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Contador vise le Giro et le Tour de France

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L'Espagnol Alberto Contador (Saxo-Tinkoff) a expliqué dimanche au site internet du journal Marca que "le plus probable" serait qu'il dispute en 2013 le Tour d'Italie et le Tour de France, sacrifiant ainsi la Vuelta qu'il avait remportée en 2012.
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"Doubler Giro-Tour est une possibilité et c'est la plus probable", a affirmé Contador, 30 ans. Avant de détailler: "Ce Giro, de par son parcours, moins exigeant que celui de 2011, est meilleur pour préparer le Tour, mais il est clair que si j'y vais, c'est aussi pour le remporter".

Le Tour d'Italie pourrait ainsi être une répétition de choix pour Contador, dont le grand objectif est cette saison de remporter le Tour, après que le coureur natif de Pinto eut dû faire l'impasse sur celui de la saison dernière pour une suspension pour dopage de deux ans.

Mais le double vainqueur de la Grande Boucle (2007 et 2009) n'exclut toutefois pas catégoriquement de disputer la Vuelta.

"Si je ne fais pas le Giro, je devrai voir dans quel état de fraîcheur je termine le Tour parce que la Vuelta de cette saison est vraiment très dure, même s'il est vrai que l'équipe s'est bien renforcée cette année et que je serai donc bien épaulé". Le coureur de Saxo-Tinkoff commencera par le Tour de San Luis en Argentine lundi.

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Gabart toujours en tête du Vendée Globe

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François Gabart (Macif) pointait toujours en tête du Vendée Globe lundi matin devant Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) et Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3) mais avait un peu ralenti par rapport à ses deux poursuivants immédiats.
A 05h00 lundi, Gabart n'avançait plus qu'à 9,5 noeuds dans des vents de nord-est faiblissant, contre 12,6 pour Le Cléac'h et 14,4 pour Dick.

L'écart entre Gabart et Le Cléac'h s'était stabilisé à un peu plus de 140 milles, soit environ une demie journée de mer.

Douze navigateurs étaient encore en course lundi matin sur les 20 qui ont pris le départ le 10 novembre aux Sables-d'Olonne (Vendée). Les premiers concurrents sont attendus aux Sables le week-end prochain.

Classement à 05h00:

1. François Gabart (Fra/Macif) à 1.858,8 milles de l'arrivée

2. Armel Le Cléac'h (Fra/Banque Populaire) à 142,8 milles du premier

3. Jean-Pierre Dick (Fra/Virbac-Paprec 3) 474,4

4. Alex Thomson (G-B/Hugo Boss) 739,9

5. Jean Le Cam (Fra/SynerCiel) 2.340,7

6. Mike Golding (G-B/Gamesa) 2.349,1

7. Dominique Wavre (Sui/Mirabaud) 2.536,9

8. Javier Sanso (Esp/Acciona) 2.589,3

9. Arnaud Boissières (Fra/Akena Vérandas) 2.699,0

10. Bertrand de Broc (Fra/EDM Projets) 3.358,2.

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Chelsea résiste de justesse au retour d'Arsenal

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Chelsea a profité d'un excellent début de match pour battre Arsenal 2-1 devant 41.784 spectateurs dimanche à Stamford Bridge pour le compte de la 23e journée du championnat d'Angleterre, et reprend provisoirement cinq points d'avance au classement sur le quatrième, Tottenham.
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Les champions d'Europe ont parfaitement débuté le match, inscrivant deux buts par Mata (6) et Lampard sur penalty (16) dans le premier quart d'heure, laissant Arsenal totalement K.O.

La seconde période a en revanche été tout à l'avantage d'Arsenal. Les Gunners se sont créé beaucoup d'occasions, notamment par Olivier Giroud (5, 57), Cazorla (9) Walcott (48) ou Mertesacker (47). Mais les hommes de Wenger n'ont pu inscrire qu'un seul but, grâce à Walcott (58).

