Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Foot - Ligue 1 - OM : Fanni : «Il faut arrêter ce petit jeu»

Rod Fanni déplore les dernières contre-performances d'un OM sommé de réagir avant la venue de Montpellier ce samedi au stade Vélodrome (17h00).
Rod Fanni regrette la sévère défaite à Sochaux (1-3). (L'Equipe)







« Rod Fanni, comment avez-vous vécu la perquisition qui a eu lieu à la Commanderie cette semaine ? A-t-elle perturbé votre préparation ?
Perturbé ? Non ! Nous nous sommes entraînés normalement. Mais on s’est posé beaucoup de questions, et, dans le vestiaire, je ne sais pas si je peux le dire mais on en a presque rigolé. On parle toujours du fameux contexte marseillais, et cette fois, on se retrouvait en plein dedans, dans un club où l’on nous dit qu’il se passe toujours des choses bizarres. Dès qu’un nom sortait dans cette affaire, on se chambrait. Du genre : "Je savais bien que tu étais louche..." (rires). Pour nous, cela ne change pas grand-chose, alors on a préféré tourner l’épisode en dérision...

Il a eu lieu pourtant à la veille d’un match très important...
On est spécialiste pour se mettre la pression tout seul. Pour l’instant, on a bien traversé ces diverses périodes mais j’espère qu’on va arrêter ce petit jeu parce que c’est très inconfortable. C’est un jeu risqué, avec des points perdus qu’on ne rattrapera pas, quoi qu’on en dise.

La pression est-elle accrue face à Montpellier ?
Ce rendez vous est très important, car des écarts se sont creusés. Et c’est bien dans ces périodes là qu’on peut mettre un coup au moral aux équipes adverses et permettre aux gens de continuer à y croire. C’est super important surtout quand on n’a pas fait ce qu’il fallait à Sochaux (1-3).

« Le départ de Rémy, un moins ! »

En tant que défenseur, comment expliquez-vous cette fragilité sur ces coups de pieds arrêtés ?
Nous essayons d’améliorer ça. On croyait d’ailleurs avoir réglé le problème pendant un temps mais là, bam ca nous retombe dessus et c’est super compliqué. On n’est pas assez vigilant. Sur le bilan d’un point de vue défensif pur, il n’est pas trop mauvais mais les faits sont là. A Bonal, cela ne nous a pas souri au terme d’un match très bizarre. Il y a eu 5 tirs de leur côté et 24 du notre. Ce chiffre ne m’a pas consolé mais je suis sorti de ce match-là presque certain que nous ne pouvions pas le gagner. La défaite à Troyes (0-1, 21 octobre) m’a fait plus mal.

Cela remet-il le doute sur vos ambitions ?
Je n’aime pas annoncer à l’avance à quel niveau on va terminer mais j’ai toujours dit quand j’ai signé à Marseille qu’il fallait chaque saison finir dans les trois premiers. Sinon je restais à Rennes. Jouer entre la 5e et la 10e place, dans le ventre mou, ça ne va pas avec Marseille. Je ne me cache pas, j’ai signé pour ça et c’est ce que je vise, point final.

Avez-vous l’effectif pour finir sur le podium ?
Je dirais oui même si je pense que le départ de Rémy constitue un moins. Sa polyvalence nous permettait plus de formules en attaque. Désormais il faut composer sans lui mais on a encore les armes pour lutter. Maintenant, s’il y en a d’autres qui partent, je serai un peu plus sceptique mais pour l’instant, on a encore ce qu’il faut. »

Hélène FOXONET, à Marseille

[Norton]

Tennis - AUS (Hommes) : Simon gagne le marathon

En grande souffrance, Gilles Simon est pourtant venu à bout de Gaël Monfils au terme d'un match épique (6-4, 6-4, 4-6, 1-6, 8-6 en 4h43'). Qualifié pour les 8es, il affrontera Andy Murray.
Gilles Simon a fini par dominer Gaël Monfils. (AFP)







Gilles Simon s'est qualifié pour les huitièmes de finale en battant Gaël Monfils au bout d'un match dantesque de 4h43' et cinq sets (6-4, 6-4, 4-6, 1-6, 8-6), samedi à Melbourne. Les deux Français, qui traînaient des pépins physiques ces derniers jours et semaines, ont été soignés à de multiples reprises, au bras, à la main, aux cuisses et à un genou lors d'un match interminable et parfois surréaliste. Malgré leur handicap, ils se sont engouffrés dans de longs échanges, dont un a culminé à 71 coups, un nombre extrême, pour désigner lequel des deux allait avoir le droit de défier le n°3 mondial Andy Murray au prochain tour. C'est finalement Simon qui est sorti du chapeau après avoir réussi à résister au retour de son ami pour l'emporter au bout de la nuit.

