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Athlétisme: Röthlin veut brouiller les cartes

Londres 2012

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L'Obwaldien, qui se connaît parfaitement bien, se dit au top de sa forme et espère disputer «le marathon de sa vie» dimanche (12h, heure suisse) aux Jeux olympiques.
Mis à jour le 11.08.2012

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L'athlète de Sempach se méfie surtout de l'Américain Ryan Hall.
Image: AFP

La course s'annonce très ouverte derrière les trois Kényans et trois Ethiopiens, estime Viktor Röthlin, qui dispute à Londres ses quatrièmes et derniers JO.
«Toute ma préparation s'est déroulée comme prévu, ce qui n'avait pas toujours été le cas par le passé. Le résultat de mon dernier test se situait au niveau de mes meilleures années», a relevé Röthlin devant la presse. Le presque vétéran (37 ans) s'estime capable en ce moment, dans des conditions optimales, d'améliorer son record de Suisse (2h07'23 en 2008).
Mais il ne s'agira pas dimanche d'une course au record. L'athlète de Sempach prévoit une course avec de nombreux changements de rythme, comme les Africains les affectionnent. Le champion d'Europe 2010 et médaillé de bronze aux Mondiaux 2007 n'a pas changé d'objectif: être «le meilleur des athlètes nés hors d'Afrique».
Il avait terminé premier Blanc à Pékin lors de sa 6e place aux JO 2008, mais le niveau est encore monté de puis. «Me classer à nouveau premier des visages pâles serait fantastique, mais je ne sais pas si cela peut me mener dans le top 16, dans le top 10 ou mieux...»
Les trois Kényans, Wilson Kipsang, Abel Kirui et Emmanuel Mutai, affichent des records personnels entre 2h03'42 et 2h05'04 (Kirui est double champion du monde). Les Ethiopiens s'annoncent tout aussi forts, avec Ayele Ashero (2h04'23 cette année), Dino Sefir (2h04'50) et Getu Feleke (2h04'50).
Ces athlètes «évoluent sur une autre planète», estime le recordman de Suisse, qui laisse entendre vouloir plutôt remonter de l'arrière comme il en a l'habitude, et comme l'a fait la Russe Tatyana Petrova Arkhipova, 3e du marathon féminin dimanche dernier.
Gare aux Américains
Interrogé sur ce qui rend les Africains de l'Est si irrésistibles à ses yeux, Röthlin a avancé les facteurs génétiques, socio-culturels et géographiques: «Il existe 42 groupes ethniques au Kenya, mais peu d'entre eux produisent de grands coureurs. Ceux-ci sont surtout Kalenjins. Les Masaï par exemple n'ont jamais eu de champion olympique du marathon. Il doit y avoir quelque chose de génétique. Il y a aussi les perspectives que leur offre la course à pied, comme moyen d'échapper à une existence difficile (en gagnant de l'argent par le sport). Et il y a l'altitude.»
Parmi les «visages pâles», l'athlète de Sempach se méfie surtout de l'Américain Ryan Hall (record personnel à 2h04'58). Les Américains ont prouvé sur la piste à Londres - avec notamment la médaille d'argent de Galen Rupp sur 10'000 m - qu'ils ont à nouveau de grands coureurs.
Ils bénéficient notamment du soutien d'un grand fabricant de chaussures, qui booste toute l'équipe de fondeurs. Le Japonais Arata Fujiwara, ami de Röthlin, et le Polonais Henryk Szost, meilleur Européen en 2012 en 2h07'39, sont à surveiller aussi.
Röthlin détient le dixième temps parmi les engagés. Il est prêt, dimanche, à jouer son rôle d'outsider jusqu'au bout, pour ce qui sera peut-être son dernier marathon de haut niveau. Il décidera à l'automne s'il poursuit ou non sa carrière jusqu'aux Championnats d'Europe 2014 à Zurich.

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Football: une troisième finale perdue pour le Brésil

Londres 2012

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Le Mexique a empêché le Brésil de remporter la médaille d'or du tournoi olympique, le seul trophée international qui lui manquait. Les Mexicains se sont imposés 2-1 à Wembley.
Mis à jour le 11.08.2012

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La joie des Mexicains après la victoire en finale.
Image: AFP