Les visiteurs se sont pourtant rués à l'assaut, en particulier pendant les arrêts de jeu, obtenant quatre coups de coin consécutifs Olivier Giroud a même eu le ballon du 2-2 à l'ultime seconde, mais n'a pas cadré sa tête (90e+5).

Chelsea a plié, mais pas rompu. Demba Ba aurait d'ailleurs pu éviter une fin de match aussi crispante à ses partenaires. Mais il a tiré sur Vermaelen à la 83e. Fernando Torres avait lui contraint le gardien Wojciech Szczesny à la parade à la 76e.

Chelsea renforce ainsi sa troisième place au classement avec cinq points d'avance sur Tottenham qui reçoit Manchester United dimanche après midi. Arsenal est sixième du classement, à six points des Spurs.

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Timo Glock et Marussia se séparent


L'Allemand Timo Glock ne pilotera plus une Formule 1 de l'écurie Marussia, rapporte Sport Bild Plus dimanche soir, qui explique que l'annonce de leur séparation sera officielle lundi.

Le pilote allemand, 31 ans le 18 mars prochain, a passé trois ans au volant de l'écurie russe "J'ai passé trois super années", a expliqué celui qui fut l'équipier de Jérôme D'Ambrosio chez Marussia en 2011. "Nous nous sommes séparés en toute amitié. Je veux poursuivre dans le monde automobile et trouver un nouveau challenge à relever."
Il est possible que Timo Glock quitte tout à fait le monde de la Formule 1, pour reprendre par exemple un volant en DTM, le championnat allemand des voitures de tourisme. Glock fut un ancien pilote d'essai chez BMW-Sauber en Formule 1 et a gardé de bons contacts à Munich, rapporte encore Sport Bild Plus.
Timo Glock effectuera d'ailleurs trois jours de tests dès mardi à Valence au volant notamment d'une BMW. Mercedes sera lui aussi en Espagne avec un autre ancien pilote de F1, le Polonais Robert Kubica, qui effectuera ses débuts comme pilote essayeur en DTM.
Timo Glock a disputé 91 Grand Prix en Formule 1 depuis 2004 (4), mais surtout depuis 2008. Son contrat chez Marussia courait jusqu'en 2014.

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Niels Albert champion du monde de cyclocross

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Niels Albert (BKCP-Powerplus), champion du monde en titre, a remporté la Coupe du monde de cyclocross pour la deuxième fois de sa carrière au terme de la dernière manche remportée par le Tchèque Martin Bina (CEZ Groupe) dimanche à Hoogerheide, aux Pays-Bas.
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Quatrième des Mondiaux en 2010, Bina a devancé le Néerlandais Lars van der Haar (Rabobank-Giant) de 7 secondes. Le Suisse Simon Zahner (EKZ Racing), 3e, complète le podium.

Premier belge à l'arrivée, Sven Nys (Crelan-Euphony) a pris la 4e place juste devant Niels Albert, 5e. Victorieux l'an dernier du classement général de la Coupe du monde, Kevin Pauwels, victime d'ennuis mécaniques dans le dernier tour, a du se contenter de la 8e place.

Seul Pauwels pouvait encore véritablement menacer le leader de la Coupe du monde, Niels Albert, qui pensait pouvoir gérer sa course en restant dans le roue de Pauwels. Le Campinois a tout de même pu lâcher Albert à un tour de l'arrivée et semblait filer vers la victoire et son deuxième succès final en Coupe du monde, mais la malchance mécanique en a décidé autrement.

Niels Albert, vainqueur de la Coupe du monde en 2011, est couronné avec 540 points devant Kevin Pauwels (515 pts) et Sven Nys (506 pts).

