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Le latéral gauche du Real Madrid Marcelo sera absent jusqu'à la fin de l'année en raison d'une fracture au pied

14.10.2012 22:43 mise à jour à 22:45

Le Real Madrid devra composer sans son latéral gauche Marcelo au moins jusqu'à la fin de l'année 2012. Le Brésilien s'est cassé le pied droit dimanche au cours d'un entraînement en Pologne, où la Seleçao affrontera le Japon mardi en match amical. Une opération pourrait être nécessaire.

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Montpellier: Aït-Fana absent six mois !


C'est une mauvaise nouvelle supplémentaire pour Montpellier. Son milieu offensif Karim Aït-Fana, qui revenait bien après une longue blessure la saison dernière, sera de nouveau indisponible pendant les six prochains mois. L'international marocain, touché jeudi à l'entraînement, l'a annoncé sur son compte Twitter, dimanche après-midi: "Après examen, le verdict est tombé: rupture du ligament croisé antérieur, absent six mois." Peut-être l'occasion pour René Girard de recruter un joker médical ?

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Le FC Bâle vire Vogel et embauche Yakin

Football

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Coup d'éclat au bord du Rhin. Heiko Vogel n'est plus l’entraîneur du FC Bâle. C'est Murat Yakin qui remplace l'Allemand avec effet immédiat.
Mis à jour à 14h09 14 Commentaires

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Image: Keystone
Super League

12e Journée

06.10.FC St.Gall - Lausanne2 : 106.10.FC Thoune - Grasshoppers2 : 307.10.Sion - FC Lucerne3 : 207.10.FC Zurich - Young Boys1 : 107.10.FC Bâle - Servette3 : 2État: 07.10.2012 17:52
Classement

NomJVNDButsP1.Grasshoppers1292117:7292.FC St.Gall1283119:7273.Sion1272318:14234.FC Bâle1256121:13215.Young Boys1245320:12176.FC Thoune1241714:17137.Lausanne123369:15128.FC Zurich1225512:17119.FC Lucerne1223712:20910.Servette1202107:272État: 07.10.2012 17:55
13e Journée

20.10.Servette - FC St.Gall- : -20.10.FC Thoune - Sion- : -21.10.Lausanne - FC Zurich- : -21.10.FC Lucerne - FC Bâle- : -21.10.Grasshoppers - Young Boys- : -



Heiko Vogel n’est plus l’entraîneur du FC Bâle. L’Allemand a été licencié et remplacé dans la foulée par un certain Murat Yakin.
L’annonce du FCB constitue une relative surprise. Certes, les Bâlois connaissent des difficultés en ce début de saison, comme en témoignent leur modeste 4e place en Super League (à 8 points du leader GC) et leur éviction lors des qualifications à la Ligue des champions. Heiko Vogel ne semblait pourtant pas menacé dans l’immédiat, lui qui avait gagné beaucoup de crédit au cours d’un exercice 2011/2012 exceptionnel (titre en Super League, sacre en Coupe de Suisse, 8e de finale en Ligue des champions).
Les dirigeants bâlois en ont toutefois décidé autrement. Et une année après sa nomination à la tête du FCB (il était avant cela l’assistant de Thorsten Fink), Heiko Vogel a été prié de s’en aller.
Pour le remplacer, le président du club Bernhard Heusler a fait appel à une vieille connaissance en la personne de Murat Yakin (38 ans). L’ancien défenseur connaît très bien le Parc St-Jacques pour y avoir joué plusieurs saisons et récolté moult trophées (3 titres de champion et 2 Coupes).
Après avoir bouclé sa carrière de joueur au FCB en 2006, l’aîné des frères Yakin s’est lancé avec succès dans la profession d’entraîneur à Concordia Bâle, Grasshopper (comme assistant) et Thoune. Sa dernière expérience, à Lucerne, s’est toutefois mal terminée puisqu’il y a été limogé en août dernier. Ironie du calendrier, Murat Yakin fera ses débuts sur le banc bâlois dimanche prochain à... Lucerne.

