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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
27/05/2012, 18h33
Mark Webber remporte le Grand Prix de Monaco
© reuters.
L'Australien Mark Webber (Red Bull) a remporté le Grand Prix de Monaco, 6e des 20 épreuves du championnat du monde, dimanche dans la principauté. Parti en première position sur la grille de départ, Webber décroche la première victoire de sa saison, la 8e de sa carrière et la 2e à Monaco. Il a devancé l'Allemand Nico Rosberg (Mercedes). L'Espagnol Fernando Alsonso (Ferrari) complète le podium et prend surtout, seul, la place de leader au championnat du monde (76 pts).
© reuters. © belga. © reuters. © getty.
A égalité en tête au classement avant le Grand Prix, l'Allemand Sebastien Vettel (Red Bull) - 73 pts désormais au championant du monde avec Webber (73) - a pris en effet la 4e place devant le Britannique Lewis Hamilton (McLaren), 5e. C'est le 6e vainqueur différent cette saison.
Après avoir réalisé la pole position chronométrée samedi, l'Allemand Michael Schumacher (Mercedes) était parti de la 6e position sur la grille en raison d'une pénalité qu'il lui était infligée depuis le 13 mai. 'Schumi' a du abandonné au 65e des 78 tours suite à un problème mécanique.
D'entrée de Grand Prix, le Français Romain Grosjean (Lotus) et le Vénézuélien Pastor Maldonado (Williams-Renault) avaient été éliminés. Grosjean, parti de la 2e ligne sur la grille, a été sorti sur un accrochage avec Schumacher, et la voiture de Maldonado, vainqueur du GP d'Espagne il y a 15 jours, a été victime collatérale de l'accident.
Le prochain rendez-vous est fixé au 10 juin avec le Grand Prix du Canada sur le circuit Gilles Villeneuve
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27/05/2012, 18h36
L'Espagne défendra son titre avec Juanfran, sans Soldado
La seule véritable surprise est Juanfran, latéral droit de l'Atletico Madrid, Negredo étant le troisième avant-centre à côté de Llorente et Torres, sur la liste définitive des 23 joueurs espagnoles pour l'Euro 2012 en Ukraine-Pologne (8 juin-1er juillet), dévoilée dimanche par le sélectionneur national Vicente Del Bosque.
© afp. © getty.
Parmi les attaquants, Alvaro Negredo (FC Séville) a donc remporté la bataille qui l'opposait à Roberto Soldado (Valence) et au jeune novice de l'Atletico Madrid, Adrian, dont la prestation lors du premier match de préparation de la Roja contre la Serbie (2-0) avait pu laisser penser qu'il avait ses chances.
Au sein d'une équipe orpheline de David Villa, forfait en raison de sa frature au tibia gauche en décembre dernier, le trio Llorente, Torres et Negredo sera donc chargé d'animer le front de l'attaque lors de l'Euro-2012.
Le Barcelonais Pedro, revenu en forme à temps après une première moitié de saison décevante, a lui aussi validé son billet pour l'Ukraine-Pologne.
Au milieu de terrain, les poids lourds du FC Barcelone (Xavi, Busquets, Iniesta, Fabregas) sont bien là, accompagnés de Xabi Alonso (Real Madrid) et de Santi Cazorla (Malaga).
Enfin, c'est en défense qu'a surgi la surprise de cette liste: Juanfran, latéral droit de l'Atletico Madrid, a profité de la blessure de dernière minute d'Andoni Iraola, élément de l'Athletic Bilbao dont les services médicaux ont finalement averti qu'il n'était pas en état de faire partie de cette convocation.
Juanfran, vainqueur cette saison de l'Europa League avec les "Colchoneros" et qui sera la doublure d'Arbeloa à l'Euro, a par ailleurs pris le meilleur sur Nacho Monreal (Malaga) dont le nom était également évoqué comme troisième latéral de la liste.
