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Les obsèques de Thierry Roland seront célébrées jeudi

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Les obsèques de Thierry Roland, décédé samedi à l'âge de 74 ans, auront lieu jeudi en l'église Sainte-Clotilde, dans le VIIe arrondissement de Paris, a appris l'AFP dimanche auprès de Jacques Vendroux et de la famille de l'ancien commentateur sportif.

La cérémonie aura lieu à 15heures a précisé le directeur des Sports de Radio France, un ami proche de Thierry Roland, qui laisse une veuve, la réalisatrice Françoise Boulain, et un fils, Gary.

Thierry Roland, décédé samedi aux premières heures de la journée, d'un accident vasculaire cérébral, avait passé plus de 50 ans à l'antenne à commenter des matchs de football, sa passion, et il a ainsi couvert 13 Coupes du monde et 9 Championnats d'Europe des nations.

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Spectaculaire accident aux 24 Heures du Mans


vidéoLa 80e édition des 24 Heures du Mans a été placée sous voiture de sécurité vers 20h00 après cinq heures de course, à la suite accident survenu au virage de Mulsanne au bout de la ligne droite des Hunaudières. La Ferrari 458 Italia GTE, N.81, pilotée par l'Italien Piergiuseppe Perazzini a été surprise par la Toyota TS030 Hybrid N.8 pilotée par le Britannique Anthony Davidson qui était en train de la dépasser. La Ferrari a accroché la Toyota qui a alors effectué un "soleil" complet avant de terminer sa course dans un mur de pneus.
La Toyota N.8 occupait la 3e place du classement au moment de son accident. Après être longtemps resté à bord, visiblement conscient, Davidson a été évacué dans une ambulance.

L'ambulance est alors partie lentement vers le PC médical du circuit des 24 Heures, sans qu'on puisse avoir la moindre indication précise sur l'état de santé du pilote britannique, qui a très vite agité ses bras en tentant de sortir du cockpit de sa voiture, coincée contre les pneus.

Les commissaires ont dû attendre avant de s'approcher de la voiture, équipée d'un système hybride de récupération d'énergie, ce qui fait l'objet d'une procédure spéciale en raison du risque électrique.

Perazzini est sorti apparemment indemne de sa voiture qui a terminé sur le toit. La voiture de sécurité est alors sortie, pour la première fois depuis le départ pendant que les drapeaux rouges neutralisaient la course.

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Cruelle défaite du XV de France en Argentine

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Le XV de France, trop généreux avec ses adversaires, a enregistré une cruelle défaite (23-20) face à l'Argentine samedi à Cordoba pour le premier test-match de sa tournée de juin, crucifié par un essai des Pumas au terme d'une rencontre dominée de bout en bout.

Il est des défaites nettes et sans bavure qui enseignent l'humilité. Celle subie samedi au stade Mario Kempes suscite plutôt l'amertume. Dominateurs sans être réalistes, les Français ont bien d'avantage perdu ce match que les Pumas ne l'ont gagné.

Au plan comptable, pourtant, le résultat est implacable. Avant la seconde manche samedi prochain à Tucuman, les Français ont subi samedi une huitième défaite face aux Pumas en onze confrontation depuis 2002. Le dernier succès tricolore en terre argentine date de 1998.

L'entraîneur Philippe Saint-André, en place depuis le début de l'année, enregistre un quatrième match consécutif sans victoire après le match nul (17-17) contre l'Irlande et les défaites face à l'Angleterre (24-22) et au pays de Galles (16-9) dans le Tournoi des six nations. Avec, à chaque fois, le même symptôme: pas assez de points inscrits sur les temps forts et trop de points encaissés en si peu d'actions crées par l'adversaire.

"Il faut féliciter les Argentins qui n'ont rien lâché pendant 80 minutes. Et nous... Il faut respecter le jeu. Quand tu donnes treize points en première mi-temps, c'est difficile de gagner un match international", a fulminé Saint-André avant de lâcher: "On a dominé mais on n'a pas gagné. Il faut que la France apprenne à ne pas dominer mais à gagner."