M'étonne que Murat fasse mieuxA voir...

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La FIFA demande à Hitzfeld de s’expliquer

Football

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La FIFA a envoyé un courrier au sélectionneur helvétique afin que celui-ci prenne position sur les faits qui lui sont reprochés.
Par Nicolas Jacquier. Mis à jour à 12h40 8 Commentaires

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Image: Keystone



En dépit de la polémique créee par son (double) doigt d’honneur tendu vendredi soir à Berne, Ottmar Hitzfeld devrait logiquement pouvoir s’asseoir normalement demain soir sur le banc à l’occasion du match au sommet du groupe E contre l’Islande. Si une décision le concernant devait tomber, celle-ci ne devrait pas intervenir avant plusieurs jours, voire semaines.
Après avoir eu connaissance des faits, la FIFA a envoyé hier une lettre à l’Association Suisse (ASF) ainsi qu’à son sélectionneur, invitant celui-ci à s’expliquer par écrit sur ses agissements corporels. Héritant du dossier - Me Marcel Mathier, président suisse de la Commission de discipline de la FIFA, s’étant logiquement désisté -, le Vénézuélien Rafael Esquivel attend désormais la prise de position officielle de l’ASF et de son coach avant de poursuivre, ou non, ses investigations. C’est en effet uniquement après avoir pris connaissance de la déposition d’Ottmar Hitzfeld que le juge de la FIFA déterminera la suite qu’il convient de donner à une affaire dont la Suisse se serait bien passée…
Pour l’heure, l’accusé Hitzfeld bénéfice toujours de la présomption d’innocence. En dépit de la preuve fournie par les images qui l’ont, sur ce point, déjà confondu.

Je te comprend Hitzfeld, l'arbitre un vrai tocard

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Cristiano Ronaldo, un capitaine déjà centenaire

Football

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Cristiano Ronaldo franchira mardi une marche de plus vers un statut de légende qui lui semble promis, en jouant sa 100e rencontre internationale avec l’équipe du Portugal face à l’Irlande du Nord.
Mis à jour à 12h24 2 Commentaires

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Image: Reuters
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Avant l’attaquant vedette du Real Madrid, seuls Fernando Couto (110 capes) et l’incontournable Luis Figo (127) avaient atteint la centaine de matches sous le maillot de la Selecçao. Mais ses aînés avaient alors dépassé la trentaine, tandis que Ronaldo réalise l’exploit à tout juste 27 ans.
"C’est une preuve de ses qualités et de son énorme envie de représenter le Portugal", a estimé Figo, chef de file de la "génération en or" du football lusitanien, prédécesseur de Ronaldo au poste de capitaine et N.7 de la sélection nationale.
Comme un signe prémonitoire, c’est en remplaçant Figo lors d’un amical contre le Kazakhstan que Ronaldo a fait ses débuts avec la Selecçao, le 20 août 2003. Son premier grand tournoi international, l’Euro-2004, organisé par le Portugal, lui a donné l’occasion de se faire une place dans l’équipe type et de marquer son premier but en rouge et vert, lors de la rencontre inaugurale remportée par la Grèce.
Avec les 37 buts qu’il compte aujourd’hui, "CR7" menace également les records des plus grands artilleurs de son pays: le célèbre Eusébio des années 1960 (41 buts) et le très efficace Pedro Pauleta (47).
Mais, depuis les larmes versées par le jeune Cristiano à l’issue de cette finale perdue en 2004, encore face à la Grèce, la star planétaire qu’il est devenu n’a toujours pas de trophée international pour parfaire son enviable palmarès en club.
Le natif de l’île de Madère a d’ailleurs eu du mal à asseoir son leadership suite à la retraite internationale du charismatique Figo, en 2006, car il a longtemps souffert des comparaisons avec l’ailier formé comme lui au Sporting Portugal et devenu avant lui un "galactique" au Real Madrid.
Pour ses détracteurs, Ronaldo serait trop souvent trahi par son individualisme, ses nerfs ou sa médiatisation à outrance. Et les fans, qui soupiraient devant ses succès au Manchester United puis au Real Madrid, étaient souvent déçus par ses performances en demi-teinte avec le Portugal.
Après la finale de l’Euro-2004 et une quatrième place au Mondial de 2006, Ronaldo et les siens ont enchaîné les campagnes de qualification laborieuses et des tournois peu brillants.
Attendu de pied ferme à l’Euro-2012, le capitaine portugais s’est finalement montré à la hauteur des attentes en portant son équipe en demi-finale, avant de tomber aux pieds de l’Espagne. Son doublé face aux Pays-Bas et son but décisif contre la République tchèque auront certainement marqué le tournoi.
Pourtant, la route vers le Brésil, pays-hôte du Mondial-2014, semble à nouveau semée d’embuches pour les Portugais, battus vendredi en Russie (1-0) malgré leur domination. Fébrile, puis écoeuré, Ronaldo n’a donné qu’une pâle image du joueur hors-norme qui, quelques jours plus tôt avec le Real, avait marqué un doublé à Barcelone.
"Mardi, je ferai mon 100e match international auprès de notre public et je n’aurai que la victoire à l’esprit", a-t-il assuré sur sa page Facebook, appelant le public à remplir le stade du Dragon à Porto (nord) pour célébrer l’occasion.

