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Radwanska remporte le WTA Brussels Open

© photo news.
Agnieszka Radwanska, 3e joueuse mondiale et tête de série N.1 de l'épreuve, a remporté la 2e édition du Brussels Open de tennis, épreuve de la WTA sur terre battue dotée de 637.000 dollars jouée dans les installations du Primerose Royal Club à Laeken. Samedi en finale, Radwanska a battu la 49e joueuse mondiale la Roumaine Simona Halep sur le score de 7-5 et 6-0, en 1h24 de jeu.

La première manche s'est résumée à un festival de breaks. Radwanska prenait le large à 4-2, mais Halep parvenait à renverser la vapeur et servait pour le gain du set à 4-5. La Polonaise de 23 ans inversait à son tour le court du match pour mener 6-5. Elle faisait parler son expérience des moments importants pour réaliser son quatrième et dernier break, décisif cette fois, dans cette manche initiale qu'elle remportait finalement 7-5.
La seconde manche n'était plus qu'une formalité pour Radwanska. Agressive et très précise, elle ne laissait plus aucun jeu à la Roumaine pour s'imposer 6-0 et remporter le troisième titre de sa saison, après ceux décrochés à Dubaï et Miami. Ce titre à Bruxelles est le 10e de sa carrière en 12 finales disputées.
Halep, 20 ans, s'incline dans sa troisième finale sur le circuit WTA après celles perdues à Fès en 2010 et 2011.

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Vos questions Roland-Garros!

25.05.2012 13:31 mise à jour le 27.05.2012 à 16:40
Roger Federer s'effondre après avoir remporté Roland-Garros en 2009, le seul tournoi du Grand Chelem qui manquait à son palmarès. [EPA/CHRISTOPHE KARABA - Keystone]


C'EST PARTI POUR LES INTERNATIONAUX DE FRANCE à ROLAND-GARROS!
Sur notre antenne - et sur notre site - Stanislas Wawrinka ouvre les feux face à l'Italien Flavio Cipolla (no 70 mondial).
Suit la rencontre Andrey Kuznetsov, RUSSIE, face à Jo-Wilfried Tsonga (FRA).
Posez ici vos questions dès maintenant et pendant la durée du tournoi de Roland-Garros. La terre battue est le signe distinctif des Internationaux de France entre dimanche 27 mai (Pentecôte) et dimanche 10 juin (finale masculine)
Rendez-vous en bas de cette page pour formuler vos questions, remarques, idées, suggestions !

Max, le 26.05.2012 à 23:09Bonjour Pascal,

" Nadal part favori à la Porte d'Auteuil, et patatra..." nous rabâche-t-on déjà les oreilles avec ce type de spéculation, et ce même de l'avis de l'actuel n°1.
Je dirais que Nadal peut être battu et même sur sa surface de prédilection! La démonstration a été donnée par son compatriote Verdasco au dernier open de Madrid; en livrant un jeu quasi symétrique à celui de Nadal, d'autant plus qu'il est également gauché (un vrai...). Oui de ce fait, Verdasco avait bien réussi à casser le jeu de Nadal. Par contre, si on se place en cogneur monomaniaque de fond de court, un peu à l'image de Djoko à Rome lundi dernier; là certes les chances seraient minimes, sachant pertinemment que Nadal contrôle très bien sa surface notamment en fond de court dès lors qu'il se place souvent 3 à 4 mètres derrière sa ligne...
Quid de votre part à ce propos? en guise de pronostic bien évidemment.
Je vous remercie.
Bien à vous.
Max
P.-s: Juste en passant, merci à Jean-Marc R. de m'avoir snobé ces derniers jours, sous ces mêmes rubriques...

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Un "triple double" de Rondo offre une finale contre Miami à Boston

27.05.2012 09:59 mise à jour à 10:26
Rajon Rondo a été intenable samedi dans les rangs des Celtics, réussissant un 9e "triple double" en playoff. [Jim Rogash - AFP]

