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Sport
Golf: Tiger Woods remporte le championnat PGA, son 13e titre du Grand Chelem

L'Américain Tiger Woods a remporté dimanche pour la quatrième fois et la deuxième consécutive le championnat PGA de golf, pour son 13e titre du Grand Chelem qui le place à cinq longueurs seulement du record de 18 titres majeurs de Jack Nicklaus.
Tiger Woods remporte le championnat PGA de golf le 12 août 2007 à Tulsa

TULSA (AFP) - 13 août 2007 | 07H02


Le numéro un mondial, en présence de sa fille Sam Alexis née en juin dernier, a du repousser la menace de son compatriote Woody Austin et du Sud-Africain Ernie Els pour finalement s'imposer avec deux et trois coups d'avance.

En tête depuis un éblouissant 63 le deuxième jour, Tiger Woods, qui abordait la dernière journée avec trois longueurs d'avance sur le Canadien Stephen Ames, finalement 12e à dix coups, s'est contenté d'une carte de 69, un sous le par du parcours, un résultat suffisant pour maintenir Woody Austin (67) et Ernie Els (66) à distance.

"Je savais qu'il allait essayer de venir me chercher, mais j'étais toujours en tête", a souligné Woods, qui n'a pas encore perdu un seul titre du Grand Chelem après avoir abordé en tête la dernière journée.

Le voilà maintenant à portée de tir du record de Jack Nicklaus, qu'il devrait battre un jour ou l'autre. "Mais même si j'en suis à 13, le record (18) reste encore loin", a-t-il toutefois estimé.

Le championnat PGA était le 44e tournoi majeur que disputait Tiger Woods depuis le début de la carrière professionnel pour donc un total de 13 victoire. Ce qui lui donne un petit avantage sur Jack Nicklaus qui, pour en arriver à ce stade, avait du disputer 53 tournois du Grand Chelem.

"Cela va prendre du temps. Il a fallu à Jack (Nicklaus) 20 ans pour y arriver (au record). Avec de la chance, si la santé le permet, que tout va bien et que je continue à m'améliorer, un jour je ferai mieux", a-t-il concédé.

En attendant le voilà, qui se rapproche des plus grands de l'histoire du golf. Son succès à Tulsa est le 59e sur le circuit PGA de sa carrière, ce qui le place déjà en 5e position à trois encablures d'Arnold Palmer et cinq de Ben Hogan. Sam Snead, le plus titré de l'histoire avec 82 victoires, et Nicklaus avec 73, sont beaucoup plus loin.

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Lopez Garcia gagne la 5e étape, Voigt fait le ménage

David Lopez Garcia.

Jens Voigt.

Le coureur espagnol David Lopez Garcia, de l'équipe Caisse d'Epargne, a remporté la 5e étape du Tour d'Allemagne (ProTour), une étape de montagne de 157,6 km reliant Sonthofen à Sölden (Autriche), dont l'arrivée était jugée au sommet du Rettenbachferner, un col hors-catégorie. Lopez Garcia s'est imposé avec 12 secondes d'avance sur l'Allemand Jens Voigt, leader du classement général, et le Néerlandais Robert Gesink. Wim Van Huffel (Predictor-Lotto) a terminé 12e et 1er Belge, devant Maxime Monfort (Cofidis), 13e de l'étape et 10e du général.

Jens Voigt a lessivé la concurrence, profitant de la redoutable arrivée au sommet à plus de 2600 m d'altitude pour lâcher ses principaux rivaux. S'il a laissé la victoire d'étape à l'Espagnol David Lopez Garcia pour douze secondes, Voigt est le grand gagnant de la journée, bien parti pour glaner son deuxième succès consécutif dans l'épreuve.

En difficulté la veille dans un col de 2e catégorie, Voigt, maillot jaune depuis la victoire de sa formation CSC dans le contre-la-montre par équipes samedi, a remis les choses à plat dans la rampe de 11 km menant au pied du glacier de Rettenbach. L'Allemand, plutôt puncheur que grimpeur, a dicté le tempo pour se défaire d'abord de son compatriote Linus Gerdemann, grand espoir de l'équipe T-Mobile en pleine déroute pour finalement accuser cinq minutes de retard sur la ligne d'arrivée.

A 3 km de l'arrivée, Voigt n'a pas réagi lorsque Lopez Garcia s'est extirpé au train du groupe des favoris réduit à neuf coureurs. Mais l'Allemand, vainqueur de trois étapes lors de son triomphe dans l'épreuve en 2006, a finalement contré dans les lacets avec des portions à 16% pour décrocher Leipheimer.