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Suisse - République tchèque aura lieu à Genève

Coupe Davis

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Le match du premier tour du groupe mondial entre la Suisse et la République tchèque se disputera à Genève du 1er au 3 février 2013 a décidé Swiss Tennis.
Mis à jour le 15.10.2012

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Stanislas Wawrinka avec le capitaine de l'équipe de Suisse Séverin Lüthi.
Image: Keystone




La rencontre sera disputée dans la halle 7 de Palexpo qui pourra accueillir autour de 5500 spectateurs. La surface sur laquelle se jouera la rencontre n'a pas encore été choisie. Swiss Tennis organisera cette partie en régie propre, la location des billets sera ouverte à partir de mi-novembre.
Avant de prendre cette décision, Swiss Tennis avait étudié plusieurs autres options. Toutefois, les stades offrant une infrastructure un tant soit peu appropriée se comptent sur les doigts d'une main. S'ajoutait que le gouvernement genevois et le centre Palexpo avaient montré leur grand intérêt.
Tout plaidait dès lors pour Genève où la sélection helvétique se présentera avec son leader romand Stanislas Wawrinka (ATP 17) qui a assuré qu'il répondra présent. La République tchèque, qui disputera encore la finale de la Coupe Davis dans quelques semaines face à l'Espagne, aligne des joueurs du calibre de Tomas Berdych et Radek Stepanek.
La Suisse n'avait plus joué à Genève depuis 2007 et un premier tour contre l'Espagne où ni Roger Federer ni Stanislas Wawrinka, blessé, n'avaient joué.
Hésitation avec Bâle
Le chef du comité d'organisation Erik Keller est ravi de l'enthousiasme affiché par Genève dont on connaît l'énorme potentiel mobilisateur de fans, de sponsors et de spectateurs: «Après six ans d'absence, nous retrouvons un des sites où des chapitres historiques de l'histoire suisse de la Coupe Davis ont été écrits, par exemple la demi-finale contre le Brésil en 1992 ou les rencontres de Coupe Davis contre des nations telles que la Serbie, l'Espagne et l'Australie.»
Avant de trancher définitivement, des discussions intenses avaient été engagées avec Bâle, site qui aurait été privilégié si Federer avait participé à la rencontre. Les autorités bâloises, la direction du stade St-Jacques et Roger Brennwald, directeur du tournoi Swiss Indoors, avaient tous donné le feu vert pour un premier tour à Bâle.
D'après le président de Swiss Tennis, René Stammbach «le comité central de Swiss Tennis a soupesé les avantages et les inconvénients des deux sites avant d'opter pour Genève, solution moins risquée et plus praticable compte tenu du fait que le leader de l'équipe Roger Federer n'est pas en mesure à l'heure actuelle de confirmer sa participation au premier tour et que sa décision définitive ne tombera sans doute pas avant la fin de l'année.»

