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L'Espagne se fait peur, la France déroule

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Les champions du monde et d'Europe espagnols ont attendu les dernières minutes pour battre la Géorgie 1-0 pour leur premier match des éliminatoires du Mondial 2014, alors que sa victime en finale de l'Euro, l'Italie, a peiné pour battre Malte 2-0.
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Groupe A
Le carton du jour a été réussi par la Serbie, qui a corrigé le pays de Galles de Bale (buteur) 6-1. La Belgique de Hazard et la Croatie de Modric, deux équipes ambitieuses, se sont séparées sur un nul 1-1 à Bruxelles. Résultat, Belgique, Croatie et Serbie comptent toutes les trois quatre points et vont se livrer une belle bataille. Dans le dernier match, l'Ecosse a fait match nul 1-1 face à la Macédoine.

Groupe B
C'est laborieux pour l'Italie. Après avoir concédé un nul 2-2 en Bulgarie, les vice-champions d'Europe ne se sont imposés que 2-0 face à Malte. Destro a marqué d'entrée (5e minute), mais il a fallu attendre le temps additionnel et un but contre-son-camp du Maltais Cohen pour voir la Nazionale se mettre à l'abri. Dans l'autre match du groupe, la Bulgarie a battu l'Arménie 1-0 et compte elle aussi quatre points.

Groupe C
L'Allemagne a peiné pour se défaire de l'Autriche (2-1) lors d'un "derby" très attendu à Vienne. Reus et Ozil ont confirmé la richesse allemande au milieu de terrain, mais les joueurs de Joachim Löw sont restés sous la menace d'un retour autrichien. Avec six points en deux matches, ils sont néanmoins leaders. Leur principal adversaire sera sans doute la Suède d'Ibrahimovic (qui a joué tout le match), vainqueur 2-0 du Kazakhstan pour son entrée en lice.

Groupe D
Pas de problème pour les Pays-Bas rajeunis de Louis Van Gaal, nets vainqueurs en Hongrie (4-1) et qui s'installent en tête du groupe avec six points. La Roumanie, qui a sans surprise dominé Andorre (4-0), compte six points également et devrait être le principal rival des "Oranje". Dans le dernier match, la Turquie a battu l'Estonie 3-0.

Groupe E
La jeune et talentueuse sélection suisse a confirmé son bon départ en battant l'Albanie 2-0. Avec six points, voilà la Suisse seule en tête. L'Islande de son côté n'a pas su faire fructifier son succès en Norvège et a perdu 1-0 à Chypre. Les Norvégiens se sont justement relancés dans ce groupe très ouvert avec une victoire in extremis 2-1 sur la Slovénie.

Groupe F
Le Portugal a battu l'Azerbaïdjan 3-0 et Cristiano Ronaldo et les siens comptent six points. Mais la Russie de Fabio Capello a elle aussi confirmé. Après un succès initial face à l'Irlande du Nord (2-0), les Russes se sont très nettement imposés en Israël (4-0), qui n'a qu'un point après deux journées. Dans le dernier match, Irlande du Nord et Luxembourg ont fait 1-1.

Groupe G
La Bosnie avait marqué huit buts au Liechtenstein vendredi (8-1), elle n'en a mis "que" quatre mardi à la Lettonie (4-1). La sélection de Safet Susic est très bien partie et, avec déjà quatre buts chacun, Dzeko et Misimovic sont candidats au titre de meilleur buteur des qualifications. La Grèce ne peut pas lutter en terme de différence de buts, mais elle aussi compte six points après avoir dominé la Lituanie 2-0. Dans le dernier match, la Slovaquie a fait le nécessaire en battant le Liechtenstein 2-0 et compte quatre points.

Groupe H
A l'Euro, l'Angleterre avait battu l'Ukraine 1-0. Les Ukrainiens ont bien cru prendre leur revanche à Wembley, mais Lampard a égalisé sur un penalty à la 87e minute (1-1). Il y a un match à trois également dans ce groupe, le Montenegro et la Pologne étant à la hauteur de l'Angleterre après leurs succès à Saint-Marin (6-0) et face à la Moldavie (2-0).

