Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Hand-Justice : Nouveaux éléments contre Karabatic

La justice a découvert de nouveaux éléments qui mettent à mal la stratégie de défense de Nikola Karabatic, ont annoncé le "Midi Libre" et RTL. En cause : le téléphone portable du joueur.
Alors qu'il est en plein Mondial, Nikola Karabatic est rattrapé par l'affaire des paris. (L'Equipe)







La justice a découvert de nouveaux éléments qui mettent à mal la stratégie de défense de Nikola Karabatic, ont annoncé le "Midi Libre" et RTL. Les juges d'instruction chargés du dossier ont récupéré de nouvelles données techniques concernant les analyses des téléphones portables et des disques durs des ordinateurs des différents protagonistes mis en cause, et notamment des joueurs. En fouillant dans le portable de Nicolas Karabatic, les experts ont remarqué deux choses : il avait téléchargé l'application de la Française des Jeux.

Mais il serait surtout resté connecté près de deux heures sur le site Internet de ladite FDJ peu de temps avant le coup d'envoi du désormais célèbre match contre Cesson-Sévigné. Les juges doivent l'interroger sur ce point précis en début de semaine prochaine. Il n'y a cependant rien d'illégal dans ce comportement. Rien ne dit non plus qui de Karabatic ou de sa compagne a utilisé le téléphone ce jour là, mais cela fragilise forcément sa thèse : «je n'ai jamais parié».

[Norton]

Tennis-AUS (Hommes) : Murray trop fort pour Chardy

Jérémy Chardy n'a rien pu faire contre Andy Murray (n°3), mercredi, en quarts de finale (6-4, 6-1, 6-2). L'Ecossais retrouvera désormais Jo-Wilfried Tsonga (n°7) ou Roger Federer (n°2), qui s'affrontent en night session.

[Norton]

Rugby - Top 14 - Stade Toulousain : «Se poser les bonnes questions»

Ancien joueur et entraîneur du Stade Toulousain, à l'origine de la méthode de jeu toulousaine dans les années 80, Pierre Villepreux livre son analyse sur la baisse de régime des champions de France.
Les Toulousains, bousculés par Leicester, doivent réagir contre Biarritz vendredi. (L'Equipe)







«Pierre Villepreux, comment analysez-vous la non-qualification de Toulouse en phase finale de Coupe d’Europe, dimanche dernier ?
L’évolution d’un club passe par des bas et des hauts, et le Stade Toulousain, quand il s’est fourvoyé dans ce genre de situation, a toujours su vite rebondir. Je ne suis donc pas inquiet. Considérant aussi la robustesse financière et sportive de ce club.

Il y a quand même une accumulation de matches pas aboutis...
Effectivement, depuis quelques temps, le Stade Toulousain ne joue pas très bien. Même dans la victoire, il n’y a pas la manière. On ne reconnaît pas le Stade Toulousain qui fait rêver. Ca demande une bonne analyse et Guy Novès (manager général du Stade Toulousain) saura la faire.

Quelle type d’analyse faut-il faire ?
Se demander ce qui a été délaissé à l’entraînement pour que les joueurs n’aient plus, dans le jeu collectif, des repères partagés. Car face au Leicester, on ne peut pas leur reprocher de ne pas s’être investis. Mais il y a d’autres ingrédients à mettre.

«Le Stade Toulousain pense pouvoir gagner ses matches autrement qu'avec le jeu qui a fait la force du club»Comment une équipe aussi brillante que le Stade Toulousain, dont la force repose sur le jeu collectif, peut être à ce point dépendante d’un buteur ?
Le jeu a toujours été la priorité, et le bonus c’était que les buteurs réussissent leurs coups de pied. Ceci dit, dans le rugby actuel, réussir les tirs au but est essentiel. Mais le problème n’est pas là : dans la mise en place du jeu, et c’est plus psychologique que tactique, le Stade Toulousain pense pouvoir gagner ses matches autrement qu’avec le jeu qui a fait la force du club. Sans doute que les joueurs n’ont plus confiance dans un rugby plus ambitieux et qu’ils attendent que les buteurs fassent la différence.

