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Allemagne-Grèce: au-delà d'un simple match

Les Grecs voulaient sortir de l'euro, ça ne va plus tarder

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L'Allemagne règle le compte de la Grèce

Lahm, en bon capitaine, avait montré la voie à suivre pour la "Mannschaft".© ap.
Est-ce un signe du destin? La Grèce est officiellement sortie de la zone Euro footballistique. La faute à une équipe de l'Allemagne très dominatrice et impressionnante (4-2, mi-temps: 1-0). Suite à l'ouverture du score de Lahm (39e, 1-0), la "Mannschaft" n'aura douté que six minutes à cause de l'égalisation surprenante de Samaras (55e, 1-1 assist Salpingidis). Mais le rouleau-compresseur allemand, dirigé par Khedira (61e, 2-1), Klose (68e, 3-1) et Reus (74e, 4-1), a écrasé les Hellènes en fin de match. Le penalty converti par Salpingidis (89e, 4-2), le premier du tournoi, n'est qu'anecdotique. Les ouailles de Joachim Löw décrochent leur billet pour le dernier carré. Ce sera soit face à l'Italie soit face à l'Angleterre.
Samaras a fait rêver la Grèce pendant six minutes...© reuters.Klose, 64 buts avec la "Mannschaft", n'est plus qu'à quatre buts du record de Gerd Müller.© ap.Angela Merkel n'a pas boudé son plaisir ce soir.© afp.
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1 Tout un symbole
Le hasard du calendrier réserve de drôles de surprises. Comme ce fut déjà le cas lors des rencontres entre les USA et l'Iran (1-2 lors du Mondial 98) ou encore entre l'Argentine-Angleterre (2-1 lors du Mondial 86), le football peut parfois être rattrapé par l'actualité. Vu la crise de la dette qui touche aujourd'hui la zone Euro, ce duel inégal sur papier entre l'Allemagne et la Grèce n'échappera pas aux grands rendez-vous politico-sportifs de l'histoire du ballon rond. Plus qu'un match de football... Sous les yeux d'Angela Merkel gonflée à bloc, la "Mannschaft", plus puissante que jamais, ne s'est pas trompée en alignant sa quatrième victoire dans cette épreuve.

2 La Grèce meurt avec ses idées
Solidaire, pugnace, généreuse, passionnée et dotée d'un sens du sacrifice comme aucune autre formation présente dans cet Euro, la Grèce sera "morte" avec ses idées à Gdansk. Déjà privés de leur patron Karagounis (suspendu), les Grecs ont tenté de défendre avec leurs armes pour faire douter la "Mannschaft" le plus longtemps possible. Mais les miracles, comme ce fut le cas lors de l'Euro 2004, ne se produisent qu'une seule fois dans une vie. Malgré toutes les critiques essuyées due à sa qualification pour les quarts, la Grèce aura réussi son tournoi.

3 L'inoxydable Monsieur Klose
Miroslav Klose est comme le bon vin: il se bonifie avec le temps. Préféré à Mario Gomez (tout comme Schürlle et Reus à la place de Müller et Podolski), le buteur de la Lazio Rome a profité de sa 120e sélection pour facturer son 64e but sous le maillot de la "Mannschaft". Le record du mythique Gerd Müller (68) peut trembler. A 34 ans, le natif d'Opole (Pologne) fait partie de ces renards des surfaces sans pardon devant les buts. Une espèce en voie de disparition vu les qualités requises aujourd'hui pour un attaquant s'il veut réussir au niveau international. Avec Mario Gomez et Miroslav Klose comme numéro 9, l'Allemagne est parée percer n'importe quel mur défensif.

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Goffin-Tomic à Wimbledon, clash Clijsters-Jankovic

© belga.
Le tirage au sort de Wimbledon a été effectué ce vendredi en fin de matinée. Et il n'a pas forcément été clément envers nos compatriotes. David Goffin sera opposé à Bernard Tomic et Olivier Rochus affrontera Nicolas Almagro. Les autres affiches belges: Darcis-Ruffin, Malisse-Matosevic et Bemelmans-Berlocq. Chez les Dames, Kim Clijsters affrontera Jelena Jankovic dans le choc du premier tour, tandis que Yanina Wickmayer sera opposée à Svetlana Kuznetsova. Dur...
© belga.© photo news.© belga.© belga.
Les cinq joueurs belges engagés dans le simple messieurs de Wimbledon connaissent leurs adversaires du 1er tour, après le tirage au sort du tableau final du 3e tournoi du Grand Chelem de l'année, effectué vendredi à Londres.