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Hand - ChM (Hommes) : L'orgueil des champions

L'équipe de France a fait la différence dans les dernières minutes pour battre l'Islande (30-28), dimanche, se qualifier pour les quarts de finale et se rassurer.
Battus par l'Allemagne en épilogue du premier tour, Nikola Karabatic et les Bleus ont réagi contre l'Islande pour se qualifier en quarts de finale du Mondial espagnol, dimanche à Barcelone. (L'Equipe)







A l’issue de son premier match couperet, l’équipe de France n’a pas eu la tête tranchée. Deux jours après avoir perdu contre l’Allemagne (32-30), les Bleus ont réagi contre l'Islande (30-28) et gagné le droit de poursuivre l’aventure en terre espagnole. Et, si tout n’a pas été parfait dans leur jeu, les champions olympiques se sont quelque peu rassurés. «C’est une petite bouffée d’air», a ainsi commenté William Accambray. Peu utilisé jusqu’à présent, l’arrière gauche de Montpellier a été l'un des hommes déterminants dans le succès des Bleus, très actif sur son côté, marquant cinq fois, rapide, agressif. «C’est le genre de match que j’aime, a-t-il déclaré. Quand il y a de la tension, de l’enjeu, du stress.» Car la bataille a bien eu lieu.

Honrubia énorme en première période

A quatre minutes de la fin, l’équipe de France ne comptait qu’un but d’avance. Contrairement à ce qui avait été vu deux jours plus tôt, les Bleus ont cette fois tenu leur adversaire dès le début de la rencontre. Samuel Honrubia a été énorme pendant cette première période, en inscrivant la moitié des buts tricolores, et avec une efficacité devant la cage (7/8) qui n’est qu’une confirmation de ce qu'on a vu depuis le début du Mondial. Mais les Islandais, à la recherche eux aussi d’un match référence dans ce Mondial, après des défaites contre la Russie et le Danemark, n’ont jamais renoncé.

La délivrance avec Karabatic, Abalo et Guigou




Sous la houlette d’Aron Palmarsson, leur meilleur joueur, ils ont su surprendre l’équipe de France avec des montées de balle très rapides. Résultat : les Bleus n’ont jamais pu garder leur distance au tableau d’affichage. Le 15-12 (29e), sur un but de Cédric Sorhaindo, a vite été gommé. Même chose en seconde période. Les Bleus ont eu quatre unités d’avance (25-21, 46e) mais Borir Olafsson (trois buts) et Vignir Svavarsson ont relancé l’Islande. Et c’est finalement un boulet de canon de Nikola Karabatic (56e) qui a délivré les Français, suivi dans la foulée d’une interception de Luc Abalo et de deux buts d'un Michaël Guigou rageur. L’ailier gauche de Montpellier, qui alterne avec Samuel Honrubia, a lui aussi fait du bon boulot (6/6) dimanche soir.

«Tout le monde la voulait, cette victoire» (Daniel Narcisse)«On a vu que tout le monde la voulait, cette victoire, a déclaré Daniel Narcisse. Nous avons réussi à mettre du doute dans la tête des joueurs adverses. Et le niveau de jeu monte pour le prochain tour.» Cédric Sorhaindo a, lui, préféré évoquer «une victoire en demi-teinte. C’est bien mais il manque encore un petit quelque chose». Qualifiés pour les quarts de finale, mercredi à Saragosse, les Français attendent désormais de connaître leur adversaire. Ça sera la Croatie ou le Bélarus, qui s’affrontent lundi.
Olivier PAQUEREAU, à Barcelone

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Basket - NBA : Le Thunder est tombé

Après six victoires d'affilée, Oklahoma City s'est incliné à Denver (121-118 ap). Dallas est allé gagner à Orlando (111-105) et Detroit a dominé Boston (103-88).
Kevin Durant a inscrit 37 points contre Denver mais cela n'a pas suffi. (Reuters)







Outre la défaite des Lakers à Toronto (108-103), il y avait trois autres matches dimanche soir. Le plus important d'entre eux opposait Denver, 6e à l'Ouest, et Oklahoma City, 2e de cette même conférence. Et la rencontre a tenu ses promesses puisqu'elle s'est jouée dans la prolongation et les Nuggets se sont imposés de seulement trois points (121-118 ap). C'est sur un layup de Kenneth Faried à 46 secondes du buzzer que Denver a pris le dernier avantage (117-116). Les joueurs du Colorado ont ensuite assuré au lancer franc pour s'imposer, stoppant la série de victoires consécutives du Thunder à six unités.

