Toutes New sportives autres que la moto

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"Kanu m'a tabassé et menacé avec un pistolet"

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Un Brésilien qui habite Bruxelles affirme avoir été tabassé par Kanu et plusieurs de ses amis lors d'une virée nocturne dimanche soir, dans le quartier de la Gare du Midi. Le joueur d'Anderlecht nie formellement les accusations.
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José Bertuani de Aquino était de sortie dans le "Pub 2000" dimanche soir, un bar situé dans le quartier de la Gare du Midi et réputé pour attirer la communauté brésilienne de la capitale. Dans Het Nieuwsblad, il affirme qu'il a croisé la route de Kanu, le médian d'Anderlecht, et qu'une bagarre a éclaté.

"Il avait bu"
"Il était environ 2h30 du matin quand Kanu est arrivé", explique José Bertuani de Aquino dans Het Nieuwsblad. "Il vient souvent dans cet établissement. Comme toujours, il était accompagné d'un petit groupe. Il avait clairement bu. J'étais en train de discuter avec une femme qui était apparemment son ex-petite amie, comme me l'a expliqué un portier par la suite. Après dix minutes, il est venu vers moi avec deux de ses gars en me disant qu'il devait me parler. Juste après, ils ont commencé à me frapper tous les trois. Ils m'ont entraîné jusqu'à l'extérieur où ils ont frappé encore plus fort. Ils me donnaient des coups de pied alors que j'étais par terre, en plein milieu de la rue. A ce moment-là, ils étaient 7. Kanu a même sorti un pistolet 9 mm pour le pointer vers moi. Finalement, il a dit qu'il fallait arrêter de me frapper et il est parti dans une Mercedes blanche."

José Bertuani a été pris en charge par les portiers de la boîte de nuit. Il s'est rendu au bureau de police pour porter plainte. Ensuite, il a été à l'hôpital pour y recevoir des soins. Couvert d'ecchymoses sur tout le corps, il a pu regagner son domicile lundi matin mais il est en incapacité de travail pour trois jours.

Dans la bagarre, José a aussi perdu ses lentilles et une fois revenu chez lui, il a constaté que sa montre, une Breitling de 5000 euros, avait disparu. "Je ne comprends pas pourquoi Kanu a été aussi agressif. Peut-être qu'il était jaloux..."

Témoignage crédible?
Alors, accusations gratuites ou histoire véridique? Pour l'avocat de la victime, la question ne se pose même pas. "Je n'ai aucune raison de douter de lui", confie Tim Smet. "Monsieur Bertuani est un homme calme, gentil et certainement pas du genre à se battre en rue. Le fait qu'il ait été directement porter plainte et mis au courant le Sporting d'Anderlecht renforce sa crédibilité. Anderlecht a demandé que l'affaire n'éclate pas dans la presse, mais mon client ne veut pas que Kanu reste impuni. Je vais demander le plus vite possible au parquet d'étudier cette affaire très sérieusement. Sinon, nous allons porter plainte avec constitution de partie civile."

La police bruxelloise a quant à elle confirmé qu'un procès-verbal avait été rédigé.

Anderlecht se taît
De son côté, Kanu nie les faits. Et Anderlecht n'a pas souhaité s'épancher sur le sujet. "Kanu était présent au club aujourd'hui", disait ce lundi David Steegen, l'attaché de presse du Sporting. "Tant que nous ne sommes pas en possession du procès-verbal, le club s'abstiendra de tout commentaire. Ce ne serait pas la première fois que quelqu'un accuse un de nos joueurs sans raison. Certainement pas après une large victoire comme dimanche."

Après avoir perdu sa place au sein de l'équipe de John van den Brom, voilà donc une affaire dont se serait bien passé le joueur brésilien.