Boston rencontrera Miami à partir de lundi en finale de la Conférence Est de NBA après sa victoire à domicile 85-75 samedi contre Philadelphie grâce à Rajon Rondo. Dans ce match décisif, le meneur a signé un "triple double" avec 18 points, 10 passes décisives et 10 rebonds pour permettre aux Celtics de gagner la série 4-3 face aux 76ers et aller en finale de Conférence pour la 3e fois en cinq saisons.
Pour Rajon Rondo, il s'agit du 9e "triple double" en playoff! Seuls trois joueurs font mieux dans l'histoire de la NBA: Magic Johnson, Jason Kidd, Larry Bird.
Le meneur de jeu de Boston, qui n'est pas réputé pour ses qualités de shooteur en extension, a signé un long panier à trois points crucial à deux minutes de la fin (78-68) pour offrir dix points d'avance à son équipe, qui a ensuite parfaitement géré l'affaire sur la ligne des lancers francs (7 sur 8).
Le shooteur de Boston Paul Pierce (15 points, 9 rebonds) a été exclu du jeu pour un trop grand nombre de fautes à quatre minutes de la fin mais cela n'a pas dérangé les expérimentés Celtics, ni Rondo, qui a marqué les 9 points suivants et 11 des 14 derniers points des vert et blanc.
"Rondo est un super quarterback"

Même s'il apparaît ici en difficultés, Kevin Garnett s'est fait l'auteur de 18 points et 13 rebonds. [Elise Amendola - Keystone] "Rondo aime être dans cette position où il prend le contrôle de l'équipe, c'est un super quarterback, a expliqué l'entraîneur de Boston Doc Rivers. Et avec la sortie prématurée de Paul (Pierce), c'est ce qu'il a fait."
Kevin Garnett a compilé 18 points et 13 rebonds pour contribuer au succès de Boston, qui va affronter Miami pour la troisième année d'affilée en séries (qualification en 2010 au 1er tour et élimination au 2e tour en 2011).
Philadelphie, grâce notamment à l'explosif Andre Iguodala (18 points) est resté dans le match jusqu'à quatre minutes de la fin (71-68) mais Rondo s'est chargé de détruire les espoirs des 76ers, tombeurs de Chicago au 1er tour.
Vingtième duel en playoff entre Boston et Philadelphie

La rivalité qui oppose les Celtics en séries à Philadelphie remonte aux années 50, quand les 76ers étaient les Syracuse Nationals. Les deux franchises disputaient leur 20e série de playoff, un record du genre en NBA.
L'autre finale de Conférence, à l'Ouest, opposera à partir de dimanche les San Antonio Spurs au Oklahoma City Thunder.

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Dragan Mrdja, héros providentiel du FC Sion

26.05.2012 17:21 mise à jour le 27.05.2012 à 01:15
Mrdja (centre) et ses coéquipiers ont démontré leur supériorité face au pensionnaire de Challenge League. [Jean-Christophe Bott - Keystone]

Sion a parfaitement négocié son barrage aller face à Aarau en vue de son maintien dans l'élite du football suisse. Vainqueurs 3-0 des Argoviens à Tourbillon, les Sédunois ont peut-être fait le plus dur avant le match retour prévu lundi (en direct sur RTS Deux à 17h00).
Le FC Sion a fait un grand pas vers le maintien samedi à Tourbillon. Sous un soleil de plomb, les Valaisans ont forcé la décision grâce au revenant Dragan Mrdja, auteur d'un magnifique doublé. Près d'une année d'absence en raison de deux déchirures des ligaments croisés (une à chaque genou) consécutives n'a pas suffi a enlevé à l'attaquant serbe son sens du but.
Revenu au jeu avec la première équipe le 20 mai face à YB, Mrdja s'affirme comme le buteur providentiel, le héros dont Sion avait besoin. C'est lui qui, magnifiquement servi par Serey Die, a L'aventure entre Petkovic et le FC Sion semble partie pour durer. [Peter Klaunzer - Keystone] ingénieusement piqué le ballon pour un 1-0 libérateur (58e).
Coaching gagnant pour Petkovic

C'est Mrdja encore, toujours lancé par Serey Die, qui a répondu avec son 3-0 (82e) à la banderole déployée en début de match: "Ensemble retrouvons les sommets". Car oui, sous son impulsion, le FC Sion a renoué avec ce qui faisait sa force durant l'automne dernier: sa jouerie, son collectif, sa flamme.
Assurément, Vladimir Petkovic a eu une intuition géniale en lançant le Serbe et Xavier Margairaz, auteur du 2-0 (68e) dans la bataille. Leur présence a dynamisé le jeu sédunois et dynamité l'arrière-garde argovienne.
Cette deuxième période n'efface toutefois pas les errements de la première. Car après une belle entame, les Valaisans ont souffert physiquement.
L'effondrement du FC Aarau

