Toutes New sportives autres que la moto

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Une université retire à Armstrong un diplôme d'honneur

© belga.
L'Université américaine Tufts, dans le Massachusetts, a retiré à Lance Armstrong le diplôme d'honneur de docteur en lettres humaines qui lui avait été attribué en 2006 après la perte par l'ancien cycliste de ses sept victoires dans le Tour de France pour dopage.
© afp.
La décision de retrait a été prise à l'unanimité en novembre par le conseil d'administration, a indiqué mercredi à l'AFP une porte-parole de Tufts.

"Même si le conseil d'administration (de Tufts) continue de respecter le travail considérable de la Fondation Lance Armstrong (NDLR: qui a récemment changé de nom après le retrait total d'Armstrong), l'Université a conclu (...) que les actions de M. Armstrong en tant qu'athlète sont incompatibles avec ses valeurs", a indiqué Mme Kim Thurler, directrice des relations publiques.

Tufts University est un établissement universitaire privé d'environ 10.000 étudiants situé à Medford (Nord-Est), qui est très réputé aux Etats-Unis, notamment pour son programme de relations internationales.

Armstrong a été radié à vie du sport de compétition par l'Usada, l'agence antidopage américaine, qui a invalidé tous ses résultats depuis le 1er août 1998, dont ses sept succès au Tour de France (1999-2005). Une décision confirmée par la Fédération internationale de cyclisme (UCI).

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Un dirigeant du FC Porto se suicide au stade du "Dragão"

Triste nouvelle pour Steven Defour et ses coéquipiers du FC Porto.© photo news.
Selon "Record", Mesquita Alvares s'est suicidé au stade du FC Porto en se tirant une balle dans la tête.
Triste nouvelle pour le FC Porto. Mesquita Alvares, directeur de "Porto Comercial", une entreprise liée au club portista, a été retrouvé mort dans le stade du "Dragão" mardi dernier.

Selon les premières informations rapportées par le journal "Record", un revolver a été retrouvé près du corps de Mesquita Alvares.

Selon l'entourage de Mesquita Alvares, il traversait une période difficile dans sa vie privée. Les autorités ont ouvert une enquête.

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Buys qualifiée pour la finale du 100m dos

© belga.
Kimberly Buys s'est qualifiée pour la finale du 100m dos des Championnats d'Europe de natation en petit bassin, jeudi après-midi à Chartres en France. Elle a réalisé le 7e temps des demi-finales.
La nageuse du Brabo a pris la 3e place de la première des deux courses, en 58.43 secondes. Elle a nagé moins vite qu'en séries du matin, quand elle avait pulvérisé son record de Belgique en réalisant le 2e temps des engagées en 58.15 secondes.

C'est l'Ukrainienne Daryna Zevina qui a remporté la course et réalisé le meilleur temps des demi-finales, en 57.10 secondes. La Néerlandaise Kira Toussaint, auteur du meilleur temps des séries, passe en finale avec le 2e temps en 57.16 secondes. La finale aura lieu vendredi en soirée.

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Le Cléac'h, toujours 1er, a creusé l'écart

Vendée Globe

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Le Français devançait jeudi soir ses compatriotes François Gabart et Vincent Riou, longeant les côtes brésiliennes dans des vents de sud-est d'une douzaine de noeuds.
Mis à jour il y a 8 minutes

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Armel Le Cléac'h en tête du Vendée Globe jeudi soir.
Image: AFP



