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Lolita Morena, la "Squadra" et rien d'autre

07.06.2012 15:00 mise à jour à 15:11
Son joli sourire, Lolita Morena le perd très vite en cas de défaite de l'Italie... [Urs Flueeler - Keystone]

Vous n'apprendrez pas à Lolita Morena (51 ans) que l'Euro commence vendredi. La Miss Suisse 1982 compte les heures, repassant et repassant certainement encore son maillot aux couleurs de l'équipe d'Italie, la seule qui compte à ses yeux, à son coeur.
Débarquée en Suisse à 3 ans, celle qui a grandi dans le canton de Neuchâtel n'oublie pas ses racines. Et même si elle a été mariée pendant deux ans à l'ex-star et no10 allemand Lothar Matthäus, seule la "Squadra Azzurra" retiendra son attention, et celle de son fils Loris.
"Si l'Italie est éliminée, l'Euro est fini", lance l'ex-animatrice TSR, dont la passion pour le ballon rond est aussi forte que celle pour les animaux.
"Si l'Italie perd, mon fils est malade pendant 3 jours!"

RTSsport.ch: Vous êtes l'ex-épouse de l'ancien joueur allemand Lothar Matthäus, mais pour vous, vos racines sont plus fortes. C'est l'Italie et rien d'autre...
LOLITA MORENA: Je ne suis effectivement que les matches de l'Italie. Et je suis une "vraie": je m'énerve à fond (rires)! Et il est vrai aussi qu'une fois que l'Italie est éliminée, plus rien ne m'intéresse. Le tournoi est fini. Mon fils (réd: Loris, né de son union avec Matthäus) est encore pire que moi. C'est un grand fan de l'Inter Milan et un fou furieux de l'équipe d'Italie. Si elle perd, il est malade pendant trois jours!
"Gigi" Buffon est le plus grand gardien de tous les temps, selon l'ex-Miss Suisse. [Walter Bieri - Keysone] RTSsport.ch: Justement, vous y croyez à l'équipe d'Italie lors du prochain Euro?
LOLITA MORENA: Même si l'équipe est assez nouvelle, elle a toutes les chances de gagner. Elle a quand même remporté la Coupe du monde 2006. En plus, son sélectionneur s'appelle Cesare (réd: Prandelli), c'est déjà un signe! Le "Veni vidi vici" (réd: je suis venu, j'ai vu et j'ai vaincu) cher à Jules César va s'appliquer à nous En plus, avec Gianluigi Buffon, l'équipe d'Italie tient le meilleur gardien du monde, le plus grand de tous les temps. Il est vraiment mythique.
RTSsport.ch: Vous vous rendez souvent au stade soutenir la "Squadra Azzurra". Irez-vous également en Pologne et en Ukraine?
"Je boycotte les matches en Ukraine"

LOLITA MORENA: Il n'est pas exclu que nous allions assister aux matches en Pologne. Par contre, dès que l'Italie ira jouer en Ukraine, et même la finale, c'est exclu! Je boycotte!
RTSsport.ch: Ah bon? Et pourquoi?
LOLITA MORENA: Je boycotte à fond car ce pays a gazé tous ses chiens errants en vue de cette compétition. Je pense qu'on doit avoir des choses à se reprocher là-bas... Franchement, quelle idée a-t-on eu d'aller jouer cet Eurofoot là-bas? Ailleurs, j'y serais allée.
Mario Balotelli (à gauche) et Antonio Cassano, deux des "bad boys" du football italien. [MAURIZIO DEGL' INNOCENTI - Keystone] RTSsport.ch: Avec Mario Balotelli, roi des frasques, l'Italie pourrait aussi faire le "buzz" hors des terrains à l'Euro...
LOLITA MORENA: Balotelli, c'est un grand talent, il n'y a aucun doute. Mais c'est un garçon à contrôler car il a les hormones qui partent dans tous les sens! Mais ça ne doit pas être facile pour lui. Il est certes italien, mais il est jeune, adopté et est le seul joueur de couleur de l'équipe... Cela ne doit pas être facile à gérer.
Au passage, il y a un détail amusant avec l'Italie, c'est que c'est pratiquement la seule équipe nationale où les joueurs sont à 100% du pays.
Cabrini, Buffon et Cannavaro

RTSsport.ch: Vous semblez bien connaître le foot transalpin... Vous avez un ou plusieurs joueurs favoris?
LOLITA MORENA: En fait, j'ai toujours eu deux idoles. Il y a d'abord eu Antonio Cabrini (réd: 54 ans aujourd'hui), que j'ai toujours trouvé très beau quand j'avais 14 ans (rires)! Et en plus de Buffon, dont j'ai déjà parlé avant, il y avait bien évidemment Fabio Cannavaro, un libéro de légende.
RTSsport.ch: J'imagine donc que vous voyez l'Italie en finale... Contre qui?
LOLITA MORENA: Contre l'Allemagne!
RTSsport.ch: L'Allemagne, c'est le pays de votre ex-mari...
Lolita Morena, du temps de son union avec Lothar Matthäus. [URSULA DUREN - AFP] LOLITA MORENA: (elle coupe) Non non, je ne soutiens aucunement l'Allemagne. Zéro de chez zéro, même si j'ai beaucoup d'admiration pour cette équipe. S'ils jouent contre l'Italie, je suis à 120% derrière la "Squadra".
A part ça, j'aime bien le Portugal aussi. Peut-être parce qu'ils ont toujours été un peu lésés par les arbitres...
RTSsport.ch: Quels sont vos meilleur / pire souvenirs liés au football?
LOLITA MORENA: Je me souviens d'une anecdote rigolote lors de la Coupe du monde 94, aux USA. J'étais tellement bronzée dans la loge VIP lors d'Allemagne-Espagne que le ténor Placido Domingo s'est approchée de moi et m'a dit: "On va les battre ces Allemands, hein?"
A part ça, mon pire souvenir, ça reste les tirs au but de la finale 2006, à Berlin (Italie-France). J'ai dû sortir du stade tellement je stressais. Un securitas, qui recevait le score d'un collègue par talkie-walkie me tenait au courant. J'ai vécu 15 minutes d'enfer, surtout que les Italiens sont quand même les spécialistes du "ratage" de penalties.
Et logiquement, le meilleur suit le pire. La victoire de l'Italie en 2006 reste un souvenir incroyable. C'était une belle finalité. La libération après le stress. Qui plus est dans un pays comme l'Allemagne, au terme d'une Coupe du monde magnifique où tout avait vraiment super bien fonctionné.