"J'étais bien aujourd'hui, je me suis caché au début de l'ascension, laissant les Discovery faire le boulot. Quand on m'a dit dans l'oreillette que Leipheimer ne suivait pas, cela m'a boosté", a-t-il expliqué. Débarrassé du 3e du Tour de France 2007, désormais à près d'1 min 30 sec au général, Voigt a ensuite écoeuré Damiano Cunego, vainqueur de la 4e étape la veille: l'Italien, vainqueur du Giro 2004, a certes amélioré son classement au général mais reste à plus de deux minutes de Voigt.

"Il y a maintenant deux étapes qui sont plutôt favorables aux sprinteurs. L'explication finale aura lieu vendredi lors du contre-la-montre: j'ai envie de penser que je suis en position favorable", a admis Voigt. A Fürth lors de la 8e étape sur 33,1 km, Voigt, 35 ans, peut redonner le moral à un cyclisme allemand qui n'arrive pas à se remettre du traumatisme causé par les affaires de dopage. (belga/afp)

Classement de la 5e étape:
1. David Lopez (Esp/Caisse d'Epargne) les 157,6 km en 4h21:07
2. Jens Voigt (All) 0:12;
3. Robert Gesink (P-B) 0:20;
4. Damiano Cunego (Ita) 0:33;
5. Laurens ten Dam (P-B) 0:46;
6. Leonardo Bertagnolli (Ita) 1:04;
7. Levi Leipheimer (USA) 1:10;
8. Christian Pfannberger (Aut);
9. Chris Sörensen (Dan) 1:29;
10. Josep Jufre (Esp) 1:43;
...

Classement général:
1. Jens Voigt (All/Team CSC) en 18h54:44
2. David Lopez (Esp) 0:33;
3. Robert Gesink (P-B) 1:14;
4. Chris Sörensen (Dan) 1:24;
5. Levi Leipheimer (USA) 1:31;
6. Leonardo Bertagnolli (Ita) 2:19;
7. Laurens ten Dam (P-B) 2:34;
8. Damiano Cunego (Ita) 2:48;
9. Davide Rebellin (Ita) 3:27;
10. Maxime Monfort 3:45;

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Le manager d'Unibet pessimiste sur l'avenir de son équipe

Koen Terryn, manager général de l'équipe Unibet.

L'avenir d'Unibet.com se décide sans doute mercredi soir en Suède. La formation cycliste belgo-suédoise du ProTour pourrait disparaître des pelotons. Koen Terryn, son manager général, se dit en tous les cas pessimiste sur l'issue de la réunion des responsables d'Unibet qui doivent décicer s'ils continuent d'investir dans le cyclisme.

"Oui, la possibilité existe de voir encore Unibet.com dans le peloton en 2008, mais franchement qui voudrait encore injecter 8 millions dans une équipe que l'on ne voit que trop rarement parce qu'elle est boycottée par les grands tours et les gens d'ASO et qui plus est met parfois un point d'interrogation sur son maillot parce qu'elle ne peut afficher le nom de son sponsor?", s'est interrogé Koen Terryn.

Koen Terryn ne mâche pas ses mots et reste très pessimiste sur la suite de sa formation, qui ne sera pas repêchée pour disputer la Vuelta, après le refus des organisateurs du Tour d'Espagne d'accepter Astana. "Si l'on décide demain (mercredi) en Suède de jeter l'éponge, ce serait une catastrophe. Nous avons encore une dizaine de coureurs sous contrat pour la saison prochaine. Attirer des sponsors est très difficile dans le climat actuel. Les affaires de dopage ont terni l'image du cyclisme. Qui serait encore assez fou pour investir en masse dans ce contexte?", a-t-il lancé.

Tu m'étonnes......................

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Federer gagne son 50e tournoi à Cincinnati

Le Suisse Roger Federer, N.1 mondial, a poursuivi sa route vers le titre de plus grand joueur de l'histoire du tennis en remportant le 50e tournoi de sa carrière, dimanche, à Cincinnati. A 26 ans, le N.1 mondial, et ce depuis février 2004, est devenu le 9e joueur de l'histoire le plus titré, grâce à son net succès face à l'Américain James Blake (N.9), 6-1, 6-4. A distance respectable de l'Américain Jimmy Connors (109). Professionnel depuis 1998, le natif de Bâle d'un père suisse et d'une mère sud-africaine n'a pas été un joueur au succès précoce.

