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Liquigas remporte la première étape du Giro

Enrico Gasparatto enfile le maillot rose tant convoité par son chef de file, Danilo Di Luca.

La formation Liquigas a remporté ce samedi après-midi la première étape du Tour d'Italie cycliste (ProTour), un contre-la-montre par équipes de 25,6 kilomètres couru dans l'archipel de la Maddalena (Sardaigne). L'Italien Enrico Gasparotto, qui a franchi la ligne d'arrivée devant son chef de file Danilo Di Luca, a endossé le maillot rose de leader.

Chute de Popovych
Liquigas a battu l'équipe Astana, menée par l'Italien Paolo Savoldelli de 13 secondes au terme d'un parcours tortueux, sous un soleil estival. La troisième place est revenue à la formation CSC, conduite par le Suisse Fabian Cancellara, distancée de 30 secondes par l'équipe victorieuse. L'Italien Danilo Di Luca, le leader de l'équipe Liquigas, a pris du temps à ses compatriotes et favoris du Giro, 42 secondes à Damiano Cunego et 1 min 25 sec à Gilberto Simoni. L'Ukrainien Yaroslav Popovych (Discovery Channel) a chuté dans un virage en descente dans le final. Il a pu repartir rapidement mais a concédé au bilan 49 secondes à Di Luca.

Gasparotto (25 ans) avait été sacré champion d'Italie dès sa première année dans le peloton professionnel en 2005. Dimanche, la deuxième étape, toujours en Sardaigne, mène de Tempo Pausania (nord) à Bosa (ouest) par un parcours de 205 kilomètres sans difficulté de relief.

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Massa signe sa troisième pole de la saison au GP d'Espagne

Felipe Massa va tenter de confirmer sa victoire acquise à Bahreïn.

Felipe Massa (Ferrari) a volé la vedette à Fernando Alonso (McLaren-Mercedes) devant son public en s'adjugeant pour trois minuscules centièmes de seconde sa troisième pole position consécutive, samedi en qualifications du Grand Prix d'Espagne. Découvrez la grille complète du Grand Prix d'Espagne en vous rendant sur notre application.

Sixième pole
Malaisie, Bahreïn et maintenant Espagne: le Brésilien Massa semble s'être abonné à la pole et pourtant, c'est lui qui est à la traîne au Championnat, avec 5 longueurs de retard sur ses principaux concurrents Alonso, Kimi Räikkönen (Ferrari) et Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes), leaders ex aequo en points (22). "Les qualifications ne seront peut-être pas l'unique clé du Championnat, mais bien sûr il est toujours très important de partir de devant... espérons que cela va continuer", estime Massa tout en savourant la sixième pole de sa carrière. Il sait que le départ sera difficile car les McLaren-Mercedes ont montré depuis le début de la saison une meilleure aptitude que les Ferrari à prendre leur envol.

Côté de piste
S'il avait réussi à conserver son avantage à Bahreïn sur Hamilton qui s'était élancé à ses côtés, le Brésilien avait cependant dû s'incliner la semaine d'avant en Malaisie face à Alonso qui s'était imposé à l'issue de la course alors que Massa avait perdu pied. L'Espagnol assure d'ailleurs ne pas être trop inquiet d'être placé du côté sale de la piste. "Malheureusement, j'ai pris l'habitude depuis le début de la saison de partir du mauvais côté de la piste: deux fois de la deuxième position et une fois de la quatrième", souligne le double champion du monde. Ce qui ne l'a pas empêché de prendre la tête du Championnat avant son épreuve nationale. "Avec toutes les nouveautés cette année -nouvelle écurie, nouveaux pneus, nouveaux règlements-, je savais qu'il faudrait se battre pour ne pas perdre trop de points en début de saison afin d'attaquer fort à la fin; donc je suis vraiment heureux d'être devant après trois courses, même si je préférais ma situation des deux dernières années lorsque j'avais réussi à creuser un bon écart en début de saison", confie Alonso.

