Toutes New sportives autres que la moto

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Dakar: Al-Attiyah récidive en auto, Peterhansel reste leader


Le Qatariote Nasser Al-Attiyah (Buggy), déjà vainqueur la veille, a remporté mardi la 4e étape du Dakar-2013 dans la catégorie auto, 717 km entre Nazca (PER) et Arequipa (PER), dont une spéciale chronométrée de 288 km.

Le vainqueur du Dakar-2011 a devancé en 3 h 28 min 46 sec le Français Guerlain Chicherit (SMG), 2e à 36 sec et le Français Stéphane Peterhansel (Mini), 3e à 1 min 17 sec. Peterhansel conserve la tête au général devant Al-Attiyah, désormais à 5 min 16 sec. Le Sud-Africain Giniel De Villiers (Toyota), 4e de l'étape du jour, est 3e à 33 min 22 sec.

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Fracture de la clavicule pour Nikolas Maes

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Nikolas Maes s'est fracturé la clavicule lors du stage de l'équipe Omega Pharma-Quick.Step à Calpe, en Espagne, a indiqué mardi la formation cycliste belge.
© belga.© belga.
Le coureur de 26 ans a chuté alors qu'il s'entraînait à Calpe. "Cela s'est passé en une fraction de seconde", raconte Nikolas Maes. "Je roulais dans un groupe avec Boonen et Cavendish lorsque ma chaîne a soudain sauté et je me suis retrouvé au sol. J'ai tout de suite compris qu'il y avait un souci avec ma clavicule gauche. Cela arrive malheureusement dans notre métier. Mais j'essaie de rester positif, j'espère remonter sur un vélo le plus vite possible".

Nikolas Maes est rentré en Belgique mardi après-midi, pour passer des tests à l'hôpital d'Herentals, à l'issue desquels on décidera si une opération est nécessaire ou non.

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Voile - Vendée Globe : «Pas une partie de plaisir»

Après nous avoir fait vivre ces derniers mois sa préparation, Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) nous offre son carnet de bord chaque semaine durant la course. Episode 8 : la difficile remontée de l'Atlantique sud.
Armel Le Cléac'h a décidé de raser sa barbe, mardi. Et pose la question : vous préférez avant ou après ? (Crédit photo : Armel Le Cléac'h/BPCE)







« J’ai passé le Cap Horn il y a maintenant huit jours. Les conditions n’étaient pas idéales et la présence des glaces sur zone, même si je n’en ai pas croisées, m’ont empêché d’en profiter. Le vent était soutenu et la visibilité très mauvaise, c’était en fin de journée, je ne l’ai donc pas vu. Mais j’ai quand même débouché le champagne. Il y a quatre ans, je l’avais doublé le 7 janvier. Les sensations étaient vraiment différentes cette fois avec juste un aperçu dans le brouillard, je n’ai pas apprécié autant. Mais un peu plus tard dans la soirée, la mer s’est calmée et, à l’approche de la côte, la visibilité s’est améliorée : j’ai pu voir les montagnes. La vue était vraiment belle.

« Ça commence à tirer un peu partout, sur le bateau et sur le bonhomme.»Me voilà donc de retour dans l’Atlantique. J’ai attaqué la longue remontée qui est vraiment compliquée. Ce n’est pas une partie de plaisir. On navigue souvent dans des vents contraires, il y a des dépressions sur l’Argentine et l’Uruguay qui créent des vents forts et instables et une mer qui va bien avec. Naviguer n’est pas très agréable et la progression se fait péniblement. Le vrai bonus, ce sont des températures plus clémentes mais il reste encore quelques jours avant de toucher un vent plus stable et un alizé attendu pour le week-end. Nos fichiers météo nous donnent des prévisions jusqu’à dix jours mais cela reste néanmoins aléatoire. Alors chaque chose en son temps. On fait route vers l’équateur et il reste encore de quoi faire d’ici les Sables d’Olonne.