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Balotelli sort en boîte douze heures avant un match

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La patience de Roberto Mancini a atteint ses limites. Le coach de Manchester City, qui ne sait plus gérer Mario Balotelli, songe très sérieusement à s'en séparer. Une nouvelle affaire vient d'être rapportée par "The Sun". L'erreur de trop pour "Super Mario"?
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Sortir la veille d'une rencontre, ce n'est pas le bon comportement pour un joueur de football professionnel. Selon "The Sun", Mario Balotelli a fait la fiesta au "Panacean Club Bar". Le genre d'endroits branchés où la bouteille de champagne peut atteindre les 1.000 livres (1250€).

"J'étais étonné de le voir"
D'après plusieurs témoins, l'enfant terrible du football italien y était encore présent à 1 heure du matin. Soit douze heures avant le coup d'envoi entre Manchester City et Tottenham (2-1) prévu à 13h30 (heure locale).

"J'étais étonné de le voir là alors qu'un match se déroulait le lendemain", avoue un témoin au "Sun".

Falcao à City?
Est-ce un hasard si Mario Balotelli (22 ans) n'était même pas sur la feuille de match? Probablement pas même si l'entourage de "Super Mario" prétend le contraire.

En coulisses, du côté des Citizens, il se dit que Roberto Mancini ne supporte plus Mario Balotelli. Son idée? Se séparer de lui vite fait et faire venir Radamel Falcao. On parle d'une offre de 45 millions de livres (56 millions d'euros). Mais Chelsea, toujours selon "The Sun", est prêt à lâcher 60 millions d'euros pour "El Tigre".

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Une journée de recrutement en Lingerie Football, ça donne ça

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La Lingerie Football est connue pour être la variante sexy de la NFL mais c'est en fait bien plus que ça. Lors d'une journée de recrutement organisée par la nouvelle équipe d'Atlanta Steam, on a pu constater que les exigences sont plutôt élevées pour pouvoir intégrer un club.
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A peine créée, l'équipe d'Atlanta Steam avait décidé d'organiser une journée de recrutement. Pas moins de 350 candidates sont donc venues montrer ce qu'elles savaient faire. Au final, les vingt meilleures ont été choisies pour intégrer la nouvelle équipe de la Ligue.

Pour y parvenir, les critères de sélections étaient poussés, presque dignes d'une formation de militaire. Les demoiselles ont été testées sur leur vitesse, leurs mouvements, leur puissance et leur concentration.

Atlanta Steam sera la 13ème équipe de la Ligue. La nouvelle saison débutera au printemps prochain.

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Belgique-Serbie sur terre battue au Spiroudôme

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La rencontre du premier tour du groupe mondial de la Coupe Davis de tennis entre la Belgique et la Serbie se déroulera au Spiroudôme de Charleroi, sur terre battue, a annoncé l'AFT, l'association francophone de tennis en charge de l'organisation. Le match se jouera les 1er, 2 et 3 février prochain.
La Belgique a retrouvé le groupe mondial grâce à sa victoire en barrage face à la Suède (5-0) en septembre dernier au Primerose à Bruxelles. Ayant hérité de la Serbie lors du tirage au sort pour le premier tour du groupe mondial 2013, la Belgique peut évoluer à domicile. Suivant la règle de l'alternance, ce devait être au tour de la VTV, l'aile néerlandophone de la fédération de tennis, d'organiser la rencontre, mais c'est bien l'AFT qui conserve la main.

Les hommes de Johan Van Herck, - David Goffin, Steve Darcis, Olivier Rochus et Ruben Bemelmans en tête -, joueront au Spiroudôme de Charleroi face à la Serbie où la présence du numéro 1 mondial, vainqueur des Masters lundi à Londres, Novak Djokovic n'est pas assurée vu la proximité de l'Open d'Australie. La surface choisie est la terre battue. Mais la Serbie, c'est aussi Janko Tipsarevic (ATP-9) ou Viktor Troicki (ATP-38) et Nenad Zimonjic, 20e mondial en double.