Räikkönnen rumine
Dimanche, il aura l'occasion de prendre une légère avance sur ses concurrents. "En partant 5e ou 6e, on n'a aucune chance de gagner, mais en étant parmi les quatre premiers, on a une chance de victoire, estime-t-il. Je suis toujours optimiste, mais au vu du week-end (meilleur temps des essais libres 2, ndlr), et en partant de la première ligne, je suis vraiment confiant." Surtout que, même inconsciemment, il ressentira certainement le soutien inconditionnel du public massé autour de la piste et qui colorera les tribunes de jaune et de bleu, les couleurs des Asturies dont il est originaire. "Le public sera plutôt pour Fernando, mais il aime aussi les Sud-Américains", tient à souligner Massa avec un large sourire. Plus crispé, à ses côtés, Räikkönen rumine sa déception. Après une pole qu'il disait lui-même "surprise" en Australie, le Finlandais attend toujours de réussir à tirer le maximum de sa F2007. "C'est mieux que rien...", commente-t-il laconiquement au sujet de sa performance du jour.

"Ce n'est pas encore ça, mais je suis de plus en plus content de ma voiture, ajoute-t-il. Il est toujours très difficile de doubler, mais espérons que nous parviendrons à gagner quelques places en course." Dès le départ, le Finlandais devra se méfier de la BMW Sauber de Robert Kubica placée dans son sillage sur la grille. Pour la première fois de la saison, le Polonais s'est qualifié devant son coéquipier Nick Heidfeld et menacera à son tour le quatuor de tête. Le départ est programmé dimanche à 14h00; vous pourrez vivre le Grand Prix d'Espagne en vous rendant sur notre application

Forza Ferrari

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Les soeurs Williams vont créer une école de tennis au Monténégro

Les championnes de tennis américaines Serena et Venus Williams envisagent d'ouvrir une école de tennis d'élite sur la côte adriatique au Monténégro, rapporte ce samedi le quotidien Vijesti.

Les soeurs Williams ont fait savoir qu'elles étaient intéressées pour acheter des anciennes casernes dans le village côtier de Kumbor, près de la ville de Herceg Novi, a précisé le journal, sans révéler sa source.

Selon l'article, la mère des joueuses, Oracene Williams, a récemment effectué une visite au Monténégro pour voir le terrain et l'ancien complexe militaire laissé à l'abandon par l'armée de ce petit pays. Il comprend environ une centaine de bâtiments, sur une superficie de 250.000 m². Selon les spécialistes, ce serait un endroit idéal pour créer un camp d'entraînement de tennis, étant donné que la localité de Kumbor jouit du plus grand nombre d'heures d'ensoleillement par an du Monténégro, explique le quotidien Vijesti.

Super

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1er forfait du Giro: Da Cruz se blesse à la présentation des équipes

Carlos Da Cruz.

Le coureur français Carlos Da Cruz, de l'équipe de la Française des Jeux, touché au pied droit, a déclaré forfait avant le départ du Tour d'Italie, ce samedi, à la Maddalena.

Da Cruz s'est blessé en marchant en porte-à-faux pendant la présentation des équipes, vendredi, sur le porte-avions Garibaldi. Il est allé passer des radiographies ce samedi matin. Elles ont permis de diagnostiquer une fracture à un os.

La Française des Jeux, privée de son coureur le plus expérimenté, entame par conséquent le Giro à huit coureurs.

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Envoyé par Norton

L'OM part favori de la finale de la Coupe de France

Mamadou Nang et l'OM ne veulent pas revivre le scénario de l'année dernière. Les supporters marseillais non plus.

Orphelin de titre mais pas forcément de faits de gloire depuis 1993, Marseille disputera samedi contre Sochaux le solide sa 18e finale de Coupe de France, susceptible de consacrer une saison folle et son retour au tout premier plan du football français.

