Toutes New sportives autres que la moto - Page 1591

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 06/07/2012, 20h33

Choc des extrêmes en finale: Radwanska-Serena

05.07.2012 17:14 mise à jour le 06.07.2012 à 09:54

Radwanska tentera de remporter sa première couronne en Grand Chelem. [Anja Niedringhaus - Keystone]

La finale féminine de l'édition 2012 de Wimbledon est connue. Elle mettra aux prises la Polonaise Agnieszka Radwanska qui a dominé Angelique Kerber (6-3 6-4), et qui disputera sa première finale en Grand Chelem, à Serena Williams, tombeuse de Victoria Azarenka (6-3 7-6) et qui tentera elle de remporter une cinquième couronne dans la capitale anglaise...
La Polonaise Agnieszka Radwanska s'est qualifiée pour sa première finale de Grand Chelem en battant jeudi en demi-finale du simple dames de Wimbledon l'Allemande Angelique Kerber en deux sets 6-3, 6-4.
Elle affrontera samedi pour le titre l'Américaine Serena Williams. Bien que no3 mondiale, Radwanska, 23 ans, disputait sa première demi-finale d'un tournoi majeur.
Elle s'est imposée à Kerber grâce à sa plus grande finesse technique et à la variété de son jeu de fond de court, malgré un certain manque de puissance. "J'ai très bien joué. Nous étions toutes les deux un peu nerveuses. Après un ou deux jeux j'ai réussi à me relaxer et à me concentrer sur chaque point. J'en rêve depuis que j'étais une enfant. Ce sont les deux meilleures semaines de ma carrière", a-t-elle réagi en sortant du Central.
Radwanska pourrait devenir no1 mondiale si elle remportait le titre contre Azarenka. Elle serait deuxième si elle perdait la finale quelle que soit l'adversaire.
L'Américaine disputera sa 7e finale à Wimbledon. [FACUNDO ARRIZABALAGA - Keystone]Serena ne laisse aucune chance à Azarenka

Serena Williams (no 6) partira en quête d'un 14e trophée du Grand Chelem samedi à Wimbledon.
L'Américaine de 30 ans s'est imposée 6-3 7-6 (8/6) face à la Biélorusse Victoria Azarenka (no 2) dans la deuxième demi-finale. Elle partira largement favorite samedi face à la Polonaise Agnieszka Radwanska (no 3), qui n'avait jamais dépassé le stade des quarts de finale dans un tournoi majeur avant cette quinzaine.
Sortie d'entrée à Roland-Garros alors qu'elle faisait déjà figure de favorite, Serena Williams a - jusqu'ici - parfaitement rectifié le tir sur la gazon londonien. La Floridienne a su monter en puissance à Church Road: victorieuse en trois manches accrochées tant au 3e tour (9-7 au troisième set face à Zheng Jie) qu'en 8e de finale (7-5 dans la manche décisive face à Yaroslava Shvedova), elle a ensuite sorti le grand jeu face à la tenante du trophée Petra Kvitova puis face à Victoria Azarenka.
Sa première balle de service a une nouvelle fois fait merveille sur le gazon londonien, où elle a déjà triomphé à quatre reprises (2002, 2003, 2009, 2010). Jeudi, Serena Williams a claqué 24 aces, record absolu sur le circuit féminin, dont un pour conclure cette demi-finale. La soeur cadette de Venus a réussi au total 45 coups gagnants, pour seulement 14 fautes directes.
"C'est incroyable de pouvoir disputer une septième finale ici", lâchait à sa sortie du court Serena Williams, victorieuse de 18 de ses 21 demi-finales en Grand Chelem. "J'ai su rester concentrée dans un deuxième set très serré", poursuivait l'Américaine, qui a dû patienter jusqu'au jeu décisif pour faire la différence alors qu'elle avait mené 3-1.

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 06/07/2012, 20h34

La paire Simone Kuhn/Nadine Zumkehr a atteint les demi-finale du tournoi de beachvolley de Gstaad

06.07.2012 21:02 mise à jour à 21:05

Simone Kuhn/Nadine Zumkehr tiennent la grande forme. Victorieuse à Rome il y a 2 semaines, la paire helvétique s'est qualifiée pour les 1/2 du tournoi Grand Chelem de Gstaad. Chez les messieurs, Patrick Heuscher/Jefferson Bellaguarda et Martin Laciga/Jonas Weingart ont atteint les 1/8.