Le vainqueur jouera en quarts de finale contre le gagnant d'Etats-Unis/Brésil. La Serbie avait été éliminée en quarts de finale de cette édition par la Tchéquie, qui va disputer la finale face à l'Espagne, du 16 au 18 novembre à Prague.

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La victime de Lionel Bosco plongée dans un coma artificiel

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Percuté par le basketteur professionnel Lionel Bosco (Belgacom Liège Basket) le samedi 27 octobre dernier, l'automobiliste hannutois Frédéric Fabry, âgé de 38 ans, est actuellement toujours plongé dans un coma artificiel, a indiqué mardi sa famille à l'agence BELGA.

Privé de son permis de conduire lors d'un contrôle d'alcoolémie dans la région de Lincent, Lionel Bosco avait repris son véhicule avant d'être impliqué dans un accident au nouveau rond-point de la chaussée de Tirlemont, à Hannut.
L'automobiliste qui était au volant de la voiture percutée avait été grièvement blessé. Il se trouve toujours actuellement plongé dans un coma artificiel. Son état de santé inspire les plus vives inquiétudes.
Placé sous mandat d'arrêt par le juge d'instruction de Huy, le basketteur professionnel avait été remis en liberté trois jours plus tard. Il reste inculpé de coups et blessures involontaires et de conduite en dépit de son retrait de permis. Il devra comparaître devant le tribunal de police de Huy.

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Platini veut l'Euro 2020 dans 13 villes, dont Bruxelles

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Si cela ne dépendait que de lui, le président français de l'Union Européeenne de football (UEFA) Michel Platini organiserait l'Euro-2020 dans treize pays. Cette idée qu'il avait déjà lancée l'été dernier, il va en effet officiellement la soumettre le 7 décembre au Comité exécutif, dont la décision devrait être prise en janvier 2013.
L'information a été révélée au quotidien Bild par l'ancien président de la fédération allemande de football (DFB) Theo Zwanziger, membre du CE de l'UEFA. Et confirmée par son successeur Wolfgang Niesrbach, auquel l'ex-triple Ballon d'Or (1983, 1984, 1985) en a personnellement parlé.

La compétition réunira 24 équipes issues des qualifications (à partir de 2016). Celles-ci seraient réparties en six groupes. Deux équipes de chacune des poules joueraient dans deux villes, soit douze en tout. En principe les capitales des douze pays les mieux classés au ranking de la FIFA, dont l'équipe nationale s'est qualifiée.

Soit à ce jour Madrid (Stade Bernabeu), Berlin (Stade Olympique), Lisbonne (Estadio de la Luz), Rome (Stade Olympique), Londres (Wembley), Amsterdam (Arena), Moscou (Stade Luschniki), Zagreb (Stade Maksimir), Athènes (Stade Olympique), Bâle (Stade Saint-Jacques), Paris (Stade de France) et... Bruxelles (Stade Roi Baudouin).

Les vainqueurs de groupes disputeraient leur 1/8-ème de finale à domicile, tandis que les quarts se joueraient en terrain neutre.

Les demi-finales et la finale seraient programmées dans un seul pays.

Probablement à Istanbul (Türk Telekom Arena), plutôt qu'à Ankara. La Turquie est en effet à ce jour l'unique candidate officielle pour organiser (seule) l'évènement en 2020.

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L’avenir de Dan Fritsche s’écrira à Lugano

Hockey sur glace

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L’actuel topscorer de GE Servette (10 buts et 11 assists en 20 matches) a signé un contrat de trois saisons en faveur de club tessinois.
Par Frédéric Lovis. Mis à jour à 16h35 4 Commentaires

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Image: Freshfocus
LNA

24e Journée

13.11.Lugano - Ambri-Piotta5 : 223.11.CP Berne - Bienne- : -23.11.Lakers - Kloten Flyers- : -23.11.Zoug - SCL Tigers- : -23.11.Davos - ZSC Lions- : -23.11.Genève-Servette - Fribourg-Gottéron- : -État: 13.11.2012 22:33
Classement