Alors forcément, je n’ai pas encore l’arrivée en tête autrement la situation serait encore plus compliquée à vivre, surtout quand on avance au ralenti. Pour avoir déjà vécu cette course il y a quatre ans, je sais que beaucoup de choses peuvent encore se passer. Ma priorité aujourd’hui, c’est vraiment de surveiller la météo et le bateau. Ça commence à tirer un peu partout, sur le bateau et sur le bonhomme. Finalement, depuis le passage du Cap Horn, rien n'est simple et la mer est «dégueulasse». On savait que ce ne serait pas facile même si j’espérais mieux. Mais la sortie approche…

«Le championnat du monde de hand va bientôt commencer. Je verrais peut-être la finale... avec les Bleus.»Heureusement car nous n’avons pas eu de moments de répit, de conditions stables pour nous permettre de souffler un peu et de faire du ménage à bord. En revanche, pas de souci de nourriture comme il y a quatre ans. Tout a été bien prévu et j’ai de la marge d’autant que nous sommes en avance sur les temps de référence. Et le rasage du marin est pour bientôt. Je comptais le faire plus tôt mais deux belles dépressions, une au portant et une au près, m’en ont empêchées. C’est au programme ce lundi ou mardi. Je reste quand même au taquet sur l’actualité sportive, mes sources sont réactives : le quatrième Ballon d’Or de Lionel Messi, Toulon toujours leader malgré la défaite face au Racing, Lamy Chappuis au top ce week-end, les handballeurs tricolores larges vainqueurs de l’Argentine. Le championnat du monde va commencer, ça va être une belle épreuve surtout en Espagne et les Français sont attendus. Je verrai peut-être la finale avec les Bleus… Mais ça, c’est une autre histoire. Alors,en attendant, rendez-vous la semaine prochaine proche de l’équateur, au Nord du Brésil. »
Armel LE CLEAC'H

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Judo - Tournoi de Paris : Le gratin à Bercy

Teddy Riner de retour au POPB. (L'Equipe)







La Fédération française a officialisé la liste des athlètes retenus pour le Tournoi de Paris (au Palais omnisports de Paris-Bercy, les 9 et 10 février), premier des quatre Grands Chelems de la saison. A l’exception de Priscilla Gneto (- 52 kg), qui se remet d’une opération à l’épaule gauche, tous les médaillés olympiques français y seront présents. A noter que cette liste sera complétée le 21 janvier, à l’issue de poules de sélection organisées à l’INSEP.

HOMMES
- 60 kg : Milous, Nour, Raymond. - 66 kg : Czukiewycz, Larose, Le Blouch. - 73 kg : Darbelet, Duprat, Legrand, Urani. - 81 kg : Gomes Tavares, Joubert, Leroy, Schmitt. - 90 kg : Buffet, Clerget, Iddir, Massimino. - 100 kg : Delvert, Fabre, Maret. + 100 kg : Bataille, Bonvoisin, Riner, Robin.

FEMMES
- 48 kg : Buchard, Climence, Gabrielli, Payet. - 52 kg : Bonna, Delsalle, Issoumaila, Rosso. - 57 kg : Elliot, Huber, Pavia. - 63 kg : Agbegnenou, Emane, Ribout. - 70 kg : Berger, Décosse, Thoyer. - 78 kg : Louette, Tcheuméo, Ulrich. + 78 kg : Andéol, Deroose, M’Bairo, Ramanich.
O.B.

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David Ginola: «La ferveur anglaise transcende»

Interview

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Avant de régaler les Vernets samedi à l’occasion du Genève Indoors, David Ginola s’est confié au «Matin». Du nouveau PSG à la passion des stades anglais, El Magnifico parle de tout avec la sagesse du retraité épanoui.
Par Mathieu Aeschmann. Mis à jour le 09.01.2013

