaires, offrir le titre aux Rhénans.
Mis à jour à 17h42 33 Commentaires

• Imprimer

Le joueur valaisan Geoffroy Serey Die (à gauche), et le Bâlois Granit Xhaka
Image: Keystone



Dans le jeu, Sion n’avait absolument rien à envier à Bâle, en première mi-temps surtout. Il ne manquait finalement qu’une seule chose aux Valaisans, dominateurs et pratiquant un football attrayant: l’efficacité. Car la formation de Laurent Roussey a eu plus souvent qu’à son tour l’occasion d’ouvrir la marque, par Vanczak (deux fois), Danilo (deux fois) ou encore Obradovic.
Un relâchement coupable en début de deuxième mi-temps a cependant réduit à néant les efforts sédunois. Sur une action de contre, Streller a pu armer un tir contré par une main adverse. L’abritre Studer, bien inspiré, a laissé le jeu se poursuivre en voyant le cuir arriver dans les pieds d’Alexander Frei, dont la frappe a trompé Vanins à la 49e.
Sion n’a ensuite jamais retrouvé sa superbe de la première période, embourbé dans les filets d’un FCB ne sachant que trop bien gérer un avantage. Steinhöfer a planté la deuxième banderille à la 73e et Frei, encore lui, a inscrit son 21e but de la saison pour sceller le score.
Le titre, justement, n’est pas encore officiellement bâlois, la faute au recours de Lucerne devant le TAS, en périphérie de l’affaire FC Sion. L’équipe de Murat Yakin pourrait en effet récupérer deux points sur tapis vert, ce qui porterait son total théorique maximal à 63 unités, soit une de plus que le total qu’affiche actuellement Bâle. Ce dernier doit alors patienter une semaine et la réception de Lausanne dimanche prochain pour définitivement lever les bras au ciel.
Au Letzigrund, la défaite 2-0 de Lausanne-Sport contre Zurich n’a ainsi pas d’incidence directe pour les Vaudois dans leur lutte à distance contre Sion. Le LS conserve en effet son matelas de dix longueurs. Lauréate de ses deux derniers matches, la formation de Martin Rueda, qui aurait pu mener 1-0 après une occasion de Roux, a courbé l’échine sur des buts de Sutter et Kajevic.
Sion - Bâle 0-3 (0-0)
Tourbillon. 12 500 spectateurs.
Arbitre: Studer.
Buts: 49e Frei 0-1. 74e Steinhöfer 0-2. 83e Frei 0-3
Sion: Vanins; Vanczak, Adailton, Dingsdag, Bühler; Serey Die, Basha (56e Rodrigo); Wüthrich (66e Margairaz), Obradovic (56e Yoda), Crettenand; Danilo.
Bâle: Sommer; Steinhöfer, Kovac, Dragovic, Park; Yapi (78e Cabral), Xhaka; Shaqiri, Stocker (71e Zoua); Streller, Frei (85e Andrist).
Notes: Sion sans Mrdja (blessé). Bâle sans Abraham, Jevtic, Chipperfield, Degen, Pak et Voser (blessés). Avertissements: 24e Xhaka. 41e Basha. 53e Streller. 64e Serey Die. 71e Danilo.

[Norton]

Fed Cup: Jelena Jankovic offre à la Serbie sa première finale

Tennis

—
Jelena Jankovic, en battant Svetlana Kuznetsova dans le quatrième simple contre la Russie à Moscou, a offert à la Serbie sa première finale de Fed Cup
Mis à jour il y a 32 minutes1 Commentaire

• Imprimer

Jelena Jankovic a battu Svetlana Kuznetsova à Moscou, offrant à la Serbie un sésame pour la finale contre la République tchèque
Image: Keystone


Votre email a été envoyé.