NomJVN+N-DButsP1.Genève-Servette201420470:44462.ZSC Lions221031864:56373.Lugano21916578:63354.Fribourg-Gottéron20663562:54335.Zoug20913768:63326.CP Berne20912860:50317.Davos20643766:62298.Bienne2082 1965:67299.Kloten Flyers20732856:602910.Lakers218211060:832911.Ambri-Piotta215121350:751912.SCL Tigers173131043:6514État: 13.11.2012 22:40
25e Journée

24.11.Bienne - CP Berne- : -24.11.Fribourg-Gottéron - Genève-Servette- : -24.11.Kloten Flyers - Lakers- : -24.11.SCL Tigers - Zoug- : -24.11.ZSC Lions - Davos- : -24.11.Ambri-Piotta - Lugano- : -

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Frei: «C’est beau de pouvoir choisir quand arrêter»

Football

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L’attaquant vedette suisse de ce début de XXIe siècle s’explique sur les raisons qui l’ont conduit à annoncer sa retraite.
Interview: Renaud Tschoumy. Mis à jour le 15.11.2012

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1/17Alex Frei lors de sa période lucernoise en 2000.
Image: Keystone





Heusler: «Un œil qui rit, un œil qui pleure»

Le président du FC Bâle Bernhard Heusler n’était pas le moins ému quand Alex Frei s’est exprimé hier en début d’après-midi. «Je prends congé d’Alex avec un œil qui rit, parce qu’on a convenu qu’il resterait actif au sein de la formation du club, dans un rôle encore à déterminer. Mais l’autre œil pleure, parce que la première équipe perdra un grand joueur et, surtout, une personnalité attachante. Tous deux, nous savons ce que l’on a vécu ensemble. Il m’a annoncé sa décision dimanche, quand l’équipe était à Chiasso pour son match de Coupe. Je ne peux pas parler de coup de tonnerre qui s’est abattu sur moi, dans la mesure où on discutait souvent avec Alex. Et puis, un joueur de son niveau a bien le droit de choisir le moment où il arrêtera sans que l’on cherche à le faire revenir sur sa décision.»
Super League

15e Journée

03.11.FC Bâle - Young Boys2 : 003.11.Grasshoppers - Lausanne1 : 104.11.FC Lucerne - Servette1 : 104.11.FC Thoune - FC Zurich1 : 404.11.FC St.Gall - Sion0 : 3État: 04.11.2012 17:49
Classement

NomJVNDButsP1.Grasshoppers15103221:12332.FC St.Gall1594221:11313.Sion1584323:16284.FC Bâle1576225:15275.Young Boys1445522:17176.FC Zurich1545619:20177.FC Thoune1542916:23148.Lausanne1535711:19149.FC Lucerne1434714:211310.Servette15141011:297État: 04.11.2012 17:55
16e Journée

17.11.Lausanne - FC Thoune- : -17.11.FC Zurich - FC Lucerne- : -18.11.Servette - Sion- : -18.11.Young Boys - FC St.Gall- : -18.11.FC Bâle - Grasshoppers- : -