La paire Simone Kuhn/Nadine Zumkehr a atteint les demi-finale du tournoi de beachvolley de Gstaad
divers
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Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 06/07/2012, 20h39

Murray rejoint Federer en finale

© getty.MISE À JOUR
Andy Murray, 4e tête de série, s'est qualifié pour la finale de Wimbledon en venant à bout du Français Jo-Wilfried Tsonga, 6e mondial, 6/3, 6/4, 3/6, 7/5. Le Britannique affrontera dimanche en finale le Suisse Roger Federer.

Jo-Wilfried Tsonga s'est défendu avec vaillance mais a fini par s'incliner comme l'an passé en demi-finale de Wimbledon, battu cette fois-ci en quatre sets 6-3, 6-4, 3-6, 7-5 par Andy Murray. En finale dimanche, le Britannique cherchera à décrocher le premier titre en Grand Chelem de sa carrière. Il affrontera le Suisse Roger Federer, qui a battu le N.1 mondial et tenant du titre Novak Djokovic, et qui visera un septième titre à Wimbledon. Tsonga ne rejoindra pas tout de suite Cédric Pioline (US Open 1993, Wimbledon 1997) comme le seul Français, depuis le début de l'ère Open (1968), à avoir atteint plusieurs finales du Grand Chelem.

Son compteur reste pour l'heure bloqué à une finale, à l'Open d'Australie en 2008. C'est son troisième échec en demi-finale d'un tel tournoi. L'an passé, le N.1 français avait tenu la dragée haute à Djokovic, lequel devait ensuite remporter Wimbledon et devenir N.1 mondial. Cette fois-ci, il a été complètement dépassé par l'Ecossais dans les deux premiers sets. En prenant tous les risques il est parvenu à revenir dans le match. Mais Murray, qui pourrait devenir dimanche le premier Britannique vainqueur d'un tournoi du Grand Chelem depuis Fred Perry en 1936 (à Wimbledon), a réussi à conserver sa maîtrise de soi. Le dernier Britannique à accéder à la finale de Wimbledon était Henri Austin en 1938.

Murray avait lui-même échoué en demi-finale ces trois dernières années. Excellent en retour et en passing, l'Ecossais a consciencieusement démoli le jeu d'attaque de Tsonga dans les deux premières manches. Sous un toit du Central ouvert, la pluie ayant cessé de tomber, le Français n'a sauvé les apparences que grâce à son service. Car quand il n'a pas réussi à passer sa première balle, le Britannique lui a sauté à la gorge. A la fin des deux premiers sets, une statistique incroyable suffisait à résumer le match de Tsonga. Il n'avait marqué que 10% des points sur sa deuxième balle de service (2 sur 20, dont 0 point gagné dans la deuxième manche). Très en verve jusque-là, Murray s'est ensuite déconcentré. Jetant toutes ses forces dans la bataille, Tsonga a breaké dès le deuxième jeu du troisième set. Son service l'a porté jusqu'au gain de ce set.

Le souvenir de sa victoire en quart de finale sur Roger Federer l'an passé à Wimbledon, après avoir compté deux sets de retard, est peut-être alors remonté à la mémoire du Français. Le quatrième set a été dramatique, Murray sentant le poids de l'histoire peser sur ses épaules. Il a été le premier à prendre le service adverse à 3-2. Mais Tsonga, prenant tous les risques, a répliqué immédiatement. Le Français, grâce à une extraordinaire débauche d'énergie, a à son tour eu sa chance à 4-4. Mais l'Ecossais a sorti deux bons services pour effacer deux balles de break. C'est finalement Tsonga, contraint à servir en second, qui a craqué le premier. Un retour croisé en coup droit de Murray est venu se planter sur la ligne. Le Britannique a cependant dû patienter encore quelques secondes, pendant que Tsonga décontracté lui parlait au filet, avant de pousser un énorme ouf de soulagement, le temps que le "hawk-eye" confirme que la balle était bonne.

HeeeeeeeeeeeHééééééééééééé parié 200 balles que Fed gagne

Olé Rogers

:amour eux:

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 06/07/2012, 20h40

Tony Parker participera aux JO

Sauvegar

© photo news.
Tony Parker, opéré de l'oeil gauche le 17 juin, a reçu le feu vert de son club américain de San Antonio pour participer aux jeux Olympiques après avoir consulté un ophtalmologiste aux Etats-Unis jeudi, a annoncé la Fédération française de basket-ball vendredi.