Bénéficiaire d'une wild card, le nouveau numéro un belge David Goffin (ATP 66) aura la tête de série N.20, l'Australien Bernard Tomic, 27e mondial et quart-finaliste l'année dernière, comme premier adversaire de son premier Wimbledon.

Olivier Rochus, 68e mondial, retrouvera l'Espagnol Nicolas Almagro, 11e mondial et tête de série N.12.

Xavier Malisse (ATP 95) sera opposé à l'Australien, Marinko Matosevic, 82e à l'ATP.

Steve Darcis (ATP 72) devra en découdre avec le Français Guillaume Ruffin (ATP 168) sur le gazon londonien.

Enfin, issu des qualifications, Ruben Bemelmans (ATP 130) rencontrera l'Argentin Carlos Berlocq, 37e mondial.

Il s'agira dans tous les cas d'un premier duel entre les joueurs belges et leurs adversaires sur le circuit ATP.

Pas facile pour nos filles
Kim Clijsters (WTA 53), qui dispute son dernier Wimbledon, sera opposée au 1er tour à la Serbe Jelena Jankovic, 20e joueuse mondiale et tête de série N.18.

Demi-finaliste de Wimbledon en 2003 et 2006, la Limbourgeoise retrouvera la joueuse de Belgrade, aussi une ancienne numéro un mondiale, pour la neuvième fois.

Clijsters a remporté sept de ses huit précédents duels face à Jankovic, qui n'avait dominé la Belge qu'une fois, au tournoi de Toronto en 2009.

Yanina Wickmayer (WTA 35), qui avait atteint les 8e de finale l'année dernière à Wimbledon, retrouvera la Russe Svetlana Kuznetsova (WTA 34/N.32), qui compte deux titres du Grand Chelem à son palmarès (US Open 2007 et Roland Garros 2009).

Wickmayer et Kuznetsova se sont rencontrées trois fois dans le passé. La Russe de 26 ans a battu la Belge de 2 ans en 2009 à New Haven et en 2010 à San Diego, mais Wickmayer est la dernière joueuse à avoir battu Kuznetsova à Wimbledon. "Wicky" avait en effet dominé la joueuse de Saint-Petersbourg en 16e de finale l'année passée (4-6, 6-3, 6-4), avant d'être éliminée en 8e de finale par la Tchèque Petra Kvitova, qui allait par la suite remporter le tournoi.

[Norton]

Federer: "Pete Sampras était mon héros"

Tennis

—
En quête d’un titre du Grand Chelem depuis 28 mois, Roger Federer (No 3) retrouve avec plaisir le gazon de ses premiers exploits à Wimbledon.
Mis à jour le 22.06.2012