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Image: MAXPPP
David Ginola, quel miracle vous amène à participer samedi soir au Genève Indoors?
J’avais gardé un excellent souvenir de mon premier passage aux Vernets. Une belle fête et un match Suisse - France avec Michael Schumacher comme renfort. Or comme il n’y a plus beaucoup de tournois en salle en Europe, j’ai de suite accepté l’idée de revenir jouer à Genève.
Vous allez y retrouver d’autres grands noms comme Patrick Viera, Jari Litmanen ou Vitor Baía. Est-ce l’assurance de passer un bon moment?
C’est déjà l’occasion de retrouver des vieilles connaissances. J’avais par exemple Alain Boghossian au marquage sur chaque corner des OM - PSG. Et puis nous essaierons de prendre un maximum de plaisir car c’est toujours le meilleur moyen d’en donner au public.
Plus globalement, est-ce qu’un ancien professionnel qui a tout connu peut encore s’émerveiller devant des instants de football?
Bien sûr. Et pour une raison très simple: chaque footballeur a la chance d’avoir transformé sa passion de jeunesse en métier. Dès l’enfance, je ne me voyais pas faire autre chose que jouer au football. J’ai donc conservé en moi une part du gamin de 9 ans qui a dit un jour à son père: «je veux devenir pro». J’ai évidemment vécu et vu certaines choses qui ont fait mûrir l’enfant. Mais elles n’ont pas pu entamer la passion du jeu et l’émerveillement qui en découle. A ce titre, des matches comme celui de samedi représentent une belle occasion de retourner en enfance.
Pour l’occasion, vous évoluerez enfin avec Teddy Sheringham que vous aviez manqué à Tottenham. Est-ce un regret?
J’aurais bien aimé jouer avec lui. Avec son jeu de tête et son sens du placement, je pense même que nous aurions pu concocter pas mal de buts. Mais je n’ai aucun regret.
Qui dit Tottenham, pense de suite à votre extraordinaire saison 1998-99. Quels souvenirs en conservez-vous?
Une très belle année avec une victoire en Coupe de la Ligue. Et puis ce titre de meilleur joueur de la saison qui vient saluer le travail accompli. Le fait d’avoir été élu par mes pairs alors que Manchester venait de réaliser le triplé lui donne encore plus de valeur.
Les ambiances de Newcastle et de Tottenham sont réputées pour leur ferveur. En quoi la passion du public représentait une source d’inspiration?
Lorsqu’un joueur entre pour la première fois dans un stade anglais, il réalise qu’il n’est que de passage. Il prend conscience que cette foule qui économise toute l’année pour s’offrir un abonnement constitue l’âme du club. Le sentiment de respect est alors immense. Puis quand un supporter en larmes vous tombe dans les bras après une défaite et vous dit: «Ce n’est pas grave, on gagnera samedi prochain», il vous confie une responsabilité qui libère des énergies. Cette ferveur a quelque chose de transcendant.
Certaines voix s’élèvent pour dénoncer un football et des footballeurs de plus en plus aseptisés. Partagez-vous cette critique?
Complètement. La majorité des joueurs se contente aujourd’hui de commenter leur match. On ne les connaît pas. J’ai le sentiment que nous étions plus proches du public. Peut-être parce que notre éducation avait insisté sur le fait que, sans public, un footballeur n’est rien. Selon moi, le décalage vient du fait qu’on a oublié d’éduquer des hommes avant de former des footballeurs. Notre formation saute l’étape fondamentale. Comment voulez-vous que les jeunes joueurs saisissent les rouages économiques et médiatiques du monde professionnel si on ne prend pas le temps de les guider dans leur vie d’hommes?
Sur le terrain, vous étiez «El Magnifico». Est-ce que la quête esthétique a joué un rôle important dans votre carrière?
Déjà le football est un spectacle, au même titre qu’une pièce de théâtre ou un match de tennis. Alors si on peut ajouter un peu de raffinement à l’efficacité, je trouve le cocktail intéressant. Maintenant, je n’ai jamais mis l’accent sur cette quête durant ma carrière. Mon style vient de ma formation et d’une forme d’instinct. Le football va d’ailleurs trop vite pour ne pas faire confiance à son instinct. Vous savez, un joueur ne peut pas retenter son contrôle comme un acteur rejoue sa prise.
Un 18 mois, le PSG a radicalement changé de dimension. Comment le glorieux ancien vit cette mutation?
Très bien. J’observe son évolution d’un œil curieux car le phénomène est inédit. Je trouve même incroyable et fabuleux de voir le club qui m’a révélé pouvoir bénéficier de tels investissements. Les Qatariens recrutent intelligemment, ils vont tirer le football français vers le haut ce dont il avait bien besoin.
Le PSG actuel aurait-il une chance contre celui de Ginola, Weah, Valdo ou Raí?
Dix-sept ans séparent ces deux équipes. Les joueurs, les mentalités et les méthodes d’entraînement ont changé. Du coup, je ne pense pas que la comparaison soit pertinente. Quel Brésil est le plus fort, celui de 1970 ou de 1994? Je préfère vous dire qu’on assisterait forcément à un grand match.
Est-ce que le connaisseur du football anglais que vous êtes sait comment Sir Alex Ferguson fait pour durer et continuer à gagner?
Si je connaissais son secret, je l’aurais pris à mon compte pour devenir entraîneur. (Rires.) C’est déjà quelqu’un de très intelligent qui accorde beaucoup d’importance au profil psychologique de ses joueurs pour les mettre dans les meilleures conditions. Ces derniers ont d’ailleurs tous un immense respect pour lui. Ils jouent presque autant pour le club que pour leur manager. Cela explique peut-être son incroyable longévité.
Enfin quel est le joueur avec lequel vous avez préféré jouer et celui avec qui vous auriez rêvé évoluer?
Au PSG, je n’avais besoin que d’un regard pour savoir si George Weah était dans un bon jour. Notre complicité était unique. Il savait que si j’étais pressé, je centrais au premier poteau. Et si j’avais de l’espace, c’était feinte au premier, ballon au second poteau. Sans vraiment se connaître hors du terrain, nous avions construit une magnifique complicité balle au pied. Sinon, j’aurais adoré jouer avec Maradona et Cruyff, l’idole de ma jeunesse, celui à qui j’ai toujours voulu ressembler.