Groupe I
On est passé tout près d'une énorme surprise à Tbilissi, où la Géorgie a tenu le 0-0 jusqu'à la 86e minute face à l'Espagne. Les champions du monde et double champions d'Europe en titre, qui sont donc prenables, se sont finalement imposés 1-0 grâce à un but de Soldado. De son côté, l'équipe de France a été plutôt convaincante face à la Biélorussie (3-1) grâce notamment à un très bon Ribéry. Les Bleus sont en tête avec six points et le match avec l'Espagne est lancé.

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La Serbie atomise le Pays de Galles, l'Ecosse partage

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La Serbie, prochain adversaire des Diables Rouges, s'est largement imposé sur le score de 6 buts à 1 face au Pays de Galles mardi dans le groupe A des qualifications au Mondial 2014.
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Kolarov ouvrait le score sur coup-franc à la 16e minute. Le défenseur de Manchester City était ensuite à la base du second but serbe, inscrit par Tosic après une action confuse (24e). Bale réduisait le score pour les Gallois d'un superbe coup-franc du gauche (31e). Le match n'était relancé que quelques minutes car Djuricic, servi par Tadic, redonnait un avantage de deux buts à son équipe à la 38e.

En deuxième mi-temps, Tadic après avoir été passeur devenait buteur pour le quatrième but serbe (55e). Ivanovic sur corner (80e) et Sulejmani (90e) y allaient également de leur but pour porter le score à 6-1.

Les Serbes, 4 points, se présentent ainsi comme des adversaires sérieux dans la course à la qualification. Le 12 octobre, la Serbie accueillera la Belgique pour le compte de la 3e journée de cette phase qualificative. Le Pays de Galles, qui recevra l'Écosse pour son prochain match, reste bloqué à 0.

Match nul entre la Macédoine et l'Ecosse
L'Ecosse et la Macédoine ont partagé l'enjeu 1-1 lors de la 2e journée du groupe A des qualifications pour le Mondial 2014 de football (groupe A), mardi à Glasgow. Noveski a ouvert le score pour la Macédoine après 11 minutes de jeu. L'Ecosse égalisait peu avant la mi-temps (43) par Miller. Dans les autres matches du groupe A, la Belgique a fait 1-1 face à la Croatie et la Serbie a écrasé le Pays de Galles 6-1.

Au classement, la Belgique, la Serbie et la Croatie comptent 4 points. L'Ecosse est 4e avec 2 points, devant la Macédoine (1) et le Pays de Galles (0). La 3e journée aura lieu le 12 octobre et proposera Serbie - Belgique, Macédoine - Croatie et Pays de Galles - Ecosse.

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Andy Murray: "Je ne voulais pas être cette personne"

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L'Ecossais Andy Murray a puisé loin dans ses ressources physiques et morales pour éviter de devenir le premier joueur à perdre ses cinq premières finales de tournoi du Grand Chelem: "Je ne voulais pas être cette personne", a-t-il dit lundi après sa victoire à l'US Open.
Q: Cela faisait 76 ans que la Grande-Bretagne attendait ce moment. Que ressentez-vous d'être celui qui a brisé le sort?

R: "Ce n'est pas que j'aie pensé à cela tout le match mais il c'est certain qu'au moment de servir pour le match, j'ai senti quelle importance avait ce moment pour l'histoire du tennis britannique. Cela faisait longtemps qu'on me le demandait, et on me le demandait encore plus après la médaille d'or aux jeux Olympiques: "Quand allez-vous gagner un tournoi du Grand Chelem?" C'est super de l'avoir fait finalement. Et j'espère que ça va donner envie à des enfants en Grand-Bretagne de faire du tennis et que ça va effacer la réputation de perdant des joueurs de tennis britanniques, ou de ce sport en Grande-Bretagne. Notre tennis est dans une bonne passe, Laura (Robson) a fait un bon tournoi ici (8e de finale en battant la Belge Kim Clijsters et la Chinoise Li Na) et Liam Broady est allé en finale du tournoi juniors garçons. J'espère que ça va continuer".