Ils ont même semblé suffoquer. Mais les efforts de Serey Die, inépuisable travailleur, et un double arrêt miraculeux d'Andris Vanins devant Remo Staubli (35e) ont maintenu les Sédunois à flot. L'Ivoirien et le Letton ont tous deux offert une prestation irréprochable.
Le FC Aarau s'est vaillamment défendu, mais s'est finalement effondré. Les joueurs de René Weiler sauront-ils rebondir lundi à 17h00 dans leur Bruegglifeld? Cette mission paraît impossible face à un FC Sion retrouvé.
A noter que les Argoviens ont joué sous protêt. Ils estiment que le Servette FC aurait dû être relégué administrativement et que le barrage n'avait donc pas lieu d'être disputé.
Serey Die: "Ne pas s'enflammer"

SEREY DIE (SION): On est bien parti, mais il ne faut pas s'enflammer. Il reste le match retour et j'ai envie de dire que rien n'est fait. Il faudra encore faire le job lundi, entrer dans la rencontre en étant concentré. On avait la consigne de mettre la pression durant le premier quart d'heure, on l'a fait, on n'a pas douté, on savait que le déclic finirait par venir. Mes deux passes décisives? J'avais de l'espace devant moi, j'en ai profité. Je suis content pour Dragan. Il le mérite, j'espère que cela continuera ainsi pour lui avec la grâce de Dieu.
Véritable poumon de l'équipe valaisanne, Serey Die a plaisanté en zone mixte: "Le physique c'est ma force, la technique... Les deux passes? Oui, c'est vrai... (rires)" [Laurent Giiliéron - Keystone]Arnaud Buehler: "Le groupe a répondu présent"

ARNAUD BUEHLER (SION): On a rempli aujourd'hui la première partie du contrat. Il nous reste encore la deuxième. Dans ce match, on aurait pu marquer tout de suite, on ne l'a pas fait. Après on savait qu'Aarau allait finir par craquer physiquement. Alors que sur ce plan, on est des joueurs de Super League tout de même. Je ne peux que féliciter Dragan. Ce serait formidable qu'on puisse passer ce barrage grâce à lui. Mais tout le groupe a répondu présent, s'est fait plaisir et a présenté une belle jouerie en deuxième mi-temps.
Dragan Mrdja: "Une victoire collective"

DRAGAN MRDJA (SION): Oui, je suis très content. Mais je ne veux pas trop parler de ma performance individuelle, c'est avant tout une victoire collective. Le carton jaune (ndlr: Mrdja a été averti après avoir enlevé son maillot lors d'une célébration)? Oui, je savais que je serais averti, mais bon (rires).
VLADIMIR PETKOVIC (COACH SION): On a bien commencé, après j'ai vu du doute, des choses négatives dans notre jeu. A la mi-temps, j'ai ressenti que mon équipe n'était pas à 100%, certains joueurs souffraient de la chaleur. Mais après la pause, j'ai vu un autre Sion. Il faut aller à Aarau pour gagner. Du feeling pour les changements? Oui, mais un peu de chance aussi (rires).
René Weiler: "En face, ce n'était pas GC"

RENE WEILER (COACH AARAU): On a bien joué durant 45 minutes, en se créant notamment une grande chance de but. Le coach de Sion a pu compter sur Mrdja et Margairaz pour donner une nouvelle impulsion en deuxième mi-temps. C'est clair qu'affronter Sion, ce n'est pas la même chose que de jouer GC... Maintenant, il faut bien récupérer pour lundi, car avec 17-18 joueurs dans l'effectif, les possibilités ne sont pas infinies. Et nous verrons ce que nous pourrons faire chez nous, devant nos supporters.

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Cancellara sur la bonne voie en vue des Jeux

26.05.2012 17:02 mise à jour le 27.05.2012 à 01:19
Le Bernois a réussi une performance modeste en Bavière. [PETER KNEFFEL - Keystone]

De retour après sa terrible blessure survenue au Tour des Flandres, Fabian Cancellara a renoué avec la compétition au Tour de Bavière en se classant 14e du contre la montre. Mais l'important est ailleurs, puisque le Bernois rêve de conserver sa couronne olympique du chrono à Londres.
Fabian Cancellara retrouve la forme. Le Bernois de Radioshack a terminé le contre-la-montre du Tour de Bavière à la 14e place, à 32 secondes du vainqueur Michael Rogers (Aus/Sky).
Près de deux mois après sa fracture de la clavicule aux Tour des Flandres, Fabian Cancellara ne pouvait prétendre à mieux face à une solide opposition. Il a ressenti les efforts consentis durant les trois premières étapes.
Egalement de retour à la compétition après un arrêt d'un mois, l'Allemand Tony Martin a renoué avec le succès lors du contre-la-montre du Tour de Belgique. Le champion du monde en titre de la spécialité sera l'un des principaux contradicteurs de Cancellara à Londres.