Inexorablement, l'écart se creusait entre le Finistérien Armel Le Cléac'h, 2e du Vendée Globe 2008-2009, et ses poursuivants. Le Vaudois Bernard Stamm (4e), un peu décalé dans l'est, marquait ainsi le pas et n'était pas loin jeudi soir d'être rattrapé par Jean-Pierre Dick (5e). Son retard sur Le Cléac'h était de 66,4 milles jeudi à 20h (44,4 milles 24 heures auparavant). Le Genevois Dominique Wavre pointait quant à lui au 8e rang, à plus de 250 milles du leader.
«On descend dans l'alizé du sud-est, tranquillement, a déclaré Le Cléac'h. Toujours en bâbord amure. C'est quand même assez cool depuis quelques jours et il nous faudra encore quelques jours pour contourner l'anticyclone de Sainte Hélène. Entre l'entretien du bateau et la météo, j'ai attaqué un premier roman policier, a-t-il ajouté. Je lis quelques pages et ça me permet de m'endormir. (...) J'économise de l'énergie pour la suite car dans une dizaine de jours on va attaquer la montagne, les premiers cols», les mers énormes du Grand Sud.
Stamm, 4e
Quatorze monocoques Imoca de 60 pieds (18,28 m) restaient en course jeudi soir. Marc Guillemot (Safran), Kito de Pavant (Groupe Bel), Louis Burton (Bureau Vallée), Samantha Davies (Savéol), Jérémie Beyou (Maître CoQ) et Zbigniew Gutkowski (Energa) ont déjà abandonné.
Vendée Globe. Classement jeudi à 20h: 1. Armel Le Cléac'h (Fr), Banque Populaire, à 20'796,3 milles de l'arrivée. 2. François Gabart (Fr), Macif, à 54,8 milles du premier. 3. Vincent Riou (Fr), PRB, à 61,7 milles. 4. Bernard Stamm (S), Cheminées Poujoulat, à 66,4 milles. 5. Jean-Pierre Dick (Fr), Virbac-Paprec 3, à 71,8 milles. 6. Alex Thomson (GB), Hugo Boss, à 90,1 milles. Puis: 8. Dominique Wavre (S), Mirabaud) à 268,7 milles.

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Corvée de couture pour Stamm qui recule au classement

Vendée Globe

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La traversée du Pot au Noir a fait quelques dégâts sur le bateau de Bernard Stamm.
Mis à jour à 20h35

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Le bateau de Bernard Stamm a subi quelques dégâts.
Image: AFP
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• Un cinquième abandon au Vendée Globe

Le Vaudois a dû sortir sa boîte à outils, notamment son matériel de couture, pour réparer son génois. Du bricolage qui lui a coûté du temps et qui l'a fait reculer d'une place au classement (5e à 101,7 milles du leader).
La course est toujours menée par le Français Armel Le Cléac'h, dont l'avance sur son compatriote François Gabart s'est stabilisée (54,3 milles) par rapport à la veille. Le Genevois Dominique Wavre, 9e, a lui aussi perdu un rang.
Vendée Globe. Les positions vendredi à 20h00: 1. Armel Le Cléac'h (Fr/Banque Populaire) à 20 563 milles de l'arrivée. 2. François Gabart (Fr/Macif) à 54,3 milles du leader. 3. Vincent Riou (Fr/PRB) à 73,4. 4. Jean-Pierre Dick (Fr/Virbac-Paprec 3) à 86,8. 5. Bernard Stamm (S/Cheminées Poujoulat) à 101,7. Puis: 9. Dominique Wavre (S/Mirabaud) à 363,2. 14 bateaux encore en course.

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La Seleção décapitée: Mano Menezes viré!

Football

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Le Brésil n'a plus de sélectionneur, à un an et demi de «sa» Coupe du monde.
Mis à jour à 20h26