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Cristiano Ronaldo: «J'espère qu'on sera la surprise»

Euro 2012

—
Le capitaine du Portugal se confie avant le premier match de sa sélection samedi soir face à l'épouvantail allemand.
Mis à jour le 09.06.2012

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Ronaldo est serein avant la rencontre face à l'Allemagne.
Image: AFP



Cristiano Ronaldo espère que son équipe constituera «la surprise» de l'Euro 2012 où elle s'avance «avec l'avantage de ne pas être favori» et donc moins de pression, selon lui. L'attaquant a répondu aux questions des journalistes vendredi.
Ressentez-vous de la nervosité à la veille de votre entrée en lice?
Ronaldo: «Je ne sens aucune nervosité. Nous nous sentons bien, peut-être que demain (samedi), jour de match, la tension sera montée, mais en ce moment je ne suis pas du tout nerveux. L'équipe est en bonne condition et bien préparée».
Comment prenez-vous les critiques contre l'équipe, après ses matches de préparation très moyens?
«Je suis très attristé par ces critiques (rires). Non, c'est juste une plaisanterie... On est bien préparé. On est dans un groupe très fort, avec des équipes techniquement très fortes. Il faut jouer sans pression, avec plaisir. L'avantage du Portugal, c'est de ne pas être favori, on a moins de pression».
Seriez-vous satisfait avec un nul?
«Nous serions satisfaits avec un nul, mais on est preneur d'un meilleur résultat. Notre objectif est de gagner ce match, mais un nul ne serait pas si mauvais».
Comment voyez-vous l'Allemagne?
«L’Allemagne est forte grâce à son unité. Chacun sait ce qu'il doit faire et à quel moment, c'est pourquoi ils ont eu plus de succès à l'Euro que les autres équipes. Ils ont progressé ces dernières années, sont forts offensivement et défensivement. Je ne vois pas beaucoup de points faibles dans l'équipe d'Allemagne, c'est l'une des meilleures de l'Euro. C'est un des grands favoris avec les Pays-Bas, l'Espagne et l'Italie, tous peuvent gagner le tournoi. J'espère que le Portugal sera la surprise, j'espère qu'on aura une bonne entame».
Avez-vous parlé à vos partenaires de club, Özil et Khedira?
«Oui, on a échangé, ce sont des amis. On a parlé mais pas trop non plus, on ne se faisait pas trop confiance (rires). Moi, je ferai tout pour aider le Portugal, et tout va bien avec mes amis allemands».
Est-ce enfin le bon Euro pour le Portugal?
«J'espère bien que oui, c'est notre grand objectif. On entre toujours dans un tournoi pour le gagner; ce sera difficile, avec des adversaires relevés, mais rien n'est facile dans le foot. On était tout près de gagner en 2004, on a montré des choses en 2008, et qui sait? Je pense qu'on a nos chances».
Va-t-on retrouver le Ronaldo du Real de cette saison?
«J'ai fait une grande saison, j'ai gagné le titre de champion d'Espagne, mais maintenant je suis en équipe nationale. C'est mon pays, je suis très concentré».
Votre échec sur vos trois derniers penalties a-t-il atteint votre confiance?
«Tout le monde en a été triste, mais pendant la saison, j'ai marqué beaucoup de penalties. Je devrai me concentrer sur les prochains. Ma confiance est la même qu'auparavant, je vais essayer de faire de mon mieux comme toujours».

Vais pas lui enlever ses qualités de (grand joueur) Par contre c'est un melon de chez melon. Un âne quoi, ben il a perdu(ils ont perdus , méfiez vous d la Russie......................

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Super l'Euro foot, me suis pris 200 balles en deux jours,,,,,,,,,,,,quand on connait pas le foot faut pas se noyer.............

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L’Espagne tenue en échec par l’Italie 1 à 1

EURO 2012

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L’Espagne, championne d’Europe en titre, et l'Italie ont fait match nul pour leur entrée en lice à l’Euro, dimanche à Gdansk.
Mis à jour il y a 43 minutes1 Commentaire

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Fabregas et De Rossi.
Image: Keystone