Le groupe des 23 joueurs:
Gardiens: Iker Casillas (Real Madrid), Victor Valdes (FC Barcelone), Pepe Reina (Liverpool/ENG)
Défenseurs: Alvaro Arbeloa (Real Madrid), Sergio Ramos (Real Madrid), Gérard Piqué (FC Barcelone), Jordi Alba (Valence), Raul Albiol (Real Madrid), Javi Martinez (Athletic Bilbao), Juanfran (Atletico Madrid)
Milieux: Xavi (FC Barcelone), Xabi Alonso (Real Madrid), Sergio Busquets (FC Barcelone), Andres Iniesta (FC Barcelone), Cesc Fabregas (FC Barcelone), Santi Cazorla (Malaga)
Attaquants: Fernando Torres (Chelsea/Ang), Fernando Llorente (Athletic Bilbao), Alvaro Negredo (FC Séville), Jesus Navas (FC Séville), Pedro (FC Barcelone), David Silva (Manchester City/Ang), Juan Mata (Chelsea
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28/05/2012, 08h32
Indianapolis: De Silvestro et Alesi hors course
Indianapolis
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Il n'y a plus de Lotus en course aux 500 Miles d'Indianapolis: seuls représentants de la marque qualifiés, la Vaudoise Simona De Silvestro et le vétéran français Jean Alesi ont été mis hors course après 10 tours, pour des questions de sécurité.
Mis à jour le 27.05.2012
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Ils occupaient les deux dernières places de la grille de départ, ils ont été les deux premiers à abandonner, ce soir à Indianapolis: Simona De Silvestro et Jean Alesi ont été mis hors course au drapeau noir, en raison d'une vitesse insuffisante. La Direction de course a pris cette décision pour des raisons évidentes de sécurité.
Venant d'Alesi suis pas surpris, un vrai tocard......
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28/05/2012, 08h33
Stanislas Wawrinka se qualifie pour le 2e tour
Roland Garros
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Stanislas Wawrinka (no 18) s'est qualifié pour le deuxième tour de Roland-Garros. Le Vaudois s'est débarrassé, non sans difficulté, de l'Italien Flavio Cipolla (ATP 75) 6-3 6-3 4-6 3-6 6-2 en 3h19.
Mis à jour le 27.05.2012 12 Commentaires
Image: Keystone
Tsonga aussi
Le Français Jo-Wilfried Tsonga, 5e mondial, s'est qualifié pour le deuxième tour des Internationaux de France de tennis après avoir dominé dimanche le qualifié Russe Andrey Kuznetsov, 159e mondial, en quatre sets 1-6, 6-3, 6-2, 6-4 et deux heures 18 minutes de jeu.
Tsonga affrontera au deuxième tour l'Allemand Cedrik-Marcel Stebe qui a battu sur abandon pour mal de dos 6-3, 2-0 le Brésilien Joao Souza.
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La confrontation n'a pas été de tout repos pour le droitier de St-Barthélemy. Alors qu'il s'acheminait vers une victoire aisée, le numéro deux suisse a connu un gros passage à vide lors des 3e et 4e sets face à un adversaire qui semblait pourtant totalement dépassé après les deux manches initiales.
Cette première confrontation sur terre battue face au Romain a vu le Suisse entrer dans le match avec panache. Les nombreux passings et le break réussi d'entrée ont permis au Vaudois d'aborder le 2e set avec tranquillité. Une deuxième manche durant laquelle le Vaudois a connu des difficultés à concrétiser ses occasions de creuser l'écart malgré trois breaks réussis.
«Stan» a même connu une alerte en étant contraint de disputer une quatrième manche. En effet, le Vaudois est passé complètement à côté de son 3e set en perdant le fil de son tennis. Dommage, d'autant plus que son adversaire n'a réussi dans cette manche qu'un seul coup gagnant. Après avoir perdu «tout seul» ce 3e set, il n'est pas parvenu à redresser la 4e manche, face à Cipolla, qui l'avait déjà obligé à disputer 5 sets à l'US Open en 2008 (5-7 6-7 6-4 6-0 6-4).
Retour gagnant
Heureusement pour lui, Wawrinka a retrouvé tous ses esprits dans le set décisif durant lequel il a signé le break d'entrée. Doté d'un net avantage physique et technique, Wawrinka a conclu le match sur sa 3e balle de match.
Le Vaudois, qui n'a jamais passé le cap des huitièmes de finale à Paris (éliminations en 2010 et 2011 contre Roger Federer), retrouvera au tour suivant, Pablo Andujar (ATP 36) ou Victor Hanescu (ATP 145), vainqueur à Gstaad en 2008. Dans les confrontations directes, le Vaudois mène 2-0 contre l'Espagnol et 3-2 face au Roumain.
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28/05/2012, 08h35
La Grèce veut croire aux heureux présages
Euro 2012
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Au sein du «groupe de la vie», la sélection de Fernando Santos peut espérer accéder au quart de finale. Et tenter de semer la zizanie comme en 2004.
Mis à jour le 27.05.2012 1 Commentaire
Le sélectionneur Fernando Santos indique la voie à suivre à l'entraînement (23 mai 2012).