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Mano Menezes.
Image: AFP




Mano Menezes, en poste depuis le 24 juillet 2010, a été démis de ses fonctions vendredi, rapporte la presse brésilienne. Le technicien de 50 ans avait succédé à Dunga après l'élimination du Brésil en quarts de finale du Mondial 2010 contre les Pays-Bas.
Il avait un contrat qui courait jusqu'à la prochaine Coupe du monde, qui sera organisée en 2014 au Brésil. Autant dire que la pression qui pèsera sur son remplaçant sera énorme.
Menezes a eu tout loisir de s'en rendre compte. Très critiqué depuis l'élimination de la Seleçao en quart de finale de la Copa America 2011, il n'a pas redoré son image après l'échec de la sélection brésilienne qu'il dirigeait lors des JO 2012 de Londres. Et ce ne sont pas les récents résultats des matches amicaux de novembre - nul 1-1 contre la Colombie et défaite 2-1 en Argentine - qui ont faire taire les critiques.
Celui dont le vrai nom est Luiz Antonio Venker Menezes avait auparavant entraîné Grêmio de 2005 à 2007, année où il avait conduit le club en finale de la Copa Libertadores perdue contre Boca Juniors. Il a ensuite dirigé les Corinthians, avec lesquels il a remporté la Coupe du Brésil en 2009.
Une conférence de presse est prévue plus tard dans la soirée, à Sao Paulo, pour confirmer cette décision.

Suite demain bonne nuit les copains

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Schürmann: «Ce qui compte c'est l'égo de l'équipe»

Interview

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Nouvel entraîneur du FC Sion, Pierre-André Schürmann insiste sur les vertus du groupe, essentielles à ses yeux. Il cherche à gommer les intérêts personnels pour mieux mettre en valeur les qualités collectives.
Par Nicolas Jacquier. Mis à jour il y a 33 minutes

