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La Chaux-de-Fonds s’offre Olten

Hockey sur glace

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Le HCC a battu le leader 4-0 lors de la 48e journée de LNB.
Mis à jour le 22.01.2013

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Image: Keystone
La Chaux-de-Fonds va beaucoup mieux. Après avoir traversé une période tourmentée, le HCC a confirmé son renouveau en s’offrant le leader Olten 4-0 lors de la 48e journée de LNB.
Devant les 2133 spectateurs des Mélèzes, Jinman a ouvert la marque pour les Neuchâtelois à la 11e minute, imité à la mi-match par un autre vétéran, Pochon. Zigerli et Kast ont ensuite assuré la victoire au cours de l’ultime tiers.
Grâce à ce succès, le quatrième lors des cinq derniers matches, le HCC grimpe d’un rang à la 5e place de LNB. Quant aux Soleurois d’Olten, ils ont enfin trouvé leur maître après six succès consécutifs.
La victoire chaux-de-fonnière a fait les affaires de Langenthal. Vainqueurs 5-2 à Sierre, les Bernois ne sont plus qu’à trois points de la première place d’Olten.
Au troisième rang, Ajoie a renoué avec la victoire après deux défaites. Les Jurassiens sont allés s’imposer 5-3 à Viège, grâce notamment à un doublé de Mäder dans le dernier quart d’heure. Tout comme Langenthal, Ajoie n’est plus qu’à trois points de la première place. Du côté de Malley, Lausanne a raflé la mise 4-2 face aux Grasshopper. Avec dans les buts le jeune Christophe Bays (21 ans), de retour d’un prêt à Sierre pour remplacer Huet, le LHC a été cueilli à froid en encaissant un premier but après une minute de jeu. Le LHC n’a toutefois pas tardé à inverser la tendance grâce à des réussites de Ausburger, Genoway, Kamerzin et Dostoinov.
Ce succès fait du bien aux Vaudois, eux qui restaient sur deux défaites. Ils demeurent ainsi dans le sillage du trio de tête, à toujours quatre points du duo Ajoie/Langenthal. Finalement, dans le match des mal classés, Red Ice est allé gagner 2-1 tab sur la glace de Thurgovie. Les Octoduriens, qui ont vu leur adversaire égaliser à deux minutes de la fin du match, ont eu le mérite de se ressaisir lors des tirs au but. Ce succès ne leur permet toutefois pas de repasser du bon côté de la barre, avec un point de retard sur la 8e place de Bâle.
LNB. Hier: La Chaux-de-Fonds - Olten 4-0 (1-0 1-0 2-0). Lausanne - Grasshopper 4-2 (1-1 3-1 0-0). Sierre - Langenthal 2-5 (0-1 1-3 1-1). Thurgovie - Red Ice Martigny 1-2 tab (0-0 0-0 1-1 0-0). Viège - Ajoie 3-5 (2-1 0-2 1-2).
Classement: 1. Olten* 44/93. 2. Langenthal* 44/90. 3. Ajoie* 44/90. 4. Lausanne* 43/86. 5. La Chaux-de-Fonds 43/72. 6. Viège 44/70. 7. Grasshopper 43/60. 8. Bâle 43/59. 9. Red Ice Martigny 44/58. 10. Thurgovie 44/22. 11. Sierre 44/20. * en play-off

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L’exploit de Bradford City

FOOTBALL

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Bradford City a réalisé un incroyable exploit. Le club de League Two (4e division) s’est qualifié pour la finale de la Coupe de la Ligue anglaise.
Mis à jour le 22.01.2013 1 Commentaire

