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Scott Chipperfield a signé un contrat d'une année avec Aesch, club bâlois de 3e ligue

27.06.2012 15:00 mise à jour à 15:03

Scott Chipperfield a signé un contrat d'une année avec Aesch, club bâlois de 3e ligue. L'Australien officiera comme joueur et comme entraîneur assistant.

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Football

Laurent Blanc pourrait quitter les Bleus

Par Jérémy Santallo. Mis à jour à 02h14 1 Commentaire

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Le sélectionneur doit rencontrer le président de la Fédération Française de Football jeudi pour discuter de son avenir. Celui-ci ne devrait pas s'inscrire en Bleu.

Laurent Blanc signant des autographes à l'aéroport de Donetsk après l'élimination des Bleus.
Image: AFP





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«Sauf improbable revirement Laurent Blanc va dire stop à Noël Le Graet». Le tweet de Pierre Ménez mercredi soir ne laisse que très peu de place au doute. Très proche du sélectionneur tricolore, le journaliste sportif de Canal+ est venu confirmer la tendance du jour. Si le président de la Fédération Française de Football (FFF) propose un nouveau contrat à Laurent Blanc, ce dernier devrait refuser poliment.
La rumeur est partie d'un article publié par le site du Monde.fr, annonçant Laurent Blanc en pourparlers avec Tottenham et Didier Deschamps comme son successeur tout trouvé. A la recherche d'un entraîneur après le départ d'Harry Redknapp, le club anglais serait en contact avec l'agent de Laurent Blanc, Jean-Pierre Bernès. Le dialogue entre les deux camps aurait été établi avant même le début de l'Euro 2012.
D'après Le Monde, le président de la FFF Noël Le Graet aurait entamé, en parallèle, des discussions avec Didier Deschamps, actuel entraîneur de l'Olympique de Marseille, mais dont le départ est quasi acté. Des négociations qui seraient facilitées par Guy Stéphan. L'adjoint de Deschamps à l'OM est un proche de Le Graet, qui était son président de club à Guingamp entre 1976 et 1980.
Alors Deschamps pour succéder à Laurent Blanc? Pierre Ménez ne croît pas à cette hypothèse. «Et Deschamps n'a aucune chance d'être son remplaçant puisqu'il a Bernés comme agent. Soyons logique», a-t-il poursuivi sur son compte Twitter. Les relations entre Noël Le Graet et l'agent des deux anciens champions du monde de 98 sont loin d'être au beau fixe depuis l'affaire VA-OM, dite de corruption, qui avait empoisonné le football français en 1993.
Un différend Blanc-Le Graet?
On le sait, Laurent Blanc souhaitait prolonger son contrat à la tête de l'équipe de France avant même le début de l'Euro. Mais il s'est plusieurs fois heurté au refus de Noël Le Graet, qui avait annoncé vouloir juger son travail sur pièce lors de l'Euro avant de prendre une décision.
Si l'objectif réclamé des quarts de finale a été atteint par le sélectionneur en Ukraine et en Pologne, la président de la FFF veut du changement. A commencer par une forte réduction du staff de Laurent Blanc (22 personnes). Des conditions qui ne seraient pas du goût du sélectionneur, dont le contrat se termine samedi.
La Fédération française a annoncé que son Comité Exécutif se réunirait mardi prochain pour faire le bilan de l'Euro des Bleus. Noël Le Graet tiendra ensuite une conférence de presse qui devrait lever le voile sur le nom du sélectionneur qui emmenera la France au Mondial 2014 au Brésil.