Image: AFP
Fiche technique
Palmarès:; Coupe du monde: néant; Euro: vainqueur (2004)Coupe des Confédérations: néant
Dans le groupe A avec La Pologne, la Russie et la République tchèque.
Sélectionneur: Fernandos Santos
Capitaine: Giorgos Karagounis
Joueur vedette: Fanis Gekas
Parcours de qualifications: 1er du groupe F (7 victoires et 3 nuls).
Équipe-type: Chalkias - Torosidis, A. Papadopoulos, Papastathopoulos, Holebas - Katsouranis, Karagounis (cap.), Ninis - Samaras, Salpigidis, Gekas.
En 2004, les Grecs avait provoqué l'émoi de la planète foot en dominant le Portugal, pourtant à domicile, lors du match d'ouverture de l'Euro. Ils avaient récidivé en finale pour devenir champions d'Europe.
Comme un signe du destin et peut-être un heureux présage, la Grèce va défier le pays co-organisateur, la Pologne, pour le premier match de l' Euro 2012. Après l'annonce du tirage au sort, l'attaquant Angelos Charisteas, buteur lors de la finale 2004, ne s'y est d'ailleurs pas trompé.
«On a eu l'Euro 2004 à l'esprit», a commenté le vétéran, 32 ans, finalement écarté de la pré-liste de 25 joueurs établie par le sélectionneur Fernando Santos, pour disputer la compétition.
Malgré ce clin d’œil de l'histoire et la présence de trois cadres de l'équipe championne d'Europe, le gardien Costas Chalkias et les milieux Kostas Katsouranis et Giorgos Karagounis, la Grèce de Santos offrira un visage bien différent de celui présenté en 2004 sous la baguette du rigoureux technicien allemand Otto Rehhagel remercié après la piteuse prestation hellène au Mondial 2010.
«Dominer le jeu»
Sous la direction du sélectionneur portugais, Fernando Santos, l'hermétisme défensif qui avait permis à la Grèce de conquérir son seul titre majeur, n'est plus l'alpha et l'oméga du jeu grec. Le sélectionneur portugais, en injectant un peu de sang neuf, a su également insuffler un esprit d'attaque à son équipe.
«Nous avons notre propre identité et nous ne la changerions pour personne, estime Santos. Je ne suivrai pas la tactique de Rehhagel. Je veux que les gens disent que l'équipe nationale de Santos est un groupe compact avec sa propre identité. Nous voulons dominer le jeu», ajoute-t-il.
Santos dont la carrière comme joueur fut des plus modestes, seulement quatre ans dans des équipes comme le Maritimo ou Estoril, insiste pour que ses joueurs collent au style de jeu qui leur a permis de finir premiers dans son groupe qualificatif, devant la Croatie.
«Notre obligation est de nous donner à 100% et de coller aux fondamentaux de notre équipe», a-t-il dit. «Avoir de la passion, de l'organisation, un esprit clair et toujours jouer pour gagner.»
«25% de chances de se qualifier»
Fernando Santos, qui, comme entraîneur de Porto peut s'enorgueillir d'un championnat en 1999 et de deux Coupes du Portugal en 2000 et 2001, estime que le groupe A composé également de la Russie et de la République tchèque est très ouvert.
«Le groupe dans lequel nous avons été versé, est à notre portée, chaque équipe a 25% de chances de se qualifier». «Je ne crois pas aux tirages chanceux ou malchanceux. Tout va se décider sur le terrain. J'ai une totale confiance dans mes joueurs et je sais qu'ils seront prêts pour la phase de groupe» a-t-il affirmé.
Le technicien qui dispose d'une ossature de joueurs expérimentés, a complété son groupe avec de jeunes talents comme Giannis Fetfatzidis et Giorgos Fotakis.
Mais une défaite 3 à 1 face à la Roumanie en amical qui a mis fin à une série de 16 matchs sans défaite, a servi de piqûre de rappel contre tout excès d'optimisme.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
28/05/2012, 08h36
Blanc: «La France n'est pas une nation du foot»
Football
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Le sélectionneur des Bleus a reçu cinq médias étrangers, dont «Le Matin Dimanche», pour parler de la France, sa France. Le «Président» a dit…
Par Nicolas Jacquier. Mis à jour le 26.05.2012 16 Commentaires
Laurent Blanc, dit «le Président», sait que maintenant il doit tenir ses promesses électorales.