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Djourou vers Naples?

Football

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Johan Djourou a tapé dans l’œil des dirigeants napolitains. En manque de temps de jeu à Arsenal, le Genevois rejoindra-t-il Inler, Behrami et Dzemaili au pied du Vésuve?
Mis à jour le 15.10.2012

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Image: Freshfocus




Ce serait un première: quatre internationaux suisses qui évoluent dans le même club à l'étranger. Et elle pourrait bien devenir réalité du côté de Naples au mois de janvier.
Selon le Sun, le club napolitain aurait formulé une offre au défenseur genevois. L'AS Rome aurait aussi manifesté son intérêt.
Depuis le début de la saison, Johan Djourou n'a pas été aligné la moindre minute par Arsène Wenger en championnat. Son contrat avec le club londonien court jusqu'en 2015.

[Norton]

Hitzfeld «tuyaute» les Bleus

Football

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La Suisse est la dernière équipe à avoir battu l’Espagne en compétition. Son sélectionneur livre les secrets d’un impossible hold-up que la France espère pouvoir rééditer demain soir à Madrid.
Par Nicolas Jacquier. Mis à jour à 09h21 7 Commentaires

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Image: Keystone




Comment battre les invincibles Espagnols? Pour le savoir, l’Hexagone s’est tourné vers la Suisse, dernière équipe à avoir dominé le futur champion du monde. C’était le 16 juin 2010, à Durban. Ce jour-là, les Helvètes avaient créé la surprise du siècle en surprenant l’Espagne (1-0, but de Gelson Fernandes à la 52e). Depuis, personne n’a réussi à imiter l’exploit helvétique…
A la veille d’aller défier l’Espagne à Vincente-Calderon, joueurs, sélectionneur et médias français entendent s’inspirer de ce qu’avaient réussi les Suisses pour tenter de faire pareil. Aussi Ottmar Hitzfeld est-il devenu un interlocuteur très demandé. Première leçon, dévoilée dans les colonnes de France-Football, parti à la rencontre du sélectionneur helvétique: «Il faut leur montrer qu’on n’a pas peur. Pour cela, il faut commencer par persuader ses joueurs qu’il existe une chance, aussi mince soit-elle (…) Jusqu’à la dernière conférence de presse, il est important que l’entraîneur tienne aussi un discours positif en externe et ne montre aucune anxiété, aucune fébrilité, aucune incertitude. Sa communication est capitale pour transmettre la confiance. Je me souviens ainsi avoir fait très attention aux mots que j’utilisais. Si les joueurs lisent dans la presse: «Ça va être dur, on n’a aucune chance», difficile pour eux de croire ensuite l’inverse.»
Deuxième leçon: jouer avec deux lignes de quatre resserrées, de manière compacte. «L’Espagne est une équipe qui peut vous transpercer très vite et très facilement avec ses redoublements de passes, ses décalages ou ses dribbles dans les trente derniers mètres, détaille le coach national à l’intention des Bleus. Il faut donc impérativement lui laisser le moins d’espaces possibles, l’empêcher de trouver les intervalles, et de créer la supériorité numérique, fermer au maximum les angles de passes.»
Et Hitzfeld de se replonger 27 mois en arrière, en Afrique du Sud: «Pour battre l’Espagne, il faut tout réunir en même temps: faire le match parfait, peut-être même le match de sa vie, savoir lutter tous ensemble et, bien entendu, avoir de la chance (…) Je savais qu’on avait 5% de chances de gagner, peut-être même seulement 2%. La France, elle, en aura 30% car elle a un autre potentiel que la Suisse.»
On saura demain soir, à Madrid, si le message d’Hitzfeld est passé, et si les joueurs de Didier Deschamps sauront s’en inspirer pour signer un nouveau hold-up…

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Djokovic toujours plus proche de Federer

Tennis

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Novak Djokovic, vainqueur du Masters 1000 de Shanghai, ne compte plus que 195 points de retard sur Roger Federer qui entame sa 300e semaine au sommet du tennis mondial.
Mis à jour à 08h39 2 Commentaires