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Au coup de sifflet final, les joueurs de Bradford City (ici Rory McArdle) ont pu lever les bras au ciel.
Image: Andrew Yates/AFP
Bradford City a réalisé un incroyable exploit. Le club classé 10e en League Two (4e division) s’est qualifié pour la finale de la Coupe de la Ligue anglaise en s’inclinant 2-1 sur la pelouse d’Aston Villa, après avoir gagné 3-1 au match aller. Aston Villa pensait pourtant être en mesure de renverser la tendance. De fait, le club de l’élite a dominé la première période et marqué par l’international belge Benteke à la 24e. Mais les visiteurs ont égalisé à la 55e sur une tête d’Hanson consécutive à un corner. La force des Bantams dans le jeu aérien sur les balles arrêtées a posé d’insolubles problèmes aux joueurs de Villa, comme d’ailleurs au match aller. Malgré une réussite de Weimann à la 89e et une folle pression dans les ultimes instants, les Villans ne parvenaient pas à arracher les prolongations. Ce cinglant échec va encore fragiliser la position de Paul Lambert, le manager d’Aston Villa, qui lutte contre la relégation en Premier League. Pour sa part, Bradford disputera donc la finale le dimanche 24 février à Wembley, contre Swansea ou Chelsea. Les Gallois ont remporté le match aller 2-0 à Londres. Dans sa route vers Wembley, Bradford avait auparavant sorti deux autres clubs de Premier League, soit Wigan et Arsenal. David contre Goliath

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La Tunisie contre le cours du jeu

Football

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Les Tunisiens ont empoché le jackpot face à l'Algérie grâce à une somptueuse frappe de Mskani à la 91e.
Mis à jour le 22.01.2013

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Msakni a une nouvelle fois été décisif pour la Tunisie..
Image: AFP
La Tunisie, sur un superbe but de Msakni en pleine lucarne dans le temps additionnel, a brisé une Algérie pourtant plus convaincante dans le jeu pour remporter une précieuse victoire (1-0) dans le "groupe de la mort" de la CAN 2013, à Rustenburg.
La Tunisie se campe juste derrière la Côte d’Ivoire dans le groupe D, après la victoire des Eléphants, à l’arraché elle aussi, contre de séduisants Togolais (2-1).
La partie s’acheminait vers un énième match nul dans ce tournoi, quand Msakni décochait une frappe enroulée de toute beauté dans la lucarne droite de Mbolhi (90+1). Un coup très rude pour les Fennecs plus tranchants offensivement. Le milieu offensif qui avait illuminé la CAN 2012 de la Tunisie, avait pourtant eu beaucoup de mal à exister, à l’image d’un entrejeu tunisien qui avait dans l’ensemble souffert. Les deux entraîneurs avaient insisté sur la "concentration". Les deux équipes l’auront été, quitte à perdre de vue le grain de folie nécessaire pour emballer une rencontre et se détacher au score.
Il y aura "certainement de l’agressivité, des duels, des accrochages", avait prédit Sami Trabelsi. Le sélectionneur tunisien avait vu juste concernant le début de partie, haché par de nombreuses fautes, chaque équipe cherchant à prendre un ascendant psycho-physique sur l’autre. Dans un contact, Jemaa se blessait à la cuisse gauche et devait sortir dès la 16e minute, peu après un carton jaune adressé à Abdennour pour avoir séché Feghouli en pleine course (12). Et l’arbitre devait sermonner les joueurs toutes les quinze secondes ou presque.
Mais la tension retombait et le jeu reprenait ses droits, sans toutefois aller droit au but. S’il y avait des espaces et de la vitesse, il manquait les occasions franches. La plus nette est revenue à l’avant-centre algérien Slimani qui expédiait un centre de Feghouli sur la barre (29). Apogée de la rencontre qui donnait le ton, c’est-à-dire la légère supériorité des Fennecs.
La domination des Algériens, auteurs par ailleurs de quelques frappes puissantes léchant les poteaux adverses, reposait sans doute sur l’activité de Feghouli, omniprésent à l’animation, juste devant Lacen, capitaine qui verrouillait l’entrejeu. Kadir en revanche, sur l’aile gauche, aura gâché ses quelques opportunités, de frappe molle (23) en demi-volée dévissée (33).
Les Aigles de Carthage se sont montrés, eux, assez timorés. Privilégiant la contre-attaque, ils ont raté le coche par Khlifa, qui tirait sur le gardien (43), et surtout par Harbaoui, qui manquait le cadre, seul face au même Mbolhi (75).
Mais Msakni, malgré une période de méforme ces derniers mois et un transfert vers le Qatar, est un habitué des buts cruciaux. Il l’a encore montré mardi.
Les Tunisiens ont évolué en seconde période avec le Sédunois Darragi.