Les Italiens ont ouvert la marque à la 61e par Di Natale, entré en jeu peu auparavant et parfaitement lancé par le maestro Pirlo. L'égalisation espagnole est intervenue trois minutes plus tard seulement, par un Fabregas titularisé comme avant-centre ! Le Barcelonais a conclu une triangulation initiée par Iniesta et Silva, lequel ne ferait visiblement pas tâche au Barça tant il semble bien s'entendre avec les deux Catalans. Grand ouf de soulagement. "Il était fondamental d'égaliser rapidement, a expliqué Iniesta, afin de ne pas laisser les Italiens se tranquilliser et s'installer dans la partie avec ce 1-0."
L'Italie a livré une très bonne prestation contre les champions d'Europe et du monde, qui avaient gagné leurs 14 derniers matches officiels depuis la défaite contre la Suisse au Mondial 2010. Devant au nombre d'occasions avant la pause avant que cela ne s'équilibre, elle a surpris par sa capacité à se défaire du pressing des Ibères à mi-terrain, normalement très efficace.
"Nous voulons jouer et, même si nous avons laissé à l'Espagne trop d'opportunités, nous avons eu la bonne attitude, la bonne mentalité, s'est félicité Cesare Prandelli, à première vue soulagé. Nous avons su créer des espaces et trouver la profondeur."
"Cesc est spécial"
Dérangée dans sa préparation par des facteurs sportifs et extra-sportifs, la Squadra avait besoin, en dépit du "titre" de meilleure défense des éliminatoires, de se rassurer en optant pour une arrière-garde à cinq (trois centraux et deux latéraux montant parfois d'un cran). Reculé pour évoluer au coeur de ce dispositif, De Rossi s'en est très bien sorti, épaulé surtout par un Chiellini toujours aussi rigoureux dans les duels.
Vicente Del Bosque, lui, a concocté une Espagne pour le moins particulière puisqu'elle n'avait aucun attaquant pur au coup d'envoi ! Un pari qui n'a ni été gagnant, ni été perdant, mais qui n'a de toute évidence convaincu personne. Sans avant-centre véritable, il a souvent manqué un petit quelque chose à l'Espagne dans les 25 derniers mètres. "Je recherchais à nous donner plus de sécurité avec le ballon, s'est justifié le sélectionneur, face à un adversaire qui allait beaucoup nous presser. Et Cesc est un milieu un peu spécial..."
Jokers grillés
Si, globalement, les deux équipes peuvent avoir de légitimes raisons de se satisfaire non seulement du résultat, mais aussi des prestations individuelles de chacun, deux hommes ont toutefois du souci à se faire: Fernando Torres et Mario Balotelli, qui en a trop - et trop mal - fait. L'Italien a surtout gâché une énorme occasion à la 54e, en raison d'une nonchalance n'ayant sûrement plu à personne, ni au coach Prandelli, ni à Cassano, seul dans la surface et qui attendait le cuir. "Je n'en ai pas encore parlé avec Mario, a commenté le Mister. Il a tergiversé devant les deux options s'offrant à lui, mais je crois qu'il voulait servir Cassano."
Torres, introduit à la 74e, a pour sa part montré beaucoup d'envie. Mais son face-à-face bizarrement perdu contre Buffon à la 75e ne l'a sans doute pas aidé à reprendre confiance, ni les gestes suivants qu'il a très régulièrement ratés d'ailleurs. Pendant ce temps, comme en 2010, Fernando Llorente ronge son frein sur le banc...

promo rt paris juste, démarre vraiment bien50 balle dans la crousie

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La pluie reporte la finale Djokovic-Nadal à lundi

Roland-Garros

—
Le Serbe et l'Espagnol devront revenir lundi à 13 heures pour terminer leur finale, qui, après deux interruptions et trois heures de jeu, a été reportée en raison de la pluie.
Par Jérémy Santallo. Mis à jour à 20h11 24 Commentaires

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1. Set2. Set3. Set4. Set5. SetNovak Djokovic4362Rafael Nadal6621


Le temps n'était pas de la partie à Paris.
Image: AFP
(Le Matin)
Cet article est mis à jour automatiquement.