Q: Quel est votre sentiment sur le match?

R: "C'était épuisant mentalement car à cause des conditions (vent), il fallait être concentré sur chaque point, la balle n'était pas facile à contrôler. Il y avait ça et le fait que j'étais face à un joueur (Novak Djokovic) qui n'avait pas perdu un match sur cette surface en Grand Chelem depuis deux ans. Je crois que c'est le mot "soulagement" que j'emploierais pour décrire ce que je ressens à cet instant. Je suis content de m'en être sorti car si j'avais perdu ce match en menant de deux sets, ça aurait été dur à avaler. C'était un mélange d'émotions, j'ai pleuré un peu sur le court. J'ai été plusieurs fois dans la position de gagner (un Grand Chelem) et là, on se demande: "Est-ce ça va finir par arriver?" Quand ça arrive, c'est de la joie et du soulagement mélangés. Du soulagement d'avoir passé ce dernier obstacle".

Q: La finale à Wimbledon puis l'or olympique, à Wimbledon également, vous ont-ils décomplexé?

R: "Je me sentais bien mieux après la défaite à Wimbledon qu'après d'autres défaites en Grand Chelem. Le soutien que j'ai reçu m'a permis de me remettre vite. Après, les jeux Olympiques ont été la plus belle semaine de ma vie. Mais je ne sais pas si gagner les Jeux m'a aidé ici, car j'avais encore des doutes avant cette finale (à l'US Open), j'étais très nerveux. Dans le vestiaire, je me disais: si je perds cette finale ce sera la cinquième (en Grand Chelem) et personne ne l'a jamais fait. Je ne voulais pas être cette personne. Je me suis prouvé que je pouvais gagner un Grand Chelem en tenant près de cinq heures contre un des gars les plus costauds de l'histoire physiquement, surtout sur cette surface. C'est ce que je tire de ce match, ne plus douter de mes moyens physiques et psychologiques à partir de maintenant. Je suis sûr que cette victoire va avoir un impact positif à l'avenir".

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Djokovic: "Avec Murray, le tennis atteint un niveau inédit"

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"Je suis déçu d'avoir perdu mais au fond de moi je sais que j'ai tout donné. Je me suis battu pour revenir au score mais j'avais un grand adversaire en face. Il méritait plus que quiconque de gagner enfin ce Grand Chelem car il est un grand joueur depuis de longues années. Je suis content pour lui".
Novak Djokovic, le héros malheureux de la finale de l'US Open, lundi à Flushing Meadows; a rendu hommage au vainqueur sans trop chercher d'excuses.

"Ce n'était facile pour personne de gérer les conditions de jeu. Nous avons commis beaucoup d'erreurs, mais avons aussi joué de superbes points. Même quand j'avais deux sets de retard, je croyais toujours que je pouvais gagner. J'ai vraiment très bien joué dans les troisième et quatrième sets. Le début du cinquième set a été la clé du match, je n'aurais pas dû perdre deux fois mon service d'affilée, ça m'a coûté la victoire. Après, c'était dur de revenir. On a joué presque cinq heures, avec beaucoup de courses et d'échanges. Cela a été un effort mental et physique pour nous deux. Tous les quatre (avec Murray, Nadal et Federer), nous emmenons ce sport à un tout autre niveau et c'est un plaisir de faire partie de cette ère du tennis masculin. Je ne sais pas trop ce que les prochaines années réservent mais le fait qu'Andy a gagné ce soir (lundi) va rendre les choses encore plus concurrentielles et intéressantes".