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La Roja peut rêver d'un triplé historique

27.06.2012 23:29 mise à jour le 28.06.2012 à 00:15
Iniesta et ses coéquipiers ont souffert comme rarement depuis qu'elle posé son emprise sur le football mondial. [TOLGA BOZOGLU - Keystone]

L'Espagne disputera sa troisième finale consécutive dans un grand tournoi après ses sacres européen en 2008 et mondial en 2010. La Roja s'est imposée au bout de la nuit après la cruelle séance des tirs aux buts face au Portugal. Très fermée, cette demi-finale avait accouché d'un triste 0-0 après 120 minutes de jeu.
L'Espagne est toujours en course pour le triplé. Les champions du monde et d'Europe se sont qualifiés aux tirs au but (0-0 a.p., 4-2 tab) contre le Portugal, au terme d'un match extrêmement heurté. Cristiano Ronaldo devra patienter pour offrir à la Selecção le premier titre de son histoire.
"CR7", cinquième et dernier tireur, n'a même pas eu l'occasion de défier en duel Iker Casillas. La faute aux ratés de Moutinho (arrêt du gardien) et de Bruno Alves (transversale). Très à l'aise dans cet exercice, le gardien espagnol a remporté au passage sa 100e victoire - première mondiale - en... 136 sélections !
Sans surprise, la première mi-temps, fermée, s'est résumée à une intense lutte physique de deux blocs cherchant à marquer leur territoire ou, plutôt, à éviter que l'adversaire ne marque le sien. Elle a surtout vu une Espagne bien malmenée par un Portugal agressif - dans le bon sens du terme - et à la ligne directrice claire.
Fluidité absente

Dans son analyse, Paulo Bento a estimé que son équipe, pour s'imposer, devait avant tout briser la relation entre la paire axiale Piqué-Ramos et son homologue du milieu de terrain Alonso-Busquets, cette relation à l'origine, d'habitude, des premiers décalages créés par la Roja. Le travail défensif de Nani-Almeida-Ronaldo en première ligne et de Meireles-Moutinho en deuxième rideau a du reste longtemps porté ses fruits.
Ronaldo est sous le choc. Le Portugal ne disputera pas une 2e finale d'un Euro, après celle de 2004. [TOLGA BOZOGLU - Keystone]Quand Iniesta, la veille du match, imaginait qu'il serait impossible pour les Espagnols de proposer un jeu aussi fluide qu'à l'accoutumée, il ne se doutait sans doute pas que ce serait à ce point. Rarement les champions du monde et d'Europe n'ont connu autant de soucis et commis autant de maladresses techniques que mercredi. Peut-être depuis son 8e de finale du Mondial 2010 au Cap face à cette même Selecção (victoire 1-0).
Petit triplé

Il a fallu que Del Bosque lance Pedro, à la... 87e, pour enfin voir l'Espagne percuter l'arrière-garde et non plus seulement lui tourner autour. L'ailier de poche du Barça a été à l'origine d'une première alerte rouge pour Rui Patricio, sur un tir d'Iniesta passant de peu à côté (104e). Navas a lui aussi eu sa chance mais, cette fois-ci, Rui Patricio a veillé au grain (111e).
L'Espagne, même si elle ne gagne pas dimanche à Kiev face au vainqueur d'Allemagne - Italie, a déjà signé un "petit" triplé qu'un seul autre pays européen n'avait réussi à faire jusque-là, l'Allemagne de l'Ouest. La Roja, comme la RFA en 1972, 1974 et 1976, disputera en effet sa troisième finale de grand tournoi consécutive. Olé!

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Trop sexy pour la Fédération allemande

27.06.2012 18:19 mise à jour à 22:49
Lena Gercke et son fiancé Sami Khedira avaient rendu public leur relation en été 2011. [Thomas Bohlen - Reuters]

La top-model Lena Gercke, fiancée du milieu de terrain allemand Sami Khedira, s'habillerait trop sexy pour assister aux matches de la Mannschaft pour la fédération allemande de football. Certaines compagnes de joueurs prendraient ombrage des tenues de la sculpturale blonde et la fédération voudrait éviter que des éléments extra-sportifs ne viennent perturber la vie de la sélection.
Exhibitionnisme

"Je ferais n'importe quoi pour voir l'Angleterre gagner", a déclaré au tabloïd The Sun, Tim O'Leary. De fait, dans les travées du stade de Kiev, juste derrière le but, cet homme d'affaires de la City, n'a pas hésité à exhiber ses parties intimes, en face de l'Italien Alessandro Diamanti, au moment où celui-ci s'apprêtait à tirer son tir au but victorieux lors du quart de finale Angleterre-Italie. Sans regrets, même si cette tentative de déstabilisation n'a pas marché. "Je savais qu'on allait perdre et je voulais essayer de mettre le +mec+ en difficulté", a dit le supporter anglais porté aux nues par la presse populaire de son pays et qui a reçu la bénédiction de sa femme enceinte de huit mois: "elle a trouvé ça très, très drôle".
Capello