1



Jankovic, ex-numéro 1 mondiale, a nettement pris l'ascendant sur Svetlana Kuznetsova, 27e mondiale et double gagnante d'un Grand Chelem.
Plus tôt dans la journée, Ana Ivanovic, autre ancienne N.1 mondiale et actuellement 15e, avait su renverser la vapeur pour vaincre Anastasia Pavlyuchenkova (22e) en trois sets 3-6, 6-0, 6-3 et placer la Serbie en tête 2-1.
Dans un double sans enjeu, Pavlyuchenkova et Elena Vesnina l'ont ensuite emporté face à la paire serbe Jovanovski-Krunic (6-4, 6-0).
A l'issue des deux premiers simples samedi, les deux équipes étaient dos à dos. Pavlyuchenkova avait cédé d'entrée face à Jankovic (18e), 6-4, 6-3, avant que Kuznetsova ne remette les deux équipes à égalité en s'offrant Ivanovic 6-2, 2-6, 6-4.
Pour la première finale de son histoire, la Serbie retrouvera la République tchèque, tenante du titre, qui s'est défaite de l'Italie (4-1).
Battue la veille sur la terre battue moscovite, Ivanovic a pris sa revanche contre Pavlyuchenkova, qui aura failli lors de ses deux matches. Largement dominée dans le premier set par la N.1 Russe en pleine confiance, la Serbe a su réagir dans la deuxième manche pour ne plus relâcher son étreinte.
«Nastia (Pavlyuchenkova) m'a surprise avec son début de match solide, j'ai eu le sentiment de perdre complètement mon sang-froid. Heureusement, j'ai réussi à retrouver mon meilleur niveau pour gagner le match», s'est réjouie Ivanovic.
Prenant les devants d'entrée de match, Jankovic a remporté sans trembler le premier set. Menée 3-0 dans la seconde manche, la Serbe de 27 ans a aligné cinq jeux consécutifs pour apporter le point de la victoire à son équipe.
«Je suis très heureuse d'avoir gagné le point décisif pour mon pays. La Serbie atteint la première finale de Fed Cup de son histoire, et je suis fière de faire partie de cette équipe», s'est félicitée Jankovic.

[Norton]

Envoyé par Belledenuit

N'OUBLIEZ PAS NON PLUS LE PREMIER TOUR DES ELECTIONS
Pas besoin d'attendre ce soir les grandes chaînes télévisées pour faire leur show, on aura les résultats sur le Net bien avant

Hooooooooooo la montagne ici pas de politique, rien à foutre ce ces menteurs et autres...........: diable:

[Norton]

Le LS battu 2-0 par le FC Zurich

Football

—
Les Lausannois ont encaissé deux buts dès la première mi-temps, sans parvenir à revenir au score, ce soir au stade du Letzigrund.
Mis à jour à 17h41 4 Commentaires

• Imprimer

Le Zurichois Marco Schoenbaechler, à gauche, à la lutte avec le joueur lausannois Jerome Sonnerat
Image: Keystone



Zurich - Lausanne 2-0 (1-0)
Letzigrund. 9800 spectateurs.
Arbitre: Jaccottet.
Buts: 45e Sutter 1-0. 61e Kajevic 2-0.
Zurich: Leoni; Sutter, Béda, Jorge Texeira, Magnin; Aegerter; Schönbächler (81e Brunner), Buff, Kajevic (88e Pedro Henrique); Chikhaoui, Drmic (87e Chermiti).
Lausanne: Favre; Avanzini, Katz, Tall, Sonnerat; Sanogo; Chakhsi, Pasche, Lang (62e Kelifi); Moussilou (72e Susaeta), Roux (62e Negrao).
Notes: Zurich sans Glarner (suspendu), Ramazotti, Nikci, Philippe Koch et Benito (blessés). Lausanne sans Coltorti, Prijovic (blessés), Kamber et Bah (malades). Expulsion: 86e Pasche (2e avertissement).
Avertissements: 68e Pasche. 71e Magnin. 74e Jorge Texeira. 86e Aegerter.

[Norton]

Finale de la Coupe du monde de saut d'obstacles: deux Suisses sur le podium

Hippisme

—
Steve Guerdat a terminé au second rang de la finale à Bois-le-Duc (Pays-Bas), derrière l'Américain Rich Fellers. Pius Schwizer est troisième.
Mis à jour à 17h31

• Imprimer

Steve Guerdat et Nino des Buissonnets ont terminé au deuxième rang
Image: Keystone



L'Amércain Rich Fellers qui montait Flexible a remporté la finale de la Coupe du monde de saut d'obstacles en devançant au barrage le Suisse Steve Guerdat (Nino des Buissonnets), au terme de la troisième épreuve dimanche à Bois-le-Duc.