Absence de trophées
Club préféré des Français à en croire un récent sondage, l'OM avait en effet habitué ses jubilants concurrents à se manquer dans la dernière ligne droite ou à donner en spectacle ses innombrables crises internes. Au rayon raté depuis le tournant du siècle: deux défaites en finale de la Coupe de l'UEFA (1999 contre Parme et 2004 contre Valence) et une en finale de la Coupe de France la saison dernière contre le Paris SG (2-1), si dure à digérer. Il y a cependant aujourd'hui des raisons de croire à l'alternance au scrutin final.

Ribéry revanchard
D'abord parce que l'OM déboule dans ce printemps à toute allure. En cinq victoires et un nul en six matches, cette équipe a totalement renversé une situation jugée perdue (10 points de retard sur le 2e) pour atteindre au "money time" son objectif majeur: la 2e place. Second argument: le rendement du bataillon offensif. Avec 50 buts protéiformes (Cissé, Niang, Ribéry, Nasri, Pagis), l'attaque marseillaise sortie de sa quarantaine d'avant-printemps canarde aujourd'hui allègrement. Et Ribéry, qui avait raté sa finale 2006, aura le mords aux dents. Au gré des désillusions vécues cette saison, les Marseillais se sont aussi forgés un gros mental. "On assiste vraiment à la naissance d'un groupe. Nous savons tellement ce que nous pouvons perdre...", souligne ainsi le gardien Cédric Carrasso. Car le triste épilogue de 2006 est dans toutes les têtes de ce groupe, qui n'a que peu bougé d'une saison à l'autre.

Bête noire
Et puis, il y a cette folle passion des supporters, le palpitant bloqué au soir du 26 mai 1993 avec la victoire en Ligue des champions. Tout cela fait dire au coach sochalien Alain Perrin que l'OM "est favori" de cette finale inédite. C'est de bonne guerre, mais ce n'est pas faux, même si Sochaux s'est reconstruit une réputation cette saison, sous la houlette de l'ancien entraîneur de l'OM. Au point de ne pas être encore définitivement écarté de la course à la Ligue des champions. La défaite se Sochaux au Vélodrome en championnat le 29 avril (4-2) peut être trompeuse: l'OM a longtemps cravaché face à cette équipe réputée dure à bouger.

le foot c'est pas une science exacte................................

Je vous l'ai dit, rien n'est joué à foot..............

Sochaux remporte la Coupe de France en battant Marseille aux tirs au but

Sochaux (L1) a remporté sa 2e Coupe de France de football en battant en finale Marseille (L1), 2 à 2 (5-4 t.a.b.), samedi au stade de France.

Cette victoire offre à une place en Coupe de l'UEFA l'année prochaine à Sochaux, qui n'avait gagné qu'une Coupe de France, en 1937. Les Marseillais avaient très bien entamé le match, marquant dès la 5e minute par Djibril Cissé, de la tête, mais n'ont pas ensuite appuyé leur domination et se sont exposés au retour de Sochaux, qui égalisait par Moumouni Dagano, ex-joueur de Genk.

L'OM a encore mené en prolongation, encore par Cissé (98), mais Anthony Le Tallec a égalisé à 4 minutes de la fin. Aux tirs aux but, Teddy Richert a arrêté les frappes de Toifilou Maoulida et de Ronald Zubar, le gardien marseillais, Cédric Carrasso, ne bloquant que la tentative de Jérémie Bréchet.

[Norton]

ANDERLECHT CHAMPION!

Hassan et Frutos ont inscrit les deux premiers buts du match. Après vingt-cinq minutes, le match était plié.

Réclamé par le public, Biglia était ému au moment d'inscrire son premier but en championnat.

Boussoufa semble questionner Hassan sur son avenir mauve. L'avenir de l'Egyptien est-il à Anderlecht?

En tout cas, les supporters, eux, le veulent. Les banderoles ("Please Hassan Stay") suppliant Hassan de ne pas partir foisonnaient.