L’usure du discours de Guy Novès, à la tête du club depuis 1993, le départ de Yannick Bru vers Marcoussis, le fait que William Servat soit encore joueur : est-ce que tout cela ne fragilise pas le staff technique ?
J’ai connu une période où les techniciens, en plus d’entraîner avants et trois-quarts mélangés, étaient aussi managers et préparateurs physique. Ils avaient donc des compétences dans tous les domaines. Aujourd’hui, le responsable d’une équipe est entouré d’une dizaine de spécialistes. Du coup, on décortique le rugby en petits bouts. Additionner des petits bouts, ça n’a jamais fait jouer correctement une équipe. Une équipe, elle travaille dans la complexité du jeu. Est-ce que le Stade Toulousain n’a pas délaissé cette complexité du jeu qui a fait sa force ? Je n’ai pas la réponse. Il faut la demander aux intéressés.

Toulouse critiqué, battu, éliminé, va pouvoir se retrouver et faire taire ses détracteurs face à Biarritz, vendredi soir ?
C’est possible qu’il y ait une rébellion et que tout d’un coup, Toulouse, le temps d’un match, retrouve son jeu. Mais pour cela, il faudra surtout que le staff et les joueurs se posent les bonnes questions, et que les joueurs alignés soient en adéquation avec le jeu préconisé.»
Propos recueillis par Richard ESCOT

[Norton]

Tennis - AUS (Femmes) : Stephens : «C'est étrange»

Sur son petit nuage, Sloane Stephens s'est livrée après son exploit contre Serena Williams. A la fois cool et déterminée.
Sloane Stephens a réussi l'impensable. (L'Equipe)







«Sloane Stephens, comment vous sentez-vous après cette victoire ?
Je ne sais pas. Non, je ne sais pas comment je me sens. C'est étrange. Je viens d'avoir mes grands-parents au téléphone. Ma grand-mère m'a simplement dit : "c'est du bon boulot". Je les ai écoutés et ils m'ont un peu calmée. C'était bien.

Peu de personnes auraient pu prédire un tel scénario. Quel pourcentage de chances vous donniez-vous ?
Hier soir (mardi), je me disais que je pouvais le faire mais ce n'était pas très clair dans ma tête. Et puis ce matin (mercredi), quand je me suis levée, je me suis dit : "Hey, tu peux le faire. vas-y et donne le meilleur de toi-même". J'étais convaincue de pouvoir le faire quand j'ai perdu mon service au début du deuxième set et que j'étais menée 2-0. Je me suis dit : "bon, ce n'est pas ce que j'avais imaginé". Mais je me suis battue, j'ai remis toutes les balles que j'ai pu, j'ai couru partout, et je me suis dit que ça allait passer. A partir de ce moment-là, je me suis montrée agressive, j'ai avancé vers le filet , je me suis sentie beaucoup mieux, plus à l'aise. J'ai joué mon jeu à partir de ce moment-là en fait.

Vous êtes fan de Serena Williams et aujourd'hui, vous la battez. Il faut une sacrée force mentale pour y parvenir...
J'ai beaucoup progressé sur le plan mental. Mais jai beaucoup travaillé sur mon physique aussi.

Une fois la balle de match gagnée, vous avez sauté sur votre téléphone... Qu'y avez-vous trouvé ?
Je ne pouvais pas faire grand-chose parce que les messages défilaient. Je ne pouvais rien lire du tour. Je n'arrivais pas à joindre ma mère, alors j'ai essayé mon frère, qui me l'a passée. Il ne tenait plus en place !

Contre Victoria Azarenka, vous irez chercher une première finale en Grand Chelem. A 19 ans...
Ce sera un match complètement différent. A moi de donner le meilleur, bien sûr.»

[Norton]

[Norton]

Federer se qualifie pour sa 10e demi-finale australienne

Tennis

—
Le Bâlois a battu Jo-Wilfried Tsonga en cinq manches et retrouvera le champion olympique Andy Murray en demi-finale.
Mis à jour à 13h51

• Imprimer

1/33Image: Keystone



Le Suisse Roger Federer rencontrera le Britannique Andy Murray en demi-finales de l’Open d’Australie après sa victoire en cinq sets 7-6 (7/4), 4-6, 7-6 (7/4), 3-6, 6-3 sur le Français Jo-Wilfried Tsonga au bout d’un match splendide, mercredi à Melbourne.
C’est la dixième demi-finale de suite pour le N.2 mondial en Australie et la 33e au total en Grand Chelem, deux records qu’il détenait déjà.
Il y retrouvera Murray qui a facilement battu un peu plus tôt le deuxième Français de ces quarts de finale, Jérémy Chardy (6-4, 6-1, 6-2).
Le Suisse, qui n’avait pas encore perdu son service depuis le début de la quinzaine, a énormément souffert face à Tsonga qui lui a chipé ses deux premiers sets du tournoi et pris cinq fois son engagement.
Prenant crânement sa chance, tapant fort et profond, le N.1 français a réussi à déborder son adversaire et à le pousser à la faute.
Mais il a moins bien négocié la plupart des virages importants d’une partie qui s’est jouée sur quelques points et d’infimes détails.
Même dans un mauvais jour, Federer a ainsi réussi à serrer la vis dans les jeux décisifs du premier et du troisième set. Et faire le dos rond lorsque Tsonga jouait le feu comme lors de la quatrième manche.
Plus expérimenté, plus stable, plus frais aussi, le Suisse a finalement maîtrisé le cinquième set pour battre Tsonga pour la 9e fois en 11 rencontres.