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Coupe Davis - Etats-Unis: Isner, Querrey et les frères Bryan contre le Brésil


John Isner, Sam Querrey et les frères Mike et Bob Bryan en double, constitueront l'équipe des Etats-Unis contre le Brésil le week-end prochain lors du premier tour de Coupe Davis, a annoncé mardi la Fédération américaine. La rencontre sera disputée du 1er au 3 février à Jacksonville (Floride), sur dur et court couvert. Isner, N.13 mondial, est le mieux classé des joueurs américains, suivi de Querrey, N.22. Les Américains détiennent le record de victoires en Coupe Davis avec 32 succès. En quatre confrontations avec le Brésil ils l'ont emporté trois fois dont la dernière en 1997. Le seul succès du Brésil remonte à 1966. Le capitaine de l'équipe américaine est l'ancien N.1 mondial Jim Courier. L'an dernier les Américains avaient été éliminés en demi-finale en Espagne. Le Brésil, pour sa part, sera composé de Thomaz Bellucci (N.33), Thiago Alves (N.145), ainsi que de Marcelo Melo et Bruno Soares, qui sont chacun parmi le Top 4 mondial en double mais avec des partenaires différents.

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Open d'Australie - Déclaration


Serena Williams (USA, battue par Sloane Stephens en quarts de finale): "Mon dos est raide depuis plusieurs jours. Quand j'ai voulu ramener cette amortie au deuxième set, ça s'est bloqué. C'était douloureux et j'avais du mal à tourner le buste ensuite, surtout en revers. Il n'y avait pas grand-chose à faire. Je prends déjà des anti-inflammatoires pour ma cheville. Mais je pense aussi que mon adversaire a fait du bon boulot. Ca a été une quinzaine difficile, la pire de ma vie en Grand Chelem, avec ma cheville qui est grosse comme ça, et mon dos. Je suis presque soulagée que ce soit fini. J'ai pensé une nanoseconde à abandonner. Mais c'était un quart de finale en Grand Chelem. Il aurait fallu que je sois en chaise roulante pour jeter l'éponge. Ca n'a évidemment pas été mon meilleur match de ces derniers mois."

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Vendée Globe - Gabart, 1er, augmente un peu son avance sur Le Cléac'h, 2e