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Roger Federer bénéficie d’une opportunité peut-être unique: il égalera le fameux record de Pete Sampras en passant une 286e semaine en tête du classement ATP s’il s’adjuge le 8 juillet prochain son 17e trophée du Grand Chelem. La route menant à un septième titre à Wimbledon - record de Pete Sampras à égaler là aussi - sera cependant ardue. A le recherche d’un titre sur herbe depuis son sacre de 2009, le Bâlois devra pour cela vraisemblablement venir à bout du tenant du trophée Novak Djokovic (No 1), qu’il est une nouvelle fois appelé à retrouver en demi-finales. Il reste sur deux échecs face au Serbe à ce stade de la compétition en Grand Chelem, dont un - cuisant - à Paris il y a deux semaines.
Un 1er tour aisé
Roger Federer sait que c’est sur le gazon de Wimbledon que son talent a le plus de chances de faire la différence face à Novak Djokovic ou Rafael Nadal (No 2), qui lui sont supérieurs sur le plan physique. Pas convaincant à Roland-Garros où les conditions de jeu étaient trop lentes à son goût, il aura l’occasion de monter en puissance dans «son» jardin, où il reste tout de même sur deux éliminations en quarts de finale. Son 1er tour, lundi face au spécialiste de la terre battue Albert Ramos (ATP 43), doit n’être qu’une formalité. Les premières têtes de série susceptibles de se dresser sur sa route sont Julien Benneteau (No 29) au 3e tour, Gilles Simon (No 13) ou Fernando Verdasco (No 17) au 4e puis Janko Tipsarevic (No 8) ou John Isner (No 11) en quart de finale. Ce dernier semble bien l’adversaire potentiel le plus redoutable pour le Bâlois avant le dernier carré.
Dur pour Murray
Novak Djokovic ne devrait pas non plus trop souffrir avant les quarts de finale, où il pourrait se mesurer au finaliste 2010 Tomas Berdych (No 6). Le finaliste malheureux de Roland-Garros devra tout de même se montrer appliqué dès le 1er tour. Il sera opposé à un ancien No 1 mondial, Juan Carlos Ferrero (ATP 38), quart de finaliste à Wimbledon en 2007 et 2009. Rafael Nadal (No 2), qui rêve d’un troisième doublé Roland-Garros/Wimbledon après ceux de 2008 et 2012, entamera la quinzaine en douceur face à Thomaz Bellucci (ATP 78). Le gaucher majorquin devra serrer sa garde dès le 3e tour, face probablement au vainqueur du tournoi de Halle Tommy Haas (ATP 49) ou à Philipp Kohlschreiber (No 27). Le quart de finale qui pourrait l’opposer à Jo-Wilfried Tsonga (No 5), tombeur de Roger Federer en 2011, sent également déjà la poudre. Adversaire désigné de Rafael Nadal en demi-finale, Andy Murray (No 4) est le moins bien loti des membres du «Big Four». L’Ecossais pourrait retrouver successivement trois grands serveurs dès le 2e tour, Ivo Karlovic (ATP 57), Kevin Anderson (No 32) puis Marin Cilic (No 16) ou Milos Raonic (No 21). Et il se mesurera à Nikolay Davydenko (ATP 47) au 1er tour...
Des retrouvailles pour Stan ?
Stanislas Wawrinka (No 25), qui n’a pas disputé de tournoi de préparation sur herbe, débarque quant à lui avec des ambitions limitées dans un tournoi où il a pourtant déjà brillé avec deux 8es de finale consécutifs (2008, 2009). Il reste sur deux éliminations précoces sur le mythique gazon anglais, au 1er tour en 2010 et au 2e l’an passé. Le Vaudois se mesurera au 1er tour à un autre ex top 10, Jürgen Melzer (ATP 35). Il reste sur un succès convaincant (6-1 6-4) obtenu face au gaucher autrichien sur la terre battue de Madrid en mai, mais se méfiera forcément d’un joueur qui a lui aussi déjà figuré en 8e de finale à Wimbledon (2010). Le champion olympique de double peut tout de même espérer atteindre le 3e tour, où il devrait avoir droit à des retrouvailles avec son «bourreau» de Roland-Garros Jo-Wilfried Tsonga.
http://www.lematin.ch/sports/tennis/...story/27631615

[Norton]

L'Espagne promet de ne pas sous-estimer les Bleus

Euro 2012

—
La Roja s'apprête à affronter la France, un adversaire qui ne lui à guère réussi par le passé et dont la façon de jouer suscite une grande méfiance dans ses rangs.
Mis à jour le 22.06.2012 1 Commentaire