Image: Imago/Panoramic
Depuis sa nomination en mai 2010, le «Président» s’est installé au château de Clairefontaine, situé dans la forêt de Rambouillet, à 60 km au sud-est de Paris. C’est ici, au centre technique national – 56 hectares, dont 68 000 m2 de pelouses engazonnées – que la France prépare un Euro de la rédemption. Pour Laurent Blanc (46 ans), succédant au mal-aimé Domenech au sortir d’une campagne sud-africaine calamiteuse, les promesses électorales étaient simples: redonner vie à une équipe détestée de ses supporters. «On est parti d’une feuille blanche.» Point d’orgue de cette débandade: la mutinerie de Knysna, quand les grévistes millionnaires avaient refusé de s’entraîner. «L’équipe avait fini par se détourner de ce qu’elle aurait dû toujours être. Voilà ce qui peut se passer quand on privilégie des intérêts personnels.»
Comment le «Président» Laurent Blanc a-t-il accueilli l’arrivée de François Hollande à l’Elysée?J’ai fait ce que je devais faire, mon devoir de citoyen. Le changement de locataire à l’Elysée n’a pas changé mon mode de fonctionnement.
D’où tenez-vous ce surnom de «Président»?Il est né à Marseille, lors de mon passage à l’OM à la fin des années 90. Je revenais de Barcelone. C’est Rolland Courbis qui m’avait baptisé ainsi. Vu de l’extérieur, on a le sentiment que la France commence seulement à oublier le fiasco sud-africain. Oh, les turbulences, c’est notre histoire, on peut remonter très loin. Les périodes fastes du football français ont toujours coïncidé avec des générations exceptionnelles. Depuis 2010, on a reconstruit un noyau, le cœur de l’équipe. Ça a pris du temps et il en faudra encore. J’espère que le noyau s’élargira, qu’il gagnera de l’expérience avec l’Euro.
En 2010, la France n’a-t-elle pas principalement souffert de sa propre arrogance?Si l’on a pu nous trouver arrogant, c’est que cela doit être le cas. En Afrique du Sud, les joueurs ne se sont pas seulement faits du mal à eux-mêmes; ils en ont surtout fait au football. Sur un terrain comme dans la vie, il faut que chacun reste à sa place.
En posant vos valises à Clairefontaine, dans ce lieu chargé d’histoire, quelle a été votre priorité en tant que sélectionneur?Amener de la sérénité, de la tranquillité en étant conscient de la période que l’on vit. Quand la France gagnait, il y avait toujours le même joueur exceptionnel (Zidane) qui la faisait gagner. Aujourd’hui, il y a des jeunes, du talent, mais ça ne suffit pas encore à en faire une grande équipe.
Le sacre de 1998, vous y pensez souvent?J’en parle un peu avec les nouveaux Bleus. Eux-mêmes ont des souvenirs. Mais quand vous construisez quelque chose, mieux vaut penser aux plans du futur qu’aux succès du passé.
Cette nouvelle France vous ressemble-t-elle?On espère toujours que son équipe imprime une partie de ce que l’on est. En définitive, seuls les résultats font que votre équipe vous ressemble un peu, beaucoup ou pas du tout.
Flamboyant avec le Bayern, Franck Ribéry n’est qu’un leader éteint dès qu’il enfile le maillot bleu blanc rouge. A quoi cela tient-il?Ce n’est pas le même Ribéry qu’au Bayern, c’est un fait. Avec nous, il n’arrive pas à se libérer. C’est devenu un poids. Si vous avez un truc pour l’en débarrasser, je suis preneur!
Ribéry est-il facile à gérer? On dit qu’il ne pipe pas mot avec Nasri et Gourcuff, notamment.Tout ça, ce sont des blagues, sauf qu’elles n’ont rien de drôle. Franck est quelqu’un de très généreux. Son gros défaut, c’est d’être trop entier, trop impulsif et de vouloir le montrer.
En arrivant à Clairefontaine, le visiteur est accueilli par des affiches géantes où il est écrit «Vive le football libre». Franchement, ce slogan,vous y croyez?Dans une certaine limite, oui. On ne peut certes plus faire ce que l’on veut, la gestion d’un groupe impose des règles de vie commune, mais le sport collectif aura toujours besoin de liberté. Parlons plutôt de liberté surveillée, mais pas conditionnelle car le port d’un bracelet signifie que vous êtes déjà un condamné.
Quel regard l’amoureux du beau jeu porte-t-il sur la victoire de Chelsea en Ligue des champions?Ne chipotons pas. En sport, celui qui gagne a toujours raison, c’est même la finalité. Si on peut y ajouter du spectacle, on le fait parce que c’est mieux. Mais Chelsea ne serait jamais devenu champion d’Europe s’il avait voulu imiter le Barça qu’il avait éliminé.