Deuxième Suisse sur le podium, Pius Schwizer (Carlina) a pris la troisième place.
Le Français Kevin Staut s'est classé 5e.

[Norton]

Nadal s'offre un 8e titre consécutif à Monte-Carlo

Tennis

—
Et de huit: Rafael Nadal s'est offert un huitième sacre au Masters 1000 de Monte-Carlo. Au grand dam de Novak Djokovic.
Mis à jour à 15h44 9 Commentaires

• Imprimer

Rafael Nadal à la joie de son huitième sacre.
Image: AFP



Rafael Nadal, encore une fois impressionnant pour ses qualités défensives, a profité de conditions venteuses pour écoeurer Novak Djokovic (6-3, 6-1) dimanche en finale du Masters 1000 de Monte-Carlo, et s'adjuger son 8e titre d'affilée sur le Rocher.
Ce chiffre de huit titres consécutifs est un record sur le circuit ATP. Avant Nadal, personne ne s'était imposé plus de trois fois à Monte-Carlo. L'Espagnol est aussi devenu le premier joueur à remporter 20 Masters 1000, devançant d'une unité le Suisse Roger Federer.
Nadal a mis fin à une série de sept défaites consécutives contre Djokovic, toutes concédées en finale. Sa dernière victoire sur le Serbe remontait au Masters 2010. C'est le 42e match de suite remporté par l'Espagnol à Monte-Carlo, où il n'a subi qu'une défaite, en 2003 face à l'Argentin Guillermo Coria.
Djokovic, déjà finaliste malheureux en 2009 face à Nadal à Monte-Carlo, n'a jamais trouvé la clé pour perturber son adversaire. La lenteur du court, situé au niveau de la mer, était déjà à l'avantage de l'Espagnol. Le vent, certes moins violent que la veille mais encore très présent, l'a encore plus aidé.
Décès du grand-père
Le Serbe, qui a l'excuse d'avoir été émotionnellement secoué par le décès cette semaine de son grand-père, a montré de nombreux signes d'agacement tout au long de cette finale, laquelle n'a pas atteint le niveau des précédents affrontements entre les deux hommes, loin s'en faut.
C'est même une véritable correction qu'a reçue Djokovic. Il a concédé son premier break dès son second jeu de service, sur un revers gâché, qui a donné une idée de sa frustration naissante. On l'a vu plusieurs fois hausser les épaules ou lever les bras au ciel pour exprimer son impuissance.
Il a tenté de faire travailler Nadal, mais toutes ses tentatives se sont brisées sur la défense sans faille de l'Espagnol. Celui-ci n'a eu à défendre qu'une balle de break. Ce qu'il n'a pas su faire, mais le match était déjà joué puisqu'il menait 4-0 dans le deuxième set.
La Majorquin n'avait plus été titré depuis sa victoire à Roland-Garros en 2011. Son dernier titre ailleurs que sur terre battue remonte à octobre 2010, au tournoi de Tokyo.
En vue de Roland-Garros
Avec ce 47e trophée sur le circuit ATP, il prend également date pour Roland-Garros (27 mai-10 juin), où il cherchera à battre le record de Bjorn Borg, en décrochant un septième titre.
La pression se retrouve maintenant sur les épaules de Djokovic, qui devra dans les semaines à venir défendre ses deux titres acquis l'an passé sur terre battue, à Madrid et Rome, en battant Nadal en finale.
Nadal aura perdu seulement 29 jeux en cinq matches depuis le début de la semaine. Il remporte son 32e titre sur terre battue, restant devancé au palmarès par Thomas Muster (40) et Guillermo Vilas (45). Il n'a perdu que deux de ses 59 derniers matches sur cette surface, tous les deux face à Djokovic.