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Victoire de Mark Cavendish au Tour de Grande-Bretagne

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Mark Cavendish (Sky) a remporté mardi la 3e étape du Tour de Grande-Bretagne cycliste (2.1), disputée sur 161,4 km entre Jedburgh et Dumfries.
Le champion du monde, qui avait chuté lors de la première étape et avait été battu lundi par l'Australien Leigh Howard, a pris sa revanche en s'imposant au sprint devant ce dernier et le Lituanien Aidus Kruopis, tous deux équipiers au sein de la formation Orica-GreenEdge.

Grâce au jeu des bonifications, Howard s'empare du maillot de leader du classement général, dont il a dépossédé le Néerlandais Boy van Poppel (Unitedhealthcare Pro Cycling), 7e mardi.

Mercredi, la quatrième étape conduira les coureurs de Carlisle à Blackpool sur 156 km.

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Federer de la partie à Amsterdam

11.09.2012 12:04 mise à jour à 14:39
L'équipe de Suisse aura bien besoin de son leader en terres bataves. [Charles Krupa - Keystone]

L'équipe suisse de Coupe Davis respire. Après avoir entretenu le suspense, Roger Federer a finalement confirmé sa présence pour le barrage du groupe mondial cette fin de semaine contre les Pays-Bas.
Le no 1 mondial est attendu mercredi à Amsterdam, a précisé Sandra Pérez, cheffe de la communication de Swiss Tennis. Le Bâlois est coutumier de ces annonces tardives, comme il est habitué à venir jouer les sauveurs.
Ces sept dernières années, la Suisse a toujours dû disputer un barrage de promotion/relégation, et Federer n'a manqué qu'une fois à l'appel. C'était en septembre 2010 au Kazakhstan et cela s'était soldé par une relégation en zone continentale.
Wawrinka rétabli

Avec le no1 mondial dans ses rangs, la Suisse devrait éviter une telle mésaventure dès vendredi sur la terre battue d'Amsterdam. Le duo Federer Stanislas Wawrinka (ATP 17) partira largement favori face aux Néerlandais, qui disposent de Robin Haase (ATP 50), Igor Sijsling (ATP 81), Thiemo de Bakker (ATP 159) et Jean-Julien Rojer (ATP 17 en double). La donne aurait évidemment été très différente si Federer avait renoncé et si Marco Chiudinelli (ATP 136) avait dû le suppléer.
En vue de cette rencontre, Federer s'est déjà remis à la terre battue, lors d'un entraînement organisé lundi en Suisse. Quant à Wawrinka, présent depuis lundi à Amsterdam, il s'est déjà familiarisé avec le stade de la Westergasfabriek. Grippé la semaine dernière à l'US Open, le Vaudois est rétabli. "J'ai pu me préparer correctement et je serai prêt vendredi", a-t-il assuré

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La Norvège a battu la Slovénie 2-1 et Chypre a dominé l'Islande 1-0 dans le groupe de la Suisse

11.09.2012 22:03 mise à jour à 22:36

Avant son déplacement en Suisse (12 octobre), la Norvège a fêté un succès important face à la Slovénie (2-1). Grâce à un but de Riise sur penalty à la... 94e, les Scandinaves ont débloqué leur compteur dans ce groupe E. Les Slovènes avaient pourtant frappé les premiers, grâce à une réussite de Suler (17e). Henriksen a rétabli la parité 9 minutes plus tard déjà. L'Islande n'a pas confirmé son succès initial contre la Norvège. L'équipe de Lars Lagerbaeck s'est inclinée 1-0 à Chypre, qui a fêté un succès mérité. Très brouillons, les Islandais n'ont réussi qu'un tir cadré du match.