Les Mexicains, qui s'adjugent la première médaille olympique de leur histoire en football, ont infligé aux Brésiliens leur troisième échec en finale, après des défaites contre la France en 1984 et l'URSS en 1988.
Le Brésil, qui était avec l'Espagne (éliminée au premier tour) le grand favori du tournoi, est monté pour la cinquième fois sur le podium olympique lors de ses six dernières participations mais a encore raté la plus haute marche.
La génération Neymar (Pato, Ganso, Oscar, Damiao, Lucas...), dirigée par le sélectionneur des «A» Mano Menezes, était chargée de prendre rendez-vous pour la Coupe des Confédérations en 2013 et le Mondial-2014, qui auront lieu au Brésil.
Les Mexicains ont ouvert le score dès la première minute de jeu par l'attaquant Oribe Peralta, qui a doublé la mise de la tête à la 75e minute. Malgré sa large domination territoriale et de bonnes occasions de but, le Brésil a répondu trop tard, grâce à Hulk dans le temps additionnel (91e).
Artistes éteints
Tout a mal commencé pour les Brésiliens. La défense brésilienne a cafouillé son premier ballon du match sur un pressing mexicain qui a débouché sur un but de Peralta d'une frappe sèche à ras de terre après 28 secondes de jeu.
Disciplinés et bien disposés défensivement, les Mexicains sont parvenus à contenir les artistes brésiliens, notamment un Neymar bien discret. La Seleçao a payé son incapacité à concrétiser sa domination (60% de possession de balle) quand Peralta est devenu le premier joueur à inscrire un doublé en finale olympique depuis vingt ans et Kiko en 1992 pour l'Espagne.
Hulk a fini par percer la défense adversaire pour tromper le portier aztèque dans les ultimes minutes, pourtant dominées par le Mexique. Le Brésil aurait même pu arracher l'égalisation in extremis mais son maître à jouer Oscar n'a pas cadré sa tête malgré sa position idéale dans la surface (93e).
Avec cette victoire dans un tournoi réservé aux moins de 23 ans (sauf trois joueurs), le Mexique confirme ses probants résultats dans les compétitions mondiales de jeunes. Les Aztèques ont en effet fini champions du monde des 17 ans en 2005 et 2011 et 3e du Mondial des 20 ans en 2011.
Comme la Corée du Sud médaillée de bronze, le Mexique avait battu la Suisse lors du premier tour.

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Esther Süss décroche un diplôme

11.08.2012 16:11 mise à jour à 20:32
Esther Süss a effectué une belle remontée pour obtenir un diplôme olympique. [Jean-Christophe Bott - Keystone]

L'Argovienne Esther Süss a terminé à une belle 5e place de l'épreuve de VTT. L'or est revenu à Julie Bresset, qui offre à la France sa 10e médaille d'or dans les JO de Londres.
Championne du monde M23 l'an dernier à Champéry, Julie Bresset s'est offert son premier titre dans l'élite. La vététiste de St-Brieuc a nettement dominé ses adversaires sous le soleil de Hadleigh Farm: elle s'est imposée avec 1'02'' d'avance sur la championne olympique 2008, l'Allemande Sabine Spitz (40 ans), qui a lâché définitivement prise après avoir chuté dans le quatrième des six tours. La médaille de bronze est revenue à l'Américaine Georgia Gould, battue de 1'08''.
Esther Süss a livré une course tactique remarquable samedi après-midi. Dixième après 10 des 29,3 km du parcours, l'Argovienne de 38 ans a ensuite haussé le ton et s'est retrouvée au 6e rang à la mi-course. Elle profitait d'une baisse de régime de la Britannique Annie Last (8e) pour s'installer dans le top 5. La championne du monde 2010 de marathon n'a cependant jamais pu croire en un podium, échouant à 46'' de Georgia Gould.
Süss satisfaite de sa course

"J'ai le droit d'être heureuse, a déclaré Süss. J'ai pris beaucoup de plaisir lors de cette course." La vététiste en a profité pour balayer les critiques à l'encontre du parcours de Hadleigh Farm, que d'aucuns ont jugé trop facile. "Si je suis en forme, le type de parcours n'a aucune importance. Lors des Mondiaux de marathon 2010 à St-Wendel on disait aussi que la piste ne me convenait pas et j'ai gagné le titre." Et Süss de ne pas fermer la porte, malgré son âge, à une participation aux Jeux de Rio. "Ne jamais dire jamais. Sabine Spitz a elle aussi 40 ans..."
Deuxième Suissesse en lice, Katrin Leumann a dû se contenter d'un anonyme 19e rang, à 7'31'' de la nouvelle championne olympique. Cinquième à 5'' de Julie Bresset après la première boucle de 5,2 km, la Bâloise de 30 ans pointait encore au 8e rang après 14,8 km avant de s'effondrer totalement. A noter par ailleurs la contre-performance de la favorite, la championne du monde 2011 Catharine Pendrel, 9e à 3'36'' de l'héroïne du jour.

Suite plus tard..............

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Plus tard j'ai du boulot.........