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Image: Sedrik Nemeth
Près d’un mois après votre arrivée, vous vivez toujours à l’hôtel, à Martigny. Prendrez-vous le risque de déménager en Valais?
On verra par la suite. Je m’identifie déjà avec l’endroit. Je n’exclus pas de m’en rapprocher, mais, pour l’instant, je ne me prends pas la tête avec ça.
Avez-vous dû faire des concessions à vos principes avant d’accepter l’aventure?
Non, les règles étaient claires. J’avais suivi des matches, il était important de connaître le championnat par cœur. Je suis un entraîneur, je ne suis pas un dépanneur dans le court terme. Christian (ndlr: Constantin) sait que je veux m’inscrire dans la continuité.
Lors d’une première approche, plus ancienne, la rumeur affirme que vous auriez cherché à inclure dans votre contrat une clause interdisant à votre président de venir dans les vestiaires. Est-ce vrai?
C’est faux. Tous mes présidents sont toujours venus dans les vestiaires. Ce sont quand même eux les patrons. Alors pourquoi pas Christian? Je le respecte aussi pour cela.
Quel regard portez-vous sur l’évolution du football par rapport à celui que vous avez connu comme joueur? En quoi le milieu a-t-il le plus changé?
L’environnement a pris une importance qu’il n’avait pas, avec une multiplication des intervenants potentiels. C’est devenu un vrai business. La chose la plus importante dans le football reste le football. Pourtant, on parle de moins en moins du jeu pour se focaliser souvent sur d’autres aspects, plus anecdotiques. Moi, je reste branché foot 24 heures sur 24. (Rires.)
Trois matches, trois succès, bingo, c’est du 100% de réussite…
Le travail s’effectue mieux quand on gagne que l’inverse, mais le passé n’apporte aucun point. Dans mon approche, je demande une mentalité, une persuasion d’être conquérant. La compétition, c’est davantage une question mentale que technique. Cela nécessite une responsabilisation des joueurs, un investissement de leur part. Je serai intraitable sur ces aspects-là.
Sur le terrain, au boulot, c’est «tu» ou c’est «vous»? Quelle est la nature du contrat qui vous lie les uns aux autres?
La considération est la base du fonctionnement. Cela peut aussi se traduire par le regard, une main effleurée, une intonation, une confiance partagée. Concrètement, je tutoie plus les joueurs qu’eux-mêmes ne me tutoient. Le progrès du groupe passe par le développement individuel. Si chacun gagne 10%, je vous laisse calculer dans quelles proportions cela profite à Sion. Pour faire ressortir le caractère d’un groupe, il faut bannir les ego de ceux qui le composent. C’est l’ego de l’équipe qu’il faut privilégier. A Barcelone, Messi n’a pas d’ego. Il est au service de l’équipe même quand il pense à lui.
Après votre éviction de NE Xamax, vous avez disparu de la circulation, vous n’existiez médiatiquement plus. Comment avez-vous vécu cet oubli?
Ce n’était pas évident. Cela ébranle, fait l’effet d’un petit tsunami dévastateur. Après Neuchâtel, ma famille a plus souffert de ce que j’ai moi-même pu souffrir. Le plus dur, c’était pour elle. C’était comme si je la pénalisais. J’ai pu voir où étaient mes vrais amis. Je suis resté dans le football, en éveil, sans avoir d’équipe. Mais je ne suis pas un type à ruminer, j’ai pardonné.
L’entraîneur Schürmann est-il le même que celui de ses débuts, sur le banc du FC Wil?
L’homme, oui; l’entraîneur, non. Avant on ne faisait qu’entraîner. Aujourd’hui on doit multiplier les rôles, s’investir dans d’autres domaines comme la psychologie ou la gestion des individus. Ce n’est pas un hasard si des multinationales invitent souvent des coaches pour que ceux-ci puissent témoigner de leur expérience (…).En même temps, cela demeure un spectacle. Comme un directeur de théâtre, on y joue parfois la comédie.
On a le sentiment que le pouvoir que représentait l’entraîneur s’est déplacé au profit des joueurs…
J’ai besoin d’eux comme eux ont besoin de moi pour avancer. C’est cet équilibre fragile qu’il faut trouver puis maintenir. Le coach est là pour rendre le groupe qu’on lui confie performant. Les joueurs doivent sentir que je m’investis pour eux; en retour, ils ont des devoirs de performance. Il faut être à leur écoute comme eux le sont aussi par rapport à moi, savoir être proche d’eux tout en con-servant une distance afin de pouvoir prendre du recul. Vivre du football, avoir choisi d’en faire sa profession est un privilège qui implique des obligations vis-à-vis des supporters, des sponsors.
Ne redoutez-vous pas d’être pris un jour en otage par vos joueurs comme certains de vos collègues l’ont été?
Je ne pense pas à ça, j’ai confiance. Même si l’on me dit parfois de plus penser à moi, je suis comme ça. J’ai besoin de cette générosité. On puise dans l’échange une richesse incroyable.
Au fond de vous-même, vous vous dites quoi par rapport à votre job? «D’autres ont craqué, mais moi, regardez, je vais tenir»…
Je ne suis pas là pour tenir mais pour faire mon travail. Je ne suis pas un entraîneur Kleenex. J’ai un objectif à atteindre et, comme je ne suis pas un louvoyeur, j’aime la voie directe…
On vous connaît comme étant un sacré bosseur, mais on vous présente aussi parfois comme étant un brin paranoïaque. Qu’en est-il?
J’aime l’excellence, je me considère plutôt comme un perfectionniste. Si je suis comme ça, c’est parce qu’il faut l’être. On a trop tendance à négliger les petits détails. Et, quand on connaît leur importance, on ne les oublie pas!
Joueur déjà, vous adoptiez une posture très caractéristique qui n’a pas changé. On vous voit toujours foncer, le torse bombé en avant. D’où cela vient-il?
C’est mon dos, je vis avec. Deux vertèbres sont mal positionnées (il souffre d’une discopathie L5-S1). J’ai pu éviter l’opération quand celle-ci s’est faite naturellement, avec l’aide du Bon Dieu.
Un FC Sion qui bombe le torse, couronné champion de Suisse au printemps sous votre direction, c’est…
… possible! Ce serait la preuve que l’on a franchi toutes les étapes de ce que l’on met en place. Et ce parcours, on ne pourra le réussir qu’en équipe. La clé, c’est nous qui la détenons.