• Merci de nous avoir suivi et à demain pour la fin de cette finale de Roland-Garros.
• Report du match Les deux joueurs ne reviendront pas sur le court. Les conditions météo sont trop mauvaises. Novak Djokovic et Rafael Nadal devront revenir lundi à partir de 13 heures.
• La finale entre les deux joueurs ne reprendra pas avant 20 heures selon les organisateurs.
• La pluie revient La rencontre va être interrompue pendant une grosse vingtaine de minutes.
• Jeu Nadal 2:1L'Espagnol remporte ce jeu. Le match va être arrêté. Le juge arbitre discute avec les joueurs.
• 40:15 2:0Nadal se reprend un peu et envoie un ace à 201 km/h.
• Jeu Djokovic 2:0Le Serbe remporte un jeu blanc. Ses coups sont explosifs et mettent Nadal sur le reculoir. L'Espagnol espère un arrêt de la partie, car il pleut un peu sur le central.
• 40:00 1:0Incroyable renversement de situation! Nadal n'y est plus. L'Espagnol s'énerve de plus en plus.
• Jeu Djokovic 1:0Nadal ne choisit pas le bon côté. Le Serbe remporte son septième jeux consécutifs et fait le break en ce début de 4e set.
• Balle de break Balle de break pour Djokovic d'entrée de set!
• 30:30 Nadal n'arrive pas à déborder Djokovic qui défend à merveille. Le Majorquin tente un amorti, avec succès.
• 15:30 Quel échange! Djokovic remporte ce bras de fer de 44 changes, tout un symbole.
• Set Djokovic 6:2Le Serbe remporte la troisième manche. La pluie a rendu le court plus lourd et Nadal est moins bien. L'Espagnol vient de perdre son premier set du tournoi.
• Balle de set 5:2Trois balles de set pour Djokovic.
• 30:00 5:2Nadal est à la peine. Le Serbe est à deux points du set.
• Jeu Djokovic 5:2"Nole" prend deux break d'avance. Le Serbe va servir pour le gain de la troisième manche.
• Balle de break 4:2Balle de double break pour Djokovic! Le Serbe a vraiment élevé le niveau de son jeu.
• 30:30 4:2Les longueurs de balles trouvées par Djokovic gênent considérablement Nadal.
• Jeu Djokovic 4:2Le Serbe confirme son break d'avance. La rencontre est-elle en train de tourner en faveur de "Nole"?
• 30:00 3:2Djokovic réussit tout ce qu'il tente depuis quelques minutes. Nadal est moins à l'aise en défense.
• Jeu Djokovic 3:2Le Serbe fait le break dans ce set. Il commence à mettre Nadal en danger sur son jeu de service.
• Balle de break 2:2Nadal sauve la première sur un amorti.
• Balle de break 2:2Trois balles de break pour Djokovic.
• 00:30 2:2Djokovic mène sur le service de l'Espagnol. Le Serbe tente de taper aussi fort que Nadal.
• Jeu Djokovic 2:2Ça va un peu mieux pour le Serbe qui recolle dans ce set.
• 40:40 1:2"Nole" manque son revers croisé. Mais quelle défense de Nadal encore une fois...
• 30:30 1:2Le Serbe revient grâce à de bonnes premières balles.
• 00:30 1:2Deux attaques successives pour Nadal qui déborde Djokovic.
• Jeu Djokovic 1:2Djokovic refait son break de retard dans ce 3e set en prenant le service de Nadal pour la 4e fois.
• Balle de break 0:2Grosse prise de risque de Djokovic qui se procure deux balles de break!
• 15:30 0:2Dès qu'il est un peu en difficulté, Nadal s'appuie sur son coup droit dévastateur pour remettre les choses en place.
• 00:15 0:2Lors du jeu précédent, Djokovic s'est retourné vers son clan, se demandant: "Mais qu'est ce que je peux faire?!". Nadal paraît imprenable cet après-midi.
• Jeu Nadal 0:2L'Espagnol fait le break d'entrée de set. Les frappes de Nadal son trop puissantes pour Djokovic aujourd'hui.
• Balle de break 0:1Trois balles de break pour Nadal!
• 00:30 0:1Djokovic est en grande difficulté sur son service.
• Jeu Nadal 0:1Le Majorquin remporte difficilement son jeu de service. En regagnant sa chaise, Djokovic a le regard noir.
• 40:40 Nadal est insupportable! L'Espagnol défend son court avec une facilité déconcertante. Il sauve la balle de break contre lui.
• Balle de break Balle de break Djokovic.
• 30:30 Bien servi de la part de Nadal. Djokovic voit son retour atterrir dans le filet.
• 15:15 Novak Djokovic doit réagir maintenant si il veut glaner son premier titre à Paris.
• Set Nadal 3:6Quel retour de Nadal! L'Espagnol remporte ce 2e set juste après l'interruption du match. Il enfonce un peu plus Djokovic.
• Balle de set 3:5Deux balles de set pour l'Espagnol.
• 15:30 3:5Djokovic n'a toujours pas réglé la mire. 15e fautes directe.
• Avertissement Djokovic Pour avoir frappé son banc avec sa raquette, Djokovic a hérité d'un avertissement. Son banc a été changé pendant l'interruption du à la pluie.
• L'arbitre vient de revenir sur le court Philippe Chatrier. Les deux joueurs ont droit à un nouvel échauffement. Plus court.
• La pluie s'en va La rencontre devrait reprendre dans quelques instants. Il ne pleut plus sur le central.
• La pluie arrive Le court n'a pas été bâché. D'après Météo France, la pluie devrait cesser vers 17h30.
• La pluie arrive La rencontre est suspendue. La pluie commence à faire son apparition sur le court Philippe Chatrier.
• Jeu Nadal 3:5Jeu blanc pour l'Espagnol qui reste très concentré sur son match.
• 15:00 3:4Nadal joue sur autre planète depuis quelques instants. Il assomme Djokovic d'un coup droit dans la diagonale.
• 3:4Le public siffle une nouvelle fois Djokovic. Le Serbe vient de frapper son banc avec sa raquette.
• Jeu Nadal 3:4L'Espagnol fait le break. Il a attendu l'ouverture et prend le service du Serbe dans un moment crucial de ce set.
• Balle de break 3:3Balle de break pour Nadal!
• 30:30 3:3Les deux joueurs commettent des fautes inhabituelles. La pression de l'enjeu? En tout cas, le niveau de cette finale n'est pas exceptionnel pour le moment.
• Jeu Nadal 3:3Nadal n'a pas l'air perturbé d'avoir perdu son break d'avance. Il recolle sur un ace.
• 30:00 3:2Litige sur un point. Djokovic s'arrête de jouer pensant que sa frappe est faute. Nadal renvoie et marque le point. Beau joueur, le Serbe confirme le point pour le Majorquin.