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Novak Djokovic talonne Roger Federer au classement ATP.
Image: AFP
Classement ATP

RNomP1.Roger Federer121652.Novak Djokovic119703.Andy Murray76904.Rafael Nadal69955.David Ferrer53606.Tomas Berdych48407.Jo-Wilfried Tsonga48108.Juan Martin Del Potro36709.Janko Tipsarevic326510.Juan Monaco277511.John Isner256512.Nicolas Almagro243513.Richard Gasquet241514.Marin Cilic237015.Milos Raonic233516.Kei Nishikori200017.Stanislas Wawrinka195518.Philipp Kohlschreiber183019.Gilles Simon181520.Tommy Haas1727144.Marco Chiudinelli383298.Michael Lammer155307.Stephane Bohli147352.Adrien Bossel120363.Sandro Ehrat117567.Alexander Sadecky45667.Joss Espasandin31809.Riccardo Maiga17933.Lucas Zweili111080.Luca Margaroli71118.Alexander Ritschard61174.Yann Marti51254.Kevin Jordi41291.Jens Hauser31392.Robin Roshardt21481.Federico Valsangiacomo21668.Adrian Bodmer11668.Dimitri Bretting11756.Jessy Kalambay11880.Patrick Eichenberger1Djokovic, qui a battu en finale le Britannique Andy Murray 5-7, 7-6 (13-11), 6-3 pour empocher son 13e titre en Masters 1000, pourrait détrôner dans les semaines à venir Federer, battu en demi-finale à Shanghai et qui a vu son avance en tête passer en une semaine de 835 à 195 points.

Federer et Djokovic ne sont engagés dans aucun des trois tournois (Moscou, Vienne, Stockholm) au programme cette semaine.
Le seul changement dans le top 10 mondial concerne le chassé croisé entre le Tchèque Tomas Berdych et le Français Jo-Wilfried Tsonga qui, une semaine après avoir échangé leur place, sont redevenus respectivement 6e et 7e. Berdych a battu le N.1 français en quart de finale à Shanghai.
A noter le retour dans le top 20 mondial de l’Allemand Tommy Haas, 34 ans: l’ancien N.2 mondial, quart de finaliste à Shanghai et dont la carrière a semblé devoir prendre fin en raison de blessures à répétition, n’avait plus appartenu au top 20 depuis mai 2010.
Classement ATP au 15 octobre:
1. Roger Federer (SUI) 12165 pts
2. Novak Djokovic (SRB) 11970
3. Andy Murray (GBR) 7690
4. Rafael Nadal (ESP) 6995
5. David Ferrer (ESP) 5360
6. Tomas Berdych (CZE) 4840 (+1)
7. Jo-Wilfried Tsonga (FRA) 4810 (-1)
8. Juan Martin Del Potro (ARG) 3670
9. Janko Tipsarevic (SRB) 3265
10. Juan Monaco (ARG) 2775

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L'Islande? Le match piège par excellence

15.10.2012
Ottmar Hitzfeld est ravi des progrès accomplis par son équipe. [GEORGIOS KEFALAS - Keystone]

Une température à peine positive et un vent capricieux. C'est ce qui attend la Suisse mardi à Reykjavik pour son 4e match des éliminatoires du Mondial. "La météo n'est pas trop mal, peut-être un peu froid", estime Tranquillo Barnetta. "Je préfère ce genre de conditions que de jouer sous la canicule", renchérit Goekhan Inler. "On perd moins d'énergie quand il fait froid".
Dans le stade Laugardalsvollur - très semblable à celui de la Pontaise - se disputera ni plus ni moins que le choc au sommet de ce groupe E entre le leader helvétique et la surprenante Islande, 2e avec un petit point de retard.
"Nous sommes sur le bon chemin"