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FR Gottéron fait chuter GE Servette

HOCKEY SUR GLACE

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Grâce à un fantastique Benjamin Conz dans les ses buts, FR Gottéron a battu les Genevois.
Par agence. Mis à jour le 23.11.2012 3 Commentaires

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Benjamin Conz a été impressionnant dans la cage fribourgeoise.





Pour ce troisième derby romand lors de la 24e journée, Fribourg a fait tomber le leader chez lui (3-0) pour la deuxième fois de la saison.
Chaque derby Genève-Fribourg a eu son héros. Cody Almond avait été consacré lors du premier et Kevin Romy avait dominé le deuxième. Pour ce troisième épisode de la saga genevo-fribourgeoise, c’est le portier des Dragons Benjamin Conz qui mérite les éloges pour sa superbe performance et le premier blanchissage de sa saison.
Lors du premier tiers, les Fribourgeois ont su profiter des nombreuses punitions récoltées par les Genevois. Nervosité après leur première défaite à domicile subie samedi dernier face à Kloten? Peut-être. Par trop indisciplinés, les hommes de Chris McSorley ont offert trop d’opportunités à Gottéron. Et lorsqu’à la 12e, Joel Kwiatkowski s’est retrouvé à la bleue en double supériorité numérique, le défenseur canadien n’a pas manqué de fusiller Tobias Stephan.
Manquant de tranchant et d’énergie en fore-checking, les Servettiens ont laissé les visiteurs dicter le rythme. Et à trop laisser d’espace à un Julien Sprunger, on en paie les conséquences. Parfaitement servi par le numéro 86, Andrei Bykov a pu donner deux longueurs d’avance aux Dragons. «On a suivi le plan, analyse l’entraîneur fribourgeois Hans Kossmann. Nous avons tenté de neutraliser au mieux leur vitesse et de les empêcher de développer ce jeu énergique qui les a placés en tête du classement. Et puis Conz a été le facteur X, l’élément qui nous a permis de mener à bien notre opération. Il a mérité ce blanchissage compte tenu de ses performances cette saison.»
Les Genevois ont attendu la 35e minute pour sortir de leur torpeur. Couture a tout d’abord testé les réflexes de Conz, puis moins de trente secondes après, Bezina a trouvé le poteau droit du Jurassien lors d’un 4 contre 3, avant que Picard ne bute sur le portier fribourgeois. Le début de la troisième période donna encore l’occasion à Conz de faire étalage de sa classe, notamment à la 44e minute devant Fata et Romy. Frustrés, les Grenat ont même essayé de sortir leur gardien lors d’un 5 contre 3, mais il était écrit que ce troisième derby n’échapperait pas aux hommes de Hans Kossmann.
Pour le Genevois Paul Savary, envoyé devant la presse, Genève peine à retrouver son hockey d’avant la pause de l’équipe nationale. «Nous avons réussi un excellent match à Zoug, mais nous devons impérativement retrouver cette confiance technique qui nous fait aujourd’hui défaut.»
Les deux équipes auront la possibilité d’appliquer sur le champ ces bonnes paroles puisqu’elles se voient opposées une deuxième fois ce week-end (aujourd'hui, 19h45). Des retrouvailles qui n’émeuvent pas Hans Kossmann: «Il faudra jouer avec la même intelligence et ne jamais Genève reprendre l’ascendant dans le jeu.»

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Le HC Bienne et FR Gottéron gagnent

Hockey sur glace

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Le HC Bienne a fait un joli pied de nez à son prestigieux voisin lors du 100e derby cantonal, au programme de la 24e journée de LNA. Et Fribourg a fait tomber Ge Servette chez lui.
Mis à jour le 23.11.2012 1 Commentaire

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Image: Keystone
LNA

24e Journée

13.11.Lugano - Ambri-Piotta5 : 223.11.CP Berne - Bienne2 : 423.11.Lakers - Kloten Flyers6 : 423.11.Zoug - SCL Tigers6 : 223.11.Davos - ZSC Lions1 : 323.11.Genève-Servette - Fribourg-Gottéron0 : 3État: 23.11.2012 22:08
Classement