• Jeu Djokovic 3:2"Nole" se reprend bien sur la fin du jeu et prend la tête dans ce set. Son moment de fébrilité n'a pas duré longtemps.
• 15:30 2:2Fou de rage après un coup droit trop long, Djokovic envoie valser sa raquette. Le public n'apprécie guère et siffle le Serbe.
• 15:15 2:2Belle défense de Nadal mais l'Espagnol craque sous les coups de boutoirs de Djokovic.
• Jeu Djokovic 2:2Le Serbe refait son break de retard. Son lob fait mouche.
• Balle de break 1:2Quel passing de Djokovic! Le Serbe ne se laisse pas perturber par la montée au filet de Nadal.
• 15:15 1:2Nouvelle double faute de l'Espagnol. Sa quatrième déjà aujourd'hui.
• Jeu Djokovic 1:2Le Serbe s'en sort sur sa mise en jeu. Nadal garde un break d'avance.
• 40:40 0:2Nadal est clairement au-dessus pour le moment. L'Espagnol est bien plus conquérant que son adversaire.
• 30:30 0:2Aie aie aie! Après un smash cadeau que Nadal arrive à retourner, Djokovic manque sa volée au filet.
• 30:00 0:2Superbe attaque du Serbe qui rentre bien dans le court et déborde Nadal.
• Jeu Nadal 0:2L'Espagnol confirme son break sur un smash rageur. Non sans mal.
• 40:40 0:1Nadal tente le passing mais Djokovic est présent au filet et conclut d'une volée parfaite.
• 40:40 0:1Nadal l'annule en sortant une grosse première balle.
• Balle de break 0:1Superbe lob de Djokovic! Balle de débreak.
• 40:40 0:1Nadal manque ses deux occasions de confirmer son break. Son coup droit dans le couloir.
• 00:15 0:1Nadal malmène le Serbe actuellement. Il conclut sur une petite balle décroisée derrière le filet.
• Jeu Djokovic 0:1Double faute du Serbe qui offre le break à Nadal dès le début de ce 2e set.
• Balle de break Deuxième balle de break dans ce jeu pour Nadal.
• 40:40 Djokovic sauve cette balle de break sur un coup droit croisé pleine ligne!
• Balle de break C'est trop long pour Djokovic! Balle de break pour Nadal.
• 30:15 Quel point encore! Le niveau de jeu atteint des sommets. C'est Djokovic qui sort victorieux de ce bras de fer.
• Set Nadal 4:6C'est fait, l'Espagnol envoie une bombe en coup droit et remporte le premier set en une heure de jeu.
• Balle de set 4:5Deux balles de set pour l'Espagnol sur un amorti somptueux.
• 30:00 4:5Smash plein axe de Nadal. Il est à deux points du set.
• Jeu Djokovic 4:5Le Serbe réussit enfin un revers dans le court. Il reste au contact mais Nadal va servir pour le gain de la première manche.
• 30:00 3:5Le Serbe passe un lob somptueux et prend Nadal à contre-pied.
• 15:00 3:5Magnifique! Djokovic réussit le premier amorti de cette rencontre.
• Jeu Nadal 3:5On joue depuis 49' et Nadal confirme son break d'avance. Djokovic n'y arrive plus en revers.
• 40:15 3:4Nouveau revers en dehors des limites pour le Serbe qui a du mal en ce moment.
• 15:15 3:4Djokovic s'agace contre lui-même. Pas content après son revers.
• Jeu Nadal 3:4Cadeau de Djokovic cette fois-ci. Le Serbe comment une double faute au pire moment pour lui. Nadal reprend les commandes dans ce set.
• Balle de break 3:3Deuxième balle de break pour Nadal dans ce jeu.
• 40:40 3:3Cadeau de Nadal. L'Espagnol commet une faute inhabituel sur un retour assez simple.
• Balle de break 3:3Balle de break pour le Majorquin.
• 30:30 3:3Le Serbe insiste lourdement sur le revers de Nadal et ça marche. L'Espagnol est à la faute.
• 15:30 3:3Nadal joue long. Djokovic est à la peine et trouve le filet.
• Jeu Djokovic 3:3Le Serbe revient à égalité. Il avait deux break de retard mais a trouvé les ressources pour se remettre dans la partie en inscrivant trois jeux consécutifs.
• Balle de break 2:3Balle de break pour Djokovic sur une double faute de Nadal.
• 40:40 2:3Djokovic joue à la perfection depuis quelques minutes. Son coup droit décroisé fait merveille.
• 40:40 2:3Djokovic ne baisse pas les bras dans ce jeu. Il déborde Nadal avec son coup droit.
• 40:30 2:3Nadal est patient et pousse Djokovic à faire la faute. Balle de 4-2 pour le Majorquin.
• 15:30 2:3Le Serbe mène l'échange et fait courir l'Espagnol. Il conclut le point sur son coup droit.
• 15:15 2:3Le service de Nadal est trop puissant pour Djokovic.
• Jeu Djokovic 2:3Le revers de Nadal est dans le couloir. Le Serbe peut souffler un peu. Il a toujours un break de retard.
• 40:15 1:3Djokovic manque sa première occasion de conclure ce jeu. Son revers croisé est hors de limites du court.
• 30:00 1:3Quel point! Superbe défense de Djokovic qui pousse Nadal à la faute.
• Jeu Djokovic 1:3Le Serbe refait un break de retard. C'est la première fois que Nadal perd son service dans ce tournoi.
• Balle de break 0:3Première balle de break pour Djokovic sur une erreur de Nadal en coup droit.
• 40:40 0:3Nadal sert fort mais ne conclut pas sur son coup droit. Deuxième faute directe pour l'Espagnol.
• 30:30 0:3Djokovic prend un risque sur le retour et ça marche. Son revers croisé déborde Nadal.
• 30:00 0:3Le Serbe enchaîne les fautes directes depuis le début du match. Déjà huit pour lui. Nadal n'en a commis aucune.
• Jeu Nadal 0:3Le coup droit croisé de Djokovic est trop long. L'Espagnol s'envole déjà dans ce set. Il réalise le double break.
• Balle de break 0:2Deux nouvelles balles de break pour Nadal sur un passing monstrueux!
• 00:30 0:2Djokovic paraît déjà désemparer. Il est mené une nouvelle fois sur son service.
• Jeu Nadal 0:2Nadal remporte tranquillement sa mise en jeu.
• 30:00 0:1La frappe de balle de Nadal est très impressionnante. Il claque son premier ace du match.
• Jeu Nadal 0:1L'Espagnol fait le break dès le début de la partie sur une faute directe de Djokovic.
• Balle de break Nouvelle balle de break pour l'Espagnol! La quatrième.
• 40:40 Superbe frappe croisée de Djokovic qui revient à égalité.
• Balle de break Djokovic sauve les deux premières balles de break.
• Balle de break Trois balles de break pour Nadal! Ça commence fort pour l'Espagnol!
• 00:30 Djokovic est à la faute sur son coup droit. Le Serbe est déjà en mauvaise posture.
• 00:15 Nadal annonce d'entrée la couleur. Sur une frappe croisée.