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Image: AFP
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«Au Mondial 2006, la France nous a donné une bonne leçon qui nous a servi pour grandir comme équipe, même si peu nombreux sont les rescapés de ce temps-là. Nous espérons que cette fois, notre expérience fera pencher la balance du côté de l'Espagne», a souhaité Fernando Torres dans une interview publiée jeudi sur son site internet.
A l'origine de cette attitude réservée: le bilan de l'Espagne face à la France en matches officiels, où les Bleus totalisent cinq victoires, un match nul... et aucune défaite. De toutes ces tentatives frustrées face aux Français, la plus récente reste la plus cuisante: en 8e de finale du Mondial 2006 en Allemagne, la jeune et sémillante Espagne, péchant par orgueil, avait en effet dû céder face aux vieux grognards guidés par Zinédine Zidane.
«J'ai gravé une image du Mondial 2006. Nous avions sous-estimé les Français qui étaient si vieux... C'est une habitude très espagnole de ne pas faire attention aux adversaires», témoignait le sélectionneur espagnol Vicente Del Bosque.
Ces jours-ci, l'ambiance est à l'humilité et à la concentration chez les joueurs espagnols qui s'attendent à un match coriace. «Je pense que la France va être un de nos rivaux plus les difficiles sur cette compétition», affirmait même jeudi Javi Martinez. «La France a une manière de jouer assez novatrice depuis que (Laurent) Blanc l'a prise en charge. Son jeu est plus basé sur des combinaisons, des passes courtes qu'avant», a détaillé le jeune milieu de terrain.
Villa, irremplaçable
Et si les Bleus n'ont pas fait bonne figure lors de leur dernier match de groupe D, perdu face à la Suède (2-0), il en faut plus pour tranquilliser les esprits espagnols. «Lors des deux premiers matches, ils ont eu de bonnes sensations. Lors de leur troisième match, elles ne furent pas si bonnes, mais il nous est arrivé la même chose face à la Croatie (victoire 1-0)», a fait remarquer bien à propos Martinez.
Si l'Espagne a remporté deux de ses trois matches de poule, elle a aussi laissé entrevoir quelques points faibles. La fébrilité dont elle a fait preuve face à la Croatie et sa difficulté à marquer (six buts certes, mais dont 4 inscrits à l'Eire, adversaire de moindre calibre) en sont des exemples frappants.
Surtout, la phase de groupes n'a pas fait apparaître un remplaçant crédible à l'attaquant David Villa, resté à la maison en raison d'une fracture à un tibia en décembre dernier. En dépit de ses deux buts marqués face aux Irlandais, Fernando Torres peine jusqu'à présent à faire oublier l'absence du meilleur buteur de l'histoire de la Roja.
Pour autant, l'Espagne reste la tenante du titre et une sélection au jeu séduisant, emmenée par un Iniesta irrésistible. A 28 ans, le milieu de terrain du Barça est en effet dans la forme de sa vie, secondé par un Xavi qui, s'il semble émoussé, n'en reste pas moins une formidable plaque-tournante dans l'entrejeu.
Face à de telles armes, «boostées» qui plus est par l'enjeu et la motivation de surmonter enfin l'obstacle bleu en compétition officielle, la France n'a qu'à bien se tenir.

J'ai misé sur l'Espagne

[Norton]

Federer face à un Espagnol au 1er tour de Wimbledon

22.06.2012 11:21 mise à jour à 16:31
Federer ne devrait pas connaître trop de problèmes contre Albert Ramos. [Christian Weische - Keystone]

Roger Federer affrontera lundi l'Espagnol Albert Ramos (ATP 43) au 1er tour de Wimbledon. Le Bâlois redeviendra no1 mondial s'il gagne le tournoi. Stanislas Wawrinka se mesurera lui à l'Autrichien Jürgen Melzer (ATP 35).
En quête d'un titre du Grand Chelem depuis 28 mois, Roger Federer retrouve avec plaisir le gazon de Wimbledon, théâtre de son premier exploit majeur en 2003. Le Bâlois (no 3) bénéficie d'une opportunité peut-être unique: il égalera le fameux record de Pete Sampras en passant une 286e semaine en tête du classement ATP s'il s'adjuge le 8 juillet prochain son 17e trophée du Grand Chelem.
Roger Federer aura l'occasion de monter en puissance dans "son" jardin. Son 1er tour, lundi face au spécialiste de la terre battue Albert Ramos (ATP 43), ne doit être qu'une formalité. Les premières têtes de série susceptibles de se dresser sur sa route sont Julien Benneteau (no 29) au 3e tour, Gilles Simon (no 13) ou Fernando Verdasco (no 17) au 4e puis Janko Tipsarevic (no 8) ou John Isner (no 11) en quart.
Djokovic à l'abri