L'ex-sélectionneur italien de l'Angleterre, Fabio Capello, a donné son avis sur l'Euro. Il voit Klose prêt à tout pour favoriser un succès allemand. [Andreas Gebert - Keystone]une finale Espagne-Italie, et croit aux chances des "Azzurri". L'Italie l'a "enthousiasmé, parce que c'était la première fois que je voyais l'Espagne en difficulté" lors du premier match entre les deux équipes (1-1 en poules). Capello compte sur le duo d'attaque italien Cassano-Balotelli, "deux joueurs de grande classe, qui peuvent inventer à n'importe quel moment le geste gagnant. Mais d'eux on ne peut pas attendre la quantité". Enfin il a son explication pour le nouvel échec de l'Angleterre, qui n'a gagné qu'une Coupe du monde (1966) en 82 ans. "Ils arrivent cuits, c'est normal, a dit Capello. Ils ne s'arrêtent jamais de jouer. Je l'avais dit, mais malheureusement on ne touche jamais au calendrier en Angleterre".
Espion

L'attaquant allemand Miroslav Klose a prévu d'épier chaque mot d'italien prononcé sur le terrain lors de la demi-finale Allemagne-Italie pour en faire bénéficier ses co-équipiers de la Mannschaft. Joueur de la Lazio Rome depuis 2011, Klose veut être une sorte "d'espion": "je pense être capable d'intercepter quelques phrases et de les souffler si elles sont utiles", a affirmé le James Bond de la Mannschaft.
agences/lper

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Le scénario catastrophe se répète pour Stan

27.06.2012 15:39 mise à jour à 17:40
Wawrinka a manqué le coche face à Melzer. [Sang Tan - Keystone]

Stanislas Wawrinka (no 25) a connu une nouvelle désillusion sur le gazon de Wimbledon mercredi. Battu au premier tour en 2010 et au deuxième l'an passé, le Vaudois a été sorti d'entrée dans l'édition 2012. Il s'est incliné 3-6 7-6 (7/2) 2-6 6-4 8-6 face à l'Autrichien Jürgen Melzer (ATP 35) dans une rencontre qui avait été interrompue la veille.
Sauvé par la pluie mardi soir alors que son adversaire venait de gâcher trois balles de match à 5-4 sur son engagement dans la manche décisive, Stanislas Wawrinka a pourtant semblé en mesure de renverser la vapeur à la reprise. Il remportait les six premiers points disputés mercredi pour prendre l'avantage (6-5), menant ensuite 30/0 sur son service à 6-6. Le droitier de St-Barthélemy craquait cependant Melzer avait intégré le top-10 du classement ATP en avril 2011. [Stefan Wermuth - Reuters] complètement à cet instant, perdant les huit derniers points en commettant notamment quatre fautes directes consécutives sur sa mise en jeu.
Bis repetita...

L'histoire s'est donc répétée pour Stanislas Wawrinka, qui avait déjà vécu le même scénario catastrophe lors du récent "French Open". En huitième de finale, il était mené 4-2 par Jo-Wilfried Tsonga au cinquième set lorsque l'arbitre interrompait les débats en raison de l'obscurité. Le champion junior de Roland-Garros était également très bien reparti le lendemain (4-4), avant de perdre les deux derniers jeux de la rencontre.
A l'image de ce qui s'était produit à la Porte d'Auteuil, Stanislas Wawrinka regrettera son incapacité à faire fructifier son avantage psychologique. A Paris, il était revenu de nulle part après avoir concédé les deux premiers sets. A Church Road, il semblait avoir le match en mains après la première puis la troisième manches, qu'il dominait à chaque fois largement. Ses 14 doubles fautes dont une commise à 0/30 dans l'avant-dernier jeu auront finalement pesé lourd dans ce 1er tour à Wimbledon. Le Vaudois a pourtant armé quasiment deux fois plus de coups gagnants (61 à 32) que Jürgen Melzer...