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Une 5e place pour Ammann

SKI NORDIQUE

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Simon Ammann a retrouvé des couleurs lors du saut Coupe du monde à Wisla.
Mis à jour le 09.01.2013

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Simon Amman a pris la 5e place sur le tremplin polonais, la victoire revenant à Anders Bardal (No). Le sauteur suisse, 9e après le saut initial, a gagné quatre rangs en finale pour prendre un 5e rang qui lui fera du bien au moral après une Tournée des 4 tremplins décevante. Il a effectué deux sauts à 125,5 et 124,5 m, mais il a perdu quelques points sur le premier en raison d'une réception hésitante. C'est le 4e classement dans le Top 10 pour Ammann cette saison.
Bardal s'est imposé pour la 5e fois de sa carrière en Coupe du monde, grâce à des saut des 130 et 128 m. Le podium a été complété par Richard Freitag (All) et Rune Velta (No). A noter que l'Autrichien Gregor Schlierenzauer, récent vainqueur de la Tournée, a déclaré forfait: il ne se sentait pas bien.
Wisla (Pol). Saut. Coupe du monde: 1. Anders Bardal (No) 264,4 (130 m/128 m). 2. Richard Freitag (All) 252,2 (131/126,5). 3. Rune Velta (No) 251,0 (127/126). 4. Robert Kranjec (Sln) 246,6 (129,5/127). 5. Simon Ammann (S) 243,6 (125,5/124,5). 6. Piotr Zyla (Pol) 240,5 (125/123). 7. Kamil Stoch (Pol) 238,3 (122/124,5) et Dimitri Vassiliev (Rus) 238,3 (122,5/125,5). 9. Anders Fannemel (No) 238,1 (122/121). 10. Tom Hilde (No) 235,4 (121/126). Puis: 15. Andres Jacobsen (No) 229,7 (122,5/120,5). 17. Andreas Kofler (Aut) 229,3 (125/117,5). Notes: Gregor Schlierenzauer (Aut/malade), Severin Freund (All) et Andreas Wellinger (All) pas au départ.
Coupe du monde (12/28): 1. Schlierenzauer 808. 2. Bardal 575. 3. Freund 556. 4. Jacobsen 478. 5. Kofler 450. 6. Freitag 368. Puis: 12. Ammann 262.

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FR Olympic lourdement battu à Genève

BASKETBALL

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Les Fribourgeois se sont inclinés par 30 points d'écart face aux Genevois. Les Lions reviennent ainsi sur le leader.
Mis à jour le 09.01.2013

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Fribourg Olympic n’a pas bien négocié son déplacement à Genève en s’inclinant lourdement 102-72 face aux Lions. Le leader ne comptait pourtant que six points de retard à la mi-temps (48-42).
Les Fribourgeois ont totalement sombré dans le troisième quart-temps, perdu 29-10. Les dix dernières minutes ont permis aux Genevois de donner du temps de jeu à tout le monde. La faillite fribourgeoise est collective. Seuls Yates (25 points) et Draughan (14) sont parvenus à inscrire plus de dix points. En face, quatre Genevois ont enquillé plus de quinze points: Brown (17), Touré (16), Stimac (25) et James (16). Cette victoire permet aux Lions de revenir à quatre points du leader.
Les joueurs d’Ivan Rudez partagent toujours la deuxième place du classement avec le BBC Monthey, vainqueur des Starwings Bâle 109-83. Si la victoire des Valaisans semble large, elle tient surtout à un dernier quart remporté 35-21. Hodzic (27 points) et Djurasovic (20) ont mis les Chablaisiens sur d’excellents rails.
Au Tessin, Lugano a repris du poil de la bête en infligeant un sec 101-80 à Vacallo. Les champions en titre demeurent à la cinquième place du classement, mais ils semblent avoir repris des couleurs à l’image de Dusan Mladjan, auteur de 21 points, et de Derek Stockalper (19).
A Boncourt, les locaux ont eu peur jusqu’au bout face à Nyon (83-78). Et chez la lanterne rouge Massagno, Union Neuchâtel n’a pas eu la vie facile. Les Neuchâtelois sont tout de même sortis gagnants de ce duel (101-94) grâce à un excellent Jules Aw (22 points), sans oublier Derrick Lang (19) et Trevor Quidome (17).
Résultats: Boncourt - Nyon 83-78 (42-41). Starwings Bâle - Monthey 83-109 (40-45). Lions de Genève - Fribourg Olympic 102-72 (48-42). SAM Massagno - Union Neuchâtel 94-101 (44-48). Vacallo - Lugano Tigers 80-101 (44-45).
Classement: 1. Fribourg Olympic 14/24. 2. Lions de Genève 14/20. 3. Monthey 14/20. 4. Vacallo 13/18. 5. Lugano Tigers 14/16. 6. Boncourt 13/12. 7. Union Neuchâtel 14/12. 8. Starwings Bâle 14/6. 9. Nyon 14/6. 10. SAM Massagno 14/4.