PARIS, 23 jan 2013 (AFP) - François Gabart, en tête du Vendée Globe, a augmenté sa vitesse et repris des milles mercredi matin à son concurrent immédiat Armel Le Cléac'h, tandis que Jean-Pierre Dick, dont le bateau a perdu sa quille dans la nuit de lundi à mardi, était toujours 3e. A 05h00 heure française mercredi, Gabart (Macif) se trouvait à peu près à la latitude de Rabat et progressait un peu plus vite que Le Cléac'h (Banque Populaire): 11,2 noeuds contre 8,7. Le leader de la course autour du monde marchait cap au nord/nord-est et se préparait manifestement à passer "sous" (au sud) des Açores. Le Cléac'h a semble-t-il tenté de couper au plus court vers l'arrivée aux Sables-d'Olonne (Vendée) et naviguait dans des vents de sud-ouest un peu plus faibles que ceux de Gabart. Du coup, l'écart entre les deux leaders, qui était de 96,7 milles mardi à 20h00 heure française, était de 118,7 mercredi matin et devrait augmenter encore. Privé de sa quille, ballasts remplis au maximum pour assurer la meilleure stabilité possible au bateau, Dick (Virbac Paprec 3) était toujours 3e mercredi matin et faisait cap au nord vers les Açores à une vitesse de 11 noeuds. Il perdait logiquement du terrain sur le Britannique Alex Thomson (Hugo Boss), qui n'était plus qu'à 170 milles de son tableau arrière.
Les premiers concurrents sont attendus aux Sables dès samedi.
Classement à 05h00 (heure de Paris): 1. François Gabart (FRA/Macif) à 1.491,7 milles de l'arrivée 2. Armel Le Cléac'h (FRA/Banque Populaire) à 118,7 milles du premier 3. Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3) à 512,3 4. Alex Thomson (GBR/Hugo Boss) à 682,7 5. Jean Le Cam (FRA/SynerCiel) à 2.277,4 6. Mike Golding (GBR/Gamesa) à 2.291,1 7. Dominique Wavre (SUI/Mirabaud) à 2.555,1 8. Javier Sanso (ESP/Acciona) à 2.636,1 9. Arnaud Boissières (FRA/Akena Vérandas) à 2.692,6 10. Bertrand de Broc (FRA/EDM Projets) à 2.993,6 11. Tanguy de Lamotte (FRA/Initiatives coeur) à 3.346,2
12. Alessandro Di Benedetto (FRA/Team Plastique) à 4.095,4

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Open d'Australie (en direct Federer- Tsonga 9h30)

19.01.2013 15:32 mise à jour le 22.01.2013 à 12:39
Federer a remporté son quatrième match en autant de duel face à Raonic. Lors des précédentes parties, le Bâlois avait à chaque fois concédé le premier set. [Andy Wong - Keystone]

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Serena Williams sortie par sa plus grande fan, 19 ans

© getty.
C'est Sloane Stephens et non Serena Williams qui rencontrera Victoria Azarenka en demi-finales de l'Open d'Australie jeudi après avoir créé la plus grande sensation du tournoi, mercredi à Melbourne. Stephens, 19 ans, a battu 3-6, 7-5, 6-4 une Serena diminuée par des spasmes au dos, sans que cela n'enlève rien au formidable exploit réussi par la jeune Américaine qui a déboulonné son idole dont les posters ornaient sa chambre.

"Je ne sais pas, oh mon Dieu. C'est complètement fou, je pense que je vais coller un poster de moi-même sur mes murs", a réagi Stephens qui disputait seulement le premier quart de finale en Grand Chelem de sa carrière.

La surprise du tournoi
Personne n'aurait misé un dollar australien sur une victoire de la 29e mondiale qui est certes la représentante la plus brillante de la nouvelle génération mais qui ne devait pas faire le poids face à Serena. Depuis sa défaite au premier tour de Roland-Garros face à Virginie Razzano, la N.3 mondiale n'avait perdu qu'un match sur 41. Wimbledon, le tournoi olympique, l'US Open, le Masters, Brisbane, rien n'a résisté ces derniers mois à Serena qui visait ouvertement, à 31 ans, le Grand Chelem en remportant les quatre tournois majeurs sur une année.

Sloane Stephens, jeune athlète noire dont la puissance rappelle celle de son idole, a déchiré cette feuille de route pour réussir l'une des plus grosses surprises de la dernière décennie en tennis. Certes, Serena Williams a de nouveau été trahie par son corps dans un tournoi où rien ne lui aura été épargné, avec une entorse à la cheville dès le premier tour et une lèvre ouverte au deuxième avec sa propre raquette. "Ce sont les deux pires semaines de ma vie", a-t-elle déploré mercredi sur le court lorsqu'elle a été cueillie par des spasmes au dos au milieu du deuxième set sur une course vers l'avant pour rattraper une amortie.

