Toutes New sportives autres que la moto

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Biathlon - CM (Femmes) : Les Françaises sur le podium





Les Françaises (Bescond, Boilley, Brunet, Dorin) ont terminé dimanche 3es du relais 4x6km d'Antholz (Italie), leur deuxième podium de la saison, à 40"9 de l'Allemagne, victorieuse devant la Russie. La dernière relayeuse tricolore, Marie Dorin, a réalisé un sans faute au tir couché et a gagné une place sur le dernier tir debout au détriment de la Pologne. La Norvège (4e) et l'Ukraine (5e) qui avaient trusté toutes les victoires cette saison ont été en-dedans lors de cette ultime épreuve avant les Championnats du monde (6-17 février en République tchèque).

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Rallye - WRC - MC : Loeb : «Le feeling était top»

Vainqueur pour la septième fois du Monte-Carlo, Sébastien Loeb estime avoir bien maîtrisé son sujet tout au long du rallye. Et il juge logique l'annulation des deux dernières spéciales.
Sébastien Loeb se retrouve leader du championnat après le premier rallye. (L'Equipe)







«Sébastien Loeb, que pensez-vous de cette décision d'annuler la fin du rallye ?
En ce qui me concerne, l'annulation ne me gêne pas car il n'y avait aucun plaisir à piloter dans de telles conditions. Ce n'est de la faute de personne, sinon de la météo qui a fait qu'on avait de la soupe sur la route. On ne pouvait pas attaquer, appuyer la voiture, il fallait juste franchir les spéciales. La troisième fois (ndlr: pour aller à l'ES17) il aurait été impossible d'accéder au (départ du) Turini, car il y avait 500 voitures garées sur la route de Sospel, qui fait la largeur de deux voitures. A partir du moment où certains commencent à descendre, il est impossible de se croiser, donc il n'y avait aucune autre solution. Au bout de deux passages, alors que les gens sont sur place depuis six heures, qu'ils sont trempés et que les voitures passent à 30 km/h devant eux, ils se disent que ce sera plus agréable d'aller boire un coup. Les nuits du Turini, dans des conditions normales, qu'il y ait de la neige ou que ce soit sec, il y a du plaisir, les gens seraient restés, mais là c'était difficile à cause de la météo. C'est comme ça, ça arrive.

«Il y a eu beaucoup de plaisir dans des spéciales enneigées qu'on faisait pour la première fois dans de telles conditions.»Quel bilan à chaud tirez-vous de ce Monte-Carlo 2013 ?
Ca ne pouvait pas beaucoup mieux se passer, alors qu'on a eu toutes les conditions possibles. Je n'avais jamais fait un Monte-Carlo dans de telles conditions hivernales et ça n'avait rien à voir avec le fait de rouler en Suède, il n'y a qu'à voir les difficultés qu'ont eu les pilotes finlandais. On était un peu dans le doute avant le départ, on se demandait si on allait réussir à rester sur la route. Finalement, le feeling était top, la voiture était impeccable, j'ai pu rouler à ma main et quand il fallait en rajouter, on était toujours capables de le faire, donc on a bien maîtrisé le sujet, ça ne pouvait pas être mieux.

Avez-vous pris du plaisir dans cette 81e édition ?
Il y a eu beaucoup de plaisir dans des spéciales enneigées qu'on faisait pour la première fois dans de telles conditions, par exemple Saint-Bonnet (ES6, ES9) et Saint-Jean en Royans (ES11) qui était vraiment une spéciale magnifique, 100% neige, avec du soleil, c'était vraiment génial. Alors que là dans le Turini, on attendait un peu que ça se passe. A un moment donné, on a quand même mis dix minutes de plus que le record de la spéciale, au premier tour. On se demandait si on allait arriver au bout, il fallait rester concentrés à 100%, on n'avait pas de droit à l'erreur, il ne fallait pas s'emballer. On est passés par toutes les situations.» (AFP)

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Rallye raid - Dakar : «Faut que j'arrête non ?»