Après un premier titre à Milan en 2001, il a enchaîné avec trois succès en 2002. Mais sa carrière a véritablement décollé en 2003, avec sept titres, dont le premier de ses 11 Grands Chelems à Wimbledon, où il n'a pas perdu depuis. Depuis 2004, il a remporté au moins 11 titres par saison et n'a pas été délogé de son trône, ni même inquiété, depuis. A partir du 27 août, le Suisse se lancera à New York à la conquête de son quatrième titre consécutif à l'US Open, ce qu'aucun joueur n'a réussi à faire depuis William Tilden dans les années 1920. Autant dire que la comparaison pour le Suisse se fait surtout avec les plus grands sportifs de l'histoire, et plus vraiment avec les joueurs de tennis.

"Ca fait vraiment plaisir d'être cité parmi des sportifs comme Tiger Woods, Michael Schumacher, Lance Armstrong. Même si je crois qu'il me faut encore trois ou quatre bonnes années pour pouvoir supporter la comparaison avec eux, c'est déjà très bien", s'est réjoui Federer, après sa démonstration en finale. Presque attendu la semaine dernière à Montréal, ce 50e titre s'était fait attendre lorsque le Serbe Novak Djokovic avait surpris son monde en dominant la finale. Pas vraiment habitué à répéter deux fois les mêmes erreurs, le Suisse, victorieux sur ce même court de l'Ohio en 2005, n'a cette fois laissé aucune chance à Blake, en quête du 10e titre de sa carrière et incapable de battre Federer lors de leurs six confrontations précédentes.

En 26 minutes, il a ainsi plié la manche initiale, contrôlant totalement la puissance de son rival, 8e joueur mondial. Dans la seconde manche, Blake, 26 ans, a résisté jusqu'à trois jeux partout, avant de céder sa mise en jeu au 7e jeu. Federer, qui a pourtant éprouvé les pires difficultés cette semaine, à l'image de sa demi-finale remportée au jeu décisif de la 3e manche face à l'Australien Lleyton Hewitt, a ensuite assuré en remportant ses deux mises en jeu pour conclure la partie sur un ace. Son prochain objectif "chiffré" est maintenant le record de victoires en Grand Chelem, détenu par l'Américain Pete Sampras (14). L'US Open pourrait le rapprocher avec un 12e titre.

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Foot: la France A', humiliée en Slovaquie (1-0), ne sera pas le plan B de l'Euro

L'équipe de France A', humiliée par son homologue slovaque (1-0) mardi, a écorné l'image des joueurs français alignés, qui, mis à part Lassana Diarra, n'ont pas montré le degré d'envie réclamé par Raymond Domenech en vue de l'Euro-2008 de football.
Le Slovaque Zdeno Strba (d) et le Français Jimmy Briant lors du match amical France-Slovaquie, le 21 août 2007 à Senec



La déprime fut totale pour ces A' quand une poignée de spectateurs ont scandé des "Materazzi! Materazzi!" moqueurs, juste avant la mi-temps après l'ouverture du score.

Le Slovaque Holosko s'est joué d'une défense fantomatique pour ouvrir le score (1-0, 30e), reprenant un ballon qu'il avait envoyé lui même sur le poteau. L'attaquant faisait déjà partie de l'équipe victorieuse de la France (A cette fois) en amical le 1er mars 2006 (2-1), première défaite de l'ère Domenech (celle ci, avec les A', ne comptera pas).

Au moment des hymnes (sur bandes enregistrées), l'Euro semblait déjà bien loin pour les A', à l'image de Djibril Cissé, regardant incrédule un stade qui n'avait pas fait le plein, et dont un côté était occupé par des cabanons d'été en bois, avec chaises en plastique et spectateurs torse nu...

La composition française au coup d'envoi permettait déjà de désigner ceux pour qui ce sera vraiment très dur de se convertir à l'Euro: les remplaçants, soit Réveillère, Mavuba, Piquionne, Z. Camara et Richert.

Mais pour certains titulaires, il faudra se faire pardonner. Que retenir? Lassana Diarra, plus petit sur le terrain, a évité un naufrage plus sévère, véritable poumon, hargneux et lucide. Il a dû se sentir bien seul.

Mathieu a tenté d'apporter sa jeunesse, mais son bagage limité a fait ressortir ses imprécisions. Mais au moins, le joueur du TFC n'aura pas rougir autant que Squillaci.