Combattive
D'abord soignée sur le terrain, elle est même brièvement retournée aux vestiaires pour des soins supplémentaires. Après son retour, elle n'a plus cessé de grimacer. Incapable de servir correctement, elle a perdu le deuxième set avant de retrouver une partie de ses moyens dans le troisième, même si son niveau de jeu restait précaire. "Mon dos était raide depuis quelques jours. Sur cette amortie au deuxième set, il s'est bloqué", a expliqué la quintuple championne à Melbourne. Mais Serena, en guerrière qu'elle est, n'a jamais cessé de combattre ce qui rend la victoire de Stephens si méritoire.

Ce coup de théâtre prive Serena d'une troisième victoire de suite en Grand Chelem et permet à Azarenka de conserver provisoirement sa place de N.1 mondiale qu'elle peut encore perdre face à Maria Sharapova et... Serena. Azarenka s'est donnée une chance de conserver son titre en battant la Russe Svetlana Kuznetsova (7-5, 6-1).

Azarenka prête à tout
La Belarusse a pris un mauvais départ en étant menée 4-1 dans le premier set après plusieurs jeux très disputés. Mais elle a ensuite mis le turbo pour gagner douze des quatorze derniers jeux pour s'imposer en 1 heure et 47 minutes, dont 1h17 pour le premier set.

"Au début j'avais besoin de m'ajuster car elle a un jeu différent. Je suis contente d'avoir pu renverser la situation", a déclaré Azarenka qui a gagné son seul titre du Grand Chelem l'année dernière à Melbourne avec une victoire en finale sur Sharapova. Celle-ci, qualifiée depuis la veille tout comme sa future adversaire jeudi, la Chinoise Li Na, rêve plus que jamais d'une revanche.

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Shakira et Piqué parents d'un petit Milan

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Shakira a donné naissance à un petit garçon prénommé Milan, ce mardi soir à 22h30.
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Shakira est devenue maman ce mardi soir d'un petit Milan, né de son union avec le footballeur Gerard Piqué. C'est le premier enfant du couple le plus glamour d'Espagne. Le bébé est né à la Clínica Teknon de Barcelone.

"Nous sommes heureux d'annoncer la naissance de Milan Piqué Mebarak, fils de Shakira Mebarak et Gerard Piqué, né le 22 janvier à 21H36 (20H36 GMT) à Barcelone, en Espagne", ont-ils écrit sur Twitter.

Milan pèse trois kilos et "la maman et le nouveau-né sont en parfaite santé", ont affirmé les deux parents.

Le quotidien sportif catalan Sport avait précisé peu auparavant que l'accouchement s'était déroulé par césarienne à la clinique Teknon de Barcelone.

Selon un autre quotidien espagnol, Mundo Sportivo, la chanteuse était arrivée au centre médical vers 18H30 locales (17H30 GMT). "Je vous demande de m'accompagner par vos prières en ce jour si important de ma vie", avait écrit Shakira dans la soirée sur twitter. Le couple avait annoncé en septembre que la chanteuse était enceinte de son premier enfant.

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"Le coach de l'Olympiakos viré car il couchait avec la femme du président"

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Le limogeage de Leonardo Jardim provoque quelques remous. Sportivement, l'ancien entraîneur de l'Olympiakos n'avait pas grand-chose à se reprocher puisqu'il trônait largement en tête du championnat grec, avec dix points d'avance (14 victoires, 3 nuls).

Difficile donc de trouver la véritable raison du départ du coach portugais. La presse lusitanienne, surprise, a donc mené l'enquête: selon elle, Jardim entretiendrait une relation avec Jelen Trojanske, la femme du président du club, Evanglos Marinakis. L'homme fort du club n'aurait pas supporté cette humiliation et aurait donc pris la décision qui s'imposait.

La version officielle expliquait que le jeu défensif de l'Olympiakos ne correspondait pas à la philosophie du club, malgré les résultats. C'est l'ancien gardien Antonios Nikopolidis qui assure l'intérim.