© photo news.
Le meneur de jeu des Bleus s'était rendu jeudi matin à Atlanta pour se faire examiner, sur demande de son club, et obtenir l'autorisation de participer pour la première fois aux Jeux, du 27 juillet au 12 août.

"Les deux experts ophtalmologistes, diligentés par les San Antonio Spurs, ont confirmé l'avis du médecin français qui avait opéré Tony Parker, ainsi que celui des deux spécialistes suisses qui avaient également examiné le joueur jeudi dernier, et ont indiqué qu'il pouvait reprendre la compétition", a annoncé la Fédération française (FFBB) dans un communiqué.

"Suite à ces résultats, l'entraîneur des San Antonio Spurs, Gregg Popovich, a donné son accord et s'est réjoui que Tony puisse participer aux Jeux Olympiques avec l'Equipe de France", a ajouté la FFBB.

Le triple champion NBA devait prendre aussitôt l'avion du retour et arriver vendredi en France pour rejoindre ses coéquipiers à Orléans, où il pourrait participer samedi face à la Grande-Bretagne à son premier match de l'été.

"Le joueur devra effectuer une reprise progressive à l'entraînement et à la compétition. Il pourrait toutefois fouler le parquet quelques instants samedi soir à Orléans", a souligné la FFBB.

"C'est une excellente nouvelle et un soulagement pour l'ensemble de l'équipe de France, a réagi le sélectionneur Vincent Collet. J'ai eu Tony au téléphone et je l'ai senti très heureux et aussi soulagé que moi par ce dénouement. C'était pour nous tous, une situation très pénible et angoissante."

A Londres, les Bleus seront déjà privés de Joakim Noah, leur pivot des Chicago Bulls, forfait deux mois après une entorse à la cheville gauche.

Parker avait reçu des éclats de verre, dont un "qui avait pénétré à 99% l'oeil gauche", lors d'une bagarre dont il avait été la victime collatérale entre les rappeurs Chris Brown et Drake à propos de la pop star Rihanna, dans une boîte de nuit à New York, à la mi-juin.

Norton · *Dernière modification par Norton ; 06/07/2012 à 20h45.*

Un frigo de bière dévalisé par des journalistes à l'Euro

vidéoAprès l'effort, le réconfort. Pendant l'Euro disputé en Pologne et en Ukraine, les journalistes sportifs ont vidé un frigo de bières en trois minutes. La vidéo fait un tabac sur la toile.
Carlsberg, l'un des sponsors principaux de l'Euro, mettait à disposition des bières fraîches pour les journalistes sportifs dans les salles de presse.

500 bouteilles
Comme vous pouvez le voir sur la vidéo postée sous cet article, il n'aura fallu que trois petites minutes aux journalistes pour vider le frigo rempli de bières, soit appoximativement 500 bouteilles.

"Seulement deux bières par personne", tente de dissuader un membre du personnel. En vain...

http://www.youtube.com/watch?v=dz-pH...layer_embedded
Tu as raison le cats, un monde à part les journaleux................Oportunistes etc...........

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 06/07/2012, 20h47

"Rob s'est réveillé, a soupiré et s'est effondré"

La maman et le frère de Rob Goris.© belga.
Rob Goris n'est plus de ce monde. Son décès a créé un vif émoi dans le monde du cyclisme. La réputation du coureur belge de 30 ans, un coéquipier talentueux et une "crème" dans le peloton, n'était plus à faire. Mecredi soir, le jour de sa disparition, il était appparu avec beaucoup de joie de vivre dans l'émission "Vive le Vélo" (sur Eén). Quelques heures plus tard, il décédait d'une crise cardiaque dans sa chambre d'hôtel.

Ron Goris, en plein effort.© belga.

Rik Van Looy (ici avec Tom Boonen), le grand-père de Rob Goris, a été deux fois champion du monde de cyclisme (1960 et 1961).© belga.
Rob Goris avait décidé de rendre une petite visite au Tour de France cette semaine. Dans la nuit de mercredi à jeudi, vers trois heures du matin, le coureur de Verandas Willems-Accent est décédé des suites d'une crise cardiaque. Sa petite amie, Katrien Van Looy (23 ans) était à ses côtés quand le drame s'est produit.