Six victoires en motos, et maintenant cinq en autos. En Afrique ou en Amérique du Sud, le Français Stéphane Peterhansel domine aisément le rallye raid. Jusqu'à quand ?
Stéphane Peterhansel, ici avec son copilote Jean-Paul Cottret, a signé son 5e succès en autos. (L'Equipe)







«Stéphane Peterhansel, 7, 8, 9, 10 et maintenant 11 victoires...
Ça doit lasser, il faut que j'arrête non ? J'ai l'impression que ça embête les gens...

Mais vous, Loeb qui gagne neuf titres, est-ce que cela vous ennuie ?
Non... J'avais dit "celle-là si je la gagne tant mieux, ce sera du bonus". Je ne me mets aucune pression, ma carrière ne se joue pas là. Tout le contraire de la dixième qui a mis du temps à venir. C'est un petit plus perso, et aussi pour Mini qui communique beaucoup au niveau Mondial, mais pas trop en France...

«Un projet où on t'écoute»

Moins de pression, est-ce que ça se sent dans la voiture ?
Pas vraiment en fait, tu ne peux pas te disperser, tu as vraiment les yeux qui te sortent de la tête.

Si vous aviez signé chez VW au lieu de Mini, vous en auriez certainement une ou deux de plus au compteur ?
C'était un choix. Je ne voulais pas me retrouver dans une meute, avec Sainz, de Villiers, Al-Attiyah. Je préférais débuter avec X Raid sur un projet où tu as une certaine considération, où on t'écoute. C'était sympa de faire gagner une voiture qui n'avait jamais gagné. On a tout de suite eu la vitesse, pas la fiabilité. C'est juste dommage d'avoir attendu qu'ils partent pour gagner...

«La moto c'était la boule au ventre tous les jours... Sur le Dakar, jamais plus !»Alors un douzième succès, c'est pour quand ?
Je ne savais pas trop si je voulais m'arrêter après le dixième. Je m'approche des 50 ans, ça ne sent pas encore le sapin, mais la fin si. J'avais réfléchi quelques mois. Je ne savais vraiment pas si j'allais re-rouler. J'ai fait du ski, du VTT, et puis j'ai eu envie d'un petit rallye en moto. Ca me manquait quoi. C'est ça que j'aime. La compét ça te met le palpitant dans les tours. Alors j'avais resigné pour deux ans. Je n'ai jamais eu de plan ou de contrat de cinq ans. On verra bien. Nasser Al-Attiyah a un beau projet avec son buggy, sur cinq ans. S'il veut me battre faut qu'il se magne...

Il vous reste à gagner en camion et en quad peut-être ?
Le Quad certainement pas, ça conjugue les défauts de la moto et de la voiture. Le camion ? Je n'ai pas le permis. Kamaz m'avait demandé, m'avait invité à manger sur un bivouac. Mais il fallait aller au bout de la Sibérie faire des essais...

Et la moto, quand vous remontez dessus, vouq rivalisez encore avec les tout meilleurs, même Coma ou Despres ?
La moto c'était la boule au ventre tous les jours... Sur le Dakar, jamais plus !»
Recueilli par Stéfan L'HERMITTE, à Santiago du Chili

Super mec

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Rallye raid - Dakar : Despres : «C'est pas rien»

Cyril Despres (KTM) a remporté samedi le Dakar motos pour la cinquième fois de sa carrière. Il rejoint ainsi Cyril Neveu au nombre de victoires. Despres savoure, d'autant que ce ne fut pas facile.
Cyril Despres a remporté le Dakar motos pour la cinquième fois de sa carrière. (L'Equipe)







«Cyril Despres, vous remportez le Dakar pour la cinquième fois...
Cinq déjà... Elles ont toutes un goût différent... Il y a quelques jours encore, je me demandais si j'allais pouvoir aller jusqu'à Santiago. Et me voici à l'arrivée, je n'ai qu'une impatience c'est en finir avec les interviews, passer le panneau du parc fermé et vraiment l'avoir gagnée. C'est pas rien. Y'a quand même des noms qui se sont mis à ce palmarès. Et rejoindre Cyril Neveu au nombre de victoires, ça me parle.