Le soigneur fait l'essuie-glace entre les deux joueurs

A la balle de match, les deux joueurs, amis dans la vie, sont tombés tombés dans les bras l'un de l'autre pour une longue accolade. «Oui, pffff, j'étais presque mort à la fin du... deuxième set. Je ne pouvais rien faire pendant l'heure qui suivait. Après j'ai essayé de donner mon maximum et je pense que j'ai réussi», a-t-il réagi, à bout de souffle, au micro du speaker. Simon, dont la préparation à ce tournoi avait été perturbée à cause de douleurs au cou qui l'avaient contraint de déclarer forfait à Sydney, a appelé à de nombreuses reprises le soigneur, contraint en permanence de faire l'essuie-glace entre lui et Monfils, également sérieusement touché. Monfils s'est fait bander la main droite et s'est fait soigner aux adducteurs, alors que Simon, qui a joué avec une douleur au genou droit, est souvent apparu au bord des crampes et s'est fait masser le bras droit au moment de servir pour le match.


«A chaque fois que je voulais frapper fort, je sentais les crampes venir.» (Gilles Simon) «J'avais mal partout, c'était le problème, et j'avais seulement 60 secondes à chaque changement de côté», a raconté Simon sur le court. «Normalement je suis prêt pour ce genre de combat mais avec la préparation que j'ai eu ça a été difficile.» Il a terminé le match en servant des balles à 113 km/h, une vitesse qu'on ne voit habituellement pas à ce niveau. «A chaque fois que je voulais frapper fort, je sentais les crampes venir», a expliqué le Français, 16e joueur mondial. Simon avait désormais un peu moins de 48 heures pour se régénérer avant de rencontrer Murray, un défi déjà énorme en temps normal. «J'aurais besoin de récupérer avant de penser à Andy», a bredouillé le Français avant de quitter la Hisense Arena, le deuxième court principal. Il ne parlera pas publiquement après. Il ne le pouvait pas. On annonça donc que sa conférence de presse n'aurait pas lieu. Pour raisons médicales.

Avec AFP

[Norton]

Hand - ChM (Hommes) : La défense n'était pas en béton

Après la défaite contre l'Allemagne vendredi, tous les regards étaient tournées vers la défense de l'équipe de France, en faillite sur ce match-là.
Lé défense française est pointée du doigt après la défaite contre l'Allemagne. (L'Equipe)







La situation n’est pas désespérée. Ce n’est pas parce que les Français ont perdu une rencontre que tout va s’effondrer dans les jours qui suivent. Mais l’ambiance du moment n’est pas à l’optimisme. Les Bleus sont dans le dur, depuis la défaite contre l’Allemagne (30-32), vendredi, où une équipe jeune a réussi à transpercer la défense tricolore, l’une des meilleures du monde, l’arme principale de la bande à Claude Onesta. Didier Dinart, référence en la matière, international depuis dix-sept ans, et qui joue sa dernière grande compétition avec les Experts, a été aux abonnés absents. Il l’a d’ailleurs lui-même humblement reconnu. «Je n’ai pas su maîtriser le sujet comme je le faisais autrefois.» Mais tout mettre sur les épaules de Dinart serait «simpliste», glisse Onesta. Il y a d’autres joueurs en cause et «ils ne sont pas marqués par l’âge», affirme le sélectionneur. Ça, c’est pour Xavier Barachet «un vrai bon défenseur mais vendredi il ne l’était pas».

«Le handball de haut niveau, c'est d'abord une dimension physique qui se met au service d'une organisation tactique»Si la défense s’est trouée à Barcelone, c’est parce que, face aux Allemands, elle a perdu le combat de l’agressivité. «Pour caricaturer, notre adversaire voulait la guerre et nous, on était venu jouer aux échecs, poursuit Onesta. Des types te traversent, te tirent sur la tête, tu as beau être juste, ça ne marche pas. Le handball de haut niveau, c’est d’abord une dimension physique qui se met au service d’une organisation tactique.» L’Allemagne a effectivement été rude dès les premières minutes du match. On se souvient de Daniel Narcisse, qui est resté au sol dès la 2e minute. «Après le premier quart d’heure, il a commencé à jouer plus loin, a noté Claude Onesta. En face, s’ils étaient tombés sur la tête, ils seraient ensuite allés moins vite.» Pour le patron des Bleus, Jérôme Fernandez n’a pas bien défendu non plus, «Nikola Karabatic et Cédric Sorhaindo, on a dû mal à se passer d’eux sur le plan offensif. William Accambray peut apporter en attaque mais est fragile en défense.»