"Il n'a pas dit un mot"
"Il s'est réveillé brusquement. Katrien aussi", raconte dans Het Laatste Nieuws, Rik Van Looy, champion du monde de cyclisme en 1960 et 1961. "Elle lui a demandé: Rob, que se passe-t-il? Il n'a pas dit un mot. Rob a soupiré profondément et s'est effondré sur son dos. Et c'était fini. Katrien était perdue. Elle a essayé de le réanimer mais les secours sont arrivés trop tard. Avant que Katrien ne se rende compte de la gravité de la situation, il était déjà mort. Ils formaient un beau petit couple. Ils faisaient tout ensemble depuis trois ans."

Il rêvait de devenir sprinteur
Rob et Katrien logeaient dans le même hôtel que l'équipe Lotto-Belisol. Ils avaient accepté l'invitation de la VRT pour assister au Tour de France. Interviewé sur la chaîne flamande "Eén" mercredi soir, Rob Goris, capitaine de l'équipe nationale belge de hockey sur glace il y a trois ans encore, racontait ses longues heures d'entraînement et exprimait son "rêve" de devenir sprinteur. Il aurait dû partir en stage avec son équipe en Espagne lundi prochain.

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 06/07/2012, 20h50

Sagan ça gagne encore, Schleck piégé par une chute monstre

© afp.
MISE À JOURPeter "Pan" Sagan a encore frappé. Le puncheur slovaque a devancé Greipel au sprint à Metz. Une étape marquée par une chute monstre, qui a provoqué de nombreux dégâts.

© reuters.
Le Slovaque Peter Sagan (Liquigas) a remporté la 6e étape du 99e Tour de France, disputée vendredi sur 207,5 km entre Epernay et Metz. Pour son troisième succès d'étape sur ce Tour, le maillot vert a devancé l'Allemand André Greipel et l'Australien Matthew Goss au terme d'un sprint d'une soixantaine de coureurs, rescapés d'une importante chute en fin d'étape.

Hormis la traditionnelle échappée matinale, conduite par l'Américain Dave Zabriskie en compagnie de l'Italien Davide Malacarne, du Néerlandais Karsten Kroon et de notre compatriote Romain Zingle, l'étape a été marquée par cette chute, qui a mis à terre une bonne partie du peloton à 26 km de l'arrivée.

Des favoris pour la victoire finale ont été piégés dans cette chute, comme le Néerlandais Robert Gesink, le Luxembourgeois Frank Schleck, le Canadien Ryder Hesjedal ou encore l'Espagnol Alejandro Valverde, arrivés attardés à plus de deux minutes du vainqueur. D'autres, comme le Britannique Mark Cavendish ou le Norvégien Edvald Boasson Hagen, ont perdu toute chance d'ajouter un nouveau succès d'étape à leur palmarès.

La soixantaine de rescapés du peloton revenu à moins de 2 km de la ligne sur les 4 fuyards, le train de l'équipe Lotto-Belisol s'est mis en route pour Greipel, mais celui-ci diminué par une autre chute survenue en début d'étape, n'a pu empêcher Sagan de le remonter dans les derniers mètres.

Le Suisse Fabian Cancellara (RadioShack), qui a évité la chute, porte toujours le maillot jaune de leader du classement général, avant la première arrivée sélective prévue samedi au terme de la 7e étape, à La Planche des Belles Filles, une côte très raide de près de 6 kilomètres dans la forêt aux abords du massif vosgien.

Et basta pour ce soir , cela devrait suffire vu vos nombreux commentaires...........

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 07/07/2012, 07h03

Un Valaisan patron de GC

Football

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Souvent annoncé à Sion, Stéphane Grichting a choisi GC pour relever le dernier défi de sa carrière. Fort de son expérience, l’ex-Auxerrois aura pour mission de sécuriser la défense zurichoise.
Par Nicolas Jacquier. Mis à jour le 06.07.2012

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Image: Valeriano Di Domenico/Freshfocus