On vous a senti fébrile en début de course au Pérou. Et puis il y a ce changement forcé de moteur en Argentine. Avez-vous vraiment douté ?
On fait un sport mécanique, et des doutes il y en a régulièrement, surtout quand j'ai commencé à avoir ces petits soucis, la cinquième qui ne passait plus... Là c'est beaucoup de désillusion... Faut pas baisser les bras, mais...

«On pense forcément à la défaite»Au bivouac de Cachi, vous avez lâché que vous aviez perdu le Dakar.
Douze heures sur une moto, c'est long. Dans ma tête, il n'y a rien d'autre que mon cerveau. Bien sûr qu'on pense forcément à la défaite.

Marc Coma, l'homme avec qui vous avez l'habitude de partager les victoires, était absent. Il vous a manqué ?
La blessure, ça fait partie de notre sport. Il s'est blessé au Maroc, il n'était pas assez rétabli. Mais je suis sûr qu'il est déjà à l'entraînement et qu'il regarde 2014.

«Hyper heureux quand je monte sur une moto»




Votre porteur d'eau, Ruben Faria, a terminé deuxième. C' est un beau cadeau.
J'ai été le chercher en 2009, cinq mois avant le Dakar. C'est quelqu'un de humble. Je sentais qu'il pouvait écouter et progresser. Depuis, il m'aide à gagner. C'est une deuxième place de travail et de bonheur.

Quelle image gardez-vous de ce Dakar sud-américain ?
Juste que je suis hyper heureux quand je monte sur la moto le matin.»
ecueilli par Stéfan L'HERMITTE à Santiago du Chili

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Voile - Vendée Globe : Statu quo

Les positions sont restées inchangées dans la nuit de samedi à dimanche. Les leaders devraient atteindre l'anticyclone des Açores mardi et se livrer une dernière bataille pour la victoire.
Armel Le Cléac'h est toujours deuxième dimanche matin. (L'Equipe)







Entre samedi 20h00 et dimanche matin à 5h00, les positions sur le Vendée Globe sont restées inchangées ou presque. Toujours en tête, François Gabart a tout de même gagné 3,2 milles sur Armel Le Cléac'h dans la nuit et compte ce matin 153,2 milles d'avance sur son fidèle poursuivant. D'ici mardi et l'arrivée dans l'anticyclone des Açores, les positions ne devraient pas bouger. «C'est selon les prévisions, la dernière difficulté météorologique avant la grande ruée vers les Sables d'Olonne. C'est également la dernière opportunité qu'aura le skipper de Banque Populaire pour reprendre la main», explique la direction de course sur le site du Vendée Globe.

Derrière, Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3) est toujours troisième avec près de 250 milles d'avance sur Alex Thomson (Hugo Boss). Si l'on voit mal comment le skipper niçois pourrait maintenant revenir sur la tête de flotte, il est en bonne position pour s'assurer un podium aux Sables d'Olonne, avec 245 milles d'avance sur le Britannique, plus rapide ces dernières heures (12,3 noeuds contre 10,8).

Super cette course

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Dans les dunes au Pérou
Le pilote argentin Javier Pizzolito (Honda) lors du Dakar 2013. Le tracé de cette course passera par le Pérou, l'Argentine et le Chili. (Lundi 7 janvier 2013)

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open d'Australie

Djokovic élimine Wawrinka après 5 heures de combat

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Le Vaudois s'est fait sortir en cinq sets dimanche en 8e de finale de l'Open d'Australie après avoir poussé le n°1 mondial Novak Djokovic dans ses derniers retranchements.