«Il n'y a pas de problème défensif. Il y a eu moins de réussite sur un match. Mais, sur un plan général, il n'y a pas de problème»Les joueurs, eux, semblent moins affectés par le match de vendredi. «C’est mieux que ça arrive maintenant, raconte Daniel Narcisse. Avec la défense 1-5 (en fin de match, ndlr), on a pu reprendre le dessus et poser des problèmes. Tout n’a pas été parfait bien sûr mais on a réussi à leur mettre la pression. Et, quand on était en infériorité numérique, on a dû mettre beaucoup plus d’intensité. C’est là qu’on a été meilleur.» Nikola Karabatic, lui, a été beaucoup plus tranchant : «Il n’y a pas de problème défensif. Il y a eu moins de réussite sur un match. Mais, sur un plan général, il n’y a pas de problème.»
Olivier PAQUEREAU, à Barcelone

[Norton]

Rallye - WRC - Monte-Carlo : Déjà des dégâts

Evgeny Novikov (Ford) et Jari-Matti Latvala (VW) sont sortis dans l'ES14 et sont éliminés. Bryan Bouffier (Citroën) a signé le scratch, Sébastien Loeb et Sébastien Ogier ont assuré.
Premier scratch pour Bryan Bouffier lors de l'ES14. (L'Equipe)







La première spéciale de la quatrième et dernière étape du Monte-Carlo, l'ES14, a fait des dégâts samedi. Sur une route très piégeuse, trois pilotes sont partis à la faute, Evgeny Novikov (Ford Fiesta), Jari-Matti Latvala (VW Polo) et Juho Hänninen (Ford Fiesta). Le premier a tapé fort contre un mur et a perdu une roue, les deux autres sont sortis de la route.

Et même pour ceux qui sont arrivés à s'en sortir sans rien casser, ça été très compliqué. «Une spéciale de merde. C'était inconduisible : il y avait de la soupe partout, a ainsi raconté Sébastien Loeb (Citroën DS3) à son arrivée. C'était impossible de piloter dans les lignes droites : si on allait à plus de 30 km, on sortait. C'était épouvantable.» L'Alsacien a signé le quatrième temps (24'49"6), 52"7 derrière Bryan Bouffier (Citroën DS3), qui a profité de ces conditions difficiles pour décrocher son premier scratch depuis le départ du rallye, Mads Ostberg (Ford Fiesta) finissant deuxième à 29"1.

Le résultat de cette spéciale chamboule pas mal de choses au classement général, même si Loeb conserve 1'43"9 d'avance sur Sébastien Ogier (VW Polo), qui lui a repris 3"5. Novikov, éliminé, perd sa troisième place au profit de Dani Sordo (Citroën DS3, +3'29"5), auteur du cinquième temps à 1'00"6 de Bouffier. Et Mikko Hirvonen (Citroën DS3), sixième à 1'08"3, a lui gagné deux places, celle de Novikov et celle de Latvala, et remonte en quatrième position, à 4'34"7 de Loeb.

[Norton]

Voile - Vendée Globe : Gabart accélère





Sorti du Pot au noir jeudi, François Gabart continue d'accentuer son avance sur Armel Le Cléac'h. Au dernier pointage de 5h00, le skipper de Macif compte 128,8 milles d'avance sur celui de Banque Populaire et affiche une vitesse moyenne plus importante (13,3 noeuds contre 11,6). En troisième position, Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3) est sorti lui aussi de la Zone de Convergence Intertropicale (ZCIT) et compte 260 milles d'avance sur le Britannique Alex Thomson (Hugo Boss). Avec le passage du cap Horn par Alessandro Di Benedetto, les douze skippers encore en course sont désormais tous dans l'Atlantique avec les Sables d'Olonne et la fin de leur tour du monde en solitaire en ligne de mire.

[Norton]

Coupe du monde

19 janvier 2013 17:23; Act: 19.01.2013 17:58Print
Un Canadien décroche la palme du poissard

par J.-Ph Pressl-Wenger, Wengen - Lorsque tout se ligue contre vous, il n’y a plus grand-chose à faire. Manuel Osborne-Paradis, deux fois sur le podium sur le Lauberhorn, en a fait la cruelle expérience dans l’Oberland samedi.

