Chat
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Chat (animal) et
Chat (homonymie).
Chat domestiqueClassificationRègneAnimaliaEmbranchementChordataSous-embr.VertebrataClasseMammaliaSous-classeTheriaInfra-classeEutheriaOrdreCarnivoraSous-ordreFeliformiaFamilleFelidaeSous-familleFelinaeGenreFelisEspèceFelis silvestrisSous-espèceFelis silvestris catus
(Linnaeus, 1758)Crâne de chat.
Le
chat domestique (
Felis silvestris catus) est un
mammifère carnivore de la famille des
félidés. Il est l’un des principaux
animaux de compagnie et compte aujourd’hui une cinquantaine de
races différentes reconnues par les instances de certification. Dans de nombreux pays, le chat entre dans le cadre de la législation sur les
carnivores domestiques à l'instar du
chien et du
furet.
Essentiellement
territorial, le chat est un
prédateur de petites proies comme les
rongeurs ou les
oiseaux. Les chats ont diverses
vocalisations dont les
ronronnements, les
miaulements, ou les grognements, bien qu’ils communiquent principalement par des positions faciales et corporelles et des
phéromones.
Selon les résultats de travaux menés en
2006 et
2007[1], le chat domestique est une
sous-espèce du
chat sauvage (
Felis silvestris) dont son ancêtre, le
Chat sauvage d’Afrique (
Felis silvestris lybica) a vraisemblablement divergé il y a 130 000 ans. Les premières
domestications auraient eu lieu il y a 8 000 à 10 000 ans au
Néolithique dans le
Croissant fertile, époque correspondant aux débuts de la culture de céréales et à l’engrangement de réserves susceptibles d’être attaquées par des rongeurs, le chat devenant alors pour l’homme un auxiliaire utile se prêtant à la domestication.
Tout d’abord
vénéré par les Égyptiens, il fut diabolisé en
Europe au
Moyen Âge et ne retrouva ses lettres de noblesse qu’au
XVIIIe siècle. En Asie, le chat reste synonyme de chance, de richesse ou de longévité.
Ce félin a laissé son empreinte dans la culture populaire et artistique, tant au travers d’
expressions populaires que de représentations diverses au sein de la
littérature, de la
peinture ou encore de la
musique.
Sommaire
[
masquer]
Dénomination
Le chat domestique mâle est couramment appelé un « chat » tandis que la femelle est une « chatte » et le jeune un « chaton ». Le mot chat vient du
bas latin cattus qui d’après le
Littré dans son édition de
1878, provient du verbe
cattare, qui signifie
guetter, ce félin étant alors considéré comme un chasseur qui guette sa proie. Cette dernière interprétation porte à controverse, au vu des termes utilisés dans les
langues afro-asiatiques[2],
[3]. En latin classique, « chat » se disait
felis (d’où, en français,
félin,
félidés, etc.), mais désignait uniquement le
chat sauvage d’Europe, tandis que
cattus s’appliquait au chat domestique.
On désigne aussi plus familièrement le chat par
minet et la chatte par
minette. Ce terme, attesté dès
1560, provient de
mine, nom populaire du chat en
gallo-roman. Ce mot est à l’origine de l’expression
dès potron-minet, qui signifie « de bon matin ». D’après le
Littré, il s’agirait d’une déformation de
paître au minet, c’est-à-dire du moment où le chat, qui se lève tôt, va chercher son
paître : sa pâture, sa nourriture… Cette explication doit sans doute à la pudeur de cet auteur du
XIXe siècle : selon
Claude Duneton[4], cette expression provient de
poitron-jacquet,
jacquet désignant un
écureuil (animal matinal marchant la queue levée) et
poitron désignant le postérieur.
Dès potron-minet signifie donc : « à l’heure où l’on voit le derrière du chat ». Quant au « minet » ou à la « minette » qui « fait des mines », lorsque ce terme est appliqué à l’être humain, c’est un jeune homme ou une jeune fille qui s’efforce de plaire et se préoccupe beaucoup de son apparence
[A 1].