Alexander Frei, vous annoncez ce jeudi, à 33 ans, que vous mettrez un terme à votre carrière à la fin de la saison 2012-2013. Par quoi avez-vous été poussé?
Il y a plusieurs raisons. D’abord, je sens qu’il devient de plus en plus difficile de m’entraîner deux fois par jour et de disputer trois matches par semaine. Et puis, l’arrivée de ma fille l’été dernier (ndlr: la petite Lia est née à fin juin) a modifié ma perception des choses. Je sentais dans mon ventre que c’était le moment pour moi de prendre cette décision. Or, mon ventre ne m’a jamais trahi au cours de ma carrière. La seule fois où j’ai écouté ma tête plutôt que mon ventre, c’était pour arrêter de jouer en équipe nationale. Après coup, je me suis dit que je ne commettrais pas l’erreur une deuxième fois. C’est beau de pouvoir choisir quand arrêter.
Ressentez-vous déjà une certaine forme de nostalgie?
Non, puisque je vais encore vivre beaucoup d’émotions d’ici à la fin de la saison. Je me réjouis de participer à mon dernier camp de préparation en janvier. Et j’ai encore quelques objectifs. Par exemple, aider mon ami Marco Streller à devenir le meilleur buteur du championnat, en réussissant à décrocher le titre et, pourquoi pas, une nouvelle Coupe.
Si vous regardez dans votre rétroviseur, pourriez-vous qualifier votre carrière de parfaite?
En fonction de ce que Dieu m’a donné comme dons, oui. J’ai croisé beaucoup de joueurs qui sont plus talentueux que moi. Mais moi, avec mes moyens, j’ai su me frayer un chemin, de Thoune à Bâle en passant par Lucerne, Servette, Rennes et Dortmund. Alors oui, en fonction de ces critères, je crois pouvoir dire que ma carrière peut être une forme d’exemple.
Comment vous sentez-vous, maintenant que la nouvelle a fait le tour du pays?
Je me sens très serein, comme libéré d’un poids. Lorsque j’ai annoncé ma décision au président Bernhard Heusler, dimanche, j’étais sûr de ne plus pouvoir dormir. Mais c’est le contraire qui s’est produit : j’ai passé d’excellentes nuits. C’est la preuve que mon choix était le bon.
Parvenez-vous à sortir un seul de tous les souvenirs qui ont jalonné votre carrière?
Non, impossible. Même quelques-uns, ce serait trop difficile. Ce que je retiens, ce sont les fantastiques liens d’amitié que j’ai tissés dans chacun des clubs par lesquels je suis passé.
Avez-vous déjà versé les larmes de la nostalgie?
(Il rit) Non, pas encore. Celles-là, elles arriveront probablement après mon dernier match, au printemps prochain.

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Même Sarkozy roulait pour Armstrong

Dopage

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Lance Armstrong bénéficiait de soutien dans la plus haute instance du cyclisme, mais aussi dans les sphères du pouvoir, comme «son proche ami», Nicolas Sarkozy.
Par Laureline Duvillard. Mis à jour à 11h56 11 Commentaires