1/28Wawrinka a livré une bataille à Novak Djokovic qui restera dans les mémoires.
Image: Keystone



Novak Djokovic, double tenant du titre, a survécu à la formidable résistance de Stanislas Wawrinka pour atteindre les quarts de finale de l'Open d'Australie avec une victoire en cinq sets 1-6, 7-5, 6-4, 6-7 (5/7), 12-10 et 5h02 de jeu, dimanche à Melbourne. C'est la quinzième fois de suite que le N.1 mondial atteint au moins les quarts de finale en Grand Chelem, la troisième meilleure série de tous les temps. Il y rencontrera le Tchèque Tomas Berdych mardi.
Pour y arriver, il a dû franchir un terrible orage face à un adversaire qui a joué le meilleur tennis de sa vie et contre lequel il a eu besoin de toute sa combativité et d'un peu de réussite pour s'en sortir. Signe des épreuves qu'il a dû surmonter, Djokovic a explosé à la balle de match de la même manière qu'il l'avait fait l'année dernière après sa finale face à Rafael Nadal, se mettant torse nu et hurlant sa joie, une fois gagné le dernier point au terme d'un énième échange incroyable.
«Ca fait penser à ce qui s'est passé il y a douze mois avec Rafa. 0n n'est qu'à la moitié du tournoi, mais ce match a le goût d'une finale pour moi», a réagi Djokovic alors qu'on approchait les deux heures du matin à Melbourne. «C'est difficile de trouver les mots pour décrire ce qu'on a ressenti ce soir, Stan mérite tout autant que moi de gagner ce match. Il a tout mon respect», a ajouté le N.1 mondial après avoir réussi à repousser les assauts de Wawrinka qui a joué son meilleur tennis au début et à la fin de ce thriller.
Rien à se reprocher
Le Vaudois, 15e mondial, aurait pu espérer plus lorsqu'il s'est procuré quatre balles de break à 4-4 au cinquième set. Mais il a alors été un tout petit peu trop fébrile, tout comme au deuxième set où il a mené 5-2 et encore 5-3, 30-0 avant de se voir rattraper par le tenant du titre. Pour le reste, Wawrinka n'a absolument rien à se reprocher.
Réputé pour avoir les nerfs fragiles, il a tenu le N.1 mondial en respect jusqu'au bout dans le match le plus long depuis le début de cet Open d'Australie. «C'était lui le joueur le plus agressif, moi je me suis juste accroché, j'ai donné tout ce que j'avais», a commenté Djokovic qui espère que ce marathon ne laissera pas trop de traces à un stade aussi avancé du tournoi.

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Djokovic: «Le patron sur le court, c'était Stan»

TENNIS

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Le Serbe a rendu hommage à Wawrinka sitôt après le match, en direct du court de la Rod Laver Arena.
Par Renaud Tschoumy. Mis à jour à 15h51 1 Commentaire

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Stan Wawrinka (à g.) reçoit les félicitations de son vainqueur Novak Djokovic au terme d'une empoignade de 5 h 02.
Image: AFP
Classement ATP

RNomP1.Novak Djokovic129202.Roger Federer102653.Andy Murray80004.Rafael Nadal66005.David Ferrer65056.Tomas Berdych46807.Juan Martin Del Potro44808.Jo-Wilfried Tsonga33759.Janko Tipsarevic309010.Richard Gasquet272011.Nicolas Almagro251512.Juan Monaco243013.John Isner221514.Marin Cilic221015.Milos Raonic217516.Gilles Simon214517.Stanislas Wawrinka190018.Kei Nishikori187019.Philipp Kohlschreiber183020.Alexandr Dolgopolov1750148.Marco Chiudinelli380353.Sandro Ehrat121360.Michael Lammer119402.Stephane Bohli97408.Adrien Bossel94569.Alexander Sadecky48691.Joss Espasandin30799.Riccardo Maiga18907.Yann Marti12970.Luca Margaroli101084.Lucas Zweili71115.Alexander Ritschard61313.Jens Hauser31361.Kevin Jordi31422.Robin Roshardt21486.Federico Valsangiacomo21581.Vullnet Tashi11683.Adrian Bodmer11683.Dimitri Bretting11853.Jessy Kalambay11903.Patrick Eichenberger1Plus...Moins…