Etre sélectionneur, c’est facile ou c’est un enfer au quotidien?Quand j’ai donné ma parole, on était en mai 2010, et la Coupe du monde n’avait pas encore commencé. Mais je savais déjà que ma tâche allait être difficile. Après ce qui s’est passé en Afrique du Sud, c’est devenu encore plus difficile. Etre sélectionneur, ça prend du temps, or je n’en ai pas assez. Au départ, les gens sont patients, mais après trois mois, ils en ont déjà marre. Seuls les résultats font grandir une équipe. Qui paiera les pots cassés si l’on se plante en juin? C’est moi! Or je ne suis pas venu ici pour entretenir une classe biberon, je suis là pour former une équipe compétitive.
Que craignez-vous le plus? Vos adversaires ou la capacité de destruction de votre propre équipe?Le danger vient de l’intérieur. Les adversaires, bien sûr que ça compte. Mais moi, je préfère insister sur ce que je peux changer, où j’ai de l’influence. Je garde mon énergie pour mon équipe. On dissèque le jeu de nos adversaires mais la finalité viendra toujours de ce que l’on sera capable de faire. Même si aujourd’hui on souffre de l’absence d’un leader. Si vous avez un Zidane, c’est plus facile pour tout le monde, sauf pour votre adversaire. Avoir un bon collectif quand vous n’avez pas de grands leaders permet parfois de faire la différence.
Existe-t-il une véritable culture de foot en France? On a plutôt la sensation d’un fossé grandissant.La culture française n’est pas celle de l’Angleterre, de l’Allemagne ou de l’Espagne. La France n’est pas une nation de footballeurs, on a moins l’esprit à ça qu’en Espagne. Et il ne faut pas croire que j’ai un pouvoir magique sur la formation française. A mes yeux, la technicité devrait toujours être la priorité. Mais il y aura toujours des clubs qui auront d’autres vues que les miennes. Malgré ce handicap, on a quand même réussi à obtenir des résultats.
L’attente n’est-elle pas cependant trop élevée, compte tenu de la dévaluation de la L1?Non, l’attente est normale. Le problème, c’est qu’il faudrait prendre conscience que la France n’appartient pas aux grandes nations du football. Combien d’Anglais jouent à l’étranger? Très peu. Combien d’Espagnols évoluent en dehors de la Liga? Pas plus. Qui veut venir jouer chez nous en L1? Personne.
Les équipes nationales ne sont-elles pas en train de s’incliner devant la puissance des clubs?Sans doute. On s’aperçoit que les clubs prennent de plus en plus de place, et les sélections de moins en moins. En vérité, les Fédérations sont impuissantes à faire valoir leurs droits. Il n’y a qu’à considérer la place prise par la Ligue des champions. Tout le monde en rêve, il n’y a plus que ça qui compte, on oublie vite le reste.
Etes-vous plutôt un homme d’écoute ou un coach directif?J’aime bien que les joueurs dialoguent avec moi. Mais pour discuter avec moi, il faut avoir des arguments. D’une manière générale, j’évite de me poser des questions sur des sujets qui ne méritent pas d’avoir une autre réponse que celle que l’on connaît déjà.
Pourquoi faudrait-il toujours tout remettre en question? Après les campagnes désastreuses de 2008 et 2010, que peut viser la France lors de l’Euro à venir?De gagner un match, ce qu’elle n’a plus su faire dans un tournoi final depuis 2006. Ça commence à faire vieux. Il faut arrêter de croire que l’on est une grande nation de foot! La France est toujours en reconstruction, elle affronte des équipes qui ont plus d’expériences, qui sont déjà construites. Nous serons les favoris du groupe comme le seront aussi nos trois adversaires (ndlr: Suède, Angleterre et Ukraine).
En Ukraine, vous serez l’une des rares sélections à loger sur place, presque chez l’habitant. Pourquoi un tel choix logistique?L’équipe qui aura le moins de voyage en avion profitera d’une meilleure récupération. Je vous laisse imaginer dans quel état physique se retrouveront les équipes qui finiront leur match à 23 h en Ukraine et qui devront se rendre en Pologne pour dormir!