J'

• La rencontre va débuter. Djokovic est au service pour ce premier jeu

[Norton]

Rui Costa fait coup double

Cyclisme

—
Les favoris ont laissé la vedette au Portugais Rui Alberto Faria Da Costa (Movistar), vainqueur de la 2e étape du Tour de Suisse à Verbier.
Mis à jour à 19h38 1 Commentaire

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Rui Costa (28 ans) est un coureur d'expérience qui sait gagner des courses même s'il n'a fêté que son premier succès de la saison.
Image: Keystone






Le Portugais a devancé le revenant Frank Schleck (Lux) de 4''. Il a détrôné de sa place de leader le Slovaque Peter Sagan (Liquigas), vainqueur samedi du contre-la-montre de Lugano devant Fabian Cancellara.
Après l'exploit de Sagan au Tessin, le peloton attendait de savoir si le Slovaque allait se battre pour le classement général alors qu'il entend prendre part au Tour de France et s'aligner aux Jeux olympiques. La réponse est tombée à 11 km de l'arrivée à Verbier juste avant que la pente ne se fasse la plus sévère. Le Slovaque s'est gentiment laissé décrocher du peloton et est monté à son rythme pour terminer à plus de 13' en compagnie de son dauphin de la veille, Cancellara.
La course au maillot jaune était dès lors ouverte sur les routes de la station valaisanne qui avaient vu Alberto Contador forger son succès au Tour de France en 2009. A 6 km, Frank Schleck se rappelait au souvenir de tout le monde en tentant sa chance seul comme à ses plus beaux jours. Sur des routes qui présentaient jusqu'à 8 % de dénivellation, le Luxembourgeois a réussi à s'assurer un avantage d'une trentaine de secondes.
Derrière, alors que Michael Albasini, pourtant 6e du contre-la-montre, coulait complètement, et que le Néerlandais Robert Gesink, l'un des favoris pour le général, se faisait décrocher du groupe des favoris, le Français John Gadret tentait sa chance mais il était rapidement repris par les ténors du peloton. Puis ce fut au tour de l'Américain Tom Danielson de partir en contre mais sans plus de succès.
A moins de 2 km de la ligne, le troisième contre était le bon. Rui Costa se faisait l'auteur d'un démarrage sec. Il fondait sur l'aîné des Schleck à 250 m de la ligne. "J'ai bien vu qu'il était cuit alors je n'ai pas hésité à foncer vers la banderole d'arrivée", relevait le vainqueur du jour, qui est le deuxième Portugais après Acacio Da Silva à porter le maillot de leader du Tour de Suisse.
Du dégât à Verbier
Rui Costa (28 ans) est un coureur d'expérience qui sait gagner des courses même s'il n'a fêté que son premier succès de la saison. Troisième du dernier Tour de Romandie avec une deuxième place à Moutier, le Portugais s'était imposé sur le Tour de France l'an dernier à SuperBesse. Il avait également signé un succès au Tour de Suisse en 2010 à Liestal. Avec 8'' d'avance sur Schleck et 15'' sur Roman Kreuziger, il peut entrevoir de garder le maillot jaune sur le parcours accidenté des prochaines étapes jusqu'au contre-la-montre de vendredi à Gossau.
Cette première étape de montagne a quand même fait du dégât. Gesink, Damiano Cunego, Mathias Frank, Andreas Klöden ont cédé beaucoup de temps surtout si l'on songe à l'étape chronométrée qui paraît avantager Kreuziger. Lauréat l'an dernier, Levi Leipheimer reste idéalement placé à 37'' de Costa.
Sagan tout terrain
Samedi, Peter Sagan avait battu de 4'' Fabian Cancellara lors du contre-la-montre (7,3 km) de Lugano. Le Bernois n'a pas trop de regrets à avoir, son vainqueur est l'un des plus grands espoirs du cyclisme moderne. A 22 ans, il a déjà fêté 32 victoires chez les professionnels. Et il s'impose sur tous les terrains.
Cancellara n'a pas réussi la passe de quatre. Le Bernois avait remporté la première étape de la boucle nationale lors des trois dernières éditions. Cette fois-ci, le champion olympique du contre-la-montre est tombé sur un os. Sagan, troisième l'an dernier dans le même exercice au Tessin, a prouvé qu'il était le coureur en forme du moment. Il a déjà fêté huit succès cette saison, dont cinq dans le récent Tour de Californie. L'an dernier, le Slovaque avait gagné deux étapes du Tour de Suisse, l'une à Grindelwald et l'autre à Schaffhouse, ce qui prouve son éclectisme.
La troisième étape mènera les coureurs lundi de Martigny à Aarberg dans le Seeland sur 194,7 km sans difficulté particulière à part deux côtes dans les 25 derniers kilomètres.

[Norton]

Messi terrasse le Brésil

Football

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Pendant que l'Europe du football a les yeux rivés vers la Pologne et l'Ukraine, Lionel Messi s'est fait l'auteur d'un triplé pour battre le Brésil (4-3) en match amical.