Le défenseur central fut le premier à donner confiance à une Slovaquie A' qui n'a pourtant rien d'une terreur. Boumsong, capitaine, n'a pu qu'imposer son physique pataud et peut plaider coupable sur le but slovaque.

Zebina, pour qui ce match comptait tant pour sortir "du placard", selon son expression, a terriblement manqué d'application. Et le duo d'attaque Trezeguet-Cissé fut aussi plongé dans les mêmes abysses.

Positionné en retrait, "Trezegol" a excellé dans les déviations. Mais était-ce vraiment sa place? Pour le reste, devant le but, il a été très mal servi.

Et Cissé a malheureusement donné des tonnes de grain à moudre à ses détracteurs, gâchant un florilège d'occasions, parfois immanquables comme cette balle qui ne demandait qu'à être piquée délicatement (13e). "Djib" a été sorti avant l'heure de jeu.

Heureusement pour ces A', Domenech a promis de ne pas juger sur un seul match.

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Automobilisme: Formule 1 / BMW-Sauber mise sur la continuité

BMW-Sauber misera sur les deux même pilotes que cette saison au cours du prochain championnat. Avec Robert Kubica et Nick Heidfeld, l'équipe germano-suisse jouera ainsi la carte de la continuité. En ce qui concerne les pilotes essayeurs, l'écurie n'a pas encore pris de décision.



La prolongation des contrats des deux pilotes est une décision plus que logique, tant ils ont rempli atteint les objectifs depuis le début de la saison en cours. "Nick et Robert ont réalisé de très grandes performances au cours de cette saison", a insisté le chef Mario Thobes. "Ils ont montré qu'il était possible d'établir BMW-Sauber comme la troisième puissance en Formule 1."

Pour Nick Heifeld: "la décision a toujours été claire. Je voulais continuer de piloter pour BMW-Sauber car c'est important pour moi de travailler dans une équipe en construction. Les progrès des deux dernières années me motivent énormément et je suis persuadé de pouvoir réaliser de belles choses au sein de cette écurie."

Kubica, qui dispute sa première saison complète de Formule 1, est encore en phase d'apprentissage: "Je suis depuis une année dans ce milieu et je suis sûr d'avoir accumulé passablement d'expérience. Malgré tout, j'apprends encore chaque jour grâce à cette équipe."

L'encadrement sera encore complété par l'embauche d'un pilote essayeur et d'un pilote remplaçant. Pour l'heure, aucun successeur à Sebastian Vettel n'a été désigné.

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AUTOMOBILISME - GP DE TURQUIE
Lewis Hamilton et Fernando Alonso: c'est l'heure des excuses générales

Jad Sherif
Hamilton et Alonso: «Nous, ennemis? Mais voyons... Ce ne sont que des inventions de journalistes...»

<B>Lewis Hamilton et Fernando Alonso ont fumé le calumet de la paix! Désormais, affirment-ils, les disputes sont terminées.

Luc Domenjoz - 24/08/2007
Le Matin </B>

L'affaire commençait à prendre des proportions insensées. Elle avait commencé à Monaco, lorsque l'écurie McLaren a fait rentrer Lewis Hamilton pour ravitailler plus tôt qu'il ne l'aurait voulu - ce qui lui fit manquer la victoire.
L'affaire hongroise
Par la suite, les tensions étaient devenues de plus en plus marquées au sein de l'écurie britannique. Depuis le GP d'Angleterre, Fernando Alonso a décidé de ne plus partager ses réglages avec Lewis Hamilton. Dès lors, les deux pilotes ne se sont plus adressé la parole, avant que survienne le GP de Hongrie, au cours duquel l'Espagnol a délibérément bloqué l'Anglais pendant que Ron Dennis, le patron de l'écurie, échangeait de copieuses insultes avec Lewis Hamilton dans la radio de bord...
Au cours des trois semaines de vacances qui suivirent ce difficile week-end hongrois, tout le monde eut le temps de réfléchir sur les événements.
Avant-hier, l'écurie a donc convoqué ses deux pilotes dans un grand hôtel d'Istanbul. Ron Dennis leur a parlé individuellement, avant de les réunir pour une séance d'excuses générales: «On s'est vu avec Ron et Fernando, explique Lewis Hamilton. On s'est dit: oublions tout ça et partons d'une feuille blanche. Je me suis excusé, Fernando s'est excusé, Ron s'est excusé, et on n'en parle plus. Ron nous a assuré que nous étions traités à égalité. Maintenant, nous avons un championnat à remporter, et tant Fernando que moi voulons désespérément le gagner.»
La faute... aux médias!
Selon le jeune Britannique, les journaux endossent une bonne part de responsabilité de sa querelle avec son coéquipier. «En Angleterre, tout le monde écrit que je suis en guerre contre Fernando. C'est faux. On est rivaux sur la piste, c'est tout. Si je gagne, c'est bien pour l'équipe, et s'il gagne, c'est bien pour l'équipe. Point final. Avec Fernando, nous ne sommes pas les meilleurs amis du monde, mais nous nous entendons assez bien. Hier encore, nous avons joué à la PlayStation ensemble... Bon, en Hongrie, ça allait mal, mais ce ne sera plus jamais le cas. Nous avons compris nos erreurs, et désormais tout ira mieux.»
Sans doute, mais seulement jusqu'à la prochaine chicane...