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L’Argentine tenue en échec au Pérou

Football

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L’Argentine n’a pu obtenir qu’un nul 1-1 au Pérou mais reste néanmoins seule en tête des qualifications sud-américaines pour la Coupe du monde 2014 au Brésil, à l’issue de la 8e journée.
Mis à jour le 12.09.2012

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Après 7 des 14 matches, l'Argentine précède d’une unité, avec 14 points, la Colombie et l’Equateur.
Les Argentins, devant plus de 50’000 spectateurs, l’ont échappé belle face à des Péruviens sans complexe qui ont ouvert la marque par le défenseur Zambrano monté dans la surface pour récupérer un centre d’Advincula (21e). Les coéquipiers d’un Lionel Messi très effacé ce mardi, moqué aux cris de «Cristiano! Cristiano!» dès qu’il touchait le ballon par des tribunes qui le titillaient sur sa rivalité avec le Portugais du Real Madrid, n’ont pas tardé à égaliser par Higuain, servi par Lavezzi (36e). Mais le buteur madrilène a transformé là une des très rares occasions argentines.
Le Pérou, au contraire, aurait pu marquer un but de plus, sur penalty dès la 2e, mais Pizarro a vu son tir trop mou retenu par le gardien argentin Romero. «Messi est un joueur qui évolue dans un contexte, dans une rencontre, dans une équipe, face à un adversaire. Je ne peux rien dire de plus. C’est le meilleur joueur du monde», l’a défendu son sélectionneur Sabella. Lors de cinq derniers matches avec sa sélection, Messi avait marqué neuf buts, mais il n’a cette fois absolument pas pesé sur la rencontre.
«Nous savions que ça allait être comme ça», a déclaré le milieu de terrain argentin Javier Mascherano. «C’est dur de jouer là-bas et le terrain n’était pas en très bon état. Chaque équipe veut battre l’Argentine.»
Dans la zone Concacaf (Amérique centrale), le Mexique a battu le Costa Rica 1-0 (but de Hernandez) dans le tour préliminaire et assuré ainsi sa place dans le groupe de six finalistes de la zone qui se partageront les trois places disponibles pour la Concacaf à la Coupe du monde.

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Juan Carlos Ferrero bientôt à la retraite

Tennis

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L’ancien numéro 1 mondial Juan Carlos Ferrero a annoncé qu’il mettra un terme à sa carrière dans six semaines.
Mis à jour le 12.09.2012

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Juan Carlos Ferrero
Image: AFP
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Le «Valencia Open 500» organisé du 20 au 28 octobre dans sa ville de Valence sera son dernier tournoi, a indiqué Juan Carlos Ferrero devant la presse.
«Trente-deux ans est, je crois, un bon âge pour arrêter dans un sport aussi exigeant que le tennis, après quatorze années de professionnalisme», a relevé le joueur espagnol, qui accéda au sommet de la hiérarchie mondiale en septembre 2003, l’année de sa victoire à Roland-Garros.
Ferrero avait déjà connu une heure de gloire en 2000, participant au premier succès de l’Espagne en Coupe Davis. Depuis les débuts de sa carrière en 1998, il a disputé 33 finales, glanant quinze titres. Outre Roland-Garros, il s’est imposé notamment à Monte-Carlo (2002 et 2003) et Rome (2003), ayant fait de la terre battue son royaume.

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Pour Völler, Ballack devrait devenir entraîneur

Football

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L’ancien international Michael Ballack, sans contrat depuis la fin de saison dernière avec Leverkusen, devrait passer le diplôme d’entraîneur, a conseillé le directeur sportif de Leverkusen, Rudi Völler.
Mis à jour à 14h30 1 Commentaire

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Michael Ballack
Image: AFP




Ballack «a les capacités et l’intelligence pour être entraîneur», a déclaré Völler dans les colonnes de Sport Bild, indiquant qu’il avait suggéré au joueur de «passer son diplôme» après le dernier match de l’exercice 2011-2012.
Selon Völler, une offre peut intervenir rapidement, et il est plus facile d’y répondre quand on a le diplôme, a-t-il souligné.
Ballack, 35 ans, a disparu des radars du football allemand depuis la fin de saison dernière, terme de son contrat avec Leverkusen où il était arrivé en 2010 après quatre saisons avec Chelsea en Premier League anglaise.
Cet été, son nom a été lié au championnat nord-américain de football (MLS) et à la chaîne sportive américaine ESPN, pour laquelle l’ex-«Capitano» aux 98 sélections fut consultant durant l’Euro 2012.