L’Argentine, grâce à un Messi de gala, auteur d’un triplé, a dominé in extremis 4 à 3 un Brésil fortement rajeuni, qui prépare les jeux Olympiques, samedi à East Rutherford (New Jersey) au terme d’une rencontre placée sous le signe de l’attaque.
La cohorte de stars de l’Argentine, en tête des qualifications au Mondial-2014 dans la zone Amsud après la facile victoire contre l’Equateur (4-0), a d’abord été bousculée devant les 81.994 spectateurs du Metlife Stadium, le stade de football américain des Jets et des Giants, par les jeunes Brésiliens qui ont ouvert le score grâce à Romulo (23).
En patron, le triple Ballon d’or Lionel Messi a rapidement remis les +Albiceleste+ dans le sens de la marche en inscrivant deux buts en trois minutes (31, 34), permettant aux siens d’atteindre la pause avec un petit avantage (2-1).
Mais au retour des vestiaires, les hommes du sélectionneur Mano Menezes ne s’en laissaient pas compter et repassaient devant, grâce à Oscar (56) et Hulk (72), qui profitait d’une erreur du gardien argentin Romero.
La joie brésilienne était de courte durée. Piqués au vif, les Argentins égalisaient rapidement sur un corner d’Agüero, qui venait de remplacer Di Maria, repris victorieusement par le défenseur Federico Fernandez (75).
Messi, bon capitaine, ne laissait à personne le soin de marquer le dernier but, celui de la victoire (84).
Les exclusions de l’attaquant argentin Lavezzi, qui venait d’entrer en jeu à la place d’Higuain, et du défenseur brésilien Marcelo (90), gâchaient un peu la fête, mais n’empêchaient pas le Brésil de clôturer sa tournée de quatre matches amicaux sur une deuxième défaite (victoire 3-1 au Danemark le 26 mai, victoire 4-1 aux Etats-Unis le 31 mai et défaite 2-0 contre le Mexique le 3 juin).
Mano Menezes ne manquera pas d’en tirer des leçons pour l’aider à réduire sa liste de 22 à 18 joueurs, ceux qui tenteront de réparer une erreur historique et de remporter cet été la première médaille d’or de football du Brésil.

[Norton]

Oklahoma City se frottera à Miami en finale

Basketball

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Miami défiera Thabo Sefolosha et Oklahoma City dès mardi en finale du championnat de NBA. Le Heat s’est qualifié en s’imposant 101-88 face aux Boston Celtics dans l’acte VII de la finale de la Conférence Est.
Mis à jour le 10.06.2012

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Les deux premiers matches de la finale se dérouleront sur le parquet du Thunder.
La star de Miami LeBron James n’avait encore jamais gagné de septième match dans sa carrière. Le MVP de la saison régulière a réparé cette anomalie, terminant meilleur marqueur de la rencontre avec 31 points tout en captant 12 rebonds. Le no 6 et ses partenaires auront donc l’occasion de prendre leur revanche sur la défaite subie l’an dernier au stade ultime de la compétition face à Dallas.
Chris Bosh, qui disputait son troisième match depuis son retour aux affaires après une blessure aux abdominaux, s’est également illustré samedi. L’ailier du Heat s’est fait l’auteur de 19 points, inscrivant notamment trois tirs à 3 points (un record pour lui). «Il a été grand, sur chaque tir, chaque phase défensive et chaque rebond. Il nous avait manqué», lâchait d’ailleurs LeBron James à propos de son équipier. Mené de sept longueurs à la pause (46-53), Miami a fait la différence dans un ultime quart-temps entamé sur le score de 73-73. Un partiel de 5-0 lui permettait de prendre pour la première fois de la rencontre un avantage conséquent (88-82) à 6’54’’ du terme de la partie. Emmené par un excellent Rajon Rondo (22 points, 14 assists, 10 rebonds), Boston ne trouvait pas les ressources pour priver son adversaire de finale.

[Norton]

L'UEFA épingle la Russie pour ses fans

EURO 2012

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L’UEFA a ouvert samedi une procédure disciplinaire contre la Russie à cause du comportement de ses supporters lors du match contre la République Tchèque vendredi.
Mis à jour le 09.06.2012 8 Commentaires

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Des débordements ne se sont pas cantonnés au stade.
Image: Keystone