CHRONOS
Kurtöy (Tur). Essais libres du GP de Turquie F1
1. Räikkönen (Fin) Ferrari 1'27''988. 2. Massa (Bré) Ferrari 1'28''391. 3. Hamilton (GB) McLaren-Mercedes 1'28''469. 4. R. Schumacher (All) Toyota 1'28''773, 5. Trulli (It) Toyota 1'28,''874. 6. Alonso (Esp) McLaren- Mercedes 1'28''947. 7. Rosberg (All/Fin) Williams-Toyota 1'28''995. 8. Kovalainen (Fin) Renault 1'29''025. 9. Wurz (Aut) Williams-Toyota 1'29''093. 10. Kubica (Polen) BMW-Sauber 1'29''368. 11. Coulthard (GB) Red-Bull- Ferrari 1'29''435. 12. Fisichella (It) Renault 1'29''456. 13. Heidfeld (All) BMW-Sauber 1' 29''641. 14. Button (GB) Honda 1'29''945. 15. Barrichello (Bré) Honda 1'30''055. 16. Sato (Jap) Aguri-Honda 1'30''104. 17. Webber (Aus) Red-Bull-Renault 1'30''315. 18. Davidson (GB) Aguri-Honda 1'30''384. 19. Liuzzi (It) Toro-Rosso-Ferrari 1'30''612. 20. Vettel (All) Toro-Rosso-Ferrari 1'30''801. 21. Sutil (All) Spyker-Ferrari 1'31''153. 22. Yamamoto (Jap) Spyker-Ferrari 1'31''175.

Pas de fumée sans feu.............................

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Massa en pole position du Grand Prix de Turquie

Le Brésilien Felipe Massa (Ferrari) a décroché la position de pointe du Grand Prix de Turquie de Formule 1, samedi, sur le circuit d'Istanbul.

Le Britannique Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) s'élancera en 2e position aux côtés de Massa. Le Finlandais Kimi Raikkonen (Ferrari) et l'Espagnol Fernando Alonso (McLaren-Mercedes) partiront de la 2e ligne en 3e et 4e position.

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annonce Canal+

Guy Roux a démissionné de son poste d'entraîneur de Lens, a annoncé samedi la chaîne Canal+ à la mi-temps des matches de la 5e journée de Ligue 1.

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Tirunesh Dibaba conserve son titre du 10.000 m dames


L'Ethiopienne Tirunesh Dibaba a conservé son titre en remportant le 10.000 des Mondiaux d'athlétisme, samedi à Osaka, à l'issue d'une course épique.

Déjà triple médaillée d'or aux Mondiaux, avec un doublé 5/10.000 m en 2005 à Helsinki, la cadette des soeurs Dibaba a précédé, en 31 min 55 sec 41/100, la Turque Elvan Abeylegesse (31:59.40) et l'Américaine Kara Goucher (32:02.05). Tirunesh Dibaba, 22 ans, a réalisé comme à son habitude un dernier tour de tonnerre. Mais c'est auparavant qu'elle a montré l'étendue de sa classe.

Retardée peu après le cinquième kilomètre par la chute de sa compatriote Mestawet Tufa, et se tenant à plusieurs reprises l'abdomen, l'Ethiopienne s'est retrouvée décrochée du peloton. Sans s'affoler, elle a refait progressivement son retard, se permettant même de se désaltérer dans la ligne opposée. Ensuite, calée dans le sillage d'Abeylegesse, elle a attendu son heure. Nathalie De Vos a terminé 11e, s'assurant ainsi une qualfication pour les jeux Olympiques de Pékin.