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Ralph Krueger (52 ans), ex-sélectionneur de la Suisse, a été nommé coach des Edmonton Oilers, en NHL

27.06.2012 18:36 mise à jour à 18:39

Ralph Krueger (52 ans), sélectionneur helvétique de 98 jusqu'aux JO 2010, a été nommé entraîneur des Edmonton Oilers. Le Germano-Canadien, qui succède à Tom Reeney, dont il était devenu l'assistant en 2010, avait pourtant quitté le club en avril. Krueger est le 11e coach des Oilers, victorieux des Coupes Stanley 84, 85, 87, 88 (à chaque fois avec Wayne Gretzky) et en 90.

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La demi-finale de l'Euro 2012 entre l'Allemagne et l'Italie propose un duel aux 7 Coupes du monde

27.06.2012 18:38 mise à jour à 18:41

La demie de l'Euro entre une Allemagne toujours dans le dernier carré depuis 6 ans et une Italie en pleine Renaissance, jeudi à Varsovie (20h45), offre un somptueux duel de géants du foot mondial. Mais jamais gagné par l'Allemagne! Ce match aux 7 Coupes du monde (4 pour l'Italie, 3 pour l'Allemagne) propose aussi un choc entre 2 maîtres tacticiens, Joachim Löw et Cesare Prandelli, et 2 équipes très "joueuses". A noter que l'Allemagne a atteint la finale 11 fois en 17 demies dans un tournoi majeur, ne perdant qu'une de ses six 1/2 dans un Euro. L'Italie, elle, a 8 finales pour 10 demies...

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L'Espagne élimine le Portugal de Ronaldo aux tirs au but

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Par:Christophe Durant
27/06/12 - 23h28© afp.
Au terme de 90 minutes soporifiques ponctuées par 30 minutes de prolongations du même acabit, l'Espagne a éliminé le Portugal de Cristiano Ronaldo aux tirs au but (0-0, 2-4). La Roja jouera la finale dimanche 1er juillet à Kiev contre l'Allemagne ou l'Italie. Le Portugal rentre à la maison.
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Pour le beau jeu, on repassera
Le Portugal-Espagne de ces demi-finales de l'Euro n'a pas répondu à l'attente. L'amateur du beau jeu est resté sur sa faim. Le spectacle n'était pas au rendez-vous, sauf pour l'amoureux des échecs, de la tactique défensive, dont la bataille a fait rage mercredi soir à Donetsk. Au final, aucune des deux équipes ne l'a emporté. La Roja se qualifie pour la finale sur un coup de dé. Un tir sur la latte de Bruno Alves qui, pour le même prix, rentrait dans la cage de Casillas, battu. Pour les statistiques, on notera que l'Espagne a eu plus d'occasions que les Portugais (surtout durant les prolongations), mais ces derniers se sont montrés tout aussi dangereux que leurs homologues. De notre côté, on aurait voté pour un replay.

La Roja vers le triplé historique
Il n'y a que le résultat qui compte en football. Patricio a arrêté le premier penalty de Xabi Alonso mais Casillas a arrêté celui de Moutinho. Tout cela avant que le Portugais Bruno Alves ne tire sur la barre transversale. Voilà à quoi s'est joué cette demi-finale entre le Portugal et l'Espagne, qui est donc qualifiée et toujours en lice pour réaliser un triplé historique (Euro 2008-Mondial 2010-Euro 2012). À l'image d'un excellent Alba, l'Espagne a fait bonne impression défensivement durant toute la compétition. La Roja n'a pris qu'un seul but (face à l'Italie qu'elle pourrait retrouver en finale, tiens tiens). Le casse-tête de Del Bosque se situent plutôt au niveau offensif, où, malgré un tout bon Iniesta, l'Espagne ne retrouve pas l'efficacité des derniers tournois. Le sélectionneur espagnol a tenté d'aligner d'entrée Negredo, mais sans succès, avant de retourner à l'option Fabregas, la plus stable à ce jour. Conséquence: l'Espagne n'a jamais réellement convaincu les observateurs, sauf face à l'Irlande (4-0), une des équipes les plus faibles. La Roja paiera-t-elle la note de ses défauts lors de la grande finale du tournoi? Réponse dimanche à 20h45.