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Stanislas Wawrinka se qualifie pour le 2e tour

Roland Garros

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Stanislas Wawrinka (no 18) s'est qualifié pour le deuxième tour de Roland-Garros. Le Vaudois s'est débarrassé, non sans difficulté, de l'Italien Flavio Cipolla (ATP 75) 6-3 6-3 4-6 3-6 6-2 en 3h19.
Mis à jour à 16h17 8 Commentaires

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Image: Keystone

• Stanislas Wawrinka
• Roland-Garros 2012

La confrontation n'a pas été de tout repos pour le droitier de St-Barthélemy. Alors qu'il s'acheminait vers une victoire aisée, le numéro deux suisse a connu un gros passage à vide lors des 3e et 4e sets face à un adversaire qui semblait pourtant totalement dépassé après les deux manches initiales.
Cette première confrontation sur terre battue face au Romain a vu le Suisse entrer dans le match avec panache. Les nombreux passings et le break réussi d'entrée ont permis au Vaudois d'aborder le 2e set avec tranquillité. Une deuxième manche durant laquelle le Vaudois a connu des difficultés à concrétiser ses occasions de creuser l'écart malgré trois breaks réussis.
«Stan» a même connu une alerte en étant contraint de disputer une quatrième manche. En effet, le Vaudois est passé complètement à côté de son 3e set en perdant le fil de son tennis. Dommage, d'autant plus que son adversaire n'a réussi dans cette manche qu'un seul coup gagnant. Après avoir perdu «tout seul» ce 3e set, il n'est pas parvenu à redresser la 4e manche, face à Cipolla, qui l'avait déjà obligé à disputer 5 sets à l'US Open en 2008 (5-7 6-7 6-4 6-0 6-4).
Retour gagnant
Heureusement pour lui, Wawrinka a retrouvé tous ses esprits dans le set décisif durant lequel il a signé le break d'entrée. Doté d'un net avantage physique et technique, Wawrinka a conclu le match sur sa 3e balle de match.
Le Vaudois, qui n'a jamais passé le cap des huitièmes de finale à Paris (éliminations en 2010 et 2011 contre Roger Federer), retrouvera au tour suivant, Pablo Andujar (ATP 36) ou Victor Hanescu (ATP 145), vainqueur à Gstaad en 2008. Dans les confrontations directes, le Vaudois mène 2-0 contre l'Espagnol et 3-2 face au Roumain.

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Mark Webber remporte le Grand Prix de Monaco

Formule 1

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Parti en pole position, L'Australien Mark Webber a gagné dimanche le Grand Prix de Monaco. Nico Rosberg (All) termine deuxième et Fernando Alonso complète le podium.
Mis à jour à 15h35 2 Commentaires

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Nouvelle victoire pour le coureur australien.
Image: AFP




L'Australien Mark Webber (Red Bull), parti en pole position, a remporté dimanche le 70e Grand Prix de Monaco, 6e manche du Championnat du monde de Formule 1, devant l'Allemand Nico Rosberg (Mercedes) et l'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari), qui prend la tête du championnat. «C'était une course très intéressante, pas trop difficile.
Il fallait d'abord creuser un écart avec les pneus super-tendres, puis refaire un écart après l'arrêt au stand et aller jusqu'au bout, malgré la pluie en fin de course», a dit Webber, 35 ans, après la 8e victoire de sa carrière, en 183 Grands Prix.
Grâce à sa 3e place, juste devant l'autre Red Bull de l'Allemand Sebastian Vettel, 4e, Alonso prend la tête du championnat du monde, avec trois points d'avance sur Vettel, parti de la 5e ligne sur la grille de départ à la suite de son impasse sur la fin des qualifications, samedi.
De bout en bout
Webber a mené quasiment de bout en bout et gagné à Monaco pour la deuxième fois en trois ans, après sa victoire de 2010. Il est le 6e vainqueur différent en six courses depuis le début de la saison 2012, soit un record absolu depuis la création du Championnat du monde de F1 en 1950.
Le pari de Vettel, vainqueur l'an dernier à Monaco, lui a permis de mener la course pendant quelques tours, à la mi-course, et cela jusqu'à son changement de pneus, obligatoire mais effectué plus tard que ses rivaux.
Cette stratégie, que le double champion du monde en titre a été le seul à adopter, lui a permis de mener brièvement, puis de terminer 4e de cette course où il y a eu très peu de dépassements et d'incidents notables, sauf en queue de peloton.
Grosjean out
Les six premiers à la fin du premier tour, marqué par l'élimination prématurée du Français Romain Grosjean (Lotus) et du Vénézuélien Pastor Maldonado (Williams), sont tous restés dans le Top 6 jusqu'à la fin de la course. Ils ont juste terminé dans un ordre légèrement différent entre la 4e et la 6e place.
Schumacher, cinq fois vainqueur à Monaco et meilleur temps absolu samedi, sa 69e pole position, était parti en 6e position sur la grille, penalisé de cinq places suite à un incident de course au GP d'Espagne, il y a 15 jours.
Impliqué malgré lui dans l'accrochage avec Grosjean, qui s'est rabattu alors qu'il était en train de le dépasser, «Schumi» a fait une course anonyme, dans le peloton, et arrêté les frais au 64e tour, alors qu'il venait de disparaître du Top 10 à cause d'un comportement moins efficace de sa Mercedes.