Oklahoma City a pourtant fait ce qu'il fallait pour s'offrir un septième succès de suite, avec notamment 37 points de Kevin Durant et 36 de Russell Westbrook. Mais ils ont tous les deux manqué un trois points dans les dernières secondes qui auraient pu envoyer le Thunder dans une deuxième prolongation. C'est d'ailleurs sur un trois points de Westbrook que OKC avait décroché la première rallonge. «C'est le meilleur match de basket que j'ai vu cette année, a commenté le coach des Nuggets, George Karl. Les deux équipes n'ont rien lâché et se sont rendu coup pour coup. Nous avons dépassé certains passages difficiles pour nous en sortir. Quand vous concédez 50 lancers francs mais gagnez quand même, cela veut dire que vous avez fait du bon boulot. Cela prouve que nous pouvons être une bonne équipe.»

Le collectif de Dallas a parlé

Dans les autres rencontres, Dallas, qui venait justement de s'incliner contre OKC, et qui est englué à la 11e place à l'Ouest, a décroché une précieuse victoire à Orlando (111-105). Pas moins de sept joueurs de la franchise texane ont marqué plus de dix points (20 pour Marion, 15 pour Carter et Mayo, 14 pour Brand, 12 pour Nowitzki...) et c'est un trois points de Darren Collison à 31"9 du terme qui a offert l'air nécessaire aux Mavericks pour décrocher un 18e succès en 42 matches. Enfin, le duel entre Detroit, 10e à l'Est, et Boston, 8e, a assez largement tourné à l'avantage des plus mal classés (103-88). Les Pistons n'ont jamais été menés et ont compté jusqu'à 19 points d'avance, grâce notamment à Drummond (16 pts), Bynum (15), Monroe (15) et Knight (15).

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Rugby - Coupe d'Europe : Clermont-Montpellier, un déchirement

Clermont et Montpellier se retrouveront donc en quarts de finale de la Coupe d'Europe. Le vainqueur aura le privilège de recevoir en demis. Toulon accueillera lui Leicester mais devra ensuite se déplacer en cas de succès.
Clermont-Montpellier, affiche des quarts de finale de Coupe d'Europe. (L'Equipe)







Grace au tirage au sort, on a évité la grande déception. Celle de voir les clubs français regroupés dans une partie du tableau de la phase finale. Reste que Clermont-Montpellier, en quart de finale de H-Cup, c’est un déchirement. Voilà bien les deux meilleurs clubs français, si l’on considère le jeu qu’ils pratiquent depuis trois saisons, complet, alerte, inspiré. Qu’ils s’affrontent au stade Marcel-Michelin privera la Coupe d’Europe d’un magnifique ambassadeur du rugby en demi-finale.

Interrogé hier sur l’Equipe 21, l’ouvreur international héraultais François Trinh-Duc paraissait déçu d’avoir à voyager en Auvergne dans le cadre de la H-Cup. «La Coupe d’Europe, ce sont des déplacements en Grande-Bretagne, des rencontre face aux clubs anglais ou irlandais… Là, affronter Clermont, c’est un comme comme en Top 14… »

Toulon-Leicester, choc de packs

Quant au troisième club français en lice, Toulon, son adversaire, Leicester, laborieux vainqueur ce dimanche de Toulouse, lui donnera l’occasion de s’étalonner avec un grand d’Europe. Cette rencontre entre deux poids-lourds, deux packs énormes, devrait plaire à l’exigeant public de Mayol.