Outre son doublé et le titre de meilleur buteur du club (19 buts), Tchité célébrait son 1er titre de champion.

Tout le monde a pu participer à la fête, même Proto, qui n'aura pas joué un match cette saison.

Vercauteren est porté en triomphe par ses joueurs. Le coach mauve aura réussi le pari de conserver le titre de champion. Avec un arrière-goût de trop peu malgré tout?

Qu'importe, la fête pouvait continuer.

Le Sporting d’Anderlecht est champion de Belgique pour la 29e fois de son histoire. Sa victoire (6-0) contre le Brussels conjuguée à la défaite (0-2) de Genk face à Charleroi lors de cette 33e et avant-dernière journée, offre la délivrance aux hommes de Franky Vercauteren, qui reconduisent leur titre acquis l’an dernier lors de l'ultime match. La consécration des Mauves n’a souffert d’aucune contestation, la faible opposition de ce soir ayant rapidement courbé l’échine devant le feu roulant adverse. Hassan a ouvert un bal que Tchité a ponctué par un doublé. La fête pouvait commencer à l’ombre de Saint Guidon.

Résister à la pression
Le champagne était au frais, au cas où. Pourtant, il coulera à flot toute la nuit dans les coulisses du stade Vanden Stock, fier du 29e titre de son histoire, le deuxième de suite. Alors que l’an dernier, Anderlecht avait dû attendre la dernière journée du championnat pour revêtir les lauriers, les Mauves pourront se déplacer à Mons, la semaine prochaine, pour l’honneur. Ultra favori en début de saison aux yeux de tous les observateurs, tant il alignait une équipe renforcée par des valeurs sûres comme Hassan ou des jeunes talents comme Boussoufa ou Biglia, Anderlecht aura dû attendre la 28e journée de championnat, et une défaite de Genk au GBA (2-1), pour prendre la tête et ne plus la lâcher. À cet instant, il n’a plus plié, démontrant son expérience à l’instant de faire face à la pression. Et quelle pression. L’échec en Ligue des Champions, le niveau de jeu par moment moribond, notamment en début de saison lorsqu’il fut surclassé à domicile par Genk, et le rêve d'un doublé coupe-championnat envolé après l'élimination en milieu de semaine au Standard auraient pu faire tomber le champion de son piédestal.

Biglia en puissance
Et pourtant. Anderlecht n’a cessé de monter en puissance, comme l'a fait Hassan, décrié en début de compétition et supplié aujourd’hui de rester une année de plus. D’ailleurs, l’Egyptien, pourtant malade toute la semaine, inscrivait le premier but de cette soirée (son 12e de la saison), sur une ouverture lumineuse de Biglia, omniprésent (8e). L’Argentin sera à nouveau décisif quelques minutes plus tard, lorsqu’il déposait un coup-franc sur la tête de Frutos, esseulé dans le grand rectangle (2-0, 17e). Sous les viva de la foule, scandant des "Anderlecht, Anderlecht Champion" cher au Grand Jojo, le Sporting pressait son adversaire, incapable de se dégager. Le Brussels ne pouvait offrir qu’une maigre résistance à son hôte, tout près d’aggraver la marque sur une tête de Frutos ou une frappe de Mbokani. Le match se jouait à sens unique, comme en attestent les dix corners obtenus par Anderlecht en une mi-temps. Le futur champion proposait des combinaisons comme en raffole le public mauve, tel que ce double une-deux entre Biglia et Boussoufa, qui finalement atterrira dans les gants de Cordier (43e).

Encouragés par...le speaker
Anderlecht continuait le second time sur le même tempo, le Brussels en avait plein les crampons, au point de commettre l’irréparable dans le grand rectangle. Biglia, demandé à corps et à cris par les supporters, inscrivait son premier but de la saison (3-0, 60e). Déchaînés et motivés par le speaker qui leur annonçait l’abdication de Genk, les Mauves déroulaient et alourdissaient le score après un but contre son camp de Colpaert, suite à un centre de Van Damme, et un doublé de Tchité, monté à la place d’Hassan. Six buts à zéro, la fête était lancée.