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La Grèce veut croire aux heureux présages

Euro 2012

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Au sein du «groupe de la vie», la sélection de Fernando Santos peut espérer accéder au quart de finale. Et tenter de semer la zizanie comme en 2004.
Mis à jour à 10h47 1 Commentaire

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Le sélectionneur Fernando Santos indique la voie à suivre à l'entraînement (23 mai 2012).
Image: AFP
Fiche technique

Palmarès:; Coupe du monde: néant; Euro: vainqueur (2004)Coupe des Confédérations: néant

Dans le groupe A avec La Pologne, la Russie et la République tchèque.

Sélectionneur: Fernandos Santos

Capitaine: Giorgos Karagounis

Joueur vedette: Fanis Gekas

Parcours de qualifications: 1er du groupe F (7 victoires et 3 nuls).

Équipe-type: Chalkias - Torosidis, A. Papadopoulos, Papastathopoulos, Holebas - Katsouranis, Karagounis (cap.), Ninis - Samaras, Salpigidis, Gekas.
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En 2004, les Grecs avait provoqué l'émoi de la planète foot en dominant le Portugal, pourtant à domicile, lors du match d'ouverture de l'Euro. Ils avaient récidivé en finale pour devenir champions d'Europe.
Comme un signe du destin et peut-être un heureux présage, la Grèce va défier le pays co-organisateur, la Pologne, pour le premier match de l'Euro 2012. Après l'annonce du tirage au sort, l'attaquant Angelos Charisteas, buteur lors de la finale 2004, ne s'y est d'ailleurs pas trompé.
«On a eu l'Euro 2004 à l'esprit», a commenté le vétéran, 32 ans, finalement écarté de la pré-liste de 25 joueurs établie par le sélectionneur Fernando Santos, pour disputer la compétition.
Malgré ce clin d’œil de l'histoire et la présence de trois cadres de l'équipe championne d'Europe, le gardien Costas Chalkias et les milieux Kostas Katsouranis et Giorgos Karagounis, la Grèce de Santos offrira un visage bien différent de celui présenté en 2004 sous la baguette du rigoureux technicien allemand Otto Rehhagel remercié après la piteuse prestation hellène au Mondial 2010.
«Dominer le jeu»
Sous la direction du sélectionneur portugais, Fernando Santos, l'hermétisme défensif qui avait permis à la Grèce de conquérir son seul titre majeur, n'est plus l'alpha et l'oméga du jeu grec. Le sélectionneur portugais, en injectant un peu de sang neuf, a su également insuffler un esprit d'attaque à son équipe.
«Nous avons notre propre identité et nous ne la changerions pour personne, estime Santos. Je ne suivrai pas la tactique de Rehhagel. Je veux que les gens disent que l'équipe nationale de Santos est un groupe compact avec sa propre identité. Nous voulons dominer le jeu», ajoute-t-il.
Santos dont la carrière comme joueur fut des plus modestes, seulement quatre ans dans des équipes comme le Maritimo ou Estoril, insiste pour que ses joueurs collent au style de jeu qui leur a permis de finir premiers dans son groupe qualificatif, devant la Croatie.
«Notre obligation est de nous donner à 100% et de coller aux fondamentaux de notre équipe», a-t-il dit. «Avoir de la passion, de l'organisation, un esprit clair et toujours jouer pour gagner.»
«25% de chances de se qualifier»
Fernando Santos, qui, comme entraîneur de Porto peut s'enorgueillir d'un championnat en 1999 et de deux Coupes du Portugal en 2000 et 2001, estime que le groupe A composé également de la Russie et de la République tchèque est très ouvert.
«Le groupe dans lequel nous avons été versé, est à notre portée, chaque équipe a 25% de chances de se qualifier». «Je ne crois pas aux tirages chanceux ou malchanceux. Tout va se décider sur le terrain. J'ai une totale confiance dans mes joueurs et je sais qu'ils seront prêts pour la phase de groupe» a-t-il affirmé.
Le technicien qui dispose d'une ossature de joueurs expérimentés, a complété son groupe avec de jeunes talents comme Giannis Fetfatzidis et Giorgos Fotakis.
Mais une défaite 3 à 1 face à la Roumanie en amical qui a mis fin à une série de 16 matchs sans défaite, a servi de piqûre de rappel contre tout excès d'optimisme.