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Fâché, Cinquante va avoir le beau pendant ses vacances et moi demande que de la pluie

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Mourinho: «Appelez-moi "the only one"»

Football

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«Special one» ne lui suffit plus. L’égocentrique entraîneur du Real Madrid José Mourino veut désormais qu’on l’appelle «the only one» (ndlr: le seul).
Mis à jour il y a 46 minutes

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1/13

• José Mourinho

Le Portugais est fatigué du surnom qu’il s’était lui-même attribué en 2004 lorsqu’il était à la tête de Chelsea. «Je suis le seul homme à avoir remporté les trois principaux championnats européens: Premier League, Serie A et Liga. Donc les gens devraient maintenant m’appeler »the only one«, a tout simplement proposé l’entraîneur du Real Madrid.»
«J’ai pratiquement gagné tout ce qui est possible de remporter. Donc avec le temps, je sens que je deviens de moins en moins égocentrique», a-t-il terminé.

Top gonflé le portos.........

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Constantin: «J'ai le permis éléphants»

Football

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Christian Constantin est de retour de vacances. Depuis le sud de l'Afrique, il s'est néanmoins tenu au courant des performances de son équipe via la web-radio du FC Sion.
Mis à jour il y a 58 minutes4 Commentaires

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Christian Constantin s'est bien reposé pendant ses vacances.
Image: Eric Lafargue


Super League

5e Journée

11.08.FC Lucerne - FC St.Gall1 : 111.08.Lausanne - Sion0 : 212.08.Young Boys - FC Zurich4 : 112.08.Grasshoppers - Servette1 : 012.08.FC Bâle - FC Thoune3 : 1État: 12.08.2012 17:58
Classement

NomJVNDButsP1.Sion54109:1132.FC Bâle52309:693.FC St.Gall52307:494.Young Boys52219:485.Grasshoppers52215:586.FC Thoune52125:777.FC Zurich51137:1048.Lausanne51135:849.FC Lucerne50325:9310.Servette50142:91État: 12.08.2012 18:00
6e Journée

18.08.FC Thoune - FC St.Gall- : -18.08.FC Bâle - Lausanne- : -19.08.Sion - Young Boys- : -19.08.Servette - FC Zurich- : -19.08.FC Lucerne - Grasshoppers- : -État: 01.01.1970 01:00
Mots-clés

• FC Sion
• Christian Constantin
• Super League

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A quoi sert une médaille olympique?

Londres 2012

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Pour Steve Guerdat, une médaille olympique n'apporte rien d'autre qu'une reconnaissance sportive. Selon Fabien Ohl, sociologue du sport à l'UNIL, un titre olympique sert avant tout à monnayer ses compétences.
Par Christine Werlé. Mis à jour à 08h24 1 Commentaire

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Le cavalier jurassien Steve Guerdat, sacré champion olympique à Londres.
Image: Keystone
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• JO Londres 2012
• Steve Guerdat