Le footballeur vit dans un cocon doré, coupé du monde réel. Compte tenu de l’image qu’il renvoie, doit-il pour cela être un exemple?Un sportif connu n’a pas la nécessité d’être un exemple. Pourquoi serait-il parfait alors que le monde qui l’entoure ne l’est pas? Ceux qui devraient montrer la voie sont les hommes politiques; or on s’aperçoit qu’ils sont loin d’être exemplaires. Ce n’est pas parce que l’on vit dans un monde d’image qu’il faut tout résumer à ça. L’image n’a aucune valeur à mes yeux. Ne laissons pas passer l’image avant l’humain. Le seul droit que je me revendique, c’est d’être un exemple pour mes enfants.
Depuis que vous êtes passé de l’autre côté, êtes-vous resté joueur?En pensée, oui. Mais, dès que j’enfile mes crampons, la vérité est cruelle.
En 1998, votre bise sur le crâne rasé de Barthez avant le coup d’envoi s’était imposée comme un rituel gagnant. Quatorze ans plus tard, quel sera votre signe de ralliement à l’Euro?S’il suffisait de faire un signe de reconnaissance pour avoir des résultats, ce serait trop facile…
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28/05/2012, 08h39
Fernandes : «On a réussi à produire du jeu»
Football
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La victoire historique face à l’Allemagne vient donner de la confiance au collectif helvétique. Mais le chemin jusqu’au Mondial 2014 ne fait que commencer.
Par Florian Müller. Mis à jour le 26.05.2012
Au sortir des vestiaires, Gelson Fernandes, auteur d’un gros match à la récupération, acceptait de parler de «match référence pour le groupe». «On a réussi à produire du jeu, et c’était clairement notre objectif. Faire plaisir à notre public c’est également une bonne chose, mais cela reste un match amical. C’est peut-être ma mentalité italienne, mais le fait de prendre trois buts ne me fait pas plaisir. C’est là le point noir de notre soirée.»
Granit Xhaka, auteur également d’une excellente performance un cran plus haut sur la pelouse, bombait volontiers le torse lors du jeu des questions-réponses avec les journalistes. «Ce n’est pas l’Azerbaïdjan que l’on vient de battre, c’est une performance historique face à un adversaire qui se prépare pour l’Euro.»
D’ailleurs cet Euro, la Suisse n’y est pas… «Et c’est très dommage, reprend la nouvelle recrue de Lucien Favre, car on est bien en jambes! (rires)» L’ancien milieu de terrain du FC Bâle voulait insister sur la force collective de la Nati. «Ce soir, c’est notre force mentale qui a fait la différence. A chaque fois que les Allemands sont revenus dans le match, nous avons tout de suite réagit.» Et Xhaka de poser cette victoire dans la durée: «Ce match est dans la continuité de celui de l’Argentine. Nous produisons du jeu et nous prenons confiance. Je suis très optimiste pour la suite.»
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28/05/2012, 08h41
Ryder Hesjedal pour une 1ère canadienne
27.05.2012 17:32 mise à jour à 21:12
Ryder Hesjedal signe une première pour le Canada. [Ryder Hesjedal - Reuters]
Le contre-la-montre final raccourci de Milan, gagné par l'Italien Marco Pinotti (BMC), a bouleversé le classement général final du Giro. Le succès est ainsi revenu au Canadien Ryder Hesjedal (31 ans/Garmin), 6e de l'étape, qui enlève son premier Tour d'Italie. Johann Tschopp finit l'épreuve au 13e rang.
Ryder Hesjedal (Garmin) est devenu le premier Canadien à remporter le Giro, dimanche à Milan, après le succès de l'Italien Marco Pinotti (BMC) dans la 21e étape, un contre-la-montre de 28,2 kilomètres. Le Canadien de 31 ans, a repris le maillot rose dans cette étape à l'Espagnol Joaquim Rodriguez ( 33 ans) sur lequel il comptait 31 secondes de retard. Lla troisième place est revenue au Belge Thomas De Gendt.
Pour la première fois depuis 1995, le cyclisme italien ne compte aucun représentant sur le podium final. Les deux derniers vainqueurs de la course rose, Michele Scarponi (2011, après le déclassement de l'Espagnol Alberto Contador) et Ivan Basso (2010), ont dû se résigner aux accessits. Ils se sont classés respectivement quatrième et cinquième.
"Johann Tschopp a réussi une très belle performance sur les routes italiennes. [MAXIME SCHMID - Keystone]Expérience incroyable"
Rodriguez, en tête du Giro depuis la 15e étape, a concédé 47 secondes à Hesjedal dans l'ultime contre-la-montre, tracé dans les avenues de Milan sans aucune difficulté de relief. Pinotti, qui ambitionne de décrocher sa sélection pour le contre-la-montre des JO de Londres, a roulé à la moyenne de 51,117 km/h pour devancer de 39 secondes le Gallois Geraint Thomas et de 53 secondes le Néo-Zélandais Jesse Sergent.