[Norton]

Martigny engage Ryan MacMurchy

Hockey sur glace

—
C’est un site internet norvégien qui l’annonce: l’attaquant canadien Ryan MacMurchy s’est engagé pour une saison en faveur du néo-promu valaisan en LNB.
Par Frédéric Lovis. Mis à jour à 16h43

• Imprimer

Votre email a été envoyé.




0



Ryan MacMurchy évoluait cette saison pour le compte des Stavanger Oilers, sacrés champion de Norvège. Il a été élu MVP d’un championnat régulier dominé par son club et qu’il a terminé en marquant 76 points (37 buts et 39 assists) en 44 matches. Durant les 13 parties de play-off ayant permis à son club d’être titré, il a encore inscrit 9 buts et 12 assists.
Ryan MacMurchy, avant d’arriver en Europe au début de la saison 2011/12, avait patiné dans les ligues mineures nord-américaines (ECHL et AHL). Il a été drafté en 9e ronde (284e rang) en 2002 par les Saint-Louis Blues.

[Norton]

Vettel reprend ses bonnes habitudes


édité par:Christophe Da Silva Costa
22/04/12 - 16h09 Source: belga.be© reuters.
MISE À JOURL'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull-Renault) a remporté dimanche le Grand Prix de Bahreïn, , 4e manche du Championnat du monde de Formule 1, signant sa 1e victoire en 2012. Parti en pole position, le double champion du monde en titre a devancé les deux Lotus-Renault du Finlandais Kimi Räikkönen, 2e, et du Français Romain Grosjean, 3e.
© photo news.© photo news.
Le double champion du monde en titre, parti en pole position, a fait quasiment toute la course en tête et a gardé jusqu'au 57e et dernier tour une avance suffisante sur les deux Lotus, pour remporter sa première victoire de la saison et la 22e de sa carrière en F1.

"C'est une saison très serrée, les voitures sont très proches les unes des autres, et il faut avoir tout juste le dimanche pour gagner. Je suis très heureux qu'on y soit arrivé ici", a dit Vettel après l'arrivée. Il n'avait plus gagné depuis le GP d'Inde, à trois courses de la fin de la saison 2011.

Le jeune Allemand, intouchable dimanche, prend la tête du championnat du monde, avec quatre points d'avance sur le Britannique Lewis Hamilton (McLaren), parti à côté de lui sur la première ligne mais victime d'un problème d'écrou de roue arrière lors d'un arrêt au stand.

C'est le premier podium de Räikkönen, champion du monde 2007 chez Ferrari, depuis son retour début 2012 après deux années sabbatiques, en rallye. Le Finlandais a réussi à revenir à une seconde de Vettel, peu après la mi-course, mais n'a jamais réussi à le dépasser, même en utilisant le DRS (aileron arrière ajustable).

Grosjean, 14 ans après Alesi

C'est la première fois depuis Jean Alesi en 1998, au Grand Prix de Belgique, qu'un pilote français monte sur le podium d'un GP de F1, le jour même où Bernie Ecclestone a confirmé qu'un accord était trouvé, et la signature imminente pour le retour d'un GP de France au calendrier de la F1, en 2013.

"C'est fantastique, mon premier podium, avec nos deux voitures sur le podium, c'est génial", a réagi Grosjean, à chaud. "C'est une saison très compliquée, les écarts minimes, l'équipe dort peu mais nous donne du très bon matériel. C'est un sentiment assez magique".

Avec cette victoire de Vettel, auteur d'une course parfaite comme souvent la saison dernière, c'est un quatrième pilote différent, au volant d'une quatrième marque différente, qui s'impose cette saison, après Jenson Button (McLaren) en Australie, Fernando Alonso (Ferrari) en Malaisie et Nico Rosberg (Mercedes) en Chine.

Cette course s'est disputée devant un public peu nombreux mais une tribune principale pleine (10.500 spectateurs), et devant le roi du Bahreïn, au terme d'une semaine marquée par des manifestations à répétition d'opposants à son régime, demandant des réformes de fond, et à la tenue de ce Grand Prix de F1.

Bravo au Suisse Français Romain Grosjean