[Norton]

open d'Australie

Roger Federer reconnaît qu'il aurait pu «perdre»

• Imprimer

Poussé dans ses retranchements par un très bon Jo-Wilfried Tsonga, le n°2 mondial a avoué être «soulagé de s'en être sorti». Le Bâlois aura fort à faire face à un Andy Murray débordant de confiance.

1/51Pour Jo-Wilfried Tsonga, l'exploit est passé près mercredi.
Image: Reuters



Roger Federer disputera ce vendredi face à Andy Murray une dixième demi-finale de rang à Melbourne, sa trente-troisième dans le cadre d'un tournoi du Grand Chelem. Le Bâlois a toutefois dû batailler durant cinq sets pour se qualifier.
«J'ai eu le bonheur que mon meilleur set soit le... cinquième, lâche Roger Federer. Je suis soulagé de m'en être sorti. J'aurais pu gagner en trois, mais perdre aussi. J'ai connu des moments bien difficiles». Notamment à la fin du troisième set, lorsqu'il fut mené 0-30 sur son jeu de service à 5-5.
Il lâchait alors un revers gagnant le long de la ligne accompagné d'un «Come On» qui traduisait bien toute l'intensité du moment. «Gagner ce jeu fut crucial, avoue Federer. Si Jo avait réussi le break, il aurait sans doute gagné le set. Il servait avec le vent au jeu suivant». Et à deux sets à un pour le Français, la situation serait devenue vraiment critique.
«Ce fut un match extrêmement dur, avoue Roger Federer. Avec son service et son agressivité, Tsonga fut un adversaire vraiment difficile à battre. Il a énormément progressé à la relance».
«Partie remise» pour Tsonga
Puissant, capable à tout moment de toucher les lignes, Jo-Wilfried Tsonga a offert une toute autre réplique que Tomic ou Raonic. Seulement, le revers demeure son maillon faible.
C'est d'ailleurs en le pilonnant que Roger Federer devait trouver son salut. «Il a joué beaucoup en slice sur la fin. Il ne m'a pas donné d'angles, relève le Français. Ce fut la clé pour lui. Je perds ce soir mais ce n'est que partie remise...» (J.Sa/si/afp/Newsnet)

[Norton]

Open d'Australie

Murray va en demi-finales

Mis à jour à 08h14

• Imprimer

Le Britannique Andy Murray s'est qualifié pour les demi-finales du tournoi en surclassant le Français Jérémy Chardy.

1/51Pour Jo-Wilfried Tsonga, l'exploit est passé près mercredi.
Image: Reuters



Le Britannique s'est imposé en trois sets 6-4, 6-1, 6-2, mercredi à Melbourne.
C'est la quatrième année de suite que le N.3 mondial atteint le dernier carré à Melbourne où il rencontrera vendredi le vainqueur du dernier quart de finale entre Roger Federer et le Français Jo-Wilfried Tsonga.
Murray n'a laissé aucune chance à Chardy, 36e mondial, beaucoup trop nerveux et irrégulier pour son premier quart de finale dans un tournoi du Grand Chelem.
Le Français de 25 ans a seulement fait illusion en revenant de 0-4 à 3-4 dans le premier set avant de sombrer à nouveau face à l'Ecossais qui disputera vendredi sa douzième demi-finale dans un tournoi majeur.
«J'ai fait mon meilleur match du tournoi. Au tour précédent, mon adversaire (Gilles Simon) était blessé donc je n'avais pas vraiment pu me tester. Là je suis très satisfait avec mon jeu», a commenté le N.3 mondial.
Vainqueur à l'US Open en septembre, l'Ecossais espère devenir à Melbourne le premier joueur de l'ère Open à faire suivre une première victoire en Grand Chelem par un deuxième grand titre dans la foulée.
Invaincu cette année après avoir défendu son titre à Brisbane, le champion olympique de Londres a déjà atteint deux fois la finale en Australie, en 2010 lorsqu'il fut battu par Federer, et en 2011, dominé par le Serbe Novak Djokovic.
Chardy va quitter Melbourne avec la satisfaction d'avoir réalisé son meilleur résultat en Grand Chelem et sera récompensé lundi en grimpant jusqu'au 25e rang mondial, le meilleur classement de sa carrière.L'autre demi-finale opposera le Serbe Novak Djokovic, double tenant du titre, à l'Espagnol David Ferrer (afp/Newsnet)