"Depuis le début de la campagne, nous avons progressé à chaque match. La partie contre la Norvège s'est jouée à un haut niveau. Sur plan du jeu, ce fut l'une de nos meilleures prestations", s'est réjoui lundi Ottmar Hitzfeld. "Le 1-1 contre la Norvège est un bon résultat", poursuit-il. "Nous sommes sur le bon chemin, mais il est clair que nous devons encore nous améliorer".
"Le match de vendredi a laissé des traces dans les organismes. Les entraînements depuis lors ont été assez légers. Je suis convaincu que, mardi au coup d'envoi, l'équipe sera en pleine possession de ses moyens", assure Hitzfeld.
Hitzfeld entretient le mystère

Le sélectionneur suisse n'a pas voulu donner la composition de son équipe. "Je réfléchis à 1 ou 2 changements et prendrai ma décision après le dernier entraînement lundi soir". Tout porte à croire qu'il reconduira l'équipe qui a disputé la dernière rencontre. Exception faite évidemment de Derdiyok (suspendu), sans doute remplacé par Gavranovic. "Avec Ben Khalifa et Mehmedi, j'ai trois solutions au total. Je suis ravi qu'un autre attaquant puisse entamer un match et démontrer ses qualités"
Si un autre changement devait avoir lieu, il serait sans doute sur le flanc gauche. Au creux de la vague depuis quelques semaines, Rodriguez pourrait devoir céder sa place à Ziegler.
La menace Sigurdsson

Gylfi Sigurdsson (2e depuis la droite) a été à la base du succès islandais vendredi dernier en Albanie. [Keystone]A en croire Ottmar Hitzfeld, l'Islande (97e au classement FIFA) joue à un "rythme élevé", effectue un "pressing assez haut dans le terrain" et se montre "intransigeante dans les duels".
"Techniquement, elle est supérieure à la Norvège. Mais on devrait avoir davantage d'espaces que vendredi", avance le sélectionneur de l'équipe nationale. En l'absence de leur capitaine Gunnarsson (suspendu) - "une perte pas facile à compenser" -, les insulaires miseront beaucoup sur Sigurdsson, leur principal atout. L'attaquant de Tottenham est "très fort", "rapide" et "sa frappe de balle mérite toute notre attention".
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Hitzfeld a présenté ses excuses à l'équipe

TRANQUILLO BARNETTA: Je ne suis pas surpris par la position de l'Islande. Cette équipe a beaucoup de qualités. Comme la Norvège, elle envoie parfois de longues balles en avant. Mais son jeu au sol est meilleur. Il faudra aussi être prêt sur les balles arrêtées. Si je serais satisfait avec un point? Cela dépend toujours de la physionomie de la rencontre. Ne pas perdre nous permettrait déjà de garder la tête du groupe. Mais l'objectif en entrant sur le terrain, c'est bien sûr la victoire.
L'abattage de Valon Behrami en milieu de terrain aura une fois encore toute son importance mardi en Islande. [Keystone]VALON BEHRAMI: Nous allons entrer sur le terrain avec la ferme intention d'imposer notre jeu. Le vent pourrait bien sûr jouer un rôle, mais ce sera le cas pour les deux équipes. Nous devrons être très attentifs sur les phases de jeu aérien. Face à la Norvège, nous avons trop souffert dans ces situations-là.
Les cartons jaunes de Lichtsteiner et Benaglio pour réclamations face à la Norvège? Mettre un peu de pression sur l'arbitre, cela fait partie du jeu. Nous ne pouvons pas tout accepter sans rien dire. Vendredi, je ne pouvais pas entrer dans ce jeu-là, car j'étais sous la menace d'une suspension.
GOEKHAN INLER: Contre la Norvège, il est vrai que nous avons témoigné d'un peu trop de nervosité par instants. Bien sûr que mon role est aussi de calmer mes partenaires si je vois qu'ils montrent trop de véhémence en direction de l'arbitre. Il faut être respectueux.
Le geste de Hitzfeld? Il s'est excusé devant nous et c'est très bien ainsi. Nous sommes tous dans le même bateau et nous devons nous serrer les coudes. Nous gardons un esprit sain et positif au sein de cette équipe nationale.