Un chat mâle non
castré est un « matou », terme à l’origine incertaine qui viendrait peut-être d’une dérivation de mite comme dans
chattemite[5]. Le chat est aussi nommé familièrement « mistigri »,
mot-valise composé du préfixe
miste, signifiant adroit, et de
gris, la couleur
[6].
En
argot, un chat s’appelle un « greffier »
[7]. Deux explications s’opposent, qui peut-être n’en font qu’une : d’une part, le jeu de mot sur griffe est évident ; d’autre part, la fourrure de certains chats noirs comporte une sorte de plastron blanc sur le poitrail, et celui-ci évoque le rabat blanc que l’on voyait sur la robe noire des greffiers jusqu’au
XIXe siècle[A 2].
Anatomie
Article principal :
Anatomie des félins.
Squelette et muscles
v ·
d ·
m Formule dentairemâchoire supérieure1313313112133121mâchoire inférieureTotal : 30
Denture commune aux
FelidaeLe squelette est composé de 250 os. Les vertèbres du cou sont courtes, et la colonne vertébrale est très souple. La
clavicule des chats, de petite taille comme pour tous les félins, est reliée au
sternum par un unique
ligament : cela lui confère une grande
souplesse, les
épaules pouvant bouger indépendamment l’une de l’autre. Comme tous les
carnivores, la dernière
prémolaire supérieure et la première
molaire inférieure forment les
carnassières qui permettent au chat de déchirer sa nourriture, grâce à des muscles puissants fixés aux parois latérales de son crâne, et de l’avaler sans la mâcher. L’
os hyoïde est entièrement ossifié, ce qui permet au chat de ronronner mais pas de
rugir[8].
Les pattes sont pourvues de
griffes rétractiles. Le chat possède cinq doigts aux pattes antérieures, dont seulement quatre touchent le sol, le
pouce restant à l’écart, ainsi que quatre doigts aux pattes postérieures
[8]. Des cas de
polydactylie existent et certains
standards de
races de chat l’admettent dans les concours
[A 3]. Les
coussinets ou pelotes, sont constitués d’une membrane élastique qui confère une marche silencieuse
[9].
Ces spécificités confèrent à l’animal une grande souplesse et une détente ample lors des sauts : il peut notamment sauter à une hauteur cinq fois supérieure à sa taille
[10]. À la
course, sa vitesse moyenne est de 40 km/h et il met 9 secondes pour faire 100 m, mais il n’est pas un coureur de fond et il se fatigue assez vite
[10]. Contrairement à ce que l’on peut penser, tous les chats savent très bien nager et ils n’hésiteront pas à se jeter à l’eau s’ils y sont contraints
[11].
Un chat pèse en moyenne entre 2,5 et 4,5 kg et mesure de 46 à 51 cm sans la queue, qui peut, elle mesurer de 20 à 25 cm de long. Le record de poids et de taille est détenu par Himmy, un chat
castré australien qui, à sa mort en
1986, pesait 21,3 kg pour 96,5 cm de longueur totale et un
tour de taille de 84 cm
[12].
Cliquez sur une vignette pour l’agrandirSystème digestif
Anatomie des organes vitaux du chat.
Le chat mastique peu et le processus de digestion commence directement dans l’
estomac de petite taille (environ 300
millilitres) mais qui possède un
pH très acide qui est également utile comme moyen de prévention des infections digestives
[13]. Son intestin est plutôt court (environ un mètre pour l’
intestin grêle et de 20 à 40 centimètres pour le
gros intestin), typique du chasseur de petites proies. Ces dimensions expliquent pourquoi le chat doit manger fréquemment mais en petites quantités (entre 10 et 16 repas journaliers)
[14]. Le système digestif du chat est également peu adapté à la diversité alimentaire, qui lui vaut généralement des
diarrhées et
vomissements.