Novak Djokovic ne devrait pas non plus trop souffrir avant le stade des quarts de finale, où il pourrait se mesurer au finaliste 2010 Tomas Berdych (no 8). Nole devra tout de même se montrer appliqué dès le 1er tour, où il sera opposé à un ancien no 1 mondial, Juan Carlos Ferrero (ATP 38). Un duel Djokovic-Federer reste possible mais en demi-finale.
Rafael Nadal (no 2) entamera la quinzaine en douceur face à Thomaz Bellucci (ATP 78). Le gaucher majorquin devra sans doute serrer sa garde au 3e tour, face probablement au vainqueur du tournoi de Halle Tommy Haas (ATP 49) ou à Philipp Kohlschreiber (no 27), puis en quart de finale face à Jo-Wilfried Tsonga (no 5).
Adversaire désigné de Rafael Nadal en demi-finale, Andy Murray (no 4) est le moins bien loti des membres du "Big Four". L'Ecossais pourrait retrouver à partir du 2e tour trois grands serveurs, Ivo Karlovic (ATP 57), Kevin Anderson (no 32) puis Marin Cilic (no 16) ou Milos Raonic (no 21). Il se mesurera en outre à Nikolay Davydenko (ATP 47) au 1er tour...
Oprandi défendra les couleurs suisses dans le tableau féminin. [Koen Suyk - Keystone]Stanislas Wawrinka (no 25) débarque avec des ambitions limitées dans un tournoi où il a déjà brillé (8e de finale en 2008 et 2009). Le Vaudois se mesurera à un autre ex-membre du top 10, Jürgen Melzer (ATP 35), au 1er tour. Il peut espérer atteindre le 3e tour, où il devrait avoir droit à des retrouvailles avec son "bourreau" de Roland-Garros Jo-Wilfried Tsonga.
Oprandi seule Suissesse en lice

Seule Suissesse en lice, Romina Oprandi (WTA 87) aura sa chance au 1er tour. La Bernoise s'y mesurera pour la première fois à la Roumaine Irina-Camelia Begu (WTA 63). Elle devrait défier en cas de victoire Victoria Azarenka (no 2), joueuse la mieux classée d'un bas du tableau où figurent également Serena Williams (no 6) et Petra Kvitova (no 4). La favorite Maria Sharapova (no 1) semble elle à l'abri d'une mauvaise surprise dans le haut du tableau.

[Norton]

Vettel comme un poisson dans l'eau dans le port de Valence

23.06.2012
Sébastien Vettel semble intouchable à Valence. [Alberto Saiz - Keystone]

Sébastian Vettel a remporté la séance de qualifications du Grand Prix d'Europe à Valence. L'Allemand a devancé Lewis Hamilton et Pastor Maldonado pour décrocher la 33e pole position de sa carrière. Le pilote de Red Bull prend du coup une option sur la victoire de la course de dimanche.
Développement suit.


Vettel comme un poisson dans l'eau dans le port de Valence
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Blanc fait rougir le chef de presse des Bleus

22.06.2012
La situation de l'équipe de France n'a pas ôté le sourire à Laurent Blanc. [Laurent Cipriani - Keystone]

Les "tensions" n'existent pas qu'entre les joueurs de l'équipe de France, puisque Laurent Blanc s'est permis de "recadrer" le chef de presse Philippe Tournon qui a laissé transparaître son énervement lorsque la volontaire de l'UEFA n'a pas été assez rapide pour amener le micro à un journaliste qui souhaitait poser une question. "Ne t'énerve pas, la demoiselle a une perche de cinq mètres dans les mains et ce n'est pas si facile que ça", lui a intimé le sélectionneur avant d'arborer un sourire coquin. M. Tournon en a rougi.
Anonymes

Interrogés par une journaliste polonaise quant à savoir s'ils avaient beaucoup été harcelés jusque-là par des paparazzi, les joueurs espagnols Javi Martinez et Juanfran ont répondu avec le sourire. "Non, nous non", se sont esclaffés les deux joueurs de la Roja qui possèdent tous deux un statut de remplaçant parmi les 23 joueurs de la "Seleccion".
Ferveur

Le Premier ministre polonais Donald Tusk a considéré l'Irlande comme "la vraie gagnante de l'Euro 2012", grâce à ses supporters. "Même si nous ne connaissons pas encore les finalistes, le vrai gagnant de l'Euro 2012, c'est l'Irlande, grâce au comportement fantastique de ses supporters", a déclaré M. Tusk. Des milliers de supporters irlandais sont venus en Pologne pour assister aux rencontres de leur équipe nationale.
Leur attitude pendant et en dehors des matches a impressionné les Polonais, notamment avec leurs chants retentissant dans les stades et dans les rues, malgré l'élimination du tournoi lors des matches de groupe. A leur tour, les Irlandais ont apprécié l'accueil très chaleureux qui leur a été réservé en Pologne. Le service officiel des supporters de l'Eire a abondé en inscriptions de remerciement et en déclarations d'amitié envers la Pologne (http://www.ybig.ie/forum/thank-you-poland_topic39633.html).
Retrouvailles