Son homologue argentin Santiago Phelan, beau joueur, avait le triomphe plutôt modeste après la rencontre: "Nous sommes contents d'avoir pu battre une équipe compétitive comme la France avec une équipe jeune, sans bien jouer et avec une très bonne défense." A méditer. Car hormis les deux essais encaissés sur interception, le premier par Belisario Agulla sur une passe de François Trinh-Duc pour Wesley Fofana en début de partie et le second, assassin, par Manuel Montero sur un nouveau ballon perdu à trois minutes du terme, les Français ont livré un match plutôt intéressant et ont mené au score plus d'une heure durant.

Dominateurs en conquête, plutôt à l'aise en attaque, ils ont simplement manqué de réalisme en n'inscrivant qu'un seul essai, inscrit par Louis Picamoles au terme d'une action remarquable et bien amenée par l'arrière Brice Dulin, plutôt à l'aise pour sa première sélection.

Pour le reste, malgré cinq pénalités inscrites par Morgan Parra, les Français s'en voudront d'avoir laissé filer onze points au pied en première période et surtout d'en avoir encaissé dix sur les renvois. Un manque de concentration coupable couplé à une indiscipline chronique, sanctionnés par 13 points du capitaine des Pumas, Felipe Contepomi. Malgré cela, la victoire semblait promise. Et les entraîneurs français maudiront longtemps cette invraisemblable envie de relancer à quatre minutes du terme, jusqu'à perdre le ballon fatal et encaisser l'essai de la défaite. De quoi plomber l'ambiance de la deuxième semaine jusqu'à la revanche de Tucuman.

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L'Audi hybride remporte les 24 Heures du Mans

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L'Audi R18 e-tron quattro du Français Benoît Tréluyer, du Suisse Marcel Fässler et du Belgo-Allemand André Lotterer a remporté dimanche la 80e édition des 24 Heures du Mans automobiles, la première victoire d'une voiture hybride depuis la création de la course en 1923.
Partie en pole position, l'Audi N.1 a mené une bonne partie de la course et évité toutes les embûches, mais elle n'a été sûre de sa victoire que sur le coup de midi, quand Allan McNish, au volant de l'Audi hybride N.2, est parti à la faute dans les virages du karting et a perdu un temps précieux.

L'Audi N.1 a finalement bouclé 378 tours, terminant avec un tour d'avance sur la N.2 du trio Kristensen-McNish-Capello, l'autre Audi hybride, et trois tours d'avance sur la N.4 de Rockenfeller-Jarvis-Bonanomi, une Audi ultra non-hybride.

La Lola-Toyota de Prost-Heidfeld-Jani, 4e et première voiture privée, a en effet évité de justesse un quadruplé historique de la marque aux anneaux.

En 14 participations aux 24 Heures du Mans depuis 1999, c'est la 11e victoire d'Audi, à ajouter à une victoire de Bentley (groupe VW) en 2003, avec la même équipe de pilotes, de mécaniciens et d'ingénieurs.

Je me marre, en Belgique c'est le Français en tête

Vais aller voir en Allemagne Voir si ce n'est pas le belgo-allemand.......
aussi chauvins que vous les belges.....

tu vas voir qu'il vont mettre des batteries dans la ducati

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24heures du Mans: deux vertèbres touchées pour Anthony Davidson

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Le Britannique Anthony Davidson, victime d'une sortie de piste très spectaculaire samedi soir aux 24 Heures du Mans, a "deux vertèbres touchées" et sortira de l'hôpital lundi pour entamer une rééducation qui devrait durer trois mois, a-t-on appris dimanche auprès de l'écurie Toyota.
Le premier bilan de santé, juste après l'accident, faisait état de grosses douleurs au dos, le pilote étant conscient. Il a ensuite été transféré à l'hôpital du Mans, en ambulance, pour passer des radios de contrôle.

Le diagnostic est plus sérieux (vertèbres 11 et 12 touchées) et rendra le Britannique indisponible pour la suite immédiate du Championnat du monde d'endurance (WEC), dont la prochaine manche est prévue fin août à Silverstone.