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Janka reprend confiance

SKI ALPIN

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Après un sevrage de plus de vingt jours, le Grison retrouvera la compétition ce week-end à Adelboden. Contacté sur la route de l’Oberland, il assure se sentir mieux qu’en début de saison.
Par Gaëlle Cajeux. Mis à jour le 09.01.2013

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Le 16 décembre, il quittait l’aire d’arrivée du géant d’Alta Badia en fixant le sol, visage reclus dans sa doudoune pour ne pas avoir à prononcer le moindre mot. Relégué à plus de 7 secondes du flamboyant Ted Ligety, Carlo Janka était éliminé dès la première manche et laissait ses entraîneurs confirmer qu’il se retirait pour un temps du cirque blanc. A la recherche de son talent -perdu en n’ayant jamais réussi à s’adapter à son nouveau matériel- depuis le début de l’hiver, l’ancien champion du monde et médaillé d’or olympique avait ressenti le besoin de rentrer à Obersaxen, pour se retrouver.
«En rentrant un temps chez moi, le but n’était pas d’oublier le ski, je n’ai pas cherché à me changer absolument les idées, précise le Grison. Au contraire, nous sommes en milieu de saison il faut rester focalisé sur les courses. Ma priorité était donc de me relaxer un peu pour récupérer et me préparer au mieux en vue des compétitions en Suisse.» Adelboden ce week-end, puis Wengen la semaine suivante. «A l’instar des Mondiaux ou des Jeux olympiques, ce sont les temps forts de la saison. J’aborde ces courses avec un peu de pression, mais beaucoup de plaisir. Je suis particulièrement heureux de retrouver les supporters suisses.»
Pour faire meilleure figure qu’en début de saison devant eux, Carlo Janka a parfait sa condition physique - «Je suis bien, tip top, je n’ai plus d’ennuis de santé comme l’année dernière».
Avant de reprendre l’entraînement sur neige à Hinterreit (Autriche), puis de rejoindre ses coéquipiers sur la piste d’Adelboden vendredi dernier. Comme le révélait le Blick, «Iceman» skie à nouveau, depuis Hinterreit, avec les fixations qu’ils utilisaient en 2009 et 2010, années de ses sacres mondial et olympique. «Il y a évidemment encore des détails à améliorer, mais cela va dans la bonne direction. Nous verrons le résultat en course, mais je me sens assurément mieux.»
Carlo Janka semble avoir retrouvé l’envie. «Elle ne m’a jamais quitté», rétorque-t-il.

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Coupe Louis Vuitton: cet été à San Francisco

VOILE

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Du 4 juillet au 30 août, trois catamarans essayeront d'obtenir le droit de défier "Oracle" dans la Coupe de l'America.
Mis à jour le 09.01.2013 1 Commentaire