Les deux clubs anglais basés à Londres, et qui ont dominé cette phase qualificative, à savoir les Harlequins et les Saracens, sont chacun dans une partie du tableau. Ils ne devraient se rencontrer qu’en finale… Ils sont idéalement placés puisqu’ils reçoivent respectivement le Munster et l’Ulster, que l’on sent en dessous de leur niveau habituel. Pour la suite de la compétition, les Saracens auront même l’avantage de recevoir en demi-finale, s’ils passent le cap de l’Ulster. Compte tenu de l’implantation du tableau, la finale, prévue à Dublin, le 18 mai prochain, proposera une affiche inédite.
Richard ESCOT

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Foot - Angleterre - 23e j. : MU a craqué

Au lendemain du succès de Manchester City contre Fulham (2-0), Manchester United a concédé le match (1-1) en toute fin de match contre Tottenham (90e+4) et n'a plus que cinq points d'avance sur son rival.
Le Manchester United de Wayne Rooney n'a pas réussi à conserver son but d'avance contre Tottenham. (Reuters)







Le "Fergie time" s’est retourné contre Manchester United. Habitués à retourner des situations compromises en toute fin de match, les Mancuniens ont vécu ce qu’ils ont infligé à tant d’équipes ce dimanche contre Tottenham (1-1). Menés depuis la 25e minute, les Spurs ont égalisé à la dernière seconde par l’intermédiaire de Clint Dempsey (90e+4). Une juste récompense pour les Londoniens, qui ont posé énormément de problèmes au leader (25 tirs à 5).

De Gea, trois arrêts de classe

Ils se sont procuré la première occasion dangereuse, mais Aaron Lennon a vu sa frappe repoussée par David De Gea (14e). Le début du festival du gardien espagnol, auteur de parades aussi décisives qu’impressionnantes. Il a réalisé un premier miracle sur un missile de Gareth Bale, qu’il a repoussé la jambe (40e), un deuxième en remportant, du pied, un duel avec Dempsey (51e) et un dernier en détournant une frappe puissante de l’international américain (67e). De Gea a également pu compter sur ses partenaires, notamment Rio Ferdinand, auteur d’un retour déterminant sur Defoe (78e) et d’une tête pour détourner une tentative de Bale (86e). Mais il a commis une erreur sur le but de Dempsey, en dégageant du poing sur Lennon, auteur du centre décisif.

Van Persie, une occasion, un but




Les Mancuniens, eux, n’ont eu besoin que d’une occasion franche pour ouvrir le score. De la tête, Robin van Persie a marqué son dix-huitième but de la saison, histoire d’augmenter son avance au classement des buteurs de la Premier League sur Luis Suarez (16 réalisations). Sur le coup, Hugo Lloris était un peu court pour couvrir son deuxième poteau. Les Red Devils, qui restaient sur une série de cinq victoires en Premier League, voient Manchester City, qui s’est imposé samedi contre Fulham (2-0), revenir à cinq points. Tottenham est quatrième, avec quatre points d'avance sur Everton qui joue lundi (21h00) contre Southampton.

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Voile - Vendée Globe : Gabart reste méfiant

François Gabart est toujours en tête du Vendée Globe avec une avance de plus de 140 milles sur Le Cléac'h. Attendu dans 6 jours à l'arrivée, le skipper ne veut pas s'emballer.
François Gabart doit encore tenir une semaine. (D.R)







François Gabart est désormais engagé dans ce qui devrait être sa dernière semaine de course. Selon les organisateurs, le leader du Vendée Globe devrait arriver samedi prochain aux Sables-d'Olonne. «Je me presse de rentrer, malgré le froid qu'il fait chez vous, car il y a quand même des choses pas mal sur la terre ferme, a déclaré le skipper de Macif. Je pense que je vais apprécier de retrouver une vie un peu plus normale. Il va falloir continuer à rester concentré jusqu'au bout, mais j'y suis préparé donc ça va bien se passer. Mais c'est en se rapprochant des côtes qu'on risque de percuter un OFNI. Il faut faire attention. Je suis assez fataliste à ce sujet.»

Sauf incident grave, le Français devrait remporter cette septième édition du Vendée Globe, lui qui maintient un écart autour des 140 milles sur Armel Le Cléac'h. Ce dernier doit prendre un noeud de vitesse moyenne au leader pour espérer le rattraper avant l'arrivée. Pas impossible mais difficile... Derrière, Jean-Pierre Dick est toujours troisième, à plus de 500 milles de la première place.