Du suspense à défaut de la qualité
Septante-sept points, vingt-trois victoires pour seulement deux défaites et huit nuls concédés, la meilleure attaque (septante-quatre buts marqués, dont dix-neufs sur les trois derniers matchs) et la meilleure défense avec seulement vingt-sept goals encaissés, le Sporting, invaincu durant le second tour, mérite amplement son titre. Il a dû toutefois batailler pour coiffer sa 29e couronne, Genk lui offrant une réplique que nul n’imaginait à l’entame de la saison. D’ailleurs, le Sporting n’avait obtenu que septante points l’an dernier. C’est dire la qualité des Limbourgeois, qui finalement s’écroulèrent en fin de parcours. Le championnat belge a donc vécu et à défaut d’avoir proposé des parties d’un niveau footballistique élevé, il aura au moins eu le don d’offrir une dose de suspense que beaucoup ne soupçonnaient pas. N’est-ce pas là l’essentiel? (LS)

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Stuttgart chipe la tête de la Bundesliga

À l'image de Lincoln, Schalke risque de ne pas se relever de cette défaite. Le syndrome de 2001, année où il perdit le championnat lors de la dernière journée en faveur du Bayern, refait surface.

Cacau et Mario Gomez ont permis à Stuttgart de s'imposer à Bochum. Le VFB prend du même coup la tête de la Bundesliga.

Stuttgart s'est emparé de la première place du Championnat d'Allemagne, et s'est rapproché de son premier titre de champion depuis 1992 en s'imposant 2-3 à Bochum lors de la 33e journée samedi, tandis que Schalke 04 a perdu gros à Dortmund (2-0).

Scénario idéal
Avant la 34e et dernière journée samedi prochain, Stuttgart compte en effet deux points d'avance (67-65) sur Schalke 04, seule équipe à pouvoir lui dérober le titre, puisque Brême a sombré à domicile (1-2) devant Francfort et compte quatre points de retard. Leader depuis la 20e journée, Schalke 04 pouvait empocher samedi son premier titre depuis 1958 s'il s'imposait à Dortmund, et si ses deux derniers poursuivants, Stuttgart et Brême, s'inclinaient. Le scénario idéal pour Schalke 04 se matérialisa en moins de quinze minutes: dès la 4e minute, Stuttgart était mené 1-0 par Bochum tandis que Brême encaissait un but (13) sur son terrain devant Francfort.

Paralysé
Sauf que Schalke 04 ne parvenait pas à remplir la part de son contrat. Comme paralysé par l'enjeu, le club de la Ruhr était dominé par le jeu physique de Dortmund, multipliait les maladresses pour finalement concéder un but sur un contre conclu par l'international suisse Alexander Frei (44). Dans le même temps, Stuttgart avait égalisé (24e, 1-1), puis concédé un second but (42, 1-2). Mais le VfB, avec son équipe jeune (24,5 ans de moyenne d'âge) n'a peur de rien et égalisa grâce à une superbe tête plongeante de son buteur Mario Gomez (61), de retour après deux mois d'absence sur blessure. Le Brésilien Cacau donna à la 72e la victoire - la 7e consécutive - à Stuttgart, une victoire sans doute synonyme de titre à cueillir à domicile samedi prochain devant Cottbus, battu 0-3 par le Bayern Munich.

Alemannia Aix-la-Chapelle, dans le bas du tableau, a mené 2-0 (Matth, 65e, Nemeth, 68-ème) dans le match de la dernière chance contre Wolfsburg, qui a égalisé au cours des dix dernières minutes (Lamprecht, 81e, Klimowicz, 86e), pour conserver son
avance de 3 points (37-34) avant la dernière journée.