NomJVN+N-DButsP1.Genève-Servette241522581:56512.ZSC Lions261152878:67453.Zoug241123882:74404.Fribourg-Gottéron23863670:59395.Bienne241032980:79386.CP Berne231112968:56377.Lugano23916780:68358.Kloten Flyers24843973:71359.Lakers249221172:963310.Davos2 3743974:713211.Ambri-Piotta236121458:842212.SCL Tigers213231348:8316État: 23.11.2012 22:10
25e Journée

24.11.Bienne - CP Berne- : -24.11.Fribourg-Gottéron - Genève-Servette- : -24.11.Kloten Flyers - Lakers- : -24.11.SCL Tigers - Zoug- : -24.11.ZSC Lions - Davos- : -24.11.Ambri-Piotta - Lugano- : -


Pour ce troisième derby romand lors de la 24e journée, Fribourg a fait tomber le leader chez lui (3-0) pour la deuxième fois de la saison. Chaque derby Genève-Fribourg a eu son héros. Cody Almond avait été consacré lors du premier et Kevin Romy avait dominé le deuxième. Pour ce troisième épisode de la saga genevo-fribourgeoise, c'est le portier des Dragons Benjamin Conz qui mérite les éloges pour sa superbe performance et le premier blanchissage de sa saison.
19 buts
La victoire 4-2 de Bienne chez le CP Berne porte la marque de l'inévitable Tyler Seguin. Auteur d'un hat-trick, la star des Boston Bruins a littéralement battu les Ours a lui tout seul. Il compte désormais 19 buts en autant de matches sous les couleurs seelandaises. Son compère Patrick Kane des Chicago Blackhawks a lui marqué le 1-4 (46e) alors que Jacob Micflikier a signé deux assists, dont un très beau sur le 0-2. Berne n'a de son côté jamais semblé dans le coup, à l'image d'un Ivo Rüthemann dont la perte du puck a offert un boulevard à Seguin pour l'ouverture du score en infériorité numérique (7e). Malgré un sursaut en début de période intermédiaire, les joueurs de la capitale n'ont pas réussi à emballer le match.
Stoppé dans son élan
Vainqueur de sept de ses neuf dernières rencontres, Davos a été stoppé dans son élan par une fringante formation zurichoise (1-3). Les Lions ont pris la direction des opérations dès la 21e seconde du match par Andres Ambühl. A noter les deux passes décisives réussies par le capitaine Mathias Seger, toujours aussi précieux offensivement (21 points depuis le début de l'exercice).
Kloten surpris
Une entame de match catastrophique et un Ronnie Rüegger hésitant ont précipité la défaite des Aviateurs sur la glace de Rapperswil (6-4). Michael Del Zotto, le transfuge des New York Rangers, a inscrit son premier but en LNA après moins d'une minute de jeu. Le retour de Kloten à 4-3 puis à 5-4 a un temps laissé planer le doute sur l'issue de la rencontre, mais les St-Gallois ont tenu bon. Cela faisait trois ans qu'ils n'avaient plus triomphé des Flyers !

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Marc Berthod ne prendra pas le départ

Coupe du monde

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Blessé à la hanche, Marc Berthod ne s'alignera pas ce week-end à Lake Louise (Can).
Mis à jour le 23.11.2012

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Image: Keystone
Le Grison de 28 ans, qui devait concourir avec Sandro Viletta et Daniel Albrecht pour une place dans le portillon de départ de la descente de samedi, s'est plaint de douleurs à l'entraînement. Il est également contraint de renoncer au super-G de dimanche.
«Ca n'a aucun sens de prendre des risques en ce moment. Je vais pouvoir me concentrer pleinement sur les prochaines épreuves de Beaver Creek (dans deux semaines)», a expliqué Berthod, qui s'était blessé dimanche passé au cours d'un entraînement de géant à Vail (EU).