Sitôt sa victoire face à Stanislas Wawrinka compostée (1-6 7-5 6-4 6-7 12-10 après 5 h 02 de match), le Serbe Novak Djokovic, numéro un mondial, n'a pas tari d'éloges à propos de la performance du Suisse, au micro de Jim Courier et au milieu de la nuit de Melbourne.
«C'est dur de trouver les mots pour décrire les sensations qu'on a pu éprouver durant ce match, particulièrement dans le cinquième set. Mais je tiens à souligner que, si cette rencontre a été de ce niveau, le mérite en revient à Stan Wawrinka. Le patron sur le court, c'était lui. Il a constamment dicté les opérations et imprimé le rythme de la partie. Moi, je n'avais qu'une chose à faire: m'accrocher et tenir le plus longtemps possible. J'ai toujours eu un grand respect pour Wawrinka, j'en ai évidemment encore plus que jamais après un match comme celui-là.»
Et de conclure, à l'attention du public debout: «Je suis heureux d'avoir été sur le court pour vous procurer ce plaisir, mais encore une fois, nous étions deux. Maintenant, je vais savourer ma victoire et penser à mon quart de finale de... demain!»
A Melbourne, il était en effet près de 2 h du matin, dans la nuit de dimanche à lundi, lorsque Djokovic a pu quitter le court. Et il affrontera Berdych mardi.

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Le relais suisse distancé

SKI DE FOND

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Cologna & Cie n'ont pas réédité leur succès d'il y a deux ans à La Clusaz.

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Le relais 4 x 7,5 km s'est déroulé dans un cadre idyllique à La Clusaz.
Image: AFP
Deux ans après sa victoire historique au même endroit, le relais suisse n’a pu faire mieux que septième de l’épreuve de Coupe du monde sur 4 x 7,5 km à La Clusaz (Fr). Dario Cologna, lâché sur le deuxième tronçon, n’avait pas le bon ski, mais sa forme n’est pas en cause, comme l’avait démontré sa troisième place la veille sur le 15 km en classique.
Le Grison avait été lancé dans d’excellentes conditions par Curdin Perl, qui avait bouclé son premier relais (en skating) dans le groupe de tête. Mais il a craqué dans les derniers kilomètres de son parcours en classique, n’obtenant que le 7e temps des deuxièmes relayeurs. Son ski n’accrochait pas suffisamment. Cologna a perdu notamment 36 secondes sur le Tchèque Lukas Bauer.
A la lutte pour la 5e place avec l’Allemagne et Russie II, les deux derniers relayeurs suisses, Remo Fischer et Toni Livers, n’ont finalement pas pu emmener leur équipe plus haut que la 7e place. La Norvège, pourtant privée de Petter Northug, s’est imposée, devant la Suède (à 0’’5) et la République tchèque (à 0’’8).

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But de Kossoko pour Servette

FOOTBALL

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Matches amicaux: le club genevois fait match nul contre le CSKA Sofia, tandis que Sion perd contre Bari.
Par Renaud Tschoumy. Mis à jour à 14h50 1 Commentaire

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Omar Kossoko a marqué sur penalty pour le SFC.
Image: eric Lafargue
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• Servette FC
• FC Sion

Engagés en match amical samedi, le Servette FC et le FC Sion n'ont pas connu le même résultat.
En Turquie, Servette a fait match nul contre le CSKA Sofia. C'est Omar Kossoko qui a ouvert le score à la 36e minute. Il a transformé un penalty accordé pour une faute sur le très remuant Vitkieviez.
A Bari, sur une pelouse synthétique, le FC Sion s'est incliné 0-1 face à Bari (Serie B italienne). Plus de 1000 spectateurs ont assisté à une rencontre dans laquelle le club suisse a été souvent désavantagé par un arbitrage tendancieux.
Les Servettiens rentreront de leur camp mercredi, alors que les Sédunois reviendront de Calabre jeudi.