Le quart de finale de l'Euro entre l'Espagne et la France sera l'occasion pour plusieurs acteurs de la finale du Championnat d'Europe 2004 des moins de 17 ans de se retrouver huit ans après au plus haut niveau. A cette époque, les Bleuets avaient été sacrés aux dépens des Espagnols, battus 2 à 1 avec notamment un but de Samir Nasri. Outre le milieu offensif, les attaquants Jérémy Ménez et Hatem Ben Arfa, titulaires en finale, pourraient ainsi croiser la route de Gerard Piqué et de Cesc Fabregas probablement revanchards. Karim Benzema, remplaçant non entré en jeu il y a huit ans, sera lui en revanche certain de mener l'attaque française.
Intuition

L'ancienne vedette néerlandaise Ruud Gullit, vainqueur de l'Euro en 1988, est certain que la France va mettre un terme au règne de l'Espagne tenante du titre, en quart de finale de l'Euro, samedi. Gullit qui a une tribune sur le site internet Laureus.com, s'épanche ainsi: "J'ai le sentiment, ne me demandez pas pourquoi, que la France est l'épouvantail du tournoi". "Oubliez la défaite contre la Suède (2-0 pour le dernier match du groupe D, ndlr), je crois qu'ils ont des joueurs en mesure d'aller jusqu'au bout, et donc capables de battre les Espagnols. L'Espagne devra être très prudente, mais je mise sur une qualification de la France".
afp/adav).

[Norton]

Trois paires suisses de beach à Londres

22.06.2012 12:02 mise à jour à 12:06
Heyer et Chevallier sont un peu les invités surprise de la sélection suisse. [Eugene Hoshiko - Keystone]

Swiss Olympic a sélectionné trois équipes de beachvolley pour les Jeux olympiques de Londres. Patrick Heuscher et Jefferson Bellaguarda ainsi que Sascha Heyer et Sébastien Chevallier disputeront le tournoi masculin, alors que Simone Kuhn et Nadine Zumkehr s'aligneront chez les dames.
Si la paire Kuhn/Zumkehr savait depuis longtemps qu'elle participerait aux JO, la sélection des deux équipes masculines n'a été acquise que le week-end passé, lors d'un Grand Chelem de Rome épique. Les expérimentés Heuscher et Bellaguarda, 35 ans chacun, ont terminé à la cinquième place du tournoi et ainsi rempli sur le fil les conditions de Swiss Olympic.
L'organe faîtier du sport helvétique avait en effet exigé de ses beachvolleyeurs au moins un top-10 en 2012, durcissant de la sorte le critère de base posé par le CIO, à savoir une place parmi les seize meilleurs duos du monde selon le classement olympique.
Cette dernière exigence a par contre passablement compliqué la tache de la paire Heyer/Chevallier, pour qui un ticket pour les Jeux semblait encore inespéré il y a quelques semaines. Or, une fin de saison réussie et plusieurs concours de circonstance ont fait qu'un podium à Rome lui suffisait pour remplir la norme olympique.
Cet objectif a été atteint grâce à une victoire sur les Américains Fuerbringer et Lucena dans la petite finale. La paire helvétique avait auparavant profité d'une subite blessure de Jefferson Bellaguarda à la cuisse pour atteindre par forfait les demi-finales du tournoi.
Avec une deuxième paire féminine?

La Suisse pourrait encore envoyer une seconde paire féminine à Londres en fonction des résultats de la Continental Cup, dont le tournoi final se tient ce week-end à Moscou. Les Suissesses Isabelle Forrer et Anouk Vergé-Dépré, ainsi que Muriel Graessli et Tanja Goricanec y seront engagées.
si/tai

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VTT: Nino Schurter, Ralph Näf, Florian Vogel, Katrin Leumann, Esther Süss.