Il est reproché, après visionnage d’images et lecture de rapports de sécurité, aux supporters russes une mauvaise conduite dans les tribunes, jets de fusées et déploiement de bannières illicites, tandis que l’UEFA va également enquêter pour savoir si des incidents racistes causés par des fans Russes ont visé des joueurs tchèques. L’instance disciplinaire de l’UEFA se penchera sur ce cas le vendredi 13 juin, a annoncé l’UEFA.
Les sanctions qui peuvent être attendues peuvent aller du simple avertissement à l’amende adressée à la Fédération russe, a indiqué à l’AFP une source proche du dossier, qui ne pense pas possible un retrait de points.
Quatre sécus à l'hôpital
Quatre membres du service d’ordre polonais ont été frappés vendredi par des supporteurs russes dans le stade de Wroclaw (sud-est), à l’issue du match de l’Euro-2012 remporté par la Russie, avait annoncé samedi la police locale.
Sur un film amateur diffusé par la télévision polonaise TVN24, on voit un groupe de supporteurs en train d’attaquer à coups de poing et de pieds les bénévoles vêtus de gilets verts du service d’ordre dans le stade.
"Quatre personnes ont été temporairement hospitalisées suite à cet incident", a affirmé Pawel Petrykowski, porte-parole de la police de Wroclaw.
"Nous sommes en train d’identifier les agresseurs", a-t-il ajouté. Peu avant le même match, la police avait interpellé quatre Russes ayant provoqué une bagarre dans un bar de la Vieille Ville de Wroclaw.
"Quatre supporteurs en état d’ébriété ont été interpellés à la suite de cette bagarre", a déclaré M. Petrykowski.
L’UEFA avait d’abord dit dans un communiqué samedi être "au courant d’un incident bref et isolé impliquant un petit groupe de 30 fans qui ont attaqué une poignée de stadiers". "La situation a été rapidement et efficacement ramenée sous contrôle, la police locale est au courant et enquête", poursuivait alors l’Union européenne de football. Ces faits relèvent d’ailleurs plus de la justice civile que sportive si les auteurs sont interpellés.
Défilé tendu en prévision
Mardi, les supporteurs russes défileront dans les rues de Varsovie vers le stade National pour assister à Russie-Pologne, match sous haute tension et qui sera sans doute classé à risques. Les Russes ont déjà reçu l’autorisation de la mairie.
"Les fans de Russie pourront marcher le 12 juin dans les rues de Varsovie vers le Stade National, et les autorités de Varsovie vont les aider", avait annoncé vendredi le maire de la ville, Mme Hanna Gronkiewicz-Waltz.
Insultes racistes
Par ailleurs, un incident isolé à caractère raciste lors de Russie-République Tchèque avait été rapporté samedi par une association basée en Pologne.
"Notre observateur a entendu des cris de singe adressés par quelques fans russes au joueur tchèque Theodor Gebreselassie", de père éthiopien, a rapporté Rafal Pankowski de l’association "Never Again" ("Plus Jamais"), membre du réseau FARE (football contre le racisme en Europe) soutenu par l’UEFA.
L’UEFA dit enquêter avec FARE pour collecter le plus de preuves possibles. Par ailleurs, certains rapports ont fait état également pendant ce match du déploiement de drapeaux de "l’Empire Russe", qui peuvent passer pour de la provocation dans cette partie de l’Europe qui fut longtemps sous la domination de Moscou.
"Le déploiement de ces drapeaux n’est pas un incident en lui-même, avait dit M. Pankowski. Néanmoins, nous savons que ce drapeau est souvent utilisé par des mouvements d’extrême droite et que ce drapeau peut être accompagné de slogans et chants discriminatoires."


Des connards qui ne savent même pas qu'il y de l'air dans un ballon

[Norton]

L'Italie a fait mieux que se défendre contre l'Espagne

Antonio Di Natale (34 ans) n'a pas mis longtemps pour se mettre en évidence. L'attaquant de l'Udinese a marqué quelques secondes après avoir remplacé Balotelli.© reuters.
Annoncée en plein flou (trois défaites en amical, affaire de corruption 'Calcioscommesse', Criscito écarté de la sélection), l'Italie n'a pas démérité - loin s'en faut - contre le champion du monde espagnol. Les deux favoris du groupe C se sont quittés sur un nul (1-1). Alors qu'elle n'abordait pas cette rencontre dans les conditions les plus favorables, la Squadra a sérieusement bousculé la Roja, qui a même été menée au score. Trois minutes après l'ouverture du score de Di Natale (0-1), qui avait remplacé Balotelli quelques secondes auparavant, Fabregas a rétabli l'égalité, à la suite d'une ouverture lumineuse de David Silva. En fin de match, Fernando Torres aurait pu donner la victoire aux Ibères, mais l'attaquant de Blues a manqué ses deux face-à-face avec Buffon.
Bien lancé dans la profondeur, Di Natale n'a pas manqué son face-à-face avec Casillas.© getty.Fabregas a été aligné dans une position inhabituelle.© ap.La Squadra attend plus de Mario Balotelli...© epa.Fernando Torres n'est pas parvenu à concrétiser ses deux belles occasions en fin de match. © getty.
Revivez le match phase par phase

Les plus belles photo du match

1. L'Espagne sans attaquant de pointe spécifique
On attendait Torres, Llorente ou éventuellement Negredo en attaque, mais aucune de ses options n'a été privilégiée par Del Bosque, qui décidait d'aligner Fabregas à ce poste, soutenu par Iniesta et David Silva. Si cette tactique ne payait pas vraiment en première mi-temps, l'attaquant du Barça donnait raison à son coach en inscrivant l'égalisation. Entré au jeu pour Fabregas, Torres démontrait en fin de match qu'il traversait une période délicate en loupant deux occasions 5 étoiles.

2. Balotelli galvaude et sort
Auteur d'une prestation en demi-teinte, l'enfant terrible du football italien peut s'en vouloir d'avoir vendangé une occasion énorme en deuxième mi-temps. A la 54e minute, l'attaquant de Manchester City récupérait le ballon dans les pieds de Sergio Ramos et se présentait seul face à Casillas. Mais "Super Mario" tardait beaucoup trop avant de conclure, et se heurtait au retour de Ramos, qui se rachetait de sa grossière erreur. Quelques secondes plus tard, Balotelli cédait sa place à Di Natale, le buteur de l'Udinese. A peine entré au jeu, celui-ci donnait l'avance à son équipe d'une astucieuse "pichenette" au-dessus de Casillas. Balotelli a-t-il perdu sa place de titulaire?

3. Une Italie convalescente?
Généreuse dans les duels et courageuse tout au long du match, l'Italie a montré un visage séduisant pour son entrée en matière dans le tournoi. S'appuyant sur une défense compacte, emmenée par un De Rossi omniprésent, la Squadra n'a pas laissé s'exprimer les petits formats espagnols. Dans l'entrejeu, Motta et Pirlo, le cerveau de l'équipe, ont livré une grosse prestation. Annoncée en pleine convalescence, l'équipe transalpine n'a pas donné cette impression du tout, au contraire. Dans une situation comparable à celle de 2006 (où le Calciopoli avait éclaté), la formation de Prandelli parviendrait-elle à rééditer son exploit de l'époque? En tout cas, c'est quand on ne l'attend pas que la Squadra est le plus redoutable!

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Mais ils sont ou mais ils sont ou 'Espagne,,,,,,,,,,,,,,,Forza ITALIA