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Federer se sépare de son coach Tony Roche


Le Suisse Roger Federer, n°1 mondial, 25 ans, s'est séparé samedi de son coach autrichien Tony Roche. "Je le remercie pour le travail accompli pendant deux ans", a écrit Federer sur son site internet.

"Je lui suis très reconnaissant pour tout ce qu'il m'a fait réaliser, et aussi d'avoir déserté sa lointaine Australie à mon profit", poursuit-il. Federer a été éliminé au 3e tour du tournoi Master Series de Rome cette semaine, où il a disputé son 4e tournoi consécutif sans victoire. "Je n'ai pas d'explication", déclare-t-il toutefois, "je dois encore analyser tout cela...". Federer ne précise pas s'il a l'intention d'engager un nouveau coach avant Roland Garros, à la fin du mois.

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Victoire de Felipe Massa sur Ferrari


Le Brésilien Felipe Massa (Ferrari) a remporté le Grand Prix d'Espagne, quatrième des 17 épreuves du Championnat du monde de Formule 1, dimanche sur le circuit de Catalunya près de Barcelone. Le Britannique Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes), deuxième, en profite pour prendre la tête au classement du championnat du monde des pilotes. L'Espagnol Fernando Alonso (McLaren Mercedis) a pris la 3e place.

Bravo Felipe (forza ferrari) Bravo Lewis......................... Alonso..........................

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Un Real Madrid renversant

Gonzalo Gerardo Higuain célèbre la victoire du Real avec Emerson.

Ruud Van Nistelrooy fait de même...

... tout comme Diarra et Cannavaro.

Le Real Madrid, mené 3-1 sur sa pelouse par l'Espanyol Barcelone à la mi-temps, s'est finalement imposé 4-3 samedi avec un but du Franco-Argentin Gonzalo Higuain à la 89e,
pour s'emparer de la première place du Championnat d'Espagne. "Les joueurs ont réalisé un exploit", a assuré l'entraîneur du Real Madrid, l'Italien Fabio Capello, ravi du "caractère" de son équipe.

Après cette quatrième victoire consécutive, le Real occupe le fauteuil de leader avec 66 points, soit un de plus que le FC Barcelone, qui accueille dimanche le Betis Séville pour la fin de la 34-ème journée de la Liga. En cas de match nul du Barça, forcément fébrile après sa cuisante élimination de la Coupe d'Espagne à Getafe (défaite 4-0, victoire 5-2 à l'aller), le Real resterait en tête grâce aux résultats des confrontations directes (2-0 à Madrid, 3-3 à Barcelone).

Le FC Séville, vainqueur à domicile du Recreativo Huelva (2-1) au terme d'un match emballant, reste également en course pour le titre de champion et pour un fabuleux triplé (avec la Coupe d'Espagne et la Coupe de l'UEFA). Au stade Santiago-Bernabeu, l'attaquant uruguayen de l'Espanyol, Walter Pandiani, meilleur buteur de la Coupe de l'UEFA (11 buts), a été le cauchemar des Madrilènes en première période avec trois buts marqués en un peu plus d'un quart d'heure (15, 26, 34).

Mais le Real Madrid, qui avait déjà remonté un score défavorable le week-end dernier face au FC Séville (0-1 à la pause, victoire 3-2), a montré une envie incroyable après la pause, à l'image du capitaine Raul, auteur du deuxième but de son équipe à la 49e. Reyes a ensuite profité d'une mauvaise sortie du gardien camerounais de l'Espanyol, Carlos Kameni, pour égaliser (3-3, 57e).

Le Real n'en finissait plus de pousser et, face à une équipe plus préoccupée par la finale de la Coupe de l'UEFA mercredi que son classement en Liga (l'Espanyol est 11e et assuré du maintien), est parvenu à ses fins. Grâce au premier but au stade Santiago-Bernabeu du jeune attaquant Gonzalo Higuain (4-3, 89e)...