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La Coupe Louis Vuitton, destinée à sélectionner le challenger qui affrontera le tenant américain de la Coupe de l’America, «Oracle Team USA», se déroulera du 4 juillet au 30 août à San Francisco, a annoncé Stephen Barclay, PDG de l’America’s Cup Event Authority (ACEA).
La Coupe de l’America elle-même se déroulera du 7 au 21 septembre, également à San Francisco (Californie), a-t-il confirmé.
"Les régates de la Coupe de l’America en baie de San Francisco cet été seront exceptionnelles", a souligné M. Barclay. Et "la Coupe Louis Vuitton (...) verra trois challengers très compétitifs se défier". "Ils s’affronteront pour devenir l’ultime challenger qui remportera le droit de rencontrer l’actuel «defender» de la Coupe de l’America, Oracle Team USA", a-t-il ajouté.
Deux manches de 30 minutes auront lieu chaque jour lors des finales de la Coupe Louis Vuitton et de la 34e Coupe de l’America. Le vainqueur de la "Cup", plus vieux trophée sportif au monde (1851), sera celui qui aura remporté neuf manches sur un maximum de 17.
Stephen Barclay a également annoncé que l’épreuve des America’s Cup World Series (ACWS) prévue au printemps sur la côte est des Etats-Unis était annulée. "ACEA n’organisera pas d’événement dans des villes où tous les frais ne seraient pas pris en charge", a-t-il souligné, et "notre objectif principal doit être les épreuves programmées à San Francisco cet été".
Les régates des ACWS prévues à Naples (Italie) en avril restent cependant au programme, a précisé M. Barclay. Les ACWS sont un circuit indépendant de la Coupe de l’America et se disputent sur des catamarans à aile AC45 de 13,45 mètres de long.
La prochaine Coupe de l’America opposera pour sa part des catamarans à aile AC72 de 22 mètres de long. Les trois challengers d’Oracle Team USA sont les Néo-Zélandais d’Emirates Team New Zealand (ETNZ), les Italiens de Luna Rossa et les Suédois d’Artemis Racing.

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Il n'y aura que 19 Grand Prix en 2013, pas 20

AUTOMOBILISME

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Le patron de la F1, Bernie Ecclestone, a déclaré qu'il n'y aurait pas de GP en Autriche, à cause des hôtels.
Mis à jour le 09.01.2013

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Formule 1: Classement pilote

NomÉquipeP1.Sebastian VettelRed Bull2812.Fernando AlonsoFerrari2783.Kimi RaikkonenLotus2074.Lewis HamiltonMcLaren1905.Jenson ButtonMcLaren1886.Mark WebberRed Bull1797.Felipe MassaFerrari1228.Romain GrosjeanLotus969.Nico RosbergMercedes9310.Sergio PerezSauber6611.Nico HülkenbergForce India6312.Kamui KobayashiSauber6013.Michael SchumacherMercedes4914.Paul di RestaForce India4615.Pastor MaldonadoWilliams4516.Bruno SennaWilliams3117.Jean-Eric VergneToro Rosso1618.Daniel RicciardoToro Rosso1019.Timo GlockMarussia020.Pedro de la RosaHRT021.Narain KarthikeyanHRT022.Heikki KovalainenCaterham023.Witali PetrowCaterham024.Jerome D'AmbrosioLotus025.Charles PicMarussia0Plus...Moins…


La saison 2013 de Formule 1 devrait compter 19 Grands Prix, et non 20 comme initialement prévu, a annoncé mercredi le grand patron de la discipline, Bernie Ecclestone.
«Le 21 juillet va rester libre», explique le Britannique dans un entretien accordé au quotidien autrichien Krone Zeitung, alors que cette date était initialement prévue pour le Grand Prix d'Europe.
L'Autriche, qui souhaitait organiser cette course sur le circuit de Spielberg dans le sud du pays, a reçu une fin de non-recevoir de la part de Bernie Ecclestone.«Pas assez d'hôtels, c'est le seul problème. La piste est parfaite. Il n'y a toutefois pas assez de chambres d'hôtel dans l'ensemble de la région», a-t-il précisé.
La solution du Grand Prix d'Europe organisée en France sur le circuit du Castelet a également été écartée. «Nous ne le ferons pas pour le moment», a estimé le Britannique.
Pour le Grand Prix d'Allemagne, les deux circuits de Hockenheim et du Nürburgring restent encore possibles. Ecclestone a toutefois indiqué sa préférence pour le deuxième circuit. Le Grand Prix «devrait être au Nürburgring et nous essayons de le rendre possible», avait-il indiqué.
Une décision pour la course à domicile du triple champion du monde Sebastian Vettel pourrait être prise cette semaine.
Le championnat du monde de F1 devrait donc observer une longue pause entre le 7 juillet (Grand Prix d'Allemagne) et le 25 août (Grand Prix de Belgique), entrecoupée le 28 juillet par le Grand Prix de Hongrie.