La Toyota N.8 de Davidson s'est envolée samedi à 20h00 lorsqu'une Ferrari s'est rabattue devant elle au freinage du virage de Mulsanne, au bout de la ligne droite des Hunaudières. Les deux voitures ont été détruites.

Davidson, pilote Peugeot Sport en 2011, avait déjà déclaré forfait l'an dernier pour les Six Heures de Silverstone, une manche de l'Intercontinental Le Mans Cup (ILMC), à cause d'un accident de vélo.

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Cristiano Ronaldo se déchaîne sur les Oranje

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Le Portugal s'est qualifié pour les quarts de finale de l'Euro grâce à un doublé de Cristiano Ronaldo, excellent ce soir, éliminant du même coup les Pays-Bas (1-2). Les hommes de Van Marwijk avaient pourtant réussi à ouvrir le score via Rafael Van der Vaart après seulement onze minutes. Mais ils se sont ensuite complètement écroulés face aux offensives de la star du Real Madrid et de ses coéquipiers. La Seleçcao affrontera la Tchéquie au prochain tour.
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1. Van Marwijk patauge
Obligé de gagner par deux buts d'écart, Bert Van Marwijk avait décidé d'aligner une équipe à forte connotation offensive. Exit Afellay et Van Bommel, le sélectionneur hollandais choisissait de mettre Van der Vaart et Huntelaar d'entrée de jeu. Les mauvaises langues diront qu'il a cédé face à la pression populaire et médiatique, qui réclamait ces deux joueurs depuis le début du tournoi. Soit.

Pour le coup, le choix a failli être gagnant. Après 11 minutes, les Hollandais prenaient l'avance via... Van der Vaart d'une superbe frappe enroulée. Un feu de paille ? Très vite, le onze néerlandais a donné l'impression d'être très mal équilibré, tant c'était la soirée portes ouvertes en défense. A ce sujet, Van Marwijk a sans doute attrapé ses derniers cheveux gris en voyant la nouvelle prestation calamiteuse de son quatuor défensif (NDLR : troisième défense différente en trois matches), définitivement trop court à ce niveau.

Et offensivement, on n'a pas vu grand-chose, même quand les Pays-Bas ont joué avec... six ( !) joueurs offensifs après la montée d'Afellay. Car ces remaniements ont surtout eu pour effet d'offrir des espaces énormes, dont Ronaldo a bien profité sur le deuxième but. Un coup de poker perdu. Triste...

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• Cristiano Ronaldo loge dans une suite

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2. Ronaldo met tout le monde d'accord
Face à la pluie de critiques qui était tombée sur lui ces derniers jours, Ronaldo n'avait pas d'autre choix que de se montrer décisif pour ses couleurs. La star portugaise a pleinement répondu à l'attente en étant dans tous les bons coups. Le Ballon d'Or 2008 a été "monstrueux", en rendant fou l'arrière-garde batave. Après une frappe sur le poteau, une tête bien arrêtée par Stekelenburg, il a gagné son face-à-face sur le gardien de la Roma pour ouvrir la marque. En confiance, il a ensuite loupé de peu le 1-2, d'abord d'un fantastique tir, puis d'une tête qui a frôlé le poteau. C'est finalement à un gros quart d'heure du terme qu'il a offert la victoire au Portugal, avant d'encore trouver le poteau dans les arrêts de jeu. Rien que ça! Le voilà désormais à 7 buts en 22 matches dans un grand tournoi.

3. Humiliation pour les Oranje
Dans la tourmente avant l'Euro, le Portugal est parvenu à se sortir d'un groupe très difficile, et plutôt avec la manière. Ce soir, les Lusitaniens ont largement dominé des Hollandais pitoyables. Face à la République tchèque en quart de finale, ils auront une belle carte à jouer pour atteindre les demi-finales. Et à partir de là, tout peut arriver. Quant aux Oranje, encore vice-champions du monde en 2010, ils quittent l'Euro sur un zéro sur neuf humiliant. Désignés un peu vite comme favoris à la victoire finale, il y aura du boulot pour se remettre d'une telle claque. Quand on connaît les égos de certaines vedettes de l'équipe, ce ne sera pas une mince affaire...