Enfin, le transit digestif du chat est rapide, entre 12 et 14 heures
[13].
Pelage
Article détaillé :
Robe (chat).
Chat au pelage mi-long.
Les types de pelages sont nombreux, car très variables en fonction des
races. Le pelage du chat est composé de
poils longs (jarre) et portant les marques de la
robe (taches par exemple). En dessous se trouvent les poils plus courts (bourre), puis le duvet. Cette organisation permet une bonne
isolation du corps. Il existe des poils longs, courts, frisés, et même crépus. Certaines races, comme le
sphynx, sont presque dépourvues de poils : un très léger duvet recouvre le corps, ainsi que la queue
[10].
La
robe d’un chat est composée d’une ou plusieurs couleurs qui forment diverses combinaisons (les motifs) appelés
patrons : certains individus présentent de larges taches, d’autres des rayures ou des mouchetures, d’autres encore un pelage uni
[10]. La robe peut aussi avoir une
pigmentation plus foncée vers les extrémités du corps (robes
colourpoint,
mink et
sépia). L’alliance des différentes couleurs et des patrons donnent toutes les variations de fourrure possibles pour un chat. La couleur de la
fourrure du chat peut prendre de nombreuses teintes (noir, blanc, bleu, roux…), plus ou moins diluées ou foncées. Les mâles pour des raisons
génétiques ne peuvent avoir qu’une seule ou deux couleurs à la fois (sauf exceptions) ; seules en principe les femelles peuvent en comporter trois : ce sont les robes
écaille de tortue et
calico[15]. Un
effet désigne une teinte aux reflets changeants due à la variation de clair et de foncé sur la longueur du poil (robes
chinchilla,
shaded,
smoke ou
cameo).
Les sens
Prédateur crépusculaire (coucher et lever du soleil) à l’origine, le chat possède des sens très développés. Il perçoit son univers différemment des humains, et on lui a même prêté des pouvoirs surnaturels. Il existe ainsi de nombreuses
légendes de chats ayant prédit des
tremblements de terre ou autres catastrophes. L’explication la plus probable est que ses
vibrisses et ses oreilles sont aptes à percevoir des vibrations inaudibles pour les
humains[10].
L’ouïe
De 60 à 80 % des chats blancs aux yeux bleus sont sourds
[16].
Son
ouïe est particulièrement sensible dans les hautes fréquences : il perçoit des
ultrasons jusqu’à 50 000 Hz alors que l’
oreille humaine est limitée à 20 000 Hz
[17]. Son pavillon en cornet peut être orienté grâce à vingt-sept
muscles, ce qui lui permet de pivoter chaque oreille indépendamment pour localiser avec précision la source d’un
bruit et sa distance
[10].
La
surdité des chats blancs est liée au
gène « W », qui est responsable de l’absence de pigment dans le poil, qui paraît blanc. Il est en effet démontré que l’
allèle W est directement responsable d’une dégénérescence de l’
oreille interne, occasionnant la surdité. La surdité ne s’exprime pas systématiquement chez tous les chats : elle peut être la surdité bilatérale, unilatérale ou absente. Le chaton naît normal mais vers l’âge d’une semaine, son oreille interne, au lieu de continuer à se développer subit des altérations progressives. La dégénérescence est généralement complète à trois semaines
[16].
La vue
Gros plan sur l’
œil d’un chat.
Le
tapetum lucidum des yeux du chat réfléchit la lumière.
La
vue est son sens primordial. Son champ de vision est plus étendu que celui des humains : l’angle de
vision binoculaire est de 130°, pour un champ de vision total de 287°, contre seulement 180° chez l’
homme[18], ce qui reste cependant loin du record absolu du monde animal.