Hesjedal s'est classé sixième de ce contre-la-montre, à 1 min 09 sec de l'Italien. Le Canadien a creusé l'écart au fil des kilomètres sur Rodriguez (29 sec après 11,7 km) et a comblé son retard initial au classement général au 14e kilomètre. "Pour moi, c'est une expérience incroyable, une joie trop grande. J'ai commencé à y croire au fil des jours parce que je voyais que les jambes tournaient bien. Même dans la tête, j'étais détendu. Et, à la fin, j'ai réussi", a déclaré le natif de Victoria, sur la côte du Pacifique, qui n'était encore jamais monté sur le podium d'un grand tour (6e du Tour de France 2010).
Meilleur représentant suisse de ce Giro, Johann Tschopp a terminé au 14e rang final, à 14'27 de Hesjedal. Même s'il n'a pas réussi un grand coup comme en 2010 (victoire de l'étape reine), le Valaisan de BMC s'est montré régulier dans les étapes de montagne. Par rapport à l'édition 2011 (15e du général), le grimpeur de Miège est ainsi parvenu à gagner un rang.
Hejsedal s'offre un premier Giro après une dernière étape raccourcie. [ Fabio Ferrari - Keystone]Un grand voyageur
Le vainqueur du Tour d'Italie, Ryder Hesjedal, est un grand voyageur qui a abordé la route par le biais du VTT, la discipline d'origine de ce coureur né voici 31 ans sur la côte ouest du Canada. "Un citoyen du monde"", a résumé le journal organisateur du Giro, la Gazzetta dello Sport, après le premier maillot rose conquis par le grand gabarit canadien (1,88 m pour 72 kg) dans les Abruzzes, le 12 mai, au terme de la 7e étape.
Hesjedal, marié à Ashley, une Américaine de Saint-Louis, se partage entre son pays de naissance, où il possède une maison, son appartement de Gérone en Espagne, pour la saison cycliste européenne, et une villa à Hawaï, son lieu d'élection pendant l'hiver. C'est là qu'il se livre aux joies du surf et, à l'occasion, à la pratique du VTT, jusqu'à escalader les pentes d'un volcan dépassant 3000 mètres d'altitude.
A peine adolescent, à l'âge de 13 ans, le natif de Victoria a marqué sa volonté de délaisser le base-ball, pour lequel il avait des dispositions, afin de privilégier le VTT. L'accord paternel obtenu, il se consacre à ce sport dans lequel il gravit les échelons jusqu'à participer aux JO d'Athènes 2004. Sans réussite, à cause d'une crevaison survenue peu après le départ de la course olympique. Après ce rendez-vous manqué, Hesjedal décide de se consacrer exclusivement à la route.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
28/05/2012, 08h42
Nicolas Mahut a eu Andy Roddick
27.05.2012 19:27 mise à jour à 20:58
Andy Roddick n'a pas eu le temps de souffler à Roland-Garros. Il a été étouffé dès le 1er tour. [David Vincent - Keystone]
La journée d'ouverture a déjà fait une première victime parmi les tête de série. Andy Roddick, il est vrai peu à l'aise sur la terre battue, et de surcroît de retour après une blessure, a subi la loi de Nicolas Mahut pour la plus grande joie du public. Le Français s'est imposé en 4 sets, 6-3 6-3 4-6 6-2.
Nicolas Mahut a réalisé la performance de la première journée des Internationaux de France de tennis en éliminant dimanche l'Américain Andy Roddick, ex-numéro 1 mondial et vainqueur de l'US Open en 2003, en quatre sets 6-3 6-3 4-6 6-2 en deux heures 22 minutes de jeu.
Roddick (26) est la première tête de série éliminée dans cette édition 2012 de Roland-Garros. C'est sur un coup droit de Roddick dans le filet que Mahut, 88e mondial, a obtenu sa balle de match sur service de son adversaire et l'a convertie d'un retour gagnant en revers. C'est la première victoire de Mahut sur Roddick en cinq confrontations.
Hanche récalcitrante
Le poignet blessé du Français -cinq semaines d'arrêt- s'est montrée plus solide que la hanche récalcitrante de l'Américain -deux mois d'arrêt- devant un public du court Suzanne Lenglen aux anges. Le Français s'est imposé 6-3 6-3 5-6 6-2.