Septième à Val Gardena en décembre, Manuel Osborne-Paradis a cumulé les événements malchanceux dans la descente du Lauberhorn. (photo: Alpine Canada)

on off i







Troisième en 2008 et deuxième en 2010, le sympathique descendeur canadien de presque 29 ans espérait enfin décrocher le graal cette année sur le Lauberhorn. L’avant-veille de la course il y croyait encore. «C’est bien d’être de retour à Wengen. Et comme d’habitude, j’ai foiré mes entraînements. Mais d’habitude, en course, ça passe», avait-il prédit dans un sourire jeudi. Malheureusement pour lui, son rendez-vous programmé avec la gloire sur le Lauberhorn ne s’est pas tout à fait passé comme prévu.
Dans un tweet plutôt explicite, Osborne-Paradis a laissé libre cours à sa frustration.«F..k, F..k, F..k ! Cela résume ma journée. Pas cool de regarder la course depuis le bord et que l’hélico oublie de venir vous chercher.» Parti avec le dossard 42, il effectuait une descente correcte jusqu’au moment où il a été contraint de s’arrêter. Un concurrent précédent avait obligé les organisateurs à interrompre la course. L’incident se produit régulièrement. Manuel Osborne-Paradis a ensuite dû attendre durant plus de vingt minutes, que l’hélicoptère le ramène au sommet. Lorsque l’on sait que le Lauberhorn constitue la plus longue descente de la Coupe du monde, un deuxième départ vous fusille les jambes et noie tout espoir de résultat satisfaisant.
Abandon
«Lors de sa deuxième descente, il a fait une grosse faute dans le Kernen-S, a raconté le responsable médias de l’équipe du Canada Marc Habermann. Au lieu de sortir de ce passage à plus de 70 km/h, il s’est retrouvé debout, avec une vitesse de moins de 20 km/h. Il a alors préféré jeter l’éponge.»
Devoir s’arrêter, puis attendre sur l’hélicoptère a aussi usé les ressources mentale du Canadien. «Il était évidemment très fâché, a poursuivi Habermann. Ni sa motivation, ni sa concentration n’étaient suffisantes pour continuer après son erreur. Cela n’en valait plus la peine.»
Le skieur de Vancouver avait été victime d'une fracture du péroné gauche et d'une déchirure du ligament croisé antérieur du genou gauche en chutant lors de la descente de Chamonix, le 29 janvier 2011. «Manny» s’était ensuite battu pour revenir, passant notamment par des courses FIS. Son 7e rang décroché à Val Gardena en décembre dernier l’avait un peu rassuré quant à ses capacités.

[Norton]

Snowboard

19 janvier 2013 16:36; Act: 19.01.2013 20:52Print
Maxence Parrot s'adjuge l'Evolution

par Marc Fragnière, Davos - Le Québécois Maxence Parrot a remporté le Big Air de l'Evolution de Davos, une compétition cotée 6 étoiles au World Snowboard Tour. Le Canadien a réussi à la perfection une figure inédite en Europe.

Fort de son incroyable prestation, Maxence Parrot a toutefois tremblé jusqu'au bout avant de décrocher le chèque de 25 000 dollars promis au vainqueur.
DiaporamaEvolution 2013 à DavosIl faut dire que l'Américain Kyle Mack est venu le chatouiller en plaquant à son troisième essai un Triple Rodeo Indy 1440, une figure jamais posée en compétition jusqu'ici !
Les juges ont toutefois estimé que la complexité du Backside 1440 Triple Cork Mute ponctué par un atterrissage parfait réalisé par Maxence Parrot constituait la plus belle réussite de la soirée. Ainsi, le jury a attribué un incroyable 96,80 au Canadien, soit 1,8 point de plus qu'à son rival Américain.
Seul Suisse engagé samedi, le Bernois Markus Mathis a été éliminé par le Norvégien Emil Ulsletten lors du round 3.

[Norton]

NHL: Kane ouvre les feux

HOCKEY SUR GLACE

—
L'ancien joueur biennois a inscrit le premier but de la saison de NHL, qui a enfin débuté.
Interview: R. Ty.