L’intensité lumineuse influence la forme de la
pupille : allongée en fente étroite en pleine lumière, elle se dilate en un cercle parfait à la pénombre. Contrairement à une idée répandue, il est incapable de voir dans le noir complet. Il est toutefois beaucoup plus performant que l’œil humain dans la pénombre. La nuit, l’aspect brillant des yeux est dû à une couche de cellules de la
rétine, appelée
tapetum lucidum, qui agit comme un miroir et renvoie la lumière perçue, ce qui la fait passer une seconde fois dans la rétine et multiplie son acuité visuelle dans l’obscurité
[10].
En revanche, il semblerait (cela est encore discuté) que le chat ne perçoive pas la couleur rouge et que, d’une manière générale, il distingue très mal les détails. Sa vision est granuleuse sur les images fixes tandis qu’un objet en mouvement lui apparaît plus net (par exemple une proie en mouvement)
[10].
Une particularité de l’œil du chat est qu’outre les
paupières inférieure et supérieure, il est protégé par une troisième paupière, la
membrane nictitante. Celle-ci se ferme à partir du bord inférieur du coin interne de l’œil vers l’extérieur. Quand elle ne se referme pas complètement, c’est souvent le signe d’un problème de santé chez le chat
[10]. Les chats peuvent avoir les yeux de différentes couleurs comme bleus, verts, jaunes, marrons...
L’odorat
Gros plan sur le
nez du chat.
L’
odorat a une grande importance dans la vie sociale du félin pour délimiter son territoire. Par ailleurs, c’est son odorat développé qui lui permet de détecter la nourriture avariée et empoisonnée. Il possède deux cents millions de terminaux olfactifs, contre cinq millions pour l’homme
[19]. Ce sens est de 50 à 70 fois mieux développé que chez l'homme.
Le goût
Le sens du goût est développé chez le chat, moins que chez l’homme cependant : chez le chat adulte, on compte 250
papilles comptant 2 000 bourgeons gustatifs
[20]. Contrairement au
chien, le sens gustatif du chat est localisé à l’extrémité de la langue, ce qui lui permet de goûter sans avaler. Il est sensible à l’amer, à l’acide et au salé, mais non au sucré
[10].
Le toucher
Son sens du
toucher est également bien développé. Ses
vibrisses (moustaches, mais il y en a aussi aux pattes, sous le menton, les sourcils) lui indiquent la proximité d’obstacles, même dans l’obscurité totale, en lui permettant de détecter les variations de
pression de l’air. Celles-ci lui permettent aussi de mesurer la largeur d’un passage. Il ne faut surtout pas les couper car le chat serait déstabilisé
[réf. nécessaire]. Les coussinets garnissant ses pattes sont très sensibles aux vibrations et sa peau est constellée de cellules tactiles extrêmement sensibles
[10].
Autres sens
Organe de Jacobson
L’
organe de Jacobson est un véritable sixième sens. Comme le
chien ou le
cheval, le chat est capable de goûter les odeurs à l’aide de son
organe voméro-nasal. Il retrousse ses
babines pour permettre aux odeurs de remonter par deux petits conduits situés derrière les
incisives jusqu’à deux sacs remplis de fluide dans les cavités nasales chargées de concentrer les odeurs
[10].
L’équilibre lors d’une chute : l’organe vestibulaire
Article détaillé :
Réflexe de redressement du chat.
Son
organe vestibulaire est également particulièrement développé, lui conférant un bon sens de l’équilibre. Ceci explique l’étonnante faculté qu’ont les chats de se retourner rapidement pour retomber sur leurs pattes lors d’une chute
[10].
Si un chat fait une chute de deux mètres et plus (si tel n’est pas le cas, sa technique ne marche pas) alors qu’il est sur le dos, il peut se retourner afin d’amortir cette chute. En effet, il tourne d’abord sa tête en direction du sol, entraînant les pattes avant puis les pattes arrières
[21]. Le chat se retrouve alors le ventre en direction du sol et prend une position qui ressemble à celle d’un
écureuil volant. Il ne lui reste qu’à courber le dos et dès qu’il se rapproche du sol, il rassemble ses pattes, comme s’il était sur terre. Cependant cela ne le sauve pas forcément mais rend juste la chute moins grave
[22].