[Norton]

La "reine" des pistes se cherche un nouveau roi

23.01.2013
Le Norvégien Svindal sera-t-il couronné nouveau roi de la Streif? [Alessandro Trovati - Keystone]


Une nouvelle ère s'ouvre à Kitzbühel. Pour l'an 1 après Didier Cuche, le temple du ski alpin se cherche un nouveau roi qui, sauf sensation, ne sera plus Suisse. Désormais à la retraite, le Neuchâtelois n'avait laissé que des miettes à ses adversaires lors des dernières éditions. Il avait ainsi accumulé onze podiums, dont six victoires (5x descente, 1x super-G). Personne n'a fait mieux dans l'histoire de la Streif.
Si l'on ajoute encore le succès de Didier Défago en 2009, l'hégémonie helvétique dure depuis cinq ans en descente. Une domination particulièrement mal vécue par l'éternel rival autrichien, privé de succès dans la course la plus mythique de l'hiver depuis Michael Walchhofer en 2006.
Attention aux Italiens

La donne a toutefois bien changé en une année. L'équipe de Suisse est moribonde, tandis que les Autrichiens disposent de plusieurs favoris. Gisin a terminé dans le top-10 lors des deux entraînements. [Hans Klaus Techt - Keystone] A commencer par Klaus Kröll et Hannes Reichelt, qui restent sur des 2e et 3e places samedi dernier à Wengen.
Si les Autrichiens ne redoutent plus les Suisses, ils feraient bien de se méfier de l'Italie, nation no 1 cet hiver en vitesse. Outre les Dominik Paris, Werner Heel et autres Peter Fill, les Transalpins s'appuient sur Christof Innerhofer, vainqueur à Wengen et qui pourrait devenir le premier depuis Défago en 2009 à signer le doublé Lauberhorn-Streif.
Svindal doit revenir

Cette édition 2013 pourrait aussi être celle d'Aksel Lund Svindal. Deux fois sur le podium à Kitzbühel en super-G (2e et 3e) mais jamais en descente, le Norvégien tentera de combler une lacune à son palmarès. Sa prestation lors des premiers entraînements parlent en tout cas en sa faveur, lui qui a dominé les deux premières sessions. Reste toutefois à éviter la même mésaventure qu'à Wengen, où il avait brillé lors des entraînements avant de chuter en course. Svindal doit également profiter de ces 73es courses du Hahnenkamm pour revenir sur Marcel Hirscher au classement général de la Coupe du monde.
Côté suisse, les ambitions sont maigres. En théorie, Didier Défago est toujours capable de réussir un coup d'éclat. Un sursaut du Valaisan se fait néanmoins désespérément attendre cet hiver. Le souvenir de son triomphe en 2009 lui sera-t-il suffisant pour retrouver l'inspiration? Rien n'est moins sûr. A l'aise aux entraînements, Marc Gisin pourrait lui créer une belle surprise.
si/lper

[Norton]

Oklahoma gagne le choc au sommet

23.01.2013 08:42 mise à jour à 11:23
Kevin Durant "chipe" le ballon sous les yeux de Blake Griffin. [Paul Buck - Keystone]


Thabo Sefolosha et le Thunder ont frappé un grand coup à Los Angeles. Ils se sont imposés 109-97 au Staples Center face aux Clippers.
Dans ce choc entre les deux meilleures formations de la NBA, Oklahoma City a pris les commandes dans le deuxième quarter. L'absence du meneur Chris Paul, blessé à un genou, dans les rangs des Clippers a pesé lourd.
Une fois de plus, Kevin Durant a été l'homme du match avec ses 32 points (12 sur 19), 7 rebonds et 7 assists. Thabo Sefolosha, pour sa part, a joué 23 minutes pour marquer 9 points (3 sur 5), prendre 2 rebonds et délivrer 1 assist.
si/tai