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Lance Armstrong (à gauche) et Nicolas Sarkozy.
Image: AFP
«Même Astérix prenait de la potion magique...», déclare Nicolas Sarkozy alors qu'il reçoit Lance Armstrong pour un déjeuner à l'Elysée. Le coureur cycliste, qui se croyait invincible, a pu mener durant de nombreuses années sa petite entreprise de dopage, car il était protégé au sein des plus hautes sphères du cyclisme et de la politique. C'est ce que révèle jeudi une enquête menée par le Nouvel Observateur.
«Pour moi, le plus beau Tour de Lance, ce n'est pas l'une de ses sept victoires, mais sa troisième place, cette année, pour son magnifique retour!», déclare en 2009 l'ancien président de la République qui joue la carte de l'incrédulité.
Après quatre ans d'absence, le crack de l'EPO, remonte en selle cette année-là pour un Tour de tous les dangers, qui finira par causer sa chute. Infesté par les affaires de dopage, le milieu du cyclisme est sur les dents, multiplie les «descentes» de police et les contrôles. En 2008, comme le souligne l'hebdomadaire, «elles ont été nombreuses et spectaculaires dans les hôtels qui hébergent les coureurs».
L'ami Nicolas
L'année de son retour Lance Armstrong n'est pas inquiété. La magie du carnet d'adresses opère. Pourtant, des seringues sont trouvées dans les poubelles de l'équipe Astana qui possède aussi des kit de perfusion, du matériel banni par l'Agence mondiale antidopage. Une enquête préliminaire est ouverte par la vice-procureure de Paris, mais elle n'aboutit à rien. «Il ne fait aucun doute que les consignes ont été données en haut lieu pour ne pas embêter Armstrong», déclare dans l'hebdomadaire Michel Rieu, conseiller scientifique de l'Agence française de la Lutte contre le Dopage (AFLD).
Les relations du champion déchu qui se dit «grand ami» de Nicolas Sarkozy lui sauvent encore une fois la mise. Son ami Nicolas, amateur de vélo est également un de ses grands admirateurs, tout comme George W.Bush qui possède dans sa résidence «un de ses vélos dédicacés». En Amérique, et surtout dans son état d'origine, au Texas, «Big Tex» est vénéré, on le voit même futur gouverneur de l'Etat.
Sans compter que les exploits de Lance Armstrong, l'homme qui a miraculeusement vaincu un cancer en 1996, ont dopé le Tour de France. Le Texan lui a permis d'être diffusé à la télévision américaine et de lui faire gagner popularité et sponsors. Pour le cyclisme Lance Armstrong s'avère une manne, une «cash machine».
Celui qui pouvait tout acheter
Alors, forcément, la chute du champion serait douloureuse. L'Union cycliste internationale (UCI) choisit de le couvrir. En 2006, le coureur est blanchi de soupçons de dopages sur le Tour de 1999. «Big Tex» peut continuer son petit jeu, il n'est jamais inquiété. Sans problèmes, il se présente trop tard aux contrôles où échappe aux tests. Comme le note l'AFLD dans un rapport, des inspecteurs de l'UCI qui font partie du petit noyau au courant de ces contrôles inopinés, l'informent à l'avance.
Avant le Tour de 2009, le coureur refuse de se soumettre à un test, l'AFLD dénonce, via son ancien patron, l'UCI couvre une nouvelle fois son champion. Il faut dire que Lance Armstrong est généreux avec la plus haute instance du cyclisme. Il l'arrose de 25'000 dollars en 2002 et de 100'000 dollars en 2005 au titre de la lutte contre le dopage.
Car si Armstrong a des contacts, il a aussi beaucoup d'argent. Des dollars qui permettent d'acheter des «lots de Rolex à tous les soigneurs et masseurs» pour en faire ses complices ou d'offrir un vélo à 5300 euros à son ami Nicolas Sarkozy. Avec ses relations et ses billets, l'arrogant coureur bénéficie d'une totale impunité. Et gare à ceux qui veulent faire tomber le champion.
La chute de l'intouchable
Pierre Brodry l'ex-patron de l'AFLD est l'un d'eux. Il se bat pour mettre à jour les agissements du cycliste et lassé, est poussé à la démission. Armstrong aurait demandé la tête du gêneur à l'Elysée. Il a obtenu gain de cause. Pierre Brodry raconte au Nouvel Observateur, «il s'est vanté devant moi d'avoir réclamé ma tête au président. J'ai demandé un démenti à l'Elysée, même privé, je n'ai eu aucune réponse. J'étais consterné.»
L'ancien patron de l'AFLD aura pourtant sa revanche, grâce à l'enquête menée par l'Usada, l'agence antidopage américaine, qui surveille de près le coureur depuis le Tour de 2009. Et veut le faire tomber pour révéler au grand jour le scandale. L'Usada se rend en France en 2010, pour compléter son dossier, elle obtient aussi les confessions des ex-coéquipiers «repentis» du coureur.
Le système de Lance Armstrong, «The Boss» est mis à jour. Le dopage de l'équipe était extrêmement bien rôdé. Tout le monde suivait sans broncher son leader «Lance a toujours exercé une forme de brutalité pour se faire craindre...» confie à l'hebdomadaire un ancien coureur. L'arrogance du champion a rendu sa chute en octobre encore plus frappante. Et cette fois, l'intouchable aura de sérieuses difficultés à se remettre en selle.

ce que je rigole la vais manger . Après vais vous mettre un peu de ?Comment dire................... Dodo Cinquante tu vas mal le prendre