"Je ne m'attendais pas à grand-chose et ça a été horrible. J'ai bougé extrêmement mal, mon premier pas a été terriblement mauvais. Or sur une surface comme la terre battue on ne peut pas mentir", a commenté Roddick, très peu bavard et franchement dégoûté en conférence de presse. Il n'a pas été étonné du choix des organisateurs de le programmer sur le court Suzanne-Lenglen son "cimetière" personnel. " J'aurais été surpris du contraire. Au moins c'est une constante", a grincé l'Américain qui avait dû renoncer aux trois Masters 1000 sur terre battue à cause de sa hanche.
Del Potro grimace
Juan Martin Del Potro a aussi peiné face à l'Espagnol Albert Montanes qui n'était pas un cadeau. "C'était un premier tour compliqué", a commente "DelPo", finalement vainqueur en quatre sets 6-2, 6-7 (5/7), 6-2, 6-1.
S'il a limité la casse, le N.9 mondial a un instant laissé craindre le pire lorsqu'il a fait appel à deux reprises au médecin, au début du 3e set. Grimaçant sur sa chaise, il s'est fait poser un gros bandage sur le genou gauche qui le fait souffrir depuis plusieurs semaines. Une grosse galère se profilait alors à l'horizon pour "DelPo" face à un adversaire coriace, seulement 64e mondial mais qui a déjà gagné cinq tournois sur terre battue, et qui avait fait chuter Roger Federer en 2010 à Estoril.
Mais l'Argentin a serré les dents pour faire la différence grâce à son talent et sa puissance contre un Montanes un peu déboussolé. "Je suis un peu touché mais j'ai eu un bon traitement qui m'a permis de terminer le match. Roland-Garros est un tournoi très exigeant physiquement, il faut que je règle ça pour la suite, car je joue bien en ce moment", a-t-il dit.
Jo-Wilfried Tsonga N.5 mondial, a également peiné pendant un set face au qualifié russe Andrey Kuznetsov (1-6, 6-3, 6-2, 6-4)
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
28/05/2012, 08h43
Les Suisses pataugent dans les bassins
27.05.2012 20:51 mise à jour à 20:52
Martina van Berkel n'a pas réussi à accrocher un billet pour les Jeux. Il lui reste une dernière chance. [PATRICK B. KRAEMER - Keystone]
La dernière journée des Européens de Debrecen n'a guère apporté de satisfaction au camp suisse. En Hongris, Martina van Berkel n'a pas réussi la limite olympique sur 200m papillon lors de la finale qu'elle a terminée au 18e rang et le relais 4x100m 4 nages a fait bien pâle figure.
Pas de nouvelles limites olympiques pour les Suisses aux Européens de Debrecen. Martina van Berkel a dû se contenter de la 8e et dernière place en finale du 200 m papillon. La Zurichoise a nagé en 2'11''69, manquant pour 39 centièmes les minima requis pour les JO de Londres. Proche de la limite samedi en demi-finale (à 1 centième), elle bénéficiera d'une dernière chance pour décrocher son ticket, dans deux semaines au meeting de Rome.
Le rêve olympique est en revanche terminé pour Jonathan Massacand. Premier relayeur du 4 x 100 m quatre nages, le spécialiste de dos vaudois a bouclé ses bassins en 55''75, soit 25 centièmes de trop par rapport aux exigences de Swiss Swimming. Massacand et ses coéquipiers Yannick Käser, Nico van Dujin et Flori Lang ont finalement échoué au 16e rang de ce relais, sur 17 équipes classées.
La Hongrie prophète en son pays
Frédérick Bousquet a conservé son titre de champion d'Europe du 50 m libre. Cette victoire a valeur de revanche pour le Français, lui qui n'a pas réussi à décrocher son billet pour les JO de Londres. Le compagnon de Laure Manaudou s'est imposé en 21''80, devant le Suédois Stefan Nystrand (22''04) et le l'Ukrainien Andriy Govorov (22''18).
Chez les dames, la reine du sprint est bel et bien Britta Steffen. Titrée dimanche sur 50 m libre, l'Allemande a récolté sa troisième médaille des joutes.
Au tableau des médailles, c'est la Hongrie qui s'est montrée la plus prolifique de ces Européens. Le pays hôte a glané 9 médailles en or, 10 en argent et 7 en bronze. Dimanche, Laszlo Cseh et Katinka Hosszu ont validé la domination hongroise en gagnant respectivement sur 400 m quatre nages et 200 m papillon.
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