• Imprimer

Patrick Kane: des débuts en fanfare avec les Blackhawks de Chicago.
Image: Keystone
1re journée

NHL. Les résultats de samedi: Vancouver Canucks - Anaheim Ducks 3-7. Winnipeg Jets - Ottawa Senators 1-4. Los Angeles Kings - Chicago Blackhawks 2-5. Philadelphia Flyers - Pittsburgh Penguins 1-3. Tampa Bay Lightning - Washington Capitals 6-3. Boston Bruins - New York Rangers 3-1. Canadien de Montréal - Torono Maple Leafs 1-2. New York Islanders - New Jersey Devils 1-2. Florida Panthers - Carolina Hurricanes 5-1. Nashville Predators - Columbus Blue Jackets 2-3 tab. Dallas Stars - Phoenix Coyotes 4-3. St-Louis Blues - Detroit Red Wings 6-0. Minnesota Wild - Colorado Avalanche 4-2.

Champion en titre, Los Angeles Kings a raté son entrée dans la saison écourtée de NHL. Les Kings se sont inclinés 5-2 sur sa glace devant Chicago. Auteur de l’ouverture du score pour les Blackhawks après 3’41’’ de jeu, l’ex-Biennois Patrick Kane a inscrit le premier but de cette saison 2013.
Les Ducks d’Anaheim, avec Jonas Hiller et Luca Sbisa, ont entamé la saison de la NHL de la plus belle des manières en s’imposant 7-3 à Vancouver, l’un des favoris à l’Ouest. De son côté, le champion Los Angeles Kings a été surpris par Chicago à domicile.
Emmenés par l’éternel Teemu Selane qui, à 42 ans passés, est toujours aussi irrésistible comme le démontrent ses deux buts et ses deux assists, les Ducks ont forcé la décision en gagnant 4-0 la deuxième période. Hiller, battu deux fois par Hamhuis et Daniel Sedin en l’espace de 1’33’’ au premier tiers, a réussi 26 arrêts . Il fut beaucoup plus efficace que son vis-à-vis Cory Schneider. Le pigiste d’Ambri et de Fribourg a été remplacé par Roberto Lungo après le 5-2 de Palmieri à la 26e sur le 14e tir des Ducks. Pour sa part, Luca Sbisa a griffé la glace durant 17’19’’ au sein de la défense d’Anaheim pour un bilan de +1.
Les autres Suisses n’ont pas été à la fête. A Saint-Louis, Damien Brunner a vécu une «première» bien cruelle sous le maillot de Detroit. Les Red Wings ont été battus... 6-0. Le Zougois a joué 18’50’’, tiré trois fois au goal et a eu le mérite de terminer la rencontre sur un bilan neutre.
Mark Streit ne peut pas en dire autant. Le Bernois a rendu une fiche de -2 lors de la défaite des New York Islanders dans le derby face aux New Jersey Devils (1-2). Souvent en charge de l’animation offensive, Streit serait bien avisé de resserrer les boulons en défense.

[Norton]

Peterhansel fête son 11e succès

DAKAR 2013

—
Le Français a aisément conservé sa première place lors de la 14e et dernière étape, qui s’est achevée samedi à Limache à 150 km de Santiago du Chili.
Mis à jour le 19.01.2013

• Imprimer

Stephane Peterhansel (à dr.) avec son copilote Jean Paul Cottret.
Image: Keystone
Peterhansel fête son onzième succès dans le célèbre rallye-raid, en devançant de plus de 40 minutes son dauphin sud-africain Giniel De Villiers. Il s’était imposé à six reprises en moto avant de passer sur quatre roues, avec le même bonheur.
Dimanche, les concurrents traverseront Santiago du Chili lors d’une étape qui n’aura aucune incidence sur le classement général.

[Norton]

Cyril Despres reçu 5 sur 5

Dakar 2013

—
Le Français Cyril Despres (KTM) a remporté pour la cinquième fois le rallye Dakar, en catégorie moto, à l’issue de la 14e et dernière étape, qui s’est achevée samedi à Limache, à 150 km de Santiago du Chili.
Mis à jour le 19.01.2013

• Imprimer

Cyril Despres
Image: AFP
Despres avait déjà remporté le Dakar en 2005, 2007, 2010 et 2012. Dimanche, les concurrents traverseront Santiago du Chili, lors d’une étape qui n’aura aucune incidence sur le classement général.
Derrière Despres, deux autres pilotes KTM grimpent sur le podium: le Portugais Ruben Faria termine à la deuxième place à 10 min 43 sec devant le Chilien Francisco Lopez à 18 min 48 sec.
Peterhansel vers une 11e victoire
En auto, la victoire finale devrait revenir au Français Stéphane Peterhansel (Mini), largement en tête avant la dernière étape. Cela constituerait son 11e succès sur le Dakar (6 en moto, 5 en auto).