Il aurait pu dire stop, choisir une autre vie, goûter à une retraite sportive, mais Stéphane Grichting, à 33 ans, a préféré jouer les prolongations. «Pour moi, j’ai senti que ce n’était pas le moment d’arrêter. Je m’en serais voulu de tout abandonner, il y aurait eu comme un manque… Physiquement, mon corps tient la route et mentalement, j’ai encore envie de faire des efforts. Chaque matin, j’ai du plaisir d’ailleurs à aller à l’entraînement. C’est plutôt bon signe.» Après une parenthèse de 10 ans à Auxerre, une longue histoire dont le dernier chapitre a relégué les Bourguignons en L2, Grichting est de retour en Suisse; mais pas forcément où on l’attendait. «Ma priorité était de rentrer en Suisse, raconte-t-il. Après 10 ans passés à l’étranger, loin de mes amis et de mes proches, j’avais fait le tour de la question. Je ne voulais pas non plus faire n’importe quoi, prendre le risque de faire le Tour de France des bancs.» Pas question non plus de rempiler à l’Abbé-Deschamps. «Le projet était trop incertain pour que je puisse m’y investir. J’y avais laissé trop d’énergie, j’avais besoin d’une autre dynamique…»
A l’école allemande
La logique aurait voulu que le Valaisan retrouve Sion, sa terre natale, ce club qu’il avait quitté en 2002 après 114 matches officiels et un titre de champion de Suisse. La facilité aussi. Mais l’intérêt manifesté par son club formateur, trop vague, resta au niveau d’une intention, sans offre concrète. «Même si j’ai souvent parlé à son président, il n’y a jamais rien eu de sérieux avec Sion. Eux avaient besoin de temps, afin de régler d’autres cas avant peut-être le mien. Comme de mon côté, j’avais envie d’être fixé…»
Un objectif ambitieux
Aussi quand l’offre de GC est arrivée, l’ex-international helvétique (45 sélections de 2004 à 2011) n’a pas hésité longtemps avant de l’accepter. «GC s’est imposé comme une évidence. J’ai éprouvé une réelle envie de me mettre en difficulté, dans une nouvelle configuration. Or ce dernier défi est un vrai défi.» Il durera au moins un an, peut-être 2 si le nouveau patron de la défense des Sauterelles disputait un certain quota de matches. Pour toute la famille, sa femme, Valériane, et leurs trois enfants (inscrits à l’école allemande), le défi sera aussi linguistique. Avant de s’engager, Grichting avait eu une discussion approfondie avec Uli Forte, son nouveau coach. «Son discours m’a rapidement séduit. Ici, à Zurich, on compte vraiment sur moi pour sécuriser l’équipe avec mon expérience.»
Après Sion et Auxerre, Stéphane connaît avec GC un troisième club dans sa carrière; c’est peut-être aussi pour cela qu’il a enfilé un maillot porteur du No 3…
En France, l’homme, qui avait été recruté par Guy Roux à l’époque, a laissé derrière lui une belle page de sa vie, des amis, une maison (qu’il a vendue), deux Coupes de France (2003 et 2005), 314 matches de L1 et 2 buts. «En 10 ans, j’ai tout vécu, même si j’aurais aimé ne pas avoir à vivre cette dixième et dernière année synonyme de relégation. Je préfère retenir nos campagnes en Ligue des champions.» Avec un patron nommé Grichting pour consolider sa défense, GC entend ne pas revivre les affres de la saison passée. Avec un objectif ambitieux: «Derrière Bâle, Sion et peut-être YB, les intouchables, on aimerait être leader du deuxième groupe.» Après un stage autrichien de 3 jours à Sankt Anton destiné à renforcer le fighting spirit du groupe (avec au menu, accrobranches, descentes en rappel, tyroliennes, etc.), Stéphane Grichting étrennera dimanche prochain son retour au pays. En face, dès 13 h 45, il y aura le FC Sion pour des retrouvailles «à distance» chargées d’émotions. «On peut dire que c’est le destin…»

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 07/07/2012, 07h04

Federer part favori contre Murray à Wimbledon

Tennis

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Le Bâlois, impressionnant, a battu le numéro un mondial Djokovic en quatre manches. Il retrouvera Andy Murray en finale dimanche.
Mis à jour le 06.07.2012 9 Commentaires

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Roger Federer a été impressionnant face à Novak Djokovic.
Image: Reuters
Dossiers