NATATION: Dominik Meichtry, Swann Oberson

ATHLETISME: Viktor Röthlin, Maja Neuenschwander

ESCRIME: Fabian Kauter, Max Heinzer, Tiffany Géroudet

BADMINTON: Sabrina Jaquet

AVIRON: Augustin Maillefer, Nico Stahlberg, Florian Stofer, André Vonarburg, Mario Gyr, Simon Niepmann, Simon Schurch, Luca Tramèr

JUDO: Juliane Robra, Ludovic Chammartin

LUTTE GRECO-ROMAINE: Pascal Strebel

VOILE: Flavio Marazzi, Enrico De Maria, Nathalie Brugger, Yannick Brauchli, Romuald Hausser, Richard Stauffacher

CYCLISME: Fabian Cancellara, Michael Albasini, Gregory Rast, Michael Schär, Martin Elmiger

BMX: Roger Rinderknecht

CANOE-KAYAK: Elise Chabbey, Mike Kurt

TRIATHLON: Nicola Spirig, Daniela Ryf, Sven Riederer, Ruedi Wild

GYMNASTIQUE: Giulia Steingruber

TIR: Simon Beyeler, Marcel Buerge, Heidi Diethelm, Pascal Loretan, Annik Marguet, Fabio Ramella.

BEACHVOLLEY: Heuscher/Bellaguarda, Heyer/Chevallier, Kuhn/Zumkehr
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[Norton]

Miami champion pour la deuxième fois

22.06.2012 08:31 mise à jour à 11:59
Les joueurs du Heat posent pour la postérité (Wade avec la Coupe tout à gauche, James à ses côtés). [Lynne Sladky - Keystone]

Miami a remporté le deuxième titre de champion NBA de son histoire, après 2006, en battant Oklahoma City 4 victoires à 1 grâce à un succès 121-106 dans le cinquième match de la finale. Thabo Sefolosha est resté muet dans les rangs du Thunder.
Thabo Sefolosha devra donc patienter avant de devenir le premier Suisse à conquérir le titre en NBA. L'acte V a tourné à la démonstration pour le Heat, qui s'est aisément imposé 121-106 sur son parquet. "Forcément, c'est toujours difficile de perdre une finale. Nous avons perdu contre une bonne équipe de Miami et cela nous montre qu'il y a encore du travail à faire. Cependant, il faut prendre le positif et transformer cette frustration en énergie positive pour l'année prochaine...", a déclaré le Veveysan de 28 ans à l'issue de la partie.
James irrésistible

Sacré pour la première fois de sa carrière après ses échecs subis en finale en 2007 avec Cleveland puis l'an passé avec Miami, LeBron James (27 ans) a une nouvelle fois fait étalage de toute sa classe jeudi. Le no 6 de Miami parachevait son oeuvre en réussissant un triple double (26 points, 13 assists et 11 rebonds). "King James" termine la série avec des moyennes de 28,6 points, 10,2 rebonds et 7,4 passes décisives, qui lui ont logiquement valu le titre de MVP de la finale.
Sefolosha est resté impuissant face à la tornade LeBron James. [Larry Smith - Keystone]La puissance de LeBron James, qui s'est régalé dans la raquette tout au long de la série, a totalement déboussolé la défense d'Oklahoma City. Très décevant dans la finale 2011 perdue face à Dallas, le MVP de la saison régulière a fait tout juste cette fois-ci. Il se muait ainsi en passeur efficace dans les deux derniers matches lorsque le Thunder décidait de tenter des prises à deux pour l'arrêter, libérant des espaces pour le tireurs à distance du Heat. Jeudi, c'est Mike Miller qui en profitait: l'ailier terminait la partie avec un hallucinant 7/8 à 3 points!
Oklahoma City, qui a subi quatre défaites d'affilée dans cette finale, a sombré dans ce cinquième match. Dominé dans tous les compartiments du jeu, le Thunder craquait complètement dans le troisième quart-temps, accumulant les tirs forcés et les actions individuelles désespérées alors que rien n'était pourtant joué. De 69-62 après 28'33'', le score passait à 88-63 à la 33e minute grâce à un impressionnant partiel de 19-1 réalisé en 4'26''. La messe était dite.
0 point pour Sefolosha

Si Kevin Durant (32 points, 11 rebonds) sauvait partiellement les apparences jeudi, Russell Westbrook (19 points) manquait le coche avec seulement 4 tirs réussis sur 20. Quasi inexistant depuis le début de la finale, le meilleur sixième homme de la Ligue James Harden inscrivait