Pas de Ballon d'Or pour CR7?
À la grande déception de toutes les WAG's de l'Euro, le beau gosse de la compétition a plié bagage mercredi soir en Ukraine. Cristiano Ronaldo ne jouera pas la finale dimanche à Kiev, malgré un bon match face au tenant du titre, mais un rendement offensif certainement trop faible que pour réellement nourrir des regrets. Un symbôle: lors de la séance de tirs au but, CR7 ne s'est pas avancé pour tirer un penalty face à Iker Casillas, qui le connaît sans doute trop bien. Peut-être un des tournants dans l'attribution du prochain Ballon d'Or, que le Portugais brigue depuis 2008. Le Portugal échoue une nouvelle fois dans sa quête d'un trophée, comme en 2004 (finale de l'Euro) et en 2006 (demi-finale du Mondial). Mais qu'importe, la Selecçao a ravi les amoureux du foot durant l'Euro, en proposant du spectacle (Portugal-Danemark 3-2), du suspense (Portugal-Pays-Bas 2-1) et de la résistance face aux plus grands (l'Allemagne et l'Espagne). Les Portugais peuvent rentrer au pays la tête haute. On leur donne rendez-vous au Brésil en 2014.

Biens content pour CR7 pas du tout pour l'équipe

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Kim poursuit sa route à Wimbledon

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Kim Clijsters a passé sans encombre le cap du 2e tour des Internationaux de Grande-Bretagne de tennis. Mercredi soir, sur le gazon du Central de Wimbledon, elle s'est imposée en deux manches 6-3 et 6-3 aux dépens de la Tchèque Andrea Hlavackova, 90e mondiale. La rencontre a duré 1 heure et 5 minutes.
La Limbourgeoise, 47e mondiale, a réussi son seul le break dans le 6e jeu de la première manche pour filer ensuite à 6-3 en 33 minutes. Toujours prudente sur son service, l'ancienne numéro 1 mondiale n'a jamais été mise en danger. Elle s'est montrée patiente dans le 2e set. A 3-3, elle a pris l'ascendant pour signer trois jeux consécutifs dont deux sur la mise en jeu de son adversaire.

Kim Clijsters rencontrera en seizième de finale gagnante du duel entre la Russe Vera Zvonareva (WTA 12/N.12) et l'Espagnole Silvia Soler-Espinosa (WTA 67).

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Justine "Hénin" entre par erreur dans le Petit Larousse

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La nouvelle édition du Petit Larousse, dictionnaire de référence, disponible dans les librairies dès jeudi contient 150 nouveaux mots ainsi que plusieurs personnalités mais aussi une grosse erreur. Les lexicographes ont en effet décidé de faire entrer "Justine Hénin" dans le dictionnaire de référence. Problème, car la nom de l'ancienne numéro un mondiale de tennis s'écrit sans accent: "Henin".
"C'est jusqu'à présent la seule faute qui est revenue jusqu'à nous et on espère que ça le restera", signale-t-on au service presse des Editions du Larousse. "Nous ne pouvons plus apporter de modifications à l'édition 2013, mais dès l'an prochain, cette faute sera corrigée".

L'erreur sera reproduite à des dizaines de milliers d'exemplaires. Les Editions du Larousse n'ont pas souhaité préciser, mercredi, le nombre exact d'exemplaires imprimés et vendus annuellement. Il y a quelques années, Yves Garnier, directeur du département Petit Larousse, évoquait le chiffre de 800.000 exemplaires du Petit Larousse illustré vendus par an, dont 500.000 en France, le qualifiant ainsi de "dictionnaire de français le plus populaire". A la même époque, le Petit Robert concurrent était vendu à quelque 200.000 exemplaires.