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Shaqiri offre un (petit) succès à la Suisse pour terminer 2012

14.11.2012 20:13 mise à jour le 15.11.2012 à 09:42
Les Helvètes terminent l'année en signant un sixième succès en neuf matches. [STEFFEN SCHMIDT - Keystone]


Pour sa dernière sortie de l'année, l'équipe de Suisse a décroché un succès heureux 2-1 en Tunisie grâce à un but de Shaqiri à la 96e minute (!). Loin de tutoyer les sommets, cette rencontre aura surtout été l'occasion pour Ottmar Hitzfeld de procéder à une revue d'effectif.
Un frappe puissante de Xherdan Shaqiri à la... 96e a offert à la Suisse la victoire 2-1 en Tunisie, dans son dernier match de l'année. Cet amical à Sousse a permis à la sélection d'Ottmar Hitzfeld de conclure 2012 sur un excellent bilan de six succès, un nul et deux défaites.
La prudence oblige l'observateur à se montrer mesuré au moment de dresser le bilan d'un match amical. Car, nonobstant les discours résolument conquérants de veille de rencontre, l'absence d'enjeu direct force irrémédiablement les joueurs à ne pas donner leur maximum.
Impossible toutefois de ne pas se dire que les habituels remplaçants Reto Ziegler et Blerim Dzemaili n'ont pas vraiment marqué des points en vue de s'imposer dans le onze de base de Hitzfeld. Le Vaudois s'est cependant déclaré satisfait de sa prestation, eu égard à ses douleurs dorsales (il craint une hernie). "Je ne voulais pas laisser passer cette chance, explique-t-il, alors je suis venu et j'ai joué en serrant les dents."
Inler manque un penalty

Yann Sommer a lui presque fait tout juste, dans son duel à distance avec Marco Wölfli pour le rôle de doublure attitrée de Diego Benaglio dans les buts. Le Bâlois, admirable de par sa lecture du jeu et donc toujours excellent dans ses sorties, n'est malgré tout pas exempt de tout reproche sur l'égalisation de Dhaouadi à la 59e, d'une frappe plutôt molle prise de plus de 20 mètres.
Derdiyok a ouvert le score de la tête à la 40e minute. [STEFFEN SCHMIDT - Keystone]La Suisse avait jusque-là correctement fait son travail, sans briller mais sans trembler. Tout au plus avait-elle connu quelques difficultés dans les vingt premières minutes pour contenir un Oussama Darragi très en jambes en début de partie. Elle aurait ainsi pu prendre l'avantage à la 18e déjà, bénéficiant d'un penalty que Gökhan Inler - qui avait réussi dans cet exercice face à l'Albanie - manquait devant Mathlouthi.
Le 1-0 est tombé plus tard, à la 40e, sur un subtil coup franc de Tranquillo Barnetta pour la tête d'Eren Derdiyok, auteur de son 8e but en 44 sélections, son premier depuis son triplé de mai contre l'Allemagne et, donc, son premier de la saison club y compris.
Ottmar Hitzfeld heureux

A noter l'entrée dans le stade de son enfance de Nassim Ben Khalifa à la 72e, celle de son compère néophyte de GC Izet Hajrovic à la 84e et l'expulsion de Bedaoui à la 74e.
"Nous avons progressé offensivement, nous n'avons pas encaissé beaucoup de buts, nous sommes devenus constants dans les matches amicaux et, le plus important, nous affichons dix points en quatres rencontres qualificatives", s'est félicité Hitzfeld. La victoire en Tunisie a terminé de satisfaire le sélectionneur. "Nous nous sommes battus jusqu'au bout pour la victoire. Ce fut une rencontre passionnante."
La suite du programme de l'équipe de Suisse passe par un nouveau match amical, début février en Grèce. Un ultime test avant la reprise des choses sérieuses, la 5e journée des éliminatoires du Mondial 2014 à Chypre en mars.