Wimbledon

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Roger Federer (no 3) disputera dimanche face à Andy Murray (no 4) sa 8e finale à Wimbledon avec en ligne de mire un septième sacre à Londres et une 286e semaine en tête du classement mondial. Le Bâlois s’est approché à un succès de ces deux records mythiques détenus par Pete Sampras en dominant le tenant du titre Novak Djokovic (no 1) 6-3 3-6 6-4 6-3 en demi-finale.
«Je sais qu’il me reste un match, mais ça fait plaisir de battre quelqu’un comme Novak, qui a été si bon l’an passé. C’est le genre de victoire qui donne confiance. J’espère que je pourrai m’en servir en finale», lâchait-il. «J’ai la chance d’être à nouveau no 1. Cette finale sera un grand match pour moi. Ce sera déjà ma huitième ici, et je ne suis jamais passé à côté d’une finale à Wimbledon. La seule fois que j’ai perdu, c’était 9-7 au cinquième set contre Rafa (Nadal, en 2008)».
Deux finales comme référence
Roger Federer partira favori en finale. D’ores et déjà assuré de ravir la 2e place mondiale à Rafael Nadal lundi, il se mesurera dimanche à un joueur qui découvrira ce stade de la compétition sur le gazon de Church Road. Andy Murray (no 4), qui a dominé Jo-Wilfried Tsonga (no 5) 6-3 6-4 3-6 7-5 dans une seconde demi-finale jouée en plein air, est en outre toujours à la recherche d’un premier titre majeur.
Le Bâlois (31 ans) peut légitimement avoir le sentiment d’avoir fait le plus dur en privant Novak Djokovic d’une cinquième finale consécutive en Grand Chelem. Il a battu Andy Murray en trois sets lors de leurs deux affrontements livrés en Grand Chelem, en finale qui plus est (US Open 2008, Open d’Australie 2010). L’Ecossais s’est d’ailleurs incliné en trois manches dans ses trois finales majeures. Mais il sait aussi pertinemment que rien n’est encore acquis.
76 ans d’attente en Grande-Bretagne
L’homme aux 16 trophées du Grand Chelem avait su gérer une pression plus grande encore il y a trois ans à Roland-Garros. Il avait alors été «débarrassé» de son principal rival, Rafael Nadal, dès les 8es de finale. La voie menant à un premier sacre parisien et surtout à un 14e titre majeur (autre ancien record de Pete Sampras) était libre, et il avait su déjouer les pièges tendus par Tommy Haas et Juan Martin Del Potro avant de dominer Robin Söderling, qui disputait sa première finale en Grand Chelem.
La pression sera par ailleurs encore plus grande sur les épaules d’Andy Murray. L’Ecossais de 25 ans sera en effet le premier Britannique à disputer une finale du simple messieurs à Church Road depuis Bunny Austin en... 1938. Le dernier sacre d’un sujet de sa Majesté à Wimbledon - et en Grand Chelem d’ailleurs - remonte même à 1936 (Fred Perry) !
Un troisième set crucial
Premier joueur de l’histoire à disputer une 8e finale à Wimbledon, Roger Federer a parfaitement profité des conditions de jeu vendredi en début d’après-midi. La première demi-finale s’est en effet déroulée en indoor en raison des averses. Or, le Bâlois de 31 ans reste sur quatre titres conquis en salle (Bâle, Paris-Bercy et Masters 2011, Rotterdam 2012), où sa dernière défaite - si l’on excepte le match perdu face à John Isner en Coupe Davis sur la terre battue de Fribourg - remonte au mois de novembre 2010. «J’espère que la finale sera jouée en plein air, c’est comme ça que c’est censé être ici», affirmait-il toutefois.
Déjà impérial en quart de finale, Roger Federer a sorti le grand jeu face à Novak Djokovic, qui avait pourtant remporté six de leurs sept derniers duels. Il a pu s’appuyer sur un service des plus efficaces, avec 12 aces, 64 % de premières balles passées et plus de 70 % de points gagnés tant derrière ses premières que derrière ses deuxièmes balles. Il n’a concédé qu’un seul break, dans le deuxième jeu d’une seconde manche nettement dominée par un Novak Djokovic alors très tranchant à la relance.
«J’ai pu être très agressif. J’ai très bien joué dans le troisième set. J’ai été offensif, je cherchais la victoire. J’ai pu augmenter la pression sur Novak», expliquait Roger Federer (31 coups gagnants et 10 fautes directes vendredi), qui a forcé la décision dans l’ultime jeu d’un troisième set crucial. Il s’est alors offert le break en claquant un smash gagnant sur sa deuxième opportunité. Novak Djokovic a lâché prise dans la quatrième manche, concédant le break dès le deuxième jeu sur une faute de coup droit.
«Je ne me sentais pas très bien»
«Mon pourcentage de premières balles a baissé après le deuxième set, analysait pour sa part Novak Djokovic, et mon niveau d’énergie a baissé dans la quatrième manche. Il a bien joué, ça ne fait aucun doute, il a été agressif dans les moments importants. C’est ce qu’on attend de Roger. Je savais qu’il fallait que je sois très régulier pour gagner et je ne l’ai pas été. Je ne me sentais pas si bien que ça. Ces derniers jours, je ne me sentais pas très bien, mais je ne veux pas en parler maintenant.»