Les Jeux Olympiques sont terminés. Le bilan suisse est maigre mais grâce à quatre sportifs émérites, l'honneur du pays est sauf: Roger Federer ramène une médaille d'argent en tennis, Steve Guerdat, une médaille d'or en hippisme, Nicola Spirig est médaillée d'or en triathlon, et Nino Schurter, médaillé d'argent en VTT.
Bénéfice immédiat, ces champions, à l'exception bien sûr de Roger Federer, y gagnent une célébrité à plus ou moins long terme. Mais, au-delà, quelles sont les retombées en terme d'image et de carrière d'une médaille olympique pour un athlète peu connu du grand public?
Monnayer ses compétences
«Tout dépend de la discipline et de la taille du pays», répond Fabien Ohl, sociologue du sport à l'Institut des sciences du sport à l'Université de Lausanne (UNIL). En Suisse, il est plus difficile de convertir le capital symbolique d'une médaille olympique en revenus, en raison de la taille du pays.
Steve Guerdat, récemment sacré champion olympique en hippisme aux Jeux Olympiques de Londres, ignore d'ailleurs ce que sa médaille lui rapportera. «Je ne sais pas encore si j'aurais de nouveaux sponsors», dit-il. Mais quoi qu'il advienne, le cavalier jurassien tient tout de suite à préciser que sa carrière ne changera pas pour autant. Il continuera les compétitions comme auparavant.
Steve Guerdat n'entend pas changer sa façon de vivre non plus: «Ce n'est pas parce que j'ai gagné une médaille olympique que je vais acheter une maison ou voyager en business classe!».
Plus terre-à-terre, Fabien Ohl estime qu'une médaille olympique sert avant tout à monnayer les compétences du sportif, le but étant tout de même de vivre de sa passion. «Un titre olympique donne de la crédibilité à une carrière. C'est toujours mieux d'avoir comme entraîneur un médaillé olympique que M.X!», remarque-t-il.
Valorisation du sport
L'importance du sport joue également un rôle dans la poursuite d'une carrière sportive. Selon Fabien Ohl, plus la discipline sera médiatisée, plus durables seront les retombées. «Le champion olympique en football ou en tennis aura plus de facilité à trouver des sponsors qui vont l'utiliser comme image ou qui parfois vont même jusqu'à l'employer», explique le sociologue. En résumé, ce sportif-là pourra espérer «vivre» de sa médaille.
Dans les sports moins valorisés en Suisse, comme le tir à l'arc ou le canoë-kayak, l'athlète médaillé olympique pourra continuer à s'entraîner grâce aux revenus de sponsoring. «Mais il s'agit plutôt de survie qu'autre chose», analyse M.Ohl. «Le spécialiste en VTT ne pourra valoriser sa médaille seulement qu'auprès d'une petite communauté», poursuit-il.
Les sports n'ont toutefois pas tous la même importance suivant les pays. «On l'a vu avec le tennis de table. En Suisse, ce sport n'est pas du tout reconnu alors qu'en Chine il est hyper valorisé», note Fabien Ohl.
Les cavaliers meilleurs que les footballeurs
Steve Guerdat admet que l'hippisme fait partie des sports qui ne sont pas assez médiatisés en Suisse. «L'équipe suisse d'hippisme a un meilleur niveau que l'équipe suisse de football. Pourtant, on parle beaucoup moins de nous...», regrette le Jurassien.
Mais contrairement à ce qu'affirme Fabien Ohl, Steve Guerdat arrive très bien à vivre de son sport, sans avoir à exercer une autre activité à côté . Qu'on se le dise: le cavalier jurassien ne fait pas du sport pour des considérations bassement matérielles. Seulement pour le plaisir. «Ma médaille d'or m'apporte seulement une reconnaissance sportive et la preuve que je suis sur la bonne route», explique-t-il.

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Décès de l'ancien champion Michael Dokes

Boxe

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L'ancien champion du monde des poids lourds Michael «Dynamite» Dokes est décédé à l'âge de 54 ans d'un cancer du foie.
Mis à jour le 13.08.2012

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Michael Dokes, en 1982.
Image: ap



Michael Dokes avait raflé le titre WBA en 1982 en battant Michael Weaver, mais une défaite l'année suivante contre Gerrie Coetzee ne lui avait pas permis de le conserver.
Dokes a par la suite connu de nombreux problèmes judiciaires, passant deux ans en prison pour trafic de cocaïne puis étant condamné à dix ans de réclusion pour tentative de meurtre sur sa fiancée. Il a été libéré en 2008.

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Pas moins de 9 champions olympiques au casting

Athletissima

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Usain Bolt, Yohan Blake, Justin Gatlin, Tyson Gay, Ryan Bailey, Churandy Martina et Richard Thompson: les sept premiers de la finale olympique du 100 mètres seront tous présents le 23 août à la Pontaise.
Mis à jour le 13.08.2012

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Athletissima accueillera pas moins de 9 champions olympiques le 23 août à la Pontaise.
Image: Keystone



Pour sa 37e édition, Athletissima compte déjà au moins 9 champions olympiques au casting!
Unique bémol, Usain Bolt ne disputera pas le 100 m. «La foudre» a choisi le 200 m, qu'il considère, selon un communiqué d'Athletissima comme «sa course», car elle conjugue l'art et la technique et parce qu'il adore le virage de la Pontaise. Une décision qui fera, à coup sûr, le plus grand bonheur des spectateurs assis dans cette partie du stade. Pour rappel, Bolt détient toujours le record du stade depuis 2008 (19''63).
«Avec les engagements des athlètes que je dois encore finaliser, le 100 m et le 200 m promettent un sacré feu d'artifice», assure Jacky Delapierre, patron d'Athletissima. Autant chez les hommes que chez les femmes, puisque l'intégralité du podium féminin du 100 m de Londres (Shelly-Ann Fraser-Pryce, Carmelita Jeter, et Veronica Campbell-Brown) sera présent à Lausanne!
Les autres épreuves ne sont pas en reste. Ainsi sur 400 m, on retrouvera le champion olympique Kirani James (Grn) et son dauphin Luquelin Santos (Dom). Les disciplines techniques devraient aussi rassembler ce qui se fait de mieux avec déjà les présences assurées des champions titrés à Londres : Ivan Ukhov (Rus) en hauteur, Renaud Lavillenie (Fr) au saut à la perche, Brittney Reese (EU) en longueur, Olga Rypakova (Kaz) au triple saut et Barbora Spotakova (Tch) au javelot.

Top affiche, j'ai déjà un billet