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Lionel Messi sera papa d'un petit garçon

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Cette fois, le doute n'est plus permis. Après des semaines de rumeurs, Lionel Messi a confirmé au quotidien argentin Olé qu'il allait être papa.

"Nous ne voulions pas en parler parce que nous ne parlons pas de notre vie privée, mais les informations étaient de plus en plus insistantes, donc nous avons voulu partager notre joie", a confié le meilleur joueur du monde.

Il y a quelques jours, le lutin argentin avait célébré l'un de ses buts en équipe nationale en mimant le ventre d'une femme enceinte. Le joueur du FC Barcelone a aussi révélé le sexe du bébé. "Ce sera un garçon."

La presse argentine et espagnole s'emballe déjà, imaginant le petit réaliser les mêmes exploits footballistiques que le paternel d'ici quelques années. La naissance de Messi Junior est prévue pour cet

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Nalbandian disqualifié après avoir pété les plombs

http://www.youtube.com/watch?feature...&v=jIb4olmMg0I

vidéoEvénement très rare en tennis dimanche en finale du tournoi de tennis sur gazon du Queen's à Londres. L'Argentin David Nalbandian (ATP 39/N.10) a été disqualifié. Dans un geste de mauvaise humeur, il a frappé du pied un panneau de publicité. Celui-ci a volé en éclat et heurté le tibia d'un juge de ligne qui a visiblement eu mal. L'arbitre n'a eu d'autre choix que de disqualifié le tombeur de Xavier Malisse en quart de finale. Nalbandian menait pourtant 7-6 (7/3) et 3-4 face au Croate Marin Cilic (ATP 25/N.6) au moment de l'incident qui a mis fin à la finale au bout de 1h26.
Cilic, 23 ans, avec ce succès dans cette épreuve de l'ATP dotée de 625.300 euros, décroche un 7e titre à l'occasion de sa 14e finale sur le circuit ATP. Son dernier titre remontait à l'an dernier à Saint-Pétersbourg.

Nalbandian, qui jouait sa 23e finale, la première depuis 18 mois et celle perdue à Auckland, reste à 11 titres en carrière. Le Sud-Américain, âgé de 30 ans, avait remporté quatre des cinq confrontations précédentes avec Cilic. Il s'agissait du premier match entre les deux hommes sur gazon.
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Retour mitigé pour Kim Clijsters

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MISE À JOURPour sa rentrée en compétition après 3 mois d'absence à cause d'une blessure à la hanche, Kim Clijsters s'est qualifiée pour le 2e tour du tournoi de Rosmalen, une épreuve WTA sur gazon dotée de 220.000 euros, dimanche aux Pays-Bas. Une qualification non sans mal puisque la Limbourgeoise, 50e mondiale, a eu besoin de trois manches pour se débarrasser de la Suissesse Romina Oprandi, 69e mondiale. Le score de la rencontre qui a duré 1h48: 6-7 (5/7), 6-2 et 6-3.
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Les deux joueuses ne s'étaient rencontrées qu'à une seule reprise... l'an dernier à Rosmalen et Clijsters avait du s'incliner 7-6 (7/5), 6-3 dans un match qui restera un très mauvais souvenir pour l'ex-numéro 1 mondiale. La Limbourgeoise s'y était en effet blessée à la cheville la forçant à déclarer forfait pour Wimbledon.

Cette fois encore, Clijsters eut du soucis en début de match perdant d'entrée son service. Elle se reprit toutefois pour s'isoler à 4-1. Manquant de rythme et de régularité, Clijsters vit son adversaire revenir à 5-5 et fut même dominée dans le jeu décisif par 7 points à 5.

A nouveau mise en difficulté à l'entame de la deuxième manche, la Limbourgeoise accéléra les échanges pour finalement faire la différence et ne plus perdre que trois jeux jusqu'à la fin du match.

Au 2e tour, Clijsters aura un match plus difficile puisqu'elle sera opposée à la gagnante du duel entre l'Ukrainienne Kateryna Bondarenko (WTA-66) et l'Italienne Sara Errani, 10e mondial et tête de série N.2, la récente finaliste des Internationaux de France à Roland-Garros.