Différences morpho-anatomiques : les races de chat
Articles détaillés :
Race (chat) et
Liste des races de chats.
En France, un chat de race est un chat ayant un
pedigree[23]. Les registres d’immatriculation des spécimens sont maintenus par différentes associations comme les américaines
TICA, l’
ACFA et le
CFA, la française
LOOF, deux fédérations internationales, la
FIFé et la
WCF ou encore la
GCCF britannique. Ces associations permettent l’inscription des spécimens sur des critères d’origines génétiques stricts. Ainsi tout animal dont les géniteurs ne sont pas inscrits est écarté. Ces inscriptions sont payantes.
Les chats de race sont une minorité et ne représentent selon l’
AFIRAC que 5 % de la population totale des chats
[24]. Tous les autres chats domestiques, ceux ne possédant pas de pedigree, sont considérés comme
chats de gouttière, appelés également chats de maison.
Le nombre de races reconnues varie du simple au double selon ces organisations
[A 4]. Certaines sont très anciennes, comme le siamois ou l’
angora turc, d’autres ont été créées plus récemment, comme le
ragdoll ou le
peterbald. L’homme a également procédé à des
hybridations entre chats domestiques et petits félins, ce qui a donné naissance à des races telles que le
bengal.
Comportements
Le chat est d’une nature très indépendante. Contrairement au chien, il se promène seul. C’est un animal rituel qui apprécie bien les situations récurrentes (heures fixes pour les repas par exemple). Bien que territorial, c’est un animal social. Bon nombre de
chats harets vivent en groupe.
Structure sociale
Le chat est un animal territorial. Cela signifie que la préservation de son lieu de vie est le moteur principal de ses interactions avec les autres individus. Lorsque plusieurs chats partagent le même appartement, il n’est pas rare de les voir choisir chacun son propre « chemin » pour aller d’un lieu à un autre ; ils se partagent ainsi leur territoire.
Le chat n’est pas un animal strictement solitaire : selon l’espace et les ressources disponibles, les chats forment différentes structures spatiales et sociales. Cela va des chats solitaires en milieu
rural aux larges et denses groupes en milieu
urbain. Il est démontré que ces différentes organisations spatiales et sociales entraînent différents systèmes d’
appariement[25] : en milieu rural, le système est
polygyne, tandis qu’en milieu urbain, il est difficile pour les mâles dominants de monopoliser plusieurs femelles. En raison de leur forte cohésion, différents groupes de chats se voisinant ont tendance à devenir éloignés génétiquement et la même recherche a démontré un important déficit en
hétérozygotes.
Communication
Les chats communiquent principalement entre eux par des
phéromones ou des positions corporelles.
Les glandes contenant les phéromones se trouvent en de nombreux points sur le corps : glandes anales, autour de la queue et de la bouche, sur les joues, entre les coussinets et se déposent également dans la
salive, les
selles et l’
urine. Elles ont l’avantage de pouvoir durer dans le temps, même en l’absence du chat, contrairement aux vocalises ou aux positions corporelles. Elles peuvent être déposées de manière volontaire (marquage du territoire, contacts sociaux comme l’allotoilettage…) ou involontairement (stress, attachement de la mère à ses chatons, phéromones sexuelles)
[26]. Le chat utilise également une large gamme de positions corporelles pour communiquer. La position générale du corps, ses mimiques faciales ou les mouvements de sa queue, de ses yeux et de ses oreilles indiquent l’état dans lequel se trouve le chat
[26]. En dehors de la relation entre une chatte et ses petits, le miaulement est très peu utilisé lorsque des chats communiquent entre eux. Par contre, au contact de l’humain, il continue souvent à utiliser différentes vocalises pour communiquer
[26].
Chat soumis à un autre.
Chat se hérissant et courbant le dos.
Groupe de chats se partageant des ordures devant les remparts
- peux faire plus, fainéant..............