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Steve Darcis n'a pas fait le poids face à Verdasco

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Pas de miracle pour Steve Darcis dimanche au premier tour des Internationaux de France de tennis au stade Roland-Garros de Paris. Le numéro 1 belge, 61e mondial, n'a rien pu faire face au spécialiste de la terre battue qu'est l'Espagnol Fernando Verdasco, 16e mondial et tête de série N.14 dans cette 2e levée du Grand Chelem.
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Le gaucher madrilène, tombeur de Rafael Nadal au récent tournoi de Madrid, s'est imposé en trois manches 6-3, 6-2 et 7-6 (7/4). Cette défaite aussi tôt dans le tournoi coûtera pas mal de points au Liégeois de 28 ans au classement mondial, puisqu'il avait atteint le 3e tour (seizièmes de finale) l'an dernier. Verdasco, 28 ans, rencontrera au 2e tour le vainqueur du match entre le qualifié néerlandais Igor Sijsling (ATP 122) et le Luxembourgeois Gilles Muller (ATP 54).




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Hesjedal remporte le Giro, le Belge De Gendt sur le podium

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MISE À JOURRyder Hesjedal (Garmin) est devenu le premier Canadien à remporter le Giro, dimanche à Milan, après le succès de l'Italien Marco Pinotti (BMC) dans la 21e étape, un contre-la-montre de 28,2 kilomètres. Au lendemain de sa magnifique victoire d'étape au sommet du Stelvio, notre compatriote Thomas De Gendt (Vacansoleil) a réussi lui à monter sur la 3e marche du podium en terminant l'épreuve contre le chrono en 5e position.
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Hesjedal, 31 ans, a repris le maillot rose dans cette étape à l'Espagnol Joaquim Rodriguez, 33 ans, sur lequel il comptait 31 secondes de retard. Au classement final, il le précède de 16 secondes, et la troisième place est revenue à Thomas De Gendt, à 1 min 39 sec du vainqueur. Au lendemain de sa magnifique victoire d'étape au sommet du Stelvio, notre compatriote a réussi à monter sur la 3e marche du podium en terminant l'épreuve contre le chrono en 5e position.

Pour la première fois depuis 1995, le cyclisme italien ne compte aucun représentant sur le podium final.

Les deux derniers vainqueurs de la course rose, Michele Scarponi (2011, après le déclassement de l'Espagnol Alberto Contador) et Ivan Basso (2010), ont dû se résigner aux accessits. Ils se sont classés respectivement quatrième et cinquième.

Rodriguez, en tête du Giro depuis la 15e étape, a concédé 47 secondes à Hesjedal dans l'ultime contre-la-montre, tracé dans les avenues de Milan sans aucune difficulté de relief.

Pinotti, qui ambitionne de décrocher sa sélection pour le contre-la-montre des JO de Londres, a roulé à la moyenne de 51,117 km/h pour devancer de 39 secondes le Gallois Geraint Thomas et de 53 secondes le Néo-Zélandais Jesse Sergent.

Hesjedal s'est classé sixième de ce contre-la-montre, à 1 min 09 sec de l'Italien.

Le Canadien a creusé l'écart au fil des kilomètres sur Rodriguez (29 sec après 11,7 km) et a comblé son retard initial au classement général au 14e kilomètre.

"Pour moi, c'est une expérience incroyable, une joie trop grande. J'ai commencé à y croire au fil des jours parce que je voyais que les jambes tournaient bien. Même dans la tête, j'étais détendu. Et, à la fin, j'ai réussi", a déclaré le natif de Victoria, sur la côte du Pacifique, qui n'était encore jamais monté sur le podium d'un grand tour (6e du Tour de France 2010).