Gagne roger t'es le meilleur

Norton · **Re : Toutes New sportives autres que la moto -** 07/07/2012, 07h06

La Suisse et le Tour, une histoire qui dure

Cyclisme

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Le Tour de France fera escale dimanche à Porrentruy, au terme de la huitième étape de son édition 2012. L'occasion pour la Suisse de se rappeler aux bons souvenirs de sa relation avec la Grande Boucle.
Mis à jour le 06.07.2012

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La Grande Boucle passera par la Suisse dimanche.
Image: Keystone
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Géographie oblige, les honneurs du Tour sont le plus souvent revenus à la Suisse romande. Si Genève fut déjà le théâtre de plusieurs arrivées d'étape avant la Seconde Guerre mondiale, c'est dès la fin des hostilités que la présence helvétique dans l'épreuve prit un visage plus marqué.
En 1948, Lausanne devint la première ville suisse de l'histoire à être désignée «ville étape» du Tour, offrant aux coureurs un repos bienvenu dans la longue route (499 km) qui les menèrent d'Aix-les Bains à Mulhouse. Le mythique italien Gino Bartali et son maillot jaune franchirent en tête la ligne d'arrivée, marquant de la sorte le début d'une petite tradition voulant que les grands noms du cyclisme fassent bonne figure en territoire confédéré.
En effet, plusieurs coureurs de légende ont marqué l'histoire du Tour en gagnant en Suisse une bataille décisive pour le maillot jaune. En 1951, le Zurichois Hugo Koblet remportait un contre-la-montre de 98 km entre Aix-les-Bains et Genève, durant lequel il rattrapa puis laissa sur place un Gino Bartali pourtant parti huit minutes avant lui. Le «Pédaleur de charme» remporta avec panache le classement général deux jours plus tard, terminant loin devant le grand Fausto Coppi, endeuillé par le décès de son frère.
Des cyclistes de légende
Il fallut attendre une année et le retour de la Grande Boucle en Suisse pour voir le «Campionissimo» reprendre son envol. C'est lui qui arriva le premier au bout des 266 kilomètres séparant Lausanne de l'Alpe d'Huez, s'emparant de la sorte d'un maillot jaune qu'il ne lâcha alors plus pour remporter son deuxième Tour de France.
Trente ans plus tard, Bâle joua un rôle clé lors de l'édition 1982. Elle accueillit tout d'abord un prologue de 7,4 km que remporta le Français Bernard Hinault. Déjà vainqueur du Tour d'Italie, le «Blaireau» annonça la couleur avec ce succès d'entrée, lui qui se présenta tout de jaune vêtu sur les Champs-Elysées trois semaines plus tard.
La cité rhénane donna également le coup d'envoi de la seconde étape, qui vit le jeune Phil Anderson devenir à 24 ans le premier Australien à en remporter une sur la Grande Boucle. Celui qui fut aussi désigné meilleur jeune de la compétition en profita pour ravir un maillot jaune qu'il parvint à défendre neuf jours consécutifs.
Victoires et suspicions
En 1984, Laurent Fignon, tenant du titre, franchit en jaune comme en vainqueur la ligne d'arrivée de la vingtième étape, qui mena le peloton de Morzine à Crans-Montana sur un peu plus de 140 kilomètres. Fraîchement auréolé champion de France sur route, le jeune parisien domina le Tour de la tête et des épaules.
En 2009, Alberto Contador choisit la montée sur Verbier pour prendre la poudre d'escampette et faire coup double. Seul le Luxembourgeois Andy Schleck se montra capable de faire face à la fougue du Madrilène, parvenant à limiter son retard à 43 secondes.
Pour son retour sur la Grande Boucle, Lance Armstrong ne put tenir le rythme imposé par son coéquipier de l'équipe Astana, et lui concèda plus de 3 minutes et demie. Cette victoire laissa néanmoins libre cours aux suspicions de nombreux spécialistes, comme l'ancien entraîneur de l'équipe Festina André Vayer ou le coureur retraité Greg LeMond, qui restèrent sceptiques face à la déconcertante facilité du jeune espagnol.